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NOTE DE CADRAGE RÉSOLUTION D’UN CAS PRATIQUE La présente note a pour objet de préciser la nature de l’épreuve à partir de sa définition réglementaire, de guider les candidats dans la préparation de l'épreuve mais, en aucun cas, elle ne constitue un programme réglementaire dont les candidats pourraient se prévaloir. INTITULÉ RÉGLEMENTAIRE DE L’ÉPREUVE (Arrêté du 27 janvier 2000) « À partir d’un dossier comprenant différentes pièces, résolution d’un cas pratique portant sur les missions incombant aux agents de maîtrise territoriaux, et notamment sur les missions d’encadrement (durée : 2 heures ; coefficient 1) Cette épreuve ne comporte pas de programme réglementaire. RAPPEL DES FONCTIONS Les agents de maîtrise sont chargés de missions et de travaux techniques comportant notamment le contrôle de la bonne exécution de travaux confiés à des entrepreneurs ou exécutés en régie, l’encadrement de fonctionnaires appartenant aux cadres d’emplois des adjoints techniques territoriaux, ainsi que la transmission, à ces mêmes agents des instructions d’ordre technique émanant de supérieurs hiérarchiques. Ils peuvent également participer, notamment dans les domaines de l’exploitation des routes, voies navigables et ports maritimes, à la direction et l’exécution de travaux, ainsi qu’à la réalisation et à la mise en oeuvre du métré des ouvrages, calques, plans, maquettes, cartes et dessins nécessitant une expérience et une compétence professionnelle étendues. I. LE CAS PRATIQUE A- LE FOND… L'intitulé réglementaire précise que la résolution du cas pratique porte sur les missions qui relèvent du grade d’agent de maîtrise et plus particulièrement les missions d’encadrement de fonctionnaires appartenant aux cadres d’emplois techniques de catégorie C. Il convient donc de se référer aux fonctions généralement exercées par l’agent de maîtrise.

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NOTE DE CADRAGE

RÉSOLUTION D’UN CAS PRATIQUE La présente note a pour objet de préciser la nature de l’épreuve à partir de sa définition réglementaire, de guider les candidats dans la préparation de l'épreuve mais, en aucun cas, elle ne constitue un programme réglementaire dont les candidats pourraient se prévaloir. INTITULÉ RÉGLEMENTAIRE DE L’ÉPREUVE (Arrêté du 27 janvier 2000) « À partir d’un dossier comprenant différentes pièces, résolution d’un cas pratique portant sur les missions incombant aux agents de maîtrise territoriaux, et notamment sur les missions d’encadrement (durée : 2 heures ; coefficient 1) Cette épreuve ne comporte pas de programme réglementaire. RAPPEL DES FONCTIONS Les agents de maîtrise sont chargés de missions et de travaux techniques comportant notamment le contrôle de la bonne exécution de travaux confiés à des entrepreneurs ou exécutés en régie, l’encadrement de fonctionnaires appartenant aux cadres d’emplois des adjoints techniques territoriaux, ainsi que la transmission, à ces mêmes agents des instructions d’ordre technique émanant de supérieurs hiérarchiques. Ils peuvent également participer, notamment dans les domaines de l’exploitation des routes, voies navigables et ports maritimes, à la direction et l’exécution de travaux, ainsi qu’à la réalisation et à la mise en oeuvre du métré des ouvrages, calques, plans, maquettes, cartes et dessins nécessitant une expérience et une compétence professionnelle étendues. I. LE CAS PRATIQUE A- LE FOND… L'intitulé réglementaire précise que la résolution du cas pratique porte sur les missions qui relèvent du grade d’agent de maîtrise et plus particulièrement les missions d’encadrement de fonctionnaires appartenant aux cadres d’emplois techniques de catégorie C. Il convient donc de se référer aux fonctions généralement exercées par l’agent de maîtrise.

Le travail demandé doit tenir compte des missions réelles d’un agent de maîtrise qui n’est ni un adjoint technique ni un technicien ou encore moins un technicien supérieur : bien qu’agent relevant de la catégorie C, il exerce des missions de contrôle et d’encadrement. Le cas pratique doit se fonder sur une situation concrète que peut rencontrer l’agent de maîtrise, en amont, en aval ou pendant, par exemple :

• l’organisation du travail, • un accident survenu pendant le service, • le déroulement d’une intervention, • la mise en œuvre d’un projet….

Les problèmes posés imposeront toujours que le candidat se place en situation d’encadrant et de manager de proximité. Les sujets proposés pourront faire appel à des notions de :

• gestion d’équipe et management, • programmation, • rationalisation des choix, • gestion des emplois du temps, • prévention des accidents, • préparation de matériel avant intervention, et réalisation de travaux, • gestion de chantiers…

L’épreuve est commune, quel que soit la spécialité ou le métier exercé. À ce titre, le sujet devra être suffisamment « transversal » pour que les candidats puissent s’y retrouver. B- LA FORME Le libellé réglementaire de l’épreuve précise que le cas pratique écrit se présente sous la forme d’un dossier comprenant différentes pièces. Le candidat y retrouvera des éléments qui

� précisent le cas à résoudre (commande, questions…), � aident le candidat à répondre au cas proposé.

Outre les questions posées, le sujet pourra comprendre ainsi de l'ordre de 6 à 8 pages. L’épreuve n’est pas une épreuve de synthèse qui nécessiterait une analyse approfondie du dossier préalable à la rédaction de la note. Ici, le dossier est mis au service du candidat afin que, ayant identifié le problème à résoudre, il y trouve facilement des éléments utiles à cette résolution. Il est à cet égard envisageable que les documents soient de formes différentes, le sujet pouvant éventuellement comprendre des textes, des tableaux chiffrés, des documents graphiques, des documents visuels (schémas…).

Le fond documentaire pourra être tiré de la presse spécialisée (La gazette des communes, techni-cités…), de la presse d’informations générales (nationale ou locale), voire de sources juridiques (lois, décrets…), dans la mesure ou celles-ci sont « compréhensibles » par les agents de maîtrise. Par ailleurs, il semble préférable que le cas pratique soit guidé ou semi-guidé (au moyen de questions) qui appellent des réponses : - rédigées indépendamment les unes des autres (même si elles ont un lien entre elles), ou - rédigées et consignées dans un document unique (type note). II. LA RÉSOLUTION DU CAS PRATIQUE A- LE FOND Le candidat ne trouvera pas obligatoirement toutes les données nécessaires à sa résolution. Ses savoirs (connaissances), ses savoir-faire (expériences) et ses savoir-être (comportements) lui seront indispensables. La résolution du cas pratique exige que le candidat prenne le temps d’analyser la situation pour la comprendre, de même qu’il devra analyser les informations fournies dans le dossier joint. Celui-ci doit être utilisé comme une « boîte à outils » qui procure au candidat un certain nombre d’instruments qu’il pourra choisir, sans pour autant que cette utilisation ne le dispense de faire appel à ses connaissances personnelles. Un candidat qui inventerait son propre scénario sans rapport avec la situation pour proposer des solutions qui lui seraient familières serait évidemment pénalisé (hors sujet). L’utilisation de l’expérience professionnelle du candidat au service de la résolution du cas est ainsi bienvenue, alors que le seul exposé de « sa vie quotidienne au travail », sans lien avec le cas proposé, n’est évidemment pas recevable. Cette épreuve permet de vérifier à la fois le sens pratique du candidat, ses connaissances professionnelles, ses capacités à encadrer et ses aptitudes à communiquer par écrit. Cette exigence conduit à adopter un barème pénalisant la transgression des règles de présentation et d’orthographe. B- LA FORME L’épreuve permet de mesurer à la fois les aptitudes professionnelles et rédactionnelles du candidat : on attend qu’il rédige clairement les réponses au problème rencontré, un des critères de notation étant sa capacité à se faire comprendre sans ambiguïté.

Bien entendu, cet item autorise la mobilisation d'informations non inclues dans les documents. Des questions simples permettant de mesurer notamment l'intérêt que le candidat porte à l'actualité du ou des sujets sont envisageables, dans la mesure où cet intérêt est nécessaire à la compréhension attendue des futures fonctions. On pourra attendre des réponses courtes mais qui nécessiteront toujours une réponse rédigée par le candidat. (exemple : des réponses de dix à quinze lignes, cette précision pouvant être portée dans le sujet afin que le candidat puisse mesurer sans ambiguïté ce qui est attendu de lui). On pourra également, pour certaines réponses, se contenter d'énumérations précédées de tirets, sous réserve que les réponses soient compréhensibles. Dans ce cas, la question le précisera. Éventuellement, certaines questions (portant sur la rationalisation des choix par exemple) pourront reposer sur des réponses sous la forme de tableaux synthétiques (ou éventuellement de schémas, de graphiques), à concevoir, compléter, interpréter ou exploiter. Les réponses sous forme de tableaux peuvent requérir des calculs usuels nécessaires dans la pratique au quotidien, comme : le calcul de longueurs, de quantités, de surfaces, d’aires, de volumes, de pourcentages, que le candidat pourra être amené à justifier si la ou les questions le précisent. Les réponses sous forme de tableaux peuvent requérir des aptitudes à la lecture de plans.

Examen professionnel de promotion interne Agent de maîtrise territorial

ENTRETIEN AVEC LE JURY

Intitulé réglementaire : Arrêté du 27 janvier 2000 modifié fixant les modalités d'organisation de l'examen professionnel d'accès par voie de promotion interne au cadre d'emplois des agents de maîtrise territoriaux Entretien avec le jury destiné à permettre à ce der nier d'apprécier la personnalité, la motivation du candidat et ses capacités à exercer l es missions dévolues au cadre d'emplois des agents de maîtrise territoriaux. Cet entretien consiste notamment en une présentatio n par le candidat de son expérience professionnelle et de ses motivations, suivie d'une conversation avec le jury. Durée : 15 minutes - Coefficient : 1 CADRAGE INDICATIF DE L'ÉPREUVE La présente note de cadrage ne constitue pas un texte réglementaire dont les candidats pourraient se prévaloir, mais un document indicatif destiné à éclairer les concepteurs dans l’élaboration des sujets, le jury dans le choix des sujets, les candidats dans leur préparation et les correcteurs dans l’évaluation de l'épreuve. Cette unique épreuve obligatoire d’admission affectée d’un coefficient 1 représente la moitié de la note finale (admissibilité + admission) qui comprend également une épreuve écrite d’admissibilité affectée d’un coefficient 1. I- UN ENTRETIEN AVEC UN JURY A- Un entretien Le libellé de cette épreuve ne doit pas égarer le candidat : l’épreuve ne consiste pas en une conversation « à bâtons rompus » avec un jury, mais repose sur des questions du jury destinées à apprécier l’aptitude du candidat à exercer les missions incombant au cadre d’emplois. Le libellé réglementaire de l’épreuve ne prévoyant ni sujet tiré au sort ni temps de préparation, les questions posées par le jury appel lent des réponses « en temps réel », sans préparation. Le candidat n’est autorisé à utiliser aucun document (ni CV, ni document présentant son expérience professionnelle) pendant l’épreuve. Si le jury le souhaite, l’entretien peut être précédé d’une brève présentation de ses membres et d’une rapide information sur les modalités du déroulement de l’épreuve. Tout candidat dispose de la totalité du temps réglementaire de l’épreuve (15 minutes) qui ne peut éventuellement être interrompue qu’à sa demande expresse. B- Un jury Le « jury plénier » comprend réglementairement trois collèges égaux (élus locaux, fonctionnaires territoriaux, personnalités qualifiées). Il peut se scinder en groupes de correcteurs.

Un groupe de correcteurs peut par exemple être composé d’un adjoint au maire en charge du personnel, d’un technicien territorial, d’un responsable des services techniques. Le candidat doit bien mesurer la retenue que lui impose sa qualité de candidat face à un jury souverain : la familiarité, l’agressivité sont évidemment proscrites. Le jury, pour sa part, accueillera la plupart du temps les réponses du candidat avec une empathie qui ne préjuge en rien de la note qu’il attribuera. C- Un découpage du temps Le jury adopte une grille d’entretien, qui peut être ainsi précisée : I- Exposé du candidat sur son expérience professionnelle (environ 5 mn) II- Connaissances et capacités du candidat à exercer les missions du cadre d’emplois, notamment en matière d’encadrement (environ 10 mn) III- Communication et motivation (tout au long de l’entretien) II- UN EXPOSÉ DU CANDIDAT A- Une maîtrise indispensable du temps Le candidat dispose d’environ 5 minutes sans être interrompu. Il ne peut utiliser aucun document et doit donc mémoriser cet exposé. Lorsque l’exposé n’atteint pas les 5 minutes, le jury, s’étant assuré que le candidat a achevé celui-ci, passe à la phase « entretien » de l’épreuve. Lorsque l’exposé dépasse les 5 minutes, le jury invite le candidat à terminer son propos pour passer à la phase « entretien » de l’épreuve. B- Un exposé sur l’« expérience professionnelle et [les] motivations » Tout candidat est évalué sur sa capacité à rendre compte clairement de son parcours et de ses compétences et à faire comprendre ses motivations pour accéder au grade d’agent de maîtrise. Le candidat doit valoriser l’expérience professionnelle et les compétences acquises au long de son parcours professionnel en sachant dépasser une simple énumération chronologique. Le candidat peut également retracer son parcours de formation (initiale, continue, stages…). Un candidat incapable de rendre compte de son expérience professionnelle, de ses compétences et de ses motivations dans le temps imparti sera pénalisé. III- CONNAISSANCES EN MATIERE D’HYGIENE ET DE SECUR ITE ET APTITUDE A EXERCER LES MISSIONS A- Une épreuve à visée professionnelle En précisant que le jury apprécie « les capacités du candidat à exercer les missions », l’intitulé réglementaire souligne une volonté d’évaluer des aptitudes professionnelles plutôt que des connaissances théoriques à visée générale. Il est attendu du candidat qu’il apporte la preuve d’une perception pertinente des problématiques territoriales et de savoir-faire professionnels permettant d’y répondre. Le jury peut recourir le cas échéant à des mises en situation professionnelles. B- L’aptitude à exercer les missions, notamment en matière d’encadrement Les questions du jury destinées à vérifier les capacités du candidat à exercer les missions trouvent leur source dans le décret n°88-547 du 6 mai 1988 modifié portant statut particulier du cadre d'emplois des agents de maîtrise (extrait), qui rappelle les missions de ce cadre d’emplois :

Article 2 Les agents de maîtrise sont chargés de missions et de travaux techniques comportant notamment le contrôle de la bonne exécution de travaux confiés à des entrepreneurs ou exécutés en régie, l'encadrement de fonctionnaires appartenant au cadre d'emplois des adjoints techniques territoriaux, ainsi que la transmission à ces mêmes agents des instructions d'ordre technique émanant de supérieurs hiérarchiques. Ils peuvent également participer, notamment dans les domaines de l'exploitation des routes, voies navigables et ports maritimes, à la direction et à l'exécution de travaux, ainsi qu'à la réalisation et à la mise en œuvre du métré des ouvrages, des calques, plans, maquettes, cartes et dessins nécessitant une expérience et une compétence professionnelle étendues. De plus, conformément aux missions des agents de maîtrise, le jury veille à vérifier que le candidat est bien en capacité d’encadrer des agents de catégorie C de la filière technique. Il peut s’agir de questions générales sur les méthodes d’encadrement ou de mises en situation plaçant le candidat dans un contexte professionnel. Les thèmes des questions / mises en situation peuvent porter sur : - Le rôle d’un chef d’équipe ; - La motivation d’une équipe ; - La gestion des conflits ; - Les méthodes de management ; - Le contrôle du travail des agents encadrés ; - Etc. C- Des questions de vérification des connaissances en matière d’hygiène et de sécurité En lien avec les missions du cadre d’emplois des agents de maîtrise, le jury vérifie les connaissances du candidat en matière d’hygiène et de sécurité. Les questions du jury peuvent porter sur : - La réglementation commune à tous les corps de métiers : l’alcool au travail, l’aménagement des locaux, la sécurité des travailleurs (travail en hauteur, manipulation de produits dangereux, etc.), etc. ; - Les interlocuteurs pour les questions d’hygiène et de sécurité dans les collectivités territoriales (assistant de prévention : missions, etc.) ; - Les documents obligatoires en santé et sécurité au travail ; - Le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail ; - Les équipements de protection individuelle ; - Etc. IV- COMMUNICATION ET MOTIVATION Le jury évalue la capacité du candidat à comprendre les questions et à y répondre en s’exprimant de façon claire. De plus, tout au long de l’entretien, le jury cherche à évaluer si le candidat est réellement motivé et prêt à exercer les missions confiées à un agent de maîtrise. On mesure ici que cette épreuve orale peut, d’une certaine manière, même si la finalité de l’épreuve n’est pas de recruter un agent de maîtrise dans un poste déterminé mais de s’assurer que le candidat est apte à en assumer les missions, s’apparenter à un entretien d’embauche, les membres du jury se plaçant souvent dans une position d’employeur : s’il s’agissait d’un entretien de recrutement en vue de pourvoir un poste confié à un agent de maîtrise, ce que dit ce candidat, sa manière de se comporter conduiraient-ils à l’engager ? Au-delà de ses connaissances, fait-il la preuve des aptitudes et des qualités humaines et intellectuelles indispensables pour exercer les fonctions d’agent de maîtrise et répondre au mieux aux attentes des décideurs et des usagers du service public ? L’épreuve permet ainsi au candidat de faire la preuve de sa capacité à :

Gérer son temps : - en inscrivant l’exposé sur son expérience professionnelle et ses compétences dans le temps imparti ; - en présentant un exposé équilibré.

Etre cohérent : - en veillant à ne pas dire une chose puis son contraire ; - en sachant défendre ses idées et ne pas donner systématiquement raison à un contradicteur ; - en sachant convenir d’une absurdité.

Gérer son stress : - en apportant des réponses sans précipitation excessive, sans hésitations préoccupantes ; - en sachant garder, même s’il se trouve en difficulté sur une question, une confiance en lui suffisante pour la suite de l’entretien.

Communiquer : - en ayant réellement le souci d’être compris, grâce à une expression claire ; - en s’exprimant à haute et intelligible voix ; - en adoptant une élocution ni trop rapide, ni trop lente ; - en s’adressant à l’ensemble du jury sans privilégier abusivement un seul interlocuteur.

Apprécier justement sa hiérarchie : - en adoptant un comportement adapté à sa « condition » de candidat face à un jury ; - en sachant ne pas être péremptoire, excessivement sûr de soi ni contester les questions posées ; - en sachant argumenter en cas de désaccord avec le jury.

Mettre en œuvre curiosité intellectuelle et esprit critique : - en manifestant un réel intérêt pour l’actualité ; - en sachant opposer des arguments fondés à ceux du jury ; - en sachant profiter d’une question pour valoriser des connaissances pertinentes.