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Z OM SUR LES … MÉTIERS

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SOMMAIRE DES FICHES MÉTIERS index : n° de page : fiche métier

3 : Préparateur de commandes

4 : Magasinier – cariste

5 : Assistant qualité

6 : Chauffeur

7 : Manutentionnaire / grutier

8 : Préparateur de placage bois

9 : Conducteur de chaine de pressage

10 : Menuisier / ébéniste

11 : Charpentier

12 : Boucher

13 : Boulanger

14 : Pâtissier

15 : Vendeur en magasin

16 : Intervenant en organisation et management par projet

18 : Développeur informatique

19 : Opérateur agro-alimentaire

20 : Commercial

22 : Recherche et développement

24 : Conducteur de ligne

25 : Soudeur

26 : Pliage

28 : Distribution

29 : Production

30 : Service clients

31 : Conducteur d’engins

32 : Mineur – boutefeu

33 : Mécanicien d’engins de chantier

34 : Technicien en laboratoire en carrières

35 : Ingénieur d’exploitation

36 : Cariste

37 : Correspondant clients

38 : Manager

39 : Quai d’expédition

40 : Fabricant

41 : Gestionnaire de flux

42 : Technicien de maintenance

43 : Concepteur / dessinateur bureau d’études

44 : Electricien – câbleur

45 : Monteur – régleur

46 : Opérateur sur machines à commandes numériques

47 : Chargé de clientèle

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Préparateur de commandes

Activités : Gérer les commandes

La préparation de commandes consiste à collecter les articles stockés dans l'entrepôt et à les préparer pour l'expédition. Pour cela, le

préparateur a recours au système informatique pour lui faciliter la tâche. Il détermine le lieu et les quantités de colis à prélever, il

doit respecter les quantités à prélever et le lieu. Ces colis sont ensuite disposés sur des palettes en respectant les consignes de

préparation indiquées sur son bon de préparation. Ensuite, il édite une fiche palette pour pouvoir transférer sa palette dans la zone

expédition.

Des lieux d'exercice variés

Les préparateurs travaillent avec des produits alimentaires, les conditions de travail sont en température réfrigérée ( entre

+2°,+4°C),. Les horaires varient en fonction des jours et des périodes de l’Année. Le préparateur effectue un travail sur une amplitude

allant de 6h à 18h mais sur une base journalière de 7h..

Organisation, rigueur, sécurité !

Pour exercer ce métier, une bonne condition physique est nécessaire car les déplacements sont fréquents et il faut porter des colis.

Le préparateur utilise, en suivant les règles de sécurité, des véhicules autoportés pour le transport des charges très lourdes. Pour

satisfaire le client dans les délais, il doit être rigoureux dans le comptage des colis et le respect du lieu de prélèvement, dynamique et

réactif.

Profil : - Organisé et rigoureux

- Dynamique

- Réactif

Diplômes requis : Niveau CAP – BEP CACES 1

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Magasinier / cariste

Activités :

Prendre en charge les produits

Le magasinier cariste évolue dans un entrepôt. Il y réceptionne, stocke, prépare et expédie des articles en provenance de multi

fournisseurs

Chaque produit à sa place

À l'arrivée des camions, il décharge les marchandises. Il effectue la saisie informatique des bons de Livraison . Il attribue

informatiquement les emplacements des palettes. Il trie, classe les produits et vérifie les quantités, lot et DLC. Il les transporte à

l'aide de chariots élévateurs, de transpalettes et de divers engins de manutention et les range à l’emplacement désigné.

De la commande à la livraison

Ce professionnel gère les commandes en fonction d'un planning. Il reçoit des missions informatiquement pour transférer les palettes

en masse pour réapprovisionner lu picking.

Il va chercher les colis stockés et les disposent sur les palettes en fonction des critères de préparation indiqués sur le bon de

préparation pour l'expédition. Il les charge dans les camions et établit les documents d'expédition.

Gérer les stocks « en ligne »

Pour assurer la gestion informatisée des stocks, le magasinier cariste enregistre les entrées et les sorties de marchandises et effectue

des inventaires tous les 3 mois . Cet état des lieux en temps réel sert à traiter efficacement la quantité de produits.

Profil :

Viser une place au cm2 près

Le magasinier cariste a le compas dans l'œil, il apprécie plusieurs éléments. Les distances, les encombrements, les hauteurs, les

poids... quand il charge, décharge et range les marchandises au moyen de véhicules spécialisés.

De l'ordre et de la réactivité

Dans ses activités de manutention (déplacement de marchandises, conduite de chariot élévateur...), le magasinier cariste se montre

adroit et précis. Il est aussi très organisé et rapide et possède le sens de l'anticipation. Pour contrôler les produits, préparer les

commandes, gérer les stocks... afin de respecter les délais.

Des outils de travail améliorés

S'il y a quelque temps, le métier exigeait endurance physique et force, ce n'est plus le cas aujourd'hui. Les équipements comme les

transpalettes (véhicules munis d'une fourche pour transporter les palettes), les chariots élévateurs... ont nettement amélioré les

conditions de travail.

Des compétences plus pointues et de la rigueur

Enfin, le métier se professionnalise et requiert de nouvelles compétences liées à l'informatique et aux nouvelles technologies :

pistolet laser, terminaux embarqués sur les chariots, serveur à commande vocal.

Le contrôle entre l’informatique et le physique sur les quantités de colis, le lot et la DLC doit être effectué sans aucune erreur.

Diplômes requis :

Le CAP opérateur / opératrice logistique mène au métier de magasinier cariste. Mais, de plus en plus, le recrutement s'effectue au niveau du bac pro logistique. Indispensable dans tous les cas : le certificat d'aptitude à la conduite des engins de sécurité (CACES 1,3,5), pour utiliser un chariot élévateur. Il se prépare dans les centres de formation d'apprentis de l'AFTRAL ou de PROMOTRANS

Niveau CAP CAP opérateur / opératrice logistique ; Niveau bac Bac pro logistique.

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Assistant qualité

Activités :

Traquer les anomalies

Garantir au consommateur des aliments sains : c'est l'objectif du responsable qualité en agroalimentaire. Ses missions sont multiples

: piloter les analyses des produits, valider leur conformité par rapport au cahier des charges des clients et aux normes de la

réglementation. À lui aussi de contrôler les conditions d'hygiène et de fixer les recommandations pour maîtriser la qualité du produit

tout au long de la chaîne.

Améliorer le contrôle qualité

Dans l'industrie agroalimentaire, le responsable qualité est responsable à la fois du produit fini et de la procédure de fabrication. Si la

qualité n'est pas au rendez-vous, il doit analyser les causes de défaillance et y apporter des solutions en élaborant de nouvelles

méthodes de production.

Sensibiliser les personnels

Sensibiliser le personnel de l'usine aux bonnes pratiques en matière de qualité, d'hygiène et de sécurité fait partie de son rôle. Le

responsable qualité rédige les procédures à respecter par tous les acteurs concernés (services internes, fournisseurs et sous-

traitants). Ses recommandations peuvent modifier l'organisation de la chaîne de travail.

Profil :

Un généraliste expérimenté

Le rôle du responsable qualité devenant de plus en plus transversal, ses compétences et ses connaissances doivent être de plus en

plus diverses. Il lui faut par exemple maîtriser tous les rouages de la fabrication, des matières premières aux produits finis. De même,

il doit être à l'aise avec l'informatique, l'anglais et les normes et obligations légales le concernant. Dans les PME, une expérience

significative dans la production alimentaire est un atout.

À l'aise avec ses interlocuteurs

Ce professionnel est capable de s'adapter à des interlocuteurs très différents : opérateurs, clients... Il doit pouvoir aussi animer des

réunions et gérer des situations tendues. Aisance relationnelle, sens de l'écoute et de la diplomatie sont des aptitudes indispensables

pour sensibiliser chacun aux exigences de la sécurité alimentaire.

Diplômes requis : Niveau bac + 2 BTS bio-analyses et contrôles ; biotechnologies ; qualité dans les industries alimentaires et les bio-industries BTSA analyses agricoles biologiques et biotechnologiques ; sciences et technologies des aliments DUT génie biologique, options analyses biologiques et biochimiques ; industries alimentaires et biologiques

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Chauffeur

Activités :

De nombreuses responsabilités Le conducteur routier cumule les responsabilités. Il veille sur les marchandises transportées et doit respecter les délais de livraison, superviser les opérations de chargement et de déchargement (voire y participer), assurer l'entretien régulier du camion : vérifications, vidanges... Des exigences administratives Les fonctions administratives sont importantes. Il est impératif de tenir à jour les documents de bord, les bordereaux de livraison ou les papiers réglementaires pour les douanes ou la police. Représentant de l'entreprise En contact direct avec la clientèle, le routier devient le premier représentant de l'entreprise. La qualité de sa prestation et son sens du contact jouent donc un rôle clé dans la relation client. De son comportement peut dépendre la fidélisation d'un client. Petite ou longue distance L'activité varie avec le type de véhicule, la nature du fret et les distances à parcourir. Le grand routier ou conducteur « longue distance » se déplace en France et à l'étranger. Le conducteur « courte distance » effectue des trajets régionaux. Le livreur ou conducteur « messager » circule en ville ou sur de courtes distances.

Profil Bon pied, bon oeil Il ne s'agit pas de s'endormir au volant ou de mal évaluer les distances. Une acuité visuelle d'au moins 15/10, une audition correcte et l'absence d'antécédent cardiaque sont ainsi contrôlés par un examen médical. Un bon équilibre nerveux, une capacité d'attention et des réflexes sont essentiels. Les travaux de manutention réclament en outre de la force. Le sens du relationnel Pas besoin néanmoins d'être monsieur Muscle pour postuler. Les employeurs préféreront à coup sûr un candidat ponctuel, courtois, qui présente bien et qui a le goût du relationnel. C'est un métier pour des jeunes qui aiment bouger et qui ont le sens des responsabilités. Attentif aux progrès techniques Le routier effectue également des formalités administratives de base et doit pouvoir maîtriser les nouvelles technologies, telles que le système de guidage par satellite. Enfin, des connaissances en mécanique peuvent se révéler très utiles, et la pratique d'une langue étrangère constitue un atout dans l'exercice du métier.

Diplômes requis Posséder le permis de conduire C ne suffit pas. Il est impératif d'avoir au moins une formation professionnelle minimale obligatoire (FIMO). Formation initiale minimale obligatoire (FIMO) : cette qualification accélérée est obligatoire pour la conduite de véhicule dont le PTAC dépasse 3,5 tonnes. Pas d'obligation de niveau ; il faut être titulaire du permis C (poids-lourds) ou E(C) (véhicule + remorque) et être âgé au minimum de 21 ans. Cette formation (durée 4 semaines = 156 heures) doit permettre au conducteur d'exercer son métier dans le respect de la sécurité et de la réglementation professionnelle en assurant un service de qualité. Elle s'effectue dans les centres de formation agrées par le préfet de région ; CAP conducteur routier marchandises ; Bac professionnel conducteur routier marchandises ; Titre professionnel de conducteur du transport routier de marchandises sur tous véhicules (CTRMV) délivré par le Ministère chargé de l'emploi ; Titre professionnel de conducteur du transport routier de marchandises sur porteur (CTRMP) délivré par le Ministère chargé de l'emploi. Titre professionnel de conducteur livreur sur véhicule utilitaire léger

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Activités : Le manutentionnaire/grutier est amené à réceptionner les déchets livrés sur le site. Une formation sera délivrée en interne par le responsable d’équipe. Le poste consiste aussi à apprendre les différents types de déchets, les trier avant transformation grâce aux moyens de production présents sur le site : presse à balle et presse cisaille.

Profil : tout profil Diplômes requis : Il n’existe pas de formation CACES Chariot élévateur catégorie 3 + CACES Pelle de manutention catégorie 2

Manutentionnaire / grutier

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Activités :

Trier et sélectionner les bois correspondants à l’utilisation demandée par le client. Repérer les défauts des placages et mettre en

valeur les bois pour obtenir un placage irréprochable au niveau technique et esthétique. Assembler les feuilles de placage selon un

motif défini avec le client et les ajuster à l’ouvrage final. Les assemblages se font manuellement ou sur une machine semi-

automatique.

Profil :

Bonne vision dans l’espace

Le préparateur doit pouvoir lire et décrypter des plans de fabrication et des plans d’ouvrage pour assortir les placages de manière

harmonieuse. Le préparateur doit pouvoir anticiper l’aspect visuel du panneau préparé dès la sélection des placages.

Autonomie et sens esthétique

Le préparateur doit faire preuve de synthèse et de discernement dans la mise en œuvre des placages pour pouvoir sélectionner les

placages. Il doit être capable de décider de l’aspect visuel d’un panneau en fonction des critères donnés par le client.

Patience et minutie

Le préparateur travaille sur un matériau fragile et onéreux, il doit donc pouvoir travailler calmement dans le respect de la matière.

Beaucoup d’assemblages requièrent de la précision et donc de la patience dans le travail.

Diplômes requis :

Niveau CAP + expérience professionnelle

Il n’existe pas aujourd’hui de formation préparant à ce métier. Néanmoins les diplômes de CAP/BEP en ébénisterie constituent une

bonne entrée en matière au travail du placage. On retrouve également de bonnes aptitudes chez les personnes issues d’une

formation ou d’une expérience en couture.

Préparateur de placage bois

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Activités :

Gérer la conduite d’une chaine de pressage pour assurer le collage des placages sur des panneaux. S’assurer de la propreté du poste

de travail. Régler les paramètres des machines pour assurer les meilleures conditions de collage (type de colle, grammage de colle,

température, pression, temps de pressage). Vérifier la qualité du collage et la netteté des panneaux après pressage. S’assurer de la

stabilisation des panneaux et du bon colisage.

Profil :

Précision :

Le conducteur doit effectuer des réglages de précision sur les différentes machines qui composent la ligne de pressage (brosseuse,

encolleuse, presse) pour que le panneau soit de bonne qualité. Il doit également veiller aux détails qui font un bon panneau

(épaisseur, propreté)

Autonomie :

Le conducteur est responsable de toute la production de sa ligne en fonction du planning de production donné par le chef d’atelier. Il

doit gérer la préparation des machines, l’approvisionnement de son poste de travail, la succession des commandes, l’évacuation des

panneaux pressés, le tout de manière autonome.

Diplômes requis :

Niveau CAP + expérience professionnelle

Il n’existe pas aujourd’hui de formation préparant à ce métier. Néanmoins les diplômes de CAP/BEP en ébénisterie constituent une

bonne entrée en matière à la mise en oeuvre du placage. On retrouve également de bonnes aptitudes chez les personnes issues

d’une expérience professionnelle incluant des lignes de production (agroalimentaire, plasturgie, etc.)

Conducteur de chaine de pressage

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Activités :

Transformer les panneaux d’ébénisterie en produits semi-finis ou finis. Réaliser l’usinage des panneaux à l’aide de machines

traditionnelles (scie, raboteuse, toupie) ou de machines numérisées (centre d’usinage à commande numérique, plaqueuse de

chants). Réaliser l’assemblage des panneaux suivant les demandes clients. Réaliser le ponçage des pièces assemblées ou usinées pour

préparer au vernissage.

Profil :

Savoir-faire :

Le Menuisier/Ebéniste maitrise la lecture des plans. Il doit avoir un œil artistique exercé pour s’assurer des qualités esthétiques des

produits qu’il fabrique. Il est également autonome dans la réalisation de pièces à partir d’un cahier des charges.

Polyvalence technique :

Le Menuisier/Ebéniste doit être capable de s’adapter à la demande du client pour proposer une méthode de fabrication compatible

avec le produit demandé. Les techniques de mise en œuvre peuvent être variées et peuvent inclure la programmation et l’usinage sur

des machines à commandes numériques.

Diplôme requis :

CAP Menuisier/Ebéniste + expérience professionnelle.

Menuisier / ébéniste

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Activités :

Traçage et taillage des pièces de bois À partir des plans fournis par l'architecte ou le dessinateur, le charpentier bois trace, en grandeur réelle, les formes de l'ouvrage avec les détails d'exécution. C'est l'épure. Ensuite, il choisit le bois, trace les repères sur le matériau, coupe et façonne les pièces à l'aide de machines à commande numérique (scie mécanique, raboteuse, toupie verticale...) et d'outils portatifs. Enfin, avec le reste de l'équipe, il procède à un essai d'assemblage des éléments pour vérifier l'ensemble et apporter des corrections. Montage, levage et pose de la charpente Une fois assuré de la solidité de son ouvrage, le charpentier bois organise le transfert de l'atelier au chantier. C'est là qu'il monte et assemble la structure, aidé par son équipe, en respectant les règles de sécurité. Il maîtrise l'utilisation d'outillages à main mais aussi d'engins de levage et de manutention. Production de différents accessoires bois Le charpentier bois ne fabrique pas que des charpentes. Il réalise aussi des accessoires (lucarnes, sous-pentes...) et participe à la construction d'ouvrages tout en bois : hangars agricoles, chalets, escaliers, bateaux...

Profil :

Maîtrise des volumes et de l'informatique Apte à lire et à exécuter des plans et croquis, le charpentier bois sait estimer les volumes et dimensions. Il maîtrise la géométrie et le dessin industriel, et manie la souris de l'ordinateur aussi bien que la scie. En effet, les calculs sont désormais informatisés et la CFAO (conception et fabrication assistées par ordinateur) est devenue incontournable. Cependant, la réalisation d'une charpente traditionnelle demande une certaine précision et minutie dans le taillage des différents éléments de la charpente. Connaissance des matériaux utilisés Le charpentier bois utilisant de plus en plus des composants industriels (« fermettes » assemblées par connecteurs métalliques, poutres composites ou éléments en lamellé-collé...), il doit parfaitement connaître les qualités de chaque matériau (résistance, dureté, technique de façonnage...). Il peut également se spécialiser dans la construction de maisons à ossature bois, dans la restauration de charpentes anciennes, et ainsi utiliser différentes techniques qui concourent à faire des professions de la charpente en bois de nouveaux métiers. 10 ans de pratique et de formation sont nécessaires pour être performant. Bonne résistance physique Jamais seul sur son chantier, le charpentier bois aime travailler en équipe et respecte scrupuleusement les règles de sécurité. Il a une bonne résistance physique, car il travaille à l'extérieur, souvent en hauteur, dans des positions parfois acrobatiques. Même si l'utilisation de machines et d'engins de levage pour la mise en place des structures en bois est de plus en plus fréquente, il peut être amené à porter des charges lourdes.

Diplômes requis :

Plusieurs diplômes, du CAP au bac + 3, existent pour devenir charpentier bois.À noter : les formations par compagnonnage sont également très développées.

Après la 3e

CAP charpentier bois CAP constructeur bois CAP charpentier de marine Niveau bac Bac pro technicien constructeur bois Bac pro interventions sur le patrimoine bâti Bac technoSTI2D spécialité architecture et construction BP charpentier BP charpentier de marine Obtention possible d'un BP ou BM en formation continue. Niveau bac + 2 BTS charpente-couverture BTS systèmes constructifs bois et habitat. Licence pro bâtiments bois basse consommation et passifs Formations régulières au sein des entreprises sur les différents aspects du métier : technique ou règlementaire

Charpentier

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Activités :

Gérer les approvisionnements

C'est généralement le manager boucher qui achète lui-même la viande qu'il va vendre. Il s'approvisionne auprès de la centrale

d’achat et quelques fournisseurs directs. Il fixe son choix sur les morceaux qui l'intéressent.

Un artisan de la découpe

Une fois à l'atelier de découpe (appelé laboratoire) de la boucherie, il désosse les morceaux de viande, les découpe en pièces ou en

quartiers, les dénerve... à l'aide d'outils à main (couteaux, scies, couperets, hachoirs...) ou de machines à scier ou à trancher.

Valoriser le produit vendu

Commerçant de détail, le boucher est en contact direct avec le consommateur. Il lui apporte des informations sur la provenance de la

viande, des conseils pour choisir un morceau, le cuisiner et le présenter dans les règles de l'art.

S'adapter aux envies du client

Le métier de boucher a évolué avec le développement de produits prêts à être consommés. La réalisation de plats élaborés, de

spécialités bouchères (paupiettes, plats cuisinés, volailles farcies...) fait désormais partie du travail quotidien de cet artisan.

Profil :

Rigoureux sur la propreté

Parce qu'il manipule des denrées crues, le boucher doit toujours se montrer très exigeant sur l'hygiène et la propreté de son lieu de

travail, mais aussi des divers équipements qu'il utilise.

Habile et résistant

L'adresse manuelle se révèle indispensable pour effectuer des découpages minutieux et apprendre un savoir-faire artisanal. Le travail

étant essentiellement effectué debout, une certaine résistance physique est également nécessaire.

Professionnel et convivial

Un bon boucher doit avoir le sens du contact et aimer les échanges avec une clientèle variée. Lorsqu'il gère son propre commerce, il

doit en outre posséder des compétences en gestion et en comptabilité.

Diplômes requis :

Après la 3

e

CAP boucher MC employé traiteur Niveau bac Bac pro boucher-charcutier-traiteur BP boucher

Boucher

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Activités : La main à la pâte

La dégustation d'une bonne baguette tradition, par exemple, commence par la préparation de la pâte à pain (farine, eau, levure, sel)

et de son pétrissage (dans un pétrin mécanique). Une fois pétrie, la pâte est placée dans une chambre de fermentation, puis

façonnée en pâtons (pains, baguettes, flûtes et boules), avant d'être cuite.

Artisan mais aussi gestionnaire

Le manager s'occupe aussi du suivi des ventes, des commandes auprès des fournisseurs, de l'encadrement des personnels de vente et

de fabrication...

Profil :

Le cœur à l'ouvrage

Impossible d'exercer ce métier sans motivation. Il faut posséder une sensibilité culinaire et avoir envie de partager son savoir-faire

avec ses clients. Pour fabriquer un pain de qualité, le boulanger doit être habile de ses mains et rigoureux, respectueux des recettes

et des temps de pétrissage, de fermentation et de cuisson du pain. Sur le plan physique, une bonne résistance à la fatigue est

nécessaire, car les journées d'un ouvrier boulanger commencent très tôt le matin et sont bien remplies !

Des talents de vendeur

S'il est un artisan, le boulanger est aussi un chef d'entreprise. Celui qui possède sa propre boulangerie doit non seulement maîtriser

les techniques de gestion et de comptabilité d'une petite entreprise, mais également être à l'écoute de ses clients pour leur proposer

des produits répondant à leurs attentes ou les attirant par leur nouveauté. Enfin, l'amabilité et le sens du service sont des qualités

indispensables pour fidéliser une clientèle.

Diplômes requis :

Le CAP boulanger est le diplôme de référence dans la profession, mais il n'est pas le seul. Il existe aussi d'autres diplômes pour se perfectionner et pour pouvoir prétendre à la création ou à la reprise d'une entreprise. Après la 3

e

CAP boulanger Niveau bac Bac pro boulanger-pâtissier BP boulanger

Boulanger

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Activités :

Du sucré au salé

Pièce montée pour le mariage, petits-fours pour un cocktail, bûche de Noël... Les pâtisseries accompagnent tous les moments de la

vie ! Spécialiste des recettes sucrées, le pâtissier confectionne tartes, entremets, mille-feuilles et autres religieuses. Il réalise

également des viennoiseries (brioches, croissants) et parfois des glaces, des chocolats et des confiseries. Il étend même quelquefois

son art culinaire aux produits salés (quiches, pizzas...).

Créateur de l'éphémère

Attentif à la qualité des produits qu'il offre à sa clientèle, le pâtissier est aussi un artiste, capable de créer de nouveaux desserts.

Fleurs en sucre, rubans de chocolat ou de nougatine... La décoration des desserts doit flatter l'oeil du gourmet avant d'émoustiller

son palais.

Différentes spécialisations

En fonction de ses motivations, le pâtissier peut se spécialiser dans une famille de produits (chocolaterie, confiserie, recettes du

terroir...) ou devenir traiteur en réalisant des commandes spécifiques pour des cocktails et des buffets.

Profil :

Entre rigueur et minutie

Adresse dans l'exécution des gestes, rigueur dans le suivi des recettes, minutie dans les dosages : sans ces qualités, pas de crèmes ni

de pâtes réussies ! Mais un bon pâtissier a aussi un goût développé. Il sait apprécier les parfums et les textures, bref, toutes les

saveurs de la gastronomie sucrée. Véritable esthète, il ajoute à ses talents un esprit créatif pour décorer ses desserts.

Résistant et organisé

Physiquement, le métier est exigeant. Mieux vaut avoir une bonne résistance à la fatigue pour se lever tôt et travailler debout,

derrière les fourneaux. Le rythme de travail peut s'accélérer à certains moments de la journée. Être rapide et savoir gérer son temps

pour suivre plusieurs préparations en même temps est alors indispensable.

Diplômes requis :

Le CAP pâtissier et le bac pro boulanger-pâtissier permettent d'accéder au métier de pâtissier. Une formation en apprentissage demeure très appréciée des employeurs. À l'issue du CAP, on peut élargir ses compétences en préparant un second CAP (boulanger ou glacier fabricant). On peut aussi poursuivre en BTM ou préparer une mention complémentaire (MC). Après la 3

e

CAP pâtissier Niveau bac Bac pro boulanger-pâtissier BTM pâtissier-confiseur-glacier-traiteur Niveau bac + 2 BM pâtissier-confiseur-glacier-traiteur

Pâtissier

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Activités :

Préparer les conditions de vente Le vendeur dispose avec soin les produits dans les rayons ou la vitrine. Il fait particulièrement attention à l'étiquetage afin que tous les prix soient clairement affichés. Il vérifie qu'aucun article ne manque et que toutes les tailles, pour un magasin de vêtements par exemple, sont disponibles. Il lui arrive aussi de proposer des animations autour d'un thème. Conseiller le client Un client indécis sur le choix d'un vêtement, une question liée à l'entretien d'un appareil... le vendeur est là pour fournir des informations pratiques. Pour les matériels high-tech (ordinateurs, lecteurs de DVD, appareils photo numériques, etc.), il n'hésite pas à faire la démonstration du produit devant le client. Être polyvalent si besoin Dans les petites structures, le vendeur peut remplir plusieurs fonctions : réaliser l'inventaire des stocks, passer les commandes de réapprovisionnement (quantités, délais, coût...). Il peut encore encaisser les règlements et comptabiliser la recette à la fin de la journée.

Profil :

Sourire et tenue soignée Le sourire aux lèvres, le vendeur arbore une tenue impeccable et sait garder son sang-froid en toutes circonstances. Il a l'oeil exercé pour repérer ce qui ne va pas : article déplacé, emballage ouvert, vêtement taché... et ce qui est susceptible de gêner la circulation des clients dans le magasin, ou de ne pas les inciter à acheter. Sens du service Écoute, disponibilité, amabilité : les qualités humaines valent autant que les diplômes ou les connaissances techniques dans ce métier où le relationnel joue un rôle capital. Pour réussir une vente, il faut d'abord inspirer confiance au client. Une bonne expression orale est un atout non négligeable. La connaissance d'une langue étrangère est aussi un avantage, surtout pour des produits susceptibles d'intéresser les touristes. Connaissance des produits Spécialisé sur un rayon ou un secteur (alimentation, électroménager, cosmétiques...), le vendeur connaît toutes les caractéristiques des produits qu'il vend. Il se tient en permanence informé sur les nouveautés.

Diplômes requis :

Le CAP offre des débouchés immédiats. Pour trouver un emploi stable, il est recommandé de continuer au moins jusqu'au bac pro. Quant au BTS, il permet d'évoluer plus vite vers des fonctions d'encadrement. Niveau CAP CAP employé de commerce multispécialités ; employé de vente spécialisé option produits alimentaires ou option produits d'équipement courant MC vendeur spécialisé en alimentation Niveau bac Bac pro commerce ; technicien conseil vente de produits de jardin ; technicien conseil vente en alimentation option produits alimentaires ; technicien conseil vente en alimentation option vins et spiritueux ; technicien conseil vente en animalerie BT métiers de la musique FCIL conseiller commercial en automobile (niveau IV) Titre de vendeur-conseil en unité commerciale Titre de vendeur de l'électrodomestique et du multimédia Niveau bac + 2 BTS management des unités commerciales (MUC) ; négociation et relation client DUT techniques de commercialisation

Vendeur en magasin

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Ses Activités :

Apporter des solutions Simple et pratique:

L'intervenant FARH® applique la méthode FARH®, qui apporte l’essentiel de la gestion pour le pilotage de l'entreprise. Il permet au

chef d'entreprise d'analyser en continu ses résultats tout en impliquant directement ses collaborateurs dans les objectifs à atteindre.

Avec cette méthode et l’outil de FARH Management, le GPE (Gestion de Pilotage d’Entreprise), pour le chef d'entreprise gérer et

piloter son entreprise devient un jeu d’enfant et lui permet de :

Gagner du temps lors des chiffrages grâce à une meilleure connaissance de ses marges de gestion,

Augmenter sa productivité,

Faciliter la communication avec ses équipes,

Suivre précisément son activité,

Anticiper ses besoins de trésorerie.

Poser un diagnostic:

L'intervenant FARH® en conduite de changement diagnostique les insuffisances d'organisation au sein d'une entreprise. En fonction

de la demande qui lui a été faite, il préconise les améliorations à apporter.

Pour ce faire, il étudie d'abord la structure de l'entreprise, afin d'en comprendre l'organisation et de déterminer les compétences du

personnel. Un processus de production, d'archivage, ou un système d'information par exemple, peuvent faire l'objet d'une étude

systématique pour évaluer leur efficacité et identifier les problèmes potentiels. L'intervenant FARH® relève les points faibles, les

goulets d'étranglement et les procédures inadéquates, puis mesure l'impact des évolutions potentielles du système sur l'organisation

et le travail des employés.

Accompagner le changement:

Lorsque l'organisation est démontrée insatisfaisante, à lui de faire des propositions d'évolution, des systèmes utilisés aussi bien que

des procédures et des méthodes de travail. Il définit les mesures à prendre en termes d'organisation du travail, de management, de

communication, de recrutement, de formation ou de mobilité, et propose un plan d'accompagnement.

Son objectif est d'obtenir une adéquation maximale entre les compétences humaines et les systèmes mis en place dans l'entreprise.

Le Profil : Avoir des connaissances pointues:

Quelle que soit l'entreprise, l'intervenant FARH® en conduite de changement met à profit ses connaissances pour mieux comprendre

les tenants et les aboutissants de tous les processus. Sa maîtrise de la réglementation est également précieuse. Il doit aussi connaître

les procédures d'assurance qualité, de prévention des différents risques et de gestion du traitement des déchets.

Des qualités humaines:

La diplomatie, la capacité à négocier et la pédagogie sont des atouts nécessaires. Sur le terrain, il doit savoir écouter et se montrer

persévérant, notamment lorsqu'il rencontre des résistances au changement. Le métier nécessite une importante ouverture d'esprit,

de grandes facultés d'écoute et de communication, et de la méthode.

Et savoir mener un projet de A à Z:

Il doit savoir coordonner et planifier des activités, gérer la mise en œuvre d'un plan de validation, contrôler des protocoles et des

rapports, vérifier la qualification des équipements et des personnes, rédiger un document de spécifications, voire un support de

formation.

Intervenant en organisation et management par projet

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Diplômes requis :

Le niveau de formation se situe à bac + 5 ou d'une expérience significatif en direction ou accompagnement d'entreprise.

Quelques exemples de diplômes pertinents :

Diplôme Magister Conseil-expert à la petite entreprise Diplôme Bachelor Conseiller à la petite entreprise et à l'artisanat Des formations ou expérience intra-entreprise d'expert en management par projets Niveau bac + 5 Diplôme d'ingénieur en organisation et management par projet...

Diplôme d'école supérieure de commerce ....

Master en Sciences de gestion, Management spécialisé conseil et conduite du changement.

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Ses Activités :

Analyser les besoins:

Lors de la phase de conception, le développeur informatique analyse le projet qui lui est confié, en fonction des besoins des

utilisateurs, consignés dans un cahier des charges. Il étudie les étapes de fonctionnement du programme, puis détermine une

solution technique avant de créer un prototype de la future application.

Écrire un programme informatique:

Ce spécialiste du développement peut se charger de l'écriture d'une ou plusieurs parties d'un programme, voire le concevoir dans sa

totalité. Il détaille les lignes de code informatique, c'est-à-dire les ordres que va comprendre l'ordinateur. De plus en plus, il a recours

à des logiciels standards prêts à être utilisés (progiciels), qui lui font gagner un temps considérable. Ensuite, il participe aux phases

d'essai, essentielles pour tester les applications.

Apporter un soutien technique:

Il réalise les notices techniques d'installation, ainsi que les guides pour les utilisateurs. Il est parfois amené à leur apporter un soutien

technique ou à les former à l'application. En l'absence de technicien de maintenance en informatique, il peut assurer lui-même le

suivi de son produit. Par exemple, lorsqu'il construit un programme spécifique pour une demande précise, il pourra le mettre à jour

afin de le faire évoluer.

Le Profil :

Des connaissances sans cesse à jour:

Si les outils du développeur s'améliorent considérablement, ils deviennent aussi de plus en plus complexes. D'où la nécessité de se

tenir à jour en matière de méthodes, de normes, de procédures de sécurité et d'outils de développement. Il faut aussi être à l'aise

avec les langages de programmation (Java, J2EE, .Net, PHP, C++...) et le triplet HTML/CSS/Javascript utilisé par les services web ou les

serveurs d'application. Dans le multimédia, des compétences spécifiques sont requises. Bien connaître l'anglais est indispensable, de

nombreux programmes utilisant cette langue.

Rigueur et autonomie:

Doté de qualités relationnelles, le développeur informatique doit bien connaître les clients pour lesquels il travaille et prendre leurs

remarques en considération. Disponible, il s'adapte rapidement à des situations nouvelles. Rigoureux et méthodique, il manifeste des

qualités de concentration et d'imagination pour adapter au mieux ses programmes... Enfin, il sait concevoir des documentations

claires pour les utilisateurs.

Diplômes requis :

Pour devenir développeur informatique, les diplômes vont du bac + 2 (pour les techniciens) au bac + 5 (pour les ingénieurs). Niveau bac + 2 BTS services informatiques aux organisations (option SLAM), DUT informatique Niveau bac + 3 Licence pro en programmation, spécialité développement et administration de systèmes d'information, ou en développement web Niveau bac + 5 Master spécialité modélisation, optimisation et conception des systèmes Diplôme d'ingénieur ou d'école spécialisée en informatique avec une filière en programmation

Développeur informatique

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Activités : Fabriquer des aliments Pétrir une pâte, cuire un jambon, fabriquer une sauce, découper des légumes, CUIRE DES PRODUITS DE LA MER, ASSEMBLER DES MATIERES PREMIERES PREPAREES... sur une ligne de production d'aliments en série, l'opérateur assure une ou plusieurs de ces tâches. Il travaille manuellement ou en s'aidant de machines automatisées : broyeur, mélangeur, four... Vérifier chaque étape Il surveille le déroulement des opérations et la stabilité des différents indicateurs (température, pression, TEMPS...) ainsi que le contrôle de l'hygiène et de la qualité du produit alimentaire. À tous les stades, il vérifie l'aspect des matières premières, les dosages, la dimension, la couleur ou la conformité du conditionnement. L'objectif est que chaque produit ne présente aucun défaut, ni visuel, ni gustatif. Assurer la maintenance L'opérateur prépare et règle les installations. Il veille à leur approvisionnement en matières premières, en suivant les consignes de fabrication et le cahier des charges du produit. Afin de garantir des normes d'hygiène très strictes, il nettoie et désinfecte les installations. À lui d'enregistrer les données relatives au suivi de fabrication sur des fiches de contrôle : densité des pâtes, cuisson, quantité des produits traités, LA TEMPERATURE, LE PH...

IL EST AUSSI NECESSAIRE D'ETRE POLYVALENT, DE SAVOIR OCCUPER PLUSIEURS POSTES DANS L'ENTREPRISE.

Profil :

Habile et vigilant

Qu'il découpe des légumes ou surveille la cuisson d'une pâte, l'opérateur connaît les produits et leurs modes de fabrication et de

conditionnement. Une partie de la production dépendant de son travail, il doit être habile, précis et vigilant.

Rigoureux et adaptable

Il suit scrupuleusement les recettes, les temps de préparation, la fréquence des contrôles-qualité du produit et les normes d'hygiène.

De bonnes capacités d'adaptation permettent au professionnel de changer de poste ou de fabriquer de nouveaux produits si

l'entreprise crée des recettes.

Résistant physiquement

L'esprit d'équipe est apprécié dans ce métier, ainsi qu'une bonne résistance physique pour assurer la continuité de la production. En

travail dit « posté », ce professionnel peut travailler selon des horaires décalés : de 5 h à 13 h, de 13 h à 21 h ou la nuit. On parle alors

d'organisation en « trois huit » pour ces 3 plages horaires de 8 heures consécutives, effectuées par roulement d'une semaine à

l'autre.

Diplômes requis :

Après la 3

e

CAP boucher ; charcutier-traiteur ; chocolatier-confiseur ; poissonnier ; glacier fabricant ; pâtissier ; conduite de systèmes industriels, option agroalimentaire CAPA industrie agroalimentaire, spécialité ouvrier polyvalent du travail industriel des viandes ; ouvrier polyvalent de fabrication de produits alimentaires Niveau bac Bac pro boucher-charcutier-traiteur ; boulanger-pâtissier ; industries de procédés ; bio-industries de transformation BP industries alimentaires

Opérateur agro-alimentaire

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Activités :

Fidéliser ses anciens clients...

Véritable force de vente de l'entreprise, le responsable de zone ou de grands comptes poursuit un seul objectif : faire progresser le

chiffre d'affaires. Pour cela, il entretient des relations technico-commerciales régulières avec ses clients. Il vérifie leur taux de

satisfaction et se renseigne sur leurs besoins. Sur cette base, il adapte les prestations fournies et leur propose des produits ou des

services plus adaptés.

... et en séduire de nouveaux

Le développement d'une société passe aussi par la signature de nouveaux contrats. C'est la seconde mission du responsable de zone

ou de grands comptes: prospecter les clients potentiels. Après avoir constitué un fichier de personnes susceptibles de devenir de

futurs clients, il les contacte afin de prendre rendez-vous. À lui, ensuite, de présenter les produits de son entreprise et d'en faire

valoir les points forts (service après-vente, par exemple), puis d'établir la proposition la plus alléchante.

Être à l'écoute

Vendeur dans l'âme, il doit aussi jouer un rôle de conseil. C'est en cernant les besoins et les attentes de ses interlocuteurs et en y

répondant qu'il « gonfle » son carnet de commandes. En collaboration avec le service Recherche et développement, il propose les

meilleures solutions aux prospects et clients.

Profil :

Défendre une image de marque

Le métier de responsable de zone ou de grands comptes exige de nombreuses qualités. Pour représenter une société, il faut une

présentation soignée, un sens du relationnel développé et une excellente expression orale. Il faut également savoir argumenter, en

faisant preuve d'écoute et de diplomatie, pour convaincre ses interlocuteurs. Le dynamisme et la force de persuasion font la

différence. De plus, il doit être capable de communiquer dans la langue de son client ou prospect. Les responsables de zones ou de

grands comptes pratiquent au minimum deux langues étrangères.

Endurant et expert

Endurant physiquement, le responsable de zone ou de grands comptes résiste au stress, aux rendez-vous à la chaîne et aux

kilomètres en voiture ! Il est aussi capable de présenter un produit sous tous ses angles, y compris techniques. Son pouvoir de

persuasion sera d'autant plus performant qu'il maîtrise parfaitement le matériel ou le service qu'il vend.

Suivre l'évolution des produits

Il se forme continuellement pour acquérir de nouvelles connaissances et suivre l'évolution des produits qu'il vend.

Enfin, ce commercial ne peut toucher au but sans un sérieux sens de l'organisation et une rigueur infaillible, doublés d'une grande

capacité d'initiative et d'un goût pour l'autonomie. Et de son honnêteté dépendra sa crédibilité...

Diplômes requis :

Actuellement, le recrutement concerne surtout des diplômés de niveau bac + 4/5. Mais des débouchés existent aussi à partir du bac pro... jusqu'au niveau bac + 5. Niveau bac Bac pro vente (prospection, négociation, suivi de clientèle). Niveau bac + 1 Diplôme de technicien des écoles dépendant des chambres de commerce et d'industrie (CCI). Niveau bac + 2 BTS négociation et relation client ; technico-commercial ; management des unités commerciales (MUC) ; DUT techniques de commercialisation. Niveau bac + 3 Diplôme de cycle supérieur des écoles dépendant des chambres de commerce et d'industrie (CCI) ; Licence pro dans les domaines du commerce et de la vente ; Diplôme d'école consulaire dépendant des chambres de commerce et d'industrie (CCI) ; Diplôme d'école de gestion et de commerce (EGC) ; Diplôme des académies commerciales internationales (ACI).

Commercial

21

Niveau bac + 4 et bac + 5 Diplôme des écoles de commerce et de gestion ; Master pro des secteurs du commerce et de la vente.

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Activités : Développer l'innovation Garantir la veille technologique Rechercher les applications de nouveaux matériaux en tenant compte des limites de l'outil industriel Simuler ces applications, les tester, analyser leurs contraintes techniques et leurs résultats Rechercher de nouveaux partenaires Contribuer à définir l'architecture d'une nouvelle ligne de fabrication ou la modification de l'organisation d'une usine Animer, coordonner et valider le développement d'un nouveau produit Participer aux différentes phases : conception du projet, élaboration du devis, lancement des essais, amélioration, conseils pour l'industrialisation, etc. Etudier la conception de l'ensemble à partir des esquisses et documents du marketing, du design Analyser les possibilités et contraintes techniques, réglementaires et normatives (normes européennes…) Superviser l'activité des dessinateurs projeteurs Valider le cahier des charges du produit Définir avec la production les solutions techniques nécessaires à la fabrication du produit en série au moindre coût : procédés techniques, compétences et temps d'exécution, capacités machines, essais, logistique, etc. Vérifier la faisabilité des pièces sur les équipements ou avec les partenaires de l'entreprise Proposer des améliorations pour gagner en délais et coûts Vérifier et valider la fiabilité et la qualité du prototype Transmettre le dossier au responsable de l'atelier et suivre le lancement de la pré-série Autonomie et responsabilité Ce poste dépend du responsable du bureau d'études ou directement du chef d'entreprise. Selon l'organisation et la taille de l'entreprise, il ou elle peut encadrer une équipe de chefs de projet et de techniciens. Autonome dans l'organisation de son travail, il ou elle est responsable des résultats des projets concrétisés. Moyens et ressources Equipements informatiques et de communication pour la conception et l'échange d'information nécessaires au travail en simultané sur un même dossier. Gestion d'une documentation spécialisée Relations internes et externes Travail d'équipe avec le marketing, la direction, le bureau d'études, les achats et la production afin d'intégrer les contraintes industrielles et commerciales. Relations internes avec le marketing, les achats, les études et la production pour la faisabilité. Relations externes avec les fournisseurs pour la sous-traitance ou certains achats et les organisations professionnelles pour la recherche. Environnement de travail Il ou elle travaille en bureau et anime beaucoup de réunions. Il ou elle se déplace fréquemment pour découvrir des matériaux, de nouvelles technologies ou de nouveaux partenaires.

Profil Compétences spécifiques Avoir des connaissances approfondies sur les matériaux et la fabrication des meubles Concevoir et piloter un projet technique d'innovation Maîtriser les process et équipements de fabrication Evaluer les coûts, la qualité et les délais Connaître la réglementation et ses sources Assurer une veille technologique et réglementaire Manager et motiver une équipe Résoudre rapidement les problèmes éventuels, les anticiper Gérer un budget Maîtriser les logiciels de DAO et de CAO Compétences transversales

Recherche et développement

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Etre inventif et curieux Recueillir, synthétiser et transmettre de nombreuses informations Etre diplomate et communiquer avec des interlocuteurs variés Etre polyvalent dans les différentes dimensions de son activité Etre autonome dans son travail Travailler avec rigueur et précision Travailler en équipe Savoir prendre des décisions dans l'urgence Maîtriser une ou plusieurs langues étrangères

Diplômes requis : Formation initiale Les écoles d'ingénieurs restent la voie classique de formation mais les diplômes universitaires de niveau I (Master, diplôme d'ingénieur) permettent également d'accéder à ce poste. Formation continue Selon la formation initiale, des modules de formation continue permettent d'évoluer dans ce métier : management ou gestion de projet, compléments techniques, etc. Pré-requis Une expérience de plusieurs années dans différents services techniques est nécessaire pour acquérir une connaissance approfondie des méthodes de travail et de l'environnement industriel. Passerelles Evolutions possibles vers : un poste d'encadrement d'équipe puis de chef de service, voire responsable de département dans un groupe industriel un poste de direction dans une petite ou moyenne industrie, avec de l'expérience, un poste technique de production ou technico-commercial. vers des métiers de création (design) ou d'architecture (selon sa formation) Evolution possible vers un poste du même type dans d'autres industries de l'ameublement ou vers un travail dans un atelier artisanal.

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Activités : Gérer un ensemble de machines

Le conducteur est responsable d'une ligne de fabrication composée de machines automatisées. Il en assure le bon fonctionnement et

coordonne l'activité des opérateurs chargés d'une tâche spécifique.

Programmer la fabrication

Sur la base des consignes de production (quantités, cadences, normes de qualité...), il rentre toutes les données nécessaires à la

fabrication (température, débit...) dans le programme informatique. Il effectue les réglages, contrôle l'approvisionnement en

matières premières et surveille le déroulement des opérations sur écran et à l'aide de compteurs.

Vérifier chaque étape

En début de chaîne, il vérifie l'aspect des ingrédients de base. En bout de chaîne, il contrôle la qualité du produit fini (qui doit être

irréprochable) en réalisant des tests d'hygiène. Chaque étape est exécutée sans erreur et dans les temps.

Assurer la maintenance

Profil: Dernière mission du conducteur de ligne : la maintenance des équipements. Régulièrement, il entretient et révise les machines, les

répare (en cas de panne simple) ou fait appel à des spécialistes.

Maîtrise du process industriel

Le conducteur doit maîtriser toutes les étapes d'un process industriel : techniques de mise en oeuvre, matières premières, produits...

Ce suivi en continu lui demande une grande attention.

Respect des normes

Ce professionnel connaît et respecte scrupuleusement les normes d'hygiène et de qualité. En effet, le respect de la sécurité des biens

et des personnes fait maintenant partie intégrante de la fabrication d'un produit.

Vigilance et réactivité

Le conducteur doit faire preuve de vigilance, de rigueur et de réactivité pour suivre les cadences des machines, en temps réel, et

réagir très rapidement en cas de problème (réglage ou panne, par exemple).

Diplômes requis :

Niveau bac Bac pro pilotage des systèmes de production automatisée Bac pro bio-industries de transformation Niveau bac + 2 BTSA sciences et technologies DUT génie du conditionnement et de l'emballage

Conducteur de ligne

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Activités :

Étudier le plan

Du chauffe-eau à la centrale nucléaire, le soudage permet d'assembler les pièces métalliques d'objets de toute taille et de toute

nature.

Le travail de soudage démarre par l'étude du plan d'ensemble du produit à réaliser, pour repérer la position relative des différentes

parties.

Choisir le procédé

À partir des documents techniques, le soudeur choisit le procédé qu'il va utiliser (soudage à l'arc électrique, soudage semi-

automatique...). Dans les grandes entreprises touchant à des réalisations sensibles, comme l'aviation ou le nucléaire, le procédé est

quelquefois imposé par le bureau d'études. La prévision des déformations du métal qui peuvent survenir fait aussi partie du travail.

Régler les machines et contrôler la qualité

Le soudeur prépare le poste de travail : installation et réglage des matériels, mise en place des équipements de protection (gants,

masque à verre filtrant...). Arrive alors la phase d'exécution avec les opérations de soudage proprement dites. Dernière étape :

contrôler la qualité du travail effectué.

Profil

Précis et organisé

Le travail de soudure demande de la précision et le sens de l'organisation. Il faut aussi être capable d'imaginer les futures formes.

Avec, à la clé, le plaisir de créer un nouvel objet.

Connaître les métaux...

Le soudeur doit également savoir lire des documents techniques, découper des pièces métalliques et leur donner forme. Des

compétences en travail des métaux (proches de celles du chaudronnier) sont donc souhaitables.

... et les machines complexes

Par ailleurs, la robotisation et l'automatisation gagnent du terrain, notamment dans la production en grande série. Le soudeur doit

donc être capable d'utiliser des machines complexes telles que les cellules robotisées de soudage à l'arc ou les machines à souder par

faisceau d'électrons...

Diplômes requis

Avec l'évolution des techniques, en plus des diplômes, le soudeur doit posséder un certificat (ou un agrément) à renouveler tous les ans. La soudure est en général une qualification acquise après une formation centrée sur le travail des métaux (chaudronnerie, structures métalliques...). L'Institut de soudure dispose en France de 12 centres de formation professionnelle. On peut citer aussi la formation de soudeur plongeur pour la recherche pétrolière à l'Institut national de la plongée professionnelle. Niveau CAP CAP serrurier métallier ; réalisation en chaudronnerie industrielle. Niveau bac Bacs pro ; technicien outilleur ; technicien en chaudronnerie industrielle ; Bac techno STI2D (développement durable) ; Mention complémentaire (MC) soudage.

Soudeur

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Le pliage est une opération de conformation à froid qui consiste à déformer une tôle plane en changeant la direction de ses fibres de

façon brusque suivant un angle.

Ci-dessous, un poinçon applique une force F sur une tôle qui va s’enfoncer dans une matrice appelé Vé.

Il existe plusieurs techniques pour plier une pièce : pliage en l’air dans une presse-plieuse, pliage en frappe, pliage sur plieuse à

sommier ou universelle…

Profil

Précis et organisé

Le travail de pliage demande de la précision et du sens de l'organisation. Il faut aussi être capable d'imaginer les futures formes. Avec,

à la clé, le plaisir de créer un nouvel objet.

Pliage

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Connaître les métaux...

Le plieur doit également savoir lire des documents techniques. Des compétences en travail des métaux sont donc souhaitables.

... et les presses plieuses, opération à commande numérique

Surtout, le plieur travaille avec son outil de production : la presse plieuse.

Le plieur doit tout d’abord respecter scrupuleusement des règles de sécurité d’une très grande importance.

En effet, ce dernier va réaliser un programme informatique sur la commande numérique, auquel seront associés des outils à installer

sur la machine.

Lorsque ce programme sera lancé, la presse plieuse va se déplacer et se régler suivant les informations définies par l’opérateur.

Alors, le plieur pourra commander la descente de la presse qui pourra alors réaliser le pliage.

Ces différentes commandes pourront également se dérouler successivement afin de réaliser l’ensemble des plis nécessaires à

l’obtention de la pièce finale, fidèle au plan de production.

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Activités : Garantir le ramassage et la distribution quotidienne de notre linge auprès de nos clients

Profil : Nous avons des agents de service en charge d’approvisionner le linge avec nos camions et d’assurer le contact quotidien avec nos

clients. Un Responsable de distribution et son adjoint qui organisent et gère le service dans le souci d’optimisation de nos coûts de

transport.

Diplômes requis : L’agent de service peut être diplômé du CAP Conducteur routier ou autre titre du transport. Il doit avoir ses permis D et être validé à

la conduite FIMO/FCO

Distribution

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Activités : Réaliser le tri, nettoyage des articles textiles (VT, LP, Nappage) et la préparation pour la livraison quotidienne

Profil : Nous avons des agents de production, des conducteurs de tunnel, des coordinatrices de ligne, des responsables de secteur, une

responsable de production

Diplômes requis : Nous formons nos agents de production, ensuite le management de secteur va être recruté selon son expérience jusqu’au bac+2 et

jusqu’au titre d’ingénieur pour le responsable de production.

Production

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Activités Assurer la relation client au quotidien, répondre à l’ensemble de ses demandes et l’accompagner durant la totalité du contrat.

Profil Nous avons des équipes sédentaires (assistantes) et des équipes en contact direct avec le client (chargé de fidélisation)

Diplômes requis : Bac + 2 en commerce et assistante commerciale

Service clients

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Activités :

Le conducteur d’engins est un spécialiste qui maîtrise la conduite de puissants engins (dumper, pelle hydraulique, chargeuse…) pour

réaliser des travaux liés à l’extraction, au chargement ou au transport des matériaux de carrière.

Il s’occupe également de l’entretien préventif de son engin : surveillance du niveau des différents fluides utilisés, vérification de l’état

des pièces d’usure (freins, embrayage…). Il doit être capable de déceler et d’identifier les anomalies de fonctionnement, c’est alors au

mécanicien d’engins d’intervenir.

Diplômes requis :

CAP conduite d’engins de travaux publics

BP conducteur d’engins de chantier de travaux publics

CQP conducteur d’engins de carrières

Conducteur d’engins

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Activités :

Le mineur boutefeu réalise les travaux d’abattage de roches par l’emploi d’explosifs en respectant et en faisant respecter de façon

rigoureuse les règles de sécurité.

C’est le spécialiste du tir de mine. Celui qui manipule les explosifs et déclenche les explosions pour fragmenter des milliers de tonnes

de roche. Il commence par consulter le plan de tir afin de connaître la nature et les quantités d’explosifs nécessaires, les modes

d’amorçage…

Il effectue ensuite le chargement des trous de mine que le foreur avant lui a réalisés, puis relie les artifices entre eux pour créer une

chaîne pyrotechnique. Enfin, il met en place la procédure de tir. Après avoir vérifié que personne ne se trouve sur la zone de tir,

l’explosion peut avoir lieu.

Sa règle d’or : la sécurité. Il doit de façon stricte appliquer et faire appliquer les consignes de sécurité. Cela nécessite de la minutie, de

l’attention et beaucoup de rigueur.

Diplômes requis :

Certificats de préposé aux tirs

Mineur - boutefeu

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Activités :

Le mécanicien d’engins de chantier entretient et répare les dumpers, les pelles hydrauliques, les chargeuses…

Un dumper ou une pelle hydraulique tombe en panne. C’est au mécanicien d’engins d’effectuer la réparation le plus rapidement

possible. Il s’agit de matériaux onéreux et leur immobilisation doit être de courte durée. A lui de localiser la panne, d’effectuer la

réparation. Outre le dépannage, la maintenance préventive est de son ressort. Il doit détecter l’usure des pièces, vidanger le moteur,

contrôler le niveau des batteries, vérifier le circuit hydraulique… Des tâches réalisées souvent en pleine autonomie. Le technologies

des moteurs et des transmissions n’a pas de secret pour lui.

Diplômes requis :

CAP mécanicien d’engins de chantier de travaux publics

BEP agent de maintenance de matériels

BAC PRO maintenance des matériels, option travaux publics

Mécanicien d’engins de chantier

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Activités :

Le technicien de laboratoire contrôle la conformité des produits aux différents stades de leur fabrication dans le cadre des

procédures et des normes qualité.

Les granulats doivent posséder des caractéristiques bien précises (propreté, dimension, teneur en eau…) selon l’usage qui en est fait.

Ainsi, les propriétés des granulats seront différents selon qu’ils servent à réaliser une route, à fabriquer du béton ou à construire un

tronçon de voie ferrée pour la SNCF. C’est au technicien de laboratoire de contrôler si les granulats sont bien conformes aux normes

techniques requises en effectuant des tests et des essais. S’il constate une anomalie, il avertit immédiatement le service de la

production qui opérera les réglages nécessaires se l’installation.

Diplômes requis :

CQP technicien de laboratoire

Technicien de laboratoire en carrières

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Activités de base Déterminer les zones d'exploitation ou d'extraction et planifier les interventions selon des données techniques, réglementaires et économiques Organiser l'approvisionnement et le stockage du matériel, des engins et sécuriser le chantier Concevoir les voies et infrastructures de circulation du site d'exploitation et de ses abords Concevoir et établir le plan de tir de mines selon les analyses géologiques, le volume à extraire, ... Diriger des opérations de forage (foration, tubage, cimentation, ...) Suivre l'évolution du gisement et ajuster les paramètres d'exploitation selon la nature des roches et l'impact environnemental Suivre et contrôler le budget, les paramètres de production, de transformation et de stockage de produits Coordonner les opérations de réaménagement et de réhabilitation du site en fin d'exploitation

Compétences de base Utilisation de logiciel de cartographie Utilisation de logiciels de gestion de stocks Règles et consignes de sécurité Réglementation Générale des Industries Extractives -RGIE- Caractéristiques des engins de chantier Géologie Géotechnique Géothermie Cartographie Normes environnementales Topographie

Activités spécifiques

Superviser des forages d'extraction : Maritime (off-shore) Terrestre (on-shore) Extraire des roches nécessitant le Certificat de Préposé au Tir -CPT- Etablir des documents administratifs liés à l'exploitation d'un site (contrats de travail, Plan d'Assurance Qualité, plan de contrôle des polluants, ...) Superviser le fonctionnement des installations de traitement et de transformation des matériaux (pilotage, réglage, ...) Actualiser les plans géologiques d'une exploitation Contrôler la conformité de réalisations de fournisseurs, sous-traitants, prestataires Analyser des forations et le résultat de tirs de mines Analyser des échantillons de front de taille sous-terrain Commercialiser des produits d'extraction du site Informer et renseigner les autorités locales, les usagers, les riverains, les associations sur l'exploitation (impact, circulation,...) Coordonner l'activité d'une équipe

Compétences spécifiques Utilisation d'outils bureautiques (traitement de texte, tableur,...)

Ingénieur d’exploitation

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Activités :

Chaque jour, nous réceptionnons environ 1 500 palettes des différents sites de production, nous les contrôlons et les enregistrons dans le stock. Un emplacement est alors défini et nous allons stocker la palette à l’emplacement demandé. Nous montons des palettes jusqu’à 8 mètres de hauteur, cela nous demande de la concentration et de la précision.

En parallèle, c’est nous qui réalisons les transferts du stock de masse vers le stock au sol pour les préparateurs. Notre outil informatique embarqué nous donne précisément les emplacements où l’on doit prendre les palettes et ceux où l’on doit les déposer. Pour toutes ces manipulations de palettes, nous utilisons un engin et nous devons posséder une habilitation.

Nous travaillons en équipe, voire de nuit. Les horaires peuvent être adaptés en fonction de l’heure d’arrivée des commandes et des volumes à traiter.

Cariste

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Chiffres clés :

26 400 commandes traitées, en moyenne, par mois

Activités : Nous assurons le bon suivi du traitement des commandes et des litiges

Nous instaurons de bonnes relations avec les clients externes et internes

Nous participons à l’amélioration continue et permanente de nos cellules clients

En collaboration avec : la cellule prévisions, les services commerciaux, la supervision et l’exploitation

Correspondant clients

38

Animation des

équipes et de la

performance (qualité, sécurité,

délais, coûts)

Activités :

Nous nous attachons à être dans une relation de proximité avec nos équipes pour nous améliorer et avancer au quotidien.

Nous rencontrons les équipes une fois par semaine en réunion hebdomadaire (informations logistiques, informations équipe ...)

Nous devons gérer nos équipes et veiller à ce que nous soyons toujours dans la recherche de la satisfaction client maximale (heure de livraison correcte, pas d’inversion de produits, ...)

Nous sommes garants de l’intégration des salariés, nous validons leur formation au poste, nous réalisons les évaluations et nous menons des entretiens individuels chaque année.

Nous veillons au respect et à l’application des règles d’entreprise, et en particulier aux règles de sécurité logistique, ainsi qu’aux valeurs Fleury Michon.

Nous sommes amenés à conduire des projets qui nous permettent de travailler en collaboration avec nos équipes et tous les services support.

Manager

39

Banderolage

Zonage

Chargement

Bon de livraison

et Facturation

Nos différents métiers :

Contrôleur banderoleuse : vérifie la lecture de tous les colis présents sur la palette lors du passage à la banderoleuse.

Zoneur : place les palettes en zone d’attente devant la porte de

quai correspondante.

Chargeur : charge les palettes selon le plan de chargement établi par l’exploitation.

Organisation du chargement : un interlocuteur est en contact avec

les différents transporteurs, il gère les litiges de la journée et coordonne les chargements.

Accueil chauffeur : se charge de remettre les différents documents aux transporteurs dont le plan de chargement.

BL & facturation : édite les bons de livraison (BL), le bordereau de groupage et le bordereau de départ.

Service retour : gère les produits qui reviennent de chez nos clients

suite à un litige (remise en stock, approvisionnement Fleury Shop, ...)

Quai d’expédition

40

Préparer les matières, produits tous en respectant la conformité au référentiel et procédures définis

Surveiller le déroulement des opérations, la stabilité des indicateurs et consigner les résultats de son activité

Alerter en cas d’aléas ou de non-conformité

Niveau CAP ou équivalent métiers de bouche

CAPA industrie agroalimentaire

BAC pro métiers de bouche

BP industries alimentaires

Pour faire ce métier, il faut être capable de :

Tenir son poste propre et bien rangé

Etre garant du respect des modes opératoires

Respecter les règles d’hygiène et de sécurité

A partir de 1789,71 € brut par mois*

Possibilité de primes complémentaires (selon les exigences du poste)

*à titre d’information, minimum mensuel pour un temps plein

VOS TALENTS

Vous êtes quelqu’un de…

- Rigoureux et adaptable

- Soucieux du respect des normes

d’hygiène et de sécurité et des modes

opératoires

- Habile et vigilant

- Aimant le travail en équipe

VOTRE VOCATION

Vous pourriez devenir…

- Conducteur (rice) de

ligne

- Manager

- Technicien

- Chef d’équipe

Quelles missions ?

Quels diplômes ?

Quelles exigences ?

Pour quel salaire ?

Fabricant

41

Réaliser le contrôle (ex : quantité, code produits, température,…) et s’assurer de la conformité des emballages et du produit selon les

règles définies

Préparer les matières, produits, emballages et matériels nécessaires à la production et approvisionner les lignes

Stocker les matières, emballages et matériels non utilisés ou non conformes

Réceptionner les matières premières et/ou expédier les produits finis

Niveau CAP ou équivalent

CAPA industrie agroalimentaire

BAC pro

BP industries alimentaires

Pour faire ce métier, il faut être capable de :

Tenir son poste propre et bien rangé

Respecter les délais fixés

Respecter les règles d’hygiène et de sécurité

A partir de 1789,71 € brut par mois*

Possibilité de primes complémentaires (selon les exigences du poste) *à titre d’information, minimum mensuel pour un temps plein

VOS TALENTS

Vous êtes quelqu’un de…

- Rigoureux et adaptable

- Soucieux du respect des normes

d’hygiène et de sécurité

- Vigilant et réactif

- Aimant le travail en équipe

VOTRE VOCATION

Vous pourriez devenir…

- Fabricant

- Conducteur (rice)

de ligne

Quelles missions ?

Quels diplômes ?

Quelles exigences ?

Pour quel salaire ?

Gestionnaire de flux

42

Assurer les opérations de maintenance : réglages, changement de pièces, réparation

Intervenir techniquement sur les lignes de production et de conditionnement

Participer à l’amélioration des installations et à la mise en place de nouveaux équipements et/ou procédures de sécurité (tests, essais de

fonctionnement,…)

Bac pro technique (électrotechnique, maintenance des équipements industriels)

Bac STI2D

BTS maintenance industrielle / électrotechnique / mécanique et automatisme industriels

Pour faire ce métier, il faut être capable de :

Etre réactif et remédier efficacement aux nouvelles pannes

S’adapter sans cesse aux nouveaux équipements

Détecter et alerter rapidement en cas d’anomalie

A partir de 2161,30 € brut par mois* Possibilité de primes complémentaires (selon les exigences du poste)

*à titre d’information, minimum mensuel pour un temps plein

VOS TALENTS

Vous être quelqu’un de…

- Rigoureux, autonome et minutieux

- Réactif et polyvalent

- Soucieux du respect des normes

d’hygiène et de sécurité et du bon

fonctionnement des équipements

- Bricoleur et aimant le travail en équipe

VOTRE VOCATION

Vous pourriez devenir…

- Technicien de maintenance

industrielle

- Automaticien

- Chef d’équipe

Quelles missions ?

Quels diplômes ?

Quelles exigences ?

Pour quel salaire ?

Technicien de maintenance

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Activités : Concevoir un objet Le concepteur/dessinateur commence par analyser le cahier des charges du produit commandé (pièce de machine-outil, machine, outillage,...). Puis il recherche la solution technique la mieux adaptée en termes de coût et de facilité de fabrication. Il calcule les caractéristiques des différentes pièces : diamètre d'un roulement, course d'un vérin... Il veille au respect des normes en vigueur et s'assure de la faisabilité de la pièce auprès du bureau des méthodes. Simuler sur ordinateur Il travaille principalement sur écran. Sur son poste de CAO (conception assistée par ordinateur), il crée une image en 3D (en 3 dimensions) de chacune des pièces et procède à leur assemblage virtuel. À partir de cette maquette numérique, il effectue une série de simulations pour vérifier la viabilité du projet. Il modifie alors les pièces si nécessaire. Éditer des plans détaillés À ce stade, il analyse la maquette numérique et sélectionne la pièce en 3D dont il veut établir le plan détaillé. Un logiciel lui permet de varier les angles (de face, de dessus...). Toujours sur écran, il mentionne les cotations (dimensions précises), les états de surface (rugosité...) et les normes de fabrication à respecter. Il peut alors éditer le plan sur papier au moyen d'un traceur.

Profil :

Connaissances techniques Un bon coup de crayon ne suffit pas. Le concepteur / dessinateur en bureau d’études doit posséder une solide formation scientifique et technologique (hydraulique, pneumatique, électricité, matériaux). Il doit savoir analyser les documents à sa disposition et modéliser les pièces à réaliser. Pour cela, il lui faut maîtriser les méthodes de calcul qui servent à dimensionner une pièce ou un produit mécanique selon la matière première utilisée, et connaître les diverses solutions techniques (dispositif de guidage, variateur de vitesse...) qui permettent de créer un produit répondant exactement aux besoins prédéfinis. Maîtrise de l'informatique Familier de la CAO (conception assistée par ordinateur), le dessinateur sait en utiliser toutes les fonctionnalités : recherche sur base de données, mise en œuvre de logiciels de calcul, de création graphique (images en 3D) ou de simulation. Il maîtrise aussi le DAO (dessin assisté par ordinateur) afin de pouvoir réaliser des plans et des schémas détaillés. Il doit se tenir au courant de l'évolution des logiciels utilisés dans sa profession et des normes et réglementations en vigueur. Sens de la communication Les très nombreux échanges d'information associés à un projet industriel nécessitent une aptitude certaine à la communication, une grande ouverture d'esprit et des capacités de synthèse.

Diplômes requis :

Niveau bac + 2 : BTS conception de produits industriels ; BTS conception et réalisation de systèmes automatiques DUT génie mécanique et productique Technicien supérieur en conception assistée par ordinateur Niveau bac + 3 Concepteur en systèmes mécaniques Licence mécanique Licence professionnelle mécanique spécialité études et projets : conception (CAO), productique (CFAO)

Concepteur / dessinateur bureau d’études

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Activités :

Montage de cartes électroniques L’électricien - câbleur sélectionne les câbles et les disjoncteurs, contacteurs, fusibles,… à partir du schéma électrique, du plan de câblage ou de la puissance des appareils. Après avoir dimensionné et assemblé les supports (armoires, châssis rails, goulottes,…), il prépare les fils, les positionne sur les supports, puis fixe les câbles sur les bornes de connexion avant de les toronner. Vérification et réglage Une fois le montage complet réalisé, l’électricien – câbleur contrôle le câblage par rapport au plan, vérifie la continuité du câblage, et procède aux réglages préalables à la mise sous tension.

Profil :

Compétences techniques L’électricien – câbleur connaît bien les lois fondamentales de l'électricité. Son quotidien est rythmé par l’utilisation d’appareils de mesure électrique (multimètre,..), d’outillages manuels (clé, pince, scie,...), et d’outillages électroportatifs (scie électrique, ponceuse,..).Il sait réaliser l’appréciation visuelle du câblage (disposition, repérage,…), maîtrise les techniques de soudure, ainsi que le sertissage. Il doit scrupuleusement respecter les normes de sécurité électrique, les règles de montages électriques et mécaniques. Rigueur et dextérité Le quotidien de l’électricien - câbleur est fait de composants, de câbles et de fils qu'il faut couper, dénuder et raccorder. Pas question de se tromper dans les couleurs. L’électricien - câbleur doit également savoir interpréter un plan ou un schéma. Il est rigoureux, logique et organisé. Il doit se conformer aux objectifs de la production. L'habileté manuelle et l'aptitude à la communication font également partie des compétences de base de ce métier.

Diplômes requis : Niveau bac ou équivalent :

Bac pro électrotechnique, énergie, équipements communicants

Bac pro systèmes électriques numériques

Niveau bac+ 2 :

BTS électrotechnique

Electricien - câbleur

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Activités :

Réceptionner les pièces Le monteur - régleur réceptionne d'abord toutes les pièces du système mécanique à réaliser (écrous, molettes, couvercles, structures, fuselage...). Il les adapte les unes aux autres pour qu'elles forment un ensemble cohérent. Étudiant le plan du produit, il repère les divers éléments (pignons, roulements, vérins...), ainsi que leur mode de fixation (par vis, soudage ou rivets). Il vérifie ensuite la conformité des pièces fournies. Certaines peuvent présenter de petits défauts : dimension inappropriée, surface rugueuse, etc. Il faut alors rectifier, limer, percer, à l'aide d'outils ou de machines. Monter l'ensemble Vient ensuite la phase de montage. Il assemble les pièces selon un ordre qu'il détermine lui-même ou en suivant les instructions d'un document technique. Il effectue des ajustements pour améliorer les liaisons entre les divers éléments. Tester et régler Quand tout l'équipement est assemblé, il en contrôle le bon fonctionnement par une série de tests et d'essais. Il procède alors aux ultimes réglages et aux mises au point qui s'imposent.

Profil :

Précis et habile Le monteur - régleur a le compas dans l'œil. Pour lui, pas de place pour l'à-peu-près : un roulement doit entrer au dixième de millimètre près dans son logement. Rigueur et habileté manuelle sont des qualités indispensables. De même qu'un certain talent pour la communication : il faut être capable d'expliquer le fonctionnement d'une machine. Il doit également être capable de lire un plan. Astucieux et efficace De bons yeux ne suffisent pas : un esprit logique et une certaine forme de débrouillardise sont également utiles. On ne peut pas se permettre de décevoir un client : tout doit être réglé dans les délais prévus, avec la qualité et le coût attendus.

Diplômes requis : Niveau bac ou équivalent :

Bac pro maintenance des équipements industriels

Bac techno STI2D

Niveau bac+ 2 :

BTS industrialisation des produits mécaniques

DUT génie mécanique et productique

Monteur - régleur

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Activités :

Fabriquer par usinage L'opérateur conduit une (ou plusieurs) machine(s) à commande numérique (tour, perceuse, rectifieuse, fraiseuse...) pilotée(s) par un programme informatique. Ces machines fabriquent des pièces mécaniques (outillages, boite de vitesses, moteurs,...) par usinage, c'est-à-dire en enlevant du métal. Lancer et gérer la production Dans le cadre du lancement et du suivi d'une production en série, l'opérateur commence par préparer le travail de fabrication. Il étudie le dessin de la pièce à réaliser, définit un mode opératoire, programme les machines, choisit les outillages, installe et règle les outils. Après les premiers essais et tests, la production en série démarre. Contrôler et corriger Une fois le système de production en route, l'opérateur surveille le bon déroulement du processus. Rien ne doit lui échapper. Tout doit être conforme. À lui de respecter la qualité, les délais et les coûts. En véritable inspecteur des travaux finis, il contrôle des pièces prélevées, repère les dérives (dimensions, formes) et apporte les corrections nécessaires.

Profil :

Logique et méthodique Réaliser des travaux d'usinage sur des machines à commande numérique, demande un esprit méthodique, de la logique et une attention soutenue. Le travail de l'opérateur exige, en effet, des gestes précis, de la minutie et de l'astuce, sans oublier une bonne résistance physique (travail debout en atelier, horaires irréguliers). Pour lire les plans, une bonne représentation des volumes dans l'espace est aussi nécessaire, sans oublier l'aptitude au calcul et l'utilisation de schémas et formules mathématiques. Le sens des responsabilités Chaque jour, l'opérateur rencontre des problèmes différents. À lui de réagir rapidement aux situations urgentes ou aux aléas de la production. À lui encore de se conformer, à tout instant, aux règles de sécurité. L'aptitude à travailler en équipe est particulièrement appréciée. En toute autonomie Particulièrement autonome, l'opérateur maîtrise, seul, la conduite des machines dont il est responsable. Il fait face aux imprévus, anticipe les problèmes, effectue même de petits dépannages. Il doit tout à la fois assurer la qualité des produits et la continuité de la production. En collaboration L'opérateur travaille toujours en équipe et ses activités l'amènent à collaborer avec les différents services de l'entreprise. De la maintenance à la gestion de production, en passant par le contrôle-qualité, il échange des informations avec tous ceux qui, comme lui, cherchent à optimiser la production et à réduire les coûts.

Diplômes requis : Niveau bac ou équivalent :

Bac pro technicien d’usinage

Niveau bac + 2 : BTS industrialisation des produits mécaniques DUT génie mécanique et productique Niveau bac + 3 Licence professionnelle production industrielle spécialité techniques d’usinage avancées et ingénierie des équipements associés.

Opérateur sur machines à commandes numériques

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Activité Gérer les dossiers

Il suit au quotidien les comptes de ses clients et prend contact avec eux si besoin. Il traite les éventuels litiges et négocie, le

cas échéant, des réaménagements de contrats.

Proche de ses clients

Expert des questions bancaires, le chargé de clientèle aide ses clients à monter des dossiers de demande de crédit, négocier

des autorisations de découvert, etc. Il les informe et conseille sur les produits et services de son établissement, en fonction

de leurs besoins, mais aussi de leur situation économique.

Élargir le portefeuille

Doté d'un grand sens commercial, le chargé de clientèle prospecte en permanence de nouveaux clients, dans le secteur ou le

segment de population qui lui a été désigné. Persuasif, il développe des argumentaires, relance ses interlocuteurs, met en

avant les offres promotionnelles liées à une première souscription.

Il répond aux besoins de son client en fonction de son cycle de vie. Il est le pivot de la relation avec ses clients et auprès de

ses collègues.

Profil Le goût du défi

Le métier nécessite un bon sens commercial. L'écoute et le pouvoir de conviction sont des qualités importantes.

Un bon contact

La force d'un conseiller, c'est sa capacité à nouer des relations chaleureuses avec ses clients et à recueillir des informations

personnelles. Il lui proposera des solutions adaptées à ses besoins. Relativement autonome, le chargé de clientèle sait

prendre des initiatives et des décisions.

Des connaissances variées

Le chargé de clientèle connait parfaitement les produits financiers, les possibilités de sa banque et il suit avec attention

l'évolution des marchés, il joue un rôle d'expert auprès des particuliers. En cas de doute, il peut prendre conseil auprès d'un

gestionnaire de patrimoine ou d'un analyste de crédit. Il doit donc aussi avoir un bon relationnel au sein de son entreprise.

Diplômes requis Niveau bac + 2 BTS banque, conseiller de clientèle (particuliers) ; négociation et relation client (NRC) ; management des unités commerciales (MUC) ; DUT techniques de commercialisation (TC) ; gestion des entreprises et des administrations option gestion et management des organisations (GEA GMO) DEUST banque, organismes financiers et de prévoyance Niveau bac + 3 Licence pro dans le domaine de la banque, de la finance et de l'assurance Diplôme d'école de commerce Niveau bac + 5 Master pro dans le domaine de la banque et de la finance Diplôme d'écoles supérieures de commerce avec spécialisation en banque-finance.

Chargé de clientèle (banque)