utopies @action tank entreprise pollinisatrice

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// Groupe de Travail ENTREPRISE POLLINISATRICE Condentiel // © 2016 Utopies Groupe de Travail : co-construire la relation entre l’entreprise et le territoire COMMENT DEVENIR UNE « ENTREPRISE POLLINISATRICE » ?  Elisabeth Laville Directrice, [email protected] Arnaud Florentin Directeur associé,[email protected] Patricia Cortijo Manager Bâtiments & Territoires durables, [email protected] UTOPIES ©

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Groupe de Travail : co-construire la relation entre l’entreprise et le territoire

COMMENT DEVENIR UNE « ENTREPRISE POLLINISATRICE » ?  

Elisabeth Laville Directrice, [email protected]

Arnaud Florentin Directeur associé,[email protected]

Patricia Cortijo Manager Bâtiments & Territoires durables,

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LE POINT DE DEPART DE NOTRE INTERET SUR LE SUJET

VERS LA « LOCA-CONCEPTION » : COMMENT MAXIMISER L’IMPACT ECONOMIQUE

LOCAL DES BATIMENTS OU PROJETS D’AMENAGEMENT TOUT AU LONG DE LEUR CYCLE DE VIE

NOTE DE POSITION#6 // Mars 2016

Les bâtiments ou les grands projets d’amé-nagements ne sont pas, à l’évidence, des « produits » comme les autres : il est vrai qu’ils ont pour spécificité de n’être jamais industrialisables (chaque bâtiment ou pro-jet est unique) et d’avoir une durée de vie théorique très longue, de plusieurs dé-cennies en général – et dépassant même parfois l’horizon de temps de ceux qui les développent, à l’image de la Sagrada Fa-milia, basilique conçue par Anton Gaudi à Barcelone et encore en chantier alors que ses travaux ont commencé en 1882… Difficile, dans ces conditions, de prendre en considération précisément, dès leur conception, leurs impacts sur les environ-nements naturels, humains et sociaux tout au long de leur cycle de vie, comme on le fait avec des objets de consommation courante davantage soumis à l’obsoles-cence rapide. La fin de vie des bâtiments, en particulier, est ainsi délicate à appré-hender et encore trop rarement prise en compte en amont (à l’exception des bâ-timents conçus pour être rapidement dé-montés, sur les chantiers par exemple).

Pourtant, progressivement, l’éco-concep-tion se développe dans le secteur im-mobilier et de la construction, poussant à intégrer très en amont à l’exercice de conception la nécessité de minimiser l’im-pact écologique tout au long de la vie du projet, de la construction à l’exploitation en passant par sa rénovation éventuelle et allant même, dans certains cas, jusqu’à en-visager sa dé-construction. Alors que cette approche est désormais bien encadrée par des standards (de BREEAM à HQE en passant par LEED) et de plus en plus pra-tiquée par les acteurs de la construction, des préoccupations nouvelles émergent quant à une autre forme d’impact des pro-jets de bâtiment ou d’aménagement tout au long de leur cycle de vie : leur impact socio-économique sur leur territoire d’im-plantation, qu’il s’agisse d’un quartier, d’une ville, d’un département ou d’une région plus largement… Cette question nouvelle de l’empreinte locale des projets et de leur contribution au développement économique correspond d’ailleurs, selon les études (voir figure ci-dessous), à une préoccupation forte des parties prenantes

en matière de responsabilité sociétale des entreprises. C’est encore plus vrai, de manière évidente, pour des projets de bâtiments ou d’aménagements qui vivront mieux, comme des arbres, s’ils démontrent leur capacité à s’intégrer au territoire et à lui apporter plus qu’ils ne lui prennent. Et les parties prenantes locales ne se privent pas d’interpeller publiquement sur ce su-jet les pouvoirs publics ou les porteurs de ces projets - qu’il s’agisse d’un ensemble de logements sociaux, d’un projet urbain, d’un village de vacances, d’un aéroport ou même d’un projet de mobilité comme une nouvelle autoroute ou ligne ferro-viaire. Cette approche visant à concevoir des projets dont l’apport au territoire est optimisé en continu pour viser une contri-bution positive nette, c’est l’essence-même de ce que nous appelons « Loca-concep-tion® » et qui s’impose progressivement, comme l’a fait l’éco-conception, au sec-teur de la construction et de l’aménage-ment.

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LE POINT DE DEPART DE NOTRE INTERET SUR LE SUJET

ENTREPRISE POLLINISATRICE Motivations •  Stratégie de l’entreprise •  Positionnement de la marque •  Développement & innovation Pratiques •  Développement de la résilience du

territoire : Comax, incubateurs.. •  Innovation territoriale Outils •  Loca-Conception® •  Local Shift®

ANCRAGE LOCAL 3.0 1995-2010 ANCRAGE LOCAL 1.0 ANCRAGE LOCAL 2.0

ENTREPRISE MECENE Motivations •  Acceptabilité •  Image locale Pratiques •  Mécénat •  Financement d’actions

locales

ENTREPRISE CONTRIBUTRICE Motivations •  Différenciation •  Développement •  Image de l’entreprise Pratiques •  Achats et emplois locaux •  Politique d’insertion •  Paiement des taxes Outils •  Local Footprint® •  Loca-Conception®

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1. POURQUOI DEVENIR UNE ENTREPRISE POLLINISATRICE ?

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LES TERRITOIRES, LIEUX DES TRANSITIONS

La transition écologique apparaît comme une opportunité de développement d’une économie locale, porteuse de valeur sociétale. Parce que la transformation se fera par et pour la société, l’Etat, les Régions et de grands acteurs publics comme la Caisse des Dépôts accordent une place plus grande, voire centrale, à cette dimension territoriale.

À l’horizon 2050, le Nord-Pas de Calais veut réduire de 60% sa consommation énergétique et diviser par 4 ses émissions de gaz à effet de serre, en s’appuyant sur les grands leviers du Schéma régional d’aménagement et de développement durable.

La « transition territoriale » est l’une des quatre priorités de la Caisse des Dépôts, qui développe des actions dédiées pour « soutenir l’investissement local » et « stimuler la croissance au plus près des bassins d’emploi ».

La loi sur la transition énergétique valorise les territoires comme une échelle privilégiée d’application, avec un chapitre dédié sur la transition dans les territoires et le développement du label « Territoire à énergie positive »

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DES CITOYENS MOBILISES EN FAVEUR DU LOCAL…

Mouvements de contestation et choix de consommation démontrent la défiance croissante des citoyens vis-à-vis des filières internationales à intermédiaires multiples, perçues comme peu transparentes, et des grands projets d’aménagement, souvent accusés « d’inadéquation avec les besoins locaux ». Cette attente marquée de proximité et de relation directe avec les filières de production se généralise et porte le développement de filières locales. Perte de confiance et besoin d’information

Attentes d’approvisionnement local et tendance de marché

Source : Ethicity, Les français et la consommation responsable, 2016

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… ET DES COLLECTIFS QUI PASSENT A L’ACTE

Des collectifs de citoyens et d’entreprises se multiplient localement pour contribuer à cette relocalisation de l’économie.

Le mouvement Territoires en transition est né au Royaume Uni en 2006, dans la ville de Totnes, à l’initiative de Rob Hopkins. Le réseau comprend aujourd’hui 2000 villages et villes en transition dans le monde (150 en France), dont l’objectif est d’aboutir localement à une transition du modèle énergétique et de consommation.

Aux Etats-Unis, cette dynamique est surtout portée par des entrepreneurs. Le réseau BALLE (Business Alliance for Local Living Economies) regroupent 35 000 entrepreneurs répartis en 80 réseaux locaux. Ce collectif a notamment développé une approche pour insuffler le changement à l’échelle locale et a défini les 6 principes d’un développement local réussi. Le réseau AMIBA (The American Independent Business Alliance) se donne quant à lui pour mission de développer des économies locales résilientes via les achats locaux et l’engagement des citoyens.

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LES POUVOIRS PUBLICS ET LES INSTITUTIONS PROMEUVENT UN DEVELOPPEMENT LOCAL

Après le temps des grands projets, les acteurs publics et les institutions internationales misent de plus en plus sur un développement porté par des dynamiques locales •  “La politique de cohésion 2014-2020 [...] a pour objectif d’élargir l’utilisation du

développement local en tant qu’outil de développement.” (UE, 2015)

•  “Le développement local est une façon de s'interroger sur le rôle des facteurs endogènes dans le développement économique. Le développement local peut également aider à répondre aux nouveaux défis liés à la mondialisation, à l’évolution du climat, au vieillissement de la population, aux pénuries de denrées alimentaires et d’énergie, etc. » (UE, 2015)

•  «  Le développement économique local développe la compétitivité, contribue au développement durable et garantit une croissance inclusive. » (Banque Mondiale)

•  En Grande Bretagne, le Social Value Act permet d’intégrer les bénéfices économiques sociaux et environnementaux à la commande publique. «  Le Social value Act est un outil pour aider les donneurs d’ordres publics à obtenir plus de valeur au regard de l'argent investi. Il les encourage également à parler aux entreprises et communautés locales pour concevoir des services meilleurs et souvent pour trouver des solutions nouvelles et innovantes à des problèmes difficiles ». (Gouvernement anglais)

•  Au Québec, les COMAX (Comité de Maximisation) sont mis en place pour que les opérateurs des grands projets (mines, infrastructures) maximisent leurs retombées locales.

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LES ENTREPRISES SE RECONNECTENT AUX TERRITOIRES…

Certaines filières, sous l’impulsion des pouvoirs publics ou pour anticiper leurs attentes, mettent en œuvre des programmes en faveur de leurs territoires. •  En Suisse, les constructeurs de la gare de Landquart ont privilégié le

recours au bois régional comme matériau de construction. Au total, le projet a employé 900m3 de bois venant de la forêt communale et a développé une filière de transformation locale pour 100% du bois utilisé pour le projet.

•  Aux Etats-Unis, le promoteur constructeur Bazzani développe le modèle de

l’entreprise pollinisatrice: recours prioritaire voire systématique à des matériaux locaux et écologiques, préservation des constructions historiques, création d’un réseau d’entrepreneurs locaux, etc. En 2015, son entreprise a reçu la certification «  B CORP Best for the world  » qui récompense les entreprises les plus vertueuses à travers leur performance sociale, environnementale et sociétale.

•  Le programme « Une rivière, un territoire  » d’EDF vise à favoriser l’innovation et le développement économique dans les vallées hydrauliques françaises et met en place une gouvernance partagée et une stratégie d’achats locaux pour chaque site, développée en fonction des besoins et des capacités des territoires.

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… ET L’INTEGRATION A DES ÉCOSYSTÈMES LOCAUX DEVIENT UN LEVIER DE CRÉATION DE VALEUR

Le développement d’écosystèmes locaux présente plusieurs bénéfices pour les entreprises : une acceptabilité des sites et des activités économiques, une capacité à répondre plus précisément à la demande locale, le développement d’une identité territoriale, plus de transparence pour le consommateur, une logistique réduite ou encore des opportunités plus fortes de créer une économie circulaire.

La plateforme américaine « Popularise » invite les communautés locales à améliorer des projets de développement existants en leur permettant de soumettre des propositions et de voter pour leurs solutions préférées.

Le Groupe SEB lance en 2015 un service de location d’appareils culinaires : Eurêcook. Ce service est d’abord mis en place sur l’agglomération de Dijon, ce qui permet de créer un groupement local de partenaires et d’accompagner l’évolution des comportements.

Six ans après avoir repris la Camif, Emery Jacquillat a réussi à redresser l’entreprise en se positionnant sur le créneau de la consommation responsable et du « fabriqué en France». La vente de produits hexagonaux représente 70 % de son activité.

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LE CONCEPT D’ENTREPRISE POLLINISATRICE POUR L’ECONOMIE LOCALE EMERGE (1/2)

“J’appelle cette nouvelle génération d’entreprises les pollinisatrices du développement économique. Dans la nature, les pollinisateurs comme les abeilles, les papillons ou les chauves-souris transportent le pollen d’une plante à une autre et savent instinctivement que le brassage des pollens nourrit l’ensemble de l’écosystème. Les entreprises pollinisatrices travaillent de la même façon et transportent les meilleures pratiques d’une entreprise locale à une autre, nourrissant ainsi l’ensemble des entreprises locales et créant un écosystème entrepreuneurial riche.” Michael Shuman “The Local Economy Solution: How innovative self-Financing “pollinators” enterprises can grow jobs and prosperity”, 2015

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LE CONCEPT D’ENTREPRISE POLLINISATRICE POUR L’ECONOMIE LOCALE EMERGE (2/2)

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UN BESOIN DE VISION GLOBALE ET D’APPROCHE INTEGREE SUR UN SUJET EMERGENT

•  Peu de capitalisation des retours d’expérience : les enseignements issus des initiatives existantes (pour les territoires comme pour les opérateurs privés) sont pour l’instant peu partagés et mis en relation.

•  Un modèle économique encore fragile pour les acteurs économiques : acceptabilité des projets, innovation, capacité de différenciation, réussite économique par une meilleure prise en compte des besoins…. Les bénéfices qu’il y a à être une entreprise pollinisatrice restent à préciser et à documenter.

•  Un manque de vision et d’approche globale : les actions se multiplient sur des thèmes spécifiques (emploi/insertion local, préservation des écosystèmes, etc.), mais il n’y a pas de vision systémique et d’approche globale pour devenir une entreprise pollinisatrice

Quelles sont les tendances en matière d’ancrage local ? Quels sont les bénéfices potentiels pour les différents acteurs et comment créer des démarches les plus contributives ? Comment devenir une entreprise pollinisatrice (outils, gouvernance) ?

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•  Pour mutualiser les ressources des entreprises concernées par l’enjeu

•  Pour faire progresser les connaissances sur le sujet

•  Pour nourrir la réflexion stratégique

•  Pour se positionner en leader de la réflexion sur les enjeux de contribution territoriale (emploi, tissu économique local, etc.)

•  Pour développer des partenariats durables avec d’autres acteurs et avec les parties prenantes de ce sujet

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2. NOTRE PROPOSITION : CRÉER UN ACTION-TANK SUR L’ENTREPRISE POLLINISATRICE

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NOTRE APPROCHE POUR LA CRÉATION DE L’ACTION TANK

I. PRÉPARATION ET RECRUTEMENT

II. ANIMATION III. SYNTHESE

PPT sur le fonctionnement de l’action tank

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• Réunion de lancement

• Cartographie du sujet (initiatives, experts, rapports)

•  Interviews d’experts (5) et recrutement des partenaires

• Benchmarking d’initiatives et fiches bonnes pratiques (15 initiatives de collectivités, société civile et entreprises)

•  Formalisation des modalités d’organisation de l’action tank et des membres contributeurs

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• Volet formation et co-construction : 6 ateliers / an (voir détails ci-après) d’une demi journée sur un thème avec 1expert et 1 REX puis synthèses

• Création d’un site internet alimenté par les études de cas, les interviews d’experts et les livrables des ateliers

•  Fiches préparatoires et synthèses des ateliers

•  Site internet Entreprise Pollinisatrice

Rapport final de l’étude

• Rapport final de l’année #1 : état des lieux, point sur l’avancement des connaissances /réflexions / bonnes pratiques sur le sujet

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LES GRANDS THEMES DE REFLEXION

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Enjeux de la relation entre l’entreprise et le territoire : nouvelles attentes des parties prenantes. Quelles perspectives d’évolution ?

Business case et intérêt économique à devenir une entreprise pollinisatrice.

Vers des démarches à contribution territoriale positive : comment devenir une entreprise pollinisatrice ? Quels indicateurs de mesure ?

La maximisation des retombées locales : quelle gouvernance et quels outils ? Focus sur le COMAX

L'adaptation de l'approche aux spécificités du territoire (régions, villes, international....)

La convergence avec les approches territoriales environnementales : Economie circulaire et économie de fonctionnalité

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La première réunion permettra de partager les attentes des partenaires sur les thématiques à aborder de manière prioritaire. Cette première liste est donc provisoire.

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6 ATELIERS DE FORMATION ET CO-CONSTRUCTION SUR UNE ANNEE DE TRAVAIL

Objectifs (année #1) :

•  Faire progresser la connaissance des enjeux et des initiatives existantes

•  Mutualiser les connaissances et mettre en réseau les acteurs

•  Construire une vision commune du concept d’entreprise pollinisatrice

Programme prévisionnel de chaque atelier (1/2 journée) :

•  Introduction sur la thématique et rappel synthétique de l’avancée des travaux

Interventions de 2 experts externes sur la thématique dédiée

•  Présentation d’études de cas inspirantes (Utopies)

•  Atelier de co-construction avec les membres participant à l’étude

Les ateliers seront organisés dans des lieux emblématiques de la transition territoriale et de l’innovation (Living Lab, Fablab).

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UN RESEAU INTERNATIONAL D’EXPERTS

ANTOINE AUBINAIS Co-fondateur BELLASTOCK

GUY BAZZANI Directeur général BAZZANI

ROB HOPKINS Initiateur MOUVEMENT TRANSITION TOWN LESLIE LINDO Directrice « Community Engagement » RESEAU BALLE

JACQUELINE LORTHIOIS Urbaniste et socio-économiste

LUC PICOT Directeur DECIDER ENSEMBLE

NICOLAS ROUGE Fondateur UNE AUTRE VILLE

JENNIFER RUBENSTEIN Présidente AMIBA

MICHAEL SHUMAN Economiste, auteur et entrepreneur spécialisé sur l’économie locale

RAPHAEL SOUCHIER Consultant européen spécialisé sur les économies locales durables

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PLANNING DE LA 1ÈRE ANNÉE

2016 2017

Juin. Juillet Aout. Sept. Oct. Nov. Déc. Jan. Fev. Mars Avril Mai Juin Juil. Aout.

2. ANIMATION

Ateliers avec tous les membres

3. SYNTHÈSE

1. PRÉPARATION ET RECRUTEMENT

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BUDGET PRÉVISIONNEL

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MEMBRE CONTRIBUTEUR : > PME / ETI / collectivité territoriale 5 K€ > Grande entreprise 10 K€ > Société civile / association Nous consulter •  Participation aux ateliers (déductibles des frais de formation) •  Proposition d’experts et contributions complémentaires •  Restitution finale et commune des résultats (conférence de presse)

Utopies est organisme de formation : possibilité d’une prise en compte dans les frais de formation

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UN CO-FINANCEMENT ENTRE PARTENAIRES (1/2)

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MEMBRE FONDATEUR : 20K€ Idem membre contributeur + •  Exclusivité métier •  Conclusions et livrables partagés en priorité •  Recommandations personnalisées •  Présentation par Utopies dédiée pour les équipes •  Visibilité privilégiée sur l’ensemble des communications

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UN CO-FINANCEMENT ENTRE PARTENAIRES (2/2)

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