bsv maraichage 81 bergon nature & jardin
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Bulletin de Santé du Végétal (BSV), destiné aux cultures maraîchères.TRANSCRIPT
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Avertissement général sur l’évaluation des risques
Les informations sur les bio-agresseurs qui sont données dans ce bulletin correspondent à des observations
réalisées dans quelques parcelles seulement. Elles ne peuvent en aucun cas remplacer les observations de chaque
producteur dans ses cultures.
Le risque annoncé correspond au risque potentiel connu des rédacteurs, sans tenir compte de la façon dont les
problèmes peuvent être gérés par les producteurs dans les abris ou les parcelles.
En culture sous abri plus encore que dans d’autres types de cultures, chaque parcelle est une entité spécifique, plus
ou moins isolée de l’extérieur. L’arrivée et l’évolution des problèmes sanitaires dans ces parcelles, même si elles sont
influencées par les conditions extérieures (pression des ravageurs, environnement, climat…), dépendent aussi
beaucoup du type d’abri, des équipements, des techniques culturales et surtout de la stratégie mise en œuvre par le
producteur.
Cultures
Tomate sous abri page 2
Fraise sous abri page 4
Salade plein champ page 5
Salade sous abri page 7
Navet page 8
Carotte page 9
Note nationale page 11
Fréquence de parution : La parution du bulletin a lieu tous les 15 jours, sauf piégeage ou information particulière.
Bulletin n°81
17 octobre 2014
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TOMATE SOUS ABRI
Culture en hors sol : 2 parcelles en cours
Plantation Nb de
parcelles Stade moyen
Début Août 1 R2
Fin Novembre 0 Fin de culture
Décembre 1 Reste 4 bouquets
Attention, ce bulletin ne concerne plus que 2 parcelle hors-
sol de référence et ne peut représenter que succinctement
la situation générale pour les cultures de tomate.
Informations sanitaires d’après des observations réalisées du 3 au 16 octobre 2014
Aleurodes
HORS-SOL : Sur la jeune plantation, les Macrolophus ont été lâchés il y a 1 mois et sont
maintenant visibles sur les zones de lâcher. Trialeurodes vaporariorum est présente sur 60 %
des plantes. Les effectifs augmentent dans le sens où certaines plantes hébergent maintenant +
de 30 larves ou adultes (foyers). La pression est jugée moyenne.
Pour la culture en fin de production, 100 % des plantes hébergent des adultes et larves mais
dans des effectifs peu importants. On note notamment une baisse des effectifs de larves. La
situation continue de s’améliorer et l’attaque est jugée moyenne. Les Cyrtopeltis sont toujours
présents en effectif moyen et rétablissent l’équilibre sur les aleurodes.
Tuta absoluta
En hors-sol, les populations
sont toujours très importantes
dans la parcelle en fin de
production (20 adultes/jour)
mais les dégâts sont très
faibles voire en diminution avec
la réduction de la végétation
(20 % des plantes avec une
galerie. Dans la jeune culture,
les piégeages sont en légère
augmentation mais la pression
sur plante reste faible.
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Noctuelles
Les noctuelles sont présentes sur feuilles à un stade très jeune (œufs ou très petites chenilles)
et sont en augmentation. L’attaque est faible à ce stade.
Acariens
Quelques acariens sont visibles sur petits foyers, souvent en parois et bordures plus aérées.
Attaque faible.
Oïdium
En hors sol, l’oïdium est encore présent dans les 2 parcelles suivies et augmente dans la jeune
culture (80% des plantes contre 30% il y a 2 semaines). Les conditions sont très favorables au
champignon, d’autant que les températures douces se maintiennent. Son développement est
rapide. Les deux espèces d’oïdium sont observées : Oïdium lycopersici et Leveillula taurica.
Botrytis
Le botrytis est de nouveau signalé dans la parcelle en fin de culture, suite aux épisodes pluvieux
et à la réduction du chauffage. Les conditions sont propices à son développement. Présent sur
30% des plantes au niveau des feuilles restées humides, l’attaque est jugée moyenne dans le cas
d’une fin de culture. Cette situation en jeune culture serait plus inquiétante.
Adventices
La parcelle en fin de culture présente un niveau élevé d’adventices. Dans une serre de tomate
hors-sol, les mauvaises herbes sont des sources importantes de contamination de ravageurs et
maladies.
* SYNTHESE des niveaux de pression observés
FAIBLE MOYEN ELEVE
Punaises Nesidiocoris
Noctuelles
Acariens
Tuta
Aleurodes
Oïdium
Adventices
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FRAISE SOUS ABRI
Le réseau d’observation est réalisé actuellement sur les plantations récentes de plants frigo et
sur les variétés remontantes sur un total de 5 parcelles fixes.
Type de
culture
Nombre de parcelles
en cours
d’observations
Département Stade
Serre
froide
3 : Variétés de
printemps
13, 84 Développement
végétatif
Serre
froide
2 : Variétés
remontantes
13, 06 Récolte
Oïdium
On observe la présence d’oïdium dans trois parcelles d’observation,
avec 6 à 20 % de plantes touchées et un niveau d’attaque faible à
élevé.
Oïdium sur fraisier
Botrytis du cœur
On observe la présence de Botrytis du cœur dans une parcelle d’observation, avec 20 % de
plantes touchées et un niveau d’attaque moyen.
Pucerons
On observe la présence de pucerons dans deux parcelles d’observation, avec 6 à 14 % de plantes
touchées et un niveau d’attaque faible.
Phytophthora
On observe la présence de phytophthora dans une parcelle d’observation, avec 6 % de plantes
touchées et un niveau d’attaque faible.
Acariens
On observe la présence d’acariens dans trois parcelles d’observation, avec 5 à 7 % de plantes
atteintes et des niveaux d’attaques faibles.
Thrips
On observe la présence de thrips dans trois parcelles d’observation, avec 6 à 12 % de plantes
touchées et des niveaux d’attaque faible à élevé.
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Noctuelles défoliatrices
On observe la présence de noctuelles défoliatrices dans deux parcelles d’observation, avec 6 %
de plantes touchées et des niveaux d’attaques faibles.
Duponchelia fovealis
Des pièges Delta à phéromone sont installés sur 2 sites dans le Vaucluse. On relève des adultes
piégés (entre 0 et 5,8 adultes/jour). On observe quelques dégâts en culture.
Drosophila suzukii : dégâts sur fruits
Dans le Vaucluse et les Bouches du Rhône, on piège des adultes dans les
haies (entre 0 et 9/jour), mais sans dégâts sur fruits. Dans les Alpes
Maritimes, on signale des dégâts importants sur fruits dans une
parcelle d’observation, avec 27 % de fruits atteints et un niveau
d’attaque élevé. Hors parcelle d’observation, on signale des dégâts
très importants, 90 % de fruits atteints et destruction de la
culture.
Dégâts de D. Suzukii sur fraise
Cochenilles
Rare sur fraisier :
hors parcelle d’observation, on signale la
présence de cochenilles.
Cochenilles sur fraisier
SALADE PLEIN CHAMP
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Parcelles fixes du réseau :
Date de
plantation
Nombre de
parcelles Stade Zone
Début septembre 1 -- Alpes-
Maritimes
Début septembre 1 récolte Bouches-
du-Rhône
Une parcelle de salade de plein champ est en cours d’observation.
Noctuelles défoliatrices
La pression est élevée. Une parcelle du réseau présente
des dégâts sur 58% des plantes. La culture au stade
récolte est fortement impactée.
Les chenilles déprécient la qualité des salades en
consommant le limbe des feuilles et par leurs déjections.
Plusieurs espèces sont en cause dont : Autographa gamma, Heliothis armigera.
Chenille autographa gamma (source : www7.inra.fr/hyppz)
Thrips
Le climat est toujours favorable à la présence des thrips. Ils sont dénombrés sur une parcelle
sur 28% des plantes. Il provoque par leurs piqûres de nutrition l’apparition de plages argentées,
orangées sur le limbe des feuilles. Ils sont également vecteurs du virus TSWV (Tomato Spotted
Wilt Virus).
Pucerons
Des pucerons sont présents sur une parcelle sur 20% des plantes à un niveau faible (quelques
pucerons par plantes).
Nesidiocoris tenuis
La petite punaise est toujours présente sur 25% des plantes
sur une parcelle mais pour le moment il n’y a pas de dégâts
observés.
En 2012, Nesidiocoris tenuis avait été observée en grand
nombre sur des cultures de salades de plein champ du même
secteur et leurs piqûres de nutrition avaient entraîné des
nécroses sur les feuilles. Il faut rester vigilant face à ces
punaises qui constituent un danger potentiel. Nesidiocoris tenuis sur salade
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SALADE SOUS ABRI
Date de
plantation
Nombre de
parcelles Stade Zone
mi-
septembre 1
Pré
pommaison Sud 13
mi-
septembre 1
14-18
feuilles Nord 13
mi-
septembre 1
10-13
feuilles Nord 13
Fin-
septembre 1
10-13
feuilles Vaucluse
Fin-
septembre 1 9 feuilles Vaucluse
Mi-octobre 1 plantation Nord 13
Les plantations de salades sous abri s’intensifient. Les salades plantées cette semaine seront
récoltées en fin d’année.
Six parcelles sont en cours d’observation.
Noctuelles défoliatrices
Elles sont toujours très présentes sur les cultures sous abri également. Deux parcelles du
réseau présentent une attaque sur 2% et 4% des plantes, elles sont également signalées hors
réseau.
Pucerons
Les pucerons sont à surveiller, ils sont présents sur une parcelle du réseau sur 25% des plantes
(3 à 10 pucerons/plante). Les températures encore clémentes sont favorables à leur
développement. Une détection précoce des foyers est importante. Certaines variétés sont
résistantes à une espèce de pucerons Nasonovia ribisnigri biotope Nr 0.
Aleurodes (Trialeurodes vaporarium)
Elles sont toujours observées sur deux parcelles dans les Bouches du Rhône (52% et 4% des
plantes). Les températures douces leurs sont favorables. L’arrachage des cultures voisines des
parcelles qui hébergent des aleurodes entraine leur migration vers les cultures de salades sous
abri. Ces ravageurs sont nuisibles sur cultures de salades car il y a un risque virus. Les aleurodes
sont vecteurs du virus de la pseudo-jaunisse de la betterave (BPsYV) qui provoque une jaunisse
internervaire des feuilles et ralentit la croissance de la plante. Ce virus est rarement observé
cependant en cas de doute veillez à arracher les plantes atteintes et contactez un conseiller.
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NAVET
Parcelles fixes du réseau :
Date de semis Nombre de parcelles Zone
Début août 1 Cadenet
Fin août 1 Loriol du Comtat
Mouche du chou (Delia radicum) piégeage :
Les œufs de mouche du chou sont pondus au
collet des plantes. Les œufs éclosent au bout de
4 à 6 jours. Le développement des larves est de
3 semaines, celles-ci vont creuser des galeries
dans les racines pour se nourrir. Les racines
touchées ne sont plus commercialisables. Les
larves se développent sur plusieurs espèces de
plantes : le navet, le radis, les choux, le colza …
Des pièges à mouches du chou ont été mis en
place sur deux parcelles.
Dégâts de mouche du chou sur radis japonais
* Résultats des piégeages des mouches du chou à Loriol du Comtat
Date de relevé Nombre de mouches capturées
22 septembre 0
10 octobre 0
* Résultats des piégeages des mouches du chou sur une parcelle à Cadenet
Date de relevé Nombre de mouches capturées
17 septembre 0
1 octobre 1
15 octobre 0
Pucerons
La pression a un peu diminué depuis les 15 derniers jours. Des pucerons sont présents sur les
deux parcelles sur 4% et 8% des plantes.
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Tenthrède de la rave
Elles sont observées hors réseau sur plusieurs parcelles au stade jeune avec une présence sur 5
à 15% des plantes. Soyez vigilants sur la présence de ce ravageur sur vos parcelles car il est
important de les détecter précocement. Les dégâts occasionnés peuvent être importants.
La tenthrède est un hyménoptère jaune et noir de 8 mm, la larve âgée est une fausse chenille
noire de 16 à 18 mm qui consomme le feuillage. Les chenilles au stade jeune sont de couleur gris
clair à verdâtre clair.
Virose
Des viroses sont observées sur une culture sur 4% des plantes. Le virus n’a pas été identifié.
Certains virus (Mosaïque du chou-fleur CaMV, Mosaïque du navet TuMV, virus de la jaunisse de la
laitue BWYV) sont transmis par pucerons. D’autres (Mosaïque jaune du Navet TYMV, également
Mosaïque du navet TuMV) sont transmis par les altises. La lutte contre les virus passe par la
limitation du développement des vecteurs mais aussi par l’élimination des résidus de culture et
des adventices, hôtes sauvages des virus, sur les parcelles à risque.
Rouille blanche
Elle est présente sur une parcelle sur 40% des plantes. La rouille apprécie les climats humides.
L’irrigation par aspersion, la rosée et les pluies peuvent disséminer la maladie. Il est fortement
conseiller d’éliminer les résidus de récolte pour limiter la conservation de la maladie sur la
parcelle.
CAROTTE
Parcelles fixes du réseau :
Date de
semis
Nombre de
parcelles Zone
Mi
juillet 1 Puy Sainte Réparade
Mi août 1 Loriol du Comtat
Mouche de la carotte (Psilea rosae) La mouche (Psilea rosae) est présente dans notre région essentiellement au printemps et à
l’automne dans les cultures de carotte. Elle peut aussi attaquer les cultures de céleri-rave,
céleri-branche, persil, fenouil, panais …
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Psilea rosae ponds ses œufs au collet des plantes, le temps
d’incubation de l’œuf est de 5 à 15 jours. La larve se développe
dans la racine de carotte, elle est de couleur jaune blanchâtre
brillant et mesure en fin de développement entre 8 et 10 mm. Il
y a trois stades larvaires, la durée de développement est de 4
semaines en moyenne.
Les larves forment des galeries dans les racines et provoquent
d’importants dégâts. Larve de Psilea rosae sur carotte
Piégeage des mouches
Il y a généralement deux vols de mouches dans notre
région, un au printemps et un à l’automne. Début
septembre, les pièges doivent être mis en place pour le vol
d’automne.
Le piégeage des mouches de la carotte s’effectue grâce à
des panneaux jaunes englués. Cinq pièges sont utilisés par
parcelle. Les pièges sont disposés le long de la parcelle, si
possible proches d’une haie et face au vent. Le piégeage a
pour but de cibler la période de présence des mouches
adultes sur les parcelles. Piège à mouche de la carotte
* Résultat des piégeages sur une parcelle à Loriol du Comtat
Date de relevé Nombre de mouches piégées
22 septembre 0
1 octobre 1
10 octobre 1
Δ Une mouche a de nouveau était capturée à Loriol la semaine dernière. Le vol d’automne des
mouches est en cours sur la parcelle et il faut être très vigilant. Le seuil d’intervention est de 2
mouches piégées sur les 5 pièges installés.
Modèle swat
Le modèle swat de modélisation des vols de mouches de la carotte, indique aussi depuis la
semaine dernière une présence des mouches adultes d’après les données météo de la station de
Carpentras.
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* Résultat des piégeages sur une parcelle au Puy Saint Réparade
Date de relevé Nombre de mouches piégées
12 septembre 0
25 septembre 1
30 septembre 1
9 octobre 0
15 octobre 1
Δ Au Puy-Sainte-Réparade, une mouche a été capturée le 25 septembre et le 30 septembre,
puis de nouveau le 15 octobre.
Le modèle Swat de modélisation des vols de mouche indique une baisse d’activité de vol des
mouches d’après les données météo de la station de Villelaure. Le seuil d’intervention est fixé à
2 mouches piégées sur les 5 pièges et représente le pic de vol des mouches. Cependant, cela
n’arrive pas systématiquement et il faut être très vigilant dès la capture d’une mouche sur les
pièges.
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Crédit photo : APREL, CETA 13 et 84, Chambre d’agriculture des Bouches-du-Rhône, Chambre
d’Agriculture de Vaucluse, GDA du Comtat, D.Blancard (INRA)
Δ Une note nationale sur les Limaces (biologie, moyens de lutte) est à consulter sur le site de la
DRAAF PACA :
Lien : http://draaf.paca.agriculture.gouv.fr/Bulletin-de-sante-du-vegetal-BSV
LES OBSERVATIONS CONTENUES DANS CE BULLETIN ONT ETE REALISEES PAR LES PARTENAIRES SUIVANTS :
Louis Brisson (CETA Saint Anne), Laurent Camoin (Chambre d'Agriculture des Bouches-du-Rhône), Martial
Chaix (CETA d’Eyguières), Marcel Caporalino (Terre d’Azur 06), Christine Chiarri (Chambre d’Agriculture
de Vaucluse - GDA Sud Luberon), Marion Chauprade (CETA du Soleil), Marianne De Coninck (CETA de
Berre), Thierry Corneille (CETA de Châteaurenard), Frédéric Delcassou (CETA d’Eyragues), Jean Luc
Delmas (CETA Durance Alpilles), Florian Ducurtil (CETA Saint Anne) ; Henri Ernout (CETA des serristes
de Vaucluse), Sara Ferrera (Chambre d’Agriculture de Vaucluse - GDA du Comtat), Emeline Feuvrier
(CETA de St-Martin-de-Crau), Isabelle Forest (Chambre d’agriculture du Var), Sylvia Gasq (Chambre
d’Agriculture de Vaucluse - GDA du Comtat), Jérôme Lambion (GRAB), Catherine Mazollier (GRAB), Sabine
Risso (Chambre d’Agriculture des Alpes Maritimes), François Veyrier (CETA d’Aubagne)
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COMITE DE REDACTION DE CE BULLETIN :
Catherine Taussig, APREL 13210 Saint-Rémy-de-Provence, [email protected]
Claire Goillon, APREL 13210 Saint-Rémy-de-Provence, [email protected]
Daniel Izard, Chambre d’Agriculture de Vaucluse, [email protected]
Isabelle Hallouin, Chambre d’Agriculture des Bouches-du-Rhône, i.hallouin@bouches-du-
rhone.chambagri.fr
N.B. Ce Bulletin est produit à partir d’observations ponctuelles réalisées sur un réseau de parcelles. S’il
donne une tendance de la situation sanitaire, celle-ci ne peut pas être transposée telle quelle à chacune
des parcelles. La Chambre régionale d’Agriculture et l’ensemble des partenaires du BSV dégagent toute
responsabilité quant aux décisions prises pour la protection des cultures. La protection des cultures se
décide sur la base des observations que chacun réalise sur ses parcelles et s’appuie, le cas échéant, sur
les préconisations issues de bulletins techniques.
Action pilotée par le ministère chargé de l’agriculture, avec l’appui financier de l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto.