cest cellequon ne

tente pas.

Paul-Emile Victoridu V ll@geLesChron ques☺ journal multimédia dinformations loufoques (à parution aléatoire) gratuitement pas cher du canton de Miniaturama ☺

La seulechose

promisedavance à

léchec,

Brèves de comptoir

☺ - Tu sais où on peut se procurerune bonne bouteille ?

- Ben oui, au centre deplongée de Nic pardi ! En plus, ilparait quelle a un petit vin depalmes...

☺ - Le bedeau nest pas contentparce quà cause des euros il nerécupère pas beaucoup dargent àla grand messe le dimanche.

- Cest peut-être quil utilisedes paniers de basse quête ?

☺ - Ya eu du rififi dans les radis.A un moment deux épiceries çasemblait beaucoup.

- Bof, cest un coup desgrosses légumes, mais ça prouvepas quon en navet trop...

☺ - Il semblerait que dansléquipe des bâtisseurs (et desbâtifrères...) il y ait des gens deBelgique.

- Ah ben alors où wallon nous!- Arrête, y sont très sympas, à

moins bien sûr de tomber sur unflamand rosse.

☺ - Tu crois pas que cest bizarrequand même davoir une cliniquede lOurs ?

- Non, ça a polaire comme ça.Et puis du moment que les ours sesuivent mais ne se rassemblentpas...

Copyright © Projet Village - http://www.miniaturama.com n° 3 - Mars 2002 # page 1

En attendant l'ouverture du magasin de brocante dOdile (Minimonde), nouspourrions organiser un système de troc qui permettrait aux débutants de semeubler à peu de frais tandis que les plus aguerris pourront proposer leurssurplus. Je propose en conséquence de créer une boutique virtuelle où seraient« stockées » les offres et les demandes de chacun. Il va de soi quune demandeentraîne obligatoirement une offre, on peut aussi offrir sans contrepartie. Lesarticles proposés seront classés en :

matériel de décoration :- papier peint : nous avons certainement tous les mêmes albumsdéchantillons, mais quand il sagit de tapisser deux murs semblables, ilnous manque toujours 10 cm2 de telle ou telle référence- tissus : de même si nous réunissions ensemble tout nos bouts de tissus,nous pourrions sûrement faire le tour de la terre.- petit matériel électrique, bout de baguette, papiers spéciaux, diversfilsbref, tous ce qui est décemment « postable ».

mobilier :qui na pas recommencé trois fois la même petite armoire avant dêtre enfinsatisfait de son uvre ? alors, est-ce que les deux premières ne pourraientpas être recyclée avec un petit coup de ponçage et deux gouttes depeinture ? et cest tout le plaisir de chiner que nous retrouverons ici.

objets finis :ce sont les objets miniatures que des petites mains entraînées aurontmodelés pour des petites mains débutantes, ou bien les plus chanceuxpourront y échanger leurs fèves et toutes autres petites merveilles.

scratch (c'est le grenier fourre-tout du troc):pour qui le bouchon de parfum ? qui a un joint torique ? recherche lichendésespérément ! Il ny a aucune limite à cette catégorie.

Sur le plan pratique,Vincent est en train de réfléchir à la manière de proposerce troc sur notre Forum. Alors pour démarrer : je propose un petit buffet garnien échange dune paire daiguilles à tricoter miniatures d1 mm de diamètre.

Nic

MINI-EDITOToujours autant dactivités sur notre Forum dédié et des projets qui arrivent

en nombre (voir lEtat Civil en page 4) déjà 41 ! (à 51, dites Micki et Vincent, cestle pastis ?). Une page de plus pour vos Chroniques, cest pas de la vitalité çà ?Noubliez pas denvoyer vos idées, petites annonces, etc (sur e-mail de Nic ouChris). Vous pouvez dès à présent faire de la pub pour vos commerces (donneznous votre texte on soccupera du montage), ce journal ne vit que par vous etpour vous. Noubliez pas un simple passage de la souris sur les mots en bleudéclenchent des actions. Le délire ne fait que commencer, alors maintenantmettez vos lunettes et écoutez comme ça sent bon !!!!!!

TROC EN STOCK

L'après-midi s'annonçait calamiteuse, lamétéo l'avait d'ailleurs annoncé et profitantd'un peu de répit au journal, je suis allérendre visite à Chris. Après avoirlonguement et patiemment frappé à la porte,je finis par me mettre à tambouriner sur lebois robuste. La fenêtre du deuxièmes'ouvrit et la tête de Chris apparut :

- C'est-y pas fini de cogner comme undamné, j'suis pas sourd bon Dieu, j'étaisdans la lanterne - sa voix se radoucit - ah,c'est toi Hervé bouge pas j'arrive.

Une minute plus tard l'huis s'ouvrit surnotre "pharier"(voir chapitre 1) un peu essoufflé.

- Rentre vite avec ce maudit vent il va yavoir du sable partout dans le phare, dit-ilen grommelant.

- Bonjour, Chris, pour sûr le vent s'estlevé et comme d'autres visiblement pas dubon pied...

- Ah je voudrai bien t'y voir lejournaleux, t'es en haut en train de vérifier lalanterne et voilà qu'on cogne comme unmalade à la porte, y'a pas moyen d'êtretranquille.

-Bon, bon, ça va j'ai compris, jereviendrai plus tard.

- Arrête, j'te mets pas dehors, d'ailleursj'ai fini, viens prendre quelque chose onpeut causer si tu veux.

- C'est un peu pour ça que je viens, j'aiapporté une brioche.

Un sourire de contentement éclaira sonvisage, un rien gourmand l'animal. Noussommes montés dans le bureau, puis dans lacuisine au-dessus, toute proprette et bienrangée. De beaux meubles en bois, unecuisinière à gaz d'un autre temps, maisastiquée comme si elle avait été achetée laveille, une table recouverte d'une toile ciréeà gros carreaux rouges et blancs et deuxchaises seulement. Quelques bibelots, pasde poussière et une discrète odeurd'encaustique. Un intérieur nickel, où l'on semeut comme dans un musée sans faire debruit de peur de déranger, tout est net, unpeu trop, ainsi qu'en ces lieux où l'on ne vitpas...Il doit parfois se sentir bien seul pourpasser tant de temps à briquer ce petitunivers. Je m'assois sur la chaise qu'il medésigne.

- Un thé ça te plaît ? j'ai encore quelquesconnaissances dans la marine marchande,alors un earl grey comme celui-là, pour sûrtu n'en as jamais bu.

- Va pour un thé, je te laisse faire, si tuveux bien on mettra la brioche à réchaufferau four, à moins que tu n'aies un micro-onde ?

- Un micro quoi ? tu veux m'enregistrermaintenant ?

- Non, non, laisse tomber, répondis-jeen souriant, le four à gaz ira très bien. Tu asvu ce vent qu'il y a aujourd'hui ?

- Un petit zéphyr tout au plus, tiens, toiqui t'intéresse aux habitants, ça me rappellel'année de la grande tempête, là y'en avaitdu vent, et du solide tu peux me croire.C'est cette nuit-là, en pleine bourrasque,qu'il est arrivé une drôle d'histoire avecSimplette, tu sais la rebouteuse qui habitetout au bout du village.

- Je ne savais pas qu'il y avait unerebouteuse ici, at-tends, je prends moncalepin.

Et c'est devantdeux tasses de théfumant, baignantdans des effluves debrioche chaude queChris ma conté cetteétrange histoire.

- Voyons c'était ily a quatre ans,Mamzelle Simpletteétait parmi nousdepuis cinq ou sixmois tout au plus.Elle est arrivée parun petit matinbrumeux d'octobre.Elle avait racheté labicoque de la mère Talmont tout au bout duvillage. Bien délabrée la masure, tu pensesouverte à tous les vents depuis le décès desa propriétaire huit ans auparavant. Poursûr personne en voulait de cette baraque !Elle s'est mise à la retaper par petit bout, onla voyait passer avec sa 4 L jaune où lesigle de la Poste était quasi effacé, elleavait du la racheter aux Domaines.Toujours habillé en sombre, jupe longue leplus souvent, parfois en jean. Pas trèscausante non plus, bonjour, bonsoir chez leboulanger ou l'épicier mais c'est tout. Levillage ne l'a pas adopté, oh personne n'étaithostile, juste indifférent elle aurait été là oupas c'était pareil. Et puis une fille seule quicause pas et refait sa maison où jamaispersonne ne vient, qui part avec son sac surla lande pour cueillir des plantes, parfoisdès le lever du jour ou à la nuit tombante,les langues de fiel ont commencé àfonctionner, tu connais la chanson : "nonles braves gens n'aiment pas que l'on suiveune autre route qu'eux...", et ça va à l'églisele dimanche, enfin. Tout le mondel'ignorait. Les gens l'ont surnomméSimplette, un peu par dérision, moi je

préfère croire que c'est à cause des plantesdont elle fait des tisanes, dans le temps, tu lesais peut-être, les plantes on les appelait dessimples, c'est plus joli, mais ce n'est pas sonvrai prénom. Elle vivait donc un peu àl'écart de la vie du village avec ses chats,une bonne demi-douzaine mais hébergeantceux des alentours à l'occasion. Petit à petitles gens se sont habitués à elle, elle s'est enquelque sorte fondue dans le paysage,transparente, c'est ça, elle est devenuetransparente. Jusqu'à ce jour de mars. Lamétéo l'avait annoncé depuis deux jours etl'on s'attendait à un sacré coup de tabac, lesmarins-pêcheurs étaient pour la plupartrestés au port, et pour qu'eux ne sortent pasfaut que ça souffle, tu peux me croire. Toutela journée le vent a soufflé en tempête et la

mer était touteblanche d'écume, etmême les vaguesvenaient parfois jus-qu'au pied du phare.La nuit est tombéebien vite ce soir-là etle vent n'a pas faibli,les embruns bal-ayaient la côte etchacun s'est claque-muré dans sa maison.Je venais de fairemon inspection de lalanterne, il devait êtrevingt-trois heures, leschevaux du ventcontinuaient leurcourse folle, le phareétait recouvert de

paquets d'écume. La nuit allait être longueet je décidai de veiller jusqu'à que le ventmollisse un peu, mais l'anémomètre tournaitcomme un derviche, l'aiguille du cadranbloquée au maximum. Vers deux heurestoujours la tempête, quand soudain un grandfracas de verre brisé et la lanterne s'éteint.Je me précipite dans l'escalier, arrive à laporte qui donne sur la terrasse afind'accéder à la lanterne. Bloquée !!!Impossible, pensais-je, nouvelle poussée, lebattant de fer résiste. Il faut te dire que cetteporte s'ouvre vers l'extérieur afind'empêcher la pluie ou le vent de rentrerdans le phare. J'essaye de comprendre cequi se passe quand j'entends des sortes decaquètements. Interloqué je redescends etsors sur le balcon de fer de l'étage inférieur,celui qui sert pour monter du matériel avecla petite grue, levant la tête j'aperçois entreles arches de pierre des tas d'oiseaux blottisles uns contre les autres sur la terrasse,incroyable ce sont des oies bernaches.Complètement épuisées ou perdues dans cetouragan, elles sont naturellement venueschercher refuge vers cette lumière puissanteet c'est tout un vol qui a percuté la lanterne.

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Du haut du phare chapitre 2 :

Simplette

Des dizaines d'oiseaux sont là serrés les unscontre les autres bloquant la seule ported'accès à cette fichue lanterne. C'est lacatastrophe, il faut rétablir au plus vite lalumière, mais comment les déloger ? Vite jemets la corne de brume en action, ça les ferapeut-être déguerpir et permettra aux naviresqui croisent au large de se repérer. Mais rienn'y fait, les oiseaux ne bougent pas, lasituation devient grave. Pendant ce temps,alertés par les appels de la corne de brume,les villageois sont venus aux nouvelles et sesont rassemblés au pied du phare, Simpletteest là aussi en chemise de nuit de cotonblanc avec un châle noir sur les épaules.Rapidement j'explique la situation au maire,n'ayant pas de pom-piers sur la communenous décidons d'allerchercher une échelleet avec l'aide de 3volontaires d'essayeren passant par lebalcon, l'entrepriseest délicate, le ventsouffle fort là-haut, ilne faudrait pas selaisser emporter, lephare fait unevingtaine de mètres,ça ne laisserait en casde chute que deuxsecondes pour ap-prendre à voler...Mais il faut fairequelque chose, deuxhommes partent chercher l'échelle. C'estalors qu'elle s'est avancée et de sa petitevoix nous a dit : "laissez-moi essayer". Nousl'avons tous regardé, interloqués, qu'est-ceque ce petit bout de bonne femme pouvaitbien faire ? Sans attendre notre réponse, elles'est avancée vers le phare, son châle aglissé et elle s'est mise à chanter. Sa voixsemblait sortir du plus profond d'elle,douce, claire, tout le monde la regardaitbouche bée, et cette voix mélodieuse agagné en puissance lentement jusqu'àcouvrir les bourrasques de vent. C'était unchant à la fois étrange et majestueux.Pendant de longues minutes il ne s'est rienpassé, puis un frémissement en haut duphare, quelques battements d'ailes, puis une,puis deux, puis trois oies se sont envolées etbientôt la troupe entière s'est élevée dans lesairs pour venir finalement se poser à sespieds. Elle n'a pas arrêté de chanter. Irréelle,limage de cette jeune femme deboutchantant en chemise de nuit blancheentourée d'oies. Me secouant pourm'extraire à ce spectacle, je grimpais quatreà quatre les marches et débouchait enfin surla terrasse. Il y avait encore une oie quicaquetait doucement son aile gauche dépliéetoute tachée de sang, vraisemblablement

cassée. Je montai dans la lanterne, rien degrave juste l'ampoule de cassée, aussitôtremplacée. En redescendant, j'ai prisdélicatement l'oie dans mes bras. Quelle nefut pas ma surprise en arrivant en bas :personne n'avait bougé, Simplettefredonnait sa mélodie et c'était comme si letemps s'était arrêté. M'avançant vers elle jelui tendis l'oie blessée : je crois que voussaurez mieux vous en occuper qu'aucun denous ici, et euh merci. Ses yeux clairsbrillaient d'une lueur étrange. Je ramassaisson châle, le lui remis sur les épaules. Elleest repartie vers sa maison portant serréecontre son cur cette oie blessée qui nebougeait pas, suivie par la troupe sur deux

rangs caquetant etse dandinant. Lesgens se sont écartéspour lui laisser lepassage et beau-coup murmuraientmerci en baissant latête. Le rétablisse-ment complet n'anécessité que deuxsemaines grâce auxsoins attentifs deSimplette, pendantlesquelles toutes lesoies sont restéeschez elle. Même leschats se sont tenustranquilles.Bref uneentente parfaite.Mais tu me croiras

si tu veux, pendant tout ce temps-là, chaquematin les villageois sont venus à tour derôle déposer devant sa porte qui un restantde pain qui un peu de lait ou des biscuits, ily avait même parfois des petits mots. Unmatin les oies ont pris leur envol, tournantpar deux fois autour de la maison en guised'adieu. Depuis, chaque année à lamigration elles reviennent, se posent unejournée ou deux et repartent pour leur longpériple. Après cela Simplette a étédéfinitivement adoptée et ses talents deguérisseuse dépassent maintenant large-ment le cadre du village. Comme quoiderrière la plus simple des personnes secachent parfois bien des trésors ! C'est unpeu d'ailleurs comme son vrai prénom, c'estle nom d'une fleur de la famille des roses àqui personne ne prête guère attention, elleest pourtant bien jolie. On l'utilise pourarrêter les hémorragies et favoriser lacicatrisation, tiens d'ailleurs c'est ce qu'ellea fait pour l'oie blessée.

- Et quel est-il ce doux prénom ?- Pimprenelle.

Hervé du Pharier

$ Pour se repérer les uns les autres dansles expos et signaler notre appartenance auVillage, que pensez-vous de la fabricationdun t-shirt ? Les feuilles de transfert pourimprimantes fonctionnent bien avec unpeu dentraînement et résistent pas tropmal au lavage. Vos doigts en fourmillentdéjà...

$ Pourquoi attendre une exposition pourse rencontrer, jetez un il sur la listecondensée de Micki, il y a peut-être desvillageois pas loin. Soirée, mini-stage deweek-end, échanges de trucs et astuces,simple plaisir à partager une ballade enforêt, pour paraphraser la pub: LeVillage, à vous dinventer la vie qui vaavec... Dautant que vous avez devant lesyeux le n°3 des Chroniques et vu le tarifdabonnement paru dans le précédent...Allez, on vous laisse mariner (village debord de mer oblige) et on guette vosannonces.

$ Il y a un projet de blason, maintenantque le nom du village est quasi définitif,taillez vos crayons ! Cela peut servir, parexemple, pour un motif disons sur un t-shirt , exemple choisi bien sûrcomplétement au hasard...

$ Chez nous il parait que tout se termineen chanson, alors pour faire un hymne auvillage on détourne laquelle ? Lescopains dabord, mmouais, intéressant,mais vous avez certainement dautresidées. Vu la conjoncture électorale ennotre beau pays de France, il ne devraitpas manquer de belles paroles, faisons lesnôtres (attention sans trait dunion entrefaisons et les, cest ici dans le sens :fabriquons les, ne me faites pas dire ce queje nai pas dit...;-) ).

$Patmo a eu lidée (géniale) de proposerla confection dun album de photosregroupant les villageois ne pouvant êtrelà à lexpo de Vincelles. Sur plan, en coursde travaux ou finie votre maisonlintéresse (cest la chef de lagence im-mobilière du village noubliez pas...).Modalités pratiques à venir sur le Forum.

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Notre village Retrouvez différents éléments de

notre village (39 mots) qui se sontmélangés dans tous les sens dans lagrille, les lettres pouvant êtreemployées plusieurs fois. Il resteraensuite 31 lettres qui pourraientcomposer lenseigne de la boutique deNelly notre réunionnaise.Si vous le préférez vous pouvez voir laliste des mots en cliquant sur le bouton.

A C E N T R E D E P L O N G E E G L C PE G S R U O L E D E U Q I N I L C E E AE S E T E E S T E U O J M S A A R M R SU B I N R L M O T O S U S C S U P S F SQ O D O C E B O U V S E I I E R H I S AI U R P E E V U N E I E N T E A A R V NT E O I E G I R E R R O A S N E R U O TL E N E I S R M E M D M S G T T M O L SE S U R R E A U M I R E A M A N A T A EC C D C C R M A O O L R I N T A C E N IE A S I I E I E F B B G I A T C I D T RU N E N R R R S T A N I N U O O E E S EQ A G G I A N R T A M O L A O R A C E GI R A E H A S E C A F E S I S B U I H NT D L P R P A N I E R S R I E E M F C AU S P T E U C R E P E R I E A R L F R LO L A C I D E M T E N I B A C M E O A UB M A R C H A N D D H U I T R E S R M OE P I C E R I E I R E N N O S S I O P BE S U E S S I R E U G F L E U R I S T E

Ont collaboré pour cenuméro 3 :

Micki; Nic; Patmo;Hélène et Chris.

Mise en kiosque :Vincent

Etat-civil

Naissances :Studio de tattoo et piercing par Stéphanie, fille de Nic, LandesMagasin de motos par Anthony, 11 ans, fils de Christian, BéziersBoutique de souvenirs par Nelly, La RéunionEcole par Corinne, AlpesPoste par Aude, OiseHôtel par Mamieblue, Paris NordBoucher-Charcutier-Traiteur par SabineBoutique de vêtements par Framboise, La RochelleMaison à louer pour les vacances par Isabelle, BruxellesCamping par Alice, FranceBoutique de modiste et cabinet de voyance par Juliette, Bordeaux

Disparitions : Casino, Théatre

La rédaction des Chroniquessouhaite longue vie à tous cesnouveaux projets et salue noschers disparus, mais peut-êtrerenaîtront-ils de leurs cendres ?Pas damateurs ?

Et si lon groupait les deuxdisparus pour faire une salle despectacle presque japonaise ?En somme un théatre quasiNo...

M I N I M O N D E O RI M A G I N E R P R ON I L F E L I N SI N D O O R M U T E EA E O S I N E T ET A G S B A L S A BU B U L S C R Y OR A I D I E V I D A IA L I L Y I O TM H A L L T T C AA M E I A R T I G

M P A N I E R EM D L U T I N K GD E L I T M E I L SF I M O L E S T U C

Solution de la grille du n°2

Courrier des lecteursCourrier des lecteursCourrier des lecteursCourrier des lecteurs

"Non mais, c'est quoi cettechronique? trois pages seulement,pour le prix que l'on paye, lesjournalistes pourraient faire un petiteffort! et puis ces mots croisés, qu'est-ce que ça veut dire? les définitionssont tirées par les cheveux... je veuxbien encore lire la chronique du moisde mars, mais si ça continue sur ce ton,c'est fini, et la bouffe n'aura pas lieu!!!

Anne Honymus

Chère Madame Honymus,

La Rédaction a été très touchée devos marques d'intérêt pour nos petitesChroniques. Cest avec plaisir (et unstylo) que nous répondons à votremissive.

Lépaisseur du journal étantfonction de lactualité nous nensommes pas maître, mais ainsi nouspouvons nous adapter et rester... à lapage. Le prix vous semble injustifié ?Allons franchement, une bonne bouffepour 3 numéros, ne faîtes pas la finebouche ! En ce qui concerne les motscroisés, volontairement de son pleingré et en toute connaissance de cause,notre rédacchef sy est essayé et ilne porte toujours pas de perruque,même sil sen est fallu dun cheveu.Enfin si le ton ne vous convient pas,essayez donc le cabillaud!

Bien le bonjour chez vous.

La Rédaction

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