revue de presse - la filature...bassiste magazine pays : france page(s) : 28-30 surface : 270 %...

63
REVUE DE PRESSE HENRI TEXIER « SAND WOMAN » Label Bleu / L’autre distribution « SAND QUINTET » Henri Texier, contrebasse & compositions Vincent Lê Quang, saxes ténor & soprano Sébastien Texier, saxalto & clarinettes Manu Codjia, guitare Gautier Garrigue, batterie Contact presse : Valérie Mauge [email protected] Tél : 06 15 09 18 48 Contact scène : Maïté / LMD Productions [email protected] Tél : 01 48 57 51 48

Upload: others

Post on 25-Jan-2021

0 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

  • REVUEDEPRESSE

    HENRI TEXIER « SAND WOMAN »

    Label Bleu / L’autre distribution

     

    « SAND QUINTET »  

    Henri Texier, contrebasse & compositions Vincent Lê Quang, saxes ténor & soprano Sébastien Texier, sax‐alto & clarinettes 

    Manu Codjia, guitare Gautier Garrigue, batterie 

        

    Contact presse  : Valérie Mauge [email protected]  Tél : 06 15 09 18 48    Contact scène : Maïté / LMD Productions [email protected] Tél : 01 48 57 51 48 

        

     

  • SÉLE

    C

    TION

    ALBUMS

    cultureHENRI TEXIERSand Woman

    En 1976, Henri Texier enregistre seul,jouant de la contrebasse et de la basse,du oud, des percussions, de la flûte, etchantant plusieurs de ses compositionsdont Amir, qui ouvre alors l’album dumême nom. Elle devient un classique deTexier. Qui la remet en jeu pour débuterson album Sand Woman, cette fois avec

    les jeunes musiciens de son quintette, les saxophonistes Sébas-tien Texier et Vincent Lê Quang, le guitariste Manu Codjia et lebatteur Gautier Garrigue. Texier constituant avec ce dernierune rythmique dansante et radieuse. D’autres anciens thèmes(Les Là-Bas, Indians ), deux nouvelles compositions (dont Hun-gry Man, en forme de blues) sont abordés par de lisibles mélo-dies, marque de toujours chez Texier. Le sens de l’espace, laprofondeur lyrique des thèmes, l’assurance musicienne em-portent vers un grand bonheur de jazz. p sylvain siclier1 CD Label bleu/L’Autre Distribution.

    Tous droits de reproduction réservés

    PAYS : France PAGE(S) : 21SURFACE : 6 %

    PERIODICITE : QuotidienRUBRIQUE : CultureJOURNALISTE : Sylvain Siclier

    18 février 2018 - N°22738

  •   

          

  •    

       

           

  • MATOS

    Contrebasse :« Master » par Jean AurayAmpli : Tête Gallien-Krueger MB 500HP GK ou Ampeg Classic SériésEffets : Boss Octaver OC-2Boss Bass Chorus CEB-3

    Tous droits de reproduction réservés

    Bassiste Magazine

    PAYS : France PAGE(S) : 28-30SURFACE : 270 %

    PERIODICITE : BimestrielJOURNALISTE : François C. Delacoudre

    1 mars 2018 - N°77

  • HenriTEXIER

    LA QUETEINFINIE K

    •M0

  • BASS TALKjD'ailleurs, l'aspect vocal de mes thèmes tient

    une place très importante, cela conditionne

    aussi le choix des musiciens car j'aime qu'il y

    ait quelque chose de vocal dans leur manière

    de s'exprimer. Parfois, c'est aussi avec le piano

    que je compose, mais je dirais que je n'ai pas

    vraiment de règle, tout dépend du moment.

    Pour résumer, la composition pour moi vient

    autant du bas que du haut de la musique, c'est

    en fait assez primitif. Et surtout, je n'utilise

    aucune machine pour cela, jamais. Au pire un

    walkman sur lequel je m'enregistre et je rejoue

    par dessus. J'écris la musique, je distribue les

    partitions à mes camarades, et on joue, j'ai

    besoin d'entendre pour savoir.

    Concernant la contrebasse, quelle estvotre routine de travail pour conservervotre niveau de jeu ?Ma technique de travail s'apparente à uneforme de bodybuilding des doigts (Rires) I J'aides exercices très simples, doigt par doigt,très lentement et systématiquement avec lemétronome. J'ai travaillé toute ma vie avec unclick, que ce soit pour m'amuser, improviser outravailler. Car le tempo, il n'y a rien de plus facileà perdre, certains l'ont naturellement, mais ilest impératif de l'entretenir. Avec les années,le métronome est devenu un compagnon pourmoi, j'éprouve beaucoup de plaisir lorsque jeressens que mon phrasé est parfaitement enplace avec le click. De plus, ça me permet deprendre la mesure de l'élasticité de mon phrasé,c'est-à-dire qu'à l'intérieur de quelques mesuresil peut y avoir une phrase pas forcément dansle débit précis du tempo mais qui survole cedernier, sans pour autant le perdre, et revenir seposer précisément dessus. Cette « élasticité »est une des composantes principales de lamusique jazz à l'image d'Herbie Hancock ouKeith Jarrett par exemple. Elle amène aussibeaucoup de sensualité à la musique. Quand onme demande des conseils, je recommande letravail avec le métronome pour progresser dansla musique et notamment le phrasé.

    Quel matos utilisez-vous sur scène et enstudio ?

    À l'heure actuelle, je joue sur deux contrebassesJean Auray. En fait j'ai toujours aimé l'idéede rencontrer un luthier, de parler avec lui,d'échanger et de pouvoir lui demander deréfléchir à adapter un instrument de manière pluspersonnelle. C'est exactement ce qui est arrivéavec Jean. Nous sommes partis de ses critèresde base concernant l'acoustique et l'architecturede la contrebasse, mais j'ai pu choisir la forme,le type de manche, la couleur. Il en ressort uninstrument qui semble très classique à première

    petites inventions qui n'appartiennent qu'à lui, cequi en fait une très bonne contrebasse. Le petit« truc » en plus est que ces contrebasses sontcomplètement démontables, et se logent dansun flight case qui pèse à peine vingt kilos et quise transporte très facilement. Enfin, je suis unvoyageur comme les autres ! (Rires).En ce qui concerne les cordes, j'utilise depuistoujours des Thomastik Soliste censées êtreaccordées un ton plus haut, mais pour ma part,je les accorde en standard ce qui leur donnebeaucoup de souplesse. On peut à la fois lesjouer de façon plus « roots » et si on a besoin onpeut les faire chanter sans problème.

    Et pour amplifier t o u t ça ?En termes de cellule, je suis passé depuis un bonmoment au modèle « Full Circle » de Fishman,je la trouve parfaite pour ce que je fais. Et côtéampli, je suis adepte depuis des années destêtes Gallien-Krueger, et je me suis récemmentacheté la MB 500, ultra portable. Côté HP, c'est

    accompagne la tête, mais sinon je demandeaussi un Ampeg Classic Sériés toujours enje n'aime pas trop les 4x10.Je n'utilise que deux effets : Un vieil octaverBOSS OC-2 qui me permet de « mochir » le son,ou de lui donner un côté méchant, et un chorusde chez BossleCEB-3.«

    DISCOGRAPHIE SÉLECTIVE:

    Romano/Sclavis/Texier

    En leader :

    Amir (1976) EurodiscIzlaz/Colonel Skopje (1988) Label BleuAn Indian's Week (1993) Label BleuMosaïc Man (1998) Label Bleu(Vjlvre (2007) Label BleuSky Dancers (2016)

    En trio :

    Tous droits de reproduction réservés

    Bassiste Magazine

    PAYS : France PAGE(S) : 28-30SURFACE : 270 %

    PERIODICITE : BimestrielJOURNALISTE : François C. Delacoudre

    1 mars 2018 - N°77

  • HENRI TEXIER

    Sand Woman

    8s? Dès lespremières mesures, Henri Texieret tes quatre impeccables instru-mentistes qui t'entourent (saxos,batterie, guitare) nous embarquentdans un voyage où la cohésionmusicale et l'imagination sontcontinuellement de mise. Faitd'anciennes compositions entiè-rement remaniées (Amir), de nou-veautés et de parties solos aussichaleureuses qu'inspirées, cenouvel album du contrebassistele plus célèbre du jazz hexagonalimpressionne d'un bout à l'autre.Entre swing incessant (ce queTexier nomme « la respiration ryth-mique »), mélange de maîtrisetechnique (les interventions duguitariste Manu Codjia) et demoment plus recueillis (Quand touts'arrête), cet album vibre, vit etatteint souvent ta perfection. 9Label Bteu/L'Autre Distribution, 13 €.

    Tous droits de reproduction réservés

    PAYS : France PAGE(S) : 78SURFACE : 11 %

    PERIODICITE : Hebdomadaire

    8 février 2018 - N°3780

  •  

    88 avril 20118 

     

     

  •  

     

     

     

  • Henri Texier QuintetLe 10 mars, 20h, Café de la danse,5, passage Louis-Philippe, 11e,01 47 00 5759. (13,80-226).E Œ C'est sur scène qu'il fautécouter Henri Texier. Là,sa musique déploie toute saforce, ce qu'elle a d e massif,de tendu et d'exaltant à lafois. Depuis son fils SébastienTexier (alto) jusqu'auguitariste Manu Codjia, e npassant par Vincent Lê Quang(ténor) et Gautier Garrigue(batterie), tous sont soudésà la contrebasse du maîtrepour avancer d'un mêmegalop fougueux et libre.

    Tous droits de reproduction réservés

    PAYS : France PAGE(S) : 29SURFACE : 4 %

    PERIODICITE : Hebdomadaire

    7 mars 2018 - N°3556 - sortir

  •  

     

     

    CHRONIQUE DE MONSIEUR L’OUIE 

     

     

     

     

  • Sandwoman

    Henri TexierManu Codjia à la guitare,

    Gautier Garrigue à la batterie,Sébastien Texier (sax alto etclarinettes) et Vincent LêQuang (sax ténor et soprano) :pour ce nouvel album, HenriTexier a fait appel à une nou-velle formation. Le contrebas-siste voulait voir interprétéesdes compositions jamaisjouées auparavant par sespropres groupes, alors qu'ellesavaient été enregistrées ensolo absolu il y a plus de 40 ans.Le déclic a eu lieu lors d'unconcert lors du Europa Jazz duMans. Les noms des musi-ciens indiqués ci-dessus sesont imposés facilement. Etnotamment Vincent Lê Quang,dont Texier dit avoir été «trèssensible à sa façon d'aborderle jazz».• Label Bleu

    Tous droits de reproduction réservés

    PAYS : France PAGE(S) : 42SURFACE : 5 %

    PERIODICITE : Quotidien

    28 janvier 2018 - N°1564 - Edition Cherbourg

  •  2 AVRIL 2018 

      

    MUSIQUE Texier, Galliano et l’Afrique en live à Amiens Du jeudi 5 au samedi 7 avril 2018, la 3e édition du festival Tendance Jazz à la Maison de la culture mettra en lumière les artistes de sa filiale discographique, les anciens et les petits nouveaux. Depuis trois ans, le festival Tendance Jazz de la Maison de la culture d’Amiens offre une belle « visibilité » aux artistes du Label Bleu, la filiale discographique de la MCA. L’édition 2018 ne déroge pas à la règle avec la programmation d’Henri Texier et de Richard Galliano, deux historiques du Label, mais aussi de Seydou Boro, qui vient de sortir un album chez Label Bleu, tout comme le Bamba Wassoulou Groove.

    Depuis 1986, le contrebassiste Henri Texier a toujours été fidèle au label amiénois. Son nouvel album « Sand Woman » est sorti en février. (© VDN) - (Photo VDN)

  • Texier revisite en quintet ses compositions en solo Les deux premières soirées seront très jazz. Celle du samedi 7 avril prendra la direction de l’Afrique. Fidèle parmi les fidèles du label amiénois, Henri Texier a choisi pour son nouvel album Sand Woman, sorti début février et enregistré dans le studio de la MCA, de jouer des compositions enregistrées en solo il y a plus de 40 ans comme Amir, Les Là-Bas, Quand Tout s’Arrête, à la tête d’un nouveau quintet. « Il revisite avec de jeunes musiciens des morceaux qui ont fait son ADN, résume Benoît Delaquaize, le responsable du label. Le résultat est résolument une musique du XXIe siècle et ses partenaires y sont pour beaucoup, le saxophoniste Vincent Lê Quang, son fils Sébastien Texier à la clarinette, le guitariste Manu Codjia ou encore Gautier Garrigue, à la batterie ».  

  •   

     

     

     

     

  • Jazz-Rock

    Texier, Alour, ImbertDujazz enversion françaiseEn matière de jazz, la France atoujours été, à la fois une terred'accueil pour les musiciensaméricains depuis un siècleet le fondement d'une écolespécifique.

    • Depuis plus d'un demi-siècle,Henri Texier est un acteur essentielet un membre créatif de cette école.Tous les mouvements, à commen-cer par le free-jazz, tous les groupes(l'European Rhythm Machine, TotalIssue ou le Transatlantik Quartet)auxquels le contrebassiste septua-génaire a participé avaient commecredo l'exploration. « Explorer ! Tou-jours explorer!Les musiciens n'ontjamais la certitude d'en avoir finiavec l'exploration. » Sans pour celaaller au-delà!

    Les réflexions personnelles quiaccompagnent le dernier CD dumusicien, « Sand Woman » (LabelBleu Amiens/LAutre Distribution),donnent la tonalité de son contenu.Magnifiquement accompagné (Ma-nu Codjia, atmosphérique et coloréà la guitare ; Vincent Lê Quang, saxeténor/soprano; Sébastien Texier,son fil, saxe alto/clarinette; GautierGarrigue, batterie), le leader, à la so-norité ronde et pleine d'ondulations,sert de catalyseur rythmique pourune musique lyrique et climatiquequi ne manque ni de contretempsgroovy dansants ni d'un swing déca-lé sensuel. Avec toujours, en prime,le fascinant côté explorateur. Un vrairégal. Le quintet sera en concert àParis, au Café de la Danse, le 10 mars,puis en tournée en régions.

    Avec les batteures (batteuses ?)

    Anne Pacéo etJulie Saury (digne fillede son père Maxime), son alter egoGéraldine Laurent, la saxophoniste(ténor et soprano) Sophie Alourfait partie de ces brillantes jazzwo-men qui se sont fait une place dechoix dans une musique qui étaitpresque essentiellement masculine,si l'on excepte les chanteuses. Pourson nouvel opus, « Time For Love »(Music From Source/LAutre distri-bution), la leader, qui joue aussi ausein du Lady Quartet de l'organisteRhoda Scott, est retournée aux fon-damentaux, à savoir les standards.Avec un choix particulier pour lesballades. Avec deux compositionspersonnelles, le classique « I LoveYou, Porgy », le très onirique « Sky-lark » ou encore « Every Time WeSay Goodbye », l'élégante saxopho-niste, accompagnée d'invités depremier plan (Stéphane Belmondo,Rhoda Scott, Laurent Coq, AlainJean-Marie, André Ceccarelli), selivre avec une réelle générositésonore, mélodique et harmonique.Difficile de résister à ces charmanteset bonnes vibrations. Concert àParis, au New Morning, le 27 mars.

    Du blues, des protest songs, dela soul, beaucoup de spirituals etde gospel, une pincée de jazz (par-fois très libre) et de voix : tels sontles ingrédients du cocktail servipar Raphaël Imbert dans son nou-veau projet, « Music is My Hope »(Jazz Village/PIAS). Pour cet objetmusical relativement inclassable, lesaxophoniste et clarinettiste bassetempétueux a convoqué Paul Robe-son, chantre du gospel, le chanteurengagé Pete Seeger (« Turn, Turn,

    Sophie Alour

    i A

    filJ t

    / ^

    Imf/J VHenri Texier

    Turn »), Joni Mitchell (« The CircleGame »), deux traditionnels (dontun chanté en provençal !) et un col-lectif d'où se dégagent plusieursvocalistes, parmi lesquelles MarionRampai, et des guitaristes très inspi-rés. Un retour aux sources multiplesqui revendique son originalité et quisera présenté en concert le 14 févrierà l'Alhambra de Paris (dans le cadredu festival Au Fil des Voix).

    Didier Pennequin

    Tous droits de reproduction réservés

    PAYS : France PAGE(S) : 15SURFACE : 28 %

    PERIODICITE : QuotidienJOURNALISTE : Didier Pennequin

    12 février 2018 - N°9639

  •   

               

     

  • Tous droits de reproduction réservés

    PAYS : France

    PAGE(S) : 56-60

    SURFACE : 337 %

    PERIODICITE : Mensuel

    1 janvier 2018 - N°477

  •  http

     

    HenrnouvrencPar Mich

    Mis à jou

    Henri Tex

    CULTU

    IncontTexiercarte p... et lepleineà la fe

    Dps://culturebox

    ri Texievel alcontré.

    hel Mompont

    ur le 07/02/2

    xier et sa band

    UREBOX

    tournabler sort un postale loes nouvees de risqmme et p

    DES .francetvinfo.fr

    er, caplbum:

    tet @Culture

    018 à 21H15

    de.

    X

    e et infatinouvel alors d’un llles qu’il ues et d’

    préserver

    MOTr/des‐mots‐de‐

    itaine a"San

    ebox

    5, publié le 2

    gable avelbum, "Salong voyanous envaventurer la nature

     

    TS DEminuit/discothe

     

    au longd Wo

    27/01/2018 à

    enturier-eand Womage. Plusvoie sonts. Aujoure ...

         

    E MINeque/happy‐bi

    g couroman".

    17H42

    explorateman", coms de cinqut toujoursrd'hui il e

    NUITrthday‐mister‐h

    rs du ja. Nou

    eur, le mumme on euante anss splendidentend ren

     

    T henri‐texier‐26

    azz, sous l'av

    usicien Henvoie unes que celades, exotndre hom

    8543 

    rt un vons

    enri e a dure tiques, mmage

  • Comme on laisse des petits cailloux, Henri Texier, contrebassiste, multi-instrumentiste chanteur, né un 27 janvier, trace sa route, disque après disque depuis 1967. En faisant moins attention, on pourrait croire que cet ensemble impressionnant de productions discographiques raconte une carrière, alors qu’il dessine surtout une œuvre, puissante et admirable. L’œuvre d’un musicien qui s’est toujours tenu aux avant-postes de la musique qui s’invente, l’œuvre d’un artiste inquiet et sensible, à l’écoute du monde. Plus les années passent, plus l’importance et l’originalité d’Henri Texier s’imposent à tous les musiciens, compagnons de route, ou pas. Merveilleuse alliance d’une grande tradition de la contrebasse et d’un modernisme qui n’a jamais eu froid aux yeux. Le temps qui passe ne semble avoir aucune prise sur son jeu : rond, puissant et surtout animé d’une extraordinaire conscience du rythme. Texier ne raconte-t-il pas, parfois, qu’il aurait aimé être batteur? Ce nouvel opus intitulé Sand Woman, ressemble à un film. Un casting de haute volée (mention spéciale au batteur Gautier Garrigue, on en reparlera ...) et un enchaînement de scènes et de paysages qui donnent à l’auditeur la certitude d’un scénario global. Une fois de plus l'amiral Texier est à la barre, comme un grand et doux timonier, à l'enthousiasme intact, un homme qui voit un peu plus loin que les autres, et qui peut donc les guider. Il nous a accordé cette interview où il nous parle bien sûr de musique, mais pas que… (Avec nos remerciements au Théâtre du Rond-Point où cet enregistrement a été réalisé) Henri Texier, catalyseur de toutes les aventures orchestrales, inventeur d’alliages sonores inouïs où le savant et le populaire ne se font pas la gueule, témoin acteur de l’Histoire, alchimiste des rencontres, sera en concert le 31 janvier au Pannonica de Nantes, avant de faire escale au Café de la Danse à Paris, le 10 mars prochain. Pour patienter… il ne nous reste qu'à réécouter son magnifique Sand Woman d'un bout à l'autre, sans escale.

    Henri Texier. Capitaine au long cours. © Elia Zabala

  • PARIS  MOVE HTTPS: / /WWW.PARIS-MOVE.COM/REVIEWS/HENRI-TEX IER-SAND-WOMAN/

     

    HENRI TEXIER – SAND WOMAN LABEL BLEU

    Henri Texier nous embarque avec ce nouvel album, Sand Woman (femme de sable autant que femme sur le sable), dans un fabuleux voyage intemporel. Hors du temps, puisqu’il fait le choix de mélanger dans ce nouvel album au titre assez magique, Sand Woman, des morceaux joués il y a plus de 40 ans: Amir, chez Eurodisc en 1976, ou bien des compositions jamais jouées avec une formation et enregistrées en solo à la même époque, Les Là–Bas, Quand Tout s’Arrête ou Indians qui nous rappelle l’album An Indian’s Week de 1993, avec 2 compositions récentes, Sand Woman et Hungry Man. Pour ce faire il a fait appel à quelques excellents et fameux musiciens qu’il a emmenés avec lui en studio: Manu Codjia à la guitare, Gautier Garrigue à la batterie, Vincent Lê Quang au saxophone, sans oublier, bien entendu, Sébastien Texier au saxophone et à la clarinette. L’ensemble est un “Aller et Retour” permanent entre hier et aujourd’hui, proposant une relecture de certaines partitions à la lumière de toutes les expériences et rencontres vécues en une cinquantaine d’années exceptionnellement riches en rencontres musicales et expériences humaines… ainsi que la publication de nouveaux morceaux. Même une oreille terriblement attentive et perspicace n’arrivera pas à détecter les compositions récentes de ce qui a été exhumé du passé pour le réinterpréter plus de 40 ans plus tard… car l’ensemble est d’une cohérence et d’une beauté à coupe le souffle, sans la moindre parcelle d’un vent malin qui viendrait faire s’envoler quelques grains de sable de la belle Sand Woman. Un disque élaboré par un homme à la stature de “sage” en la matière, qui maîtrise parfaitement son vécu et son “ici et maintenant”, pour offrir 63 minutes de pure extase musicale en 6 titres! Un album ensorceleur qui est à la fois voyage et réflexion sur le temps qui passe, une tranche musicale de Vie et de Temps qui passe, et qu’il nous offre pour nous l’approprier avec lui.

    Dominique Boulay Paris-Move & Blues Magazine (Fr)

     

  •  

    CHR

    HENSAND Henri TeGarrigueLabel / D Henri Tcourage Ajoutez poétiqueprédécesannées upropre pmême cformatios’appliquretour aupourrait Pour par« Les là-Varech pjamais fiqu’on poIndiens dcomplètelui faire jacent etmonde bplaisir à

    RONI

    NRI TWOMAN

    exier (b, come (dms). Distribution

    Texier serait-/ Vingt foisquelquefois

    e à l’écoute sseurs depuiune sorte de passé afin de chant, toujouon. C’est ausue à en respeu thème), masouvent reprrvenir à ce r-bas » et « Qpubliés en leini, il revientourrait aussi d’Amérique.e ce retour ainjure que d

    t ses mélodibrutal et injureconnaître

    https://ww

    IQUE

    TEXIEN mp), Sébastie

    : Label Bleu

    -il un discips sur le métis et souvent

    de Sand Wos le milieu dpère pour tmieux le co

    urs la mêmessi pour lui ecter le cadreais sans jamarocher à bienrésultat en fo

    Quand tout s’eur temps sut aussi sur « comprendre . Mais commaux sources pde dire qu’onies un peu nuste. C’est let redécouvr

    ww.citizenja

    E

    ER

    en Texier (as

    le du poète ier remettez effacez ». O

    Woman, le nodes années 8toute une génnfronter au pe vibration, l’occasion d

    e le plus tradais tomber dan des praticieforme de cou’arrête ») dan

    ur le label JMIndians » docomme un c

    me la musiqupar deux noun identifie in

    nostalgiques.a musique d

    rir en même t

    zz.com/Henr

    , cl), Vincen

    Nicolas Boivotre ouvra

    On pourrait ouveau disqu80 chez Labnération de jprésent. Histseules les c

    d’administreditionnel (expans la routin

    ens du genre.up parfait, Hns son répert

    MS [1]. Partaont l’original clin d’œil à sue est chez Huvelles compnstantanéme Il n’y a au

    d’Henri Texitemps.

    ri‐Texier‐347

    nt Lê Quang

    leau ? « Hâtage / Polissepenser en e

    ue du contrebel Bleu. Cajeunes musi

    toire de montcouleurs varer une formiposition d’un

    ne ni le côté p.

    Henri Texier toire des ann

    ant de cette mfigure sur A

    son précédenHenri Texier positions typint la patte d

    ucune tristessier telle qu’e

    75347.html 

    (ts, ss), Man

    tez-vous lentez-le sans ceeffet à ces vebassiste, pubr celui qui eciens a choitrer que chezriant au fil idable leçon n thème, inteparfois labor

    a puisé par nées 70, celumême idée dn Indian’s W

    nt disque, Skyun fil tendu

    iques de sondu contrebassse chez lui, en elle-mêm

     

    nu Codjia (g)

    tement et sanesse et le repvers extraits blié comme est devenu aisi de reveniz lui, c’est todes changemde jazz, en

    ervention desrieux du gen

    trois fois («ui des albumd’un matériauWeek (1993), y Dancers, déu entre les épn idiome. Ce siste, son blujuste le con

    me, celle qu’

    ), Gautier

    ns perdre polissez / de L’art tous ses

    au fil des r sur son

    oujours le ments de

    n ce qu’il s solistes,

    nre, qu’on

    « Amir », s Amir et u musical un choix

    édiés aux poques, il n’est pas ues sous-

    nstat d’un on prend

  • Et comme Henri Texier n’aime rien tant que d’essayer le mélange de nouvelles couleurs, le voici qui vient avec une formation inédite, parfois baptisée Twiga Quintet, qu’on connaît maintenant comme Sand Quintet. On y retrouve deux musiciens fidèles : l’incontournable Sébastien Texier (saxophone alto et clarinette) et Manu Codjia (guitare), régulièrement présent depuis l’époque du Strada Sextet, auxquels viennent se greffer deux petits nouveaux : le saxophoniste Vincent Lê Quang, découvert à l’occasion d’une rencontre improvisée à trois avec Aldo Romano [2] et le batteur Gautier Garrigue, musicien en pleine ascension. Et puisqu’il est question de greffe, force est de constater que celle-ci prend parfaitement : c’est un vrai plaisir que de goûter au propos volubile de Vincent Lê Quang (magnifique au saxophone soprano en particulier) et aux couleurs plus étincelantes et atmosphériques que jamais de Manu Codjia. Gautier Garrigue quant à lui trouve instantanément sa place : la fluidité de son jeu, son alliage de souplesse et de force sont les meilleurs partenaires du jeu d’Henri Texier, qui sait constamment se frayer un chemin entre groove et émotion. La prise de parole des uns et des autres n’est jamais un exercice de style, elle forme un assemblage de chants inspirés par la vibration du grand monsieur qui les a réunis. On pourrait dire de Sand Woman qu’il est un disque classique d’Henri Texier. Certains iront peut-être même jusqu’à le lui reprocher. En cela, ils auraient tort parce qu’ils oublieraient l’essentiel : la vérité et la sincérité d’un musicien qui n’a plus rien à démontrer, maîtrisant parfaitement son art et d’une générosité sans faille. Sa femme de sable est en outre d’une grande élégance.

    par Denis Desassis // Publié le 4 février 2018  

        

    [1] Le label JMS a réédité depuis sous la forme d’un double CD les trois disques enregistrés alors, pour l’essentiel en solitaire par Henri Texier : Amir (1976), Varech (1977) et À cordes et à cris (1979). [2] Le trio a publié sur le label du Triton un disque intitulé Liberi Sumus ! en 2016.

     

  • IMMAN

    Henri T

    Le jeune sscène en adernier albinstrumenpuisées dapièce plusMan » et Pourquoi dans le tetoujours a

    Ce n’est drénovationà de nouveroue du dréussit à insans douteest immédmariage dd’avoir afexpérimen

    http://ww

    NQUAB

    Texier, S

    septuagénaarchéologuebum, autou

    ntiste et enans l’albums récente ve

    « Sand Wchoisir auj

    exte de pocaller plus lo

    donc pas à un architectueaux matér

    destin, non nsuffler que pas revisdiate tant ldes textureffaire à unentations des

    ww.djamlar

    BLE!

    Sand Wo

    ire qu’est le de lui–mur de pièce

    n re-recordm Amir de enue des an

    Woman » sajourd’hui cchette, d’enoin, creuser

    une simpleurale : on griaux, de no

    plus en suelque chossitées depule chant, laes répondene grande fos Jazz Mes

    revue.com/

    oman (La

    le contrebaême. Il a c

    es ancienneing. « Ami1976 et da

    nnées 1990ans qu’il ycette postun avoir finr encore, po

    e relecture garde les foouveaux esolitaire mase d’ardentis des lustra danse et nt présents

    formation. ssengers ma

    /blog/2018/

    abel Bleu

    assiste Henhoisi de coes qu’il avair », « Lesans Varech0 ; il y ajouy ait de hi

    ure ? Parceni dans l’exour faire su

    qu’il s’appondations, spaces, de nais entourét et de mélares. Avouola pulsatio

    s. C’est siJ’en arrivaais revue e

    /2/25/henri-

    u)

    nri Texier somposer le ait enregists Là-bas »

    h qui lui esute deux coiatus tant i qu’il n’avxploration urgir de no

    plique maisles ossaturnouveaux é

    é de musicancolique àons-le, la gon, le sensi puissant ais souventt corrigée p

     

    -texier-sand

    ’octroie le répertoire trées en so

    », « Quand t de 1977

    ompositionsil y a contvait pas la des thèmeuvelles sen

    s bien à uneres, la façaéclairages.

    ciens d’uneà des compgageure est de l’espacque parfoi

    t à penser par le bel a

    d-woman

    droit de sede Sand W

    olitaire maitout s’arr

    ; «Indians récentes tinuité de certitude,

    es et parcensations ?

    e mise en cde mais onEn faisant

    e autre génpositions qut tenue : lace, de la mis on a le à une déri

    aujourd’hui

    e mettre enWoman, son

    is en poly-rête » sontns» est une: « Hungryla pensée.confie-t-il qu’il faut

    chantier den fait appelt tourner lanération, ilu’il n’avaita séductionmélodie, le

    sentimentivation desi.

    n n -t e y

    l t

    e l a l t n e t s

  • Le choix des partenaires n’y est pas pour rien. On se doit de souligner en priorité la respiration rythmique de Gautier Garrigue toujours en affinités électives avec la contrebasse physique du leader. L’assise est là, implacable. Les envolées lyriques en déflagrations jazz rock du guitariste Manu Codjia épousent les growls des clarinettes de Sébastien Texier et les couleurs du sax ténor de Vincent Lê Quang (ce dernier est une belle découverte pour moi).

    Fantasque, aérienne et tout à la fois terrienne, la musique qui est une sorte d’invitation au voyage dans l’espace et le temps ne me semble pas totalement en symbiose avec l’image véhiculée par la photo de la femme des sables, allongée sur la plage comme une Ophélie.

    Ecoutez la playlist de Henri Texier

    Chroniques - par Philippe Lesage - 25 février 2018

  • LAPlaylist

    par Hen

    1 Minue

    2 Miles

    3 Va Da

    4 Est-ce

    5 La ch

    6 Better

    7 Summ

    8 Turna

    9 Love

    10 Lont

    11 Bebo

    12 It Do

    13 Shak

    14 My F

    http://ww

    A PLAs

    nri Texie

    et Circa

    tones by

    a Du by

    e aimer b

    anson d’

    r Git It in

    mertime b

    around by

    For Sale

    tananza b

    op by Di

    on’t Mea

    kalaka by

    Funny V

    ww.djamlare

    AYLI

    er - 19 f

    by Stan

    y Miles D

    Art Farm

    by Alain

    ’hélène b

    n Your S

    by Miles

    y Ornate

    e by Dex

    by Aldo

    izzy Gill

    an a Thin

    y Paul M

    Valentine

    evue.com/pl

    IST D

    février 2

    Getz &

    Davis

    mer Qua

    n Bashun

    by Youn

    Soul by C

    s Davis

    e Colem

    xter Gord

    Romano

    lespie/Ch

    ng by He

    Motion

    e by Tho

    laylists/2018

    DE H

    018

    Bob Bro

    artet

    ng

    n Sun Na

    Charles

    an

    don

    o

    harlie Pa

    elene Me

    omas de P

    8/2/19/la-pl

    HENR

    ookmeye

    ah

    Mingus

    arker

    errill

    Pourque

     

    laylist-de-he

    RI T

    er

    ry + Red

    enri-texier

    EXIE

    d Star Or

    ER

    rchestra

  •  

    Les DNJ Jazz is here!  www.lesdnj.com    

    5 février 2018

    Henri TEXIER Sand Quintet SAND WOMAN

    HENRI TEXIER SAND WOMAN Label Bleu / L'autre Distribution Sortie 2 février 2018 Notre contrebassiste breton au calot rond a profité du double anniversaire de l'Europa Jazz Festival qui fêtait ses trente ans et de son premier label JMS sur lequel il avait enregistré en solo il ya quarante ans, pour mettre au point un de ses projets malins dont il a le secret. Ecrire un nouveau chapitre d'une histoire musicale qui a débuté en 1967 et créer un autre de ses "orchestres" utilisant l'alchimie entre les acteurs de cette nouvelle dramaturgie. Le thème est venu du constat simplement accablant que 80% des plages du monde ont déjà disparu pour récupérer le sable, ressource naturelle des plus précieuses. La femme est un fil conducteur toujours passionnant à suivre, un sujet incontournable dans une narration. Le titre était alors tout trouvé: c'est "Sand Woman" que rend magnifiquement l'illustration de la pochette, un collage de Prévert, le mouvement des marées, des plus étonnants, tout à fait raccord avec le projet du contrebassiste. Où l'on voit que le poète n'avait pas que le talent d'agencer les mots. Texier explique parfaitement dans ses notes de pochette pourquoi il a eu l'idée de reprendre des thèmes joués autrefois en solo, inédits en orchestre donc, pour laisser le jazz advenir avec un nouvel équipage, un quintet de charme et surtout de choc. "Remettre ses pas dans de lointaines traces... aller plus loin , toujours plus loin mais pas forcément au delà." Reprendre les thèmes, autrement, continuer à creuser le sillon inlassablement avec d'autres idées, n'est-ce pas une des constantes du jazz? Ainsi du thème "Amir", premier thème joué il ya 43 ans pour le label JMS, qui est repris aujourdhui en variant avec des passages à l'unisson où guitare et contrebasse sonnent comme un oud.

  • Sa réputation de mélodiste n'étant plus à faire, ni à remettre en question, on reconnaît immédiate ment la "signature"Texier, quoi de plus passionnant que de tenter l'exploration sonore avec la guitare de Manu Codjia, l'un de ses fidèles compagnons de route, d'associer les timbres de Vincent Lê Quang au soprano et ténor à ceux des clarinettes et sax alto de son fils Sébastien, qu'il qualifie joliment de compagnon "de bientôt toujours". Quant à Gauthier Garrigue, le batteur, rien que le nom évoque des sonorités intéressantes. On entend donc six compositions anciennes amplement développées par la grâce du jouage et de l'improvisation collectives, un blues lancinant et un "Indians" qui va chercher du côté d'un de ses grands succès sur Label Bleu, le formidable An Indian's week, à moins que ce ne soit le contraire, chronologiquement. Mais l'inspiration de Texier fait retour éternellement, défrichant en profondeur, sans jamais se lasser. Pour notre plus grand plaisir. sophie chambon

  •  

     

    http://jazzaroundmag.com/?p=17617  

    Henri Texier, Sand Woman LABEL BLEU

    Un nouvel album d’Henri Texier, de surcroît avec une nouvelle formation, constitue toujours un événement majeur. Aux côtés de son fils Sébastien (saxophone alto et clarinettes), le contrebassiste breton retrouve Manu Codjia à la guitare : « Manu, c’est le musicien, à part Sébastien, que je sens le plus proche de mon univers, l’un des plus grands musiciens que je connaisse et que je retrouve après bientôt cinq ans. » A la batterie, un tout nouveau complice, Gautier Garrigue. Diplômé des Conservatoires de Perpignan et de Paris, il a côtoyé Michel Portal, Eric Barret, le pianiste Roberto Negro ou le trompettiste David Enhco (album « Horizons »): « Garrigue, c’est une histoire amusante : depuis toujours, attiré par son nom, j’ai suivi son parcours dans la presse et, finalement, je suis allé l’écouter : je fus convaincu par sa respiration rythmique, le son, sa manière de danser sur la crête des vagues du tempo ». Aux saxophones ténor et soprano, Vincent Lê Quang, du Conservatoire de Paris : il a joué avec Daniel Humair (album « Seasoning ») et croisé Texier en trio (album « Liberi sumus ») : « J’ai rencontré Vincent lors d’une invitation d’Aldo Romano à donner un concert en trio totalement improvisé : immédiatement, j’ai ressenti une très grande affinité et ai aimé sa manière de jouer et d’aborder la musique ». Donc, pour ce « Sand Woman », une formation à deux saxophones qui multiple les possibilités d’alliances sonores, comme au sein du Strada Sextet, du Hope Quartet ou du Sky Dancers Sextet (Sébastien Texier-François Corneloup), du Nord-Sud Quintet (Francesco Bearzatti-Sébastien Texier) ou lors du Concert Anniversaire Label Bleu à Amiens en 2016 (Michel Portal-Thomas de Pourquery) et, à chaque fois, avec l’assurance que chacun, dopé par l’enthousiasme et la vitalité de ce « hungry man » de leader, donne le meilleur de lui-même.

  • Au départ de cet album, une proposition d’Armand Meignan : célébrer l’anniversaire du festival du Mans mais aussi celui des premiers albums LP enregistrés par Texier en solo absolu pour le label JMS. On retrouve ainsi des arrangements tout neufs d’Amir et de Quand tout s’arrête du LP « Amir » de 1976; Les là-bas du LP « Varech », autre album solo; Indians de l’album « An Indian’s Week » de l’Azur Quartet avec Glenn Ferris et Bojan Z, gravé en 1993 et deux nouvelles compositions : Hungry Man, au titre évocateur, et Sand Woman qui donne son titre à l’album : « Explorer, toujours explorer. Découvrir mais pas indispensablement en des territoires nouveaux, redonner une âme à des compositions anciennes, faire apparaître de nouvelles sensations… » Au total, six longues plages, de 10 à 12 minutes, à l’exception des sept minutes de Quand tout s’arrête, qui permettent à chacun de s’exprimer ad libitum comme lors d’un concert live au travers de longs solos : guitare aux accents luminescents sur Amir, Sand woman ou Hungry Man, ténor puissant sur Amir, Hungry man ou Les là-bas, alto volubile sur Amir ou Les là-bas, soprano et clarinette alto sur Quand tout s’arrête et, évidemment lumineux solos de contrebasse, sur Sand Woman, Indians, Les là-bas, Quand tout s’arrête ou ce Hungry Man sur un motif lancinant . Cela permet aussi de varier les alliances sonores : tenor et alto sur Amir ou Les là-bas, soprano et clarinette basse ou alto sur Sand Woman ou Quand tout s’arrête. Au total, un univers immédiatement reconnaissable pour la beauté de ses mélodies mais aussi pour celle de ses alliances sonores irisées. Bref une musique qui vous propulse en apesanteur : face à une musique jouée avec une passion extrême, peut-on en parler autrement qu’avec une passion équivalente ?

    Claude Loxhay

    Concerts 10 mars : Paris, Café de la danse

    05 avril : Amiens, Maison de la Culture

    26 mai : Etrechy, Salle Jean Monet

    29 mai : Senart, Théâtre

  • Hen

    Label Bl

    Un nouvévénem

    Aux côtéManu Cde mon cinq ans

    A la baPerpignatrompetttoujoursl'écouterdes vag

    Aux saxDaniel HVincent immédiala musiq

    Donc, pd'alliancSextet SébastieThomaset la vita

    Au dépaMans mlabel JM

    nri Te

    leu

    vel album dment majeur.

    és de son filCodjia à la g

    univers, l'uns."

    atterie, un toan et de Patiste David

    s, attiré par r: je fus con

    gues du temp

    xophones téHumair (albulors d'une

    atement, j'aique".

    pour ce Sances sonores(Sébastien en Texier) os de Pourqualité de ce "h

    art de cet albmais aussi cMS.

    exier

    'Henri Texie

    ls Sébastienguitare: "Mann des plus g

    out nouveaaris, il a côEnhco (albson nom, j

    nvaincu par spo".

    nor et sopraum Seasoninvitation d'i ressenti un

    nd Woman,s, comme a

    Texier-Franou lors du Cery) et, à chhungry man"

    bum, une prcelui des pre

    http://

    - San

    er, de surcr

    n (saxophonnu, c'est le

    grands music

    u complice,ôtoyé Michebum Horizoj'ai suivi sonsa respiratio

    ano, Vincening) et crois'Aldo Romane très gran

    une formau sein du Snçois Corne

    Concert Annihaque fois, a" de leader,

    roposition d'emiers albu

    /www.jazzh

    nd Wo

    roît avec un

    ne alto et clamusicien, à ciens que je

    , Gautier Gl Portal, Eri

    ons): "Garrign parcours on rythmique

    nt Lê Quangsé Texier enno à donne

    nde affinité e

    ation à deuxStrada Sexteloup), du iversaire Laavec l'assurdonne le m

    'Armand Meums LP enre

    halo.be

    oman

    e nouvelle f

    arinettes), lepart Sébas

    e connaisse

    Garrigue. Dic Barret, legue, c'est udans la pre

    e, le son, sa

    g, du Consen trio (albumer un conceet ai aimé sa

    x saxophontet, du Hop

    Nord-Sud bel Bleu à A

    rance que cheilleur de lu

    eignan: célébegistrés par

    formation, c

    e contrebassstien, que je

    et que je re

    Diplômé dese pianiste Rune histoireesse et, finaa manière de

    ervatoire de m Liberi sumert en trio toa manière d

    nes qui multpe Quartet oQuintet (F

    Amiens en 2hacun, dopéi-même.

    brer l'anniver Texier en

    constitue tou

    siste breton sens le plu

    etrouve aprè

    s ConservatRoberto Nege amusantealement, je e danser sur

    Paris: il a jomus): "J'ai rotalement imde jouer et d

    tiple les poou du Sky rancesco B2016 (Micheé par l'entho

    ersaire du fesolo absolu

    ujours un

    retrouve s proche

    ès bientôt

    toires de gro ou le e: depuis

    suis allé r la crête

    oué avec rencontré mprovisé: d'aborder

    ossibilités Dancers

    Bearzatti-el Portal-ousiasme

    estival du u pour le

  • On retrouve ainsi des arrangements tout neufs d'Amir et Quand tout s'arrête du LP Amir de 1976; Les là-bas du LP Varech, autre album solo; Indians de l'album An Indian's Week de l'Azur Quartet avec Glenn Ferris et Bojan Z, gravé en 1993 et deux nouvelles compositions: Hungry Man, au titre évocateur, et Sand Woman qui donne son titre à l'album: "Explorer, toujours explorer. Découvrir mais pas indispensablement en des territoires nouveaux, redonner une âme à des compositions anciennes, faire apparaître de nouvelles sensations..."

    Au total, six longues plages, de 10 à 12 minutes, à l'exception des sept minutes de Quand tout s'arrête, qui permettent à chacun de s'exprimer ad libitum comme lors d'un concert live au travers de longs solos: guitare aux accents luminescents sur Amir, Sand woman ou Hungry Man, ténor puissant sur Amir, Hungry man ou Les là-bas, alto volubile sur Amir ou Les là-bas, soprano et clarinette alto sur Quand tout s'arrête et, évidemment lumineux solos de contrebasse, sur Sand Woman, Indians, Les là-bas, Quand tout s'arrête ou ce Hungry Man sur un motif lancinant. Cela permet aussi de varier les alliances sonores: tenor et alto sur Amir ou Les là-bas, soprano et clarinette basse ou alto sur Sand Woman ou Quand tout s'arrête.

    Au total, un univers immédiatement reconnaissable pour la beauté de ses mélodies mais aussi pour celle de ses alliances sonores irisées.

    Bref une musique qui vous propulse en apesanteur: face à une musique jouée avec une passion extrême, peut-on en parler autrement qu'avec une passion équivalente? © Claude Loxhay Article aussi publié par jazzaroundmag.com

    Concerts 2018:

    Paris, Café de la danse: 10 mars Amiens, Maison de la Culture: 5 avril Etrechy, Salle Jean Monet: 26 mai Senart, Théâtre: 29 mai

  • h t t p : / / j a z z - a - b a b o r d . b l o g s p o t . f r /

    2 m a r s 2 0 1 8

    Sand Woman – Henri Texier

    Pour fêter les quarante ans du label JMS et les trente-cinq ans de partenariat entre le Palais des Congrès de Mans et le festival Europajazz, les protagonistes se retrouvent le 25 avril 2017 pour une soirée anniversaire autour de trois artistes-phare du label : le regretté Didier Lockwood (qui a joué à l’Europajazz en octobre 1981…), Jean-Yves Lacombe avec le groupe vocal TSF et Henri Texier.

    En 1975, Jean-Marie Salhani fonde Eurodisc, bientôt rebaptisé JMS, et construit un catalogue impressionnant qui va de Lockwood à Texier en passant par Martial Solal, Louis Sclavis, Joe Zawinul, Alan Holdsworth… Et c’est en octobre 1982 que le Palais des Congrès du Mans accueille pour la première fois l’Europajazz…

    A l’occasion du concert-anniversaire de JMS, et comme il aime le faire, Texier a monté un quintet dans lequel se côtoient des compagnons de route de longue date et des nouveaux venus : au saxophone alto et aux clarinettes, Sébastien Texier, présent dans les différentes formations de son père depuis plus de vingt ans ; à la guitare, Manu Codjia, déjà membre des Strada Sextet et Red Route Quartet ; aux saxophones ténor et soprano, Vincent Lê Quang, avec qui Texier a joué récemment au sein d’un trio avec Aldo Romano ; un nouveau venu tient la batterie, Gautier Garrigue, recommandé par Codjia.

    En automne 2017, le quintet enregistre Sand Woman pour Label Bleu, avec l’incontournable Philippe Teissier du Cros derrière les micros. Pour illustrer la pochette du disque, Texier a choisi « Le mouvement des marées », un collage dans les tons gris signé Jacques Prévert et tiré du recueil Fatras, qui représente une femme fantomatique - ni George, ni de sable - allongée sur une plage, par nuit de pleine lune…

    Le répertoire de Sand Woman reprend trois morceaux enregistrés pour Eurodisc – JMS : « Amir » et « Quand tout s’arrête » sont tirés d’Amir, le premier opus de Texier, enregistré en solo en 1976 ; « Les là-bas » figure sur Varech, deuxième opus du contrebassiste, toujours en solo et sorti en 1977. « Indians » est repris de l’album An Indian‘s Week, publié par Label Bleu en 1993. Quant à « Hungry Man » et « Sand Woman », il s’agit de deux nouvelles compositions.

  • Sand Woman est bien ancré dans l’univers musical de Texier : des belles ritournelles (« Sand Woman ») invitent à la ronde (« Indians »), portées par des riffs envoûtants (« Hungry Man »), des développements denses (« Les là-bas ») et un son de groupe intense (« Quand tout s’arrête »). Même si des touches rock (« Sand Woman ») et de free (« Indians ») se glissent ça-et-là, Sand Woman s’aventure plutôt dans les territoires néo hard bop (« Amir ») et blues (« Hungry Man »).

    Texier aime associer deux soufflants dans ses formations : Sébastien, bien sûr, mais souvent accompagné de François Corneloup, Francesco Bearzatti, Glenn Ferris, Georgy Kornazov… ou Lê Quang. Redoutable improvisateur, le saxophoniste se joue des techniques étendues avec une facilité déconcertante (« Amir »), s’envole volontiers vers des cieux free (« Sand Woman »), mais connaît également son abécédaire bop sur le bout des doigts (« Les là-bas »). Sébastien Texier est égal à lui-même et nage dans la musique du contrebassiste comme un poisson dans l’eau : sonorité profonde et ouatée (« Amir »), bilingue hard bop (« Amir ») et blues (« Hungry Man »), tantôt agile et bondissant (« Les là-bas »), tantôt majestueux (« Quand tout s’arrête »)… La guitare électrique métallique (« Les là-bas ») ou aérienne (« Amir ») de Codjia apporte des couleurs rocks (« Sand Woman »). « Hungry Man » est taillé sur mesure pour les lignes bluesy, distorsions, échos et autres saturations de la guitare. Avec Garrigue, Texier a trouvé un nouveau batteur à la fois physique et subtil, attaché à la pulsation et musical : aussi à l’aise avec un chabada régulier (« Amir »), qu’avec un jeu touffu (« Sand Woman »), des frappes sur les cymbales ponctuées de rim shot (« Hungry Man ») ou des roulements de tambours tribals (« Les là-bas »). Comme à son habitude Texier soutient son quintet avec des walking dynamiques (« Amir »), des riffs bluesy entraînants (« Hungry Man »), des ostinatos puissants (« Indians »)… et ses chorus racontent toujours des histoires formidables (« Quand tout s’arrête »).

    « Les musiciens de jazz n’ont jamais la certitude d’en avoir fini avec une exploration », écrit Texier. En inlassable conteur de sons, il le prouve une fois de plus avec Sand Woman : toujours à l’affût d’une trouvaille, sa musique a beau être familière, elle reste une source d’inspiration inépuisable…

    Le disque

    Sand Woman Henri Texier Quintet Vincent Lê Quang (ts, ss), Sébastien Texier (as, cl b, cl), Manu Codjia (g), Henri Texier (b) et Gautier Garrigue (d). Label Bleu – LBLC6728 Sortie 2 février 2018 Liste des morceaux

    01. « Amir » (12:05). 02. « Sand Woman » (10:55). 03. « Hungry Man » (10:59). 04. « Indians » (10:01). 05. « Les là-bas » (12:15). 06. « Quand tout s'arrête » (7:02).

    Tous les morceaux sont signés Texier. Publié par Bob Hatteau 

  •  

    https://www.latins-de-jazz.com/henri-texier-revient-avec-sand-woman/

    Henri Texier revient avec « Sand Woman » par Nicole Videmann | 31 janvier 2018 | Chorus, Tempo

    Alchimie radieuse des alliages sonores Le contrebassiste et compositeur Henri Texier revient le 02 février 2018 avec son dernier projet « Sand Woman ». Un nouveau chapitre de son passionnant récit musical. Des titres récents côtoient des compositions anciennes qui se dotent de nouvelles couleurs. Un hommage à la femme et aux sables pillés par les hommes.

    Henri Texier revient avec son tout récent projet « Sand Woman » (Label Bleu/L’Autre Distribution). Avec cet album annoncé pour le 02 février 2018, le contrebassiste aborde une nouvelle étape du chemin musical qu’il a entrepris depuis 1967. Toujours soucieux d’inventer, de renouveler son art et son inspiration il demeure aux avant-postes du jazz. Chez lui coexistent avec un équilibre qui lui appartient en propre, la dimension rythmique de son jeu, la recherche mélodique de ses thèmes et la richesse harmonique de son écriture. Sur le livret de l’album, Henri Texier affiche avec une flamme débordante sa manière de concevoir son nouveau projet. « Explorer ! Toujours explorer ! Du nouveau ! Toujours du nouveau ! Les musiciens de Jazz n’ont jamais la certitude d’en avoir fini avec une exploration. Aller plus loin, toujours plus loin mais pas forcément « au‐delà » ! Découvrir ! Toujours découvrir !…Certainement, mais pas indispensablement en des territoires nouveaux… Là, tout près, il y a toujours et encore de la musique à embrasser, pour rejouer son destin, remettre ses pas en de lointaines traces, faire apparaître des nouvelles sensations, vibrations différentes, redonner une âme à des compositions anciennes, oubliées, estompées… » Le leader conçoit le répertoire à partir d’anciennes compositions choisies dans ses disques JMS enregistrées en solo absolu et jamais jouées par ses propres groupes. Ainsi, Amir, Les Làs-Bas, Quand Tout s’Arrête et Indians imaginées dans les années 90 côtoient deux compositions récentes Hungry Man et Sand Woman. Il propose ce matériau aux musiciens pour qu’ensemble ils improvisent, créent et élaborent un nouvel univers. Grâce à son enthousiasme, au substrat des compositions et à la combinaison des cinq talents réunis, le « Sand Quintet » parvient avec à « faire du neuf avec du vieux ».

  • Pour cette nouvelle aventure Henri Texier embarque avec une nouvelle équipe composée d’anciens et de nouveaux compagnons réunis à l’origine pour un concert proposé pour célébrer l’anniversaire du Festival Europa Djaz du Mans et celui du label JMS avec lequel il a enregistré ses premiers albums en solo. Après la prestation Henri Texier conçoit de prolonger le concert qui devient ainsi la première étape du projet « Sand Woman ». Sur « Sand Woman » aux côtés d’Henri Texier des musiciens de talent qu’il a choisis à dessein. Sébastien Texier (saxophone alto, clarinettes) compagnon de « bientôt toujours », Manu Codjia (guitare) qu’il retrouve après bientôt cinq ans, Vincent Lê Quang (saxophones ténor et soprano) avec lequel il a déjà échangé dans des contextes d’improvisation totale et Gautier Garrigue (batterie) dont il a suivi la carrière avec attention. Le jeu puissant du contrebassiste conserve sa richesse harmonique, sa puissance rythmique, sa modernité et son inventivité. Porteuse de respiration, la pulsation qu’insuffle Henri Texier est relayée avec swing et légèreté par le jeune Gautier Garrigue qui danse avec le tempo. Le phrasé unique et la palette sonore sans pareille de Manu Codjia propulse la musique dans ces sphères vibrantes et sidérales qu’il maîtrise à la perfection. Les timbres des saxophones de Vincent Lê Quang s’unissent avec bonheur avec les souples textures qui coulent des anches de Sébastien Texier. Tous deux font alterner flots de lave déchirée et de sages lianes caressantes. La vie imprègne les six plages de « Sand Woman ». Des alliages sonores se dégage une alchimie radieuse. Couleurs chatoyantes, contrastes exacerbés, douce sérénité, tension paroxystique. Le blues pointe son nez, le rock affleure. Les émotions se télescopent, nostalgie, colère, espoir, désir, tendresse, étonnement. De main de maître Henri Texier conduit son bateau sur de nouveaux territoires où l’on a envie d’aborder et de demeurer. Àl’occasiondelasortiedel’album«SandWoman»,lecontrebassisteetcompositeurHenriTexierprésentesonnouveaugroupeauCafédelaDanselesamedi10mars2018à20h00àParis. Belle occasion d’écouter live,HenriTexierSandQuintet avecVincentLêQuang(saxophones soprano et ténor), Sébastien Texier (saxophone alto et clarinettes), ManuCodjia(guitare)etGautierGarrigue(batterie).

     

  • Le Souffle Bleu Le jazz et la révolution : beau programme 

    http://soufflebleu.fr/2018/04/08/jazz‐7/ 

     

    JAZZ, Henri Texier Publié le avril 8, 2018

    L’ancien dans le nouveau. Et vice versa

    Henri Texier a eu envie, après les concerts pour le 30e anniversaire du Label bleu, de reprendre quelques-unes de ses anciennes compositions, celles du temps de Salhani. Pour ce faire, redonner vie à ces musiques, il a structuré un nouveau groupe. Sébastien Texier est toujours au saxophone alto et clarinette et Manu Codjia à la guitare – qui semble chez lui – mais Vincent Lê Quang ajoute son saxophone ténor et son soprano aux fureurs des deux précédents pour les forcer dans des retranchements qui se sont construits jour après jour, concert après concert, comme Gauthier Garrigue sa batterie. Ce nouveau quintet pour sortir de toutes les ornières ou essayer. « Amir » semble dévoiler de nouvelles facettes, pourtant l’ensemble reste baigné dans les deux précédents albums. Les compositions anciennes y gagnent une nouvelle vigueur tout en laissant l’auditeur dans une atmosphère inchangée. Pour qui n’a pas fréquenté Henri Texier depuis ses débuts, n’est pas sensible aux changements de « feeling » de ces compositions. La cause se trouve, étrangement, dans les nouvelles compositions – « Sand Woman » qui donne aussi son titre à l’album, « Hungry Man », « Indians » – qui ne tranchent pas avec l’atmosphère des albums précédents. On attend de Texier tellement que, lorsque la rupture n’est pas évidente, la déception affleure. Il reste le plaisir. Celui d’entendre un groupe homogène capable de dépasser souvent ses propres limites pour crier au monde qu’il temps que cesse la barbarie. Nicolas Béniès « Sand Woman », Henri Texier, Label Bleu distribué par l’Autre Distribution.

  •  

    Henri T

    Toujours pour tentebien y regconstant esont Vinctemps-ci) Mr Henriun sacré c« Quand tMan écritfamilier mdans cettejouer de Msatisfait. I

    > Label Bl

    Henri Texsoprano /Garrigue

    01. Amir /Quand tou

    wikipe

    wikipe

    maitem

    TEXIER

    animé par er de nouv

    garder, on ret Manu Ccent Lê Q et Gautie. La bonnecoup de jeutout s’arrêtes plus réc

    mais l’approe formationManu CodjIl tient là u

    leu - LBLC

    xier : contr/ Sébastien: batterie.

    / 02. Sandut s’arrête

    dia.org/Lab

    dia.org/He

    music.com/

    R : « San

    la même eveaux assemretrouve naCodjia, déjuang, déc

    er Garrigue idée, c’estune (« Amiête »). Il falcemment. Uoche s’est rn, la complia, le prése

    une de ses m

    C6728 / L’A

    rebasse, comn Texier : sa

    d Woman /e // Enregis

    bel_Bleu

    nri_Texier

    Henri-Texie

    http:/

    nd Wom

    envie de jomblages, Haturelleme

    éjà présent cidément true, excellet de reprenir » par exellait bien uUn assembrenouveléelicité entreence rythmmeilleurs f

    Autre Distr

    mpositionaxophone a

    / 03. Hungstré à Amie

    er

    //www.culture

    man »

    uer sa musHenri Texent le fiston dans des près sollicitéent batteurndre de vieiemple, rep

    un peu de nblage qui ce et ça, on ae Vincent L

    mique de Gaformations

    ribution

    s / Vincentalto, clarin

    gry Man / 0ens en octo

    ejazz.fr 

    sique et dexier revienn, Sébastiprojets préé (il est ausr qui a toutilles compo

    prise de l’alnouveauté aompose unapprécie !

    Lê Quang eautier Garr

    s depuis plu

    t Lê Quangnettes / Ma

    04. Indianobre 2017.

    e rencontret avec un sien Texie

    écédents. Lssi avec Dat de suite faositions qulbum éponavec Sand n bel ensem Considéraet Sébastienrigue, Henusieurs ann

    g : saxophoanu Codjia

    ns / 05. Les

    er des musisuperbe qur en éléme

    Les nouveauaniel Humaait la paire ui reprenne

    nyme (1976 Woman etmble : l’uniant l’esprit n Texier, la

    nri Texier pnées.

    ones ténor : guitare /

    s Là-Bas /

    iciens uintet. À ent ux arrivés air ces avec ent ainsi

    6) comme t Hungry ivers est qui règne a rage de peut être

    et / Gautier

    06.

  • Henri Texier, Sand Woman ; Gildas Boclé, So In Love ; Jacky Molard 4tet, Mycélium : trois jazzmen bretons dans les cordes ! 13 février 2018, par Alain Lambert ——

    Mon premier est un contrebassiste incontournable de la scène jazz qu'il

    anime depuis des décennies. Son avant-dernier album, un live pour fêter ses

    cinquante ans de carrière était plutôt décevant. Mais Sand Woman (Label Bleu

    2018), sorti début février, retrouve le feeling habituel, l'art des mélodies

    arrangées et des longues impros imaginatives. Henri Texier et son fils

    Sébastien, aux clarinettes et au sax alto, sont depuis un moment le noyau

    stable, auquel s'adjoignent les nouveaux, Vincent Lê Quang aux ténor et

    soprano, Manu Codja à la guitare et Gautier Garrigue à la batterie. Si Sand

    Woman et Hungry Man sont des compositions récentes, la bonne idée est d'y

    ajouter Indians, de l'époque de l'Azur 4tet, aussi des compositions jouées en

    solo du temps du vinyle : Amir, Les Là-Bas, Quand tout s’arrête qu'il est

    captivant de redécouvrir sous ces nouveaux atours, guitare ondoyante, saxs

    profonds, clarinette volubile, emportés par la basse et la batterie, tout en

    laissant le temps et sans jamais lasser.

    À retrouver en live le 10 mars, au Café de la Danse, à Paris, le 5 avril, à

    Amiens, le 26 mai, à Etrechy et le 29 mai, à Sénart.

  • Musiculture Le Site Des Musiques Métissées et Urbaines

    http://www.musiculture.fr/texier/  

    TEXIER Posted on 13 février 2018 by christophe

    Henri Texier est un parisien de souche. Il a commencé sa carrière à l’âge de quinze ans dans des clubs de la capitale comme pianiste. Rapidement, il se tourne vers la bass pour jouer avec le groupe de Jef Gilson.

    Lecteur audio

    http://www.musiculture.fr/wp-content/uploads/2018/02/06-Quand-tout-sarrête.mp3

  • Cette expérience le met en contact avec le batteur Daniel Humair. Ensemble, ils deviennent la meilleure section rythmique de la France des années 1960. Très vite, ils tournent avec les stars américaines du jazz telles Bud Powell, Donald Byrd, Phil Woods, Dexter Gordon et Chet Baker.

    En 1968, Texier et Humair sont rejoint par le pianiste Martial Solal. Le trio travaille avec le saxophoniste Lee Kunitz. La même année, Texier forme le groupe “European Rhythm Machine” avec Woods, Humair, Gordon Beck et George Gruntz.

    Dans les années 1970, il prend le temps d’apprendre le oud, la flûte et le violon ainsi que les percussions. Le monsieur se met également au chant. A son retour, il officie régulièrement aux côtés de Louis Sclavis et d’Aldo Romano. En 1986, il entreprend une relation fructueuse avec le label “Label Bleu”.

    Dans les années 1990, son fils Sébastien rejoint la formation du papa assurant souvent la clarinette. On le retrouve régulièrement sur les terres d’Afrique Du Nord. A la fin des années 2010, ce formidable contrebassiste est connu et reconnu pour son style unique loin des formats et des sons imposés par les américains. En juin 2001, il était fait chevalier de la légion d’honneur.

    2018, année de “Sand Woman”. Six titres dont cinq au dessus des dix minutes. Un jazz tendu, dense et terriblement groovy. A la façon d’un Prince sur N.E.W.S., Texier se donne du champs, de l’espace pour mettre en avant ses musiciens et la liberté de jouer. Parfait pour les délires psyché du formidable Manu Codjia, pour les ballades cuivrées de Vincent Lê Quang et du fils, idéale pour les balayages et les solos du torride Garrigue. Le jazz, c’est la liberté, l’improvisation. 10, 12 minutes, pas mal pour s’exprimer en studio.

    La musique de Texier est insaisissable, libre, chaude. Une belle relecture de titres anciens et rares toujours aussi bons à écouter.

    Henri Texier “Sand Woman” (2018, Label Bleu / L’Autre Distribution)

  •  

      

    www.ojazz.fr 

    Janvier 2018

    Henri Texier sort un nouvel album, et c’est toujours une fête de jazz ! Il y reprend quatre anciens morceaux et les complète avec deux nouveaux thèmes. Qui sont tout à fait dans le style de ce qu’il a toujours fait : des mélodies carrées et très affirmées se développant dans des chorus divers et plus libres, mais qui gardent la couleur  d’origine.  Son  jeu  reste  d’une  finesse  et  d’une  efficacité  redoutable.  Sur  “Hungry  Man”,  par exemple,  il  est  continuellement  présent  et  pourtant  discret,  il  galope  avec  une  énergie  réjouissante  et donne le tempo sans faillir au long de ces presque onze minutes ! Cette nouvelle composition, comme Sand Woman qui donne son titre à l’album, offrent à ses partenaires de merveilleuses occasions de jouer. Texier a  toujours  eu  le  sens  de  l’équipe. Manu  Codjia  lance  son  jeu  clair  et  brillant,  et  se  retrouve  parfois  à l’unisson avec la contrebasse. Les deux soufflants, Sébastien Texier à l’alto et à la clarinette, et Vincent Lê Quang  au  ténor  et  soprane,  se  glissent  magnifiquement  dans  ce  cadre  structuré  proposé  par  le compositeur. Le  lent balancement d’“Indians”, par exemple, un morceau créé dans  les années 90 et  joué maintes  fois avec d’autres  compagnons, notamment Sclavis, débouche  sur d’autres développements qui conservent  cette  puissance  originelle  de  l’écriture  du  thème. Quant  à Gautier Garrigue  à  la  batterie,  il assure un soutien  inconditionnel à cette musique très forte. Six morceaux, six ambiances sur un écran de cinémascope qui nous racontent des histoires émouvantes et profondes, puisque  les musiciens “rejouent leur destin”, comme dit Texier sur la pochette. BC (Label Bleu/L’Autre Distribution) 

  • Les chroniques de HiKo "MUSIC CREATES ORDER OUT OF CHAOS" (Yehudi Menuhin)

    https://les‐chroniques‐de‐hiko.blogspot.fr/2018/02/henri‐texier‐sand‐woman‐label.htmlMardi13février2018

    Henri Texier - Sand Woman (Label Bleu/L'Autre Distribution)

    Le patron Henri Texier, contrebassiste incontournable de la scène jazz hexagonale et européenne depuis plus de 40 ans, nous revient avec un nouvel opus intitulé Sand Woman. Il a choisi pour ce dernier de jouer d'anciennes compositions, extraites de ses disques JMS, label emblématique des années 70 fondé par le producteur et éditeur Jean-Marie Salhani. A l'époque, ces pièces avaient été enregistrées en solo et depuis elles n'ont jamais été jouées par ses propres groupes. En plus de ces titres oubliés ou méconnus, comme "Amir", "Les Là-Bas" et "Quand Tout s’Arrête", figurent "Indians", imaginé dans les années 90 et deux compositions plus récentes : le blues accrocheur et vibrant "Hungry Man" et le titre qui donnera son nom à l'opus, "Sand Woman". Repensés et réarrangés pour ensuite ressusciter par la grâce d'une dream team de haut vol, ces 6 moments de vie nous livrent le secret de longévité d'un grand Monsieur du swing et de la note bleue, sans cesse en expédition, en exploration, en quête d'une esthétique devenue sa marque de fabrique, alliant la dimension rythmique de son jeu, la recherche mélodique de ses thèmes et la richesse harmonique de son écriture. Entouré d'amis de longue date, de partenaires réguliers, d'acolytes virtuoses - le guitariste Manu Codjia, les saxophonistes Vincent Lê Quang puis Sébastien Texier (fils de...) et le batteur Gautier Garrigue - Henri Texier revient sur son propre passé afin de mieux le confronter au présent. Pour autant, il ne tombe à aucun moment dans le piège d'une remise en question brutale de son héritage, ou dans celui d'un exercice qui consisterait à aligner de simples reprises plates, vides et dépourvues de sens... Une belle leçon de jazz!

  •         

    https://elektrikbamboo.wordpress.com/2018/01/05/henri-texier-sand-woman-label-bleu/

    HENRI TEXIER « SAND WOMAN » (LABEL BLEU)

    Après  le disque « Concert 30 ans » qui fêtait  l’anniversaire de Label Bleu,  le contrebassiste Henri Texier  s’est  remis  au  travail  et  publie  aujourd’hui  ce  « Sand  woman »  en  quintet.  Parmi  les musiciens  qui  l’accompagnent  on  retrouve  l’excellent  guitariste Manu  Codja  (déjà  présent  sur « Concert  30  ans »),  Vincent  Lê Quang  (saxes  ténor  et  soprano),  Sébastien  Texier  (sax‐alto  et clarinettes) et Gautier Garrigue (batterie). 

    Henri Texier a choisi de puiser dans sa discographie sur  le  label  JMS  (de 1975 à 1979) des titres qu’il souhaitait réactualiser et auxquels  il voulait « redonner une âme » (sic). On retrouve ainsi 3 morceaux  : « Amir », « Les  là‐bas » et « Quand tout s’arrête » complètement transformés, tels  le fameux « Amir » qui passe des 4’04 d’origine à 12’06…  Inutile de préciser qu’il ne  s’agit pas de remplissage mais d’un vrai travail de création en toute liberté. 

    L’album  comporte  également  un  titre  imaginé  dans  les  années  90  ainsi  que  deux  autres  écrits récemment. Au  total plus d’une heure d’une musique  intense et  riche, où  les  interventions de chacun  sont  un  vrai  régal.  Écoutez  le  solo  de  guitare  aérien  et  lumineux  de Manu  Codjia  sur « Amir » ou sur le très bluesy « Hungry man »… ou le solo de batterie de Gautier Garrigue sur « Les là‐bas ». Quant au feeling et au toucher d’Henri Texier avec son  instrument fétiche,  ils  illuminent littéralement l’ensemble.                          B.J 

    Sortie 2 février 2018 

  • Music'Actu Mes découvertes et coups de cœur dans l'actu CD

    http://music‐actu.over‐blog.com/2018/02/henri‐texier‐sand‐woman.html  

    Texier, label de qualité !

    Dans cet album, le contrebassiste Henri Texier reprend en petite formation (avec Vincent Lê Quang : saxophones ténor et soprano, Sébastien Texier : saxophone alto et clarinettes, Manu Codjia : guitare et Gautier Garrigue : batterie) d'anciennes compositions enregistrées précédemment. Comme toujours avec ce maître du jazz, on ne s'ennuie pas une seconde ! Des solos succulents de la part de musiciens inspirés dans des morceaux à la durée permettant à chacun de s'exprimer aisément, un sens développé du rythme et de la composition, de la variation et des combinaisons de timbres et une magnifique entente entre d'excellents instrumentistes à la musicalité exemplaire, voilà les ingrédients d'un album des plus réjouissants ! Henri Texier et ses complices nous embarquent dans un jazz de qualité, musical, inventif et coloré. Un régal !

    Paru le 2 février 2018 - Rayon Jazz

    Pour écouter l'album sur Deezer (en entier et gratuitement après inscription ou en extraits de 30 secondes après avoir fermé la fenêtre apparaissant après le premier titre écouté):  

  •  

    http://lejarsjasejazz.over-blog.com/2018/01/henri-texier-sand-woman.html

    Henri Texier " Sand Woman " Publié le 30 janvier 2018 par Guillaume Lagrée

    Henri Texier " Sand Woman "

    Label Bleu Sortie le vendredi 2 février 2018

    Le Sand Quintet est composé de: Henri Texier: contrebasse, compositions, direction Sébastien Texier: saxophone alto et clarinettes Vincent Le Quang: saxophones ténor et soprano Manu Codjia: guitare électrique Gautier Garrigue: batterie

    Concerts de sortie Samedi 10 mars 2018, Paris, Le Café de la Danse (Sand Quintet) Samedi 17 mars 2018, Le Perreux (94), Centre culturel (Hope Quartet) Samedi 31 mars 2018, Paris, Maison de la Radio, (Sky Dancers 6) Jeudi 5 avril 2018, Amiens (80), Maison de la Culture (Sand Quintet) Vendredi 6 avril 2018, Paris, Cinéma Balzac, Sand Quintet sur scène suivi du film " Portrait d'Henri Texier " de Jean-Pierre Zirn (2017. 51'). Samedi 19 mai 2018, Sénart (77), Théâtre, ( duo Henri & Sébastien Texier) Samedi 26 mai 2018, Etrechy (91), Salle Jean Monnet (Sand Quintet) Mardi 29 mai 2018, Sénart (77), Théâtre, ( Sand Quintet) Dimanche 10 juin 2018, Rouen (76), Opéra (Sky Dancers 6) Lectrices inspectrices, lecteurs enquêteurs, cessez de chercher. Henri Texier est retrouvé! Le poète, le conteur, l'irréductible Breton barde, le mage de la contrebasse est ressuscité. Tel le phénix, il renaît de ses cendres. Comment a t-il fait? Il s'est replongé dans ses deux premiers albums enregistrés en solo dans les années 1970 pour Jean-Marie Salhani " Amir " (1976) et " Varech " (1977). Il s'agit de morceaux cultes que l'on apprend aux élèves des écoles et des conservatoires, aux sages, aux singes et aux petits enfants: " Amir " (1), " Les là-bas " (5), " Quand tout s'arrête " (6). Il y ajoute une composition clef des années 1990 " Indians " (4) et deux compositions récentes " Sand Woman " (2) qui a donné son nom à l'album et au groupe et inspiré la pochette de l'album (un collage de Jacques Prévert) et " Hungry Man " (3). Pour revisiter 5 décennies de création en leader, Henri Texier s'est entouré de complices anciens et nouveaux. D'abord, Sébastien Texier avec qui il joue depuis sa naissance puisque c'est son fils. Puis Manu Codjia, guitariste polymorphe, avec qui il joue depuis plusieurs années. Deux nouveaux venus: Vincent Le Quang qui passe ses diplômes de Maître du Jazz en France en étant adoubé par les Grands Anciens. Après Daniel Humair, Henri Texier. Enfin, un batteur jamais sec et toujours coloré, Gautier Garrigue.

  • Dès les prd'Henri Tl'histoire qles titres dd' "Amir groove deJ'ai une ale premieavec l'envsimplicitéHenri Tesavants, rsavants, cBref, vouWoman "cette chrojamais, je Pour illusen audio, enregistréde cette ccomparer La photogCarlos HEdu Code de l

    Henri Tex

    remières nTexier. Ququ'ils vousdes morcea" repris pa

    e " Les Là-baffection paer morceauvoi final. é. Enfin, simxier. Simprendent simcomme les us l'aurez

    d'Henri Tonique et je l'espère.

    strer cette la version é en solo pchronique.r aussi avec

    graphie d'HERNANDEa propriété in

    xier et Man

    notes, vousue ça fait ds racontentaux, de se ar un quinbas " vous articulière u, vous garEt là, quemple. Simpple parce mples les Shadok, recompris, l

    Texier m'a ée cesserai d

    chronique originale duis, en vid Elle comm

    c celles sam

    Henri TexiEZ. Toute util

    tellectuelle pa

    nu Codjia v

    s entrez dadu bien! Lt. L'album laisser prentette avec emmène te pour " Qurder les moel envoi! ple par cetque ce sochoses com

    endent comlectrices eébloui. Je de l'écoute

    , je vous pde " Les là

    déo, la présmence par

    mplées par

    ier et de Misation de cetassible de san

    vus par Jua

    ans un unLa maîtris entier est endre par lc batterie, ellement loand tout sorceaux suC'est majette mélodieont de gramplexes a

    mplexes lesenquêtrices l'ai écoutéer quand je

    propose, le bas " sur l

    sentation dr une vers Bonobo et

    Manu Codjtte œuvre sanctions civiles

    an Carlos H

    ivers beause techniqu une invitala musiqueguitare et

    oin que ce s'arrête ". Uuivants et estueux ete où se recands musialors que ms choses sims, lecteurs

    é une bonne serai deve

    ctrices insl'album " V

    de l'album ion de " Lt Chinese M

    jia est l'œuns l'autorisatioet pénales.

    HERNAND

    u, simple eue est touation au voe. Le fame deux souf n'est pas rUn album vous donnt renversaconnaît le cciens qui,

    mauvais mmples. inspecteu

    ne dizaine denu sourd

    pectrices, Varech " ( " Sand WoLes là bas Man.

    uvre de l'Ion de son aut

    DEZ

    et authentiujours au oyage. Il suux ostinatoffleurs: Wh

    racontable. doit vous ner envie dant de beaconteur gé comme l

    musiciens e

    urs, l'albumde fois ava ce qui ne m

    lecteurs en1977) d'He

    Woman " (2 " que vou

    ncontourneur constitue

    que. Celuiservice de

    uffit de lireo de bassehaouh! Le capter dès

    d'y revenirauté et denial qu'estles grandset mauvais

    m " Sandant d'écrirem'arrivera

    nquêteurs,enri Texier017), sujetus pourrez

    nable Juan une violation

    i e e e e

    s r e t s s

    d e a

    , r t z

    n n

  •  

    http://lejarsjasejazz.over-blog.com/2018/03/henri-texier-sand-quintet-emerveille-le-cafe-de-la-danse.html

    Henri Texier Sand Quintet émerveille le Café de la Danse Publié le 17 mars 2018 par Guillaume Lagrée

    Henri Texier Sand Quintet Le Café de la Danse

    Paris. Samedi 10 mars 2018. 20h Concert de sortie de l'album " Sand Woman "

    Henri Texier: contrebasse, compositions, direction Gautier Garrigue: batterie Manu Codjia: guitare électrique Sébastien Texier: saxophone alto, clarinettes Vincent Le Quang: saxophones ténor et soprano L'après-midi s'est terminée par la victoire du XV de France contre le XV d'Angleterre dans le Crunch. La soirée commence par un concert d'Henri Texier. C'est décidément une belle journée comme le reconnaît mon voisin Alex Dutilh, gentil organisateur et animateur de Open Jazz sur France Musique.

    Ca commence sans un mot. Groupé. Fidèle au thème. Clarinette basse et sax soprano. La rondeur de la contrebasse, la sécheresse de la batterie jouée aux baguettes, l'acidité du soprano, tout colle. Les souffleurs s'effacent pour laisser place à la griffe de la guitare. Premier solo du Patron. C'est une de ses chansons sans parole qui m'enchantent. Le groupe a commencé par les deux compositions nouvelles de l'album " Sand Woman " et " Hungry Man "

    Nous remontons dans le temps avec une composition des années 1990 " Indians ". Sébastien Texier passe au sax alto. Ca vrombit derrière, grogne et gémit devant. Ca s'énerve pour produire un Free Jazz bruyant et brouillon qui ne m'impressionne pas. Heureusement, ça se calme en deux notes de contrebasse. Clarinette et sax soprano entonnent cette complainte élégante pour un peuple spolié et massacré, les Indiens d'Amérique du Nord. Avec sa barbe, son bonnet, ses baskets, tous blancs, Henri Texier fait de plus en plus Sage de la Montagne. Il mène la jeune garde sous sa bienveillante férule.

    PAUSE

  • Pendant la pause, la sono nous diffuse des œuvres du Maître d'Henri Texier, Charles Mingus (1922-1979).

    Reprise avec " Les là bas ", composition enregistrée en solo en 1976 et reprise des décennies après par les DJ Bonobo et Chinese Man. Ca pulse sévèrement. Une onde puissante nous emporte très loin, vers les là bas.

    Henri Texier en a marre de jouer du Henri Texier. Pour changer, une composition d'un des héros d'Henri Texier, Sonny Rollins, " The Bridge " (album culte de 1962). C'est bien le thème avec toute sa puissance. Manu Codjia ne copie pas Jim Hall pas plus que Vincent Le Quang Sonny Rollins.

    Mes notes, prises dans l'obscurité de la salle, au Café de la Danse, sont illisibles. Ma chronique cesse donc ici. Une musique si riche et si belle parle d'elle même.

    En rappel, " Quand tout s'arrête ", conclusion parfaite de l'album " Sand Woman ". Puis un petit air léger et joyeux pour la route.

    Bref, vous l'aurez compris, lectrices contre, lecteurs basse, Henri Texier avec son Sand Quintet fait son propre bilan de 5 décennies de carrière en meneur de jeu, avec de jeunes musiciens et il continue à conter et enchanter. D'autres concerts suivront au printemps et à l'été 2018. Ne manquez ce groupe que sur avis médical contraire.

  •  

      

     

     

      

     

    EM

     

        

     

    France B

    Radio Déc

    Radio Cam

    Radio Cam

    MISSIO

     

     

     

     

     

    Bleu RCFM

    clic / Emis

    mpus Lille

    mpus Lille

    ONS et  PARTE LES GRDu 16 aEntreti EMISSIHenri T1er févr   LE 7H4    EmissioHenri T

    EmissioHenri T   EmissioHenri T 

    M / Emis

    ssion « Jaz

    e / Emissio

    e / Emissio

    t PLAY

    ENARIAT

    RANDS ENTau 20 avriens  mené

    ON   « OpTEXIER invrier 2018

    3 de Nico

    on Deli ExTexier, inv 

    on « Jazz’LTexier invit

    on « OpusTexier invit

     ● ● ● ● ● ●

    ssion « A

    zz Time » (

    on “Jazz à 

    on “El Barr

    YLISTS

    TRETIENSl 2018 de és par Nat

    pen Jazz »vité d’Alex

    las DEMO

    xpress ité le 12 fé

    Lib »té en dire

    s Jazzy »té  

    ● ● 

    rrivée d’

    (54) 

    l’âme »  (5

    rio Jazz »  

    S RADI

     13h à 13hthalie Pio

     x Dutilh 

    ORAND 

    évrier 201

    ct le 15 m

    air chaud

    59) 

    (59) 

    IOS 

    h30 olé  

    18 

    mars  

    d » (20) 

  •  

     

    ‐ RGB 99.2 / Emission « Un ziste et un zet de jazz » (Ile de France) 

    ‐ RCV / Emission « My favorite things » (59) 

    ‐ Déclic Radio / Emission « Déclectic Jazz » (07) 

    ‐ Judaïques FM / Emission «  Jazzpirine du 18/9 (Ile de France) 

    ‐ La Boucle 95.4 / Playlist (78) 

    ‐ Radio Fidélité / Emission “Jazz à tous les étages » (53) 

    ‐ RDWA / Playlist (26) 

    ‐ Radio Boomerang / Emission « Millésime Jazz » (59) 

    ‐ Côté Sud FM 90.3 / Emission « Les Cats se rebiffent» (40) 

    ‐ W3Bluesradio.com / Emission « Birdland »  

    ‐ Radio Côteaux / Playlist jazz (32) 

    ‐ Radio Transparence / Playlist jazz (09) 

    ‐ Fréquence K / Emission « Jazz Attitude » de Sir Ali (06) 

    ‐ Radio PAC / Emission « Jazzez‐vous » (19) 

    ‐ Celtic FM/ Playlist (29)  

    Commentaires d’écoute Il n'aura suffi que de quelques notes pour nous permettre de nous immiscer avec délectation dans ce nouvel opus du gars Henri. Parfaitement soutenu par des complices au top de leur forme il nous apporte, une fois de plus, la preuve indubitable de son immense talent. C'est l'intervention éblouissante de Manu Codjia qui, le premier, sonne la charge et tire la barre vers les sommets. Relayées par des cuivres rutilants et posées sur un socle batterie‐contrebasse cumulant tonicité et velouté, ces compositions nous permettent, une fois de plus, de mesurer la technique de Maître Texier. à tel point que la longueur de tous ces titres ne crée aucune interférence tant notre complète immersion dans ce concept est acquise dès les toutes premières secondes. Car rien dans cet album n'est superflu, tout étant magistralement tiré au cordeau. De quoi étancher notre soif de sonorités mélodieuses du fait d'une instrumentation fine et ciselée bénéficiant de la verve d'un tempo vivifiant. C'est donc un disque incandescent qui met en valeur, à tour de rôle, la dextérité de chaque intervenant mise au service d'une bien chaleureuse complicité. Un régal pour bien terminer l'année et envisager de bien commencer la nouvelle. A l'issue d'une belle triple écoute nous avons plébiscité, en particulier, les titres 3, 5, 6 mais c'est surtout le 1 que nous plaçons résolument en tête de gondole. 

  • Les gdu lundi a

    Le contravec la p

    Lundi 1627 min https://ww

    Henri Tpublic"

    Fils de chla musiqurévélationParis la n

    Henri Texie    

    grandsau vendred

    rebassistproductr

    avril 201

    w.francemu

    Texier, " (1/5)

    heminot, cue très jeun ! C’est d

    nuit pour é

    er, © Philip

    entredi de 13h03

    te Henri Tice Natha

    8

    usique.fr/em

    "Je sui

    c'est duranune et en pd’abord paécouter ses

    pe Marchin

    tiens3 à 13h30

    Texier évalie Piolé

    missions/les-

    s un pu

    nt son enfaparticulier ar le pianos premiers

    voque soé.

    -grands-ent

    ur produ

    ance aux Ble jazz grâ

    o qu’il apps concerts.

    on parcou

    tretiens/henr

    uit de la

    Batignolleâce à son

    prend la m...

    urs perso

    ri-texier-1-5

    a SNCF

    s qu'Henrioncle. Un

    musique. Pu

    onnel et m

    5-60286

    F et du s

    i Texier dne véritableuis, il sillo

    musical

    service

    découvre e onne

  • Mardi 17 avril 2018 27 min https://www.francemusique.fr/emissions/les-grands-entretiens/henri-texier-contrebassiste-2-5-60455

    Henri Texier, "Je me sens en osmose avec le son de la contrebasse" (2/5) A 16 ans, Henri Texier ressent une émotion incroyable lorsqu'il découvre la contrebasse. Il apprend seul cet instrument qui ne le quittera plus. Au Blue Note, il fait ses premiers remplacements, puis accompagne rapidement ses idoles et ses héros, ces "maîtres du temps" qu'il admire !

    Henri Texier, © Philippe Marchin   Mercredi 18 avril 2018 27 min https://www.francemusique.fr/emissions/les-grands-entretiens/henri-texier-il-n-y-a-pas-de-jazz-s-il-n-y-a-pas-de-resonances-africaines-3-5-60545

    Henri Texier, "Il n’y a pas de jazz s’il n’y a pas de résonances africaines" (3/5)

    Lorsque Henri Texier rencontre Don Cherry, le trompettiste lui donne les clefs pour ouvrir de nombreuses portes musicales. Toujours à la recherche d’équilibre de cette musique qui doit se fabriquer toute seule, les musiciens de jazz sont avant tout des passeurs, des sculpteurs de temps qui passe...

    Henri Texier, © Philippe Marchin

  • Jeudi 19 avril 2018 27 min https://www.francemusique.fr/emissions/les-grands-entretiens/henri-texier-j-etais-tres-content-qu-il-y-ait-mai-68-c-etait-une-vraie-liberation-necessaire-4-5-60525

    Henri Texier, "J’étais très content qu’il y ait eu Mai 68. C’était une vraie libération, nécessaire !" (4/5)

    A l'armée, le contrebassiste apprend le tuba. Durant plusieurs mois, il alterne entre la caserne et le club Le Caméléon la nuit. En 69, direction les Etats-Unis pour une tournée exceptionnelle avec tous les plus grands jazzmen ! Puis, sort son 1er disque en solo en 76 : une véritable renaissance !

     Vendredi 20 avril 2018 27 min https://www.francemusique.fr/emissions/les-grands-entretiens/henri-texier-la-musique-de-jazz-est-toujours-si-vivante-5-5-60515

    Henri Texier, "La musique de jazz est toujours si vivante" (5/5)

    Dans ce dernier volet, Henri Texier se confie avec émotion sur ses tournées en Afrique. Ces voyages bouleversants l’accompagnent encore aujourd’hui, comme un retour aux sources de la musique de jazz. La contrebasse reste encore un objet magique à ses yeux, qui contient encore bien des secrets.

     

  •   

    LE 7Hvendrepar Nic

    HeVous grand

    Plonget toujderriè

    Mais cmilieude Frapolitiq

    Extrai

    « HenMusiq13h à

      

    H43 di 13 avril

    colas Demo

    enri Tconnaiss Henri Te

    é dans lejours là, re sa con

    commenu populairance Musque et soc

    it

    nri Texierque par N

    13h30

       https://w

    2018 orand

    Texiesez peut-exier.

    e chaudr50 ans pntrebass

    t devientre et qu’osique, la ciale.

    r, va, vis Nathalie P

    www.francein

    er, v-être cett

    ron du freplus tard,e.

    t-on basson est auréponse

    et devienPiolé, à é

    nter.fr/emiss

    va, vte figure

    ee jazz fr toujours

    siste de jautodidacte d’Henri

    ns », les écouter to

    sions/le‐7h4

    is etincontou

    rançais às à la poi

    azz, quae ? EcouTexier :

    Grands oute la se

    43/le‐7h43‐1

    t devrnable d

    à la fin dente et à l

    nd on esutez chezdu jazz à

    Entretienemaine p

    3‐avril‐2018 

    viensu jazz, le

    es annéel’avant-ga

    st issu d’uz nos couà l’actual

    ns de Fraprochaine

    s e

    s 60 arde,

    un usins ité

    ance e, de

  • SortieSortie l

    Henri Tex

    Le 1er févl'occasio

    EMISSIO

    https://w

    e CD le 2 févr

    xier - Sand

    vrier à 18hn de la so

    N 01/02/20

    EN PA

    ww.francem

    : Henrrier chez

    Woman

    h00, Henriortie de ce

    018 Open j

    ARTENARIA

    musique.fr/ev

    ri Texiz Label

    i Texier see disque !

    jazz L'actu

    AT AVEC    

    venements/s

    ier - SBleu/L'

    era l'invité

    ualité du ja

    sortie‐cd‐hen

    Sand W'autre di

    é d'Alex Du

    azz : Henr

      

    nri‐texier‐san

    Womanistributio

    utilh dans

    ri Texier, g

    nd‐woman 

    n on.

    s Open Jaz

    gravé dans

    zz à

    s le sable

  • "Explorer ! Toujours explorer ! Du nouveau ! Toujours du nouveau ! Les musiciens de Jazz n’ont jamais la certitude d’en avoir fini avec une exploration. Aller plus loin, toujours plus loin mais pas forcément « au‐delà » ! Découvrir ! Toujours découvrir !... Certainement, mais pas indispensablement en des territoires nouveaux… Là, tout près, il y a toujours et encore de la musique à embrasser, pour rejouer son destin, remettre ses pas en de lointaines traces, faire apparaître des nouvelles sensations, vibrations différentes, redonner une âme à des compositions anciennes, oubliées, estompées…

    Pour ce nouvel album j’ai donc choisi, dans mes disques JMS, des compositions jamais jouées par mes propres groupes, enregistrées en solo absolu il y a plus de quarante ans : Amir, Les Là‐Bas, Quand tout s’arrête ; "Indians" imaginée dans les années 90 et deux compositions récentes : Hungry Man et Sand Woman. À l’occasion d’un concert qui m’a été proposé pour célébrer les anniversaires du Festival Europa Jazz du Mans et de mon premier label JMS, j