programme detaillé jeudi 31 mars

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JEUDI 31 MARS PASSERELLE CENTRE DART CONTEMPORAIN 17H00 RENCONTRE AVEC LE COMPOSITEUR PIERRE JODLOWSKI SCÈNE I I ATELIER 18H30 TABLE RONDE VOUS AVEZ DIT MUSIQUES MIXTES ? SCÈNE I PATIO 20H30 CONCERT ELECTR( ) STATES SCÈNE III NEW YORK(S) 1

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Page 1: Programme detaillé jeudi 31 mars

JEUDI 31 MARSpasserelle centre d’art contemporain

17H00 rencontre

AVEC LE COMPOSITEUR PIERRE JODLOWSKI

SCÈNE I I ATELIER

18H30 taBle ronde

VOUS AVEZ DIT MUSIQUES MIXTES ?SCÈNE I PATIO

20H30concert

electr( ) statesSCÈNE III NEW YORK(S)

1

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F e s t i V a lelectr( )cution

concertelectr( ) states20H30 scène iii new york(s)

Dialogue entre l’exposition New York(s) de Emmanuelle Huynh et Jocelyn Cottencin avec :

Thierry De Mey, Silence must be ! (2002)pour chef solo

Bertrand Dubedout, Gefühl (2011) pour tambour sur cadre et sons fixés

Steve Reich, Vermont Counterpoint (1982) pour flûte et électronique

Claude Ledoux, Dolphin Tribute (2003) hommage à Éric Dolphy, pour clarinette basse et électronique

Steve Reich, New York Counterpoint (1985) pour clarinette et électronique

John Cage, Musicircus (1967) pour l’ensemble des musicircassiens et électronique

ensemBle sillages

Philippe Arrii-Blachette, direction artistique

Sophie Deshayes, flûte

Jean-Marc Fessard, clarinette

Bénédicte Albanhac, percussion

Vincent Leterme, piano

L’ensemble des musicircassiens du Conservatoire de Brest Métropole et de l’Ensemble Sillages.

équipe tecHnique

Kenan Trevien, régisseur général et ingénieur du son

Jean-Marc Ségalen, régisseur lumières

François Donato, réalisateur en informatique musicale

Pauline Tassel, ingénieure du son

Les étudiants de l’UBO Image et Son : Annaig Chaslot, Clément Crubile, François Defour, Pierre Fleurence, Martin Grouazel, Mélanie Morin, Diane Prieur, Ely Rannou.

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THIERRY DE MEY (1956)

Silence must be ! (2002)pour chef solo

Une pièce pour chef d’orchestre… sans orchestre ! Une recherche sur le mouvement au cœur du « fait » musical.

Thierry De Mey, né en 1956, est compositeur et réalisateur de films. L’intuition du mouvement guide l’ensemble de son travail, lui permettant d’aborder et d’intégrer différentes disciplines. Le postulat préalable à son écriture musicale et filmique veut que le rythme soit vécu dans le(s) corps et qu’il soit révélateur du sens musical pour l’auteur, l’interprète et le public. Il a développé un système d’écriture musicale du mouvement, à l’œuvre dans certaines de ses pièces où les aspects visuels et chorégraphiques sont d’importance égale au geste producteur de son : Musique de tables (1987), Silence must be ! (2002), Light Music (2004) créé à la Biennale Musiques en scène de Lyon en 2004.Il a participé à la fondation de Maximalist ! et de l’ensemble Ictus qui a créé plusieurs de ses pièces. Sa musique a été interprétée par de grands ensembles tels que le Quatuor Arditti, le Hilliard ensemble, le London Sinfonietta, l’Ensemble Modern, le musikFabrik et l’Orchestre Symphonique de Lille. Thierry De Mey exerce également une activité pédagogique et anime divers stages, conférences, académies d’été et cours de composition.

BERTRAND DUBEDOUT (1958)

Gefühl (2011) pour tambour sur cadre et sons fixés.Co-commande Grame (CNCM Lyon) / Ministère de la Culture et La Muse en Circuit (CNCM Alfortville) avec le soutien de la Sacem. Réalisation électronique : studios Grame et éOle. Texte d’Emmanuel Kant : « Anthropologie in pragmatischer Hinsicht abgefasst / Anthropologie d’un point de vue pragmatique » (1798).

« À François Donato,

… où l’on tentera de rassembler les critères de la proprioception.

Guidé par une polyphonie textuelle aux sonorités bruissantes et chuintantes qui déploie dans l’espace 4 pistes de l’électronique un texte de Kant sur la sensation tactile, le musicien développe un jeu de frottements des doigts et de la paume des mains sur la peau d’un tambour. Issue du spectacle ENDLESS ELEVEN, cette pièce est elle-même une partie de PercuKant, un recueil de quatre pièces pour un percussionniste et sons fixés, qui fait aussi appel aux ressources théâtrales de l’interprète : sa voix, ses gestes, ses postures, pour une évocation percutante, joyeuse - et il faut bien le dire, quelque peu irrévérencieuse - d’Emmanuel Kant et de quelques autres figures tutélaires de la pensée occidentale... »

Bertrand Dubedout

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Bertrand Dubedout étudie le piano à Bayonne, poursuit sa formation musicale à l’Université de Pau, puis entre au Conservatoire de Paris, notamment dans les classes de composition électroacoustique et de recherche musicale de Pierre Schaeffer et Guy Reibel. Parallèlement, il suit les cours de musicologie de l’Université de Paris VIII et complète sa formation de direction de chœur au Centre d’études polyphoniques de Paris avec Philippe Caillard. En 1988, avec Pascal Gaigne, il fonde puis dirige l’ensemble Pythagore à Toulouse, où il enseigne la composition électroacoustique au conservatoire. En 1999, résident à la Villa Kujoyama, il nourrit sa fascination pour le monde asiatique. La musique de Bertrand Dubedout explore le répertoire instrumental et vocal, acousmatique, et celui de la musique mixte, tant dans leurs spécificités que dans leurs possibles interactions. Son écriture se fonde sur l’ultrachromatisme en quarts de tons, par des échelles de hauteurs à densités variables. Citons Iniji (1982), Les nombres (1986), Entre les braises rouges (1990), Sapha (1991) et les huit livres de Fractions du silence, vaste fresque inspirée par l’œuvre poétique d’André du Bouchet.

STEVE REICH (1936)

Vermont Counterpoint (1982)pour flûte, bande et électronique.Commande du flûtiste Ransom Wilson. Dédié à Betty Freeman.

La partition de Vermont Counterpoint a été écrite pour trois flûtes alto, trois grandes flûtes, trois flûtes piccolos et une partie solo, le tout enregistré sur bande, et pour une partie solo live. Le soliste sur scène joue la flûte alto, la grande flûte, la flûte piccolo, participe au contrepoint de la bande et joue également des mélodies plus longues. La pièce pourrait être jouée par 11 flûtistes mais a été prévue en premier lieu pour

flûte solo avec bande. La pièce dure environ dix minutes. Dans ce laps de temps relativement court sont présentées quatre parties en quatre tonalités différentes, dont la troisième a un tempo plus lent. Les techniques compositionnelles utilisées engendrent tout d’abord des canons entre de courts motifs répétés en substituant les soupirs par des notes, puis en jouant les mélodies qui résultent de ces combinaisons.

Steve Reich, compositeur et « performer », est, avec La Monte Young, Terry Riley ou encore Philip Glass, l’un des représentants les plus marquants de la nouvelle musique américaine d’après John Cage. Après des études de philosophie et notamment une thèse sur Ludwig Wittgenstein, Steve Reich suit de 1958 à 1961 des cours de piano, de percussions et de composition à la Julliard School of Music où il rencontre Art Murphy et Philip Glass. Il parfait ensuite son apprentissage au Mills College d’Oakland (Californie) auprès de Darius Milhaud et Luciano Berio. A l’époque où le sérialisme est un modèle en matière de composition, Steve Reich affirme un attrait pour le rythme et la tonalité, mûri par ses contacts avec la musique africaine et le jazz modal de John Coltrane.Dès le début des années 60, ses créations s’inscrivent dans la mouvance minimaliste. Il expérimente la technique du « phasing » avec des œuvres comme Music for Two puis fonde en 1966 avec trois autres musiciens l’ensemble « Steve Reich and Musicians ». À cette même période, Steve Reich fait partie du « Tape Music Center » de San Francisco dont il deviendra l’un des membres les plus actifs. Qu’elles soient pour bandes magnétiques ou pour instruments traditionnels, les œuvres de Steve Reich sont basées sur des interférences créées par le déphasage progressif de

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plusieurs séries d’un même motif répété. Ces combinaisons sonores en constante transformation confèrent à sa musique un caractère obsessionnel qui fait perdre à l’auditeur le sens du temps et de la durée. La pièce Music for Eighteen Musicians, qu’il compose en 1976, rassemble l’ensemble des techniques employées par Steve Reich sur le rythme et la variation du timbre.

CLAUDE LEDOUX (1960)

Dolphin Tribute (2003) hommage à Éric Dolphy, pour clarinette basse et électronique. « A vrai dire, si je suis venu à la musique classique et à la musique contemporaine, c’est par le biais de formes honnies par les puristes du métier : musiques populaires, tout particulièrement le jazz, le blues, le swing et autre be-bop pour enfin succomber à la tentation fascinante du free. Parmi les noms qui ont occasionné les violents tremblements telluriques de ma pensée, celui d’Éric Dolphy, saxophoniste, flûtiste et clarinettiste basse de son état. Envoûtement suffisamment tenace pour oser rendre hommage à cet interprète et créateur fou dont les méandres virtuoses obsèdent cette partition.Au départ de “Dolphin Tribute”, un enregistrement live de l’Illinois Concert réalisé par Éric Dolphy en 1963, accompagné par un ensemble à l’usage et à l’écriture complètement hors norme des canons du “big band” de l’époque. De cet esprit sonore unique, quelques secondes furent soumises à l’analyse acoustique de manière à en tirer le matériau de la pièce ; paradigme d’une métaphore de la relation entre un instrument soliste tourmenté par une partition à l’écriture linéaire - une de mes préoccupations actuelles

- et placé face à un environnement électro-acoustique fonctionnant comme un big band imaginaire qui envahit progressivement l’espace jusqu’à en devenir le promoteur essentiel. Un voyage musical conçu comme une immense transition entre bribes de notre mémoire mélodique et distorsions sonores.Cette partition est dédiée à Jean-Pierre Peuvion, témoignage de notre admiration commune à l’égard du grand art d’Éric Dolphy.La partie électronique fut réalisée au Centre Pousseur (anciennement CRFMW) avec l’aide précieuse de Jean-Marc Sullon, assistant musical et technique. L’œuvre fut créée pas son dédicataire au Festival Images Sonores 2003. »

Claude Ledoux

Claude Ledoux s’inscrit dans l’idée de “traverses musicales” et tente ainsi d’imprimer la marque de notre monde éclaté au sein de sa musique. Dès lors, son oeuvre se définit à la croisée des musiques de tradition écrite – étudiées auprès des compositeurs Pousseur, Rzewski, Ligeti et Xenakis, mais aussi admirées auprès des Murail et Grisey – et des musiques populaires au point de fusion entre les musiques non-européennes qui l’attirent depuis l’adolescence, et celles issues des nouvelles technologies, échos des recherches effectuées aux studios de Liège et de l’Ircam (Paris). Ainsi ses pièces récentes manifestent-elles ce désir de traverses non seulement géographiques, mais aussi trans-historiques, inscrites sur la ligne verticale qui relie la spiritualité à notre matérialité la plus palpable.

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STEVE REICH (1936)

New York Counterpoint (1985)pour clarinette et électronique.

La bande magnétique à laquelle est confrontée la clarinette soliste est constituée par un ensemble de dix clarinettes, dont trois (puis deux) clarinettes basses. La pièce compte trois mouvements enchaînés, au travail cependant nettement différencié. Le premier mouvement débute sur une section de trois accords complexes, animés par une pulsation régulière, qui viennent tour à tour naître et mourir. De cette séquence harmonique émerge finalement un motif rythmique d’une des clarinettes enregistrées, à partir duquel la clarinette solo va élaborer divers contrepoints basés sur un principe de décalage. Le second mouvement, présente d’emblée deux motifs rythmique identiques. Cette superposition initiale va progressivement aboutir à un double canon, dont émerge le soliste.Le troisième mouvement évoque un peu par ses contrepoints syncopés, le jazz des années cinquante auquel Steve Reich s’était intéressé de près, le discours déhanché des clarinettes basses étant par exemple proche du jeu d’Eric Dolphy.

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JOHN CAGE (1912-1992)

Musicircus (1967) pour ensemble de musicircassiens et électronique.

La première représentation de musicircus a eu lieu le 17 novembre 1967 à l’Université de l’Illinois, et la première européenne dans le cadre des journées de musique contemporaine aux Halles de Baltard, au Pavillon de Paris, le 27 octobre 1970.La réflexion de John Cage sur la théâtralité et sa recherche perpétuelle d’une plus grande liberté artistique l’ont amené à concevoir son art autour de la notion de performance.Musicircus est un concept, une invitation à venir jouer « anarchiquement ». Les interprètes, répartis dans l’espace, jouent simultanément, et en un temps indéfini, différents répertoires. Se superposent et s’articulent alors les sons, créant une situation musicale fragmentée, diversifiée et complexe. Musicircus détient une infinité d’écoutes possibles, le spectateur se déplace librement dans l’espace, construit le sens et l’histoire de l’oeuvre qu’il écoute, une expérience sonore unique !

Compositeur, poète, théoricien, plasticien, mycologue et écrivain, John Cage a eu sur l’art du XXème siècle un impact majeur. Il a considérablement contribué à révolutionner les idées traditionnelles de l’Occident sur la musique et sur la fonction de compositeur.S’il a suivi l’enseignement d’Arnold Schoenberg aux Etats-Unis, John Cage s’éloigne rapidement des règles académiques de composition pour se tourner vers l’expérimentation. Ses recherches sur le son et le rythme, non sans corrélation avec les arts visuels comme la peinture et la danse, amènent John Cage à reconsidérer l’importance du hasard et du silence dans la musique : dès lors, c’est la notion même de temps musical qui lui apparaît essentielle. Cette réflexion, nourrie par la découverte du bouddhisme et du taoïsme, permet à la musique de s’émanciper de la mémoire et de l’intention et définit une absence de hiérarchie des sons entre eux.En témoignent, outre l’invention du piano préparé, des pièces comme 4’33 où le son ambiant de la salle de concert est toute la substance même de l’œuvre. La plupart des œuvres de John Cage sont écrites pour instruments à percussion ou pour piano préparé et pour des sources sonores et des exécutants non spécifiés quant à leur nombre et à leur nature.L’action de John Cage sur le monde de la musique est à la fois perturbatrice et stimulante : il ne tardera pas à voir marcher dans son sillage de jeunes compositeurs comme David Tudor, Morton Feldman, Christian Wolff ou encore Earle Brown qui formeront autour de lui l’école dite « de New-York ».

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LES MUSICIRCASSIENS DE L’ENSEMBLE SILLAGES ET DU CONSERVATOIRE DE BREST

Bénédicte Albanhac, percussion • George Aperghis, Récitations (1978) pour voix William Arlaud, clavier, Philippe Bacchetta, saxophone, Kevin Chappe, basse, Nicolas Grande, batterie, Emmanuel Monnier, trompette • Improvisation, musique traditionnelle des pays celtiquesNicolaz Cadoret, harpe • Set électriqueJean-François Charles, électronique• Karlheinz Stockhausen, Study 1 (1953)• Karlheinz Stockhausen, Le chant des adolescents (1955-56)Les élèves de Elodie Corlay : Venise Cabon, Morgane Caroff, Angèle de Saint Maur, Marthe Haillard, Athénaïs Valentin, voix• Patrice Legeay, Variations sur un thème japonais, IIIème mouvementJonathan Czapla, flûtes, Morgane Grégory, harpe à leviers, Quentin Pearl, basse• Improvisation, musique traditionnelleHenri Pierre Deroux• Bazar bastringueVan Hien Bui, nyckelharpa• improvisationJosselin de la Haye Saint-Hilaire, piano• Ludwig Van Beethoven, Sonate Op.2 (1795)• Michel Petrucciani, She did it again (1998)• George Crumb, Makrokosmos II et III (1973)Sophie Deshayes, flûte• Philip Glass, Arabesque in memoriam (1988)• Luciano Berio, Sequenza I (1958)• Edgard Varèse, Density 21.5 (1936)• Claude Debussy, Syrinx (1913)• Maurice Ravel, Pièce en forme de habanera (1921)Jean-Marc Fessard, clarinette• Alexandre Tansman, Concerto (1958) pour clarinette • Éric Dolphy, God Bless the Child (1963)• Philippe Hersant, In the dark (2005)

Antoine Germain, Louis Nguyen, Guillaume Sonnet, Leo Vinour, saxophones• Morton Gould, Pavane de Symphonette No.2 (1938) pour quatuor de saxophoneGallad Godineau, Soez Jarousse, Manu Quemener, Maxime Ralec, saxophones• Nino Rota, Huit et demi (1963) pour quatuor de saxophoneGuillaume Handel, flûte• Edgard Varèse, Density 21.5 (1936)Bogida Langevin, accordéon• Richard Galliano, Fou-rire (1992) • Richard Galliano, Tango pour Claude• Maurice Vittenet, La sorcière (1969)• Viatcheslav Semionov, Mouvement d’une suite bulgare.Vincent Leterme, piano• John Cage, Suite pour Toy piano (1948)Emilia Le Cras, piano• Frédéric Chopin, ValseRuth Matarasso, violoncelle• Ruth Matarasso, Étincelles d’ÉtoilesZaïm Richard, piano• Les filles de Buenos Aires, TangoCéline Rivoal, accordéon• Jean Sebastien Bach, Suite anglaise n°2 bwv 807 (1720-24)• Vladimir Zubitsky, Suite bulgareStephane Sordet, saxophone• Karlheinz Stockhausen, Bongo • Karlheinz Stockhausen, Amour (1976) Noémie Sprenger, électronique• Agostino Di Scipio, New York. Background Media Noise (2005)• Jean-Claude Risset, Mutations (1969) pour sons fixés• Jonathan Harvey, Hommage à Cage, à Chopin (1997), pour piano et bande magnétique• Iannis Xenakis, La Légende D’eer (1977)• John Chowning, Turenas (1972)

Remerciements aux étudiants et musiciens enseignants du Conservatoire de Brest Métropole et à tous les aventuriers.

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18H00concert electr( ) statesscène iii new york(s)

Dialogue entre l’exposition New York(s) de Emmanuelle Huynh et Jocelyn Cottencin avec :

Thierry De Mey, Silence must be ! (2002) pour chef solo

Bertrand Dubedout, Gefühl (2011) pour tambour sur cadre et sons fixés

Jean-François Charles, Passage (2016) pour percussion et électronique, création

Claude Ledoux, Dolphin Tribute (2003) hommage à Éric Dolphy, pour clarinette basse et électronique

Steve Reich, Violin Phase (1967) pour violon et électronique

20H30concert electr( ) liB’scène i patio

Karlheinz Stockhausen, Entführung / Abduction (1986) pour saxophone et électronique

Pierre Jodlowski, Série-c (2011) pour piano et bande son

Betrand Dubedout, Solfège (2012) pour 4 boo bams et sons fixés

José Manuel López lópez, VibraZoyd (2012) pour vibraphone et électronique

Jean-François Charles, Rotonde (2016) pour piano et électronique, création

Bertrand Dubedout, Criticisme (2012) pour 2 gongs, tam-tam et sons fixés

Pierre Jodlowski, Is it this ? (2002) pour violon, clarinette basse, percussion et dispositif audiovisuel

Toutes les informations sur www.ensemblesillages.comTous les jours, bar et restauration sur place. Profitez de la présence des compositeurs et des artistes pour un moment d’échange convivial et informel à l’issue des concerts.

Production : Sillages / DRAMACoproduction : Passerelle centre d’art contemporain, La Carène salle des musiques actuelles, éOle collectif de musique active. En partenariat avec le Conservatoire de Brest Métropole et Le Quartz scène nationale de Brest.Remerciements aux bénévoles, aux étudiants Image et Son de l’UBO, à l’équipe technique de la Ville de Brest, de Passerelle et de La Carène, à la Cave de Bacchus, à La Brasserie du Baril et Popotes & Co.

le FestiVal continue demain programme du Vendredi 1 aVril