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1 ETE 2013 - N°4 EDITO NETAGAZETTE 2 3 NETAFIM FRANCE X LE GROUPE FRANCE 4 ARTICLE DE PRESSE 5 LES CHANTIERS 6 LES SALONS / LES RESEAUX SOCIAUX

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1 ETE 2013 - N°4

EDITO

NETAGAZETTE

23

NETAFIM FRANCE

XLE GROUPE

FRANCE

4ARTICLE DE PRESSE

5LES CHANTIERS

6LES SALONS / LES RESEAUX SOCIAUX

EDITO

NOTE DIRECTEUR GENERALFABRICE MONTBARBON Chers Clients

Je profite de cette newsletter de l’été pour revenir sur les nombreux changements qui ont mar-qué ce début d’année au sein de notre filiale Française.

Jon White a été nommé à la direction de notre région EMEA ( l’une des trois régions de Neta-fim) regroupant l’Europe, l’Afrique et le Moyen-Orient. Je le félicite pour cette promotion et je suis sûr qu’il sera un excellent support pour notre développement commun. Il nous connait, il connait nos marchés, notre équipe, il parle français et pourra donc appuyer nos demandes en terme de recherche&développement, de logistique, de marketing et de Lobbying.

J’ai été nommé pour prendre la suite de Jon White au poste de Directeur Général de Netafim France. Je remercie le Corporate pour la confiance qu’il m’a accordée et je ferai tout mon possible pour que notre filiale continue son développement amorcé il y a maintenant cinq ans et continue de vous apporter un service de qualité.

J’ai nommé Bruno Montagnon comme Directeur Commercial et Marketing pour me remplacer. Bruno travaille chez Neta-fim depuis une dizaine d’années, d’abord comme Responsable Commercial Nord Est, puis comme Responsable Dévelop-pement Espace Vert. Il a passé en 2011 un Master en Stratégie Commerciale et Marketing et je pense qu’il a toutes les qualités pour mener à bien ce rôle.

La stratégie de Netafim au niveau mondial est de continuer à développer les solutions gouttes à goutte économes en eau, notamment sur les gros projets en Afrique, Amérique du sud et Europe. Pour cela de gros investissements ont été réalisés dans l’outil de production avec de nouvelles usines en Espagne, au Pérou et au Brésil.

Concernant la France, tout en restant concentré sur nos principaux marchés que sont la vigne, le hors-sol, l’arboriculture, le maraichage et les espaces verts, nous allons mettre beaucoup d’énergie sur notre activité en grande culture avec le goutte à goutte enterré sur maïs. Nous avons déjà réalisé de belles installations qui montrent tout l’intérêt, agronomique, environnemental et économique de cette solution. Nous sommes persuadés que ce marché sera une des clef de notre et de votre croissance dans les années à venir et nous allons vous apporter tout notre soutient pour que ce soit un succès.

En parallèle il faut que nous conservions et que nous améliorions encore ce qui est une priorité dans notre stratégie, le service que nous vous apportons : le support commercial, technique , agronomique, la disponibilité du stock, la logistique ou simplement l’accueil.

Je vous souhaite au nom de toute l’équipe une bonne saison 2013.

Fabrice Montbarbon

LE DEMENAGEMENTNOUVEAUX LOCAUX A GARDANNEÇa y est : c’est parti !

Nous allons changer de site et déménager vers la nouvelle zone Novactis située à Gardanne dans des locaux neufs. Le promoteur est ac-tuellement en phase préparatoire (réalisation des plans d’exécution, démarches administra-tives,…) et le début effectif des travaux devrait avoir lieu début juin. L’objectif est de réaliser notre déménagement entre début novembre 2012 et fin janvier 2014.

C’est une nouvelle page de l’histoire de Netafim France qui va s’écrire et un changement attendu par tous. Ce sera également un défi important lors des prochains mois pour faire en sorte que ce déménagement se déroule dans de bonnes conditions sans pénaliser notre activité au quotidien.

Ces nouveaux locaux seront totalement adaptés à notre activité et nos besoins, afin d’optimiser au maximum nos bureaux et services, notre capacité de stockage et notre logistique.

Nous vous donnons un bref apperçu de ce que va être la nouvelle société NETAFIM.

NETAFIM FRANCE

Netafim, un pionnier et un important fournisseur de goutte à goutte et de la technologie micro-irrigation dans le monde entier, est l’heureux gagnant du Stoc-kholm Industry Water Award.

Le Prix de Stockholm Industry Water est une récompense bien connue et respectée qui récompense la meilleure entreprise pendant le forum annuel de l’eau et du développement durable. Ce prix offre à cette dernière la reconnaissance mondiale pour leurs réalisations et leur engagement fort pour faire avancer la situation de l’eau dans le monde. Les lauréats du Prix de Stockholm Industry Water représentent un large éventail d’industries, unies dans le but de pousser la durabilité en avant dans le monde des affaires.

Netafim est le leader mondial des solutions de goutte à goutte, de la micro-irrigation et des technologies économes en d’eau. Fondée en Israël en 1965, Netafim fournit aujourd’hui des équipements et des services dans plus de 110 pays et permet aux agriculteurs de produire plus avec moins d’eau.Actuellement, plus de dix millions d’hectares de terres agricoles sont irrigués avec de l’irrigation au goutte à goutte, une technologie mise au point par Netafim, qui améliore considérablement la gestion des ressources telles que l’eau, l’énergie et la productivité. Le recours à l’irrigation goutte à goutte réduit de moitié la quantité d’eau utilisée par rapport aux autres solutions d’irrigation et en même temps augmente le rendement des cultures.«Globalement, 70% de l’eau potable est utilisée pour l’irrigation. Il ya un besoin urgent d’améliorer l’utilisation de l’eau. Remarquables réalisations de Netafim, en aidant les agriculteurs à travers le monde à «grandir plus avec moins», contri-buant directement à «plus d’eau et de nourriture pour un monde plus sûr «, a déclaré le Comité du Stockholm Industry Water.

Netafim recevra le Prix de Stockholm Industry Water lors d’une cérémonie le 3 Septembre au cours de la Semaine Mon-diale de l’Eau à Stockholm.

Après avoir appris la nouvelle, Igal Aisenberg, Le Président de Netafim et CEO, a déclaré: «Nous sommes très honorés de recevoir le Prix de Stockholm Industry Water. En tant que pionnier et leader mondial en matière d’irrigation goutte à goutte, nous avons toujours mis l’accent sur les économies d’eau. L’eau et la rareté des terres sont les grands défis mondiaux d’aujourd’hui et nous tirons parti de notre expertise et de notre expérience dans la technologie de récupération pour aider à lutter contre l’inflation des prix alimentaires, assurer la sécurité alimentaire et la durabilité de l’eau. Ce prix prestigieux témoigne de nos efforts et nous inspire à continuer d’aider à gérer et réduire la consommation d’eau et faire de ce monde un endroit meilleur et plus durable. «

Pour plus d’information je vous invite à visiter le site : www.siwi.org / Siwa.

LE GROUPE

ET LE GAGNANT EST... NETAFIMTHE 2013 STOCKHOLM INDUSTRY WATER AWARD

IRRIGATION GOUTTE-A-GOUTTE

LE GOUTTE-A-GOUTTE EN GRANDE CULTURE UNE NOUVELLE FACON D’IRRIGUER

Aujourd’hui, la technique commence à traverser l’Atlantique et Netafim France tente d’adapter cette solution technique au contexte français.

Il s’agit d’enterrer, à l’aide d’une sous-soleuse, plusieurs lignes de goutte-à-goutte en même temps, à une profondeur de 30 à 40 cm. Les gaines sont enterrées pour une durée de vie d’au moins 20 ans. Le reste de l’installation ressemble à toute autre installation de goutte à goutte enterré.Le producteur commence d’abord à enfouir les lignes de goutte-à-goutte et ensuite à créer ses réseaux primaire et secondaire. Le temps d’installation varie en fonction du type de sol. 4 à 6 ha/jour peuvent être réalisés. L’étape la plus longue et la plus fastidieuse consiste à connecter toutes les lignes goutte-à-goutte aux peignes.

LES AVANTAGES DE CETTE TECHNIQUE C’est d’abord un avantage d’utilisation. Avec l’automa-tisation du réseau, le producteur passe beaucoup moins de temps à installer, régler et surveiller le système. Puis c’est un avantage environnemental. Les réductions d’eau peuvent aller de 15 à 30% par rapport à l’aspersion.Tout est fonction du type de sol et de sa dynamique hydrique. En zone périurbaine, l’irrigation au goutte-à-goutte des par-celles enserrées par des lotissements évite les nuisances de l’aspersion occasionnées aux riverains. Enfin, c’est un avantage économique et financier. Les faibles pressions de fonctionnement d’un réseau goutte-à-goutte, permettent aux producteurs d’économiser l’énergie (fuel, électricité) pour faire fonctionner les pompes. Mais le plus intéressant,

c’est l’augmentation du revenu/ha, directement lié aux aug-mentations de rendement à la parcelle.Le producteur associe préservation de la ressource et com-pétitivité économique. Véritable alternative entre les pro irrigants et les ennemis des cultures irriguées, le goutte-à-goutte enterré peut permettre aux producteurs français de continuer à cultiver des plantes fortes consommatrices en eau et souvent d’un intérêt stratégique, et satisfaire les partisans d’une réduction des prélèvements d’eau.

UN ATOUT MAJEUR : LA FERTIGATIONC’est le point fort d’une telle installation.Grâce au posi-tionnement des goutteurs au coeur du profil racinaire de la culture, les apports d’engrais sont optimisés à leur maxi-mum. En fractionnant les apports, et en les apportant au moment où la plante en a le plus besoin, le producteur pos-sède un outil lui permettant de contrôler la croissance de sa culture. Au final, avec moins d’unités/ha, l’agriculteur économise des intrants.

CONCLUSIONAvec 1 500 000 ha de maïs cultivés en France, et 10% de cette surface travaillée en semi-direct, le marché potentiel de cette nouvelle application est important.La technique fonctionne et commence à séduire de plus en plus de producteurs. Aujourd’hui, le seul frein à cette nou-velle façon d’irriguer est la méconnaissance du grand public de l’existence d’une telle technique.

Article paru dans IrrigazetteJanvier 2012

ARTICLE DE PRESSE

ARIES

GOUTTEUR INTEGRE TURBULENT

Netafim™ et le marché Marocain : Innovations et proximité

ARIES ™, le dernier né de la gamme Netafim™ est un goutteur intégré turbulent à paroi épaisse. Destiné à un large éventail d’applications, cette innovation apporte durablement de meilleures performances et une meilleure rentabilité. Netafim™ a aussi mis au point TurbuNext™, nouveau standard de labyrinthe à passage d’eau breveté qui maintient une structure géométrique unique en forme de dents, ce qui augmente considérablement les turbulences. Ceci permet d’obte-nir des sections de passages plus larges, plus profondes et un labyrinthe plus court. Résultat : les risques de colmatage sont considérablement réduits. De plus, chaque goutteur plat Netafim™ intègre un filtre individuel avec une grande sur-face de filtration : la combinaison de ces deux facteurs avec le passage d’eau du labyrinthe TurbuNext ™ réduit nettement les risques d’encrassement et augmente la durabilité de l’installation, et ce quelle que soit la dureté de l’eau.

En se maintenant à la pointe des dernières technologies tant au niveau des équipements de production qu’au niveau des matières utilisées, Netafim ™ a réussi le pari de proposer des matériels toujours plus innovants à des prix raisonnables. Ainsi, le goutteur ARIES ™, fabriqué avec des matériaux de qualité, est conforme à la norme ISO 9261. Disponible dans une large gamme de diamètres, d’épaisseurs et de débits, pour répondre à tous les besoins : petits agriculteurs, des cultures maraichères, tous types de cultures en ligne, saisonnières ou multi-saisonnières, plein champs, vergers ou vignobles.

En marge du SIFEL Agadir, la société Netafim et ses deux prin-cipaux représentants au Maroc, CMGP et le Comptoir Agricole du Souss, ont convié l’ensemble de leurs distributeurs dans les principales régions de production du Maroc à un cocktail convi-vial dans un grand palace de la ville d’Agadir.

L’occasion pour Mr Bensimon Arie, responsable Maroc de la so-ciété Netafim, de confirmer l’engagement de l’entreprise pour le développement de technologies de goutte à goutte toujours plus efficaces grâce à la bonne connaissance des besoins des producteurs. En effet, avec l’introduction régulière de produits qui réduisent les coûts et améliorent les performances, Neta-fim™ renforce continuellement sa position de fournisseur de solutions innovantes pour l’irrigation. Cette soirée a également été l’occasion de présenter aux pro-fessionnels conviés la dernière innovation de Netafim, à savoir le nouveau goutteur intégré turbulent à paroi épaisse : ARIES ™

ARTICLE DE PRESSE

NETAFIM WWW.NETAFIM.FR

AXES DE DÉVELOPPEMENT ET INNOVATIONS POUR 2013Netafim™ fait partie de ces entreprises qui ren-forcent régulièrement leur gamme de produits avec des solutions innovantes qui vont toujours plus loin dans la réduction des coûts de production et dans l’amélioration des performances. Pour découvrir les dernières nouveautés de cette entreprise innovante, nous avons posé quelques questions à M. Arie BEN-SIMON, Directeur Commercial Netafim pour le Maroc

Quoi de neuf chez NETAFIM ? Outre deux usines inau-gurées au mois de Mars 2013 en Amérique du Sud et au Brésil, une nouvelle usine est en phase finale de rodage à Valence en Espagne, dont nous espérons l’ouverture pour le début du mois de Mai 2013. Cette usine sera surtout axée sur une production destinée au marché marocain.

Dans quoi réside le caractère innovant de Netafim ? Nous avons la prétention d’être une entreprise innova-trice et certains se demandent si nous le sommes vraiment. NETAFIM propose une très vaste gamme de produits qui répondent aux demandes des différentes cultures, aux cli-mats et aux sols les plus divers. Nos goutteursintégrés autorégulants comme l’UNIRAM AS™, le DRIPNET PC™ et les goutteurs rapportés PC-PC CNL™-PCJ et PCJ CNL™ restent des produits leaders dans leurs domaines d’applications. Il existe, depuis longtemps, une demande exprimée par de nombreux marchés et utilisateurs pour un goutteur turbulent à paroi épaisse moins coûteux que notre goutteur TIRAN™. NETAFIM a ainsi concentré ses efforts d’ingénieries sur le développement d’un goutteur intégré turbulent «simple» appelé ARIES™, pour répondre aux nou-veaux défis et challenges de la nouvelle industrie de l’irri-gation et proposer une large gamme d’applications pour les différentes cultures. L’ARIES™, c’est un nouveau labyrinthe avec un passage Innovant, le TURBUNEXT™, qui, avec une structure géométrique unique, augmente considérablement les turbulences, permettant la création de passages plus larges, plus profonds et plus courts. De fait, le coefficient de turbulences est considérablement plus élevé que celui

du TIRAN ™ (le plus élevé sur le marché à ce jour) et permet donc l’irrigation avec des eaux dites « dures », sans avoir à améliorer ou relever le niveau des systèmes de filtration. Plusieurs débits de goutteurs sont aujourd’hui disponibles, mais ceux qui intéressent généralement les agriculteurs marocains sont les débits de 1 – 2 et 4 l/h. Mais d’ici 2014 les débits de 0.6 et 1.5l/h seront mis sur le marché.

Comment pouvez-vous réduire le prix après avoir affirmé pendant des années que la baisse du prix pourrait nuire à la qualité du produit ? Dans un autre contexte, j’aurais dit que la qualité se paie, mais, dans ce cas, ce n’est pas vrai. L’ARIES™ est un goutteur plus petit mais innovant, produit avec des technologies de production avant-gardiste, ce qui nous permet d’obtenir un excellent goutteur à moindre coût, grâce à la création d’un nou-veau standard pour la résistance au colmatage. Le prix de l’ARIES™ sur le marché marocain est très raisonnable, et se situe dans la moyenne des produits de cette gamme. N’oublions pas qu’il est principalement dédié au Maroc pour les cultures maraîchères, les petites et moyennes exploitations, là où les budgets sont toujours très serrés. En outre, NETAFIM accorde une garantie de 5 ans, ce qui donne confiance aux agriculteurs même pour ceux qui mani-pulent le goutte à goutte pour la première fois, ou ceux qui ont eu une mauvaise expérience dans le passé.

Quel accueil le marché a-t-il réservé à ARIES™ ? De-puis le mois de Novembre 2012, avant même le lancement officiel, le marché et les utilisateurs l’ont accueilli avec un enthousiasme qui nous a fait plaisir. Cet engouement pour Aries annonce d’ailleurs de beaux jours à venir.

ARTICLE DE PRESSE

Article paru dans L’Agriculture du MaghrebMai 2013

LE GOUTTE A GOUTTE

L’AVENIR DE L’IRRIGATION EST AU GOUTTE A GOUTTE Article paru dans L’information agricole du Rhône

Novembre 2012

Sur grandes cultures, entre irrigation par aspersion et goutte à goutte, presque tous les paramètres sont favo-rables au second. Mais en France, le goutte à goutte en-terré est préféré au goutte à goutte déployé en surface. Question de main d’oeuvre, disent les irrigants.

Le goutte à goutte est né en 1965 dans le kibboutz d’Israël. Depuis, la technique n’a cessé de se développer et de s’amélio-rer. Aux Etats-Unis, depuis plus de vingt ans, les producteurs de grandes cultures ont adopté la technique. Chez nous, en France, elle s’adresse surtout aux productions maraîchères, hoticoles, arboricoles. Faiblement à la viticulture, «alors que tous les vignobles du monde y ont recours», rapporte Shavit Dahan, l’un des responsable en Israël de la société NETAFIM, leader mondial du goutte à goutte. «L’installation du goutte à goutte déployé en surface est répandue sur culture de melon mais on a du mal à percer en grandes cultures», explique Fabrice Montbarbon, le directeur commercial de NETAFIM France. Une réticence qui tient selon lui «au coût de la main d’oeuvre nécessaire à l’installation puis au démontage du système entre deux cultures».Aussi, NETAFIM mise sur le goutte à goutte enterré. Une fois enfouie à 30 centimètres sous terre, l’installation à «une durée de vie de 15 ans», rapporte sans exagérer Fabrice Montbarbon. En effet, aux Etats-Unis, les premiers goutte à goutte enterrés dans les sols d’une université du Kansas l’ont été il y a 22 ans. Ils sont encore aujourd’hui opérationnels. Seul frein au développement de la technique : son coût. Compter environ 3500 euros/ha pour le matériel et entre 500 et 1000 euros/ha pour l’installation.

Un travail du sol superficielLa contrainte de la technique du goutte à goutte enterré tient à la nature du sol qui ne doit pas être trop filtrant et à la nécessité d’adapter son travail à une profondeur qui ne viendra pas endommager le réseau des tuyaux enterrés. Il faut s’en tenir à un travail du sol superficiel ou adopter le semi direct, recommandent les ingénieurs de Netafim. Pour autant, les avantages du goutte à goutte par rapport à l’irrigation par aspersion sont nombreux. «C’est 15% de rendement en plus. Sur une culture de maïs, comptez une tonne de plus de production à l’hectare qu’en irrigation classique. C’est 25 à 30% d’économie d’eau. Plus de prise au vent ni d’évaporation et c’est encore la consommation de 2 à 3 fois moins d’énergie car 5 bars à la borne suffisent pour faire fonctionner le dispositif du goutte à goutte contre 14 bars en irrigation par aspersion», précise Fabrice Montbarbon. Et puis, une fois le réseau installé, c’est la fin de la corvée des incessants changements de position des enrouleurs. C’est enfin un meilleur contrôle des adventices et les agriculteurs qui ont adopté le goutte à goutte se félicitent d’avoir «des parcelles propres».

Allier irrigation et fertilisationL’autre avantage du goutte à goutte, c’est sa capacité à gérer une fertilisation ajustée. L’eau est distribuée au coeur du profil racinaire ce qui permet au producteur d’entrer en contact direct avec le réacteur de la plante. Pas de surdosage, pas de perte. «Le goutte à goutte, c’est l’optimisation de l’apport à la plante de ses besoins en eau et en nutriments», explique Fabrice Montbarbon. Les principes agronomiques se marient à la technique et la rotation des cultures sur les parcelles équipées d’un goutte à goutte enterré reste possible. Il suffira d’adapter les apports en eau et en fertilisants aux besoins et au calendrier végétatif de la culture en place.

ARTICLE DE PRESSE

NETAFIM WWW.NETAFIM.FR

Mais la technique du goutte à goutte peut aussi intéresser les éleveurs. NETAFIM travaille sur des solutions permettant d’épandre les eaux et les lisiers décantés issus d’élevages. L’époque est aux économies de la ressource en eau, à la dimi-nution de la consommation d’énergie, à la réduction de l’usage des fertilisants et des produits phytosanitaires. Le goutte à goutte, en raison de sa sobriété et de sa précision chirurgicale peut, à lui seul, répondre à ces exigences. Et par dessus tous ces avantages, il fait progresser les rendements ! Qui dit mieux ?

IRRIGUER EFFICACEMENT SANS ÊTRE VU“NOUS GAGNONS DU TEMPS AU QUOTIDIEN”

Un des premiers systèmes de goutte-à-goutte enterré en grandes cultures de France a été installé chez un céréa-lier de l’Est lyonnais. Jean-Yves Barge revient sur ce qui l’a poussé à choisir ce mode d’irrigation.

Vous avez installé au printemps 2012 un système d’irriga-tion en goutte à goutte enterré sur 4,5 ha dans l’Est lyon-nais. Pourquoi avoir fait ce choix ?Jean-Yves Barges : «Nous avions déjà utilisé le goutte à goutte sur des cultures légumières de surface. Nous connaissions la pré-cision et les avantages en termes de consommation d’eau. Le fa-bricant annonce 20 % d’économie d’eau par rapport à l’aspersion. En revanche, sur les grandes cultures, l’aspect enterré était inté-ressant pour ne pas avoir à enlever les tuyaus chaque année ce qui est très gourmand en temps et pour ne pas être gêné lorsque nous travaillons dans la parcelle. Nous avons choisi cette parcelle car elle était compliquée à irriguer par aspersion du fait de sa forme triangulaire et de la piste cyclable qui la longe.»

Quels calculs économiques avez-vous fais ?J-Y B : «En soi, l’économie d’eau offerte par ce dispositif ne permet pas d’amortir la différence avec un enrouleur. Mais nous espérons aussi faire des économies d’intrants grâce à la nutri-gation (NDLR : les fertilisants sont mélangés à l’eau d’irrigation directement distribué à proximité du système racinaire). Comme il n’y a pas grand monde qui a expérimenté ce système sur grandes cultures, nous allons tâtonner pendant les premières années pour faire les bons ajustements en intrants. Normalement, nous devrions économiser beaucoup de temps par rapport à un système d’aspersion concernant la mise en route et le suivi quotidien. Tout est automatisable et pilotable à distance, même si aujourd’hui nous n’avons pas fait ce choix car nous avons besoin d’observer comment ça se passe.

Cependant, ce genre d’installation est généralisable uniquement si nous sommes aidés financièrement par l’agence de l’eau par exemple»

Travaillez-vous différemment sur cette parcelle ? Quelles sont les contraintes ?J-Y B : «Seul le travail superficiel du sol est possible afin de ne pas accrocher les tuyaux situés entre 30 et 40 cm de profondeur et pour ne pas casser les remontées capillaires. Avec le goutte à goutte enterré, l’eau remonte dans le sol par capillarité d’où un besoin de garder un sol vivant et décompacté. Sur cette par-celle, nous sommes donc passés en technique strip-till, sachant que toute l’exploitation est déjà en non labour depuis plusieurs années. Autre contrainte, il faut faire très attention lors de la ré-colte à ne pas compacter les sols d’où l’utilisation de pneus basse pression sur la moissonneuse et l’absence de remorque dans la parcelle.»

C’est aussi un moyen d’irriguer sans être montré du doigt ?J-Y B : «Nous sommes en zone périurbaine donc nous sommes toujours sous le regard d’autrui. Dans la tête de beaucoup de gens, l’irrigation par aspersion rime avec eau gaspillée alors que personne ne reproche à un horticulteur ou un maraîcher d’irriguer. Le fait d’irriguer sans être vu est un plus pour la tranquillité et l’image que nous renvoyons».

Après ces quelques mois, quel bilan tirez-vous ?J-Y B : «Nous avons constaté que l’économie d’eau annoncée est facilement atteignable et que l’on doit pouvoir faire plus. Le système permet de se soustraire au problème posé par le vent. Et puis, nous avons constaté un faible salissement de la culture certainement grâce au fait de ne pas amener d’eau en surface. Il y a donc beaucoup moins de levées d’adventices».

ARTICLE DE PRESSE

TOITURE VEGETALISEE

VITROLLES : UNE TOITURE VEGETALISEE ECONOME

La végétalisation des toitures progresse peu à peu dans le paysage urbain. A Vitrolles, dans les Bouches-du-Rhône, 466 m² de verdure se déploient désormais sur le toit de la crèche municipale. C’est la société Soprema qui a été désignée pour partici-per à la mise en place d’une solution durable qui al-lie à la fois autonomie de fonctionnement, économie

d’arrosage et diversité végétale.En France, 1 % des toitures sont concernées par le concept de végétalisation, avec 1,4 million de m² installés en 2012. Sachant que le patrimoine bâti français couvre actuelle-ment 23 millions de m² de toiture-terrasses, une marge importante de progression reste donc à la disposition des installateurs et des communes. A la lumière de ces pers-pectives d’évolution, des préoccupations écologiques en milieu urbain, et du Grenelle de l’Environnement, les demandes des collectivités se multiplient, sensibles aux nombreux avantages des toitures végétalisées : protection de l’étanchéité, amélioration de l’inertie thermique, régula-tion des eaux pluviales dans l’environnement, impact visuel agréable... A Vitrolles, à l’occasion de la création d’une nou-velle crèche baptisée «Les Petits Robinson», le projet s’est inscrit dans le cadre de l’appel à projet Agir pour l’Energie «100 bâtiments exemplaires à basse consommation» porté par la Région PACA. Consciente de cet enjeu écologique et économique, la commune de Vitrolles s’est engagée dans

l’installation d’une toiture végétalisée sur près de 466 m² avec, côté Nord, une pente avoisinant les 15 %. Cependant, la mise en oeuvre de cet ensemble nécessite une applica-tion chronologique de supports étanches et rétenteurs tout en limitant les contraintes de portance.

SUPPORT ISOLANT, ETANCHEUR ET RETENTEUR Tout d’abord, le complexe végétalisé repose sur un sup-port porteur acceptant le poids de l’ensemble, soit 120 kg/m². Ce dernier est lui-même recouvert d’un complexe iso-lant composé d’une double couche de panneaux de laine minérale sur 20 cm. De plus, une membrane d’étanchéité, constituée d’une bicouche bitumeuse de 20 mm, vient se superposer sur l’isolant. La société Soprema a été choi-sie par l’étancheur Etphobat pour la fourniture et la mise en place des nattes Aquatex. Aquatex est formé de deux géotextiles entre lesquelles est pré-inséré un système de goutte-à-goutte dont les gaines sont espacées de 38 cm. «Le système de goutte-à-goutte assure un arrosage uni-forme sans détournement de l’eau en cas de grand vent. Une économie de 60 % d’eau est réalisée par rapport à l’aspersion» précise Julien Abel, assistant technique régio-nal en charge de ce projet. Le géotextile supérieur possède un rôle de diffuseur latéral de l’eau sur toute la surface. A l’opposé, la natte inférieure fait office de rétenteur et de stockage de l’eau (4 l/m²) facilement disponible pour les racines des végétaux. «Le plaquage des nattes Aquatex est facile à mettre en oeuvre. Livré en rouleaux de 1,2 m de large sur 25 m, Aquatex se déroule comme un tapis. Les étancheurs peuvent ainsi mettre en place la végétation et son système d’arrosage sans perdre de temps» ajoute-t-il. En ce qui concerne l’irrigation, les goutteurs sont espacés de 40 cm et apportent un débit constant de 0,6 l/h dans une plage de pression comprise entre 0,4 et 2,2 bars. Par ailleurs, les nattes sont connectées ensemble en bout de ligne et raccordées au réseau d’alimentation via une nour-rice couplée à un programmateur (électrovanne, régulateur de presion, filtre et programmateur) permettant le pilotage automatique du démarrage et de l’arrêt des séquences d’arrosage.

ARTICLE DE PRESSE

Article paru dans Horticulture & Paysage Mai 2013

SUBSTRAT DE VEGETALISATION La strate suivante est un substrat de végétalisation de toi-ture ayant pour objectifs le support et l’ancrage des racines, la rétention d’eau et la nutrition des plantes tout en préve-nant les risques de compactage dans le temps. Ce substrat de culture élaboré est ainsi composé d’agrégats minéraux (roche volcanique, pierre ponce, argiles expansés...) ainsi que de matières organiques conformément aux exigences énoncées par les règles professionnelles des toitures végé-talisées. Ces caractéristiques techniques permettent ainsi une rétention d’eau de l’ordre de 20 à 25 litre/m².

ROULEAUX PRECULTIVESLa couverture végétale est effectuée à partir de rouleaux pré-cultivés de 1,2 m de large constitués d’une armature sur laquelle sont enracinés des sédums. D’une épaisseur minimale de 1 cm, les rouleaux sont plaqués sur les couches inférieures. «Les applicateurs utilisent bien souvent une bouteille de gaz pour compresser l’ensemble à la manière d’un gazon de plaquage» souligne Julien Abel. Posé bord à bord, les rouleaux peuvent être découpés à l’aide d’un cutter adapté à cet usage. Une fois déposé, les tapis de sédum couvrent l’ensemble au bout de 3 à 4 semaines. De plus, pour ajouter des couleurs et des formes de feuillage variées, l’quipe de maîtrise d’oeuvre de l’opération de la crèche de Vitrolles a souhaité que l’on insère des vivaces dans les tapis de sedum, notamment au point les plus bas du toit afin de profiter du gradient hydrique que peu de

substrat. Ainsi, près de 600 vivaces ont été plantées direc-tement dans les rouleaux pré-cultivés de manière à réaliser sur ce toit, plusieurs massifs paysagers. Livrées en godet, les vivaces sont espacées tous les 40 cm en suivant la déci-vité pour former au final, une vague fleurie teintée de bleu avec les saponaires et les iris, de blanc avec des gypso-philes ou bien encore de violet avec des civettes.

ARTICLE DE PRESSE

FILTRATION METAL

LA FILTRATION SUR-MESURE DE NETAFIM FRANCE !Le BRL MAUGIO et la ville de la GRANDE MOTTE ont fait appel à NETAFIM pour répondre à un cahier des charges contraignant. L’équipe de NETAFIM France a relevé le défit !

Il s’agissait de venir loger des stations de filtration dans des regards bétons enterrés et des locaux fermés de toute petite taille et fabriqués dans les années soixante dix. En parallèle le besoin en débit d’irrigation avait sensible-ment augmenté depuis cette période ce qui a conduit à la recherche d’une solution à la fois très compacte et encore plus efficace que la solution retenue à l’origine.

Nous avons tout d’abord procédé à des relevés précis des logements de filtration existants afin de concevoir des solu-tions parfaitement adaptées sur mesures et ce au centi-mètre près. La proposition contrôlée et validée par notre distributeur BRL, l’usine a réalisé la solution selon les di-mensions demandées en 8 semaines en moyenne.

L’installation a demandé un peu d’huile de coude et du ma-tériel de levage. Les équipes NETAFIM ont été présentes pour assister l’installation des filtres, puis les tester (mise en eau et paramétrage) et enfin réaliser la formation adap-tée.

Aujourd’hui le défit a été remporté : les filtres fournissent

des capacités de filtration de plus de 30% à 40% supé-rieures à l’origine, dans une compacité supérieure et sur-tout une maintenance facilitée. Par exemple le position-nement des filtres a été pensé dès l’origine pour faciliter la maintenance préventive et curative. Ils sont placés à hauteur d’homme facilitant le démontage des tamis et le contrôle des pièces en mouvement. Les programmateurs offrent des possibilités supérieures aux modèles antérieurs et ce encore une fois afin de faciliter la supervision par les équipes BRL.

Enfin en conclusion il est important de souligner d’une part le caractère spécifique sur mesure du positionnement des filtres (manifold support couplant plusieurs filtres standards) mais également l’extrême standardisation des pièces de re-change qui restent identiques à celles que nous maintenons en stock pour entretenir les filtres du tarif. C’était en effet l’une des autres raisons qui ont conduit le BRL MAUGIO/Mr TOUSSAINT à nous confier ces projets !

LES CHANTIERS

UNE EQUIPE A VOTRE SERVICE !

AVANT

AVANT

APRES

APRES

REFERENCE GOLF GRANDE MOTTE : PN16 et 450 m3/h à 400 microns

REFERENCE PARCS ET JARDIN GRANDE MOTTE : PN10 et 700 m3/h à 400 microns

DEFERRISATION

UNITE DE DEFERRISATION SUR-MESURE DE NETAFIM FRANCE !POUR QUE LE FER NE SOIT PLUS UNE FATALITE ! !!!

La société IRRIGARONNE et un client pépiniériste près de Biarritz ont fait appel à NETAFIM France pour traiter l’eau d’un forage riche naturellement en fer.

Les départements des Landes et des Pyrénées atlantique comportent des sources en eau très riches en fer qui rendent souvent difficile le recours aux systèmes d’irriga-tion localisée. NETAFIM s’intéresse à ce problème. En trou-vant des solutions adaptées il sera possible d’élargir encore l’utilisation de nos systèmes d’irrigation au goutte à goutte ou par micro-aspersion et même si les sources en eau sont à priori à proscrire.En effet la présence de fer dans l’eau est préjudiciable aux réseaux d’irrigation dans leur ensemble : pompage, comp-teurs d’eau, filtres, vannes et enfin goutteurs et micro-as-perseurs voient généralement leurs performances affectées et leur durée de vie réduite sensiblement par la présence de fer dissous dans la source en eau.A titre d’exemple voici quelques problèmes rencontrés chez ce client avant installation de notre solution :-des tamis de filtres colmatés par les oxydes de fer.-des canalisations dont le diamètre intérieur se réduit pro-gressivement et qui finissent par se boucher.-des goutteurs et des piques qui se colmatent.A l’aide d’analyses d’eau envoyées par le client final et qui faisaient état d’une concentration moyenne de 4 mg/l de

Fer dissous, NETAFIM France a fait concevoir et livrer une installation complète destinée à éliminer totalement le fer dissous de la source en eau. Le débit est de 8m3/h et ce flux alimente un réservoir de stockage placé sous la serre et ce 24 heures sur 24. L’irrigation est gérée par pompage dans ce réservoir en fonction des besoins et de la saison (subirrigation des gros sujets et goutte à goutte).

Le délai a été d’environ 10 semaines et deux semaines de plus ont été nécessaires pour l ’installation du procédé complet livré par container (un manuel en français facilitait cette opération).Quelques visites terrains en collaboration avec le distribu-teur IRRIGARONNE auront été nécessaires pour régler fine-ment le procédé et ajuster celui-ci aux besoins spécifiques du client. A cette occasion une formation à la conduite et à la maintenance du procédé aura été réalisée.Le procédé est ultra-classique mais son originalité réside dans la conduite centralisée via automate programmable qui ajuste en permanence les niveaux dans les bacs de séparation et permet l’optimisation du fonctionnement du système sans quasiment aucune intervention humaine. Après une aération pour oxyder le fer dissous et un temps maitrisé de contact entre air/eau le fer est précipité pour grande partie et évacué du procédé avant qu’une filtration à sable à vitesse lente finisse de retirer les plus fines parti-cules de ce fer oxydé.Relativement compact malgré tout, ce procédé peut être installé dans la serre comme c’est le cas ici ou directement à l’extérieur en bord de champ.

Voici en photo des échan-tillons d’eau prises avant(droite) et après le procédé (gauche) = on peut voir très clairement sur l’échantillon de gauche que l’eau est redevenue transparente suite à son traitement par le procédé NETAFIM. Des analyses d’eau réalisées régulière-ment confirmeront cette efficacité.

Ce système clef en mains NETAFIM est un exemple de ce que nous pouvons réaliser dans ce domaine du traitement du Fer. Nous allons maintenant pouvoir nous attaquer à des débits plus élevés en ayant recours à une technologie rela-tivement proche et pour des débits à traiter considérable-ment plus élevés ! C’est notre ambition déclarée !

LES CHANTIERS

CMT

INSTALLATION – FORMATION- SUPPORT DEUX SYSTÈMES DE PILOTAGE PAR RADIONETCette installation se trouve dans l’oriental près d’Oujda, c’est une exploitation agricole née de l’as-sociation de plusieurs agriculteurs, pour la produc-tion de maïs, luzerne et arboriculture.

Il est à noté que l’irrigation se fera en goutte à goutte enter-ré avec de l’UNIRAM AS.La surface totale est de 140 ha, répartis par parcelle d’un peu plus de 5 ha par agriculteur.

Nous avons travaillé sur l’installation, la programmation et formation des différents systèmes sur la station principale N°1.

Nous avons fait une explication théorique et pratique pour l’installation d’un système et réseau radio à partir d’un pro-grammateur NMC-PRO :

• Programmation et configuration des RTU Radionet à partir du PC et du programme PolNet

• Contrôle de l’installation du programmateur NMC-Pro• Installation et contrôle de l’ensemble des éléments de

la base radio-raccordement au NMC-Pro• Programmation du NMC-pro• Test à la station• Test aux champs avec le boitier le plus éloigné, environ

1.5km =ok. • Formation et explication de l’ensemble des menus et

possibilités du programmateur NMC-Pro (programme-historique-alarmes…)

L’ensemble des différentes étapes s’est bien déroulé, avec une équipe de la CMGP très à l’écoute.Ce projet associatif en goutte en goutte enterré sur grande culture, la qualité de l’installation, et la modernité du sys-tème sont une belle vitrine pour la CMGP, et serviront j’en suis sûr de tremplin pour de futurs projets.

LES CHANTIERS

Cette année, NETAFIM France, leader mondial des sys-tèmes de micro-irrigation, sera présent à différents salons.

Nous serons très heureux de vous accueillir sur notre stand où de nouvelles approches en matière d’irrigation vous seront présentées.

Innov-Agri : Le salon agricole plein champsdu 4 au 5 septembre 2013 à Toulouse

Paysalia : Le salon du Paysage, Jardin & Sportdu 3 au 5 décembre 2013 à Lyon

LES SALONS

LES SALONS PROFESSIONNELSRETROUVEZ-NOUS SUR NOS STANDS

Plus de 10 millions de Français possédent un compte Face-book.Par cela nous espérons tisser des liens singuliers et réguliers avec vous et développer la notoriété de notre société, sa visi-bilité et la confiance envers elle.

Par ailleurs, les réseaux sociaux sont un lieu de communica-tion à part, permettant d’entretenir un autre type de dialogue avec les clients, partenaires et fournisseurs. Un dialogue créant de la proximité, de l’échange et donc de la confiance.Les réseaux sociaux, nous permettent de pouvoir répondre à toutes vos questions, vos avis voire vos critiques. De telle sorte nous parviendrons à nouer et bâtir des relations de qua-lités pérennes avec le public.

LES RESEAUX SOCIAUX

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