maj dans arcmap

Mise à jour dans ArcMap

Jeff Shaner and Jennifer Wrightsell

Copyright © 2000, 2002 ESRITous droits réservés.Imprimé aux Etats-Unis.

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CREDITS DES DONNEESPlan des fonctions de modification graphique : Wilson, Caroline du Nord

Plan des fonctions de l’éditeur universel de données, de l’édition en mode Données ou Mise en page : Greeley, ColoradoPlan des menus contextuels et des raccourcis clavier : P.F.R.A., Regina, Saskatchewan, CanadaDonnées du didacticiel d’apprentissage : Wilson, Caroline du Nord ; Greeley, Colorado

RÉDACTEURS PARTENAIRESBob Booth, Jeff Shaner, Scott Crosier, Phil Sanchez, Andy MacDonald

DROITS RESTREINTS/LIMITÉS DU GOUVERNEMENT DES ETATS-UNISLa totalité des logiciels, de la documentation et des données fournis sont soumis aux clauses de l’Accord de Licence. Le gouvernement des Etats-Unis ne doiten aucun cas acquérir de droits supérieurs aux DROITS RESTREINTS/LIMITES. L’utilisation, la duplication et la communication par le gouvernement desEtats-Unis sont soumises aux restrictions définies dans les règlements FAR §52.227-14 Alternates I, II et III (JUN 1987) ; FAR §52.227-19 (JUN 1987) et/ouFAR §12.211/12.212 (Commercial Technical Data/Computer Software); DFARS §252.227-7015 (NOV 1995) (Technical Data) et/ou DFARS §227.7202(Computer Software), selon le cas. Le contractant/fabricant est ESRI, 380 New York Street, Redlands, CA 92373-8100, USA.

ESRI, ArcView, le logo de la mappemonde ESRI, ArcMap, ArcInfo, ArcSDE, SDE, Spatial Database Engine, ArcEditor, ArcGIS, ArcCatalog, GIS by ESRI, le logo

ArcGIS et www.esri.com sont des marques commerciales, des marques déposées ou des marques de service d’ESRI aux Etats-Unis, dans la CommunautéEuropéenne ou dans certaines autres juridictions.

Les noms des autres sociétés et produits cités sont des marques commerciales ou des marques déposées appartenant à leur propriétaire respectif.

i i i

Table desmatières

1 Introduction 1Suite enrichie d’outils de modification graphique 2Editeur de données ArcGIS 3Modification en mode Données et en mode Mise en page 4Outils de mise à jour et de gestion de topologies 5Outils de mise à jour et de gestion de réseaux dans une géodatabase 6Menus contextuels et touches de raccourci pour une productivité accrue 7Outils de déformation élastique, d’ajustement et de recollement de bords de données d’entités 8Modification par plusieurs utilisateurs avec gestion des versions et détection des conflits 9Mise à jour distante de données extraites de votre géodatabase versionnée 10Modification dans l’espace projeté 11Astuces pour l’apprentissage de la mise à jour dans ArcMap 12

2 Concepts de base de mise à jour 13Vue d’ensemble du processus de mise à jour 14La Barre d’outils Editeur 16Exploration de la barre d’outils Editeur 17Raccourcis clavier Editeur 23La Barre d’outils Edition avancée 24Ajout de barres d’outils de mise à jour 25Mise à niveau d’une géodatabase 26Ajout des données à mettre à jour 27Démarrage et arrêt d’une session de mise à jour 28Gestion du cache de mise à jour 31Modification des options du menu des tâches 33Sélection des entités 34Déplacement des entités 38Copie et collage des entités 42Suppression d’entités 43Définition du nombre de décimales utilisées pour les mesures de rapport 44

iv MISE À JOUR DANS ARCMAP

3 Création de nouvelles entités 45Création d’une nouvelle entité 46Création d’entités ponctuelles et de sommets 52Création de lignes et de polygones 63Création de segments à partir de directions et de longueurs 69Création de segments à partir d’angles de segments existants 73Création de segments en forme d’arcs circulaires 77Création de segments par traçage d’entités 82Duplication d’entités avec l’outil Copier des entités 83Création d’une courbe de raccord entre deux lignes 84Prolongement d’une ligne 85Tronquage d’une ligne 86Division proportionnelle d’une ligne 87Obtention d’une description COGO d’une entité avec l’outil Inverser 89Création de la géométrie de construction avec l’outil Cheminement 90Création d’entités linéaires à deux points pour compléter des attributs COGO 95Obtention d’un rapport de fermeture 97Techniques d’ajustement d’un cheminement 98Enregistrement d’un cheminement 100Chargement d’un cheminement 101Eclatement d’une entité multi-points 102Généralisation d’une entité 103Lissage d’une entité 104Fenêtre Environnement de capture 105Types de propriétés de capture. 106Utilisation de l’environnement de capture 107Option Capturer sur l’entité 110Définition du système et des unités de mesure de direction pour les outils d’édition 111Définition du type de direction et des unités angulaires 113Utilisation d’une correction des mesures 115Utilisation d’une correction des mesures 116Définition des unités de distance pour les outils 118

TABLE DES MATIÈRES v

4 Mise à jour de la topologie 121Qu’est-ce quela topologie ? 122Fonctions de base des éditeurs de données 123Règles de topologie 126Erreurs et exceptions de topologie 130Eléments géométriques d’une topologie 131Mise à jour des entités d’une topologie 133Correction des erreurs polygonales 136Création de nouvelles entités avec les outils topologiques 137Ajout de la barre d’outils Topologie 139Concepts de latopologie de carte 140Création d’une topologie de carte 141Mise à jour de la géométrie partagée 143Reconstruction de la mémoire cache de topologie 152Suppression des éléments topologiques sélectionnés 153Recherche des entités partageant des éléments topologiques 154Utilisation de la construction pour créer des modifications topologiques 158Etirement des entités lors de la mise à jour des éléments topologiques 164Capture des nœuds topologiques 166Modification de la symbologie pour les entités d’erreurs sélectionnées 167 Modification de la symbologie des éléments topologiques 168Modification de la symbologie appliquée aux couches topologiques 169Validation des modifications d’une topologie 171Récapitulatif des erreurs topologiques 172Correction des erreurs 174Création de nouveaux polygones à partir de lignes 178Création de nouvelles entités à partir de la géométrie d’entités existantes 179

vi MISE À JOUR DANS ARCMAP

5 Utilisation d’un digitaliseur 183Configuration de la tablette à numériser et préparation de la carte papier 184Inscription d’une carte papier 185Création d’entités à l’aide d’un digitaliseur 189Numérisation d’entités en mode ponctuel 190Numérisation d’entités en mode continu 192

6 Création d’entités à partir d’autres entités 195Copie d’une ligne à un intervalle spécifique 196Création d’une zone tampon autour d’une entité 198Création d’une image miroir d’une entité 200Fusion d’entités de la même couche en une entité 202Combinaison d’entités de différentes couches en une entité 204Création d’une entité à partir d’entités ayant des zones communes 206

7 Mise à jour d’entités existantes 209Fractionnement d’une ligne ou d’un polygone 210Tronquage d’une ligne 214Prolongement d’une ligne 217Retournement d’une ligne 219Placement de points le long d’une ligne 220Remodelage d’une ligne ou d’un polygone 222Ajout et suppression des sommets d’une construction 224Déplacement d’un sommet dans une construction 226Modification des propriétés d’une construction 231Mise à l’échelle des entités 235Découpage des entités 237Etirement proportionnel de la géométrie 238Etirement proportionnel de la géométrie d’une entité 239

TABLE DES MATIÈRES vii

8 Ajustement spatial 241A propos des ajustements spatiaux 242La barre d’outils Ajustement spatial 246Vue d’ensemble du processus d’ajustement spatial 247Ajout de la barre d’outils Ajustement spatial 249Choix des données d’entrée pour l’ajustement 250Choix d’une méthode de transformation 251Choix d’une méthode de déformation élastique 252Choix d’une méthode de recollement de bords 253Définition des propriétés de capture de bords 254Création de liens de déplacement 255Création de plusieurs liens de déplacement 256Création de liens d’identité 258Utilisation des outils Zone limite d’ajustement 259Utilisation de l’outil Recollement de bords 260Modification des symboles de lien et de zone limite d’ajustement 261Sélection de liens 262Modification de liens de déplacement 264Suppression de liens de déplacement 266Affichage de la table des liens 268Ouverture d’un fichier de liens 269Enregistrement d’un fichier de liens 270Ouverture d’un fichier de points de contrôle 271Création de liens de déplacement à partir de points de contrôle 272Aperçu de l’ajustement 274Lancement de l’ajustement 275Mappage du transfert d’attributs et outils 276Utilisation de l’outil Transfert d’attributs 278

9 Mise à jour des attributs 279Affichage des attributs 280Ajout et modification des attributs 282Copie et collage des attributs 284

viii MISE À JOUR DANS ARCMAP

10 Mise à jour des attributs de géodatabase 287Modification d’une géodatabase avec ArcMap 288Modification d’entités avec des sous-types et des valeurs par défaut 289Modification des domaines attributaires 293Validation d’entités 294

11 Edition d’objets reliés 297Compréhension des relations et des objets reliés 298Modification des relations et des objets reliés 303

12 Modification des réseaux géométriques 323Modification des entités de réseau 324Création des tronçons de réseau 329Subsomption des jonctions de réseau 336Entités de réseau activées et désactivées 340Barre d’outils Mise à jour de réseaux 341Validation d’entités de réseau 347

13 Modification des annotations 349Annotations dans la géodatabase 350Modification des annotations 351Conversion d’étiquettes en annotations 361Conversion d’une couverture d’annotations en annotations de géodatabase 363

14 Modification des entités cotes 365Modification des entités cotes 366Ajout de la barre d’outils Cotation 372Création d’entités cotes 373Modification des entités cotes 397

TABLE DES MATIÈRES i x

15 Utilisation d’une géodatabase versionnée 401Intégration du versionnement dans le flux de travail de votre société 402Inscription de données comme versionnées 404Création et gestion des versions dans ArcCatalog 405Utilisation des versions dans ArcMap 412Modification et résolution des conflits 415Mise à jour d’une version 420Possibilités de versionnement 424

Glossaire 427

Index 449

DANS CE CHAPITRE

1

Introduction

• Suite enrichie d’outils d’éditiongraphique

• Editeur de données ArcGIS

• Modification en mode Donnéeset en mode Mise en page

• Outils de mise à jour et de gestionde topologies

• Outils de mise à jour et de gestionde réseaux dans une géodatabase

• Menus contextuels et touches deraccourci pour une productivitéaccrue

• Outils de déformation élastique,d’ajustement et de recollement debords de données d’entités

• Modification par plusieursutilisateurs avec gestion desversions et détection des conflits

• Mise à jour distante de donnéesextraites de votre géodatabaseversionnée

• Modification dans l’espace projeté

• Astuces pour l’apprentissage dela mise à jour dans ArcMap

1Outre ses fonctions de cartographie et d’analyse associée aux cartes,l’application ESRI® ArcGIS™ ArcMap™ permet de créer et de mettre à jourdes données géographiques et tabulaires. ArcMap permet de modifier desentités dans des fichiers de formes et des géodatabases, le tout à l’aide d’uneinterface utilisateur commune. ArcMap contient des outils CAO avancéspermettant de créer rapidement et facilement des entités sans atteinte àl’intégrité spatiale de la base de données du système d’informationsgéographiques (SIG). Des licences ArcEditor™ et ArcInfo™ d’ArcMappeuvent être utilisées pour mettre à jour des réseaux géométriques et destopologies de géodatabase, ainsi que des entités simples. Les licencesArcView® d’ArcMap permettent de mettre à jour des entités simples dansdes fichiers de formes et des géodatabases. Les licences ArcView permettentégalement de créer une topologie de carte temporaire pouvant être utiliséepour mettre à jour des entités simples partageant une géométrie.

Que vous utilisiez ArcView ou ArcInfo, vous faites appel aux mêmes outilsde mise à jour dans ArcMap pour manipuler vos données géographiques.Si, dans votre société, plusieurs utilisateurs modifient simultanément unegéodatabase partagée, ArcMap, conjointement à ArcSDE®, fournit les outilsnécessaires à l’administration de longues transactions de mise à jour, à lagestion de plusieurs versions et à la résolution de conflits potentiels. Leslicences ArcEditor et ArcInfo d’ArcMap permettent d’extraire des entitésd’une géodatabase principale et de les importer dans une géodatabased’extraction en vue de leur mise à jour en mode déconnecté.

Que vous utilisiez ArcView, ArcEditor ou ArcInfo, l’objectif de ce manuel est defaciliter votre apprentissage et votre utilisation des fonctionnalités de mise à jourd’ArcMap à tout niveau de la gestion d’une base de données géographiques.Les pages suivantes mettent l’accent sur certaines entités jugées inestimableslors d’une session de mise à jour dans ArcMap.

2 MISE À JOUR DANS ARCMAP

Suite enrichie d’outils de modification graphiqueArcMap permet de créer et de mettre à jour, rapidement et facilement, des entités géographiques grâce à l’intégration de nombreusesfonctions d’édition graphique dans les tout derniers progiciels d’édition CAO.

Les outils de construction d’ArcMap permettent de modifier rapidement et avec précision la servitude viaire.

INTRODUCTION 3

Editeur de données ArcGISArcMap permet de mettre à jour des fichiers de formes et des géodatabases. Vous pouvez également mettre à jour un dossier de donnéescomplet en une seule fois. Les licences ArcEditor et ArcInfo peuvent tirer profit des domaines par plage et de valeurs précodées d’unegéodatabase, ainsi que de la fonction de validation pour accélérer la mise à jour d’attributs et maintenir une qualité de données élevée.

Sélectionnez la géodatabase ou le dossier de données à modifier au début d’une session de mise à jour dansArcMap.


Optimisez l’affichage des informations géographiqueslors d’une session de mise à jour en mode Données.

Modification en mode Données et en mode Mise en pageArcMap propose deux manières d’afficher une carte : le mode Données et le mode Mise en page. Chaque affichage permet de visualiserla carte et d’interagir avec celle-ci d’une manière différente. MapLe mode Données masque tous les éléments cartographiques de lamise en page, tels que les titres, les flèches du Nord et les barres d’échelle. En mode Mise en page, vous affichez une page virtuelle surlaquelle vous pouvez placer et organiser différents éléments de carte. Vous pouvez modifier vos données géographiques, soit en modeDonnées, soit en mode Mise en page.

Lorsque vous préparez une carte, vous pouvez modifier des entitésdirectement en mode Mise en page.

INTRODUCTION 5

Outils de mise à jour et de gestion de topologiesArcMap fournit des outils de mise à jour d’entités dont des relations topologiques sont définies dans une géodatabase ou une topologiede carte. Les licences ArcView se limitent à la fonction de mise à jour de topologies de carte, formes temporaires plus simples detopologies permettant la modification simultanée de composants d’entités partagés.


Outils de mise à jour et de gestion de réseaux dans une géodatabaseArcMap fournit des outils de mise à jour des réseaux géométriques stockés dans une géodatabase.

INTRODUCTION 7

Menus contextuels et touches de raccourci pour une productivité accrueArcMap comprend différents menus contextuels et touches de raccourci pour créer et modifier des entités rapidement.

Utilisez le menu contextuel de l’outil Construction et les touches de raccourci pour accéder aux outils de créationd’entités avancées.


Outils de déformation élastique, d’ajustement et de recollement de bordsde données d’entitésArcMap contient des outils permettant de transformer, d’ajuster, d’étirer et de recoller les bords de données d’entités de différentes sources.

INTRODUCTION 9

Modification par plusieurs utilisateurs avec gestion des versions etdétection des conflitsSi plusieurs utilisateurs doivent mettre à jour les mêmes données simultanément, ArcMap permet de gérer plusieurs versions de lagéodatabase ArcSDE.

Les outils évolués de gestion de versions d’ArcMap permettent de conserver un environnement autorisantdes modifications par plusieurs utilisateurs.


Mise à jour distante de données extraites de votre géodatabase versionnéeSi certains utilisateurs ont besoin de travailler avec seulement une partie de votre géodatabase en mode déconnecté, les licencesArcEditor et ArcInfo vous permettent d’extraire des entités et de les importer dans une géodatabase personnelle, de les mettre à jour etde les réinsérer dans la géodatabase principale ultérieurement.

INTRODUCTION 11

Modification dans l’espace projetéSi les données collectées sont issues de plusieurs sources différentes, les couches risquent de ne pas toutes contenir les mêmes informationsde système de coordonnées. ArcMap permet de paramétrer le système de coordonnées d’un bloc de données déterminé. Au fur et à mesurede leur ajout à une carte, les couches sont automatiquement transformées dans cette projection. En d’autres termes : vous pouvez modifierles formes et les attributs d’une couche, indépendamment du système de coordonnées dans lequel elle a été enregistrée.

ArcMap dispose de fonctionnalités de projection à la volée qui permettent de modifier les couches dusystème de coordonnées, qui sont les plus importantes pour vous, sans transformer vos données.


Astuces pour l’apprentissage de la mise à jour dans ArcMap

Si vous êtes novice en matière de SIG, vous n’aurez pas besoinde tout savoir sur la mise à jour dans ArcMap pour obtenir desrésultats immédiats. Pour savoir comment mettre à jour vosdonnées SIG, consultez le manuel Geodatabase Workbook.ArcMap étant fourni avec les données utilisées dans ledidacticiel, vous pouvez suivre ce logiciel étape par étape survotre ordinateur. Vous pouvez également lire la présentation sansutiliser votre ordinateur.

Répondre à vos questions

Comme pour la plupart des personnes, votre objectif estd’effectuer votre travail tout en investissant le moins de tempset d’énergie possible dans l’apprentissage d’un logiciel. Vousrecherchez un logiciel intuitif et convivial qui offre des résultatsimmédiats sans avoir à lire des pages et des pages dedocumentation. Cependant, lorsque vous vous posez unequestion, vous voulez pouvoir obtenir rapidement une réponseafin de terminer votre travail. Voilà la finalité de ce livre : vousdonner les réponses dont vous avez besoin quand vous enavez besoin.

Ce livre décrit les fonctions de modification – des plusélémentaires aux plus avancées – que vous pouvez effectuer avecArcMap. Vous pouvez bien évidemment lire ce livre dans sonintégralité, mais vous le consulterez probablement davantage enréférence. Pour en savoir plus sur la manière d’effectuer une tâchedonnée, par exemple : la création d’une nouvelle entité, reportez-vous tout simplement à la table des matières ou à l’index. Voustrouverez une brève description pas à pas de la fonction. Certainschapitres incluent également des informations détaillées sur lesconcepts sous-jacents aux traitements. Vous pouvez aussi vousréférer au glossaire de ce livre pour rechercher un terme SIG quevous ne connaissez pas ou simplement effectuer une révision.

A propos de ce livre

Ce livre est conçu dans l’objectif de présenter la modification dansArcMap et ses fonctionnalités. Si vous n’avez jamais utilisé de SIGauparavant ou avez besoin d’actualiser vos connaissances dans cedomaine, prenez le temps de lire Prise en main d’ArcGIS, fourniavec ArcGIS. Vous n’y êtes pas obligé pour continuer la lecture dece livre, mais vous devez vous y référer si vous rencontrez destâches auxquelles vous n’êtes pas habitué.

Utiliser l’aide en ligne

En plus de ce manuel, utilisez le système d’aide d’ArcGISDesktop pour savoir comment utiliser ArcMap. Pour apprendre ànaviguer dans l’aide d’ArcGIS Desktop, reportez-vous à larubrique Utilisation d’ArcMap.

Contacter ESRI

Si vous souhaitez contacter ESRI pour obtenir une assistancetechnique, reportez-vous à la carte d’enregistrement et de supporttechnique fournie avec ArcMap ou reportez-vous à la rubrique« Contact du Support Technique » de l’aide d’ArcGIS Desktop.Pour plus d’informations sur ArcMap et ArcGIS, vous pouvezégalement visiter le site Web d’ESRI à l’adresse www.esri.com ousupport.esri.com.

Possibilités de formation ESRI

ESRI propose des formations liées aux systèmes d’informationgéographique, aux applications et à la technologie SIG. Vouspouvez choisir des cours dispensés par des instructeurs, des courssur le Web et des manuels d’auto-formation pour trouver lessolutions adaptées à votre style d’apprentissage. Pour plusd’informations, consultez la sectionwww.esri.com/education.

DANS CE CHAPITRE

13

Concepts de base de mise à jour

• Vue d’ensemble du processus demise à jour

• Exploration de la barre d’outilsEditeur et des raccourcis clavier

• Ajout de barres d’outils de miseà jour

• Mise à niveau d’une géodatabase

• Ajout des données que vous voulezmettre à jour

• Ouverture et fermeture d’une ses-sion de mise à jour

• Gestion du cache de mise à jour

• Modification des options du menudes tâches

• Sélection, déplacement, copie etcollage, et suppression d’entités

• Définition du nombre de décimalesutilisées dans l’analyse desmesures

2Outre la cartographie et l’analyse des cartes, ArcMap est égalementl’application utilisée pour la création et la modification des bases de donnéesspatiales. ArcMap comporte des outils permettant de mettre à jour les fichiersde formes et les jeux de classes d’entités de géodatabase.

Ce chapitre fournit une introduction sur la façon de modifier dans ArcMapet décrit les tâches de base que vous devez connaître avant de pouvoircommencer à créer et modifier des données spatiales. Par exemple,le présent chapitre vous montre comment effectuer des tâches commel’ajout de la barre d’outils Editeur, l’ajout d’autres barres d’outils de miseà jour, telles que les barres d’outils Cache Maj, Edition avancée, Ajustementspatial, Topologie et Mise à jour de réseaux ; l’ouverture et la fermetured’une session de mise à jour et la sélection d’entités.


Vue d’ensemble du processus de mise à jour

Vous trouverez ci-dessous une vue d’ensemble indiquant la façond’utiliser ArcMap et la barre d’outils Editeur pour modifier lesdonnées. Chacune des étapes ci-dessous est présentée en détaildans ce chapitre ou d’autres chapitres de ce manuel.

1. Démarrez ArcMap.

2. Créez un nouveau document ArcMap ou ouvrez undocument existant.

3. Ajoutez au document ArcMap les données que vousvoulez modifier.

S’il n’existe aucune couche pour les classes d’entitésque vous souhaitez modifier, vous pouvez en créer aumoyen d’ArcCatalog™. Pour plus d’informationsrelatives à la création d’une couche d’entités, voirUtilisation d’ ArcCatalog.

4. Ajoutez la barre d’outils Editeur à ArcMap.

Bouton Ajouter les données

Bouton Barre d’outils Editeur

5. Sélectionnez Ouvrir une session de mise à jour dans lemenu Editeur.

6. Créez ou modifiez des entités et /ou leurs attributs.

Bouton Nouveau document Arcmap

Bouton Ouvrir

CONCEPTS DE BASE DE MISE À JOUR 15

7. Choisissez Quitter la session de mise à jour dans le menuEditeur puis cliquez sur Oui lorsque vous serez invité àenregistrer les mises à jour.

Vous n’avez pas besoin d’enregistrer le documentArcMap ; toutes les mises à jour apportées à la basede données seront effectives à la prochaine réouverturedu document.


La Barre d’outils Editeur

Commandesde la session

de mise à jour.

Outil de miseà jour :permet desélectionner desentités en vuede les modifier.

Palette d’outils :Utilisez cesoutils pourcréer uneconstruction.

Tâche en coursliste déroulante :les tâches de cetteliste vont de pair avecune constructiondessinée à l’aide del’outil de constructionde la palette d’outil.

Liste déroulanteCouche cible :définit la couchedont relèverontles nouvellesentités.

Bouton Attributs :ouvre la boîte dedialogue des attributsaffichant les attributsde toutes les entitéssélectionnées.

Propriétés deconstruction :Permet despécifier lesemplacementsx,y des sommetsd’uneconstruction.

Fractionnement :Permet defractionner unsegment à unemplacementspécifique

OutilRotation :Permet defaire pivoterun segmentou uneconstructiondans uneorientationsouhaitée.


La présente section vous indique comment les modificationsdans ArcMap vous aident à terminer les tâches que vous devezaccomplir. Vous connaîtrez les types de données que vouspouvez modifier ainsi que les principes de base de création etde modification des entités et de leurs attributs.

La structure des jeux de données vectoriels :

ArcMap fournit un environnement de modification commun auxentités stockées dans les jeux de classes d’entités de géodatabaseet les fichiers de formes.

Comparaison de la structure des jeux de données vectoriels

Géodatabase Fichier de formes

Ensembles Une géodatabase représente un ensemble Un dossier de fichiers de formes représente unde jeux de données de jeux de classes d’entités. ensemble de fichiers de formes.

Jeux de données Un jeu de données d’entités représente un Un fichier de formes contient une entité deensemble des classes d’entités. fichier de formes classe.

Ensembles Une classe d’entités est un ensemble Une classe d’entités du fichier de formes est und’entités d’entités du même type. Ensemble d’entités de fichier de formes.

Entités Point, multi-point, polyligne, Point, multi-point, ligne, et polygone.polygone, annotation et réseau.

Topologie Les jeux de données de géodatabase Une topologie de carte peut être utilisée pourpeuvent contenir des topologies ou intégrer et mettre à jour des classes d’entitésréseau géométrique. de fichier de formes.

Exploration de la barre d’outils Editeur

Lorsque vous modifiez des données avec ArcMap, vous modifiezdes classes d’entités (ensembles d’entités) que les couches sur lacarte représentent.

La mise à jour des classes d’entités vous permet non seulement demodifier la représentation cartographique mais aussi la source réelledes données.

Une classe d’entités est un ensemble du même type d’entités commepar exemple un ensemble de points ou un ensemble de polygones.

Un jeu de données est un ensemble de classes d’entités partageantla même référence spatiale. Un jeu de données peut représenter un


Création en tantque construction

Création en tantqu’entité

ensemble de classes d’entités territoriales ou un ensemble declasses d’entités utilitaires. Les fichiers de formes représentent uneexception ; ils ne contiennent pas d’ensemble de classes d’entitésmais une seule classe d’entités de fichiers de formes.

Un ensemble de jeux de données d’entités est stocké dans unegéodatabase. Les fichiers de formes sont stockés dans un dossierspécial. Il est possible d’ajouter plusieurs ensembles de jeux dedonnées à la carte (géodatabases, espaces de travail ArcInfo etdossiers de fichiers de formes). En revanche, vous ne pouvezmodifier les classes d’entités que dans un ensemble à la fois. Il estimpossible de modifier les classes d’entités de la couverture dansArcMap.

Qu’est-ce qu’une construction et commentfonctionne-t-elle avec une tâche ?

Une construction est une forme que vous dessinez pour effectuerdifférentes tâches au cours de la modification, comme l’ajout denouvelles entités, la modification d’entités et le remodelage d’entités.

Liste déroulante Tâche courante


Construction montrant l’emplacement où le polygone doit être coupé.

Polygone divisé en deux entités à l’endroit où la construction a étédessinée.

Les parcelles coupées par la construction sont maintenantsélectionnées.

La construction coupe les parcelles à sélectionner.

Les tâches sont listées dans la liste déroulante Tâches en cours.Vous devez créer une construction pour effectuer une tâche.

Par exemple, la tâche Créer nouvelle entité se sert d’uneconstruction pour créer la nouvelle entité.


entité points

entité linéaire

entité polygone

constructionlinéaire

constructionpolygone

La tâche Sélectionner avec une ligne utilise une construction quevous créez pour sélectionner des entités ; les entités que la lignecroise sont sélectionnées.

La tâche Couper l’entité polygone se sert d’une constructionlinéaire dessinée par vos soins pour couper un polygone.

Création nouvelle entités

Vous pouvez créer trois types principaux d’entités grâce à labarre d’outils Editeur : points, lignes et polygones.

Pour créer une ligne ou un polygone, vous devez d’abord créerune construction. La forme d’une construction se compose detous les sommets et segments de l’entité. Les sommets représententles points auxquels les constructions changent de direction, telsque les angles, et les segments représentent les lignes connectantles sommets.

OutilConstruction

Outil Arc

Outild’intersection

Outil Distance–Distance

Paletted’outils

Outil Traçage

Outil Courbetangente

Outil Centre

Outil Arcd’extrémité

OutilDirection–Distance

Menu contextuel de l’outil Construction


Vous pouvez créer une construction en déterminant les sommets etles segments constituant les entités. Les sommets sont indiqués envert. Le dernier sommet ajouté est indiqué en rouge.

L’outil Construction est l’outil que vous utiliserez le plus lors de lacréation d’une construction. Il est muni d’un menu contextuel vouspermettant de positionner les sommets et les segments de façonplus précise. Les outils Arc, Distance–Distance et Intersection(situés avec l’outil Construction sur la palette d’outils) vous aidentégalement à créer des sommets et segments en utilisant d’autresméthodes de construction.

Lors de la création d’une nouvelle entité, la couche cible détermineà quelle couche appartient la nouvelle entité. La liste déroulanteCouche cible contient les noms de toutes les couches des jeuxde données avec lesquels vous travaillez. Les sous-types sontégalement listés si nécessaire. Par exemple, si vous définissez lacouche cible sur Bâtiments : Commerciaux, toute entité créée ferapartie du sous-type Commerciaux de la couche Bâtiments.

Vous devez définir la couche cible chaque fois que vous créez denouvelles entités : que ce soit avec l’outil Construction, parCopier-Coller ou par bufferisation d’une autre entité.

Mise à jour des entités

A chaque entité figurant sur la carte correspond une formealternative, une construction. Tout comme vous devez créer uneconstruction pour créer une entité, pour modifier une entité vousdevez modifier sa construction. En raison de la visibilité dessommets dans une construction, vous pouvez modifier l’entitéen détail ; vous pouvez déplacer les sommets, les effacer, ou enajouter de nouveaux en utilisant le menu contextuel Construction.

Lors de la modification d’une entité en travaillant avec saconstruction, vous pouvez également utiliser une autreconstruction que vous créez en vue de modifier l’entité pourcertaines tâches. Un exemple de ce type de tâche est Couperdes entités surfaciques, dans laquelle une construction quevous construisez permet de diviser un polygone en deux.

Liste déroulante Couche cible

Lorsque vous modifiez la construction d’une entité, vous en modifiez lessommets en utilisant le menu contextuel Construction.


Boîte de dialogue des Attributs

Les modifications simples, telles que le déplacement, la copieou la suppression, peuvent être apportées à une entité en lasélectionnant puis en choisissant l’outil ou la commandeapproprié.

Bouton Attributs

Mise à jour attributs

Les attributs peuvent être créés ou modifiés dans la boîte dedialogue Attributs. Après avoir sélectionné l’entité dont voussouhaitez modifier les attributs, cliquez sur le bouton Attributspour afficher la boîte de dialogue.


Raccourcis clavier Editeur

Des raccourcis clavier sont associés à un certain nombre d’outils etde commandes de mise à jour. Vous pouvez utiliser des raccourcisclavier pour accélérer et optimiser la mise à jour.

Outil Construction

Direction Ctrl + A

Déflexion Ctrl + F

Longueur Ctrl + L

Coordonnées X,Y absolues F6

Delta X,Y Ctrl + D

Angle/Longueur Ctrl + G

Parallèle Ctrl + P

Perpendiculaire Ctrl + E

Déflexion du segment F7

Courbe tangente Ctrl + T

Mode continu F8

Supprimer la construction Ctrl + Suppr

Finir la construction F2

Afficher les sommets V

Afficher la tolérance T

Zoom avant Z

Zoom arrière Y

Déplacer C

Interrompre l’alignement Barre d’espacement

Ajouter/supprimer la sélection Maj

Déplacer l’ancre de sélection Ctrl

Traçage

Changer de côté Tab

Efface le traçage Echap

Décalage O

Outil Arc d’extrémité

Rayon R

Outil Direction–Distance

Direction D

Distance D

Outils d’édition

Sélectionner l’ancre Ctrl + clic gauche

Copier Ctrl + C

Coller Ctrl + V

Annuler la création Ctrl + Z

Entité suivante N

Outil Mise à jour de la topologie

Sélectionner le noeud Maj + N

Sélectionner le tronçon Maj + E

Déplacer l’ancre de sélection Ctrl + clic gauche

Fractionner/déplacer le noeud S + clic gauche

Outil Valider

Valider zone de la construction Ctrl

Echelle/Rotation

Insérer seconde ancre S


La Barre d’outils Edition avancée

ArcInfo et ArcEditor

Outil Copier desentités :

Crée une copie dansla couche cible del’Editeur des entitéssélectionnées surlesquelles vouscliquez sur la carte.

Outil Raccordcirculaire :

Outil Prolonger :

Prolonge une lignepour en toucherune autre.

Outil Tronquer :

Tronque une lignecroisant une lignesélectionnée.

OutilProportionner :

Divise une ligne enun certain nombrede segments delongueur spécifiée,en affectant touteerreur entre lesnouveauxsegments.

Outil Inverser :

Ajoute ladescriptionCOGO d’uneentité à la tableattributaire.

Outil Cheminement :

Effectue des ajouts àla construction àl’aide de descriptionsCOGO.

Outil Eclater :

Fractionne un entitémulti-parties dans sesentités composantes.

Outil Généraliser :

Simplifie la forme d’uneentité sélectionnée.

Outil Lissage :

Lisse la forme d’uneentité sélectionnée enconvertissant sessegments en une sériede segments de lignelissés.

Tandis que la barre d’outils Edition avancée est disponible avec ArcEditoret ArcInfo, il ne s’agit pas d’une entité disponible avec ArcView.

Crée une courbe deraccord entre deux entitéslinéaires.


Ajout de barresd’outils de miseà jourAvant de pouvoir modifierles données d’entitésgéographiques dans ArcMap,vous devez ajouter la barred’outils Editeur.

Ajout de la barre d’outilsEditeur


2. Cliquez sur le bouton Barred’outils Editeur pour afficherla barre d’outils Editeur.

3. Cliquez sur la barre de titrede la barre d’outils et faites-la glisser vers le haut de lafenêtre d’applicationd’ArcMap.

Astuce

Ajout de la barre d’outilsEditeur à l’aide de la boîtede dialogue PersonnaliserCliquez sur le menu Outils, puis surPersonnaliser. Cliquez sur l’ongletBarres d’outils puis cochez Editeur.

Astuce

Ajout de la barre d’outilsEditeur à partir du menud’affichageVous pouvez également ajouter labarre d’outils Editeur en cliquantsur le menu Affichage, ensélectionnant Barres d’outilspuis en cochant Editeur.

Astuce

Ajout de la barre d’outilsEditeur à partir du menudes outilsVous pouvez également ajouter labarre d’outils Editeur à partir dumenu des outils. Cliquez sur Outilspuis sur le bouton Barre d’outilsEditeur.

Ajout d’autres barresd’outils de mise à jour

1. Cliquez sur Editeur, pointezsur Autres outils, etsélectionnez la barred’outils à ajouter.

3

1

2


Mise àniveau d’unegéodatabaseLes géodatabases construites àl’aide de versions précédentesd’ArcGIS ne prennent pas encharge certaines des nouvellesfonctions d’ArcGIS.

Si votre géodatabase a étéélaborée à l’aide d’une versionprécédente d’ArcGIS, vouspouvez la mettre à niveau.

1. Lancez ArcCatalog.

2. Cliquez avec le boutondroit de la souris sur lagéodatabase que voussouhaitez mettre à niveau,puis sélectionnez Propriétés.

3. Cliquez sur l’onglet Général.

4. Cliquez sur Mettre à niveaula géodatabase personnelle.

5. Cliquez sur OK.

2

3

4

5

Astuce

Création d’une copie desauvegarde de votregéodatabaseSachez qu’une fois une géodatabasemise à niveau, les versionsprécédentes d’ArcGIS peuventl’afficher, mais ne peuvent pas lamettre à jour. C’est pourquoi vouspouvez créer une copie de lagéodatabase et la mettre à niveau,afin de conserver à la fois lagéodatabase originale et une miseà niveau.


Ajout desdonnées à mettreà jourAvant de commencer lesmodifications, vous devezajouter à la carte les donnéesque vous souhaitez modifier.Dans ArcMap, vous pouvezmodifier les données d’entitésdans les fichiers de formes oules géodatabases.


2. Cliquez sur le bouton Ajouterles données.

3. Naviguez versl’emplacement où résidentles données puis cliquez surAjouter.

Les données s’ajoutent àla carte.

Astuce

Arrêt du dessin desdonnéesVous pouvez mettre un terme auprocessus de dessin sans avoir àeffacer la carte en appuyant sur latouche Echap.

Les données s’ajoutent à la carte.

Astuce

Chargement des donnéesd’une géodatabaseVous pouvez importer les donnéesd’une géodatabase dans unecouche de la carte à l’aide de lacommande Charger des objets.Pour plus d’informations, voirCréation d’une Géodatabase.

3

2


démarrage d’une sessionde mise à jour

1. Démarrez ArcMap et ajoutezla barre d’outils Editeur.

2. Cliquez sur Editeur, puis surOuvrir une session de miseà jour.

La barre d’outils Editeurest active.

Démarrage etarrêt d’unesession de miseà jourToutes les modifications ont lieulors d’une session de mise àjour. Pour commencer,sélectionnez Ouvrir une sessionde mise à jour dans le menuEditeur. Les modificationseffectuées sont immédiatementvisibles sur la carte mais ne sontpas enregistrées dans la basede données tant que vousne choisissez pas de le faire.

Si vous travaillez avec desquantités volumineuses dedonnées, vous pouvez accélérerla modification et la sélectiondes entités en créant un cachede mise à jour. Une cache demise à jour contient les entités u

Astuce

Modification d’une carteavec plus d’un ensemblede jeux de donnéesVous ne pouvez modifier qu’unensemble de jeux de données à lafois. Il peut s’agir de géodatabasesou de dossiers contenant unensemble de fichiers de formes.Si votre carte contient plusieursensembles, lorsque vous choisissezOuvrir une session de mise à jour,vous êtes invité à choisir celui quevous voulez modifier.

La barre d’outils Editeur est active.

2


visibles de la carte en coursdans la mémoire de votreordinateur local. Un cache demise à jour implique unemodification plus rapidepuisqu’ArcMap n’a pas àrécupérer les données duserveur. Vous pouvez créer uncache de mise à jour en cliquantsur la commande Générer lecache de mise à jour sur la barred’outils Cache de mise à jour.

Lorsque vous avez fini lesmodifications, vous pouvezenregistrer toutes les modifica-tions que vous avez faites ouquitter le mode édition sansenregistrer. Vous pouvezégalement enregistrer à toutmoment les mises à joureffectuées en sélectionnantEnregistrer les mises à jourdans le menu Editeur.

Astuce

Zoom sur l’étendue ducache de mise à jourVous pouvez retourner rapidementsur l’étendue du cache de mise àjour à tout moment lors de lasession de mise à jour. Cliquez surle bouton Zoom sur le cache demise à jour dans la barre d’outilsCache de mise à jour.

Création d’un cache demise à jour

1. Ajoutez les données quevous voulez modifier.

2. Cliquez sur le bouton Zoomavant de la barre d’outilsOutils.

3. Effectuez un zoom avant surla surface de la carte quevous voulez modifier.

4. Cliquez sur le boutonGénérer le cache de mise àjour dans la barre d’outilsCache de mise à jour.

Les entités visibles surl’étendue sont conservéeslocalement en mémoire.

Enregistrement desmises à jour au coursd’une session de miseà jour

1. Cliquez sur Editeur.

2. Cliquez sur Enregistrer lesmises à jour.

Les modifications effectuéessont enregistrées dans labase de données.

4 Zoom sur le cache de mise à jour

Afficher le cache de mise à jour

2

1


Arrêt d’une session demise à jour

1. Cliquez sur Editeur puiscliquez sur Quitter la sessionde mise à jour.

2. Pour enregistrer les modifica-tions, cliquez sur Oui. Pourquitter sans enregistrer,cliquez sur Non.

Astuce

Modification en mode demise en pageVous pouvez également modifier lesdonnées d’une carte en préparation.Cliquez sur le menu Affichage, puissur Mode Mise en page. Pour plusd’informations sur l’utilisation dumode Mise en page, reportez-vousà la rubrique Utilisation d’ArcMap.

Astuce

Modification d’une carteavec plusieurs blocs dedonnéesLorsque vous sélectionnez Ouvrirune session de mise à jour et quela carte contient plusieurs blocsde données, les modificationsapportées s’appliquent au blocde données en cours d’utilisation.Pour modifier un bloc différent,vous devez sélectionner Quitter lasession de mise à jour, puis Ouvrirune session de mise à jour aprèsavoir activé le bloc de donnéessouhaité.

Pour en savoir plus sur les blocsde données, consultez la rubriqueUtilisation d’ArcMap.

2

1


Ajout de la barre d’outilsCache de mise à jour

1. Cliquez avec le bouton droitde la souris sur le menuprincipal.

2. Cliquez sur Cache Maj.

3. Ancrez la barre d’outils àla fenêtre ArcMap. La barred’outils s’affichera désormaisà chaque démarraged’ArcMap.

Astuce

Ajout de barre d’outilsVous pouvez également ajouter labarre d’outils en cliquant sur le menuAffichage, en pointant sur Barresd’outils, puis en sélectionnant l’optionCache Maj ou le menu contextuelEditeur sous Autres outils.

Gestion du cachede mise à jourL’utilisation du cache de mise àjour lors de l’édition de donnéesstockées dans une géodatabaseArcSDE améliore grandement lesperformances. Puisque le cachede mise à jour figure sur le client,il réduit le nombre de requêtesque le client a besoin d’exécutersur le serveur lors de l’édition.Cela améliore les performances devotre session de mise à jour etréduit la charge du serveur dans unenvironnement multi-utilisateurs.Lorsque vous mettez à jour desentités réseau ou que vous utilisezles outils d’édition de géométriepartagée dans des géodatabasesArcSDE, vous devez toujoursutiliser le cache de mise à jour.

ArcMap comporte des outilspermettant de construire le cachede mise à jour et de faciliter sonutilisation. Ces outils se trouventdans la barre d’outils Cache demise à jour.

2

Astuce

Utilisation du cache demise à jourVous ne pouvez pas créer ni utiliserde cache de mise à jour si vousn’avez pas commencé la mise à jour.


Création d’un cache demise à jour

1. Déplacez-vous et/ou faitesun zoom sur la zone de votrecarte où vous allez faire lamise à jour.

2. Cliquez sur la commandeGénérer le cache de mise àjour dans la barre d’outilsCache de mise à jour.

Astuce

Entités en lecture seuleDans une géodatabase ArcSDE, lesentités pour lesquelles vous n’avezpas d’autorisations d’écriture,ainsi que celles figurant dans desclasses d’entités qui ne sont pasenregistrées comme versionnées,ne sont pas placées dans le cache.

Astuce

Outils Cache de mise à jourCliquez sur la commande Afficherle cache de mise à jour dans labarre d’outils Cache Maj pourafficher l’étendue du cache de miseà jour courant. Cette commanden’est activée que si l’étendue devotre carte empiète sur l’étenduedu cache de mise à jour courant.

Cliquez sur la commande Zoomsur le cache de mise à jour dans labarre d’outils Cache Maj pourzoomer sur l’étendue du cache demise à jour courant.

Les commandes Afficher le cachede mise à jour et Zoom sur le cachede mise à jour sont activéesuniquement lorsque vous avez crééun cache de mise à jour.

L’option Cache automatique crée uncache de mise à jour pour l’étenduecourante chaque fois que vouseffectuez un déplacement ou unzoom. Ceci est pratique si vous neconnaissez pas les limites exactes dela zone à mettre en cache, mais lecoût des performances peut êtreélevé. Il est conseillé de définir uneéchelle maximale pour la mise encache automatique, de façon à ne pasextraire chaque entité lorsque vouseffectuez un déplacement ou un zoomen vue générale des données.

Utilisation du cacheautomatique

1. Effectuez un zoom arrièrejuste au-delà de l’échelle àlaquelle vous effectuerez desmises à jour.

2. Cliquez sur Définir l’échelledu cache automatique dansla barre d’outils Cache demise à jour.

3. Cliquez sur Cacheautomatique dans la barred’outils Cache de mise à jour.

2

3

2 Cache automatique

Définir l’échelle maximale

1


Modification desoptions du menudes tâchesCertaines tâches de mise à joursont souvent plus utilisées qued’autres dans les projets. Vouspouvez ajouter ou supprimerdes options de tâches dansle menu déroulant de tâches.Ceci simplifie l’interface de miseà jour et facilite le processusde sélection.

Modification du menudéroulant de tâche

1. Cliquez sur Editeur puis surOptions.

2. Cliquez sur l’onglet Tâchesde mise à jour.

3. Pour supprimer des tâches,sélectionnez la tâche choisieet cliquez sur Supprimer.

4. Pour ajouter des tâches,cliquez sur Ajouter.

5. Dans la boîte de dialogueAjouter des tâches,sélectionnez les tâches àajouter et cliquez sur OK.

Le menu déroulant de tâcheest modifié en fonction desmodifications apportées.

5

2

34

1


Sélection desentitésL’option de sélection des entitésvous permet d’identifier les entitéssur lesquelles vous souhaitezeffectuer certaines opérations.Par exemple, avant de déplacer, desupprimer ou de copier une entitévous devez la sélectionner. Vousdevez également sélectionner lesentités avant de pouvoir visualiserleurs attributs.

Vous pouvez sélectionner lesentités de plusieurs façons, encliquant dessus avec l’outil demise à jour ou en créant une ligneou un polygone qui croise lesentités que vous souhaitezsélectionner. Le nombre d’entitéssélectionnées est affichéimmédiatement après votre u

Sélection des entités àl’aide de l’outil de miseà jour

1. Cliquez sur l’outil Edition.

2. Déplacez le curseur sur uneentité, puis cliquez.

L’entité sélectionnée se meten surbrillance.

2

La construction sélectionnée se met en surbrillance.

Astuce

Désélection d’entitésPour désélectionner des entités,maintenez enfoncée la touche Majlorsque vous cliquez sur cesdernières.

Astuce

Sélection de plusieursentitésPour sélectionner plusieurs entités,maintenez enfoncée la touche Majlorsque vous cliquez sur lesdifférentes entités. Vous pouvezégalement utiliser l’outil de mise àjour pour dessiner un cadre autourd’un groupe d’entités.

1


sélection d’entités àl’aide d’une ligne

1. Cliquez sur la flèchedéroulante Tâche, puis surSélectionner avec une ligne.

2. Cliquez sur la flèchedéroulante de la palettedes outils puis cliquez surl’Outil de construction ousur n’importe quel outil deconstruction de la palette.

3. Construisez une ligne quicroise les entités que voussouhaitez sélectionner.

Les entités que la lignecroise sont maintenantsélectionnées.

sélection, dans l’angle inférieurgauche de la fenêtre ArcMap.

Le petit « x » situé au centre desentités sélectionnées est l’ancrede sélection. L’ancre de sélectionest utilisée lors de la rotation desentités, du déplacement desentités à l’aide de la capture etlors de leur mise à l’échelle.

Vous pouvez choisir les couchesà sélectionner en choisissantDéfinir les couches sélectionnablesdans le menu Sélection et enutilisant la liste Couchessélectionnables.

Par exemple, supposons que vousvouliez sélectionner un grandnombre de bâtiments en dessinantune boîte autour d’eux mais quevous ayez sélectionné par erreurune parcelle alors que vousdessiniez la boîte de sélection.Pour éviter cela, vous pouvezdécocher la couche Parcellesdans la liste des couchessélectionnables de sorte que lesparcelles ne puissent êtresélectionnées.

Astuce

Ajout d’options au menudéroulant de tâcheVous pouvez ajouter ou supprimerdes tâches dans le menu déroulantde tâche à partir de la sélection dela boîte de dialogue Options demise à jour sous l’onglet Tâchesde mise à jour. Pour plus dedétails, reportez-vous à la section« Modification du menu déroulantde tâche » de ce chapitre.

2

1

Les entités croisées par la ligne sont maintenant sélectionnées.

3


Sélection d’entités àl’aide d’un polygone

1. Cliquez sur la flèchedéroulante Tâche, puis surSélectionner avec unesurface.

2. Cliquez sur la flèchedéroulante de la palette desoutils puis cliquez sur l’Outilde construction ou surn’importe quel outil deconstruction de la palette.

3. Construisez un polygone quicroise l’entité que voussouhaitez sélectionner.

Les entités croisant lepolygone que vous avezcréé sont maintenantsélectionnées.

Voir aussi

Pour plus d’informations sur lacréation d’un polygone, reportez-vous au chapitre 3, « Création denouvelles entités ».

Astuce

Déplacez et zoomez lors dela sélection des entitésVous pouvez effectuer desdéplacements et des zooms lorsde la sélection d’entités sans avoirà changer d’outils. Maintenez latouche Ctrl enfoncée, puis appuyezsur Z pour un zoom avant, sur Xpour un zoom arrière ou sur Cpour un déplacement.

Astuce

Utilisez le menu de sélectionpour un contrôle accru survotre sélectionLe menu Sélection vous proposeplus d’outils pour effectuer unesélection, comme un ajout à lasélection courante, la sélection detoutes les entités à l’écran ou lacréation d’une instruction SQL.

Voir aussi

Pour plus d’informations sur l’ancrede sélection, voir « Déplacement desentités » dans le présent chapitre et lechapitre 7, « Mise à jour d’entitésexistantes ».

Les entités croisées par le polygone sont maintenant sélectionnées.

3

1

2

Voir aussi

Pour plus d’informations sur lacréation d’une ligne, reportez-vousau chapitre 3, « Création denouvelles entités ».


Rendre une couchesélectionnable

1. Cliquez sur Sélection puissur Définir les couchessélectionnables.

2. Cliquez sur les cases àcocher en regard des nomsde couche que vous voulezsélectionner. Décochez lescases en regard des nomsque vous ne voulez passélectionner.

Les couches dont le nom estdésactivé sont toujoursvisibles sur la carte maisne peuvent pas êtresélectionnées.

Astuce

Ajout de l’onglet Sélectionà la table des matièresArcMapVous pouvez changer rapidementles couches pouvant êtresélectionnées à partir de la tabledes matières ArcMap si vous ajoutezl’onglet Sélection. Vous pouvezajouter l’onglet Sélection à la tabledes matières à partir de l’ongletTable des matières de la boîte dedialogue Outils Options d’ArcMap.

1

2

Voir aussi

Pour plus d’informations sur lasélection d’entités dans ArcMap,consultez la rubrique Utilisationd’ArcMap.


Déplacement desentitésVous pouvez déplacer les entitésde trois façons différentes :en déplaçant ; en spécifiantles coordonnées delta x,y ouen pivotant.

C’est la méthode la plus simple.Utilisez-la lorsque vous savezapproximativement où vousvoulez placer l’entité.

Précisez les coordonnéesdelta x,y lorsque vous voulezpositionner l’entité à un endroitprécis. ArcMap utilisel’emplacement courant del’entité ou des entitéssélectionnées comme origine(0,0) et les déplace depuiscet emplacement selon lescoordonnées spécifiées. u

Glissement des entités


2. Cliquez sur l’entité ou lesentités que vous voulezdéplacer.

3. Cliquez puis faites glisserl’entité ou les entités versl’emplacement souhaité.

Astuce

Déplacements accidentelsLa tolérance de déplacement vouspermet de définir le nombre minimalde pixels dont votre pointeur doit sedéplacer sur l’écran pour qu’uneentité sélectionnée soit déplacée. Cecipeut être utile pour éviter le légerdéplacement accidentel d’entitéslorsqu’elles sont sélectionnées avecl’outil Mise à jour. Vous pouvezdéfinir la tolérance de déplacementdans l’onglet Général de la boîte dedialogue Options de mise à jour.

1

Le bâtiment sélectionné se déplace vers le nouvelemplacement.

3

2


Déplacement d’une entitépar rapport à sa positionactuelle


2. Cliquez sur l’entité ou lesentités que vous voulezdéplacer.

3. Cliquez sur Editeur puis surDéplacer. u

Les coordonnées sont mesuréesen unités de la carte. Le graphiqueci-dessous illustre la modificationde l’emplacement lorsque lescoordonnées delta, x,y de 2, 3sont précisées pour un bâtiment.

Dans l’exemple ci-dessous,la construction est déplacéevers le haut et vers la droite,suivant les valeurs positivesdes coordonnées spécifiées.Pour déplacer le bâtiment surla gauche ou vers le bas, vousutiliseriez des valeurs négatives.

Vous pouvez pivoter des entitésdans ArcMap en utilisant l’outilRotation. Après la sélection desentités, faites-les pivoter avec lecurseur de façon à ce qu’elles setrouvent dans la position correcte.Les entités pivotent autour del’ancre de sélection, le petit xsitué au centre des entitéssélectionnées.

Si vous souhaitez déplacer uneentité vers un emplacementprécis par rapport à une autre u

(0,0)

(2,3)

1

2

3


4. Saisissez les coordonnéessouhaitées puis appuyez surEntrée.

L’entité se déplace enfonction des coordonnéesspécifiées.

L’entité se déplace de 10.5 unités vers la gauche.

4

entité, vous pouvez utiliserl’environnement de capture. Parexemple, vous pouvez déplacerune parcelle et faire aller l’un deses angles, ou l’aligner, avecprécision sur un angle d’uneautre parcelle. Il vous suffit dedéplacer l’ancre de sélection dela parcelle vers le sommet de sonangle après avoir défini lespropriétés d’alignementappropriées. Déplacez ensuite laparcelle vers son nouvelemplacement jusqu’à ce quel’ancre de sélection s’aligne surle sommet de l’angle de l’autreparcelle. L’alignement est traitédans le chapitre 3, « Création denouvelles entités ».

Astuce

Déplacement de l’ancre desélectionPour déplacer l’ancre de sélection,positionnez le curseur sur cettedernière, appuyez sur la touche Ctrlpuis faire glisser l’ancre de sélectionvers l’emplacement souhaité.

Astuce

Annulation d’undéplacementVous pouvez annuler toutemodification apportée à une entitéen cliquant sur le bouton Annulerfigurant dans la barre d’outilsstandard d’ArcMap.


Pivotement d’une entité1. Cliquez sur l’outil Edition.

2. Cliquez sur l’entité ou lesentités que vous souhaitezfaire pivoter.

3. Cliquez sur l’outil Rotation.

4. Cliquez sur un endroitquelconque de la carte etdéplacez le pointeur pourfaire pivoter l’entité versl’emplacement souhaité.

L’entité ou les entités pivotentautour de l’ancre de sélection.Vous pouvez faire glisserl’ancre de sélection vers unnouvel emplacement pourchanger le centre de rotation.

1

3

2

Les entités sélectionnées pivotent.

Astuce

Rotation de la symbologied’un pointSi vos données possèdent déjà unchamp qui contient l’angle de rotationpour chaque symbole ponctuel, vouspouvez utiliser ArcMap pour fairepivoter la symbologie.

Cliquez avec le bouton droit de lasouris sur le nom de la coucheponctuelle dans la table des matièresde la carte et sélectionnez Propriétés.Cliquez sur l’onglet Symbologie.Cliquez sur le bouton Avancé, puissur Rotation. Dans la liste déroulante,sélectionnez le champ qui contientl’angle de rotation. Cliquez surl’option qui décrit la façon dontvous voulez calculer cet angle.

Astuce

Rotation avec alignementPour faire pivoter une entité jusqu’à cequ’un de ses points s’aligne sur uneentité spécifiée dans l’environnementde capture courant, ajoutez une ancrede sélection auxiliaire et faites-la glisservers la partie de l’entité à aligner surune autre entité. Vous pouvez ajouterune ancre de sélection auxiliaire enappuyant sur la touche S lors del’utilisation de l’outil Rotation. L’ancrede sélection auxiliaire fonctionneégalement avec l’outil Echelle.

Astuce

Pivotement par degréPour indiquer le degré exact derotation, cliquez sur l’outil Rotation,appuyez sur A et tapez le nombre dedegrés. Un nombre positif fait pivoterl’entité dans le sens horaire, unnombre négatif dans le sens anti-horaire.


Copie et collagedes entitésPour copier une entité existante,utilisez les outils de la barred’outils Standard ArcMap.Dans la liste déroulante Couchecible, choisissez la couchecontenant le type d’entités quevous souhaitez pour la nouvelleentité — par exemple, uneconstruction.

Vous pouvez copier une entitéet la coller comme faisant partied’une autre couche. Toutefois, ildoit s’agir du même type decouche (un point, une ligne ouun polygone) que celle à partirde laquelle vous avez copié. Ilexiste une exception à cetterègle : vous pouvez copier despolygones dans une couchelinéaire.

Les attributs de l’entité initialesont copiés vers la nouvelleentité uniquement si vouscopiez et collez dans la mêmecouche.

1. Cliquez sur la flèchedéroulante Couche cible,puis sur la couche contenantle type d’entités que voussouhaitez pour les nouvellesentités.


3. Cliquez sur l’entité ou lesentités que vous souhaitezcopier.

4. Cliquez sur le bouton Copier.

5. Cliquez sur le bouton Coller.

L’entité est collée par-dessusl’entité d’origine.

L’entité sélectionnée est collée par-dessus l’entité d’origine.

1

2

3

4 5

Voir aussi

Pour plus d’informations sur lesattributs, voir le chapitre 9, « Miseà jour des attributs ». Vous pouvezégalement vous reporter àUtilisation d’ArcMap.



2. Cliquez sur l’entité ou lesentités que vous souhaitezsupprimer.

3. Cliquez sur le boutonSupprimer.

Les entités sélectionnéessont supprimées.

Suppressiond’entitésPour supprimer une entité dela carte et de la base dedonnées, utilisez le boutonSupprimer de la barre d’outilsStandard ArcMap.

La construction sélectionnée est supprimée.

1

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3

Astuce

Suppression d’entités aumoyen de la toucheSupprimerVous pouvez également appuyer surla touche Supprimer du clavier poursupprimer les entités sélectionnées.


Définition dunombre dedécimalesutilisées pourles mesures derapportLors de la création ou dela modification d’une entité àl’aide de l’outil Construction,vous pouvez utiliser le menucontextuel de l’outil Constructionpour visualiser des mesurescomme la distance entre deuxsommets, l’angle entre deuxsegments ou la position descoordonnées actuelles dupointeur.

Par défaut, ArcMap affiche cesmesures avec trois décimales.En revanche, vous pouvezfacilement modifier le nombre dedécimales affichées. Après ladéfinition du nombre dedécimales, ArcMap affichetoutes les mesures avec cenombre de décimales.

1. Cliquez sur Editeur, puis surOptions


3. Tapez le nombre dedécimales que vous voulezutiliser.

4. Cliquez sur OK.

1

2

3

4

DANS CE CHAPITRE

45

Création de nouvelles entités 3• Création de nouvelles entités

ponctuelles, linéaires et surfaciques

• Création de segments à partir dedirections et de longueurs oud’angles

• Création de segments en forme decourbes d’arc circulaire

• Copie, raccord, prolongement ettronquage de lignes

• Division proportionnelle d’une ligne

• Création d’entités à partir d’uncheminement

• Obtention des attributs COGOd’entités

• Eclatement d’entités multi-parties

• Généralisation et lissage d’entités

• Utilisation de l’environnement decapture

• Définition du type de direction etdes unités

Vous pouvez créer facilement une large gamme d’entités grâce aux outils deconstruction. Pour commencer, indiquez simplement la couche sur laquellevous souhaitez créer la nouvelle entité. Utilisez ensuite l’outil appropriépour numériser les sommets de l’entité.

Grâce aux outils d’édition, vous pouvez créer de nouvelles entitésponctuelles, linéaires ou surfaciques à différentes fins pratiques. A l’aide del’outil Construction et du menu contextuel associé, vous pouvez ajouter uneconduite d’eau perpendiculaire à une conduite existante dans unesubdivision. L’outil Distance–Distance vous permet de créer une parcellecommençant à 55 mètres d’un angle d’un terrain existant et se terminant à40 mètres d’un autre. La création d’un cul-de-sac est simplifiée à l’aide del’outil Arc pour réaliser une courbe circulaire. Avec l’outil Intersection, vouspouvez ajouter une parcelle à une subdivision en définissant un sommetd’angle à l’aide des segments d’une parcelle contiguë.

Grâce à ces outils d’édition, vous pouvez créer une grande variété d’entitésen traçant des segments d’angles et de longueurs spécifiques. Vous pouvezainsi élaborer des entités parallèles ou perpendiculaires à d’autres entités.Vous pouvez également créer des entités multi-points, telles qu’un systèmede puits de pétrole, et des entités multi-parties, telles qu’un groupe d’îlesformant un pays ou un Etat.

Ce ne sont que quelques exemples d’applications d’ArcMap, qui vous permetde créer facilement et précisément de nouvelles entités pour la base de données.


Ce chapitre aborde principalement l’utilisation de constructionspour créer de nouvelles entités. Lorsque le paramètre de tâchecourante est Créer une nouvelle entité, la forme que vous élaborezdevient la nouvelle entité.

Uneconstruction se compose de sommets (points où laconstruction change de direction, tels que les angles) et desegments (lignes reliant les sommets). Vous créez une constructionà l’aide de l’outil Construction situé dans la palette d’outils.

Pour créer une nouvelle entité à l’aide d’ArcMap, vous élaborezune construction. Une construction est une forme que vousdessinez en numérisant des sommets. Vous pouvez utiliser uneconstruction pour effectuer diverses tâches, répertoriées dans laliste déroulante Tâche illustrée ci-dessous.

Parmi les tâches que vous pouvez effectuer à l’aide d’uneconstruction, il faut noter : créer de nouvelles entités, modifier,prolonger ou tronquer, et remodeler des entités.

Création en tant que construction Création en tant qu’entité

Création d’une nouvelle entité

Liste déroulante Tâche

Liste déroulante Couche cible

Paletted’outilsOutil

Construction

CRÉATION DE NOUVELLES ENTITÉS 47

Le type d’entité que vous créez est déterminé par le paramètredéfini dans la liste déroulante Couche cible. Cette liste répertorietoutes les couches des jeux de données avec lesquelles voustravaillez.

Sélectionnez la couche à laquelle vous souhaitez ajouter denouvelles entités avant de les créer.

Pour créer des entités ponctuelles, cliquez une fois sur la carte.Pour créer des entités linéaires ou surfaciques (voir l’exempleci-dessous), utilisez l’outil Construction pour cliquer sur la carteafin de numériser les sommets composant l’entité.

Pour créer le dernier sommet et terminer la construction, double-cliquez. Après avoir terminé la construction, ArcMap insère ledernier segment de la construction, qui est alors convertie en entité.

Bien entendu, vous ne pouvez pas toujours placer des sommetsou des segments de manière interactive. Lorsque vous utilisezl’outil Construction, le menu contextuel de l’outil Constructions’ouvre. Vous accédez à ce menu en cliquant avec le bouton droiten dehors de la construction que vous élaborez. Il vous proposedifférentes options pour placer les sommets et segmentsexactement là où vous le souhaitez. Vous pouvez par exempledéfinir la longueur et l’angle d’un segment, ou créer un sommet àun point d’intersection x,y spécifique.

Menu contextuel de l’outilConstruction.

3. Cliquez icipour placerle troisièmesommet.

2. Cliquez icipour placerle deuxièmesommet.

1. Cliquez icipour placer

le premiersommet.

4. Double-cliquez ici

pour placer ledernier sommet

et terminer laconstruction.


Tous les outils de lapalette d’outils vous aident à créer uneconstruction. Trois outils utilisent des méthodes de constructionplus spécifiques pour créer des points ou des sommets : l’outilDistance–Distance, l’outil Direction–Distance et l’outil Intersection.

L’outil Distance–Distance vous permet de créer un point ou unsommet à l’intersection de deux distances à partir de deux autrespoints. Vous pouvez utiliser cet outil pour placer un nouveau relaisélectrique en fonction des mesures effectuées sur le terrain.Supposons que vous sachiez que le point suivant du relais estsitué à 50 pieds de l’angle d’un bâtiment et à 75 pieds d’un autre.

L’outil Distance–Distance vous permet de choisir un des deux pointsd’intersection de deux cercles, la taille de ces cercles étant déterminéepar le rayon que vous définissez.

L’outil Distance–Distance crée deux cercles de rayon égal à cesdistances et recherche deux points d’intersection possibles pourplacer le relais.

L’outil Direction–Distance, comme l’outil Distance–Distance, vouspermet de créer un sommet à l’aide d’une distance à partir d’unpoint connu, plus des informations d’un autre point. Au lieud’utiliser une distance à partir du second point, l’outil Direction–Distance utilise une direction à partir d’un point connu pourdéfinir une ligne d’orientation. Vous pouvez choisir le pointd’intersection qui constituera le nouveau sommet.

Vous pouvez utiliser l’outil Direction–Distance pour placer unpoint de localisation d’arborescence en fonction de notes dechamps indiquant que l’arborescence se trouve sur une orientationde 212 degrés par rapport à un angle de barrière et 112 pieds àpartir de l’angle nord-est d’un bâtiment.

1. Cliquez unefois, appuyezsur A et tapezune directionpour établirla ligned’orientation.

2. Cliquez ici,appuyez sur Det tapez unedistance.

3. Cliquezici pourchoisirl’intersectionpour lenouveausommet.

Outil Intersection

Outil Distance–Distance

Outil construction

Outil Arc

Outil Traçage

Outil Direction–Distance

Outil Centre

Outil Arc d’extrémité

Outil Courbetangente


L’outil Intersection crée un point ou un sommet à l’intersectionsupposée de deux segments (s’ils étaient prolongés).

Supposons que vous souhaitiez créer un parking contigu à unbâtiment en L. L’angle extérieur du parking doit être situé àl’intersection supposée des deux murs du bâtiment les pluséloignés l’un de l’autre (s’ils étaient prolongés). Vous pouvezutiliser l’outil Intersection pour rechercher ce point d’intersectionsupposé et créer le sommet de l’angle du parking.

L’outil Centre vous permet de définir la localisation du sommetsuivant en cliquant sur deux points (le nouveau sommet est placéau centre de la ligne entre ces points).

Vous pouvez utiliser l’outil Centre pour placer le sommet suivantd’une rue à mi-chemin entre les parcelles des deux côtés de la rue.

L’outil Intersection crée un sommet ici –à l’intersection supposée des deux segments.

1. Cliquezune foispourétablir lepremierpoint.

2. Cliquezici pourdéfinir lesecondpoint.

Le nouveausommet estajouté aucentre de laligne définiepar les deuxpoints.


L’outil Arc vous permet de créer un segment en forme d’arc de cercle.

L’outil Arc d’extrémité, comme l’outil Arc, vous permet de créerun segment en forme d’arc de cercle. L’outil Arc d’extrémitévous permet de spécifier les extrémités de la courbe, puis dedéfinir un rayon pour la courbe.

1. Cliquezune foispourdéterminerle point dedépart.

2. Cliquez ici pour définirl’axe. Il s’agit du pointinvisible par lequel lacourbe passe.

3. Cliquezici pourdéfinir

l’extrémité.

1. Cliquezune fois pourdéterminerle point dedépart.

2. Cliquez icipour définirl’extrémité.

3. Appuyezsur R ettapez unrayon pourla courbe.

L’outil Courbe tangente vous permet de créer un segment enforme d’arc de cercle. Cet outil ajoute un segment tangent ausegment précédemment construit. L’outil Courbe tangente peutuniquement être utilisé si vous avez déjà construit un segment àl’aide d’un des autres outils de construction.

L’outil Traçage vous permet de créer des segments longeant dessegments existants. Supposons que vous souhaitiez insérer unenouvelle entité revêtement de voie décalée de 15 pieds du bordd’une subdivision de parcelle.

Vous pouvez utiliser l’outil Traçage pour tracer le long des entitéslinéaires existantes au lieu d’entrer l’angle et la longueur de chaquesegment.

2. Appuyezsur O pourdéfinir lesoptions detraçage.

3. Cliquez pourcommencer àtracer.

4. Longezl’entité àtracer.

1. Sélectionnezl’entité oules entitésque voussouhaiteztracer.

Une fois un segment de ligne construit, l’outil Courbetangente dessine un arc circulaire à l’écart du segmentde ligne précédent.


Vous pouvez combiner les méthodes suivantes pour créer dessommets ou des segments afin d’élaborer une entité linéaire ousurfacique :

• Outil Construction

• Menu contextuel de l’outil Construction

• Outil Distance–Distance,

• Outil Direction–Distance

• Outil Intersection

• Outil Centre

• Outil Arc

• Outil Arc d’extrémité

• Outil Courbe tangente

• Outil Traçage

ArcMap offre un autre menu – le menu contextuel Construction –qui fonctionne plus directement avec la construction dans sonensemble. Grâce à ce menu, vous ajoutez, déplacez ou supprimezdes sommets, modifiez la direction de la construction, réduisez salongueur, ou affichez les propriétés de forme de la construction.

MenucontextuelConstruction

Dans la boîte de dialogue Propriétés, vous pouvez supprimer desparties d’une entité multi-parties, supprimer plusieurs sommets enune fois, ajouter des points et/ou modifier les valeurs x,y, ainsi quem et z. Le menu contextuel Construction s’ouvre lorsque vouscliquez avec le bouton droit sur une partie de la construction alorsque vous utilisez un des outils. Il est différent du menu contextuelde l’outil Construction, auquel vous accédez uniquement lorsquevous travaillez avec l’outil Construction, en cliquant en dehors dela construction.


Création d’entitésponctuelles et desommetsVous pouvez assimiler les sommetsà des entités ponctuelles, à cetteexception près que les sommets sontreliés par des segments et formentdes entités linéaires ou surfaciques.

Vous suivez les mêmes méthodespour créer des entités ponctuelleset des sommets. La configurationde la couche cible détermine sivous créez une entité ponctuelle ouun sommet faisant partie d’uneconstruction linéaire ou surfacique.

Vous pouvez suivre différentesméthodes pour créer les entitésponctuelles ou les sommets d’uneconstruction :

• la numérisation à main levéeavec l’outil Construction (vouspouvez également utiliserl’environnement de capturepour simplifier cette tâche),

• l’utilisation des coordonnéesX,Y absolues ou Delta X,Ydans le menu contextuel del’outil Construction, u

Création d’un point ousommet par numérisation

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Tâche encours, puis sélectionnezl’option Créer une entité.

2. Cliquez sur la liste déroulanteCouche cible, puis sur unecouche de points.

3. Cliquez sur la flèche dela palette d’outils, puissélectionnez l’outilConstruction.

4. Cliquez sur la carte pourcréer le point.

Le point est créé sur la carteet sélectionné.

Supposons quevous souhaitiezcréer un point ici.

Une nouvelle entitéponctuelle est créée.

Astuce

L’environnement de capturevous permet de créer despoints et des sommets.L’environnement de capture vousaide à créer des points ou dessommets à des emplacements plusprécis par rapport à d’autres entités.Pour plus d’informations, voir« Utilisation de l’environnementde capture » dans ce chapitre.

1 2

3


Création d’un point oud’un sommet à l’aide dusystème de coordonnéesde la carte (X,Y absolues)

1. Cliquez sur la flèche de lapalette d’outils, puissélectionnez l’outilConstruction.

2. Cliquez avec le bouton droitsur la carte et cliquez surCoordonnées X,Y absolues.

3. Saisissez les coordonnées etappuyez sur Entrée.

Un sommet ou un point estcréé aux coordonnéesindiquées.

• L’utilisation de l’outil Distance–Distance, Direction–Distance,Centre ou Intersection.

Pour créer de nouvelles entités,vous devez disposer d’une cou-che existante dans laquelle les in-sérer. Si ce n’est pas le cas, créez-en une à l’aided’ArcCatalog. Pourplus d’informations relatives à lacréation d’une couche d’entités,voir Utilisation d’ArcCatalog.Pour numériser à main levée, ilvous suffit de sélectionner l’outilConstruction et de cliquer sur lacarte.Les coordonnées X,Y absoluesdu menu contextuel de l’outilConstruction vous permettent decréer un point ou un sommet à unemplacement spécifique à l’aidedu système de coordonnées dela carte. Vous pouvez utiliser lescoordonnées X,Y absolues pourcréer un poteau dans une base dedonnées de distribution si vousdisposez des coordonnées x,yd’un poteau, dans le cas où vousutilisez un système GPS (globalpositioning system). u

Astuce

Fermeture du menucontextuel de l’outilConstructionVous pouvez fermer le menucontextuel de l’outil Constructionen appuyant sur la touche Echap.

Un point est crééaux coordonnées(2222264,394370).

Astuce

Raccourci vers lescoordonnées X,Y absoluesAprès avoir cliqué sur l’outilConstruction, appuyez sur F6 pourdéfinir les coordonnées x,y.

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3

2


Création d’un sommet parrapport à l’emplacementdu dernier sommet(Delta X,Y)

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante de la paletted’outils, puis sur l’outilConstruction après avoircréé au moins un sommet.

2. Cliquez avec le bouton droiten dehors du sommet ou dela construction, et cliquez surDelta X,Y.

3. Saisissez les coordonnées etappuyez sur Entrée.

Un sommet est créé auxcoordonnées indiquées.

Astuce

Raccourci vers lescoordonnées Delta X,YAprès avoir cliqué sur l’outilConstruction, appuyez sur Ctrl + Dpour définir les coordonnées delta x,y.

Les coordonnées Delta X,Y dumenu contextuel de l’outilConstruction vous permettent decréer un sommet en utilisant ledernier sommet de la constructionen tant qu’origine. Vous pouvezconsidérer cette opération commeune autre méthode de mesure desangles et des longueurs à partird’un point déjà placé sur la carte.

Par exemple, tout comme vouspouvez mesurer le point rougedu diagramme ci-dessous à unedistance de 20 pieds du dernierpoint à un angle de 53 degrés, vouspouvez le mesurer en coordonnéesà partir du dernier point.

(0,0)(270,40)

Un sommetest créé auxcoordonnées(270,40).

1

3

2

Même point mesuré à l’aide descoordonnées delta x,y

53°

Point mesuré à l’aide d’un angle etd’une longueur

20 pi.

16

12

(0, 0)

(12, 16)


Création d’un point oud’un sommet à l’aide del’outil Distance–Distance

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante de la paletted’outils, puis sur l’outilDistance–Distance.

2. Cliquez une fois pour définirle centre du premier cercle etappuyez sur la touche D duclavier.

3. Indiquez le rayon du premiercercle et appuyez sur Entrée.

Un cercle du rayon indiquéest créé. u

L’outil Distance–Distance proposeun autre moyen de créer un pointou un sommet à un emplacementspécifique. Supposons que voussouhaitiez créer une entité poteau.Si vous ne disposez pas de laposition exacte des coordonnéesmais que vous savez qu’il s’agit dupoint d’intersection d’une distancede 50 unités de la carte de l’angled’un bâtiment et d’une distancede 70 unités de l’angle d’un autre,vous pouvez utiliser l’outilDistance–Distance pour placer lepoint. L’outil Distance–Distancevous permet de créer un point ouun sommet à l’intersection de deuxdistances à partir de deux autrespoints. u

Astuce

Annulation et répétitiond’un sommetVous pouvez annuler tout sommetcréé en cliquant sur le boutonAnnuler de la barre d’outilsStandard ArcMap. Cliquez sur lebouton Répéter si vous voulezrajouter le sommet.

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3

Un cercle d’un rayon de 50 unitésde la carte est créé.

1


Astuce

Sélection d’un pointd’intersectionAppuyez sur TAB pour passer d’unpoint d’intersection à l’autre, puissur Entrée pour créer le point.

Un point est créé à l’un desdeux points d’intersectiondes cercles.

Comme indiqué dans l’exemple,vous devez créer un cercle dontle centre se trouve dans l’angledu premier bâtiment, d’un rayonde 50 unités de la carte. Vousdevez ensuite créer un autrecercle dont le centre se trouvedans l’angle de l’autre bâtiment,d’un rayon de 70 unités de lacarte. L’outil Distance–Distancecalcule alors les deux pointsd’intersection des cercles.

4. Cliquez une fois pour définirle centre du second cercle etappuyez sur la touche D duclavier.

5. Indiquez le rayon du deuxièmecercle et appuyez sur Entrée.

Un deuxième cercle du rayonindiqué est créé. Les deuxpoints d’intersection descercles sont mis ensurbrillance lorsque vousplacez le pointeur dessus.

6. Placez le pointeur surl’emplacement souhaité etcliquez.

Un sommet ou un point estinséré dans la carte.

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4

Un cercle d’un rayon de70 unités de la carte est créé.

6


Création d’un point oud’un sommet à l’aide del’outil Centre

1. Cliquez sur la flèche de lapalette d’outils, puissélectionnez l’outil Centre.

2. Cliquez une fois pour établirle premier des deux points.Le nouveau sommet seracréé entre ce point et le pointsuivant sur lequel vouscliquez.

3. Cliquez sur le second point.

Un sommet ou point estplacé au centre de la ligneentre les deux points surlesquels vous avez cliqué.

Astuce

Déplacement et zoom lorsde l’ajout de pointsMaintenez la touche Ctrl enfoncéeet appuyez sur Z pour effectuer unzoom arrière, sur X pour effectuerun zoom avant ou sur C pourdéplacer l’affichage lorsque vousutilisez un des outils de construction.

L’outil Centre est idéal pour placerun sommet directement entre deuxentités connues. Par exemple, vouspouvez placer l’axe de la routedirectement entre deux parcellesou placer un pylone électriquesupplémentaire directemententre deux pylones pré-existants.

Un point est créé au centrede la ligne définie entre lesdeux points sur lesquelsvous avez cliqué.

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Création d’un point oud’un sommet à l’aide del’outil Intersection

1. Cliquez sur la flèche de lapalette d’outils, puissélectionnez l’outilIntersection.

Le pointeur se transforme encroix.

2. Placez la croix sur le premiersegment et cliquez.

3. Placez la croix sur ledeuxième segment et cliquez.

Un sommet ou un point estajouté à l’intersection supposéedes deux segments.

Un sommet est inséré à l’emplacement oùles deux segments se croiseraient s’ils étaient prolongés.

L’outil Intersection crée un pointou un sommet à l’intersectionsupposée de deux segments.L’adjectif supposé indique queces segments ne se coupent pasréellement sur la carte. Supposonspar exemple que vous souhaitiezcréer une nouvelle parcelle. Undes angles de cette parcelle doitêtre placé à l’intersectionsupposée de deux segments d’uneparcelle contiguë. Vous pouvezutiliser l’outil Intersection pourrechercher ce point d’intersectionsupposé et créer le sommet del’angle de la nouvelle parcelle.

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Création d’un point oud’un sommet à l’aide del’outil Direction–Distance

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante de la paletted’outils, puis sur l’outilDirection–Distance.

2. Cliquez sur un point pourspécifier à partir d’où a étémesurée la direction dusommet suivant.

3. Déplacez le pointeurpour obtenir la directionapproximative vers lesommet suivant.

A mesure que vous déplacezle pointeur dans la direction àpartir du point sur lequel vousavez cliqué, il apparaît dansl’angle inférieur gauche de lafenêtre ArcMap.

Appuyez sur la touche D ettapez la direction du sommetpar rapport au pointsélectionné, puis appuyezsur Entrée.

Vous pouvez égalementcliquer à nouveau sur la cartepour définir la direction.

4. Cliquez sur un point pourspécifier à partir d’où a étémesurée la distance avec lesommet suivant. u

L’emplacement d’un sommet estsouvent uniquement connu enfonction de la direction et de ladistance à partir de deux entitésconnues. Par exemple,l’emplacement d’un arbre sur unparking peut être situé à unedirection donnée à partir del’angle du parking et un nombredonné de pieds à partir d’un autreangle. Dans cette situation, l’outilDirection–Distance place unsommet à l’emplacement spécifié.

Comme illustré dans cet exemple,la direction est spécifiée à partird’un angle de la parcelle. u

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5. Déplacez le pointeurpour obtenir la distanceapproximative du pointsélectionné au sommetsuivant.

A mesure que vous déplacezle curseur, un cercle,centré sur le second pointsélectionné, est dessiné pourintersecter la ligne de directionque vous venez de définir. Lerayon du cercle est affichédans l’angle inférieur gauche.

Vous pouvez éventuellementappuyer sur la touche D ettaper une distance, dans lesunités de la carte, à partir dupoint sélectionné jusqu’ausommet suivant. Appuyez surla touche Entrée pour définirla taille du cercle.

Le nouveau sommet figureraà un des points d’intersectionde ce cercle et de la ligne dedirection.

6. Cliquez sur l’intersection ducercle et de la ligne dedirection qui correspond à laposition du nouveau sommet.

Le point d’intersection le plusproche du curseur est mis ensurbrillance et, une foissélectionné, le nouveausommet est placé.

Vous pouvez éventuellementutiliser la touche Tab pourbasculer entre les deuxpoints d’intersection etappuyer sur Entrée poursélectionner l’un d’eux.

La distance est spécifiée à partird’un autre angle de la parcelle, etun sommet potentiel est placéaux emplacements où les critèresde direction et de distance sonttous deux réunis. En cliquant surun des deux sommets, le nouveausommet est placé.

Astuce

Détermination des unitésde la carteAvec bon nombre de ces outils deconstruction, vous devez spécifierune distance dans les unités de lacarte. Les unités de la carte sontspécifiées sous l’onglet Système decoordonnées de la boîte de dialoguePropriétés du bloc de données. Poury accéder, cliquez sur Vue dans lemenu principal, puis sélectionnezPropriétés du bloc de données.

Un sommet est ajoutéà l’intersectionsélectionnée. Il setrouve à l’anglespécifié à partir dupremier point et à ladistance définie àpartir du second point.

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Création d’une entitémulti-points

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Tâche, puissélectionnez Créer unenouvelle entité.

2. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Couche cible,puis sur une couche multi-points.


4. Cliquez sur la carte pourcréer les parties de l’entitémulti-points.

5. Cliquez avec le bouton droitn’importe où sur la cartelorsque vous avez créé ledernier point de l’entité multi-points, et sélectionnezTerminer la construction. u

Vous pouvez également créer uneentité multi-points, c’est-à-direune entité composée de plusieurspoints mais référençant un seuljeu d’attributs de la base dedonnées. Par exemple, unsystème de puits de pétrole peutêtre créé comme entité multi-points ; la base de donnéesréférence un seul jeu d’attributspour le puits principal et lesautres puits du système.

Astuce

Création de couchesmulti-pointsLors de la création d’entités multi-points, votre couche cible doitégalement être une classe d’entitésmulti-points.

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3


A présent, lorsque vouscliquez sur une partie del’entité multi-points pour lasélectionner, tous les pointssont automatiquementsélectionnés car ilsappartiennent tous à unemême entité.

Tous les points de l’entité sont sélectionnés.

Astuce

Modification d’entitésexistantesDouble-cliquez sur une entité ousélectionnez des entités individuelleset changez la tâche de la barred’outils Editeur sur Modifierl’entité. Utilisez la boîte de dialoguePropriétés de construction pourmodifier les sommets. Vous pouvezouvrir les propriétés de constructionen cliquant sur le bouton Propriétésde construction dans la barred’outils Editeur.


Création d’une entitélinéaire ou surfaciquepar numérisation

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Tâche, puissélectionnez Créer unenouvelle entité.

2. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Couche cible,puis sur une couche de lignesou de polygones.


4. Cliquez sur la carte pournumériser les sommets del’entité.

5. Une fois terminé, cliquezavec le bouton droit sur unendroit quelconque de lacarte, puis sélectionnezTerminer la construction. u

Création delignes et depolygonesVous pouvez créer des lignes oudes polygones en numérisant lessommets composant l’entité. Parexemple, pour créer un bâtimentcarré, vous devez numériser lesquatre angles. Utilisez une descombinaisons de méthodes pourcréer des sommets ou dessegments.

Si vous sélectionnez dans laliste cible une classe d’entitésreprésentée par des lignes ou despolygones, les outils d’éditioncréent le type d’entitécorrespondant.

Astuce

Raccourci pour terminerune constructionVous pouvez double-cliquer sur ledernier sommet de l’entité pourterminer la construction. Vouspouvez également appuyer surF2 lorsque vous avez terminé laconstruction.

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La ligne ou le polygone estcréé(e) sur la carte.

Une nouvelle entité est crééesur la carte.

Astuce

Suppression de laconstructionPour supprimer l’intégralité de laconstruction de l’entité que vouscréez, placez le pointeur sur unepartie de la carte, cliquez avec lebouton droit et sélectionnez l’optionSupprimer la construction. Vouspouvez également supprimer uneconstruction en appuyant surCtrl + Suppr.

Si la construction est déjà terminée,sélectionnez l’entité avec l’outil demise à jour, cliquez avec le boutondroit, et sélectionnez Supprimer laconstruction.

Astuce

Suppression d’un sommetPour supprimer un seul sommetd’une construction, centrez lepointeur sur le sommet, cliquezavec le bouton droit et sélectionnezSupprimer un sommet.


Création d’une ligne oud’un polygone multi-parties

1. Créez une entité linéaire ousurfacique.

2. Cliquez avec le bouton droitn’importe où sur la cartelorsque vous avez fini decréer la première partie del’entité, et sélectionnezTerminer une partie.

3. Créez la partie suivante del’entité.

4. Cliquez avec le bouton droitn’importe où sur la cartelorsque vous avez terminé ladernière partie de l’entité, etsélectionnez Terminer laconstruction. u

Astuce

Remplacer la constructionVous pouvez ajouter la forme d’uneentité linéaire ou surfacique à laconstruction en cliquant avec lebouton droit sur l’entité avec l’outilConstruction et en cliquant surRemplacer la construction. Laconstruction contient alors la forme del’entité sur laquelle vous avez cliqué.Vous pouvez utiliser l’outil d’éditionpour faire glisser la construction et ladéposer sur la carte.

ArcMap propose également uneméthode pour créer une entitémulti-parties, c’est-à-dire uneentité composée de plusieursparties physiques mais référençantun seul jeu d’attributs de la basede données. Par exemple, l’Etatd’Hawaii peut être considérécomme une entité multi-parties.Même s’il est composé deplusieurs îles, cet Etat estenregistré en tant qu’entitéunique. Une entité multi-partiespeut partager uniquement dessommets, et non des contours.

Astuce

Annulation et répétitiond’un sommetVous pouvez annuler le derniersommet créé en cliquant sur lebouton Annuler de la barre d’outilsStandard ArcMap. Cliquez à nouveausur ce bouton pour annuler l’avant-dernier sommet créé, et ainsi de suite.Cliquez sur le bouton Répéter si vousvoulez rajouter le sommet.

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Toutes les parties de l’entité sont sélectionnées.

A présent, lorsque vouscliquez sur une partie del’entité pour la sélectionner,toutes les parties sontautomatiquementsélectionnées car ellesappartiennent toutes à unemême entité multi-parties.

Astuce

Raccourci pour terminerune partieLors de la création d’uneconstruction multi-parties, vouspouvez maintenir la touche Majenfoncée et double-cliquer sur ledernier sommet d’une partie pourla terminer.

Astuce

Raccourci pour terminer laconstructionVous pouvez double-cliquer sur ledernier sommet de la nouvelle entitépour terminer la construction.


Mise à l’équerre d’unpolygone ou d’unepolyligne

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Tâche encours, puis sélectionnezl’option Créer une entité.

2. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Couche cible,puis sur une couche depolygones ou de polylignes.


4. Numérisez au moins deuxsegments.

5. Cliquez avec le bouton droiten dehors de la constructionet cliquez sur Terminer avecmise à l’équerre. u

L’option Terminer avec mise àl’équerre du menu contextuel del’outil Construction vous permetde terminer un polygone. Ellefinalise un polygone en insérantdeux nouveaux segments d’anglede 90 degrés. L’option Termineravec mise à l’équerre vous faitgagner du temps et assure uneprécision parfaite lorsque vouscréez des bâtiments à angles droits.

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Les angles des premier etdernier sommets sont mis àl’équerre. Un nouveau sommetest inséré, et la constructionest terminée à l’intersectiondes segments résultants.

Astuce

Mode continuVous pouvez également créer deslignes et des polygones à l’aide dela souris par numérisation en modecontinu. Pour plus d’informations,voir le chapitre 5, « Utilisationd’un digitaliseur ».

Astuce

Ajout d’attributs auxentités crééesPour ajouter des attributs auxentités nouvellement créées, avecl’outil Edition, cliquez sur l’entitéet sélectionnez Attributs. La boîtede dialogue Attributs s’ouvre, vouspermettant de modifier les attributs.

premiersommet

derniersommet

nouveausommet


Création desegments à partirde directions etde longueursLes outils d’édition vous permettentde créer des segments dans desdirections spécifiques, mesurées àl’aide du système de coordonnéesde la carte (Direction) ou à partir dudernier segment (Déflexion).

L’option Angle utilise l’est commedegré 0 et mesure les angles positifsdans le sens inverse des aiguillesd’une montre. Par exemple, unangle de 90 degrés représente lenord et un angle de 180 degrésl’ouest. Vous pouvez changer lesystème de mesure de la direction etles unités angulaires dans l’ongletUnités de la boîte de dialogueOptions de mise à jour.

L’option Déflexion utilise le derniersegment en tant que degré 0 etcalcule l’angle que vous spécifiezà partir de ce point. Les valeurspositives sont calculées dans le sensinverse des aiguilles d’une montre àpartir du segment existant, et lesvaleurs négatives dans le sens desaiguilles d’une montre. u

Création d’un segment àpartir d’un angle et d’unelongueur


2. Cliquez avec le bouton droiten dehors de la constructionet sélectionnez Angle.

3. Saisissez les valeurs, puisappuyez sur Entrée.

Le segment est contraint àl’angle précisé. u

Astuce

Raccourci vers l’angle dedirectionAprès avoir cliqué sur l’outilConstruction et créé au moins unsommet, appuyez sur Ctrl + A pourdéfinir l’angle.

Angle contraint à 33 degrés

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1


Astuce

Raccourci vers l’optionLongueurAprès avoir cliqué sur l’outilConstruction et créé au moins unsommet, appuyez sur Ctrl + L pourdéfinir la longueur.

4. Cliquez avec le bouton droitsur la carte et cliquez surLongueur.

5. Indiquez la longueur etappuyez sur Entrée.

Le sommet donnant ausegment l’angle et lalongueur voulus est créé.

Vous pouvez utiliser l’optionDéflexion pour créer l’extrémitéd’une conduite d’eau ou de gaz àun angle de 33 degrés dans unemaison.

Les options Angle et Déflexionforcent toutes deux l’angle dusegment. Par exemple, si vousentrez 45 comme valeur d’angle,le segment est contraint à un anglede 45 degrés dans un sens et à unangle de 225 degrés dans l’autre.

Utilisez l’option Longueur pourindiquer la longueur d’unsegment que vous créez.

Astuce

Modification de la longueurd’un segment Si vous souhaitez modifier lalongueur d’un segment que vousavez créé, utilisez l’option Modifierla longueur du menu contextuel del’outil Construction. Elle annule ledernier sommet tout en conservantla contrainte de direction.

4

Le sommet donnant au segment l’angle et lalongueur voulus est créé.

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Création d’un segmentd’un angle calculé à partirdu dernier segment(déflexion)

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante de la paletted’outils, puis sur l’outilConstruction après avoircréé au moins un sommetdu nouveau segment.

2. Cliquez avec le bouton droiten dehors de la construction.

3. Cliquez sur Déflexion.

4. Indiquez l’angle souhaité parrapport au dernier segment etappuyez sur Entrée. u

Astuce

Raccourci vers l’optionDéflexionAprès avoir cliqué sur l’outilConstruction et créé au moins unsommet, appuyez sur Ctrl + F pourdéfinir l’angle de déflexion.

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Le segment est contraint àl’angle précisé.

5. Cliquez une fois pournumériser l’extrémité dusegment ou sélectionnezl’option Longueur du menucontextuel de l’outilConstruction.


Création d’un segmentd’un angle calculé àpartir d’un autre segment


2. Placez le pointeur sur lesegment d’une classed’entités à partir duquel voussouhaitez créer un segment etcliquez avec le bouton droit.

3. Cliquez sur Déflexion dusegment.

4. Indiquez l’angle souhaité parrapport au segment sélectionnéet appuyez sur Entrée. u

Création desegments à partird’angles desegmentsexistantsTrois options du menu contextuelde l’outil Construction –Déflexion du segment, Parallèleet Perpendiculaire – vous aidentà créer des segments d’anglescalculés par rapport à dessegments existants.

L’option Déflexion du segmentvous permet de créer un segmentd’un angle calculé par rapport àn’importe quel segment existant.Tandis que l’option Déflexioncrée un segment à un anglespécifique du dernier segment dela construction créée, Déflexiondu segment permet de choisir unsegment dans une entité existante.

Tout comme avec l’optionDéflexion, le segment à partirduquel vous travaillez avecl’option Déflexion du segmentreprésente le degré 0, et u

Astuce

Raccourci vers l’optionDéflexion du segmentAprès avoir cliqué sur l’outilConstruction, créé au moins unsommet et placé le pointeur surle segment à partir duquel voussouhaiter définir l’angle, appuyezsur F7 pour définir l’angle.

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l’angle de déflexion que vousindiquez pour le nouveau segmentest calculé à partir de ce point. Lesvaleurs positives sont calculéesdans le sens inverse des aiguillesd’une montre à partir du segmentexistant, et les valeurs négativesdans le sens des aiguilles d’unemontre. L’exemple montre une rueperpendiculaire créée à unangle de 45 degrés des ruesexistantes.

Le segment est contraint àl’angle précisé.


Astuce

Utilisation de valeursuniquement positives avecl’option Déflexion dusegmentSi vous souhaitez travailleruniquement avec des valeursd’angle positives, convertissez lesangles négatifs en angles positifs enajoutant 180 à la valeur négative.Par exemple, un angle de 45 degrésmesuré dans le sens des aiguillesd’une montre devient un angle de135 degrés mesuré dans le sensinverse.


Création d’un segmentparallèle à un autresegment


2. Placez le pointeur sur lesegment par rapport auquelle nouveau segment seraparallèle et cliquez avec lebouton droit.

3. Cliquez sur Parallèle.

Le segment est contraint àêtre parallèle au segmentindiqué.


Astuce

Raccourci vers l’optionParallèleAprès avoir cliqué sur l’outilConstruction, créé au moins unsommet et placé le pointeur sur lesegment par rapport auquel lenouveau segment sera parallèle,appuyez sur Ctrl + P pour rendrele segment parallèle.

L’option Parallèle du menucontextuel de l’outil Constructionforce un segment à être parallèle àun segment que vous sélectionnez.Vous pouvez par exemple utilisercette option pour créer uneconduite de gaz parallèle à la rue.

L’option Perpendiculaire dumenu contextuel de l’outilConstruction force un segment àêtre perpendiculaire à un segmentexistant. Vous pouvez utilisercette option pour placer unecanalisation perpendiculaireà la conduite principale.

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Création d’un segmentperpendiculaire à unautre segment


2. Placez le pointeur sur lesegment par rapport auquelle nouveau segment seraperpendiculaire et cliquezavec le bouton droit.

3. Cliquez sur Perpendiculaire.

Le segment est contraint àêtre perpendiculaire ausegment indiqué.


Astuce

Raccourci vers l’optionPerpendiculaireAprès avoir cliqué sur l’outilConstruction, créé au moins unsommet et placé le pointeur surle segment par rapport auquelle nouveau segment seraperpendiculaire, appuyez surCtrl + E pour rendre le segmentperpendiculaire.

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Création desegments enforme d’arcscirculairesLorsque vous créez des entités, ilest souvent nécessaire de créer unarc circulaire. Au lieu d’êtrecomposée de nombreux sommets,un arc circulaire comprenduniquement deux sommets en tantqu’extrémités. ArcMap proposequatre méthodes pour créer unsegment en forme d’arc circulaire.Elles incluent l’outil Arc, l’outilArc d’extrémité, l’outil Courbetangente, ainsi que l’optionCourbe tangente.

Tout d’abord, vous pouvez créerun arc circulaire à l’aide del’outil Arc. Vous pouvez ainsiutiliser l’outil Arc pour numériserun cul-de-sac à partir d’unephotographie aérienne définie entant qu’arrière-plan.

Un arc circulaire peut égalementêtre créé à l’aide de l’outil Arcd’extrémité. Cet outil vous permetde placer les sommets des deuxextrémités de l’arc et d’ajuster lerayon.

L’outil Arc tangent crée un arccirculaire en fonction du segmentprécédemment construit.

Vous avez également la possibilitéde créer un arc circulaire en utilisantl’option Courbe tangente du menucontextuel de l’outil Construction.Vous pouvez ainsi utiliser l’optionCourbe tangente pour u

Création d’un segmenten forme d’arc circulaireà l’aide de l’outil Arc

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante de la paletted’outils, puis sur l’outil Arc.

2. Cliquez une fois pourdéterminer le point dedépart de l’arc.

Un sommet est alors créé.

3. Cliquez une fois pourdéterminer l’axe de l’arc.

Il s’agit du point invisible parlequel la courbe passe.

4. Cliquez à nouveau une foispour déterminer l’extrémitéde l’arc.

Un segment en forme devraie courbe est créé.

Un segment en forme de vraie courbe est créé.

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ajouter un arc circulaire à unsegment existant. Vous utilisezcette option pour insérer unsegment courbé afin de prolongerla ligne médiane d’une routeincurvée, par exemple.

Lorsque vous créez une courbetangente, vous devez définir deuxparamètres parmi les optionssuivantes : longueur de l’arc,corde, rayon ou angle delta. Vouspouvez également indiquer sivous souhaitez créer une courbeà droite ou à gauche de la ligne,selon l’orientation de la ligne.La courbe est créée à partir dudernier somment du segmentexistant en fonction desparamètres que vous avez définis.

Si vous choisissez une longueur decorde et un rayon pour construirela courbe, deux solutions sontpossibles : les portions principaleet secondaire du cercle.

Principale

Secondaire

Création d’un segment enforme d’arc circulaire àl’aide de l’outil deconstruction Arcd’extrémité

1. Cliquez sur la flèche de lapalette d’outils, puissélectionnez l’outil Arcd’extrémité.

2. Cliquez sur le point de départde l’arc.

3. Cliquez sur l’extrémité de l’arc.

4. Déplacez le pointeur pourobtenir le rayon approximatifde la courbe.

Appuyez sur la touche R ettapez le rayon de la courbe.

Vous pouvez égalementcliquer à nouveau sur la cartepour définir le rayon.

Un arc circulaireavec le rayonspécifié est crééentre les deux pointssélectionnés.

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La case à cocher secondaireapparaît au bas de la boîte dedialogue Courbe tangente.Activez-la pour construire laportion secondaire du cercle.

Création d’un segmenten forme d’arc circulaireà l’aide de l’outil Courbetangente

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante de la paletted’outils et sélectionnez l’outilCourbe tangente une fois unsegment créé à l’aide d’undes autres outils deconstruction.

A mesure que le curseur estdéplacé, l’arc se courbe etchange de longueur pourrester tangent au segmentprécédent.

2. Cliquez à nouveau pourplacer l’extrémité de l’arc.

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2

Astuce

Distinction entre les outils Arc

L’outil Arc : crée un arc circulaireà partir de trois points reposantsur l’arc circulaire.

L’outil Arc d’extrémité : crée unarc circulaire à partir de deuxpoints du cercle et du rayon.

L’outil Courbe tangente : crée unarc tangent au segment précédentde la construction.


Création d’un segment enforme d’arc circulaire àl’aide de l’option Courbetangente

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante de la paletted’outils, puis sur l’outilConstruction après avoircréé au moins un segment.

2. Cliquez avec le bouton droitsur la carte et cliquez surCourbe tangente.

3. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante puis sur lesdeux paramètres à partirdesquels vous souhaitezdéfinir la courbe.

4. Entrez les valeurs appropriéespour ces paramètres (distanceen unités de carte pour lalongueur de l’arc, la corde etle rayon ; degrés pour l’angledelta).

5. Cliquez sur Gauche pourplacer la courbe tangente àgauche du segment. Cliquezsur Droite pour placer lacourbe à droite.

6. Appuyez sur Entrée. u

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Un arc circulaire d’une longueur decorde de 80 unités de carte et d’unangle delta de 20 degrés est créé àgauche du dernier sommet.

Un segment en forme de vraiecourbe est créé à partir dudernier sommet du segmenten fonction des paramètresque vous avez indiqués.


Création de segments partraçage d’entités


2. Sélectionnez l’entité ou lesentités que vous souhaiteztracer.

3. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante de la paletted’outils, puis sur l’outilTraçage.

4. Appuyez sur O pour ouvrir laboîte de dialogue despropriétés de traçage.

Cette boîte de dialogue vouspermet de spécifier denombreuses propriétés dusegment de traçage.

5. Renseignez la valeur dedécalage. Si vous souhaiteztracer directement par-dessusdes entités existantes, entrezla valeur 0.

6. Vous pouvez éventuellementlimiter la longueur dusegment de traçage.

7. Cliquez sur le bouton radiocorrespondant pour spécifierle type d’angles.

Fermez la boîte de dialogueOptions de traçage encliquant sur OK.

8. Cliquez pour commencer àtracer.

9. Cliquez pour arrêter de tracer.

Création desegments partraçage d’entitésVous pouvez créer des segmentsen traçant par-dessus les segmentsd’entités sélectionnées à l’aide del’outil Traçage.

Supposons que vous souhaitiezcréer une nouvelle conduited’eau à 7 mètres des limites dela parcelle. Avec l’outil Traçage,vous pouvez créer de nouveauxsegments dans la construction,d’un angle identique à celui deslimites de la parcelle avec unevaleur de décalage de 7 mètres.

Astuce

Annulation d’un traçage Appuyez sur Echap pour annulerrapidement un traçage.

Astuce

Fin de la construction Lorsque vous avez fini le traçage,double-cliquez pour terminer laconstruction.

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7

9

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3

2

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Astuce

Annulation partielle d’untraçageSi vous avez tracé trop loin ou dansune mauvaise direction, repassezsur la ligne tracée avec la souris.Si vous avez cliqué pour arrêter letraçage, cliquez sur Annuler poursupprimer tous les sommets insérésau cours du traçage.



2. Sélectionnez les entités quevous souhaitez copier.

3. Cliquez sur l’outil Copier desentités.

4. Cliquez à l’emplacement oùvous souhaitez copier l’entitéchoisie.

Une copie de la géométrie del’entité sélectionnée est crééeà l’emplacement sélectionné.L’entité est créée dans lacouche cible courante del’Editeur.

Duplicationd’entités avecl’outil Copier desentitésVous pouvez créer rapidement undouble d’une ou de plusieurs entitéssélectionnées à l’aide de l’outilCopier des entités. Cet outil setrouve dans la barre d’outils Editionavancée. Seule la géométrie, et nonles attributs, de l’entité sélectionnéeest copiée sur la couche cible.

Si la classe d’entités cible ou lesous-type possède des valeurs pardéfaut, des annotations liées auxentités ou des règles de connectivitédéfinies dans une géodatabase, lacopie aura les valeurs par défaut etle comportement appropriés à lacouche cible. Les attributs sansvaleurs par défaut auront unevaleur nulle.

Astuce

Ouverture de la barred’outils Edition avancéeLa barre d’outils Edition avancéese trouve dans le menu contextuelEditeur sous Autres outils.


L’entitédupliquéepossède lesvaleurs pardéfaut et lecomportementdéfinis pour laclasse d’entitéscible dans lagéodatabase

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Astuce

Utilisation de la barred’outils Edition avancéeLa barre d’outils Edition avancéepossède une étape d’éditiond’entités plus complexe. Cettebarre d’outils est disponibleuniquement avec les licencesArcEditor et ArcInfo.


1. Cliquez sur l’outil Raccord.

2. Cliquez d’abord sur une ligne,puis sur l’autre pour spécifier leslignes entre lesquelles voussouhaitez construire le raccord.

Le rayon de la courbe de raccordchange à mesure que vous faitesglisser le pointeur à l’écart de lapremière ligne sélectionnée.

Lorsque la courbe semble avoirle rayon correct, vous pouvezcliquer pour la terminer. Pour quela courbe ait un rayon spécifique,vous pouvez le définir dans lafenêtre Options de raccord.

3. Appuyez sur la touche R pourdéfinir les options de raccord.

4. Cochez éventuellement lacase Tronquer les segmentsexistants pour supprimer lessegments en dehors du rayonde la courbe.

5. Cochez éventuellement la caseRayon constant pour spécifierun rayon pour la courbe.

6. Tapez un rayon pour la courbeet appuyez sur Entrée, oucliquez sur OK.

7. Cliquez sur la carte pourindiquer le quadrant del’intersection des lignes oùsera créé le raccord.

Une nouvelle courbe deraccord joint les deux lignessélectionnées. Les segmentsde ligne supplémentaires endehors de la courbe sonttronqués si vous avez cochél’option Tronquer les segmentsexistants.

Création d’unecourbe de raccordentre deux lignesLes raccords sont des segmentsd’arc circulaire souvent utiliséspour connecter deux ligness’entrecoupant. Les raccords sontutilisés pour créer des connexionscourbes régulières entre des lignes,telles que le bord des chausséesaux intersections, ou les anglesarrondis des entités de parcelles.

Astuce

Raccourci de rayon deraccordAprès avoir cliqué sur l’outilRaccord, vous pouvez définir unrayon de raccord par défaut dansla boîte de dialogue Options deraccord en appuyant sur la toucheR. Si un rayon par défaut estdéfini, la courbe de raccord estconstruite immédiatement avec cerayon lorsque vous cliquez sur laseconde ligne à raccorder.

Astuce

Unités de rayonLes options de raccord utilisent lesunités du système de coordonnéesdu bloc de données courant pourle rayon de raccord, à moins quevous ne spécifiiez une autre unité demesure lorsque vous tapez le rayondu raccord.

Astuce

Positionnement du raccord Si vous spécifiez un rayon constant, lacourbe de raccord est créée sur le côtéde la seconde ligne où se trouvait lepointeur lorsque vous avez cliqué.


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2. Sélectionnez le segmentde ligne vers lequel voussouhaitez prolonger une ligne.

3. Cliquez sur l’outil Prolonger.

4. Cliquez sur l’extrémité del’entité à prolonger.

Prolongementd’une ligneVous pouvez prolonger unsegment de ligne un peu tropcourt pour qu’il touche un autresegment. L’outil Prolonger de labarre d’outils Edition avancéepermet de cliquer sur une entitélinéaire et de la prolonger jusqu’àune autre entité linéairesélectionnée.

La lignesélectionnée

est prolongéejusqu’à la

ligne choisie.

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Tronquage d’uneligneVous pouvez tronquer la partied’une ligne qui croise un autresegment de ligne. L’outilTronquer de la barre d’outilsEdition avancée vous permet decliquer sur un côté d’une entitélinéaire qui croise une lignesélectionnée afin de la tronquer.


2. Sélectionnez le segment deligne auquel vous souhaiteztronquer une ligne.

3. Cliquez sur l’outil Tronquer.

4. Cliquez sur l’extrémité del’entité à tronquer.

La lignesélectionnée

est tronquée àla lignechoisie.

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Divisionproportionnelled’une ligneUne tâche d’édition de géométriede coordonnées courante consiste àdiviser une entité linéaire existanteen un certain nombre de segmentsd’une longueur spécifiée.

Cette tâche peut parfois êtrecompliquée par des erreursde mesure. Par exemple, lalongueur de la ligne du systèmed’informations géographiques(SIG) peut ne pas être tout à faitégale à la longueur totale dessegments mesurée dans le champ.L’outil Proportionner vous permetde diviser une ligne sélectionnéeen un certain nombre de segmentset d’attribuer la différence entrela longueur de l’entité linéaire etla longueur totale des segmentsentre tous les nouveaux segments.

Supposons une ligne que voussouhaitez diviser en segmentsque vous pouvez utiliser pouralignement lors de la création denouveaux angles de parcelle. Lalongueur de l’entité linéaire dans leSIG est de 320,38 pieds. Le plandu parking que l’on vous a donnémontre des angles à 111,78 pieds,70,43 pieds et 138,65 pieds le longde cette ligne. Malheureusement, ilexiste une différence de 0,48 piedentre les mesures et la longueur del’entité. u


2. Sélectionnez la ligne quevous souhaitez diviserproportionnellement.

3. Cliquez sur l’outilProportionner. u


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1

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La boîte de dialogue Proportionnerpermet de saisir les longueurs dessegments. Elle indique ainsi lalongueur de l’entité sélectionnée,la somme des longueurs dessegments, le montant restant etl’erreur relative, exprimée commeratio entre le reste et la longueurd’entité d’origine.

L’outil Proportionner crée denouvelles entités proportionnéesde 111,61 pieds, 70,32 pieds et138,44 pieds, en divisant ladifférence entre les entités.

Si l’entité linéaire que vousfractionnez possède un attributnommé Distance, les nouvellesentités linéaires auront les valeurssaisies comme longueur attribuée,et le champ Shape_lengthindiquera la longueur réelle.

4. Tapez les longueurs dessegments dans lesquelsdiviser la ligne.

5. Cliquez éventuellementsur Inversé pour basculerl’orientation de la ligne si lesflèches indiquant l’orientationde l’entité sur la carte sontl’inverse de l’ordre danslequel vous avez entré lessegments.

6. Cliquez sur OK.

La ligne est fractionnéeproportionnellement à lalongueur des segmentsmesurés. Toute différenceentre la longueur de la ligneet la somme de la longueurdes segments est attribuéeproportionnellement à lalongueur des nouvelleslignes.


Nouvelleslignes

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Obtention d’unedescription COGOd’une entité avecl’outil InverserVous pouvez obtenir ladescription COGO d’une entité àl’aide de l’outil Inverser. L’outilInverser calcule la direction et lalongueur de l’entité ainsi que lesparamètres de courbe, le caséchéant, et complète les attributsappropriés sur l’entité.

Pour utiliser l’outil Inverser,l’entité doit avoir les attributssuivants comme champs detexte : Direction, Distance,Rayon, Delta, Tangente,Longueur de l’arc et Côté.

L’entité doit être une ligne droiteou un arc circulaire. Elle nepossède en principe que deuxsommets, mais davantage sontautorisés tant que l’entité estsystématiquement droite oucourbée. Le type de direction etles unités angulaires courantssont utilisés lors du remplissagedes attributs.


2. Sélectionnez l’entité pourlaquelle vous souhaitezgénérer une descriptionCOGO.

3. Cliquez sur l’outil Inverser.

Astuce

Changement des nomsd’attributs COGOVous pouvez changer le nom desattributs COGO via l’utilitaireParamètres avancés d’ArcMap.


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Création de lagéométrie deconstructionavec l’outilCheminementUne autre tâche couranted’édition de géométrie decoordonnées consiste à créer uneligne ou un contour de polygoneà l’aide d’un ensemble de mesuresd’étude collectées dans le champ.Les données peuvent avoir laforme de directions et dedistances, d’angles et dedistances, de courbes ou decourbes tangentes, mesurés àpartir d’un point connu. Ils sontdésignés de manière collectivecomme le cheminement.

L’outil Cheminement vous permetde créer une géométrie deconstruction à partir de diversesmesures de cheminement. u

Démarrage d’uncheminement à partird’une coordonnée connue

1. Cliquez sur l’outilCheminement.

2. Cliquez sur Modifier, à droitede la zone Départ.

3. Tapez les valeurs X et Y pourla coordonnée de départ.

4. Cliquez sur OK.

Le point de départ ducheminement est défini dansla zone de texte Point dedébut. Le sommet suivant dela construction est placé surles mesures spécifiées àpartir de cet emplacement.

Astuce

Point de départ interactifVous pouvez sélectionner l’outilSélection du point de départinteractif pour définir un pointde départ en cliquant sur la carte.

Astuce

En partant d’uneconstructionSi vous avez déjà commencéune construction lorsque voussélectionnez l’outil Cheminement,le point de départ sera le derniersommet de la construction.


Point dedépart

Outil desélectionde pointde départinteractif

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Une fois un cheminement démarré,vous pouvez ajouter des segmentsou des courbes à la construction àl’aide des méthodes Direction–Distance, Angle–Distance, Courbeet Courbe tangente.

L’outil Cheminement ajoute chaquesegment comme ligne dans la tablede trajectoires de cheminement et àla construction. Vous pouvezsélectionner chaque segment detrajectoire en cliquant dessus dansla table ; le segment correspondantclignote alors sur la carte.

Ajout d’un segment à uncheminement à l’aided’une trajectoireDirection–Distance

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante du type detrajectoire, puis sélectionnezDirection–Distance.

2. Tapez une direction.

L’outil Cheminement utilisepar défaut des degrésmesurés dans le sens anti-horaire à partir de l’est. Vouspouvez changer le systèmede mesure angulaire et lesunités dans l’onglet Unités dela boîte de dialogue Optionsde mise à jour.

3. Tapez une distance.

L’outil Cheminement utilise pardéfaut les unités de mesuredu système de coordonnéesdu bloc de données. Vouspouvez changer ces unitésen modifiant la descriptiondu système de coordonnées,mais pas pendant une sessionde mise à jour.

4. Cliquez sur Ajouter.

La trajectoire est ajoutée à latable, et le segment est ajoutéà la construction.

Vous pouvez continuer àajouter des segments à l’aided’une des méthodes decheminement.

Astuce

Réorganisation dessegmentsVous pouvez réorganiser unsegment en le sélectionnant dansla table et en cliquant sur lesflèches vers le haut et vers le bas.

Astuce

Suppression de segmentsVous pouvez supprimer un segmenten le sélectionnant dans la table eten cliquant sur Supprimer.

Astuce

Duplication de segmentsVous pouvez insérer un doubled’un segment en cliquant dessusavec le bouton droit dans la tableet en sélectionnant Insérer.


Segments multiplesdans la table detrajectoires decheminement etla construction.

Point de départ

Dernier point

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Ajout d’un segment à uncheminement à l’aided’une trajectoire Angle–Distance

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante du type detrajectoire, puis sélectionnezAngle–Distance.

2. Tapez un angle.

L’outil Cheminement utilisedes degrés mesurés dansle sens anti-horaire à partirde la trajectoire précédente.Vous pouvez changer lesystème de mesure angulaireet les unités dans l’ongletUnités de la boîte de dialogueOptions de mise à jour.

3. Tapez une distance.

L’outil Cheminement utilisepar défaut les unités demesure du système decoordonnées du bloc dedonnées. Vous pouvezchanger ces unités enmodifiant la description dusystème de coordonnées,mais pas pendant unesession de mise à jour.


La trajectoire est ajoutée àla table, et le segment estajouté à la construction.

Vous pouvez continuer àajouter des segments à l’aided’une des méthodes decheminement.

Astuce

Limitations de la premièretrajectoireLa première trajectoire de votretable de cheminement ne peut pasêtre basée sur une distance d’angleou une courbe tangente car cestechniques sont calculées à partirde la direction de la trajectoireprécédente.


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Ajout d’un segment à uncheminement à l’aided’une trajectoire Courbe

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante du type detrajectoire, puis sélectionnezCourbe.

2. Cliquez sur les flèches de listedéroulante et sélectionnezdeux paramètres à utiliserpour déterminer la courbe.

3. Saisissez les valeursappropriées pour lesparamètres. Les valeursde distance utilisent lesunités de la carte.

4. Tapez une direction de cordepour la courbe.

5. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante pour choisirsi la courbe va vers la droiteou vers la gauche.


Astuce

Productivité avec l’outilCheminementVous pouvez utiliser le clavier pourentrer et gérer les trajectoires ducheminement. Vous pouvez appuyersur Entrée lorsque les informationssont suffisantes pour ajouter unetrajectoire. Vous pouvez utiliserla touche Tab et Maj + Tab pournaviguer entre les champs. Pour leslistes déroulantes, la première lettrede l’option peut être utilisée commeraccourci ou vous pouvez utiliserles touches fléchées vers le haut/baspour effectuer votre sélection.


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Ajout d’un segment à uncheminement à l’aided’une trajectoire Courbetangente

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante du type detrajectoire, puis sélectionnezCourbe tangente.

2. Cliquez sur les flèches de listedéroulante et sélectionnezdeux paramètres à utiliserpour déterminer la courbe.

3. Saisissez les valeursappropriées pour lesparamètres. Les valeursde distance utilisent lesunités de la carte.

4. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante pour choisir sila courbe va vers la droite ouvers la gauche.



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Création d’entitéslinéaires à deuxpoints pourcompléter desattributs COGOVous pouvez aisément créer desentités à l’aide de l’outilCheminement pour compléter desattributs COGO dans une classed’entités. L’utilisation de la tâcheCréer des lignes à 2 pointspermet non seulement de créerla géométrie de l’entité avecl’outil Cheminement, mais aussid’enregistrer chaque trajectoiredu cheminement comme entitélinéaire à deux points COGO.

Pour créer des entités linéairesà deux points à l’aide de ceprocessus, vous devez affecterà la couche cible les attributssuivants comme champs detexte : Direction, Distance,Rayon, Delta, Tangente,Longueur de l’arc et Côté.

Astuce

Ajout d’options au menudéroulant TâcheVous pouvez ajouter ou supprimerdes tâches dans le menu déroulantTâche à partir de la sélection de laboîte de dialogue Options de miseà jour sous l’onglet Tâches demise à jour. Pour plus de détails,voir le chapitre 2, « Concepts debase de mise à jour ».

1. Dans le menu déroulantTâche, sélectionnez Créerdes lignes à 2 points.

2. Dans la barre d’outils Editeur,définissez votre couche ciblesur une couche contenantdes attributs COGO.

3. A l’aide de l’outilCheminement, spécifiez lestrajectoires du cheminement.

4. Une fois le cheminementterminé, les nouvelles entitéslinéaires sont enregistréescomme entités linéaires àdeux points COGO.


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Modification d’unsegment dans uncheminement

1. Sélectionnez le segmentdans la liste de trajectoires.

2. Cliquez sur le boutonPropriété.

3. Dans les propriétés detrajectoire, ajustez les valeursde manière appropriée.

4. Cliquez sur OK.

Le cheminement et laconstruction sont mis à jour.

Astuce

Ouverture de la boîte dedialogue des propriétés detrajectoireVous pouvez accéder auxpropriétés de la boîte de dialogueTrajectoire à l’aide de troisméthodes. Vous pouvezdouble-cliquer sur le segment dansla liste de trajectoires, sélectionnerle segment et cliquer sur Propriétésdans la boîte de dialogueCheminement, ou cliquer avecle bouton droit sur la trajectoireet sélectionner Propriétés.


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1. Cliquez sur Modifier à droitede la zone Extrémité.

2. Saisissez les coordonnéesx,y de l’extrémité.

3. Cliquez sur OK.

4. Cliquez sur Fermeture.

Le rapport de fermeturerépertorie les élémentssuivants :

• Nombre de trajectoires

• Longueur totale ducheminement

• Extrémités spécifiées etcalculées

• Ecart de fermeture dans lesvaleurs x,y et direction/distance

• Erreur relative, c’est-à-direratio d’écart de fermeture dela distance par rapport à lalongueur totale

Obtention d’unrapport defermetureUn cheminement doit toujoursdémarrer à partir d’une coordonnéeconnue. Il peut également seterminer à une coordonnée connue.Dans ce cas, un écart peut êtrecalculé entre l’extrémité spécifiéeet l’extrémité réelle.

Un rapport de fermeture constitueun résumé de la différence entrela coordonnée d’extrémité d’uncheminement et l’extrémitécalculée.

Astuce

Extrémité interactiveCliquez sur l’outil Sélectiond’extrémité pour définir l’extrémitéen cliquant sur la carte.

Astuce

Début et fin au même pointCochez la case Boucle fermée pourdéfinir des points de début et de finidentiques.


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3


Techniques d’ajustement d’un cheminement

Lors de la génération d’un cheminement, les coordonnées d’unedestination de fin sont souvent connues. Vous avez déjà découvertqu’ArcMap propose une méthode pour spécifier cette extrémité etdéterminer la différence entre l’extrémité de cheminement et lepoint de fin souhaité. Cette différence est appelée écart defermeture.

ArcMap propose également trois techniques d’ajustement ducheminement pour éliminer l’écart de fermeture. Chacune de cestechniques varie dans le montant d’ajustement de la direction etdistance des trajectoires individuelles du cheminement. Cestechniques comprennent la correction de compas, la correctionde transit et la correction Crandall.

La technique de correction de compas spécifie que l’écart defermeture, ou différence en x et y entre l’extrémité résultante etl’extrémité souhaitée, est également réparti entre les arcs à deuxpoints et courbes individuels constituant le cheminement. Ceciest effectué en ajustant l’emplacement et la distance de chaquearc proportionnellement à l’écart de fermeture. La technique decorrection de compas est le plus souvent utilisée pour résoudreles erreurs d’écart de fermeture. Elle suppose que les erreurs sontliées à la fois aux erreurs de mesures de direction et de mesuresde distance. Ainsi, les corrections sont reflétées dans chaquevaleur de distance et de direction. Cette technique est égalementconnue en tant que règle Bowditch.

Tout comme la technique de correction de compas, la méthode decorrection de transit spécifie que l’écart de fermeture est égalementréparti entre les arcs à deux points et courbes individuels constituantle cheminement. Cependant, cette technique privilégie les mesuresde direction sur les mesures de distance. En déterminant lechangement d’emplacement requis de chaque arc, la proportionattribuée à chaque arc est proportionnelle aux valeurs x ou y totalesde tous les arcs. Ceci engendre des changements qui affectent à lafois la direction et la distance de chaque arc, mais modifient ladistance à un degré plus élevé.

La technique de correction Crandall est utilisée lorsque lesvaleurs de direction sont supposées précises et exactes et qu’unécart de fermeture éventuel est dû exclusivement à des erreurs demesures de distance. Cet ajustement préserve toutes les mesuresde direction et ne modifie que les mesures de distance pouréliminer l’erreur d’écart de fermeture.

Avec cette gamme de techniques de correction, vous pourrez nonseulement corriger les erreurs dans le cheminement, mais égalementplacer une valeur supérieure ou inférieure sur des caractéristiquesspécifiques des données de cheminement.



Ajustement d’uncheminement

1. Vérifiez qu’une extrémité estdéfinie.

2. cliquez sur l’option Ajuster.

3. Choisissez une méthoded’ajustement dans le menudéroulant.

4. Vous pouvez éventuellementenregistrer les valeurs ajustéesdans un fichier texte encliquant sur Enregistrer lerapport.

5. Cliquez sur Accepter.

Le cheminement est ajustéen fonction de la méthodechoisie et de l’entité créée.


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1. Cliquez avec le bouton droitdans la boîte de dialogueCheminement et sélectionnezEnregistrer le cheminement.

2. Naviguez vers l’emplacementoù vous voulez enregistrer lecheminement.

3. Saisissez un nom pour lecheminement.

4. Cliquez sur Enregistrer.

Les informations decheminement sontenregistrées dans lefichier texte.

Enregistrementd’un cheminementVous pouvez enregistrer uncheminement dans un fichiertexte pour le partager ou pourvotre usage ultérieur.


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1. Cliquez avec le bouton droitdans la boîte de dialogueCheminement et sélectionnezCharger un cheminement.

2. Accédez au fichier texte ducheminement.

3. Cliquez sur le cheminementque vous souhaitez ouvrir.

4. Cliquez sur Ouvrir.

Les informations decheminement sont chargéesà partir du fichier texte.

Chargement d’uncheminementVous pouvez charger uncheminement enregistré dans unfichier texte.


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2. Sélectionnez l’entité multi-parties à éclater.

3. Cliquez sur l’outil Eclater.

Les parties de l’entité multi-parties deviennent desentités indépendantes.

Eclatement d’uneentité multi-pointsVous pouvez utiliser l’outilEclater pour séparer une entitémulti-parties dans ses entitéscomposantes.

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2. Sélectionnez l’entité quevous souhaitez généraliser.

3. Cliquez sur l’outil Généraliser.

4. Tapez le décalage maximalautorisé.

Le décalage maximal autoriséest la distance maximale detoute partie de la géométriede sortie avec la géométried’entrée, dans les unités decarte.

5. Cliquez sur OK.

Généralisationd’une entitéVous pouvez utiliser l’outilGénéraliser pour simplifier laforme d’entités. L’outil Généraliserutilise l’algorithme Douglas–Poiker pour simplifier la géométried’entrée de l’entité sélectionnée.

Le degré de simplification de lagéométrie dépend du décalagemaximal autorisé, qui limitel’éloignement de la géométrie desortie par rapport à la géométried’entrée.

Pour les entités composées desegments linéaires, les sommets desortie constituent un sous-ensembledes sommets d’entités d’origine.

Si vous utilisez l’outil Généralisersur une courbe réelle, la sortie estune série de segments de lignedroite. Les sommets peuventtomber sur toutes les parties dela courbe d’origine, et non justeles sommets. La sortie de l’outilGénéraliser sur des lignes avecdes courbes non linéaires peutavoir davantage de sommets quela courbe d’origine, mais tous lessegments sont droits.


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2. Sélectionnez l’entité quevous souhaitez lisser.

3. Cliquez sur l’outil Lissage.

4. Tapez le décalage maximalautorisé.

Le décalage maximalautorisé est la distancemaximale de toute partie dela géométrie de sortie avec lagéométrie d’entrée, dans lesunités de carte.

5. Cliquez sur OK.

Lissage d’uneentitéVous pouvez utiliser l’outilLissage pour lisser les contoursdroits et les angles d’une entité.La géométrie de l’entité estremplacée par une série desegments de ligne lissés.

Le degré de lissage de la géométriedépend du décalage maximalautorisé, qui limite l’éloignementde la géométrie de sortie parrapport à la géométrie d’entrée.


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Fenêtre Environnement de capture

Les couches dudocument sont répertoriées ici.

Définissez la priorité de capture(l’ordre selon lequel la capture

est effectuée par couche)en faisant glisser le

nom des couches vers unnouvel emplacement.

Activez le type de propriétés decapture que vous souhaitezpour chaque couche.

La section au bas dela fenêtre présente les

propriétés de capture validespour une construction ou les

éléments d’une topologie.

Vous pouvez laisser cette fenêtreouverte au cours de votre travail –tout changement de paramètresest instantanément appliqué.Cliquez sur le bouton Fermerlorsque vous avez terminé.


Types de propriétés de capture

Lorsque vous utilisez l’environnement de capture pour créer ou positionner une nouvelle entité à un emplacement exact par rapport àd’autres entités, vous devez choisir la partie des entités existantes (sommet, contour ou extrémité) sur laquelle l’entité doit s’aligner.Ces choix sont appelés propriétés de capture de la couche. Vous pouvez également indiquer des propriétés de capture pour laconstruction et les éléments de topologie ; on parle alors des propriétés de capture de construction et de topologie. Vous pouvez définirles trois types de propriétés de capture à l’aide de la fenêtre Environnement de capture. Le tableau suivant présente brièvement chacunedes propriétés de capture de couche et de construction.

Propriétés de capture Propriétés de capture Propriétés de capturede la couche de la construction de la topologie

Capture surchaque sommetdes entités decette couche.

Capture sur le contourentier (segments etsommets) de laconstruction.

Capture sur lespremier etdernier sommetsd’une entitélinéaire.

ExtrémitéCapture sur lessommets de laconstruction.

Capture sur lecontour entier(segments etsommets) dechaque entité decette couche.

Tronçon

Vous permet decréer un segmentperpendiculaire auprécédent.

Perpendiculaireà la construction

Sommet Nœudstopologiques

Capture sur lesnœuds de latopologie.

Capture à mi-chemin entre lesdeux sommetsd’extrémité dusegment.

Centre

Accrocher lestronçons de laconstruction

Accrocher lessommets de laconstruction


Utilisation del’environnementde captureL’environnement de capturevous permet de définir desemplacements précis par rapportà d’autres entités. Supposonsque vous élaboriez un nouveausegment de relais commençant àun transformateur existant ; voussouhaitez vous assurer que lesommet de ce relais est relié demanière précise au transformateur.

L’environnement de capturefacilite ce type de tâches et assureune grande précision. La définitionde l’environnement de captureimplique la définition d’unetolérance, des propriétés et d’unepriorité de capture. u

Astuce

Affichage de la tolérancede capturePour afficher la zone de tolérancede capture en cours, maintenez latouche T enfoncée lorsque vousutilisez l’outil Construction.

Configuration de latolérance de capture

1. Cliquez sur Editeur, puis surOptions.


3. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Tolérance decapture, puis sur le typed’unité de mesure que voussouhaitez utiliser (pixels ouunités de la carte).

4. Entrez le nombre d’unitéssouhaité dans la zone detexte Tolérance de capture.

5. Cliquez sur OK.

Astuce

Affichage d’astuces decaptureVous pouvez afficher le nom dela couche ou la cible de capture.Cochez la case Afficher les info-bulles de capture dans l’ongletGénéral de la boîte de dialogueOptions de mise à jour. Une petitezone de texte apparaît lors de lacapture, qui identifie la couchesur laquelle la capture a eu lieu.

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La tolérance de capturereprésente l’intervalle en fonctionduquel le pointeur ou une entitéest capturé(e) sur un autreemplacement. Si l’emplacementcapturé (sommet, tronçon ouextrémité) se trouve à l’intérieurde l’intervalle que vous avezdéfini, le pointeur est capturé(se place) automatiquement surcet emplacement.

Le cercle autour du pointeur dugraphique ci-dessous représentela tolérance de capture. Lorsquel’emplacement capturé (pointorange) se trouve en dehors de la

tolérance de capture,l’emplacement de capture(point bleu) reste avec le pointeur(graphique du haut). Lorsquel’emplacement capturé se trouveà l’intérieur de la tolérance decapture, l’emplacement decapture se déplace et s’alignesur l’emplacement cible(graphique du bas).

Vous pouvez sélectionner la partiede l’entité (sommet, tronçon ouextrémité) par rapport à laquellevous souhaitez aligner la nouvelleentité en définissant les u

Configuration despropriétés de capture.

1. Cliquez sur Editeur, puis surAlignement.

La fenêtre Environnement decapture s’ouvre.

2. Activez les propriétés decapture que vous souhaitez.

Ces propriétés sont appliquéesdès que vous les activez ou lesdésactivez.

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propriétés de capture de lacouche. Par exemple, si voussouhaitez que la nouvelle entité(un segment de relais) s’aligne surle sommet d’un transformateurexistant dans la couche destransformateurs, vous devez activerla case placée sous Sommet eten regard de la couche destransformateurs dans la fenêtreEnvironnement de capture. Lorsquele pointeur arrive dans la tolérancede capture du transformateur, lepremier sommet du relais s’alignesur le sommet du transformateur.

Vous pouvez également définirla priorité de capture pour lescouches de la carte. L’ordre descouches répertoriées dans lafenêtre Environnement de capturedétermine l’ordre selon lequel lacapture est effectuée. La captureest tout d’abord appliquée dans lacouche figurant en tête, puis danschacune des couches suivantes.Vous pouvez facilement modifierla priorité de capture en faisantglisser le nom des couches versun nouvel emplacement.

Configuration de lapriorité de capture

1. Cliquez sur Editeur, puis surAlignement.

La fenêtre Environnement decapture s’ouvre.

2. Cliquez sur les noms decouches et faites-les glisserpour les classer dans l’ordreselon lequel vous souhaitereffectuer la capture. (Lacouche figurant en tête de laliste sera capturée en premier.)

Les priorités que vousdéfinissez sont instantanémentappliquées.

Astuce

Propriétés de capture de laconstruction et de la topologieVous pouvez définir des propriétés decapture s’appliquant spécifiquementà la construction et à des éléments detopologie dans la boîte de dialogueEnvironnement de capture ; celles-cisont indiquées au bas de la fenêtreEnvironnement de capture. Pour plusd’informations, reportez-vous à« Types de propriétés de capture »dans ce chapitre.

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Option Capturersur l’entitéA part les règles définies dansl’environnement de capture, vouspouvez également capturer à lavolée sur des entités spécifiques.Vous recourez pour ce faire àl’option Capturer sur l’entité dumenu contextuel de la construction.

Si vous spécifiez une entité etla partie de l’entité sur laquellevous souhaitez effectuer lacapture, le sommet suivant estautomatiquement positionnéquels que soient les paramètresEnvironnement de capture.

Capture sur une entitéspécifique


2. Cliquez avec le bouton droitsur l’entité sur laquelle vousvoulez capturer le sommetsuivant.

3. Dans le menu déroulant,sélectionnez Capturer surl’entité.

4. Cliquez sur la partie del’entité sur laquelle vousvoulez capturer le sommetsuivant.

Le sommet sera placé àl’emplacement le plus prochecorrespondant à votresélection.

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Définition du système et des unités de mesure de direction pour les outils d’édition

Certains outils d’édition d’ArcMap vous permettent de saisir unangle, une direction ou une déflexion lors d’une construction.Ceci comprend les outils Direction–Distance et Cheminementainsi que plusieurs options du menu contextuel de construction.Vous pouvez changer le système de mesure de la direction et lesunités utilisées par ces outils dans l’onglet Unités de la boîte dedialogue Options de mise à jour. Dans ce cas, les outils d’éditionreconnaissent toutes les entrées dans le nouveau système et lesnouvelles unités.

Systèmes de mesure de direction

Vous pouvez choisir parmi les systèmes de mesure de directionsuivants : Azimutal nord, Azimutal sud, Orientation au quadrantet Polaire. Par défaut, les outils acceptent les mesures angulairesdans le système de mesure de direction Polaire.

Les angles polaires sont mesurés dans le sens anti-horaire à partirde l’axe x positif.

Dans le système Azimutal nord, l’azimut d’une ligne est l’anglehorizontal mesuré à partir d’un méridien de la ligne, mesuré dansle sens horaire à partir du nord.

Dans le système Azimutal sud, les angles sont mesurés dans lesens horaire à partir du sud.


Dans le système Orientation au quadrant, l’orientation d’une ligneest mesurée comme angle à partir du méridien de référence, nordou sud, et vers l’est ou l’ouest. Les orientations du systèmeOrientation au quadrant sont écrites sous forme de méridien,d’angle et de direction. Par exemple, l’orientation N 25 O définitun angle de 25 degrés ouest mesuré à partir du nord. L’orientationS 18 E définit un angle de 18 degrés est mesuré à partir du sud.

Les formats de saisie valides pour les mesures Orientation auquadrant comprennent :

• [NS] dd.dddd [EO] où la première lettre est un N ou S,indiquant le méridien d’origine, et la dernière lettre un E ou O,indiquant la direction de l’angle.

• dd.dddd-[1234] où l’avant-dernier caractère est un - (tiret)et le dernier chiffre indique le quadrant de l’orientation. Lesquadrants sont numérotés 1 - NE, 2 - SE, 3 - SO, 4 - NO.

Unités de mesure de direction

Les outils d’édition utilisent des degrés décimaux comme unitésde mesure angulaire par défaut. Vous pouvez choisir parmi lesunités de mesure de direction suivantes : degrés décimaux, degrés/minutes/secondes, radians, grades et gons.

Les constituent l’unité de mesure angulaire standard, où un degréreprésente 1/360ème de cercle, et les fractions d’un degré sontreprésentées comme des valeurs décimales.

L’option Degrés Minutes Secondes utilise également le degré, maisles fractions d’un degré sont représentées en minutes et secondes,où une minute égale 1/60 degré, et une seconde 1/60 minute.

Les formats de saisie valides des valeurs en degrés/minutes/secondes comprennent :

• dd-mm-ss.ss

• dd.mmssss

• dd^mm’ss.ss”

Les radians sont l’unité internationale standard de mesure angulaireplane. Un cercle correspond à 2pi, environ 6,28318 radians. Unradian équivaut à environ 57,296 degrés. La longueur d’un arccirculaire avec un angle d’un radian est égal au rayon de l’arc.

Les grades sont une unité de mesure angulaire où l’angle droit estdivisé en 100 parties. Un grade égale 1/400ème de cercle.

Les gons sont identiques aux grades. Un gon égale 1/400ème decercle. Le terme gon est principalement utilisé en allemand, ensuédois et dans d’autres langues d’Europe du Nord où le motgrade signifie degré.


Définition du typede direction et desunités angulairesVous pouvez définir le système demesure de la direction et les unitésde mesure des angles dans l’ongletUnités de la boîte de dialogueOptions de mise à jour. Tous lesoutils d’édition acceptant desmesures angulaires interprètent cesdernières à l’aide du type dedirection et des unités spécifiés ici.

Définition du type dedirection


2. Cliquez sur l’onglet Unités.

3. Cliquez sur la liste déroulanteType et choisissez un systèmede mesure de direction.

4. Cliquez sur OK.

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Définition des unités dedirection



3. Cliquez sur la liste déroulanteUnités de direction etsélectionnez l’unité demesure de direction à utiliser.

4. Définissez une précisionpour spécifier le nombre depositions décimales utiliséeslors de l’affichage d’angles etde directions.

5. Cliquez sur OK.

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Utilisation d’une correction des mesures

Lors de la création d’entités à l’aide des outils de géométrie decoordonnées dans ArcMap, vous devez parfois convertir des angleset des distances mesurés sur le terrain pour qu’ils correspondent ausystème de coordonnées de vos données. Par exemple, si l’on vousfournit des distances mesurées en unités terrestres à une altitudeélevée, elles doivent être ajustées légèrement pour s’adapter ausystème de coordonnées du jeu de données SIG, dans lequel lesdistances sont supposées avoir été mesurées à une surfaceellipsoïde (au niveau de la mer) donnée. La conversion de distanceest appliquée comme facteur d’échelle aux distances saisies dansles outils d’édition de géométrie de coordonnées.

Vous devez parfois corriger des mesures angulaires prises sur leterrain lors de leur saisie dans votre SIG. Par exemple, supposonsque vous créez des entités à l’aide de la géométrie de coordonnéesd’un ensemble de mesures des notes de terrain d’un géomètre. Lesmesures angulaires du géomètre sont basées sur le nord véritable,défini à l’aide du méridien astronomique. Votre jeu de données SIGpossède un système de coordonnées où le nord diffère de 0 degré,2 minutes et 3 secondes du nord véritable. Au lieu de parcourir lesnotes de terrain et de convertir manuellement les mesures,vous pouvez définir un décalage de direction pour corrigerautomatiquement les angles au fur et à mesure de leur saisie.

Les corrections de direction et de distance peuvent être calculéesen mesurant les directions et distances entre des points de contrôledu SIG et en les comparant aux directions et distances mesuréessur le terrain, comme indiqué sur un plan d’étude.


Définition d’un facteur deconversion de distancedes mesures



3. Cochez la case Correctiondes mesures.

4. Tapez un facteur deconversion des distancesmesurées sur le terrain(distance terrestre) endistances dans le SIG(distance de grille).

5. Cliquez sur OK.

Utilisation d’unecorrection desmesuresVous pouvez définir des facteursde conversion de distance et dedirection pour pouvoir corrigerles écarts entre le système decoordonnées de votre SIG et lesangles et distances mesurés parun géomètre sur le terrain.

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Définition d’un décalageangulaire des mesures



3. Cochez la case Correctiondes mesures.

4. Entrez le nombre d’unitéssouhaité dans la zone detexte Décalage angulaire.

5. Cliquez sur OK.

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Définition des unités de distance pour les outils

Lors de la création d’entités à l’aide des outils d’édition dans ArcMap,vous devez parfois saisir des données enregistrées dans des unités dedistance différentes du système de coordonnées de vos données.

Par exemple, supposons que vos données soient dans un système decoordonnées State Plane et que les unités linéaires soient le piedd’arpentage américain (1 Foot_US = 0,3048006096 m). On vousfournit des mesures en pieds internationaux (1 pied = 0,3048 m). Aulieu de convertir toutes les mesures, vous pouvez taper l’abréviation dupied international, ft, après les mesures pour que les outils convertissentcorrectement la distance. Vous pouvez également modifier la définitiondu système de coordonnées du jeu de données pour utiliser les piedsinternationaux et taper les distances sans suffixe d’unité.

Chaque fois que vous saisissez une distance dans un des outilsd’édition, vous avez la possibilité de spécifier les unités linéaires àutiliser ou de saisir simplement une valeur, que l’outil interprète alorscomme valide dans les unités de mesure du système de coordonnéesdu jeu de données.

DANS CE CHAPITRE

121

Mise à jour de la topologie 4• Introduction à la topologie

• Règles de topologie, erreurs etexceptions

• Mise à jour des entités d’unetopologie

• Ajout de la topologie à une barred’outils

• Création de la topologie d’une carte

• Modification d’une géométriepartagée

• Reconstruction de la mémoirecache de topologie

• Utilisation d’une construction pourcréer des éléments de topologie

• Modification de la symbologie deserreurs et des entités de topologie

• Validation des modifications d’unetopologie

• Création de nouvelles entités àpartir d’entités existantes

ArcMap permet de modifier, outre les entités simples, des ensembles d’entitésreliées par une topologie. Dans une géodatabase, une topologie contient desrègles qui définissent la manière dont les entités se partagent l’espace.

Les topologies permettent d’avoir en permanence des données spatiales d’unegrande qualité en garantissant que les entités respectent des règles de topologiesimples. Lors de la création d’une géodatabase avec une topologie, vous définissezles classes d’entités qui participent à la topologie et vous définissez des règlesqui contrôlent quand et comment les entités peuvent partager une géométrie. Parexemple, dans une géodatabase d’états et de lignes de côtes, vous devez avoirune règle interdisant la superposition des polygones entre eux et une autre règlestipulant que la ligne de côte doit coïncider avec les frontières des états. Lors dela mise à jour consistant à faire coïncider les limites de l’état avec les lignes decôte, ces règles évitent de créer par inadvertance, des endroits où les états sesuperposent entre eux, ou encore des endroits où la bordure côtière d’un état necorrespond pas au dessin de la ligne de côte.

ArcMap permet de mettre à jour simultanément plusieurs entités à partir descouches qui partagent une géométrie. Seules les entités liées à la topologie serontaffectées par ces modifications. Par exemple, vous pouvez mettre à jour des limitesde terrain qui définissent une parcelle puis mettre à jour l’entité polygonale de laparcelle dans votre géodatabase. De la même manière, vous pouvez déplacer lemilieu d’une route, et en même temps, mettre à jour tous les itinéraires de bus quisuivent cette route. De ce point de vue, la mise à jour des topologies s’apparentequelque peu à la mise à jour des entités d’un réseau géométrique. Toutefois lestopologies ont une richesse bien supérieure à celle des réseaux quant auxpossibilités d’associations laissées aux entités polygones, arcs et points. ArcMapapporte de nouveaux outils de mise à jour et de gestion des topologies. AvecArcMap dans le cadre d’une licence ArcView, vous pouvez mettre à jour unegéométrie partagée en créant une topologie de carte.


La topologie dans le passé était perçue comme une structure dedonnées spatiales essentiellement destinée à garantir que les donnéesassociées entre elles forment un tissu topologique cohérent et propre.Les progrès enregistrés dans la mise au point de SIG orienté objet ontcontribué à élaborer une vision différente de la topologie. Lagéodatabase prend en charge une approche consistant à modéliserune géographie qui intègre le comportement des différents typesd’entités et prend en charge différents types d’associations clés.Dans ce contexte, la topologie est un ensemble de règles et deliens ou d’associations qui, couplés à un ensemble d’outils et detechniques de mise à jour, permet à la géodatabase de modéliser plusprécisément les relations géométriques rencontrées dans le monde.

La topologie, présentée du point de vue du comportement des entités,permet de modéliser un ensemble plus malléable de relationsgéométriques que dans l’optique de la seule structure de données. Ellepermet aussi l’existence de relations topologiques entre un plus grandnombre d’entités discrètes à l’intérieur d’une classe d’entités. Dans cetteautre optique, la topologie peut encore servir à garantir que les donnéesforment un tissu topologique cohérent et propre; mais aussi pluslargement, elle permet de garantir que les entités respectent les règlesgéométriques dont le rôle est défini dans la base de données.

Pourquoi utiliser la topologie ?

La topologie a pour objectif fondamental de garantir la qualitédes données et de permettre aux bases de données d’offrir unereprésentation plus réaliste des entités géographiques. Une base dedonnées délimite un cadre à l’intérieur duquel les entités peuventavoir un comportement, tel que des sous-types, des valeurs pardéfaut, des domaines attributaires, des règles de validation et desrelations structurées avec des tables ou d’autres entités. Cecomportement permet de modéliser plus précisément le monde et deconserver une intégrité de référence entre différents objets d’unebase de données. La topologie peut être envisagée comme uneextension de ce cadre de conduite qui permet à l’utilisateur decontrôler les relations géométriques entre entités et de conserver

Qu’est-ce que la topologie ?

leur intégrité géométrique. A la différence d’autres comportementsd’entités, la gestion des règles de topologie s’exécute au niveau dela topologie et des jeux de données, et non pas au niveau desclasses d’entités individuelles.

Comment utiliser la topologie ?

A chaque utilisateur correspond une manière différente d’utiliser latopologie en fonction du rôle qui est le sien à l’intérieur d’uneorganisation mais aussi de la conception du SIG et de son flux detravail de gestion.

Au départ, la création d’une topologie nécessite un concepteur degéodatabase. Une topologie organise les relations spatiales entredes entités d’un ensemble de classes d’entités. Le concepteuranalyse les besoins de modélisation des données d’uneorganisation, identifie les relations topologiques clés requises dansune géodatabase et définit les règles qui vont limiter les relationstopologiques des différentes entités.

Une fois les classes d’entités ajoutées et les règles définies, latopologie est validée. Les gestionnaires de la qualité des donnéesutilisent les outils de topologie pour analyser, visualiser, produiredes rapports et, si nécessaire, réparer l’intégrité spatiale de la basede données après sa création initiale ou après une mise à jour. Lesutilisateurs disposent d’un ensemble de règles de validation pourles entités « topologiquement » liées. Ils disposent aussi d’unensemble d’outils de mise à jour afin de rechercher et de réparerdes violations d’intégrité.

Au fil de son utilisation et de son existence, la géodatabase s’enrichitde nouvelles entités tandis que des entités existantes sont modifiées.Les éditeurs de données mettent à jour des entités dans lagéodatabase et utilisent les outils de topologie pour construire et gérerles relations entre les entités, dans le cadre des contraintes imposéespar le concepteur de la base de données. En fonction du flux de travailde votre organisation, la topologie peut être validée à la fin de chaquesession de mise à jour ou conformément à une planification.

MISE À JOUR DE LA TOPOLOGIE 123

Fonctions de base des éditeurs de données

Les topologies stockent trois ensembles de paramètres à savoir desrègles, des classements et une tolérance d’agrégat. Lors de la miseà jour d’une géodatabase, il n’est généralement pas nécessaire demodifier ces paramètres, mais vous devez les connaître, notammentles règles.

Les topologies conservent aussi une couche d’entité qui stockedes zones à valider, des erreurs et des exceptions. Elles permettentde conserver la qualité des données de votre topologie.

Les sections ci-après décrivent chacun de ces paramètres etconcepts de manière plus détaillée.

Règles

Les Règles définissent les relations spatiales autorisées entreles entités. Les règles définies pour une topologie régissent lesrelations des entités autorisées à l’intérieur d’une classe

d’entités, entre des entités de différentes classes d’entités ouentre des sous-types d’entités.

La validation initiale de la topologie vérifie la totalité des entitéspar rapport à la totalité des règles. La vérification initiale peutprendre un certain temps, mais les vérifications suivantesconcernent uniquement les zones modifiées : les zones à valider.

Tolérance d’agrégat

La tolérance d’agrégat définit la valeur de proximité à laquelleles sommets sont considérés comme sommets coïncidents et limitela distance de déplacement des entités pendant la validation. Latolérance d’agrégat est la distance minimale entre des sommetsd’entités qui ne sont pas coïncidentes. Les sommets qui sontcompris dans la tolérance d’agrégat sont définis comme étantcoïncidents et sont capturés ensemble. La tolérance d’agrégat est

généralement une toute petite distance réelle destinée à minimiserle déplacement des entités correctement positionnées.

Classements

Les classements contrôlent les entités pouvant être déplacées versd’autres entités lors d’une capture de topologie conjointe pendantune validation. Les classements définis pour des classes d’entitésdans la topologie contrôlent les classe d’entités qui seront déplacées

Lorsque vous validez une topologie, les entités comprises dans latolérance d’agrégat sont capturées ensemble.

Exemple d’une règle « Ne doivent pas se superposer » appliquée auxpolygones et aux lignes. Sur le polygone et sur la ligne, les endroits où larègle est violée sont en rouge. Ils sont stockés dans la topologie en tantqu’erreurs d’entités. De telles règles s’appliquent à des entités d’unemême classe d’entités, à des paires de classes d’entités ou à des sous-types


Lorsque différentes classes d’entités ont différents niveaux defiabilité intrinsèque, un niveau correspondant par exemple auxdonnées obtenues par levé ou par un système GPS (globalpositioning system) différentiel et un autre correspondant à unenumérisation à partir de sources moins précises ou par GPS noncorrigé, les classements vous permettent de garantir que dessommets positionnés « en toute fiabilité » ne sont pas capturés etalignés sur des emplacements de sommets moins fiables. Lessommets des entités de classement inférieur sont alignés surl’emplacement des sommets de classement supérieur, s’ils sontcompris dans la tolérance d’agrégat. Les emplacements dessommets de même classement sont géométriquement moyennéslorsqu’ils sont compris dans la tolérance d’agrégat.

Classes d’entités maintenues par une topologie

Au lieu de stocker des informations topologiques de toutes lesentités, la topologie découvre ces relations lorsque les informationssont demandées, comme, par exemple, lorsque vous effectuezune mise à jour en utilisant l’outil Mise à jour de la topologie. Latopologie stocke certaines couches d’entités qui lui permettent desuivre efficacement les emplacements où la topologie est susceptibled’avoir été violée pendant la mise à jour – zones à valider – et lesentités qui sont réputées violer des règles topologiques après unevalidation, à savoir des entités d’erreurs. Certaines erreurs sontacceptables, auquel cas les entités d’erreurs sont marquées etstockées comme exceptions.

Zones à valider

Les zones à valider sont des zones ayant été modifiées, mises à jour ouaffectées par l’ajout ou la suppression d’entités. Elles permettent à latopologie de limiter la zone à vérifier pour rechercher d’éventuelleserreurs topologiques pendant la validation de la topologie. Ellessuivent les emplacements où les règles de topologie sont susceptiblesd’avoir été violées pendant la mise à jour. Il est ainsi possible devalider après la mise à jour des parties sélectionnées de la topologieplutôt que la topologie entière.

Lorsque vous validez une topologie, les classements des classesd’entités de la topologie contrôlent la manière dont s’effectue la captureconjointe des entités. Les entités de classement inférieur s’alignent surles entités de classement supérieur. Les entités de même niveau declassement s’alignent sur la moyenne géométrique de leurs positions.

Lorsque vous modifiez des entités d’une topologie, la topologie crée unezone à valider pour marquer la zone à vérifier afin de rechercherd’éventuelles violations des règles de topologie.


Lorsque vous validez une topologie, les entités qui violent les règles sontmarquées comme entités d’erreurs. Vous pouvez modifier les entités pourcorriger les erreurs ou marquer les erreurs comme exceptions. Dans cetexemple, les entités linéaires rues ne peuvent avoir de nœuds pendantspuisque ce sont des extrémités qui ne se connectent pas à d’autres entitésrues. Comme les rues en cul-de-sac constituent une exception légitimeà cette règle, elles peuvent être marquées comme exceptions dans latopologie. Le reste des erreurs doit être corrigé en modifiant les entités rues.

Les zones à valider sont créées lorsque:

• Une entité est créée ou supprimée

• La géométrie d’une entité est modifiée

• Le sous-type d’une entité est modifié.

• Des versions sont réconciliées.

• Les propriétés de la topologie sont modifiées.

Les zones à valider sont stockées dans la topologie en tant qu’entitésimple , chaque nouvelle zone à valider étant jointe à la zone à validerexistante et chaque zone ayant été validée en est supprimée.

Erreurs et exceptions

Les erreurs et les exceptions sont stockées en tant qu’entitésdans la couche topologique et permettent d’afficher et de gérerles cas où les entités ne respectent pas les règles de topologie.Les entités d’erreurs enregistrent les endroits où des erreurs

topologiques ont été découvertes pendant la validation.Certaines erreurs sont acceptables, auquel cas les entitésd’erreurs sont marquées comme exceptions.

ArcMap et ArcCatalog permettent de créer un rapport du nombretotal d’erreurs et d’exceptions pour les classes d’entités de votretopologie. Vous pouvez utiliser le rapport du nombre d’entitésd’erreurs comme mesure de la qualité des données d’un jeude données topologiques. L’Inspecteur d’erreurs dans ArcMappermet de sélectionner différents types d’erreurs et d’effectuerun zoom sur des erreurs individuelles. Vous pouvez corriger deserreurs de topologie en modifiant les entités qui violent les règlesde topologie. Après avoir validé les modifications, l’erreur estsupprimée de la topologie.


Règles de topologie

Les entités d’une géodatabase peuvent être soumises à denombreuses règles de topologie. Une géodatabase bien conçuecomporte exclusivement les règles de topologie qui définissentles relations spatiales clés nécessaires à une organisation.

Certaines règles de topologie régissent les relations des entités àl’intérieur d’une catégorie d’entités donnée, tandis que d’autresgouvernent les relations entre les entités de deux classesd’entités différentes. Les règles de topologie peuvent égalementêtre établies entre des sous-types d’entités de l’une ou l’autredes classes d’entités. Par exemple, une règle de topologie peutstipuler que les entités rues doivent être connectées à d’autresentités rues à leurs deux extrémités, sauf dans le cas où les ruesappartiennent aux sous-types cul-de-sac ou impasse.

Certaines des principales règles de topologie sont présentées ci-après.

Règles polygonales

Ne doivent pas se superposer

Conformément à cette règle, l’intérieur des polygones d’une mêmeclasse d’entités ne doit pas se superposer à d’autres. Lespolygones peuvent partager des limites ou des sommets. Cetterègle s’utilise lorsqu’une zone ne peut appartenir à deux ouplusieurs polygones. Elle permet de modéliser des limitesadministratives, comme des zones de codes postaux ou descirconscriptions électorales, et des classements de zones quis’excluent mutuellement, comme les types de couvertures ou lesmodelés du terrain.

Ne doivent pas avoir de discontinuités

Conformément à cette règle, il ne doit pas y avoir d’espaces vides àl’intérieur des polygones ou entre des polygones adjacents. Lespolygones partagent des limites, des sommets ou des surfacesinternes. Mais ils peuvent aussi être totalement disjoints. Cette règles’utilise lorsque des polygones ou des blocs de polygones contigusne doivent pas comporter d’espace vide entre eux. Elle permet demodéliser le plan de propriété des terrains, comme dans un tissu de

parcelles, où une surface donnée est totalement affectée, sous formede lots, aux différents polygones, mais où les zones externes – desroutes, par exemple – ne sont pas modélisées dans la même classed’entités.

Ne doivent pas se superposer à

Conformément à cette règle, l’intérieur des polygones d’une classed’entités ne doit pas se superposer avec l’intérieur des polygonesd’une autre classe d’entités. Les polygones des deux classesd’entités peuvent partager des limites ou des sommets ou êtrecomplètement disjoints. Cette règle s’utilise lorsqu’une zone ne peutappartenir à deux classes d’entités distinctes. Elle permet decombiner deux systèmes de classement de zones s’excluantmutuellement tels que les types Plans d’eau et Zones réservées auximplantations, où des surfaces définies dans la classe Zonesréservées aux implantations ne peuvent être aussi définies dans laclasse Plans d’eau et inversement.

Doivent être recouvertes par les entités de

Conformément à cette règle, un polygone d’une classe d’entitésdoit partager la totalité de sa zone avec des polygones d’une autreclasse d’entités. Une zone de la première classe d’entités qui n’estpas recouverte par des polygones de l’autre classe d’entités estune erreur. Cette règle s’utilise lorsqu’une zone d’un type, parexemple un état, doit être complètement recouverte par des zonesd’un autre type, par exemple, par des départements.

Doivent se recouvrir les unes les autres

Conformément à cette règle, les polygones d’une classe d’entitésdoivent partager la totalité de leur zone avec les polygones d’une autreclasse d’entités. Les polygones peuvent partager des limites ou dessommets. Toute zone définie dans l’une quelconque des classesd’entités qui n’est pas partagée avec l’autre est une erreur. Cette règles’utilise lorsque deux systèmes de classement sont utilisés pour la mêmezone géographique et qu’un point donné dans un système doit aussiêtre défini dans l’autre. Ce cas se produit avec des jeux de donnéeshiérarchiques imbriqués, comme avec des îlots de recensements et desgroupes d’îlots ou avec de petites lignes de partage des eaux et degrands systèmes hydrographiques. Cette règle s’applique aussi à desclasses d’entités polygonales sans relation hiérarchique, tels que typede sol et pente.


Doivent être recouvertes par

Conformément à cette règle, les polygones d’une seule classed’entités doivent être contenus à l’intérieur des polygones d’uneautre classe d’entités. Les polygones peuvent partager des limitesou des sommets. Toute zone définie dans la classe d’entitéscontenue doit être recouverte par une zone de la classe d’entitéscouvrante. Cette règle s’utilise lorsque des entités d’un type donnédoivent se trouver à l’intérieur des entités d’un autre type. Elles’avère utile pour modéliser des zones qui sont des sous-ensemblesenvironnants plus importants, tels que des unités de gestion àl’intérieur des forêts ou des îlots à l’intérieur de groupes d’îlots.

Les contours doivent être recouverts par

Conformément à cette règle, les contours des entités polygonalesdoivent être recouverts par des lignes d’une autre classe d’entités.Cette règle s’utilise lorsque des entités surfaciques doiventcomporter des entités linéaires qui délimitent le contour des surfaces,c’est-à-dire, en règle générale lorsque les surfaces ont un jeud’attributs et que leurs contours ont d’autres attributs. Par exemple,les parcelles peuvent être stockées dans la géodatabase avec leurscontours. Chaque parcelle peut être définie au moyen d’une ou deplusieurs entités linéaires qui stockent des informations relatives àleur longueur ou à la date de réalisation des levés, et il doit y avoirune correspondance précise entre chaque parcelle et son contour.

Les contours de polygones doivent être recouverts par lescontours de

Conformément à cette règle, les contours des entités polygonalesd’une classe d’entités doivent être recouverts par les contours desentités polygonales d’une autre classe d’entités. Elle est utile lorsquedes entités polygonales d’une classe d’entités, telles que des sous-divisions, sont composées de plusieurs polygones d’une autre classe,tels que des parcelles et que les contours partagés doivent êtrealignés.

Contiennent les points

Conformément à cette règle, un polygone d’une classe d’entitéscontient au moins un point d’une autre classe d’entités. Les pointsdoivent être situés à l’intérieur du polygone et non pas sur soncontour. Cette règle s’avère utile lorsque chaque polygone doitavoir au moins un point associé, comme lorsque des parcellesdoivent comporter un point d’adresse.

Règles linéaires

Ne doivent pas se superposer

Conformément à cette règle, les lignes ne doivent pas sesuperposer avec des lignes de la même classe d’entités. Cetterègle s’utilise lorsque des segments de ligne ne doivent pas êtredupliqués, par exemple, dans une classe d’entités cours d’eaux.Les lignes peuvent se couper ou former des intersections maiselles ne peuvent avoir des segments en commun.


Ne doivent pas être sécantes

Conformément à cette règle, les entités linéaires d’une mêmeclasse d’entités ne peuvent ni se couper ni se superposer entreelles. Elles peuvent partager des extrémités. Cette règle s’utilisepour des lignes de contours qui ne doivent jamais se couper entreelles ou lorsque l’intersection des lignes doit se produireexclusivement aux extrémités, comme dans le cas des segments etdes intersections des rues.

Ne doivent pas avoir de nœuds pendants

Conformément à cette règle, une entité linéaire doit toucher deslignes issues de la même classe d’entités aux deux extrémités. Uneextrémité qui n’est pas connectée à une autre ligne s’appelle unnœud pendant. Cette règle s’utilise lorsque des entités linéairesdoivent former des boucles fermées, par exemple lorsqu’ellesdéfinissent les contours des entités polygonales. Elle s’utiliseaussi lorsque des lignes se connectent généralement à d’autreslignes, comme les rues par exemple. Dans ce cas, il est parfoisnécessaire de faire appel aux exceptions lorsque la règle estoccasionnellement violée, comme avec les segments des rues encul-de-sac ou en impasse.

Ne doivent pas avoir de pseudo-nœuds

Conformément à cette règle, une ligne doit se connecter à aumoins deux autres lignes à chaque extrémité. Les lignes qui seconnectent à une autre ligne ou à elles-mêmes, sont dites avoirdes pseudo-noeuds. Cette règle s’utilise lorsque des entitéslinéaires doivent former des boucles fermées, comme lorsqu’ellesdéfinissent les contours des polygones ou lorsque des entitéslinéaires doivent logiquement se connecter à deux autres entitéslinéaires à chaque extrémité, comme dans le cas des segmentsd’un réseau hydrographique, les exceptions étant, quant à elles,marquées pour les extrémités à la source des cours d’eau.

Ne doivent pas être sécantes ou superposées

Conformément à cette règle, une ligne dans une classe d’entitésdoit uniquement toucher d’autres lignes de la même classed’entités aux extrémités. Tout segment de ligne dans lequel desentités se superposent ou toute intersection autre qu’à uneextrémité, est une erreur. Cette règle s’avère utilise lorsque deslignes doivent uniquement être connectées à des extrémités,comme dans le cas de des limites de terrain, qui doiventfractionner (uniquement se connecter aux extrémités de) deslimites de terrain et qui ne peuvent se superposer.

Ne doivent pas se superposer à

Conformément à cette règle, une ligne d’une classe d’entités nedoit pas se superposer à des entités linéaires d’une autre classed’entités. Cette règle s’utilise lorsque des entités linéaires nepeuvent pas partager le même espace : par exemple, lorsque desroutes ne doivent pas se superposer à des voies de chemin de ferou lorsque des sous-types dépression des lignes de contours nedoivent pas se superposer à d’autres lignes de contour.

Doivent être recouvertes par les entités de

Conformément à cette règle, les lignes d’une classe d’entitésdoivent être recouvertes par les lignes d’une autre classed’entités. Cette règle s’avère utile pour modeler des ligneslogiquement différentes mais spatialement coïncidentes, commeles itinéraires et les rues. Une classe d’entités itinéraire de bus nedoit pas s’écarter des rues définies dans la classe d’entités rues.

Doivent être recouvertes par les contours de

Conformément à cette règle, les lignes doivent être recouvertespar les contours des entités surfaciques. Cette règle s’avère utilepour modeler les lignes, telles que les lignes représentant leslimites des parcelles, qui doivent coïncider avec les contours despolygones, correspondant par exemple aux parcelles.


Les extrémités doivent être recouvertes par

Conformément à cette règle, les extrémités des entités linéairesdoivent être recouvertes par des entités ponctuelles d’une autreclasse d’entités. Cette règle s’avère utile pour modéliser dessituations suivantes : lorsque les extrémités de deux tuyauxdoivent coïncider avec un raccord ou encore lorsqu’un carrefourroutier doit se trouver à la jonction de deux rues.

Ne doivent pas s’auto-superposer

Conformément à cette règle, les entités linéaires ne doivent pas sesuperposer à elles-mêmes. Les lignes peuvent être sécantes ou êtreen contact mais elles ne peuvent avoir de segments coïncidents.Cette règle s’avère utile pour des entités telles que les rues, où lessegments peuvent être en contact, dans une boucle, mais où lamême rue ne peut emprunter deux fois le même parcours.

Ne doivent pas être auto-sécantes

Conformément à cette règle, les entités linéaires ne doivent pas secouper ni se superposer à elles-mêmes. Cette règle s’avère utilepour des lignes, telles que des courbes de niveau, qui ne peuventêtre auto-sécantes.

Doivent être en une partie

Conformément à cette règle, les lignes ne doivent comporterqu’une seule partie. Cette règle est très utile lorsque des entitéslinéaires, telles que les autoroutes d’un réseau routier, ne peuventcomporter plusieurs parties.

Règles ponctuelles

Doivent être recouvertes par les contours de

Conformément à cette règle, les points doivent être placés sur lescontours des entités surfaciques. Cette règle s’avère utile lorsqueles entités ponctuelles servent à étayer la modélisation descontours, comme par exemple lorsque des marqueurs de contourdoivent être placés sur les limites de certaines surfaces.

Doivent être strictement incluses dans

Conformément à cette règle, les points doivent être inclus dansles entités surfaciques. Cette règle s’avère utile lorsque desentités ponctuelles sont liées à des polygones, comme des puitset des champs de forage ou des points d’adresse et des parcelles.

Doivent être recouvertes par les extrémités de

Conformément à cette règle, les points d’une classe d’entitésdoivent être recouverts par les extrémités des lignes d’une autreclasse d’entités. Cette règle est semblable à la règle linéaire ‘Lesextrémités doivent être recouvertes par’ ; toutefois, en cas deviolation, l’entité ponctuelle est marquée comme erreur et non pasl’entité linéaire. Les marqueurs des angles des contours peuventêtre contraints à être recouverts par les extrémités des lignes decontour.

Les points doivent être recouverts par les lignes

Conformément à cette règle, les points d’une classe d’entitésdoivent être recouverts par les lignes d’une autre classe d’entités.Cette règle ne contraint pas la partie couvrante de la ligne à êtreun point d’extrémité. Cette règle s’avère utile pour les points quise trouvent sur un ensemble de lignes, comme les panneaux designalisation le long des autoroutes.


Erreurs et exceptions de topologie

Les règles de topologie peuvent représenter une situation idéale,mais les géodatabases sont assez souples pour gérer des exceptionsaux règles rencontrées dans les données du monde réel. Lesviolations des règles de topologie sont tout d’abord stockées commedes erreurs dans la topologie, mais le cas échéant, vous pouvez lesmarquer en tant qu’exceptions. Les exceptions sont ensuite ignorées ;toutefois, il est possible de leur donner de nouveau un statutd’erreur, si vous décidez qu’elles sont vraiment des erreurs et que lesentités doivent être modifiées pour satisfaire aux règles de topologie.

Les exceptions sont une partie normale du processus de créationet de mise à jour des données. La géodatabase d’un expert enévaluation immobilière doit avoir une règle de topologie selonlaquelle les entités de bâtiments ne doivent pas couper les lignesdes parcelles pour pouvoir contrôler la qualité de la numérisationdes bâtiments. La règle doit être vraie pour 90 pour-cent des

entités de la ville mais elle peut être violée quand il existe uneforte densité de bâtiments commerciaux et à usage d’habitation.

Si vous créez une entité bâtiment qui coupe des limites de parcelles,elle est identifiée comme erreur lorsque vous validez votre travailmais vous pouvez la marquer comme une exception légitime à larègle. De la même manière, la base de donnée des rues d’une villepeut comporter une règle selon laquelle l’axe des chaussées doit êtreconnecté aux deux extrémités à d’autres axes de chaussée. Cetterègle garantit normalement que les segments de rues sontcorrectement alignés sur d’autres segments de rue lors de l’édition.Toutefois, aux limites de la ville, il n’existe pas toujours de donnéesde rues. Dans ce cas, les extrémités externes des rues ne doivent pasêtre alignées sur d’autres axes de rue. Ces cas doivent être marquéscomme des exceptions, tout en vous permettant de continuerd’utiliser la règle pour rechercher les cas où la numérisation oul’édition des rues s’est révélée incorrecte.

Les erreurs de topologie peuvent être corrigées rapidement enutilisant l’outil Corriger les erreurs topologiques. Cet outil permetde sélectionner une erreur topologique et de choisir un correctifparmi ceux prédéfinis pour ce type d’erreur. Il permet aussid’obtenir des informations complémentaires sur la règle violéeou de marquer l’erreur en tant qu’exception.


Lorsque vous créez une topologie, vous définissez les classesd’entités qui font partie de la topologie. Ces classes d’entités peuventcontenir des entités ponctuelles, linéaires ou polygonales. Dans latopologie, les relations géométriques interviennent entre les partiesdes entités plutôt qu’entre les entités proprement dites. Les polygonesdans une topologie comportent des limites qui définissent le contourdes polygones, des nœuds correspondant aux points d’intersectiondes limites, et des sommets qui définissent la forme des limites.

De la même manière, les entités linéaires comportent une limite, aumoins deux nœuds qui définissent les points d’extrémité de la limiteet les sommets qui définissent la forme de la limite. Les entitésponctuelles se comportent comme des nœuds lorsqu’elles coïncidentavec d’autres entités dans une topologie.

Eléments géométriques d’une topologie

Lorsque les entités de la topologie ont des parties sécantes ouqui se superposent, les limites et les nœuds définissant cesparties sont mitoyens.

Exceptions pour la règle "Ne doivent pas avoir de noeudspendants. L’outil Mise à jour de la topologie permet de déplacer desnœuds et la totalité des limites qui sont mitoyennes entre des entitésou de déplacer les sommets qui définissent la forme des limitesmitoyennes.

Les entités polygonales partagent des limites et des nœuds, en rouge.Les sommets définissent la forme des limites, en vert.

Les entités linéaires partagent des limites et des nœuds, en rouge.Les sommets définissent la forme des limites, en vert.

Le déplacement d’un nœud étire les limites connectées pour leurpermettre de rester connectées. Le déplacement d’une limite avecses nœuds d’extrémité étire aussi les limites attachées aux nœuds.


Désactivez une entité avec l’outil Entités mitoyennes pour dissocier unélément topologique partagé, de cette entité.

Le déplacement d’une limite qui définit une seule entité sans sélectionnerses nœuds déplace la limite entière sans conserver les connexions entreles nœuds. Le déplacement d’une limite fractionnée qui fait partie d’uneseule entité ne conserve pas la connectivité à l’intérieur de l’entité.

Lorsque vous déplacez des nœuds ou des sommets, vous pouvezopter pour un étirement du segment entre le sommet et le sommetle plus proche ou pour un étirement proportionnel de la totalité dela limite.

Vous pouvez aussi temporairement ajouter de nouveaux nœudstopologiques pour fractionner des limites. Cette action permetsimplement de fractionner la limite de topologie, elle ne fractionnepas l’entité en deux entités. Elle s’avère utile pour déplacer unepartie d’une limite sans affecter les autres parties de la limite oupour créer un nouveau nœud sur lequel s’aligner.

Vous pouvez opter pour un étirement proportionnel de la géométrie del’entité lorsque vous déplacez un sommet ou simplement pour unétirement des segments entre le sommet et les nouveaux sommets.

Vous pouvez rechercher les entités qui partagent un élément detopologie donné et contrôler si cette géométrie doit être considéréecomme étant mitoyenne, avec l’outil Afficher les entités mitoyennes.

Si deux ou plusieurs entités partagent une limite ou un nœud, l’outilAfficher les entités mitoyennes permet de désactiver le partage degéométrie pour une ou plusieurs entités. Les modifications apportéesà cette limite ou à ce nœud topologique avec l’outil Mise à jour de latopologie affectent exclusivement les entités pour lesquelles lagéométrie est toujours partagée.


La mise à jour des entités qui participent à une topologie estsemblable à la mise à jour des entités simples : en réalité, les outilsde construction utilisés pour créer de nouvelles entités sont lesmêmes, que ces dernières participent ou non à une topologie.Pour modifier une entité qui partage des limites ou des nœudsavec d’autres entités topologiques, utilisez l’outil Mise à jour dela topologie.

Il existe plusieurs méthodes destinées à la mise à jour des entitéstopologiques. Par exemple, supposons que vous gériez une forêtet que votre jeu de données pour la forêt comporte deux classesd’entités polygonales : Forêt et Type forestier.

Les polygones Forêt et Type forestier sont liés par trois règlesde topologie : Les Types forestiers ne doivent pas se superposerentre eux, la Forêt doit recouvrir les Types forestiers et les Typesforestiers ne doivent pas recouvrir la Forêt. Ces règles évitent lasuperposition des polygones Type forestier étant donnéqu’aucune surface ne peut appartenir simultanément à deux Typesforestiers. Elles évitent aussi aux Types forestiers de déborder dela limite officielle de l’ensemble de la forêt ou à la limite de la forêtde recouvrir une surface qui n’est pas dans un Type forestier.

Supposons que vous mettiez à jour la classe d’entités Typeforestier et qu’il vous faille modifier le contour entre deux Typesforestiers. Vous pouvez à l’aide de l’outil Mise à jour de latopologie, commencer par sélectionner la limite mitoyenne ; vousdouble-cliquez ensuite sur la limite afin d’en éditer les sommets,

Mise à jour des entités d’une topologie

Contour dupolygone Forêt.

Polygone Type forestier.

Limite mitoyenne duType forestier.

Déplacement dessommets de la limitemitoyenne des Typesforestiers avec l’outilMise à jour de latopologie.

Les deux polygonesType forestier ontleur contour mis àjour au niveau de lalimite mitoyenne.

A l’aide de l’outil Mise à jour de la topologie, modifiez une limite mitoyenneentre deux polygones de la même classe d’entités.

Polygone Forêt Polygones Type forestier

puis vous ajoutez, supprimez et déplacez les sommets le long decette limite afin de les faire correspondre à la nouvelle limite.

Vous pouvez aussi utiliser l’outil Mise à jour de la topologie pourmodifier les limites mitoyennes entres les polygones Typeforestier et Forêt. Par exemple, supposons que la limite actuelle dela forêt se situe à 150 mètres à l’Est et 20 mètres au Nord du coinoù deux entités Type forestier se rejoignent à la limite de la forêt.Vous pouvez, à l’aide de l’outil Mise à jour de la topologie,sélectionner le nœud à cette intersection d’entités et le faireglisser jusqu’à son emplacement correct.


Vous pouvez aussi utiliser les outils de mise à jour normaux afin demettre à jour les classes d’entités individuelles qui participent à latopologie. Lorsque vous mettez à jour des entités topologiquementliées en utilisant des outils de mise à jour non topologiques, vous nemodifiez qu’une entité à la fois. Si cette entité partage une géométrieavec d’autres entités, la géométrie partagée n’est pas mise à jour. Siles modifications créent une violation des règles de topologie, vouspouvez utiliser l’Inspecter d’erreurs pour rechercher l’erreur et l’outilCorriger les erreurs topologiques pour corriger l’erreur. Il existeplusieurs méthodes prédéfinies permettant de corriger un type donnéd’erreurs topologiques. L’outil Corriger les erreurs topologiquespermet de cliquer avec le bouton droit sur une erreur et desélectionner le correctif à utiliser pour cette erreur.

Contour dupolygone Forêt.

Déplacez le nœudmitoyen avec l’outilMise à jour de latopologie.

Polygone Typeforestier.

Les deux polygonesType forestier et lepolygone Forêt ontleurs contours mis àjour au niveau deslimites mitoyennesconnectées aunoeud.

A l’aide de l’outil Mise à jour de la topologie, modifiez un nœud topologiquepartagé par deux polygones de la même classe d’entités et par untroisième polygone d’une autre classe d’entités. Vous pouvez déplacer lenœud à main levée ou par rapport à sa position actuelle ou encore à unemplacement absolu. Lors du déplacement du nœud, les limites qui luisont connectées, et qui appartiennent à la fois aux classes d’entitésForêt et Type forestier sont étirées de manière à rester connectées aunœud déplacé.

2) Validez les modifications.

1) Modifiez une entité avec un outil de mise à jour.

Après avoir validé lesmodifications, vous constatez

que le nouveau contourengendre une erreur parce que

le type forestier est superposéà un autre type forestier.

3) Utilisez l’outil Corriger leserreurs topologiques pourcombiner l’erreur à l’une desentités.

Vous pouvez aussi modifier des entités avec un outil d’édition nontopologique. Si les entités participent à une règle topologique, vous pouvezvalider la topologie pour identifier les erreurs éventuelles engendrées parvos modifications. Si la modification a créé une erreur, vous pouvez lacorriger à l’aide de l’outil Corriger les erreurs topologiques et de l’un descorrectifs d’erreurs topologiques prédéfinis. Le correctif met à jour lagéométrie partagée. vous pouvez aussi appliquer des modifications auxlimites mitoyennes en utilisant une construction avec les tâches de miseà jour Modifier la limite et Remodeler la limite.


1. Remodelage d’une limite avec la tâche de mise à jourRemodeler une limite et les outils Construction.

2. Terminer la construction.Toutes les entités quipartagent la limite sontmises à jour.

Vous pouvez utiliser les outils de l’Editeur et les tâches de mise à jourModifier la limite et Remodeler la limite pour mettre à jour simultanémentplusieurs entités ayant une limite mitoyenne.

Les tâches de mise à jour Modifier la limite et Remodeler la limitepermettent de mettre à jour, à l’aide d’une construction, la limitemitoyenne sélectionnée.


Il existe plusieurs méthodes permettant de corriger des erreurstopologiques, après les avoir identifiées. Vous pouvez sélectionnerl’erreur sur la carte avec l’outil Corriger les erreurs topologiques ouencore dans l’Inspecteur d’erreurs et appliquer l’un des correctifsaffichés dans le menu contextuel pour ce type d’erreur.

Aux différents types d’erreurs correspondent différents correctifsprédéfinis. Par exemple, une ligne comportant des nœudspendants peut être tronquée ou prolongée jusqu’à une autreligne. Les erreurs de superposition de polygones peuvent êtrecorrigées par une fusion dans l’un des polygones, unesoustraction au niveau des deux polygones ou par la créationd’une nouvelle entité polygonale distincte.

Les erreurs imputables à une violation des règles « doivent êtrerecouvertes par » peuvent être corrigées par la création d’unenouvelle entité ou par la suppression d’une entité.

Correction des erreurs polygonales


Voici les différentes procédures d’utilisation des outils topologiquespour créer de nouvelles entités à partir d’entités existantes. DansArcCatalog, vous pouvez créer une classe d’entités entièrementnouvelle à partir d’un jeu d’entités linéaires en entrée. Dans ArcMap,vous pouvez construire de nouvelles entités polygonales à partir del’intersection d’entités polygonales et linéaires existantessélectionnées ou encore créer de nouvelles entités linéaires enfractionnant des entités linéaires sélectionnées à leur intersection.

Création de polygones à partir de lignes dansArcCatalog

Dans ArcCatalog, l’outil Classe d’entités polygones à partir delignes prend une ou plusieurs classe d’entités polygonales oulinéaires d’un jeu de données d’entités et crée de nouvellesentités polygonales à partir des formes fermées qui sont définiespar l’intersection de toutes les lignes ou limites des polygones.

Vous pouvez utiliser une classe d’entités ponctuelle pourapporter des attributs aux nouveaux polygones. Si un point estcompris à l’intérieur de l’un des nouveaux polygones, lesattributs du point sont assignés au polygone.

Création de nouvelles entités avec les outils topologiques

Création des entités dans ArcMap

Dans ArcMap, l’outil Construire des entités crée de nouvellesentités dans la classe d’entités cible, à partir des entitéssélectionnées dans une ou plusieurs classe d’entités.

Il utilise les géométries en entrée des entités sélectionnées pourconstruire des polygones ou des lignes suivant les contours despolygones, en fonction de la géométrie de la classe d’entités cible.

Vous pouvez l’utiliser pour construire des polygones de parcellesà partir des entités linéaires – lots – sélectionnées ou les rivagesdes lacs à partir des entités polygonales – lacs – sélectionnées.

Les lignes sélectionnées peuvent devenir un polygone de la classed’entités cible.

Outil Construire des entités

Classe d’entités cible


Les entités polygonales sélectionnées peuvent devenir des entitéslinéaires dans la classe d’entités cible.

Vous pouvez aussi utiliser l’outil Planariser pour créer des entitéslinéaires distinctes à partir des entités linéaires qui sont encontact ou qui se coupent. Il s’avère utilise lorsque vous êtesconfronté à un travail d’approche non topologique numériséselon une structuration spaghetti ou importé à partir d’un dessinCAO (conception assistée par ordinateur).

Outil Planariser

Les entités linéaires sélectionnées peuvent être fractionnées en entitésdistinctes à l’endroit où elles touchent ou coupent d’autres entitéslinéaires sélectionnées.


1. Cliquez sur Editeur, pointezsur Autres outils, puis cliquezsur Topologie.

La barre d’outils Topologies’affiche.

Ajout de la barred’outils TopologieLa barre d’outils Topologiecontient des outils permettant decréer une topologie de carteainsi que des outils permettantde travailler avec des topologiesde carte et de géodatabase.

Ces outils fonctionnent dans lecadre d’une session de mise àjour et ne sont disponiblesqu’après son ouverture.

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Une topologie de carte est une topologie simple que vous pouvezimposer à des entités simples d’une carte pendant une session demise à jour. Une topologie de carte vous permet de mettre à joursimultanément des entités simples qui se superposent ou setouchent entre elles à l’aide des outils de la barre d’outils Topologie.Les entités peuvent être contenues dans une ou plusieurs classesd’entités et peuvent avoir des géométries différentes. Les entitéslinéaires et les contours des entités polygonales deviennent deslimites topologiques lorsque vous créez une topologie de carte.Les entités ponctuelles, les extrémités des lignes ainsi que lespoints d’intersection des limites deviennent des nœuds.

La création d’une topologie de carte comporte deux étapes. Toutd’abord, vous devez définir les classes d’entités de la carte quiparticipent à la topologie, puis vous devez spécifier une toléranced’agrégat. La tolérance d’agrégat est la distance à l’intérieur delaquelle les entités sont considérées comme coïncidentes.

Après avoir créé une topologie de carte, vous pouvez, à l’aide del’outil Mise à jour de la topologie, mettre à jour les limites et les nœudspartagés par les entités. La mise à jour d’un nœud ou d’une limitepartagé(e) par deux ou plusieurs entités différentes se traduitpar la modification de chacune des entités. Vous pouvez ainsi déplacerune limite pour mettre à jour deux polygones Forêt ou déplacer lesommet d’un angle et mettre à jour plusieurs polygones de parcellesainsi que quelques limites parcellaires simultanément.

Une topologie de cartes peut être appliquée à des entités simplesd’un fichier de forme ou à des classes d’entités simples d’unegéodatabase. Les classes d’entités qui participent à la topologiede carte doivent se trouver dans le même dossier ou dans la mêmegéodatabase. Une topologie de carte ne peut être appliquée à desclasses d’entités qui participent à un réseau géométrique.

Si ArcMap dans le cadre d’une licence ArcView ne permet pas demettre à jour des topologies de géodatabases, il peut, néanmoins,être utilisé pour mettre à jour une topologie de carte.

Une topologie crée des relations topologiques entre les parties desentités qui coïncident entre elles. Vous pouvez sélectionner la

Concepts de la topologie de carte

distance ou une tolérance d’agrégat, qui définit la proximiténécessaire entre les limites et les sommets pour que ces dernierssoient considérés comme coïncidents. Vous pouvez aussi spécifierles classes d’entités devant participer à la topologie de carte.

Vous ne spécifiez aucune règle de topologie pour une topologiede carte. Toutes les limites ou les sommets des entités de latopologie de carte qui sont comprises à l’intérieur de la toléranced’agrégat sont considérés comme étant topologiquementpartagés. Vous mettez à jour des limites et sommets mitoyensdans une topologie de carte de la même manière et avec les mêmeoutils que pour une topologie de géodatabase. La topologiede carte étant dépourvue de règle de topologie, il n’est pasnécessaire de la valider ni de créer des entités d’erreurs.

Au niveau de la géométrie, les topologies concernent des relationssimples, telles que des coïncidences, des couvertures et desintersections entre des tables géométriques primitives quiconstituent les entités. Alors que toutes les géométries des classesd’entités simples – point, ligne, polygone – peuvent participer auxtopologies, les types de géométrie, en interne, sur lesquels il estpossible d’intervenir à la mise à jour de topologie sont les suivants :

• Limites : segments de ligne qui définissent des lignes ou despolygones.

• Nœuds : points à l’extrémité d’une limite.

• Pseudo-nœuds : nœud connectant uniquement deux limites oufractionnement logique défini dans la mémoire cache detopologie au cours d’une mise à jour. Ce dernier type depseudo-nœuds se transforme en sommet après une mise à jour.

Lorsque vous créez une topologie de carte, la tolérance d’agrégatque vous définissez permet de déterminer les parties des entitésqui coïncident entre elles ainsi que les limites et les nœuds quisont mitoyens dans la topologie. La tolérance d’agrégat est enrègle générale, une distance au sol réelle extrêmement petite. La définition d’une grande tolérance d’agrégat peut se traduirepar des entités réduites ou déformées lorsque les sommets àl’intérieur d’une entité donnée s’alignent les uns sur les autres.


1. Dans la barre d’outils Editeur,cliquez sur Editeur, puis surOuvrir une session de miseà jour.

2. Cliquez sur la géodatabaseou le dossier sourcecontenant les donnéesà mettre à jour.

3. Cliquez sur OK.

4. Dans la barre d’outilsTopologie, cliquez sur lebouton Topologie de carte. u

Création d’unetopologie decarteLorsque les données pourlesquelles vous souhaitez créerune topologie de carte sont surune carte et que vous avezouvert la session d’édition,vous pouvez créer unetopologie de carte.

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5. Cochez les classe d’entitésqui doivent participer à latopologie de carte.

Les classe d’entités annotation,dimension et relation ainsi queles classe d’entités d’un réseaugéométrique ou d’unetopologie d’une géodatabasene peuvent être ajoutées à unetopologie de carte.

6. Vous pouvez éventuellementdéfinir une toléranced’agrégat pour la topologiede carte.

La tolérance d’agrégat pardéfaut est la toléranced’agrégat minimale possible.L’augmentation de la valeur dela tolérance d’agrégat peutentraîner une augmentationdu nombre d’entités capturéesensemble ou considéréescomme coïncidentes, etréduire de ce fait la précisionspatiale de vos données.

7. Cliquez sur OK.

8. Cliquez sur l’outil Mise à jourde la topologie, puis sur lesentités à mettre à jour enfaisant appel à la topologiede carte.

La topologie de carte estcrée pour les entités visiblesde l’étendue actuellementaffichée.

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Mise à jour de lagéométriepartagéeL’outil Mise à jour de la topologiepermet de sélectionner et demodifier des limites et des nœudssusceptibles d’être partagés parplusieurs entités. Il permet ausside sélectionner et de déplacer dessommets individuels définissant laforme des limites. Lorsque vousdéplacez des sommets, des limitesou des nœuds avec l’outil Mise àjour de la topologie, toutes lesentités qui partagent le nœud ou lalimite sont mises à jour.

Sélection d’un nœud1. Cliquez sur l’outil Mise à jour

de la topologie dans la barred’outils Topologie.

2. Cliquez sur le nœud àsélectionner.

Pour être certain de ne passélectionner de limites, vousdevez maintenir la touche Nenfoncée pendant que voussélectionnez le nœud. Uneautre méthode permettant desélectionner facilement unnœud consiste à le délimiterpar un rectangle, tout enmaintenant la touche Nenfoncée.

Astuce

Ajout à une sélection detopologieAppuyez sur la touche Maj. tout ensélectionnant un nœud ou une limitepour les ajouter aux élémentstopologiques déjà sélectionnés.

Astuce

Sélection de nœudsuniquementPour sélectionner des nœuds,maintenez la touche N enfoncée touten cliquant sur le nœud ou tout en ledélimitant par un cadre avec l’outilMise à jour de la topologie.

Astuce

Sélection des limitesuniquementPour sélectionner des limites,maintenez la touche E enfoncée touten cliquant sur la limite ou tout en ladélimitant par un cadre avec l’outilMise à jour de la topologie.

Sélection d’une limite1. Cliquez sur l’outil Mise à jour


2. Cliquez sur la limite quevous souhaitez sélectionner.

Pour être certain de ne passélectionner de nœuds, vousdevez maintenir la touche Eenfoncée pendant que voussélectionnez la limite.

Déplacement d’un sommetsur une limite mitoyenne1. Cliquez sur l’outil Mise à jour


2. Double-cliquez sur la limitedont vous souhaitezdéplacer les sommets.

3. Cliquez et faites glisser lesommet à déplacer.

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Déplacement d’un nœud

1. Cliquez sur l’outil Mise à jourde la topologie dans la barred’outils Topologie.

2. Cliquez sur le nœud àdéplacer.

Pour être certain de ne passélectionner de limites, vousdevez maintenir la touche Nenfoncée pendant que voussélectionnez le nœud. Uneautre méthode permettant desélectionner facilement unnœud consiste à le délimiterpar un rectangle, tout enmaintenant la touche Nenfoncée.

3. Cliquez et faites glisser lenoeud à déplacer.

Lorsque vous déplacez un nœuddans une topologie, toutes leslimites qui lui sont connectées sontétirées afin de rester connectées aunœud. Lorsque vous déplacez unelimite, ses segments s’étirent pourmaintenir à leur emplacementantérieur les connexions auxnœuds d’extrémité. Vous pouvezparfois souhaiter déplacer unnœud et une limite connectéesans étirer l’autre limite connectée.Le déplacement d’un nœudd’extrémité partagé d’unelimite vous oblige à fractionnertemporairement la relationtopologique entre le nœud et lesautres limites mitoyennes, puis à larétablir. Cette opération s’appelleun Fractionnement-Déplacementdu nœud. Vous devez aligner lenœud sur une limite ou sur unautre nœud de topologie.

Déplacement d’une limite


2. Cliquez sur la limite àdéplacer.

3. Cliquez et faites glisser lalimite jusqu’à son nouvelemplacement. Les segmentsde la limite s’étirent pourmaintenir les connexionsavec les nœuds d’extrémitéde la limite à leursemplacements antérieurs,lorsqu’ils sont mitoyens.

Astuce

Etirement proportionnel dela géométrieVous pouvez choisir d’avoir unétirement proportionnel sur toute lagéométrie des entités lorsque vousdéplacez un sommet ou un nœud detopologie. Dans la boîte de dialogueOptions Editeur, cliquez sur l’ongletGénéral, puis cliquez sur la boîte dedialogue pour Etirerproportionnellement la géométrielorsque vous déplacez un sommet.Vous ignorez ainsi le comportementpar défaut consistant à étirer lessegments entre le sommet déplacé etles sommets adjacents.

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Etirement deslimites pourconserver laconnectivitéentre les nœudspartagés.

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Déplacement d’unélément topologiqued’une distance X et Y


2. Cliquez sur le nœud ou lalimite à déplacer.

3. Cliquez avec le bouton droitsur le sommet, puis cliquezsur Déplacer.

4. Tapez une distance X et Ypour déplacer l’élémenttopologique par rapport àson emplacement actuelet appuyez sur Entrée.

Si vous déplacez une limiteou plusieurs élémentstopologiques, la commandeDéplacer déplace la poignéede sélection jusqu’àl’emplacement spécifié ainsique l’élément topologiqueafin de lui conserver saposition relative par rapportà la poignée de sélection.

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Déplacement d’un élémenttopologique jusqu’à unemplacement donné


2. Cliquez sur le nœud ou lalimite à déplacer.

3. Cliquez avec le bouton droit,puis cliquez sur Déplacervers.

4. Tapez les coordonnées X etY absolues auxquelles voussouhaitez positionnerl’élément topologique etappuyez sur Entrée.

Si vous déplacez une limiteou plusieurs élémentstopologiques, la commandeDéplacer vers déplace lapoignée de sélection jusqu’àl’emplacement spécifié ainsique l’élément topologiquepour lui conserver saposition relative par rapportà la poignée de sélection.

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Fractionnement d’unelimite avec la poignée desélection


2. Cliquez sur la limite àfractionner.

3. Maintenez la touche Ctrlenfoncée puis cliquez etfaites glisser la poignée desélection pour la positionnerà l’emplacement où voussouhaitez fractionner lalimite.

4. Cliquez avec le bouton droitpuis cliquez sur Fractionnerla limite au point d’ancrage.

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Fractionnement d’unelimite à une certainedistance d’une extrémité


2. Cliquez sur la limite àfractionner.

3. Cliquez avec le bouton droitpuis cliquez sur Fractionner àla distance.

Des flèches s’affichent lelong de la limite pour enindiquer le sens. La limitepeut être fractionnée à unecertaine distance ou à uncertain pourcentage de salongueur, mesuré(e) à partirde son point de départ ou deson point final. u

Les flèchesindiquent lesens de la limitepour permettrede la fractionnerà partir de sonpoint final.

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4. Ou encore, cliquez sur lebouton pour indiquer unpourcentage de la longueurde la limite.

5. Tapez une distance ou unpourcentage si vous décidezde réaliser le fractionnementselon un pourcentage de lalongueur de la limite.

6. Ou encore, cliquez sur lebouton pour indiquer quevous souhaitez mesurer ladistance à partir du pointfinal de la limite.

7. Cliquez sur OK.

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Déplacement d’un nœudd’extrémité partagé d’unelimite

1. Réglez l’environnement decapture pour capturer lesnœuds de la topologie. Voirau chapitre 3, « Création denouvelles entités ».

Vous pouvez aussi réglerl’alignement sur les limitesde l’entité vers lesquellesvous souhaitez déplacer lenœud d’extrémité.


3. Cliquez sur la limite verslaquelle vous souhaitezdéplacer le nœudd’extrémité.

4. Maintenez la touche Ctrlenfoncée puis cliquez etfaites glisser la poignée desélection pour la positionnerà l’endroit où vous souhaitezcapturer le nœud d’extrémitéde la limite.

Pour déplacer la poignéede sélection, vous devezmaintenir la touche Ctrlenfoncée. u

Astuce

Fractionnement-déplacementLorsque vous déplacez un nœud detopologie et une limite, maintenez latouche S enfoncée pour transformerle déplacement en unfractionnement-déplacement. Dansun fractionnement-déplacement, larelation topologique du nœud et detoutes les limites non sélectionnéesest temporairement rompue, puisrétablie au nouvel emplacementauquel vous positionnez le nœud.Vous devez aligner le nœud sur unelimite ou sur un autre nœud detopologie pour rétablir la relationtopologique, sinon le déplacementest annulé.

Nouveau nœud

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Poignée de sélection

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Poignée de sélection

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5. Cliquez avec le bouton droitpuis cliquez sur Fractionnerla limite au point d’ancrage.

Le fractionnement de la limitecrée un nouveau nœud surlequel vous pouvez alignerle nœud d’extrémité de lalimite.

6. Cliquez sur la limite dont voussouhaitez déplacer l’extrémité.

7. Maintenez la touche Nenfoncée et dessinez unrectangle autour du nœudd’extrémité à déplacer.

La touche N restreint lasélection de l’outil Mise àjour de la topologie auxnœuds.

8. Maintenez la touche Senfoncée puis cliquez et faitesglisser le nœud à déplacerjusqu’au nœud que vousavez créé.

Maintenez la touche Senfoncée pour transformer lecurseur en curseur de l’outilFractionner-Déplacer.

Le nœud d’extrémité de lalimite est déplacé au nouvelemplacement et la topologieest conservée. Si vousn’alignez pas le nœud surle nouveau nœud ou sur lalimite, le fractionnement-déplacement est annulé.

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Curseur Fractionner-Déplacer

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2. Cliquez avec le bouton droitsur la carte puis cliquez surCréer le cache de topologie.

Les relations topologiquesentre les limites et les nœudssont redécouvertes pourtoutes les entités del’étendue affichée.

Reconstructionde la mémoirecache detopologie Lorsque vous sélectionnezun élément topologique à l’aidede l’outil Mise à jour de latopologie, ArcMap crée uncache de topologie. Ce cache detopologie stocke les relationstopologiques entre les limites etles nœuds de toutes les entitéssituées dans l’étendueactuellement affichée. Si vouseffectuez une mise à jour avecune carte dont vous aviezgrossi une toute petite zone etsi vous retournez à une étendueprécédente, certaines desentités de la nouvelle étenduerisquent de ne pas se trouverdans le cache de topologie.Vous pouvez reconstruire lecache de topologie pour lesinclure. Vous pouvez aussireconstruire le cache detopologie pour supprimer desnœuds de topologie crééstemporairement à des fins decapture et de mise à jour.

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Suppressiondes élémentstopologiquessélectionnésLors de la mise à jour des limiteset des nœuds topologiques,il est parfois nécessaire dedésélectionner des éléments.Vous pouvez désélectionner unélément donné en maintenantla touche Maj. enfoncée eten cliquant dessus oudésélectionner la totalité deslimites et des nœuds sélectionnésen supprimant tous les élémentstopologiques sélectionnés.

Vous pouvez aussi cliquer sur lacarte avec l’outil Mise à jour dela topologie à partir des limites etdes nœuds pour supprimer lasélection.

Pour désélectionner unseul élément topologique


2. Maintenez la touche Maj.enfoncée et cliquez sur lenœud ou la limite àdésélectionner.

L’élément topologique estdésélectionné.

Pour désélectionnertous les élémentstopologiques


2. Cliquez avec le boutondroit puis cliquez surDésélectionner les élémentstopologiques sélectionnés.

Tous les élémentstopologiques sontdésélectionnés.

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Recherche desentités partageantdes élémentstopologiquesPlusieurs entités peuventpartager des élémentstopologiques. Il est parfois utilede connaître les entités quipartagent un nœud ou une limite.Vous pouvez rechercher lesentités qui partagent unélément topologique donné enles sélectionnant, puis encliquant sur Afficher les entitésmitoyennes.

Vous pouvez aussi contrôlersi les entités mitoyennes sontaffectées par d’éventuellesmodifications réalisées sur unnœud ou une limite donné(e).Par défaut, toutes les entitésqui partagent un élémenttopologique sont mises à jourlorsque vous modifiez cetélément avec l’outil Mise à jourde la topologie. Toutefois,lorsque vous désactivez uneentité dans la boîte de dialogueEntités mitoyennes, cette entitén’est pas modifiée si vousmodifiez l’élément topologique.

Affichage des entitésmitoyennes


2. Cliquez sur une limite ou unnœud pour le sélectionner.

3. Cliquez avec le bouton droitpuis cliquez sur Afficher lesentités mitoyennes.

Vous pouvez aussi cliquersur le bouton Afficher lesentités mitoyennes dans labarre d’outils Topologie.

4. Cliquez sur le signe Pluspour afficher toutes lesentités mitoyennes d’uneclasse d’entités donnée. Unélément topologique donnépeut être partagé par uneentité dans plusieurs classesd’entités et de ce fait, il peutdonc y avoir plusieursclasses d’entités sur la liste.

5. Cliquez sur une entité de laliste pour la faire clignotersur la carte.

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Désactivation temporairedu partage d’élémentstopologiques d’une entité1. Cliquez sur l’outil Mise à jour



3. Cliquez avec le bouton droit,puis cliquez sur Afficher lesentités mitoyennes.

Vous pouvez aussi cliquersur le bouton Afficher lesentités mitoyennes dans labarre d’outils Topologie.

4. Cliquez sur le signe Pluspour afficher toutes les entitésmitoyennes d’une classed’entités donnée. Un élémenttopologique donné peut êtrepartagé par des entités dansplusieurs classes d’entités etde ce fait, il peut donc y avoirplusieurs classes d’entitéssur la liste.

5. Désélectionnez une entité de laliste pour désactiver le partaged’éléments topologiques. Lesmodifications apportées àl’élément topologique avecl’outil Mise à jour de latopologie ne mettent pas àjour cette entité.

L’état « non partagé » del’entité est temporaire. Il dureseulement tant que l’élémenttopologique est sélectionné.

6. Cliquez sur le bouton Fermerpour fermer la boîte dedialogue Entités mitoyennes.

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Sélection des entitéspartageant un élémenttopologique



3. Cliquez avec le bouton droit,puis cliquez sur Sélectionnerles entités mitoyennes.

Les entités qui partagentl’élément topologique sontsélectionnées.

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Combinaison des limitesconnectées à l’intérieurd’une entité


2. Cliquez sur une limited’entité qui a été fractionnéetopologiquement en ajoutantdes nœuds.

3. Cliquez avec le bouton droit,puis cliquez sur Combinerles limites connectées.

La limite sélectionnéefusionne avec la limiteadjacente et le nœudtopologique est supprimé.

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Utilisation de laconstruction pourcréer desmodificationstopologiquesOutre la mise à jour deséléments topologiques avecl’outil Mise à jour de latopologie, vous pouvez aussimodifier et remodeler une limitetopologique sélectionnée àl’aide d’une construction.

La tâche de mise à jour Modifierla limite crée une construction àpartir de la limite sélectionnée.Vous pouvez ensuite utiliser lesoutils d’édition standard pourinsérer, supprimer ou déplacerles sommets qui constituentla limite.

La tâche de mise à jourRemodeler la limite permetd’utiliser les outils de mise àjour standard pour créer unenouvelle ligne afin de remplacerune ligne de limite existante.

Modification d’une limite


2. Cliquez sur une limite pour lasélectionner.

3. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Tâche dansla barre d’outils Editeur,puis cliquez sur Modifierla limite. u

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4. Ou encore, cliquez avec lebouton droit sur un segmentde la limite dépourvu desommet, puis cliquez surInsérer un sommet.

Un nouveau sommet estinséré dans la limite et danstoutes les entitésmitoyennes.

5. Ou encore, cliquez avec lebouton droit sur un sommet,puis sur Supprimer unsommet.

Le sommet est supprimé de lalimite et de toutes les entitésmitoyennes.

6. Ou encore, cliquez sur unsommet et faites-le glisserjusqu’à son nouvelemplacement. u


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7. Ou encore, cliquez avec lebouton droit sur un sommet,puis cliquez sur Déplacer.

8. Tapez une distance X et Y,puis appuyez sur Entréepour déplacer le sommet parrapport à sa positionactuelle.

9. Ou encore, cliquez avec lebouton droit sur un sommet,puis cliquez sur Déplacervers.

10. Tapez les nouvellescoordonnées du sommet etappuyez sur Entrée. u


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11. Cliquez avec le bouton droitsur un endroit quelconquede la carte, puis cliquez surTerminer la construction.


Remodelage d’une limite1. Cliquez sur l’outil Mise à jour

de la topologie.

2. Cliquez sur une limite pour lasélectionner.

3. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Tâche dansla barre d’outils Editeur, puiscliquez sur Remodeler lalimite. u

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4. Cliquez sur l’outilConstruction dans labarre d’outils Editeur.

5. Démarrez une construction.

Vous pouvez aligner laconstruction sur la limitesélectionnée ou couper lalimite pour indiquer oùcommencer le remodelagede la limite.

6. Utilisez les outils Constructionpour numériser une nouvelleforme pour la partie de lalimite sélectionnée.

Après avoir démarré laconstruction, vous pouvezutiliser n’importe lequel desoutils de la Palette Outils deconstruction afin de créer laconstruction.

Vous pouvez aligner laconstruction sur la limitesélectionnée ou couper lalimite pour indiquer oùarrêter le remodelage dela limite.

7. Cliquez avec le bouton droitsur un endroit quelconquede la carte, puis cliquez surTerminer la construction.

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Etirement desentités lors de lamise à jour desélémentstopologiquesTout comme vous pouvezeffectuer un étirementproportionnel de la géométried’une seule entité lorsque vousdéplacez un sommet, vouspouvez aussi étirer la géométriedes entités qui partagent unélément topologique lorsquevous déplacez un nœud ou unsommet sur une limitetopologique.



3. Cochez Etirement proportionnelde la géométrie lors dudéplacement d’un sommet.

4. Cliquez sur OK. u

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6. Cliquez sur un nœudtopologique ou double-cliquezsur une limite topologique,puis cliquez sur un sommet.

7. Cliquez et faites glisser lenœud ou le sommet versun nouvel emplacement.

Les entités qui partagent lenœud ou le sommet s’étirentproportionnellement.

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Capture desnœudstopologiquesLors de la mise à jour deséléments topologiques, ils’avère parfois utile d’alignerdes nœuds topologiques. Vouspouvez activer la capture desnœuds topologiques dans laboîte de dialogue Capture del’environnement.

1. Cliquez sur Editeur puis surCapture.

2. Cochez l’option Nœudstopologiques.

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Modification de lasymbologie pourles entitésd’erreurssélectionnéesVous pouvez modifier la manièredont les entités d’erreurssélectionnées sont dessinéessur la carte. Les entités d’erreurssélectionnées sont dessinéesavec des symboles de points, delignes et de surfaces d’unecouleur donnée par défaut. Leserreurs que vous sélectionnez,par exemple lorsque vous utilisezl’outil Corriger les erreurstopologiques, changent decouleur pour vous permettred’identifier plus facilement leserreurs que vous corrigez. Vouspouvez modifier la symbologiedes erreurs topologiquessélectionnées pour les fairemieux ressortir en fonctionde l’arrière-plan de la carte.


2. Cliquez sur l’ongletTopologie.

3. Cliquez sur les boutonsSymbologie des erreursactives pour modifier lamanière dont les entitésd’erreurs s’affichentlorsqu’elles sontsélectionnées.

4. Choisissez un nouveausymbole pour l’entitéd’erreurs sélectionnée, puiscliquez sur OK.

5. Cliquez sur OK pour fermerla boîte de dialogue Optionsde mise à jour.

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2. Cliquez sur l’ongletTopologie.

3. Cliquez sur les boutonsSymbologie des élémentstopologiques afin de modifierla manière dont les élémentstopologiques s’affichent surla carte.

4. Choisissez un nouveausymbole pour l’élémenttopologique, puis cliquezsur OK.

5. Ou encore, cochez la caseNœuds non sélectionnéspour afficher les nœuds dansle cache topologique n’ayantpas été sélectionnés.

6. Cliquez sur OK.

Modification de lasymbologie desélémentstopologiquesVous pouvez modifier la manièredont les éléments topologiquessont tracés sur la carte. Lesnœuds et les limites topologiquessont tracés avec des symboles depoints et de lignes d’une couleurdonnée par défaut et les nœudstopologiques non sélectionnésne sont pas tracés par défaut.Vous pouvez modifier le symboledes nœuds et des limitestopologiques sélectionnées ainsique des nœuds non sélectionnés.L’activation du symbole pour lesnœuds non sélectionnés facilitel’identification des nœuds àcapturer lors de la mise à jourd’éléments topologiques.

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Modification dela symbologieappliquée auxcouchestopologiquesVous pouvez modifier la manièredont les entités d’erreurs, lesexceptions et les zones à validers’affichent sur la carte. Leserreurs de point, de ligne et depolygone sont tracées avec dessymboles d’une seule couleurpar défaut. Les exceptions et leszones à valider ne sont pastracées par défaut. Lamodification de la symbologiedes entités d’erreurs et desexceptions qui se rattachent àdifférentes règles de topologiefacilite parfois la compréhensiondes problèmes concernant vosdonnées. La matérialisation deszones à valider facilite lavisualisation des zones qui ontété affectées par desmodifications et qui doiventencore être validées.

Modification de lasymbologie des erreurset des exceptionstopologiques

1. Cliquez avec le bouton droitsur la couche Topologie dansla table des matièresd’ArcMap puis cliquez surPropriétés.

2. Cliquez sur l’ongletSymbologie.

3. Cochez les types d’erreurs àafficher sur la carte.

4. Cliquez sur le type d’erreurdont vous souhaitez modifierle symbole.

5. Ou encore, cliquez sur lebouton pour dessiner toutesles erreurs de ce type avecun seul symbole.

6. Choisissez un nouveausymbole pour ce type d’entitésd’erreurs, puis cliquez sur OK.

7. Ou encore, cliquez sur lebouton pour tracer leserreurs de ce type avec unsymbole unique.

8. Double-cliquez sur lesymbole d’erreur pour larègle avec laquelle voussouhaitez tracer un nouveausymbole.

9. Choisissez un nouveausymbole pour ce type d’entitésd’erreurs, puis cliquez sur OK.

10. Cliquez sur OK pour fermerla boîte de dialoguePropriétés de la couche.

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Affichage des zones àvalider et modificationde leur symbologie

1. Cliquez avec le bouton droitsur la couche Topologiedans la table des matièresd’ArcMap puis cliquez surPropriétés.

2. Cliquez sur l’ongletSymbologie.

3. Cochez Zones à valider pourtracer les zones à valider surla couche Topologie.

4. Cliquez sur Zones à validerpour définir la symbologiedes zones à valider.

5. Cliquez sur le bouton pourmodifier le symbole de lazone à valider.

6. Choisissez un nouveausymbole pour les zones àvalider, puis cliquez sur OK.

7. Cliquez sur OK pour fermerla boîte de dialoguePropriétés de la couche.

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Validation desmodificationsd’une topologieAprès avoir apporté desmodifications à une entité quiparticipe à une topologie, l’étapesuivante consiste à valider latopologie. La validation de latopologie permet de vérifier lesentités afin d’identifier unequelconque violation des règlestopologiques préalablementdéfinies.

Vous pouvez valider latopologie entière, l’étenduevisible de la carte ou tracer uncadre délimitant la zone àvalider.

Validation de la topologieentière

1. Cliquez sur le bouton Validerla topologie entière dans labarre d’outils Topologie.

La validation de la topologieentière peut prendre uncertain temps en raison duvolume important ou de lacomplexité des données ouparfois aussi en raison del’existence de nombreusesrègles topologiques.

Vous serez inviter à précisersi vous souhaitez valider latopologie entière.

2. Cliquez sur Oui.

Validation de la topologiedans l’étendue visible dela carte

1. Cliquez sur le bouton Validerla topologie dans l’étenduecourante dans la barred’outils Topologie.

L’étendue visible est validée.Les zones qui ne sont pasactuellement visibles sur lacarte ne sont pas validées.

Validation de la topologied’une zone sélectionnée1. Cliquez sur le bouton Valider

la topologie dans la zonespécifiée dans la barred’outils Topologie.

2. Tracez un cadre délimitant lazone à valider.


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Récapitulatifdes erreurstopologiquesAprès avoir apporté desmodifications à une entité quiparticipe à une topologie etvalidé vos modifications, vouspouvez, si vous le souhaitez,visualiser une ou plusieurserreurs topologiques.Vouspouvez gérer les erreurstopologiques avec l’Inspecteurd’erreurs.

L’Inspecteur d’erreurs permetde visualiser les erreurstopologiques dans un tableauprésentant la règle violée, laclasse ou les classes d’entitésimpliquées dans l’erreur, lagéométrie de l’erreur, l’ID dechacune des entités impliquéesdans l’erreur et si cette erreur aété marquée ou non comme uneexception. Vous pouvez trier leserreurs selon l’un quelconquedes champs de la table pourpouvoir travailler avec toutesles erreurs d’un type donné.Vous pouvez aussi ne présenterdans la table que les erreursd’un type donné ou les erreursrelevées dans l’étendue de lacarte qui est actuellementaffichée ou encore les erreursmarquées comme exceptions. u

Ouverture de l’Inspecteurd’erreurs

1. Cliquez sur le boutonInspecteur d’erreurs dans labarre d’outils Topologie.

L’Inspecteur d’erreurs peutêtre ancré dans la fenêtreArcMap ou flotter librementsous la forme d’une fenêtreindépendante.

Recherche de toutes leserreurs topologiques

1. Dans l’Inspecteur d’erreurs,activez l’option Erreurs.

2. Cliquez sur la flèche de la listedéroulante Afficher, puis surErreurs de toutes les règles

3. Cliquez sur Rechercher.

Recherche des erreursdans l’étendue visibleuniquement

1. Dans l’Inspecteur d’erreurs,activez l’option Etenduevisible uniquement.



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Recherche desexceptions

1. Dans l’Inspecteur d’erreurs,activez l’option Exceptions.

Les exceptions sont deserreurs qui ont été marquéescomme des exceptions àla règle de topologieacceptables.

2. Désactivez l’option Erreurs


Recherche des erreurspour une règle detopologie donnée

1. Dans l’Inspecteur d’erreurs,cliquez sur la flèche de la listedéroulante Afficher, puis surla règle pour laquelle vousrecherchez d’éventuellesviolations.



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L’Inspecteur d’erreurs vouspermet non seulement devisualiser et de trier des erreursmais aussi de sélectionnercertaines d’entre elles,d’effectuer un déplacementou un zoom sur les erreurssélectionnées et d’appliquerdifférents types de correctifstopologiques à ces erreurs.


Correction deserreursIl existe différents correctifsprédéfinis susceptiblesd’être appliqués aux erreurstopologiques trouvées.L’adéquation d’un type decorrectif à une erreur donnéedépend du type d’erreur etde la géométrie des entitésconcernées. Vous pouvez opterpour un type de correctif oumarquer l’erreur comme exception.

Les correctifs topologiques sontdisponibles à partir de l’outilCorriger les erreurs topologiqueset en cliquant avec le boutondroit sur une erreur sélectionnéedans l’Inspecteur d’erreurs. Enfonction du type d’erreur et desentités impliquées, vous pouvezsélectionner, supprimer, combiner,étendre, tronquer, dissoudre,soustraire ou créer des entités.

Vous pouvez aussi recouriraux fonctions de zoom et dedéplacement sur une erreursélectionnée, afficher unedescription de l’erreur, etmarquer l’erreur commeexception.

Combinaison d’unesurface erronée avecun polygone

1. Cliquez sur l’outil Corrigerles erreurs topologiquesdans la barre d’outilsTopologie.

2. Cliquez sur l’entité d’erreursà fusionner dans l’un despolygones superposés.

3. Cliquez avec le bouton droit,puis cliquez sur Combiner.

4. Cliquez sur l’entité danslaquelle vous souhaitezfusionner l’entité d’erreur.

5. Cliquez sur OK.


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Combinaison d’unesurface erronée avec unpolygone à partir del’Inspecteur d’erreurs

1. Dans l’Inspecteur d’erreurs,cliquez sur l’Inspecteurd’erreurs, puis sur l’erreurà corriger.

2. Cliquez avec le bouton droitsur l’erreur, puis cliquez surCombiner.

3. Cliquez sur l’entité danslaquelle vous souhaitezfusionner l’entité d’erreur.

4. Cliquez sur OK.

Recherche des entitésaffectées par une erreur

1. Dans l’Inspecteur d’erreurs,cliquez sur l’erreur.

2. Cliquez sur le champ Entité1 de l’erreur pour afficher lapremière entité affectée parl’erreur.

3. Cliquez sur le champ Entité2 pour afficher la deuxièmeentité affectée par l’erreur.

Les entités clignotent surla carte.


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Marquage d’une erreurcomme exception

1. Dans l’Inspecteur d’erreurs,cliquez sur l’erreur àmarquer comme exception.

2. Cliquez avec le bouton droitsur l’erreur, puis cliquez surMarquer comme exception.

L’erreur est marquée commeexception. Elle n’est plussymbolisée comme uneerreur dans la coucheTopologie de la carte.

L’Inspecteur d’erreurs permetde rechercher aussi bien desexceptions que des erreurs.


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Affichage de la descriptionde la règle violée à l’origined’une erreur

1. Dans l’Inspecteur d’erreurs,cliquez sur l’erreur dont voussouhaitez afficher ladescription.

2. Cliquez avec le bouton droitsur l’erreur, puis cliquez surAfficher la description de larègle.

Une boîte de dialogue afficheune description de l’erreur,illustrée par quelquesreprésentations de géométriescorrectes et erronées.

Les erreurs sont en rouge.

3. Ou encore, désactivez l’optionAfficher les erreurs pourcomparer les géométriesd’entités dépourvuesd’erreurs.

4. Cliquez sur OK.


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Création denouveauxpolygones àpartir de lignesIl est parfois nécessaire decréer des entités polygonales àpartir des données des entitéslinéaires : par exemple, vousavez numérisé les contours d’unjeu d’entités dans une classed’entités linéaires ou vousavez uniquement pu obtenirdes données linéaires d’unfournisseur de données. Vousavez peut-être une classed’entités ligne de côte détailléeque vous souhaitez utiliser pourmettre à jour certaines donnéesexistantes, moins détaillées.Dans ArcCatalog, l’outil Classed’entités polygones à partir delignes vous permet de créer denouvelles entités polygonalesà partir des entités linéaires etpolygonales d’une ou deplusieurs classes d’entités.Vous pouvez spécifier une classed’entités ponctuelles qui vaapporter des attributs auxnouvelles entités polygonales.

Création d’une classed’entités polygonales àpartir de lignes

1. Dans ArcCatalog, naviguezjusqu’au jeu de donnéesdans lequel vous souhaitezcréer une classe d’entitéspolygonales à partir d’uneclasse d’entités linéairesexistante.

2. Cliquez avec le bouton droitsur le jeu de données,pointez sur Nouveau, puiscliquez sur Classe d’entitéspolygones à partir de lignes.

3. Tapez un nom que vousattribuez à la nouvelleclasse d’entités polygonales.

4. Vous pouvez égalementsaisir une toléranced’agrégat.

La tolérance d’agrégat pardéfaut est la toléranced’agrégat minimale possible.

5. Cochez les classes d’entitéslinéaires à utiliser pour créerles polygones.

6. Ou encore, sélectionnezdans le jeu de données uneclasse d’entités ponctuellesdestinée à apporter desattributs aux polygones.

7. Cliquez sur OK.


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Construction depolygones à partir de lagéométrie d’autres entités1. Dans ArcMap, cliquez sur

l’outil Sélectionner des entités.

2. Sélectionnez les entitésdont vous souhaitez utiliserla géométrie pour construire denouvelles entités polygonales.

3. Dans la barre d’outils Editeur,cliquez sur la flèche de la listedéroulante Tâche, puis surCréer une nouvelle entité.

4. Dans la barre d’outils Editeur,cliquez sur la flèche de la listedéroulante Cible, puis cliquezsur la classe d’entitéspolygonales dans laquellevous souhaitez créer unenouvelle entité.

5. Dans la barre d’outilsTopologie, cliquez sur lebouton Construire des entités.

6. Vous pouvez également saisirune tolérance d’agrégat.

7. Vous pouvez aussi cocher lacase Prendre en compte lesentités existantes de la couchecible dans l’étendue courante.

Ainsi, les contours despolygones existants sontutilisés comme géométrie enentrée et le fractionnement deces entités se produit à l’endroitoù elles sont coupées par leslignes ou les polygonessélectionnés.

8. Cliquez sur OK.

Les nouvelles entités sontcréées dans la classed’entités cible.

Création denouvelles entitésà partir de lagéométried’entitésexistantesIl est parfois nécessaire de créerde nouvelles entités à partirde la géométrie des entitésexistantes. Par exemple, vouspouvez avoir besoin de créerune nouvelle entité parcelle àpartir des lignes de contourd’une parcelle ou certaineslignes de contours de parcellesà partir d’entités parcelles.Dans ArcMap, vous pouvezsélectionner des entités etutiliser leur géométrie pour créerde nouveaux polygones ou denouvelles lignes dans la classed’entités cible de l’Editeur. Vouspouvez créer de nouvellesentités à partir de la géométried’entités existantes à l’aide del’outil Construire des entités.

Vous pouvez créer plusieursentités linéaires en fractionnantdes entités plus longues à leurspoints d’intersection avecl’outil Planariser.

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Construction de lignes àpartir de la géométried’autres entités1. Dans ArcMap, cliquez sur

l’outil Sélectionner des entités.

2. Sélectionnez les entités dontvous souhaitez utiliser lagéométrie pour construire denouvelles entités linéaires.

3. Dans la barre d’outils Editeur,cliquez sur la flèche de la listedéroulante Tâche, puis surCréer une nouvelle entité.

4. Dans la barre d’outils Editeur,cliquez sur la flèche de la listedéroulante Cible, puis cliquezsur la classe d’entités linéairesdans laquelle vous souhaitezcréer une nouvelle entité.

5. Dans la barre d’outilsTopologie, cliquez sur lebouton Construire des entités.


7. Vous pouvez aussi cocher lacase Prendre en compte lesentités existantes de lacouche cible dans l’étenduecourante.

Ainsi, les lignes existantessont utilisées commegéométrie en entrée et lefractionnement des entités seproduit à l’endroit où elles sontcoupées par les lignes ou lespolygones sélectionnés.

8. Cliquez sur OK.

Les nouvelles entités sontcréées dans la classed’entités cible.

Les nouvelles entitéslinéaires suivent lecontour des classesd’entités polygonalessélectionnées.

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Utilisation de laplanarisation pourfractionner des lignesaux intersections

1. Dans ArcMap, cliquez surl’outil Sélectionner des entités.

2. Sélectionnez les entitéslinéaires à fractionner auxintersections.

3. Cliquez sur le boutonPlanariser.


5. Cliquez sur OK.

Les lignes sontfractionnées ennouvelles entités auniveau de leurs pointsd’intersection.

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1

DANS CE CHAPITRE

183

Utilisation d’un digitaliseur 5• Configuration de la tablette à

numériser et préparation de lacarte papier

• Inscription d’une carte papier

• Création d’entités à l’aide d’undigitaliseur

• Numérisation d’entités en modeponctuel

• Numérisation d’entités en modecontinu

La numérisation est le processus qui consiste à convertir les entités figurantsur une carte papier en format numérique. Une tablette à numériser reliée àvotre ordinateur permet d’analyser les entités qui vous intéressent. Lescoordonnées x,y de ces entités sont automatiquement enregistrées etstockées comme données spatiales.

La numérisation par le biais d’une tablette constitue une autre méthode decréation et de mise à jour des données spatiales, outre la numérisation àmain levée. Vous pouvez transformer les entités figurant sur pratiquementn’importe quelle carte en entités numériques. Vous pouvez faire appel à undigitaliseur conjointement avec les outils d’ArcMap pour créer des entitésou mettre à jour des entités existantes sur une carte numérique.

Vous pouvez soit numériser les entités sur une nouvelle couche et l’ajouter àun document ArcMap existant, soit créer un ensemble de couches pour unezone pour laquelle aucune donnée numérique n’est disponible. Vous pouvezégalement faire appel à un digitaliseur pour mettre à jour une coucheexistante de votre carte numérique.

Au cours du chapitre 3 « Création de nouvelles entités », nous avons vu l’outilConstruction et d’autres outils d’édition d’ArcMap, ainsi que la façon de lesutiliser pour numériser des entités à main levée. Le présent chapitre présenteles notions élémentaires de l’édition d’entités dans ArcMap à l’aide d’undigitaliseur Il peut s’avérer utile que vous lisiez le chapitre 3, « Création denouvelles entités », pour comprendre le processus de mise à jour, avant de lirece chapitre.


Configuration de la tablette à numériser et préparation de la carte papier

Avant de commencer à numériser, vous devez configurer votre tablette à numériser et préparer votre carte papier. Vous pouvez lefaire après avoir installé le logiciel de pilote du digitaliseur.

Installation du logiciel de pilote et configurationdes boutons de curseurs graphiquesPour que vous puissiez utiliser une tablette à numériser avec ArcInfo,celle-ci doit posséder un logiciel de pilote de numérisation compatibleavec WinTab™. Pour savoir si un logiciel de pilote compatible avecWinTab est disponible pour votre digitaliseur, voyez la documentationrelative à la tablette ou mettez-vous en relation avec le fabricant.

Une fois que vous avez installé le logiciel de pilote, utilisez leprogramme de configuration du gestionnaire WinTab pour configurerles boutons du curseur graphique. (Il se peut que vous deviez fermerle digitaliseur et redémarrer votre machine avant de pouvoir utiliser leprogramme de configuration). Un bouton de curseur graphique doitêtre configuré de manière à numériser les entités et les sommetsponctuels à la suite d’un clic gauche sur la souris ; un autre boutondoit être configuré de manière à terminer de numériser des entités deligne ou de polygone à la suite d’un double-clic gauche.

Vous pouvez, à l’aide de tout autre langage de programmation dedéveloppement, configurer d’autres boutons destinés à exécuter descommandes ArcMap spécifiques (telles que le zoom avant ou lesoutils de construction), auxquels vous accédez en temps normal parle biais de boutons de barre d’outils et de menus. Explorationd’ArcObjects contient des exemples de code Visual Basic® forApplications (VBA), que vous pouvez utiliser pour exécuter diversescommandes ArcMap à partir du curseur graphique du digitaliseur.

Préparation de la carteUne fois que vous avez configuré votre tablette à numériser ainsi queles boutons de curseur graphique, vous pouvez préparer votre cartepapier pour la numériser. Votre carte doit être fiable, à jour, lisse, et nepas être déchirée ou pliée. Le papier s’agrandit ou rétrécit en fonctiondu climat. Afin de minimiser la distorsion lors de la numérisation, lesnumérisateurs expérimentés copient souvent les cartes papier sur unmatériau plus stable, tel que le Mylar®.

Si vous connaissez le système de coordonnées (projection) de votrecarte papier, définissez la même projection pour la couche vers laquellevous numérisez. Si vous numérisez des entités sur une couched’entités existante, vous devez vous assurer que la carte papier et lacouche numérisée partagent le même système de coordonnées. Pourplus d’informations sur la définition d’un système de coordonnéesdans ArcMap, voir Utilisation d’ArcMap.

Définition de points de contrôle sur une carte papier

Avant de commencer la numérisation de votre carte papier, vous devezau préalable définir des points de contrôle auxquels vous aurez recoursplus tard pour inscrire la carte dans l’espace géographique d’ArcMap.Si votre carte possède une grille ou un ensemble de points terrestresconnus, vous pouvez les utiliser en tant que points de contrôles. Dansle cas contraire, vous devez choisir entre quatre et dix emplacementsdifférents, tels que des intersections routières, et les signaler au crayonsur la carte. Attribuez à chaque emplacement un numéro unique etnotez ses coordonnées terrestres.

Une fois que vous avez trouvé au moins quatre points de contrôlesbien placés, vous pouvez placer votre carte sur la tablette et la fixeravec du ruban adhésif. Vous n’avez pas besoin d’aligner la carteprécisément sur la tablette, car ArcMap corrige tout problème d’aligne-ment lors de l’inscription de la carte et affiche les rectifications dans lerapport d’erreur.

Le rapport d’erreur contient deux calculs d’erreur différents : unesystématique et une erreur quadratique moyenne (QM). L’erreursystématique représente la déviation de distance entre la transforma-tion de chaque point de contrôle entré et le point correspondantdans les coordonnées cartographiques. L’erreur QM représente unemoyenne de ces déviations. ArcMap établit un rapport sur l’erreursystématique en unités de carte courantes. Le rapport concernantl’erreur QM est établi en unités de carte courantes et en pouces dedigitaliseur. Si l’erreur QM est trop importante, vous pouvez réinscrireles points de contrôle correspondants. Afin de conserver des valeursprécises, l’erreur QM doit être inférieure à 0,004 pouces de digitaliseur.Pour ce qui est des données moins précises, la valeur peut monter à0,008 pouces de digitaliseur.

UTILISATION D’UN DIGITALISEUR 185

Inscription d’unecarte papierAvant de commencer à numériser,vous devez inscrire votre cartepapier en coordonnées du monderéel. Cela vous permet denumériser les entités directementdans un espace géographique.

L’inscription de votre carteimplique l’enregistrement descoordonnées terrestres des pointsde contrôles que vous aveztrouvés lors de la préparation dela carte. Ceux-ci sont enregistrésà l’aide de l’onglet Digitaliseurde la boîte de dialogue d’Optionsde mise à jour. Vous devez dansun premier temps faire appel aucurseur graphique du digitaliseurpour numériser les points decontrôle de la carte papier :placez le curseur graphique surchaque point de contrôle, puisappuyez sur le bouton que vousavez configuré pour faire un clicgauche.Vous devez ensuite saisirles coordonnées terrestres dechaque point de contrôle. u

Première inscriptiond’une carte

1. Après avoir ajouté unecouche à votre carte, cliquezsur le menu Editeur, puis surOuvrir une session de miseà jour.


3. Cliquez sur l’ongletDigitaliseur.

4. Numérisez les points decontrôle que vous avezdéfinis précédemment survotre carte papier à l’aide ducurseur graphique dudigitaliseur.

Un enregistrement s’affichedans les colonnes DigitaliseurX et Digitaliseur Y pourchacun des points de contrôleque vous avez numérisés.

5. Saisissez les coordonnéesterrestres de chaque point decontrôle dans les champsCarte X et Carte Y.

Une erreur concernant lesunités de carte s’affiche àchaque point de contrôle.Une erreur QM s’affiche enunités de carte et en poucesde digitaliseur.

6. Cliquez sur OK pour inscrirela carte et fermer la boîte dedialogue d’Options de miseà jour.

Voir aussi

Pour plus d’informations surles curseurs graphiques et ladéfinition de points de contrôle,voir « Configuration de la tablettede numérisation et préparation dela carte papier », dans ce chapitre.

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543

2


Astuce

Onglet Digitaliseur manquantSi vous avez installé ArcInfo avantd’installer votre digitaliseur, l’ongletDigitaliseur peut ne pas apparaîtredans la boîte de dialogue d’Optionsde mise à jour. Pour l’ajouter, vousdevez inscrire le fichier digitizer.dll.A l’invite DOS, saisissez « cd » suividu chemin menant au répertoireoù vous avez installé ArcInfo(%ARCHOME%\bin), puis« regsvr32 digitizer.dll ». Lorsquevous redémarrez ArcMap, la boîte dedialogue Options de mise à jourinclut l’onglet Digitaliseur.

Lors de l’inscription d’unecarte, vous avez la possibilitéd’enregistrer les coordonnéesterrestres que vous avez saisiespour les utiliser ultérieurement,si vous souhaitez par exempleinscrire à nouveau votre carte ouen inscrire une autre s’appuyantsur les mêmes points de contrôle.

Une fois que vous avez saisi lescoordonnées terrestres, ArcMapaffiche une erreur à chaque pointde contrôle, ainsi qu’une erreurQM. Si l’erreur QM est tropimportante (supérieure à 0,004pouces du digitaliseur pour lesdonnées très précises ou à 0,008pouces du digitaliseur pour desdonnées moins précises), vouspouvez enregistrer à nouveau lespoints de contrôle concernés. Pourplus d’informations sur les erreurs,voir « Configuration de la tabletteà numériser et préparation de lacarte papier », dans ce chapitre.

Enregistrement denouvelles coordonnéesterrestres

1. Suivez les étapes 1 à 5 dela section « Premierenregistrement de la carte »de ce chapitre.


3. Naviguez vers le répertoiredans lequel vous voulezenregistrer les coordonnéeset saisissez-y un nom defichier.


5. Cliquez sur OK.25

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Enregistrement d’unecarte à l’aide de fichierstic existants ou decoordonnées enregistrées

1. Après avoir ajouté une coucheà votre carte, cliquez sur lemenu Editeur, puis sur Ouvrirune session de mise à jour.

2. Dans le menu Editeur, cliquezsur Options.


4. Cliquez sur Charger.

5. Naviguez vers le fichier quevous voulez utiliser.

6. Cliquez sur Ouvrir. u

Astuce

Suppressiond’enregistrementsSi vous voulez supprimer tous lesenregistrements de coordonnéesterrestres et recommencer, cliquezsur Effacer dans l’ongletDigitaliseur. Pour supprimer unenregistrement individuel, cliquezsur le nombre de la colonne Pointcorrespondant aux coordonnéesque vous voulez supprimer, puisappuyez sur la touche Supprimer.

Astuce

Emplacement dudigitaliseurL’onglet Digitaliseur afficheégalement l’emplacement x,y ducurseur graphique du digitaliseursur la tablette. Les coordonnéeschangent à mesure que vousdéplacez le curseur graphiquesur la surface de la tablette. Celavous permet de vous orienter versl’emplacement que vous numérisez.

Astuce

Ajout d’enregistrementsSi vous voulez ajouter d’autrespoints de contrôle après en avoirsaisi quelques-uns, cliquez avec lasouris sous le dernier enregistrementet numérisez les nouveaux points àl’aide du curseur graphique dudigitaliseur.

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Les coordonnées terrestress’affichent sous les champsCarte X et Carte Y.

7. Cliquez sur le premierenregistrement et numérisezles premiers point de contrôleà l’aide du curseur graphiquedu digitaliseur.

8. Numérisez tous les autrespoints de contrôle.

Les coordonnées numériséesapparaissent dans lescolonnes Digitaliseur X etDigitaliseur Y. Une erreurs’affiche pour chaque pointde contrôle et une erreur QMs’affiche en unités de carte eten pouces de digitaliseur.

9. Cliquez sur OK pour inscrirela carte.

Astuce

Précision de lanumérisationInscrivez toujours votre carteau début de chaque session denumérisation, même si cela signifieque vous inscrivez la même carteplusieurs fois. La carte papier peutse déplacer entre les sessions ; le faitde la réinscrire permet de s’assurerde la précision de la numérisation.

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Les coordonnées terrestres s’affichent.

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Les coordonnées numérisées s’affichent.

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Création d’entités à l’aide d’un digitaliseur

La numérisation d’entité dans ArcMap est facile. En effet, vouspouvez numériser des entités dans une nouvelle couchecartographique ou mettre à jour une couche existante.

Modes de numérisation

Les tablettes à numériser fonctionnent généralement de deuxfaçons : mode (absolu) numérisation et mode (relatif) souris.

En mode numérisation, l’emplacement de la tablette est projeté sur unemplacement précis à l’écran. En d’autres termes, le fait de déplacerle curseur graphique du digitaliseur sur la surface de la tablettedéplace exactement le pointeur de l’écran vers la même position.Lorsque vous êtes en mode numérisation, vous ne pouvez numériserque les entités ; vous ne pouvez pas sélectionner les boutons, lescommandes de menu ni les outils de l’interface utilisateur d’ArcMap,car le pointeur de l’écran est verrouillé sur la zone de dessin.

En mode souris, le curseur graphique se comporte comme unesouris : il n’y a aucune corrélation entre la position du pointeur surl’écran et la surface de la tablette à numériser, mais vous pouvezsélectionner des éléments de l’interface avec le pointeur.

ArcMap vous permet de basculer entres les modes numérisation etsouris par le biais de la boîte de dialogue d’Options de mise à jour. Celasignifie que vous pouvez utiliser le curseur graphique pour à la foisnumériser des entités et accéder à des options de l’interface utilisateur(comme substitut de la souris) à mesure que vous numérisez.

Que le digitaliseur soit en mode souris ou en mode numérisation,vous pouvez toujours utiliser votre souris à tout moment poursélectionner des éléments de l’interface.

Il existe deux méthodes de numérisation desentités d’une carte papier

Vous pouvez numériser les entités figurant sur une carte papier dedeux manières : numérisation en mode ponctuel ou ounumérisation en mode continu. Vous pouvez basculer entre cesdeux modes en cours de numérisation en appuyant sur F8.

Numérisation ponctuelle

Lorsque vous lancez une session de numérisation, le mode par défautest le mode ponctuel. Lors de la numérisation en mode ponctuel,vous convertissez une entité figurant sur une carte papier ennumérisant une série de points ou de sommets précis. ArcMap relieensuite les sommets pour créer une entité numérique. Préférez lemode ponctuel lorsque vous avez besoin d’une numérisation précise,par exemple, lorsque vous numérisez une ligne parfaitement droite.

Numérisation en mode continu

La numérisation en mode continu constitue un moyen rapide et aiséde saisir les entités d’une carte papier qui n’ont pas besoin d’être trèsprécises, telles que les cours d’eau et les lignes de contour. En modecontinu, vous créez le premier sommet de l’entité et tracez le reste del’entité avec le curseur de table à numériser. Lorsque vous avez fini letraçage, vous utilisez le curseur graphique pour terminer l’entité.

À mesure que vous numérisez en mode continu, ArcMap ajouteautomatiquement des sommets à un intervalle que vous précisez ;cet intervalle, exprimé en unités de carte courantes, s’appelle latolérance en mode continu. Vous pouvez la modifier à toutmoment, même au cours de la numérisation d’une entité.

Vous pouvez également numériser en mode continu lorsque vouscréez des entités « à main levée » à l’aide des outils de construction.Vous pouvez numériser en mode continu à l’aide de l’outil deConstruction, par exemple, de la même façon qu’à partir d’une cartepapier. La seule différence réside dans le fait que vous faites appelau pointeur de la souris pour numériser à main levée.

Ajout de topologie à des entités numérisées

La numérisation crée des lignes ou des points sans relationtopologique. ArcMap fournit des outils permettant d’améliorer lesdonnées numérisées de la sorte, par exemple, en fractionnant deslignes aux intersections ou en créant des polygones à partir delignes. Pour plus d’informations sur la topologie, reportez-vous auchapitre 4, « Mise à jour de la topologie ».


Numérisationd’entités en modeponctuelLa numérisation en mode ponctuelfonctionne de la même façon avecun digitaliseur qu’avec la numérisa-tion à main levée à l’aide de l’outilConstruction ; la seule différenceréside dans le fait qu’avec ledigitaliseur vous convertissez uneentité d’une carte papier à l’aide ducurseur graphique du digitaliseurplutôt qu’avec la souris.La numérisation en mode ponctuelimplique la conversion d’entitésponctuelles, linéaires ou depolygones figurant sur une cartepapier en numérisant une série depoints ou de sommets précis. Vousnumérisez chaque sommet enappuyant sur le bouton de curseurgraphique que vous avez configurépour effectuer un clic gauche surla souris. Pour terminer l’entité,appuyez sur le bouton de curseurgraphique que vous avez configurépour effectuer un double-clicgauche. ArcMap relie ensuite lessommets pour créer une entiténumérique.Avant de commencer à numériser,vous devez configurer ledigitaliseur pour qu’il fonctionnenen mode numérisation plutôt u



3. Activez la case à cocherActivé pour utiliser le curseurgraphique en mode denumérisation.


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Voir aussi

Pour plus d’informations surles curseurs graphiques et ladéfinition de points de contrôle, voir« Configuration de la tablette denumérisation et préparation de lacarte papier », dans ce chapitre.



6. À l’aide du curseur graphiquedu digitaliseur, numérisez lepremier sommet de l’entité.

7. Passez le curseur graphiquesur l’entité de la carte papier,pour créer le nombre desommets dont vous avezbesoin.

8. Terminez l’entité en appuyantsur le curseur graphiquecorrespondant.

L’entité est créée.


Astuce

Suppression d’un sommetCliquez sur le bouton Annuler de labarre d’outils Standard d’ArcMappour supprimer un sommet lors dela numérisation.

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qu’en mode souris ; cela restreintle pointeur de l’écran à la zone denumérisation. Lorsque le curseurgraphique est en mode numérisa-tion, vous devez utiliser la sourispour sélectionner des éléments del’interface ArcMap, à moins de faireappel à VBA, ou un autre langagede programmation de développe-ment, pour configurer d’autresboutons de curseurs graphiquespour exécuter des commandesArcMap spécifiques.

Voir aussi

Pour plus d’informations sur laconfiguration des curseurs graphiquesà l’aide de code de programmation,voir « Configuration d’une tablette denumérisation et préparation d’unecarte papier », dans ce chapitre.

Voir aussi

Pour plus d’informations sur lacréation d’entités par le biais de lanumérisation à main levée à l’aide desoutils de construction, voir le chapitre 3« Création de nouvelles entités ».

Astuce

CapturePour vous aider à numériser desentités à un endroit précis d’une coucheexistante, vous pouvez faire appel àl’environnement de capture. Pour plusd’informations sur la capture, voirChapitre 3, « Création d’entités ».


Numérisationd’entités en modecontinuLorsque vous numérisez des entitéslinéaires ou de polygone d’une cartepapier en mode continu, vous créezle premier sommet de l’entité enappuyant sur le bouton de curseurgraphique du digitaliseur que vousavez configuré pour effectuer unclic gauche sur la souris. Vouspassez ensuite sur le reste de l’entitéà l’aide du curseur graphique dudigitaliseur. Lorsque vous avezterminé le traçage, appuyez sur lebouton de curseur graphique quevous avez configuré pour effectuerun double-clic gauche pourterminer l’entité.

Avant de commencer à numériseren mode continu, vous devezparamétrer la tolérance en modecontinu, qui représente l’intervalleauquel ArcMap ajoute dessommets le long de l’entité quevous numérisez. Étant donné quela tolérance en mode continu estde 0 par défaut, vous devez saisirune valeur de tolérance avant decommencer à numériser ; dans lecas contraire, les sommets serontreliés ou se superposeront. Vouspouvez modifier la tolérance enmode continu à tout moment lorsdu processus de numérisation. u

Configuration detolérance en modecontinu

1. Dans le menu Editeur, cliquezsur Ouvrir une session demise à jour.



4. Saisissez la tolérance enmode continu (en unités decarte) dans la zone de texteTolérance en mode continu.

5. Cliquez sur OK.

Définition du nombre desommets à regrouper



3. Saisissez le nombre desommets que vous voulezregrouper.

4. Cliquez sur OK.

Désormais, lorsque vouscliquerez sur le boutonAnnuler lors d’unenumérisation en modecontinu, le nombre desommets que vous avezprécisé sera supprimé.

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Numérisation d’entitésen mode continu

1. Dans le menu Editeur,cliquez sur Options.


3. Saisissez la tolérance enmode continu (en unités decarte) dans la zone de texteTolérance en mode continu.

4. Saisissez le nombre desommets que vous voulezregrouper.


6. Activez la case à cocherActivé pour utiliser le curseurgraphique en mode denumérisation.

7. Cliquez sur OK.

8. Cliquez sur la flèche pointantvers le bas de la paletted’outils, puis sur l’outilConstruction. u

Astuce

AlignementPour vous aider à numériser desentités à un endroit précis d’unecouche existante, vous pouvezfaire appel à l’environnement decapture. Pour plus d’informationssur la capture, voir Chapitre 3,« Création d’entités ».

Vous devez également préciser lenombre de sommets en continuque vous souhaitez regrouper.Le nombre que vous définissezindique à ArcMap le nombre desommets à supprimer lorsque vouscliquez sur le bouton Annuler. Sivous définissez par exemple cenombre comme 20 et que vouscliquez sur le bouton Annuler aucours de la numérisation d’uneentité, ArcMap supprime les vingtderniers sommets numérisésde l’entité.

Pour lancer la numérisation enmode continu, vous devezsélectionner l’option Modecontinu dans le menu contextuelde construction. Vous pouvezrevenir au mode ponctuel à toutmoment en appuyant sur F8 ;appuyez à nouveau sur F8 pourrepasser en mode continu.

Avant de numériser en modecontinu, n’oubliez pas de configurerle digitaliseur pour qu’il fonctionneen mode numérisation plutôt qu’enmode souris : cela restreindra lepointeur de l’écran à la zone denumérisation.

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9. Faites un clic droit n’importeoù sur la carte avec lepointeur de la souris, puiscliquez sur Mode continu.

10. À l’aide du curseur graphiquedu digitaliseur, numérisez lepremier sommet de l’entitélinéaire ou de polygone.

11. Passez le curseur graphiquesur l’entité de la carte papier.

ArcMap crée des sommetsen fonction de la toléranceen mode continu que vousavez précisée.

12. Terminez l’entité en appuyantsur le curseur graphiquecorrespondant.


Astuce

Sélection d’élémentsd’interface lors de lanumérisation en modecontinuSi vous souhaitez interagir avecl’interface d’ArcMap à l’aide de lasouris (par exemple, pour modifierla tolérance en mode continu ouannuler une action) lors de lanumérisation d’une entité en modecontinu, vous devez tout d’abordrevenir en mode ponctuel enappuyant sur F8. Une fois que vousavez interagi avec l’interface, vouspouvez revenir au mode continu enappuyant à nouveau sur F8.

Astuce

Configuration d’un boutonde curseur graphique pourle mode continuPlutôt que de choisir l’optionMode continu dans le menucontextuel, vous pouvez configurerl’un de vos boutons de curseursgraphiques avec n’importe quellangage de programmation dedéveloppement, tel que C++ ouVBA, pour activer la numérisationen mode continu. Pour en savoirplus sur la configuration desboutons de curseurs graphiques etsur la personnalisation en général,voir Exploration d’ArcObjects.

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Q

W

DANS CE CHAPITRE

195

Création d’entités à partird’autres entités 6• Copie d’une ligne à un intervalle

spécifique

• Création d’une zone tamponautour d’une entité

• Création d’une image miroird’une entité

• Fusion d’entités de la mêmecouche dans une entité

• Combinaison d’entités dedifférentes couches en une entité

• Création d’une entité à partird’entités ayant des zonescommunes

Lors de la modification de données spatiales, il est possible de créer denombreuses entités en utilisant les formes d’autres entités. ArcMap disposede nombreux outils que vous pouvez utiliser pour créer de nouvelles entitésà partir d’entités qui sont déjà dans votre base de données.

Vous pouvez, par exemple, construire une ligne qui est une copie parallèled’une ligne existante pour créer un axe sur une rue. Vous pouvez créer unezone tampon autour d’une entité ponctuelle, linéaire ou surfacique pourfaire ressortir une zone spécifique, telle qu’une plaine d’inondation autourd’une rivière. Vous pouvez également créer une nouvelle entité encombinant ou en croisant des entités existantes, voire même créer uneimage inverse d’une entité ou d’un ensemble d’entités.

Dans ce chapitre, nous allons voir à quel point différents outils d’ArcMapfacilitent ces tâches.



2. Cliquez sur la ligne que voussouhaitez copier.

3. Cliquez sur la flèche pointantvers le bas Couche cible,puis sur la couche à laquellevous voulez que la nouvelleligne appartienne. u

Copie d’une ligneà un intervallespécifiqueLa commande Copie parallèlecopie une ligne parallèle à uneentité existante à une distanceque vous spécifiez. Si vousindiquez une distance qui estpositive, la ligne est copiée à ladroite de l’entité de départ. Avecune distance négative, la ligne estcopiée sur la gauche.

Vous pourriez utiliser lacommande Copie parallèle pourcréer un axe de rue ou uneconduite de gaz dont le tracé estparallèle à une route.

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CRÉATION D’ENTITÉS À PARTIR D’AUTRES ENTITÉS 197

4. Cliquez sur Editeur, puis surCopie parallèle.

5. Spécifiez les paramètres decopie y compris la distance(en unités de carte) à partirde l’entité d’origine où voussouhaitez copier la ligne,le style d’angle, et lecomportement des bouclesqui s’entrecoupent.

6. Cliquez sur OK ou appuyezsur Entrée.

Une copie parallèle de laligne est créée à la distancespécifiée.

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5

La ligne copiéeest parallèle età la gauche del’entité originale àune distance de15 unités de carte.



2. Cliquez sur l’entité ou lesentités autour desquellesvous voulez créer une zonetampon.

3. Cliquez sur la flèchedéroulante Couche cible, puissur la couche dont vousvoulez que le type d’entitéssoit la zone tampon. (Cela nepeut être qu’une couchelinéaire ou surfacique.) u

Création d’unezone tamponautour d’une entitéVous pouvez créer une zonetampon autour d’une entité enutilisant la commande Zonetampon. Ainsi, vous pouvezutiliser Zone tampon pourmontrer la zone autour d’un puitsqui est contaminé ou pourreprésenter une plaine inondableautour d’une rivière.

Vous pouvez buffériser plusieursentités à la fois, mais une zonetampon séparée sera créée autourde chaque entité.

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2

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Une zone tamponde 1 000 unités dela carte est crééeautour du point.

4. Cliquez sur Editeur puis surzone tampon.

5. Tapez la distance (en unitésde la carte) à partir de l’entitéautour de laquelle vousvoulez créer une zonetampon, puis appuyez surEntrée.

Une zone tampon est créée àla distance spécifiée.

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4


Création d’uneimage miroird’une entitéLa tâche de Mise en miroir créeune image inverse des entitéssélectionnées de l’autre côtéd’une ligne droite que vous créez.Vous pouvez utiliser Mise enmiroir pour créer des pavillonsdans un lotissement où lespavillons sont des imagesinverses les uns des autres d’uncôté et de l’autre de la rue.

Comme on le voit également dansl’exemple, la tâche de Mise enmiroir permet d’ajouter facilementdes services de gaz aux parcellesqui sont l’image inverse desservices de l’autre côté de la rue.


2. Cliquez sur l’entité ou lesentités dont vous souhaitezcréer l’image inverse.

3. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Tâche, puissur Créer des entités par effetmiroir.


5. Construisez une ligne encliquant une fois au point dedépart et une fois au pointfinal. u

Astuce

Autres manières de créerune ligneVous pouvez également utiliser lesoutils Distance–Distance et Intersec-tion pour créer les points finaux de laligne. Pour plus d’informations,consultez le chapitre 3, « Création denouvelles entités ».

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Nouvelles entitésAprès avoir numérisé le pointfinal, une entité est créée quiest l’image inverse de la oudes entités.


Fusion d’entitésde la mêmecouche en uneentitéLa commande Combinerregroupe des entités venant de lamême couche en une entité Lesentités doivent faire partie d’unecouche linéaire ou surfacique.Vous pouvez utiliser lacommande Combiner pourcombiner deux parcelles en une.

Vous pouvez également combinerdes entités non adjacentes pourcréer une entité multi-parties.Vous pouvez, par exemple,combiner les îles individuelles quicomposent Hawaii pour créer uneentité surfacique multi-parties.

Lorsque vous combinez des entitésdans une géodatabase, les entités dedépart sont retirées et les nouveauxattributs d’entités sont copiésà partir de l’entité qui étaitsélectionnée en premier. Si vouscombinez des entités de fichiers deformes, ce sont les attributs del’entité qui ont le numéro d’ID leplus bas (l’entité la plus ancienne)qui sont utilisés.


2. Cliquez sur les entités àcombiner.

(Les entités doivent venir dela même couche, linéaire ousurfacique.)

3. Cliquez sur la flèchedéroulante Couche cible, puissur la couche à laquelle vousvoulez que la nouvelle entitéappartienne. u

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1

3


Les parcelles sont combinées en une.

4. Cliquez sur Editeur, puis surCombiner.

5. Cliquez sur l’entité aveclaquelle vous souhaitezcombiner l’autre ou les autresentité(s).

Les entités sélectionnées sontcombinées en une entité.

6. Cliquez sur OK.

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5

6


Combinaisond’entités dedifférentes couchesen une entitéLa commande Agréger vous permetde combiner des entités venant dedifférentes couches en une entité,tout en conservant les entités etles attributs de départ. Cette com-mande peut vous permettre decréer un territoire de vente à partirde plusieurs codes postaux.

Vous pouvez également créer uneentité multi-parties à l’aide de lacommande Agréger en combinantdes entités non adjacentes dedifférentes couches. Par exemple,supposons que vous souhaitiezcréer un polygone de rochesédimentaire à l’intérieur d’unenouvelle couche de classificationdes roches en fonction depolygones d’argile et de quartzsélectionnés d’une coucheexistante de roche composite.Utilisez la commande Agréger pourcombiner les entités argile et quartzafin de créer une nouvelle entitémulti-parties roche sédimentaire àl’intérieur de la couche de classifi-cation des roches.

Lorsque vous utilisez lacommande Agréger, les entitésque vous combinez doivent venirde couches du même type, linéaireou surfacique. La nouvelle entitéest créée dans la couche courante,sans attributs de valeur.


2. Cliquez sur les entités quevous voulez combiner en une.

(Les entités peuvent venir dedifférentes couches, même sielles doivent être du mêmetype de couche – linéaire ousurfacique.)

3. Cliquez sur la flèchedéroulante Couche cible, puissur la couche à laquelle vousvoulez que la nouvelle entitéappartienne. u

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Les codes postaux sont combinés en un territoire de vente.

4. Cliquez sur Editeur, puis surAgrégation.

Les entités sélectionnéessont combinées en une entité.

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Création d’uneentité à partird’entités ayantdes zonescommunesLa commande Intersecter crée unenouvelle entité à partir de la zone oùles entités se chevauchent. Vouspouvez, par exemple, créer unnouveau territoire de vente à partirde zones commerciales qui serecoupent.

Vous pouvez trouver l’intersectionentre les entités des différentescouches, mais les couches doiventêtre du même type – linéaires ousurfaciques. Les entités de départsont maintenues et la nouvelleentité est créée dans la couchecourante, sans attributs de valeur.Vous devez entrer vous-même lesvaleurs d’attribut de la nouvelleentité.


2. Cliquez sur les entités àpartir de l’intersectiondesquelles vous voulezcréer une nouvelle entité.

(Les entités peuvent venir dedifférentes couches, même sielles doivent être du mêmetype de couche – linéaire ousurfacique.)

3. Cliquez sur la flèche basCouche cible, puis sur lacouche à laquelle vousvoulez que la nouvelleentité appartienne.

(La couche doit être dumême type que les entitéssélectionnées – ligne oupolygone.) u

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Un territoire de vente simple est crééà partir des zones en commun entredeux autres territoires de vente.

4. Cliquez sur Editeur, puis surIntersecter.

Une nouvelle entité est crééeà partir des zones encommun entre toutes lesentités sélectionnées.

4

DANS CE CHAPITRE

209

Mise à jour d’entités existantes 7• Fractionnement d’une ligne ou d’un

polygone

• Tronquage d’une ligne

• Prolongement d’une ligne

• Retournement d’une ligne

• Placement de points le long d’une ligne

• Remodelage d’une ligne ou d’unpolygone

• Ajout et suppression des sommetsd’une construction

• Déplacement d’un sommet dans uneconstruction

• Modification des propriétés d’uneconstruction

• Mise à l’échelle des entités

• Découpage d’entités

• Etirement proportionnel de la géométrie

• Etirement proportionnel de lagéométrie d’une entité

Ce chapitre vous explique comment modifier les entités existantes devotre base de données. Supposons que vous devez modifier la formed’une parcelle pour l’adapter à un nouveau cul-de-sac. Pour ce faire,vous pouvez utiliser la tâche Remodeler l’entité afin de modifier laparcelle de façon à lui donner la forme appropriée. Supposons que la rueque vous avez numérisée ne croise pas la bonne rue. Vous pouvez utiliserla tâche Prolonger pour prolonger la ligne jusqu’au bon emplacement. Sivous devez diviser une parcelle, vous pouvez utiliser la tâche Couper desentités surfaciques pour couper l’entité en deux.

Il s’agit de quelques exemples destinés à vous montrer avec quelle aisancevous pouvez modifier des entités dans ArcMap. Les outils, commandes ettâches de mise à jour vous proposent une variété de méthodes permettantde modifier des entités existantes.

De nombreuses fonctions décrites dans ce chapitre agissent différemmentsur des données impliquées dans une topologie. Si votre projet utilise desdonnées topologiques, consultez également le chapitre 4, « Mise à jour dela topologie », pour mieux comprendre les outils et fonctions associés auxrègles et relations topologiques.


Fractionnementd’une ligne oud’un polygoneA l’aide des outils d’édition,vous pouvez fractionner desentités linéaires ou surfaciquestrès facilement.Pour fractionner manuellementune ligne en deux, utilisez l’ outilFractionner. La ligne est diviséeà l’endroit où vous avez cliquéavec la souris. Les attributs dela ligne initiale sont copiés danschacune des nouvelles lignes.Dans l’exemple, l’outilFractionner permet de diviser lemilieu d’une rue en deux entitésavant l’ajout d’un milieu entreles parcelles.Vous pouvez égalementfractionner une ligne en deuxà l’aide de la commandeFractionner du menu Editeur.Utilisez la commande Fractionnersi vous connaissez la distance àlaquelle vous voulez fractionnerla ligne, mesurée à partir dupremier ou du dernier sommet.Vous pouvez aussi utiliser cettecommande pour fractionner u

Fractionnement manueld’une ligne


2. Cliquez sur la ligne que voussouhaitez fractionner.

3. Cliquez sur l’outil Fractionner.

4. Cliquez sur le point de laligne où vous souhaitez lafractionner.

La ligne est fractionnée endeux entités.

Astuce

Utilisation de la capturepour fractionner une ligneSi vous souhaitez employer l’outilFractionner en vue de fractionnerune ligne à un sommet spécifique,utilisez l’environnement de capturepour aligner le pointeur de façonprécise sur le sommet. Pour plusd’informations sur la capture, voirChapitre 3, « Création de nouvellesentités ».

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3

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MISE À JOUR D’ENTITÉS EXISTANTES 211

Fractionnement d’uneligne selon une distanceou un pourcentagespécifié


2. Cliquez sur la ligne que voussouhaitez fractionner.

3. Cliquez sur Editeur, puis surFractionner. u

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une ligne selon un certainpourcentage de la longueurinitiale. Vous pouvez utiliser lacommande Fractionnement pourfractionner une ligne électrique àune distance connue le long dela ligne, si vous souhaitezajouter un poteau électrique quinécessite sa propre alimentation.La boîte de dialogue Fractionneraffiche la longueur de l’entitéd’origine dans les unités de lacarte en cours, pour vous aider àla fractionner de façon précise.Lorsque vous fractionnez la ligneà l’aide de la commandeFractionner, les attributs de laligne d’origine sont copiés danschacune des nouvelles lignes.

Pour fractionner un polygoneen deux, utilisez la tâche Couperdes entités surfaciques. Lepolygone est fractionné selon laconstruction linéaire que vouscréez. Les attributs de l’entitéinitiale sont copiés dans chacunedes nouvelles entités.


4. Cliquez sur la premièreoption Fractionner pourfractionner l’entité selon unecertaine distance.

Cliquez sur la seconde optionFractionner pour fractionnerl’entité selon un certainpourcentage de l’ensemble.

5. Tapez une distance ou unpourcentage qui vousconvient.

6. Sélectionnez Avant pourfractionner l’entité à partir dupremier sommet.

Sélectionnez A partir du pointd’arrivée de la ligne pourfractionner l’entité à partir dudernier sommet.

7. Cliquez sur OK.

La ligne est fractionnée endeux entités selon lesparamètres que vous avezspécifiés.

La ligne est fractionnée endeux entités selon la distanceet l’orientation que vous avezspécifiées.

Astuce

Contrôle de la gestion desattributsSi vous travaillez sur des entités degéodatabase, vous pouvez définirdes règles de division permettantde contrôler le comportement desattributs d’un objet une fois qu’ilest fractionné. Building aGeodatabase. Pour plusd’informations sur les règles dedivision, voir Construction d’unegéodatabase.

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Fractionnement d’unpolygone


2. Cliquez sur le polygone quevous souhaitez fractionner.

3. Cliquez sur la flèchedéroulante Tâche, puis surCouper des entitéssurfaciques.


5. Elaborez une constructionlinéaire ou surfacique quicoupe le polygone d’originede la manière souhaitée.

6. Cliquez avec le bouton droitsur un endroit quelconque dela carte, puis cliquez surTerminer la construction.

Le polygone est fractionné endeux entités.

Astuce

Autres manières de créerune constructionVous pouvez également faire appel àl’outil Distance-Distance, à l’outilArc, ou à l’outil Intersection pourcréer une construction. Pour plusd’informations, voir le chapitre 3,« Création de nouvelles entités ».

Astuce

Découpage d’une formesurfacique à partir d’unpolygonePour créer une construction, vouspouvez faire appel à la tâche Couperdes entités surfaciques qui agitcomme un « moule à biscuit » encoupant le polygone en deux. Il voussuffit de créer une constructionlinéaire qui se ferme sur elle-mêmeen double-cliquant précisément surle premier sommet de la constructionpour la terminer.

La construction divise lepolygone en deux entités.

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Tronquage d’uneligneLa commande Tronquer du menucontextuel Construction réduit lalongueur d’une ligne en tronquantune distance que vous spécifiezdepuis le dernier sommet.

La tâche Tronquer de la listedéroulante Tâche en cours permetégalement de tronquer des lignes,mais au lieu de les tronquer selonune distance donnée, la tâcheTronquer utilise une constructionque vous dessinez. u

Tronquage d’unelongueur spécifique àpartir du dernier point

1. Cliquez sur la flèche pointantvers le bas Tâche, puis surModifier l’entité.


3. Cliquez sur la ligne que voussouhaitez tronquer.

La ligne apparaît comme uneconstruction avec dessommets.

4. Cliquez avec le bouton droitde la souris sur n’importequelle partie de laconstruction, puis cliquezsur Tronquer.

5. Indiquez la longueur de ligneà tronquer et appuyez surEntrée.

Si vous saisissez une valeurpositive, la ligne est tronquéeà la longueur spécifiée. Sivous entrez une valeurnégative, elle est retirée dela longueur de la ligne, encommençant au derniersommet.

La ligne est tronquée.

6. Lorsque vous avez modifiéla ligne, cliquez, avec lebouton droit de la souris, surn’importe quelle partie de laconstruction puis cliquez surTerminer la construction.

20 unités de la carte sont tronquées depuis la ligne d’origine.

Astuce

Raccourcis pour la find’une constructionUne fois que vous avez modifié uneconstruction, appuyez sur F2 pourla terminer. La sélection d’uneautre entité à l’aide de l’outilEdition permettra également determiner la construction.

Astuce

Tronquage à partir dupremier sommet d’une ligneVous pouvez tronquer une ligne àpartir du premier sommet et non dudernier. Reportez-vous à « Tronquaged’une ligne » dans ce chapitre.

Astuce

Raccourci pour lamodification des entitésAu lieu d’utiliser la tâche Modifierl’entité pour modifier une entité parrapport à sa construction, vouspouvez cliquer sur l’outil Edition etdouble-cliquer sur l’entité à modifier.

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Tronquage basé sur uneligne que vous dessinez

1. Cliquez sur la flèche pointantvers le bas Tâche, puis surProlonger/Tronquer desentités.


3. Cliquez sur la ou les lignesque vous souhaitez tronquer.


5. Construisez une ligne quitronque la ou les lignessélectionnées de la manièresouhaitée. La direction dela ligne de constructiondétermine la partie desentités à retirer. La partie desentités sélectionnées à droitede la construction esttronquée.

6. Cliquez avec le boutondroit sur un endroitquelconque de la carte,puis cliquez sur Terminerla construction. u

Cela est avantageux si vous neconnaissez pas la distance exacteque vous voulez tronquer, mais sivous disposez d’une limitephysique à laquelle les entitésdoivent se terminer ou commencer.

Supposons que votre base dedonnées contient certaines routesdevant se terminer sur la côte, maisla dépassent. A l’aide de la tâcheTronquer, vous pouvez dessinerune construction linéaire par-dessus la côte et les lignes seronttronquées à l’endroit où vous avezdessiné la construction.

Les parties des lignes qui setrouvent sur le bord droit de laconstruction sont tronquées. Lebord droit de la construction estfonction du sens dans lequel laconstruction a été dessinée.Imaginez que vous faites de labicyclette le long de la construc-tion dans le sens selon lequel lessommets ont été ajoutés. u

Astuce

Raccourcis pour la find’une constructionVous pouvez double-cliquer sur ledernier sommet d’une constructionafin de la terminer. Vous pouvezaussi appuyer sur F2.

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Astuce

Autres manières de créerune constructionVous pouvez également faireappel à l’outil Distance-Distance,Arc, Traçage ou Intersection pourcréer une construction. Pour plusd’informations, reportez-vousau chapitre 3, « Création denouvelles entités ».


Les lignes sont tronquées à l’endroit où la construction a été dessinée.

Si vous regardiez à droite, vousverriez le bord droit de laconstruction.

Les lignes sont tronquées surle côté gauche de la ligneconstruite.


Prolongementd’une ligneLa tâche Prolonger a l’effetopposé de la tâche Tronquer. Eneffet, elle permet de prolonger leslignes sélectionnées jusqu’à uneligne que vous construisez.Reprenez l’exemple des routes etde la côte présenté dans la tâcheTronquer. Si votre base dedonnées contient des routesdevant se terminer sur la côte,mais ne l’atteignent pas, vouspouvez utiliser la tâcheProlonger. En dessinant uneconstruction par-dessus la côte,vous pouvez prolonger les routesjusqu’à la construction que vousavez dessinée.

1. Cliquez sur la flèche pointantvers le bas Tâche, puis surProlonger/Tronquer desentités.


3. Cliquez sur la ou les lignesque vous souhaitezprolonger.


5. Construisez une ligne jusqu’àlaquelle vous voulezprolonger la ou les lignessélectionnées.

6. Cliquez avec le boutondroit sur un endroitquelconque de la carte,puis cliquez sur Terminerla construction. u

Astuce

Autres manières de créerune constructionVous pouvez également faireappel à l’outil Distance-Distance,Arc, Traçage ou Intersection pourcréer une construction. Pour plusd’informations, reportez-vousau chapitre 3, « Création denouvelles entités ».

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Les lignes sont prolongées jusqu’à l’endroit où la construction aété dessinée.

Astuce

Autres méthodes deprolongement ou detronquage d’une ligneAu-delà de la tâche de baseProlonger/Tronquer des entités, leslignes peuvent être prolongées àl’aide des outils avancées del’éditeur Tronquer et Prolonger,ainsi que des méthodes decorrection de topologie spécifiqueslors de l’utilisation de topologies.Ces fonctions supplémentaires sontdisponibles uniquement avec lesprogiciels ArcEditor et ArcInfo.

Les lignes sont prolongéesjusqu’à la ligne construite.




3. Cliquez sur la ligne dontvous souhaitez modifier lesens.

4. Cliquez avec le bouton droitsur n’importe quelle partie dela construction, puis cliquezsur Inverser.

La construction est inversée(le premier sommet devient ledernier, marqué en rouge).

5. Lorsque vous avez modifiéla ligne, cliquez, avec lebouton droit de la souris, surn’importe quelle partie de laconstruction puis cliquez surTerminer la construction.

Retournementd’une ligneLorsque vous modifiez uneligne en la tronquant ou en laprolongeant, la ligne estautomatiquement tronquéeou prolongée à partir de sondernier sommet.

Cependant, si vous préféreztronquer ou prolonger une ligne àpartir du premier sommet et nonpas du dernier, vous pouvezutiliser la commande Inverser.La commande Inverser inversele sens d’une ligne de sorteque le dernier sommet de laconstruction devient le premier.

Le premier et le dernier sommet de la ligne sont inversés.

Astuce

Utilisation de topologiesPour les classes d’entités linéairesou les fichiers de formes faisantpartie d’une topologie, la directionde la ligne est impliquée avec lesrègles topologiques et la fonctiond’inversion n’est pas autorisée. Pourplus d’informations sur l’utilisationde topologies, voir le chapitre 4,« Mise à jour de la topologie ».

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2. Cliquez sur la ligne que voussouhaitez diviser.

3. Cliquez sur la flèchedéroulante Couche cible, puissur la couche de pointscontenant le type de pointsque vous souhaitez placer lelong de la ligne.

4. Cliquez sur Editeur puis surDiviser. u

Placement depoints le longd’une ligneLa commande Diviser crée despoints à un intervalle donné lelong d’une ligne. Par exemple,vous pouvez utiliser lacommande Diviser pour placerdes poteaux de distribution lelong d’une ligne principale.

Vous pouvez créer un nombre depoints donné placés à distanceégale, ou vous pouvez créer despoints à un intervalle de distancede votre choix.

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5. Cliquez sur la premièreoption, puis tapez un chiffrepour placer un certainnombre de points, de façonégale, le long de la ligne.

Ou cliquez sur la secondeoption, puis tapez un chiffrepour placer les points à unintervalle donné en unitésde carte.

Si les données possèdentdes valeurs M, vous pouvezsélectionner la troisièmeoption et taper un nombrepour placer les points à unintervalle spécifique d’unitésde mesure.

6. Cliquez sur OK.

La ligne est divisée par lespoints placés le long de laligne comme vous l’avezspécifié.

La ligne est divisée par les points.

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1. Cliquez sur la flèche pointantvers le bas Tâche, puis surRemodeler l’entité.


3. Cliquez sur l’entité que voussouhaitez remodeler.


5. Créez une ligne suivantlaquelle vous voulez quel’entité soit remodelée.

6. Cliquez avec le bouton droitsur un endroit quelconquede la carte, puis cliquezsur Terminer la construction. u

Astuce

Autres manières de créerune constructionVous pouvez également faireappel à l’outil Distance-Distance,Arc, Traçage ou Intersection pourcréer une construction. Pourplus d’informations, consultezle chapitre 3, « Création denouvelles entités ».

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2Remodelaged’une ligne oud’un polygoneLa tâche Remodeler l’entité vouspermet de remodeler une ligne ouun polygone en élaborant uneconstruction par-dessus l’entité.L’entité prend la forme de laconstruction à partir du premierpoint où la construction croisel’entité jusqu’au dernier.

Lors du remodelage d’unpolygone, si les deux extrémitésde la construction sont àl’intérieur du polygone, la formeest ajoutée à l’entité. u


L’entité est remodelée en fonction de la construction quevous avez créée.

Si les extrémités sont à l’extérieurdu polygone, l’entité estdécoupée.

Lors du remodelage d’uneligne, les deux extrémités de laconstruction doivent se trouversur le même côté de la ligne.La ligne prend la forme de laconstruction que vous dessinez.

L’entité est remodelée.


Ajout d’un sommet à uneconstruction


2. Cliquez sur l’outil Edition,puis sur la ligne ou lepolygone auquel vous voulezajouter un sommet.

3. Déplacez le pointeur jusqu’àl’endroit où vous souhaitezinsérer le sommet, puiscliquez avec le bouton droitde la souris.

4. Cliquez sur Insérer unsommet.

Un nouveau sommet estajouté à la construction.

5. Lorsque vous avez modifié laligne, cliquez, avec le boutondroit de la souris, surn’importe quelle partie de laconstruction puis cliquez surTerminer la construction.

Un nouveausommet estajouté à laconstruction.

Astuce

Ajout de sommets à partirdu dernier sommetVous pouvez ajouter des sommets àune entité en commençant par ledernier sommet de la construction.Cliquez sur l’outil Edition, puisdouble-cliquez sur l’entité pour enafficher la construction. Ensuite,cliquez sur l’outil Constructionpour commencer la numérisationdes sommets.

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Ajout etsuppression dessommets d’uneconstructionVous pouvez aisément ajouterou supprimer les sommetsd’une construction à l’aide descommandes Insérer un sommet etSupprimer un sommet du menucontextuel Construction. Enajoutant ou supprimant dessommets, vous pouvez remodelerune entité si vous obtenez denouvelles données géographiquesou des données plus faciles àexploiter.

Supposons que votre coucheexistante contient des lignesincurvées et que vous recevez unephoto aérienne indiquant que leslignes de la couche n’ont pas uneforme correcte. En vous servantde la photo aérienne commepoint de comparaison, vous u


Suppression d’un sommetd’une construction



3. Cliquez sur la ligne ou lepolygone duquel voussouhaitez supprimer unsommet.

4. Placez le pointeur sur lesommet à supprimer.

Le pointeur changed’apparence avec quatrepetites flèches entourantun cercle.

5. Cliquez avec le bouton droitsur le sommet, puis cliquezsur Supprimer un sommet.

Le sommet est supprimé dela construction.

6. Cliquez, avec le bouton droitde la souris, sur n’importequelle partie de laconstruction, puis cliquezsur Terminer la construction.


Voir aussi

Pour apprendre à déplacer unsommet, reportez-vous à« Déplacement d’un sommet dansune construction » dans ce chapitre.

Le sommet est supprimé et l’entité est remodelée.

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pouvez ajouter des sommets auxlignes incurvées, puis remodelerl’entité de façon à la fairecorrespondre à la photo endéplaçant les sommets. En outre,vous pouvez remodeler les entitésde la ligne incurvée en supprimantles sommets existants de leursconstructions.


Glissement d’un sommet


2. Cliquez sur l’outil Edition,puis sur la courbe ou lepolygone dont vous voulezdéplacer le sommet.

3. Placez le pointeur sur lesommet à déplacer.

Le pointeur changed’apparence avec quatrepetites flèches entourantun cercle.

4. Cliquez et faites glisser lesommet vers l’emplacementsouhaité.



Le sommet est déplacé et l’entité est remodelée.

Déplacement d’unsommet dans uneconstructionLe déplacement d’un sommetdans une construction représenteun autre moyen de modifier ou deremodeler une entité.

ArcMap vous permet de déplacerun sommet de plusieurs façons. enle faisant glisser, en spécifiant desnouvelles coordonnées x,y ou en ledéplaçant par rapport à sonemplacement actuel.

Vous pouvez décider de faireglisser un sommet vers un nouvelemplacement pour remodeler uneentité en fonction des donnéessupplémentaires que vousrecevez. Par exemple, vous pouvezfaire glisser un sommet pourremodeler une entité route dansune couche existante afin de lafaire correspondre à l’entité d’unephoto aérienne plus précise.

Vous avez la possibilité dedéplacer un sommet en spécifiantdes nouvelles coordonnées x,ysi vous obtenez des donnéessupplémentaires indiquant l’em-placement exact des coordon-nées auxquelles le sommet doit setrouver. Par exemple, supposonsqu’une parcelle fasse l’objetd’une nouvelle étude et qu’unnouveau point GPS soit obtenupour l’angle de la parcelle. Vouspouvez déplacer l’angle de laparcelle pour la faire correspon-dre à l’emplacement trouvé par leGPS, en spécifiant l’emplacementéquivalent en coordonnées x,y. u

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Déplacement d’unsommet en spécifiantles coordonnées x,y

1. Cliquez sur la flèche pointantvers le bas Tâche en cours,puis sur Modifier l’entité.


3. Placez le pointeur sur lesommet à déplacer jusqu’àce qu’il change.

4. Cliquez avec le bouton droitsur le sommet, puis cliquezsur Déplacer vers.

5. Tapez les coordonnées x et yde la position vers laquelledéplacer le sommet.

Le sommet est déplacé. u

Le menu contextuel Constructionvous permet également dedéplacer un sommet par rapportà son emplacement actuel.Supposons qu’un poteauélectrique doit être déplacé de15 pieds vers l’Est et de 5 piedsvers le Nord par rapport à sonemplacement actuel, en raisond’un élargissement de la route.Avant de déplacer le poteau,vous devez remodeler sa ligneélectrique pour que le poteausoit connecté à la ligne dans lenouvel emplacement. Pour cefaire, vous déplacez le sommet dela ligne électrique sur laquelle lepoteau repose, au moyen descoordonnées x,y relatives (delta).

L’emplacement initial du sommetest utilisé comme origine (0,0).Ensuite, le sommet est déplacévers le nouvel emplacement àl’aide des coordonnées en unitésde carte que vous spécifiez((15,5) dans cet exemple). Unefois le sommet déplacé et la ligneélectrique remodelée, vouspouvez aligner l’entité poteau surle sommet situé dans le nouvelemplacement.

Astuce

Conservation de la formed’une entité lors dudéplacement d’un sommetVous pouvez également déplacerun sommet sans modifier la formede l’entité. Pour plusd’informations, reportez-vous à« Etirement proportionnel de lagéométrie » dans ce chapitre.

Le sommet se déplace selonles coordonnées que vousavez précisées.

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Astuce

Annulation du déplacementd’un sommetSi vous avez déplacé un sommetmais ne souhaitez pas le laisserdans le nouvel emplacement,cliquez sur le bouton Annuler de labarre d’outils Standard ArcMap.Le sommet reprend sa dernièreposition. Cliquez sur le boutonRépéter si vous voulez le replacerdans son nouvel emplacement.

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Déplacement d’unsommet par rapport àson emplacement actuel



3. Placez le pointeur sur lesommet à déplacer jusqu’àce qu’il change.

4. Cliquez avec le bouton droitsur le sommet, puis cliquezsur Déplacer.

5. Tapez les coordonnéesdeltas x et y de la positionvers laquelle déplacer lesommet. u 3

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Le sommet se déplaceselon les coordonnéesque vous avezprécisées.

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Le sommet est déplacé.

6. Cliquez, avec le bouton droitde la souris, sur n’importequelle partie de laconstruction, puis cliquez surTerminer la construction.



Modification despropriétés d’uneconstructionLors de la création d’une nouvelleentité ou de la modification d’uneentité existante, il est facile demodifier les propriétés de forme dela construction à l’aide de la boîtede dialogue Propriétés deconstruction.

A l’aide de la boîte de dialoguePropriétés de construction, vouspouvez supprimer les partiesd’une entité multi-parties, inséreret supprimer des sommets etmodifier les valeurs m et z dessommets.

Supposons que vous modifiez unecouche renfermant des entitésrivière dont les formes contiennentun nombre de sommets tropimportant. Vous pouvez utiliser laboîte de dialogue Propriétés deconstruction pour sélectionner lessommets en excès et les supprimer.

Suppression de plusieurssommets d’une entité

1. Cliquez sur l’outil Edition,puis sélectionnez l’entité dontvous voulez modifier la forme.

2. Cliquez sur la flèchedéroulante Tâche, puis surModifier l’entité pour placer laforme de l’entité dans laconstruction.

3. Cliquez, avec le boutondroit de la souris, sur laconstruction puis cliquezsur Propriétés.

4. Sélectionnez les sommetsque vous voulez supprimeren maintenant la touche Majenfoncée et en cliquant surles sommets de la table.Utilisez les touches Maj etCtrl pour sélectionnerplusieurs sommets.

5. Cliquez sur la toucheSupprimer ou cliquez avec lebouton droit sur les sommetssélectionnés, puis cliquez surSupprimer.

Les sommets sélectionnéssont supprimés de laconstruction.

6. Cliquez sur Terminer laconstruction.

Astuce

Comment reconnaître lessommets que j’aisélectionnés ?Au fur et à mesure que voussélectionnez les sommets dans laboîte de dialogue, ils changent decouleur sur la carte.

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Insertion d’un sommet aumilieu d’un segment

1. Cliquez avec le bouton droitsur un segment de laconstruction, puis cliquezsur Propriétés.

2. Sélectionnez le sommet avantlequel vous souhaitez insérerun nouveau sommet.

3. Cliquez avec le bouton droitsur le sommet sélectionné,puis cliquez sur Insérer avant.

Astuce

Modification descoordonnées x,yPour que le point ajouté ne se situepas exactement au centre des deuxsommets, cliquez sur la colonne xou y et tapez une nouvellecoordonnée pour le point.

Sommet inséré au milieu.

Astuce

Insérer des sommets aprèsun sommet sélectionnéVous pouvez insérer des sommetsavant ou après le sommet sur lequelvous cliquez avec le bouton droit.

1

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Suppression d’une partied’une entité multi-parties

1. Cliquez sur l’outil Edition,puis sélectionnez l’entité delaquelle vous voulezsupprimer une partie.

2. Cliquez sur la flèchedéroulante Tâche, puis surModifier l’entité pour placer laforme multi-parties dans laconstruction.

3. Cliquez, avec le boutondroit de la souris, sur laconstruction puis cliquezsur Propriétés.

4. Cliquez avec le bouton droitsur la partie à supprimer,puis appuyez sur la toucheSupprimer ou cliquez avec lebouton droit sur Supprimer.


Astuce

Comment reconnaîtreles parties que j’aisélectionnées ?Lorsque vous sélectionnez unepartie dans la boîte de dialoguePropriétés de construction, lessegments de cette parties’épaississent.

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Modification des valeursz et m

1. Cliquez sur l’outil Edition,puis sélectionnez l’entité dontvous voulez modifier lesvaleurs m et z.


3. Cliquez avec le bouton droitsur la construction, puiscliquez sur Propriétés.

4. Sélectionnez le sommet àmodifier.

5. Cliquez dans le champ z oum de la table, puis tapez unenouvelle valeur.


Astuce

Utilisation du contrôleValeur Z actuelleLorsque vous ajoutez des points àla construction, vous pouvezcontrôler la valeur z de chaquesommet à l’aide de l’outil Valeur Zactuelle.

Pour utiliser l’outil Valeur Zactuelle, vous devez d’abordl’ajouter à une barre d’outils àpartir de l’onglet Commandes de laboîte de dialogue Personnaliser.L’outil Valeur Z actuel est répertoriédans la catégorie Editeur.

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2. Cliquez sur l’entité que voussouhaitez mettre à l’échelle.

3. Cliquez sur l’outil Echelle.

4. Déplacez l’ancre desélection, si nécessaire.

5. Cliquez et faites glisser lepointeur sur l’entité pour lamettre à l’échelle comme bonvous semble. u

Astuce

Déplacement de l’ancre desélectionPour déplacer l’ancre de sélectiond’une entité que vous souhaitezmettre à l’échelle, maintenez lepointeur de mise à l’échelle surl’ancre jusqu’à ce que l’icône setransforme. Cliquez et faites glisserl’ancre vers un nouvel emplacement.

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Mise à l’échelledes entitésVous pouvez mettre une entité àl’échelle (agrandir ou rétrécirl’entité) à l’aide de l’outil Echelle.L’entité est mise à l’échelle enfonction de la position de l’ancrede sélection, c’est-à-dire la petitecroix située au centre des entitéssélectionnées.

Vous pouvez utiliser l’outil Echellelors de l’exploitation de donnéesprovenant d’une nouvelle sourcedans laquelle l’échelle estlégèrement différente (par exemple,les parcelles d’une subdivision d’unanalyste). Vous pouvez utiliserl’outil Echelle pour mettre lesparcelles à l’échelle de façon à lesajuster correctement.

Pour utiliser l’outil Echelle, vousdevez d’abord l’ajouter à une barred’outils à partir de l’ongletCommandes de la boîte de dialoguePersonnaliser. L’outil Echelle estdisponible dans la catégorie Editeur.Pour plus d’informations sur l’ajoutd’un outil à une barre d’outils,reportez-vous à Explorationd’ArcObjects ou Utilisationd’ArcMap.


Astuce

Mise à l’échelle deplusieurs entitésVous pouvez effectuer la mise àl’échelle de plusieurs entitéssimultanément. Il vous suffit desélectionner toutes les entités enquestion et de déplacer l’ancre desélection vers l’emplacement souhaitéavant d’utiliser l’outil Echelle.

6. Relâchez le bouton de lasouris une fois la mise àl’échelle de l’entité terminée.

L’entité est mise à l’échelle.

Astuce

Annulation de la mise àl’échellePour rétablir une entité à sa tailleinitiale, une fois qu’elle est mise àl’échelle, cliquez sur le boutonAnnuler de la boîte de dialogueStandard ArcMap.

L’entité est mise à l’échelle.

Astuce

Facteur d’échelleVous pouvez effectuer la mise àl’échelle des entités à l’aide d’unfacteur d’échelle au lieu dedéplacer la souris. Appuyez sur latouche F pour définir le facteurd’échelle.

Astuce

Mise à l’échelle avecalignementAppuyez sur la touche S pourajouter une ancre de sélectionauxiliaire à l’entité que vous mettezà l’échelle. Vous pouvez faire glisserl’ancre de sélection auxiliaire surl’entité pour l’aligner sur les entitésspécifiées dans l’environnement decapture courant.


Découpage desentitésVous pouvez facilement découperdes entités qui se touchent ou setrouvent dans les limites d’unedistance bufférisée des entitéssélectionnées.

Supposons que vous voulezreproduire l’effet d’un projetd’élargissement de route proposésur les lots d’un bloc desubdivision. Pour ce faire, vouspouvez utiliser la commandeDécoupage. Sélectionnez lemilieu de la route où aura lieul’élargissement proposé, puiscliquez sur Découpage dans lemenu Editeur. Tapez la mesure dela longueur de l’élargissement,puis cliquez sur l’option Effacerla zone d’intersection pourdécouper les lots de lasubdivision.

Si vous utilisez l’option Effacerla zone d’intersection, lacommande Découpage bufférisel’entité route sélectionnée, puisdécoupe les parties des entitésmodifiables qui se trouvent dansla zone bufférisée. Si vousutilisez l’option Conserver lazone d’intersection, toutes lesentités qui touchent l’entitébufférisée sont supprimées.

1. Sélectionnez l’entité quevous voulez utiliser pourdécouper les entités.

2. Cliquez sur Editeur, puis surDécoupage.

3. Tapez une valeur de zonetampon. Vous pouvez laisserla valeur 0 si vous utilisezune entité surfacique poureffectuer le découpage.

4. Cliquez sur le typed’opération de découpageque vous souhaitez utiliser.

5. Cliquez sur OK pourdécouper l’entité.

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238 MODIFICATIONS DANS ARCMAP

Activation de l’étirement proportionnel

Désactivation de l’étirement proportionnel

Etirement proportionnel de la géométrie

Vous serez peut-être amené à étirer une entité sans en modifier lagéométrie (forme). Supposons que vous voulez modifier laposition d’une entité par rapport à d’autres en déplaçant unsommet. Par exemple, les données de système de transmissionélectrique dont vous disposez ne sont pas aussi précises que vousl’escomptiez. Cependant, d’autres couches contiennent des pointsétudiés précis qui coïncident avec certaines des tours detransmission, des usines de production d’électricité et des sous-stations. En déplaçant les sommets des lignes de transmission,vous pouvez ajuster les positions des lignes en fonction despositions étudiées connues des entités dans la couche plusprécise. Il est possible de modifier les positions de ces sommetssans changer la forme générale des lignes de transmission enprocédant à un étirement proportionnel des entités.

Lorsque vous effectuez un étirement proportionnel d’une entité,les proportions des segments de l’entité sont conservées, assurantainsi la conservation de la forme générale de l’entité. Cetteprocédure est différente du déplacement d’un sommet visant àremodeler une entité.

Les graphiques présentés ci-dessous illustrent la différence entrele déplacement d’un sommet pour remodeler une entité et ledéplacement d’un sommet en conservant la forme de l’entité. Lestrois graphiques du haut illustrent la façon dont une entité estmodifiée lorsque son sommet supérieur droit est déplacé en activantl’étirement proportionnel. Les trois graphiques du bas illustrent lafaçon dont la même entité est remodelée lorsque son sommetsupérieur droit est déplacé en désactivant l’étirement proportionnel.


Etirementproportionnel dela géométried’une entitéDans le menu Options de mise àjour, vous avez la possibilitéd’étirer la géométrie des entitéstout en conservant les proportions,lors du déplacement des sommets.Lorsque vous faites glisser unsommet vers un nouvelemplacement en activant cetteoption, les proportions dessegments de l’entité sontconservées, assurant ainsi laconservation de la forme généralede l’entité.

Vous serez peut-être amené àeffectuer un étirement proportionneldes entités lors de la fusion dedonnées provenant de différentessources (par exemple, des lignes dedistribution provenant d’une sourceet des parcelles de subdivisionprovenant d’une autre).

Supposons que les données desparcelles de subdivision sont trèsprécises, mais que les données deslignes de distribution ne le sontpas. Bien que les formes des lignesde distributions soient, dansl’ensemble, correctes, vous voulezmodifier la position d’une lignepar rapport aux parcelles, endéplaçant un sommet. En étirantproportionnellement la ligne dedistribution, vous pouvez l’ajusterprécisément aux parcelles sansperdre la forme générale de laligne. u


2. Cliquez sur l’outil Edition,puis sélectionnez l’entité quevous voulez étirer.



5. Activez la case à cocher pourétirer la fonctionnalitéproportionnellement.

Désactivez la case à cochersi vous voulez remodelerl’entité sans conserver lagéométrie proportionnelle.


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Vous activez l’étirementproportionnel en activant la caseà cocher sous l’onglet Général dela boîte de dialogue Options demise à jour. Désactivez la case àcocher si vous voulez remodelerune entité sans conserver lagéométrie proportionnelle.

7. Placez le pointeur sur lesommet à déplacer jusqu’à cequ’il change.

8. Déplacez le sommet versl’emplacement souhaité.

9. Cliquez avec le bouton droitsur n’importe quelle partie dela construction, puis cliquezsur Terminer la construction.

L’entité est agrandieproportionnellement.

Voir aussi

Pour comparer l’aspect d’uneentité étirée proportionnellement àcelui d’une entité étirée pour laremodeler, reportez-vous à« Etirement proportionnel de lagéométrie » dans ce chapitre.

L’entité est agrandieproportionnellement.

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DANS CE CHAPITRE

241

Ajustement spatial

• A propos de l’ajustement spatial

• La barre d’outils Ajustement spatial

• A propos du processus detransformation

• Création de liens de déplacementet d’identité

• Utilisation des outils Zone limited’ajustement

• Modification des symboles de lienet de zone limite d’ajustement

• Sélection, modification etsuppression de liens

• Table des liens et fichiers de liens

• Affichage d’un aperçu etexécution de l’ajustement

• Mappage du transfert d’attributset outils

8La barre d’outils Ajustement spatial vous permet de transformer, déformer etrecoller les bords des entités figurant dans votre carte. Elle fonctionne au seinde l’Editeur ArcMap pour offrir un environnement d’ajustement hautementproductif. Cette barre d’outils propose diverses méthodes d’ajustement detoutes les sources de données pouvant être mises à jour.

Les commandes et outils de la barre Ajustement spatial se trouvent dansune barre d’outils d’édition spécifique : la barre d’outils Ajustement spatial.Ces outils et commandes sont destinés à définir un ajustement spatial.Puisque l’ajustement spatial fonctionne au sein d’une session de mise à jour,vous pouvez tirer parti des fonctionnalités existantes, telles que l’alignement,pour améliorer vos ajustements.

Outre la possibilité d’ajuster vos données, la barre d’outils Ajustement spatialvous permet de transférer les attributs d’une entité vers une autre. L’outilpermettant ce transfert, Transfert d’attributs, met en correspondance leschamps communs à deux couches. Les fonctions d’ajustement et detransfert d’attributs de l’outil Ajustement spatial permettent d’améliorerla qualité de vos données.


A propos des ajustements spatiaux

La section suivante décrit brièvement les méthodes d’ajustementspatial et quelques concepts connexes.

TransformationsLes transformations permettent de convertir les données d’unsystème de coordonnées à un autre. Elles sont souvent utilisées pourconvertir des unités de digitaliseur ou de scanner en coordonnéesgéographiques. Elles permettent également de convertir vos donnéesau sein d’un système de coordonnées, par exemple du systèmeimpérial au métrique.

Les fonctions de transformation reposent sur la comparaison descoordonnées des points source et de destination (également appeléspoints de contrôle) dans des éléments graphiques spéciaux, les liensde déplacement. Vous pouvez créer ces liens de manière interactive,en pointant vers des emplacements source et de destination connusou en chargeant un fichier texte de liens ou un fichier de points decontrôle.

Par défaut, ArcMap prend en charge trois types de transformation :affine, d’Helmert et projective.

Une transformation affine permet de mettre à l’échelle en différéles données, de les désaxer, de les faire pivoter et de les convertir.Le graphique ci-après illustre les quatre changements possibles :

La fonction de transformation affine est la suivante :

x’ = Ax + By + Cy’ = Dx + Ey + F

où x et y sont les coordonnées de la couche d’entrée et x’ et y’les coordonnées transformées. A, B, C, D, E et F sont définisen comparant l’emplacement des points de contrôle source etde destination. Ils mettent à l’échelle, désaxent, font pivoter etconvertissent les coordonnées de la couche.

La transformation affine nécessite au moins trois liens dedéplacement.

AJUSTEMENT SPATIAL 243

Une transformation d’Helmert permet de mettre à l’échelle lesdonnées, de les faire pivoter et de les convertir. Elle ne met pas àl’échelle indépendamment les axes et ne permet pas de désaxer.Elle conserve les proportions des entités converties.

La fonction de la transformation d’Herbert est la suivante :

x’ = Ax + By + Cy’ = -Bx + Ay + F

où :

A = s · cos tB = s · sin tC = conversion dans le sens xF = conversion dans le sens y

et

s = changement d’échelle (identique dans les sens x et y)t = angle de rotation, mesuré dans le sens inverse des aiguillesd’une montre à partir de l’axe des x

La transformation d’Herbert nécessite au moins deux liens dedéplacement.

La transformation projective repose sur une formule pluscomplexe nécessitant au moins quatre liens de déplacement :

x’ = (Ax + By + C) / (Gx + Hy + 1)y’ = (Dx + Ey + F) / (Gx + Hy + 1)

Cette méthode permet de transformer les données capturéesdirectement à partir de photographies aériennes. Pour plusd’informations, reportez-vous à l’un des textes photogrammétriquesrépertoriés dans la bibliographie à la fin de cette section.

Compréhension de l’erreur résiduelle et del’erreur de quadratique moyenne (EQM)

Les paramètres de transformation constituent un compromis entreles points de contrôle source et de destination. Si vous appliquezles paramètres de transformation aux points de contrôle sourceréels, les emplacements résultants ne correspondent pas auxvéritables emplacements de points de contrôle en sortie. C’est ceque l’on appelle l’erreur résiduelle : il s’agit d’une mesure de ladifférence entre les véritables emplacements et les emplacementstransformés des points de contrôle en sortie. Cette erreur estgénérée pour tous les liens de déplacement.

Une erreur EQM est calculée pour chaque transformationeffectuée. Elle indique la qualité de la transformation dérivée.L’exemple suivant illustre l’emplacement relatif de quatre pointsde contrôle de destination et des points de contrôles sourcetransformés :

Erreurs

Points de contrôle source transformés

Points de contrôle de destination


Déformation élastique

Des distorsions géométriques ont souvent lieu dans les cartes source.Elles peuvent être le fait d’un enregistrement défectueux lors de lacompilation, d’un manque de contrôle géodésique dans les donnéessource ou de nombreuses autres causes. La déformation élastiquecorrige ces erreurs au moyen de l’ajustement géométrique descoordonnées.

La couche source (tracée en lignes pleines) est ajustée par rapportà la couche cible la plus précise.

Au cours du processus de déformation élastique, la surface estlittéralement étirée, ce qui déplace les entités par transformationsegmentée et préserve les lignes droites. A l’instar destransformations, les liens de déplacement permettent de définirl’endroit vers lequel les entités sont déplacées lors de l’étirement.

Les applications de conflation utilisent la déformation élastiquepour aligner des couches en préparation du transfert d’attributs.

L’erreur EQM mesure les erreurs entre les points de contrôle dedestination et les emplacements transformés des points decontrôle source.

La transformation est dérivée à l’aide du nombre de carreaux lemoins important. Par conséquent, plus de liens qu’il n’en fautpeuvent être donnés.


Transfert d’attributs

Le transfert d’attributs permet généralement de copier lesattributs provenant d’une couche moins précise vers une plusprécise. Par exemple, il permet de transférer les noms des entitéshydrologiques provenant d’une carte à l’échelle 1:500 000numérisée et très généralisée vers une carte à l’échelle 1:24 000.

ArcMap vous permet de préciser les attributs à transférer d’unecouche à une autre pour ensuite sélectionner de manière interactiveles entités source et cible.

Références

Maling, D.H. Coordinate Systems and Map Projections. GeorgePhilip, 1973.

Maling, D.H. “Coordinate systems and map projections for GIS.”Geographical Information Systems: Principles and Applications,Maguire, D.J., M.F. Goodchild, and D.W. Rhind (eds.) vol. 1, pp.135–146. Longman Group UK Ltd., 1991.

Moffitt, F.H., and E.M. Mikhail. Photogrammetry. Third edition.Harper & Row, Inc., 1980.

Pettofrezzo, A.J. Matrices and Transformations. DoverPublications, Inc., 1966.

Slama, C.C., C. Theurer, and S.W. Henriksen (eds.). Manual ofPhotogrammetry. Fourth edition. Chapter XIV, pp. 729–731.ASPRS, 1980.

Recollement des bords

Le processus de recollement des bords aligne les entités situées lelong du bord d’une couche par rapport aux entités d’une coucheadjacente. La couche dont les entités sont les moins exactes estajustée, et l’autre couche adjacente sert de contrôle.


La barre d’outils Ajustement spatial

CommandesAjustement spatial

Outils Lien dedéplacement

Lien d’identité etoutils Zone limited’ajustement

Outil Transfertd’attribut

Commandes relatives auxméthodes d’ajustement

OutilSélectionnerles éléments

Options d’ajustement spatial

Outils Visualiser latable des liens

Commandes relatives àla gestion des liens

Ajustement spatial


Vue d’ensemble du processus d’ajustement spatial

Vous trouverez ci-dessous une vue d’ensemble indiquant le modede fonctionnement d’ArcMap, de la barre d’outils Editeur et de labarre d’outils Ajustement spatial vous permettant de modifier lesdonnées. Chacune des étapes ci-dessous est présentée en détaildans ce chapitre ou d’autres chapitres de ce manuel.


2. Créez un nouveau document ArcMap ou ouvrez un documentexistant.

3. Ajoutez au document ArcMap les données que vous voulezmodifier.

S’il n’existe aucune couche pour les classes d’entités que voussouhaitez modifier, vous pouvez en créer au moyend’ArcCatalog. Pour plus d’informations relatives à la créationd’une couche d’entités, voir Utilisation d’ ArcCatalog.

4. Ajoutez la barre d’outils Editeur à ArcMap.

5. Ajoutez la barre d’outils Ajustement spatial à ArcMap

6. Sélectionnez Ouvrir une session de mise à jour dans le menuEditeur.

Bouton Nouveaudocument Arcmap

Bouton Ouvrir

Bouton Ajouter les données

Bouton Barre d’outils Editeur


7. Cliquez sur Ajustement spatial, pointez sur Méthodesd’ajustement, puis cliquez sur l’une des méthodes detransformation pour choisir une méthode d’ajustement spatial.

8. Cliquez sur les outils Lien de déplacement pour créer desliens de déplacement.

9. Effectuez l’ajustement.

Outils Lien dedéplacement

10. Choisissez Quitter la session de mise à jour dans le menuEditeur puis cliquez sur Oui lorsque vous serez invité àenregistrer les mises à jour.

Vous n’avez pas besoin d’enregistrer le document ArcMap ;toutes les mises à jour apportées à la base de données seronteffectives à la prochaine réouverture du document.


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Ajout de la barred’outils AjustementspatialAvant d’ajuster les donnéesd’entités géographiques dansArcMap, vous devez ajouter labarre d’outils Ajustement spatial.


2. Dans le menu Affichage,pointez sur Barre d’outils puissélectionnez Ajustementspatial pour afficher la barred’outils Ajustement spatial.

3. Cliquez sur la barre de titrede la barre d’outils et faites-laglisser vers le haut de lafenêtre d’applicationd’ArcMap.Astuce

Ajout de la barre d’outilsAjustement spatial à l’aidede la boîte de dialoguePersonnaliserCliquez sur le menu Outils, puissur Personnaliser. Dans la boîtede dialogue Personnaliser, cliquezsur l’onglet Barre d’outils, puisactivez la case à cocher Ajustementspatial.


Choix desdonnées d’entréepour l’ajustementLa première étape du processusd’ajustement spatial consiste àsélectionner les données d’entréepour l’ajustement. Vous avezla possibilité d’ajuster soit lesentités sélectionnées soit toutesles entités de la couche. Cesparamètres sont disponibles dansla boîte de dialogue Choisissezles données d’entrée à ajuster.

1. Dans le menu Ajustementspatial, cliquez sur Définir lesdonnées à ajuster.

La boîte de dialogueChoisissez les donnéesd’entrée à ajuster s’affiche.

2. Décidez si vous voulez ajusterles entités sélectionnées dansune couche ou toutes lesentités d’une couche.

Astuce

Toutes les méthodes desélection sont prises enchargeL’outil Ajustement spatial effectueles sélections faites interactivementou par le biais d’une requêted’attribut.

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Choix d’uneméthode detransformationL’outil Ajustement spatial prend encharge trois types de méthodes detransformation : affine, projectiveet d’Helmert. Sélectionnez uneméthode de transformation dans lesous-menu de méthodesd’ajustement.

1. Cliquez sur le menuAjustement spatial, pointezsur Méthodes d’ajustement,et sélectionnez une méthodede transformation.

Voir aussi

Pour plus d’informations sur lesméthodes d’ajustement spatial,reportez-vous au support deprésentation accompagnant cechapitre.

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1. Cliquez sur le menuAjustement spatial, pointezsur Méthodes d’ajustement,et cliquez sur Déformationélastique.

2. Dans le menu Ajustementspatial, cliquez sur Options.

La boîte de dialoguePropriétés d’ajustementapparaît.

3. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Méthoded’ajustement et sélectionnezDéformation élastique.

4. Cliquez sur le bouton Optionsdes méthodes d’ajustement.

La boîte de dialogue despropriétés de la déformationélastique apparaît.

5. Cliquez sur la méthodecorrespondance de nœudsou linéaire, puis sur OK.

6. Cliquez sur OK pour fermer laboîte de dialogue Propriétésde l’ajustement.

Choix d’uneméthode dedéformationélastiqueL’outil Ajustement spatial prenden charge deux types de méthodesde déformation élastique : Voisinnaturel et Linéaire. SélectionnezDéformation élastique dansle sous-menu Méthodesd’ajustement. Vous pouvezensuite préciser une méthoded’étirement dans la boîte dedialogue Propriétés del’ajustement. La méthodepar défaut est celle de lacorrespondance de nœuds.

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1. Dans le menu Ajustementspatial, pointez sur Méthodesd’ajustement, puis cliquez surCapture de bords.



3. Cliquez sur la flèche deliste déroulante Méthodesd’ajustement, puissélectionnez Recollementde bords.

4. Cliquez sur le boutonOptions des méthodesd’ajustement.

La boîte de dialogueRecollement de bordsapparaît.

5. Cliquez sur la méthode lisseou linéaire.

6. Activez la case à cocher sivous désirez ajuster le centredes liens, puis cliquez sur OK.


Choix d’uneméthode derecollementde bordsL’outil Ajustement spatial prenden charge deux types de méthodesde capture de bords : Lissage etLigne. Sélectionnez Recollementde bords dans le sous-menuMéthodes d’ajustement. Vouspouvez ensuite préciser uneméthode de capture de bords dansla boîte de dialogue Propriétés del’ajustement.

Lorsque vous adoptez la méthodelisse de capture de bords, lessommets situés au point source deliaison sont déplacés vers le pointde destination. Les sommetsrestants sont également déplacéspour donner une impression delissage.

Lorsque vous adoptez la méthodelinéaire de capture de bords, seulsles sommets situés au point sourcede liaison sont déplacés vers lepoint de destination. Les autressommets de l’entité restentinchangés.

La méthode par défaut est laméthode lisse.

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La boîte de dialogue Propriétésd’ajustement apparaît.

2. Cliquez sur l’ongletRecollement de bords.

3. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Couchesource, puis sélectionnezune couche source.

4. Cliquez sur la flèche de la listedéroulante Couche cible, puissélectionnez une couche cible.

5. Activez Utiliser les attributs sivous voulez utiliser lesattributs pour améliorer lerecollement des bords.

6. Si vous ne voulez qu’uneliaison par point de destination,activez la case à cochercorrespondante.

7. Si vous voulez éviter lesdoublons de liaisons, activez lacase à cocher correspondante.

8. Cliquez sur le boutonAttributs si vous avez décidéd’utiliser des attributs.

La boîte de dialogue Attributsdu recollement de bordsapparaît.

9. Faites correspondre lescouches source et cible.


11. Cliquez sur OK lorsque vousavez terminé.


Définition despropriétés decapture de bordsLa méthode de capture de bordsnécessite que vous définissiezdavantage de propriétés que lesautres méthodes. Ces paramètresde propriété sont situés dansl’onglet de recollement des bordsde la boîte de dialogue Propriétésde l’ajustement.

Sélectionnez les couches sourceet cible. Les bords des entités dela couche source seront recollésaux bords des entités de lacouche cible. Si vous décidezd’ajuster les points médians desliaisons, les entités des deuxcouches sont ajustées.

Vous avez la possibilité depréciser une liaison par pointde destination, afin d’éviter lesdoublons de liaison. Cesparamètres peuvent vous éviterdes créer des liaisons inutiles.L’outil Ajustement spatial permetd’utiliser des attributs pouraméliorer le processus derecollement des bords. Dans laboîte de dialogue Mappage dutransfert d’attributs, vous avez lapossibilité d’apparier les champsentre les couches source et cible etd’utiliser des attributs communspour définir le recollement desbords. Cette fonction permet deveiller à la précision durecollement des bords.

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Création de liensde déplacementAvant d’ajuster vos données,vous devez créer des liens dedéplacement afin de définirles coordonnées source et dedestination de l’ajustement. Lesliens sont représentés par desflèches dont la tête pointe versl’emplacement de destination.Vous pouvez créer des liensmanuellement ou les chargerau moyen d’un fichier de liens.

Les liens de déplacement sontreprésentés sous la formed’éléments graphiques dans ledocument ArcMap. Vous pouvezmodifier le symbole, la taille et lacouleur des liens de déplacement.

1. Cliquez sur l’outil Nouveau liende déplacement dans la barred’outils Ajustement spatial.

2. Placez le curseur surl’emplacement sourceet cliquez une fois pourcommencer à ajouterun lien.

3. Placez le curseur surl’emplacement de destinationet cliquez une fois pour finird’ajouter le lien.

Un lien de déplacement reliedésormais l’emplacementsource à l’emplacement dedestination.

Astuce

Utilisez la capture pourgarantir le bonpositionnement des liensUtilisez l’outil Environnement decapture pour définir les agents etentités d’alignement. La captureassure la création des liens auxsommets, sur les bords ou lesextrémités des entités.

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Création deplusieurs liens dedéplacementVous pouvez créer plusieurs liensde déplacement à l’aide de l’outilLiens de déplacement multiples.Cet outil s’avère utile pour leszones comportant de nombreuxliens, telles que les entités decourbes. Il vous fait égalementgagner du temps en permettant lacréation de plusieurs liens à la fois.

1. Cliquez sur l’outil Liens dedéplacement multiples dansla barre d’outils Ajustementspatial.

2. Placez le curseur sur l’entitésource et cliquez une fois.

3. Placez le curseur sur l’entitécible et cliquez une fois.

La boîte de dialogue Nombrede liens apparaît. Cette boîtede dialogue vous permet despécifier le nombre de liensque vous souhaitez créer. u

Astuce

Effectuer un recollementde bords lorsque vousutilisez l’outil Liens dedéplacement multiplesIl convient de recoller les bordsdes entités lors de la création deplusieurs liens.

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4. Saisissez une valeur Nombrede liens et appuyez sur Entrée.La valeur par défaut est 10.

En fonction de la valeur quevous saisissez, les liensmultiples sont créés et relientalors l’entité source à l’entitécible.

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Création de liensd’identitéLes liens d’identité permettent demaintenir des entités en place àdes emplacements spécifiés. Lesliens d’identité peuvent servird’ancres dans la mesure où ilsempêchent le déplacement desentités lors d’un ajustement.

Les liens d’identité ne sontdisponibles que lors de l’utilisationde la méthode d’ajustement del’étirement. A l’instar des liens dedéplacement, les liens d’identitésont représentés sous la formed’éléments graphiques dans ledocument ArcMap.

1. Cliquez sur l’outil Nouveaulien d’identité dans la barred’outils Ajustement spatial.

2. Placez le curseur surl’emplacement source etcliquez une fois.

Ajoutez des liens d’identitéaux emplacements pourempêcher les entités debouger au cours d’unajustement.

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Création d’une zonelimite d’ajustement

1. Cliquez sur l’outil Nouvellezone limite d’ajustement dansla barre d’outils Ajustementspatial.bar.

2. En utilisant le curseur sur lacarte, dessinez un polygoneautour de la zone à déformer.Double-cliquez pour terminerle polygone.

Les entités situées en dehorsde ce polygone ne seront pasaffectées lors de l’ajustement.

3. Cliquez sur l’outil Effacer lazone limite d’ajustement dansla barre d’outils Ajustementspatial pour supprimer lepolygone de la zone limited’ajustement.

Utilisation desoutils Zone limited’ajustementVous pouvez limiter l’étendued’une zone d’ajustement àl’aide de l’outil Zone limited’ajustement. Cet outil n’estdisponible qu’avec la méthoded’ajustement de l’étirement.

Il permet de dessiner un polygoneautour des entités à ajuster. Lesentités situées en dehors de cepolygone ne sont pas affectéespar l’ajustement, qu’elles soientsélectionnées ou non. L’outilZone limite d’ajustement proposeune fonction d’ancrage d’entitéssimilaire à celle des liensd’identité. Toutefois, si vousdevez ajouter un grand nombrede liens d’identité, l’utilisation del’outil Zone limite d’ajustementpeut vous faire gagner du temps.

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Utilisation de l’outilRecollement debordsL’outil Recollement de bordspermet de créer plusieurs liensde déplacement reliant les bordsde deux couches avoisinantes.Une fois les agents et tolérancesd’alignement définis, utilisezl’outil pour faire glisser un cadreautour des entités dont vousvoulez recoller les bords. Cetteopération crée des liens entre lesentités source et cible les plusproches par défaut.

Vous pouvez aussi définir d’autrespropriétés pour améliorer lacréation de liens, par exemple,vous pouvez limiter la créationd’un seul lien par point dedestination et empêcher lacréation de liens en double.

Ces propriétés, conjuguées avec desparamètres de capture appropriés,permettent de garantir l’exactitudedu recollement des bords.

1. Cliquez sur l’outil derecollement de bords dansla barre d’outils Ajustementspatial.

2. Faites glisser un cadre autourdes entités dont les bordssont à recoller.

Les liens relient les bords dela couche source aux bordsde la couche cible.

Astuce

Utiliser les attributs pourparfaire le recollement desbordsL’option Utiliser les attributs,située dans la boîte de dialoguePropriétés du recollement de bordspeut compléter la création desliens en garantissant qu’ils relientdes entités dont les valeursd’attributs sont communes.

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Modification dessymboles de lienet de zone limited’ajustementVous pouvez personnaliser lasymbologie des liens dedéplacement, des liens d’identitéet de la zone limite d’ajustement.Ces paramètres se trouvent dansla boîte de dialogue Propriétésde l’ajustement. Lorsque vouscliquez sur les boutonscorrespondant aux symbolesde lien de déplacement, liend’identité ou zone limited’ajustement, la boîte dedialogue Sélecteur de symboless’affiche. Dans cette fenêtre,vous pouvez choisir un nouveaustyle et de nouvelles taille etcouleur pour les liens et la zonelimite d’ajustement. Le sélecteurde symboles présente des optionspermettant de modifier lessymboles en fonction du typede géométrie des élémentsgraphiques.



2. Cliquez sur les boutonsreprésentant les symboles delien de déplacement, liend’identité ou zone limited’ajustement.

La boîte de dialogue Sélecteurde symboles s’affiche.

3. Choisissez un symboledifférent, modifiez la taille dusymbole et/ou précisez unenouvelle couleur de symbole,puis cliquez sur OK.

4. Cliquez sur OK pour fermer laboîte de dialogue Propriétésde l’ajustement. 4

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Sélection de liensLes liens de déplacement etd’identité sont sélectionnés àl’aide de l’outil Sélectionner leséléments de la barre d’outilsAjustement spatial.

Avant de pouvoir modifier ousupprimer un lien, vous devez lesélectionner.

Sélection d’un lien1. Cliquez sur le bouton

Sélectionner les éléments dela barre d’outils Ajustementspatial.

2. Placez le curseur sur le lien àsélectionner et cliquez une fois.

Des poignées de sélectionapparaissent aux extrémitésdu lien.

Astuce

Utiliser l’outil Sélectionnerles éléments de la barred’outils standard d’ArcMapVous pouvez égalementsélectionner des liens à l’aide del’outil Sélectionner les éléments.

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Sélection de plusieursliens1. Cliquez sur le bouton


2. Faites glisser un cadre autourdes liens à sélectionner.

Des poignées de sélectionapparaissent aux extrémitésdes liens.

Astuce

Utiliser la touche Maj poursélectionner plusieursliens à la foisVous pouvez sélectionner plusieursliens en maintenant enfoncée latouche Maj et en cliquantsimultanément sur les liens à l’aidede l’outil Sélectionner les éléments.

Astuce

Utiliser la commandeSélectionner tous lesélémentsVous pouvez sélectionner tous lesliens du document ArcMap à l’aidede la commande Sélectionner tousles éléments. Dans le menuEdition, cliquez sur l’optionSélectionner tous les éléments.

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Modificationde liens dedéplacementLes liens de déplacement sontmodifiables à l’aide de l’outilModifier un lien. Ils doivent êtresélectionnés avant d’être modifiés.Vous pouvez modifier les liens lorsd’une session de mise à jour ou endehors de la session. Vous pouvezle modifier à l’emplacement sourceou de destination ou déplacer lelien entier vers un nouvelemplacement.

1. Cliquez sur le boutonSélectionner les éléments dela barre d’outils Ajustementspatial.

2. Placez le curseur sur le lien àmodifier et cliquez une fois.

Des poignées de sélectionapparaissent aux extrémitésdu lien. u

Astuce

Utiliser l’outil Sélectionnerles éléments pour modifierles liens d’identitéVous pouvez modifier les liens àl’aide de l’outil Sélectionner leséléments. Cliquez simplement surun lien d’identité et faites-le glisservers un nouvel emplacement.

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3. Cliquez sur l’outil Modifier unlien dans la barre d’outilsAjustement spatial.

4. Placez le curseur sur lespoints source et dedestination du lien.

Le curseur de lien setransforme en curseur deflèche.

5. Déplacez l’extrémité du lienvers l’emplacement voulu.

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Suppressionde liens dedéplacementLes liens de déplacement peuventêtre supprimés à l’aide de lacommande Supprimer ou enappuyant sur la touche Suppr.Avant de supprimer des liens,vous devez les sélectionner. Vouspouvez supprimer les liens lorsd’une session de mise à jour ouen dehors de la session.

Suppression d’un lien1. Cliquez sur le bouton


2. Placez le curseur sur le lien àsupprimer et cliquez une fois.

Des poignées de sélectionapparaissent aux extrémitésdu lien.

3. Appuyez sur la toucheSupprimer.

Astuce

Utiliser la commandeSupprimer pour supprimerles liensDans le menu Edition, cliquez surSupprimer pour supprimer les liens.

Astuce

Supprimer des liens dansla table de liensVous pouvez également supprimerdes liens à l’aide de la table deliens. Cliquez avec le bouton droitsur un enregistrement de lien pourouvrir le menu contextuel, puissélectionnez Supprimer le(s) lien(s)pour ouvrir la table des liens. Voir« Affichage de la table des liens »,plus loin dans ce chapitre.

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Suppression de plusieursliens

1. Cliquez sur le boutonSélectionner les éléments dela barre d’outils Ajustementspatial.

2. Faites glisser un cadre autourdes liens à supprimer.

Vous pouvez aussisélectionner plusieurs liensen maintenant enfoncée latouche Maj et en sélectionnantsimultanément les liens.

3. Appuyez sur la toucheSupprimer.

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Affichage de latable des liensLa table de liens affiche les liensde déplacement dans un formattabulaire. Cette table affiche lescoordonnées source et de desti-nation des liens, les IDde lien etl’erreur résiduelle de l’ajuste-ment (les erreurs résiduelles nes’affichent que pour les ajuste-ments par transformation).

Vous pouvez sélectionner desliens en cliquant sur une lignede la table. Vous pouvez modi-fier les coordonnées des lienssélectionnés. Vous pouvezaussi sélectionner plusieursliens en maintenant enfoncée latouche Maj et en sélectionnantsimultanément les lignes. Lors-que vous avez sélectionné unlien, cliquez sur le bouton droitpour ouvrir un menu contextuelTable de liens. Ce menu prenden charge les commandes per-mettant de faire clignoter lesliens, de les déplacer, d’agrandirou de réduire leur affichage etde les supprimer.

1. Dans le menu Ajustementspatial, pointez sur Liens,puis cliquez sur Afficher latable de liens.

La boîte de dialogue Tabledes liens s’affiche.

2. Cliquez sur une ligne de latable pour mettre un lien ensurbrillance.

3. Lorsque l’enregistrement dulien est mis en surbrillance,vous pouvez modifier sescoordonnées ou supprimer lelien en cliquant sur Supprimerun lien.

4. Cliquez avec le bouton droitsur le lien en surbrillance pouraccéder au menu contextuelTable de liens. Vous pouvezdéplacer le lien, faire un zoomdessus, sélectionner le lien etle supprimer à l’aide descommandes de ce menu.

5. Lorsque vous avez terminédans la Table des liens,cliquez sur Fermer pourfermer la fenêtre.

Astuce

Ouvrir la Table des liens àpartir de la barre d’outilsVous pouvez également ouvrir latable des liens en cliquant sur lebouton Visualiser la table des liens(illustré ci-dessous) situé dans labarre d’outils Ajustement spatial.

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1. Dans le menu Ajustementspatial, pointez sur Liens,puis cliquez sur Ouvrir lefichier de liens.

La boîte de dialogue Ouvrirs’affiche.

2. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Regarderdans et allez dans le dossiercontenant le fichier de liens.

3. Double-cliquez sur le fichierde liens pour le charger.

Les liens de déplacementsont automatiquement créésdans la carte.

Ouverture d’unfichier de liensLes fichiers de liens sont desfichiers de texte contenant descoordonnées source et dedestination qui définissent unajustement. L’outil Ajustementspatial prend en charge lesfichiers de liens séparés par destabulations contenant quatre oucinq colonnes. Un fichier de liensà quatre colonnes est composéde deux paires de valeurs decoordonnées source et dedestination. Un fichier de liens àcinq colonnes est composé d’unecolonne contenant un identifiant(alphabétique ou numérique)suivi de deux paires de valeursde coordonnées source et dedestination.

Lorsque vous ouvrez un fichier deliens, l’outil Ajustement spatialcrée automatiquement des liensde déplacement dans le documentArcMap en fonction des valeursde coordonnées source et dedestination contenues dans lefichier. Les fichiers de lienspermettent de gagner du tempsen automatisant le processus decréation de liens.

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Enregistrementd’un fichier deliensVous pouvez créer un fichierde liens à partir des liens dedéplacement existant dans ledocument ArcMap à l’aide de lacommande Enregistrer fichier deliens. Cette commande ouvre uneboîte de dialogue d’enregistrementet vous permet de naviguer versle dossier de votre choix etd’attribuer un nom au nouveaufichier de liens. Vous pouvezégalement enregistrer lesidentifiants de liens. Le fichierde liens est enregistré en tant quefichier de texte séparé par destabulations.

1. Dans le menu Ajustementspatial, pointez sur Liens,puis cliquez sur Enregistrerle fichier de liens.

La boîte de dialogueEnregistrer les liens s’affiche.

2. Cliquez sur la flèche pointantvers le bas Enregistrer danset amenez le curseur sur ledossier où vous voulezenregistrer le fichier de liens.

3. Saisissez un nom.


5. Indiquez si vous voulez ounon enregistrer les ID du lien.

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Ouverture d’unfichier de pointsde contrôleLes fichiers de points de contrôlesont des fichiers de textecontenant des coordonnées dedestination qui définissent unepartie d’un ajustement. L’outilAjustement spatial prend encharge les fichiers de points decontrôle séparés par des tabula-tions contenant deux ou troiscolonnes. Un fichier de pointsde contrôle à deux colonnes estcomposé d’une paire de valeursde coordonnées de destination.Un fichier de points de contrôleà trois colonnes est composéd’une colonne ID (chaîne ounumérique) précédant une pairede valeurs de coordonnées dedestination. Les points decontrôle peuvent représenter desemplacements d’entités connusgrâce au GPS ou à des études duterrain ; ils s’affichent dans lafenêtre Points de contrôle.

1. Dans le menu Ajustementspatial, pointez sur Liens,puis cliquez sur Ouvrir lefichier de points de contrôle.

La boîte de dialogue Ouvrirs’affiche.

2. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Regarderdans et allez dans le dossiercontenant le fichier de pointsde contrôle.

3. Double-cliquez sur le fichierde points de contrôle pour lecharger.

La fenêtre Points de contrôles’affiche.

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Création de liensde déplacement àpartir de pointsde contrôleL’ouverture d’un fichier depoints de contrôle ne crée pasautomatiquement des liens dedéplacement comme pour lesfichiers de liens. Vous devezcréer les liens manuellement àpartir des points de contrôle.Pour ce faire, vous devez ouvrirla fenêtre Points de contrôle avecla commande Afficher les pointsde contrôle, puis double-cliquersur chaque ligne pour créer unlien de destination dans la carte.Une fois le lien créé àl’emplacement de destination,vous devez finir d’ajouter le lienvers l’emplacement source. Celarelie l’entité source à l’entitécible. Répétez cette procédurejusqu’à ce que les lignes du pointde contrôle soient supprimées dela fenêtre Points de contrôle.

1. Dans le menu Ajustementspatial, pointez sur Liens,puis cliquez sur Afficher lespoints de contrôle.

La fenêtre Points de contrôles’affiche.

2. Double-cliquez sur une lignedans la fenêtre Points decontrôle.

Vous créez ainsi un lien qui estcapturé pour un emplacementde destination. u

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3. Capturez le lien vers unemplacement source.

La ligne est maintenantsupprimée de la fenêtrePoints de contrôle.

4. Répétez les étapes 2 et 3jusqu’à ce que toutes leslignes de la fenêtre Points decontrôle soient supprimées ettransformées en liens dedéplacement.

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1. Dans le menu Ajustementspatial, cliquez sur Fenêtred’aperçu.

La fenêtre Aperçu del’ajustement s’affiche.

2. Examinez l’ajustement deplus près en utilisant lescommandes Zoom etDéplacer de la barre d’outilsd’affichage de carte standard.

3. Vous pouvez accéder àd’autres commandes encliquant avec le bouton droitdans la fenêtre Aperçu del’ajustement pour ouvrir lemenu contextuel.

Aperçu del’ajustementVous pouvez obtenir un aperçude l’ajustement à l’aide de lafenêtre Aperçu de l’ajustement.Cette fenêtre permet de visualiserles résultats d’un ajustementavant de le lancer dans ledocument ArcMap. Vous pouvezavoir recours aux commandesZoom et Déplacer d’ArcMapdans cette fenêtre pour examinerplus attentivement l’impact del’ajustement sur les entités.Cela vous donne une occasion derevenir au document ArcMappour y apporter des modificationsavant d’ajuster les données. Enoutre, la fenêtre d’aperçu del’ajustement prend en charge sespropres commandes d’affichageà partir d’un menu contextuel,comme le zoom sur l’étendue dubloc de données et le suivi del’étendue du bloc de données.

La fenêtre Aperçu de l’ajustementvous permet de gagner du tempset vous épargne des modificationsinutiles en vous proposant uneprévisualisation du résultat finalde l’ajustement.

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1. Cliquez sur le menu Ajustementspatial puis sur Ajuster.

Les données sont désormaisajustées.

Lancement del’ajustementUne fois que vous avez sélectionnéles données à ajuster, retenu uneméthode d’ajustement, défini lespropriétés de l’ajustement et créédes liens et des zones limitesd’ajustement, vous pouvez ajusterles données. Si vous cliquez sur lacommande Ajuster, vous exécutezl’ajustement spatial.

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Astuce

Utiliser la commandeAnnuler pour annuler unajustementTous les ajustements peuvent êtreannulés en cliquant sur le boutonAnnuler :


Mappage dutransfert d’attributset outilsLes fonctions de mappage dutransfert d’attributs prennent encharge le transfert interactifd’attributs entre entités. La boîtede dialogue Mappage du transfertd’attributs permet de définir lescouches source et cible et depréciser les champs à utilisercomme critères pour le transfertd’attributs. Dès lors que vousavez identifié les champscommuns dans les couchessource et cible, ils sont mis encorrespondance. Ces champsmappés définissent les attributsà transférer lorsque vous utilisezl’outil Transfert d’attributs. Vousavez également la possibilité detransférer la géométrie de l’entitéen activant la case à cocherTransférer la géométrie.

1. Dans le menu Ajustementspatial, cliquez sur Mappagedu transfert d’attributs.

La boîte de dialogueMappage du transfertd’attributs apparaît.

2. Cliquez sur la flèche de la listedéroulante Couche source,puis sélectionnez une couche.

3. Cliquez sur la flèche de la listedéroulante Couche cible, puissélectionnez une couche.

4. Cliquez sur un champ dans lazone de liste du champ de lacouche source. u

Astuce

Utilisation de la commandeAuto concordance pourfaire correspondreplusieurs champs à la foisVous pouvez utiliser la commanded’appariement automatique pourapparier plusieurs champs enmême temps en vous appuyant surles noms des champs communs.

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5. Cliquez sur un champcorrespondant dans la zonede liste de champ de lacouche cible.

Les deux champs sont mis ensurbrillance.


Répétez ce processus pourtous les autres champs àutiliser comme critères pourle transfert d’attributs.

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Utilisation del’outil Transfertd’attributsL’outil Transfert d’attributspermet de transférer les attributsd’une entité vers une autre. Cetransfert s’effectue en faisantcorrespondre les champs qui sontspécifiés dans la boîte de dialogueMappage du transfert d’attributs.

L’outil Transfert d’attributspermet de sélectionner une entitésource suivie d’une entité cible.Une fois le transfert terminé,vérifiez les attributs de l’entitécible à l’aide de l’outil Identifier.

1. Cliquez sur le bouton Transfertd’attributs de la barre d’outilsAjustement spatial.

2. Placez le curseur sur l’entitésource et cliquez une fois.

Il s’agit de l’entité contenantles données attributairesadéquates.

3. Placez le curseur sur l’entitécible et cliquez une fois poury transférer les donnéesattributaires de l’entité source.

L’entité cible est mise à jouravec les données attributairesde l’entité source.

Astuce

Transférer des attributs àplusieurs entitésVous pouvez transférer des attributsà plusieurs entités en maintenantenfoncée la touche Maj et ensélectionnant simultanément lesentités cible.

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3Voir aussi

Pour plus d’informations surl’utilisation de la boîte de dialogueMappage du transfert d’attributs,consultez la section « Mappage dutransfert d’attributs » dans cechapitre.

DANS CE CHAPITRE

279

9• Affichage des attributs

• Ajout et modification des attributs

• Copie et collage des attributs

Mise à jour des attributs

La création et la mise à jour d’entités dans un SIG impliquent généralementla création ou la mise à jour de certains attributs des entités, en plus de lacréation de leur forme.

ArcMap facilite l’affichage et la mise à jour des attributs des entités dans labase de données. Vous pouvez modifier les attributs des entités de deuxmanières : à l’aide de la boîte de dialogue Attributs ou à l’aide de la tableattributaire de la couche d’une entité. Ce chapitre décrit la modification desattributs à l’aide de la boîte de dialogue Attribut. Grâce à la boîte de dialogueAttributs, vous pouvez afficher les attributs des entités sélectionnées survotre carte, ajouter, supprimer ou modifier un attribut d’une seule ou deplusieurs entités simultanément. Vous pouvez également copier et coller desattributs individuels ou l’ensemble des attributs d’une entité.

Vous pouvez effectuer les mêmes opérations à l’aide de la table attributairecorrespondant à la couche d’une entité. Toutefois, les tables vous permettentégalement de rébaliser des calculs, tels qu’ajouter et trier des enregistrements,avec des valeurs attributaires. Pour apprendre comment modifier des attributsdans une table attributaire (y compris réaliser des calculs avec des valeursattributaires), voir la section Utilisation d’ArcMap.

Le chapitre suivant vous explique comment profiter de l’étroite intégrationd’ArcMap à des géodatabases pour accélérer et affiner la modificationd’attributs.


Affichage desattributsLa boîte de dialogue Attributspermet d’afficher les attributs desentités sélectionnées sur une carte.La partie gauche de la boîte dedialogue répertorie les entitéssélectionnées. Elles sont classéesen fonction de leur champd’affichage principal etregroupées en fonction du nomde la couche à laquelle ellesappartiennent. Le nombred’entités sélectionnées est affichéen bas de la boîte de dialogue.

La partie droite de la boîte dedialogue Attribut est appeléel’examinateur de propriétés.L’examinateur de propriétéscontient deux colonnes : lespropriétés attributaires de lacouche affichée (ex. Type ouPropriétaire) et les valeurscorrespondantes.


2. Sélectionnez les entités dontvous souhaitez afficher lesattributs.

3. Cliquez sur le boutonAttributs.

4. Cliquez sur le nom de lacouche contenant les entitésdont vous souhaitez afficherles attributs.

Les propriétés attributaires dela couche apparaissent dansla partie droite de la boîte dedialogue. u

Astuce

Recherche d’une entité surla carteVous pouvez localiser une entitésélectionnée sur la carte en lamettant en surbrillance ou enzoomant sur elle. Pour la mettre ensurbrillance, cliquez sur le champd’affichage principal pour faireclignoter l’entité sur la carte.Cliquez avec le bouton droit sur lechamp, puis cliquez sur Zoomer sur,dans le menu contextuel, pour unevue rapprochée de l’entité. Cliquezsur le bouton Arrière dans la barred’outils Outils pour revenir aucadrage précédent de la carte.

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Les propriétés attributairesde la couche s’affichent.

MISE À JOUR DES ATTRIBUTS 281

5. Double-cliquez sur le nomd’une couche pour voirles champs d’affichageprincipaux représentant lesentités sélectionnées dansla couche.

Double-cliquez à nouveaupour masquer les champsd’affichage principal.

6. Cliquez sur un champd’affichage principal pour voirles valeurs attributaires del’entité correspondante.

L’entité concernée clignotesur la carte.

7. Cliquez sur le bouton Fermerpour fermer la boîte dedialogue.

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Astuce

Modification du champd’affichage principalVous pouvez changer le champd’affichage principal d’une couchesous l’onglet Champs de la boîtede dialogue des propriétés de lacouche. Pour ouvrir la boîte dedialogue, cliquez avec le boutondroit sur le nom de la couche dansla table des matières.

Astuce

Affichage des attributsdans la fenêtre Résultatsd’identificationPour afficher rapidement les attributsd’une entité, cliquez sur le boutonIdentifier les entités dans la barred’outils Outils, puis sur l’entité dontvous souhaiter voir les attributs.Affichez les attributs de l’entité dansla fenêtre Résultats d’identification.

Astuce

Supprimer une entitésélectionnéeSi vous souhaitez supprimer uneentité sans perdre votre sélection,cliquez avec le bouton droit surcelle-ci, puis sélectionnezSupprimer dans le menu contextuel.

Astuce

Désélectionner une entitéVous pouvez supprimer des entitésde la sélection sans cliquer sur lacarte. Pour la désélectionner, cliquezavec le bouton droit sur l’entité, puiscliquez sur Désélectionner dans lemenu contextuel.


Ajout etmodification desattributsLa méthode la plus facile pourmodifier les attributs d’une entitésélectionnée consiste à utiliser laboîte de dialogue Attributs.

Vous pouvez ajouter ou modifierles attributs des entités sélec-tionnées, le cas échéant. Parexemple, vous pouvez souhaitermettre à jour les valeurs attribu-taires (ex. nom et paramètres demaintenance) d’une entité Parcque vous avez créée.

Pour ajouter ou modifier unevaleur attributaire d’une seuleentité, cliquez sur le champd’affichage principal correspon-dant dans la partie gauche de laboîte de dialogue, puis effectuezvos modifications dans lacolonne Valeur, située à droite. u

Ajout d’une valeurattributaire à une seuleentité

1. Cliquez sur le champd’affichage principal de l’entitéà laquelle vous souhaitezajouter une valeur attributaire.

2. Cliquez dans la colonneValeurs, à l’endroit où vousvoulez ajouter la valeur del’attribut.

3. Saisissez la valeur de l’attributet appuyez sur Entrée.

La valeur attributaire estajoutée à l’entité.

Ajout d’une valeurattributaire à l’ensembledes entités sélectionnéesd’une couche

1. Cliquez sur la couche àlaquelle vous souhaitezajouter une valeur attributaire.

2. Cliquez dans la colonneValeurs, à l’endroit où vousvoulez ajouter la valeur del’attribut.

3. Saisissez la valeur de l’attributet appuyez sur Entrée.

La valeur attributaire estajoutée à toutes les entitéssélectionnées de la couche.

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Astuce

Enregistrement de vosmises à jourCliquez sur le menu Editeur, puissur Enregistrer les mises à jour.

Astuce

Domaines attributairesVous pouvez utiliser des domainesattributaires pour créer une listede valeurs valides correspondant àune entité dans une géodatabase.Vous pouvez également utiliser lacommande Valider pour garantirla qualité de l’attribut. Pour plusd’informations, voir Créationd’une Géodatabase.


Modification d’une valeurattributaire d’une entité

1. Cliquez sur le champd’affichage principal del’entité dont vous souhaitezmodifier une valeurattributaire.

2. Cliquez sur la valeur àmodifier.

3. Saisissez une nouvelle valeurpour l’attribut et appuyez surEntrée.

L’attribut de l’entité estmodifié.

Modification d’une valeurattributaire pour l’ensembledes entités sélectionnéesd’une couche

1. Cliquez sur la couche dontvous souhaitez modifier unevaleur attributaire.

2. Dans la colonne Valeur,cliquez à côté de la propriétéattributaire que voussouhaitez modifier pourtoutes les entitéssélectionnées de la couche.

3. Saisissez une nouvelle valeurpour l’attribut et appuyez surEntrée.

L’attribut est modifié pourtoutes les entitéssélectionnées de la couche.

Vous pouvez également ajouter oumodifier simultanément unevaleur attributaire de toutes lesentités sélectionnées dans unecouche. Pour cela, cliquez sur lenom de la couche à gauche, puiseffectuez vos modifications dansla colonne Valeur, à droite.

Astuce

Exécution de calculsLors de la mise à jour des attributs,il peut être nécessaire d’effectuerdes calculs à l’aide du calculateurde champ situé dans la boîte dedialogue de la table attributairecorrespondant à la couche del’entité. Pour plus d’informations,voir Utilisation d’ArcMap.

Astuce

Ajout de propriétésattributairesVous pouvez ajouter une propriétéattributaire à une entité en utilisantsa table attributaire dans ArcCatalog.Pour plus d’informations, voirUtilisation d’ArcCatalog.

Astuce

Suppression des attributsPour supprimer une valeurattributaire, cliquez avec le boutondroit sur la valeur, puis sélectionnezSupprimer. Vous pouvez égalementappuyer sur la touche Supprimerpour obtenir le même résultat.

Astuce

Annulation de vos mises à jourPour annuler les mises à jour desattributs d’une entité, cliquez sur lebouton Annuler dans la barred’outils Standard d’ArcMap.

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Copie et collagedes attributsLa méthode copier-coller permetde modifier rapidement les attri-buts des entités figurant sur unecarte. Vous pouvez copier cha-que valeur attributaire ou l’en-semble des valeurs attributairesd’une entité. Les valeurs attribu-taires peuvent être collées dansune seule entité ou dans l’en-semble des entités sélectionnéesd’une couche.

Copie et collage d’unevaleur attributaire d’uneentité à une autre

1. Cliquez sur la valeurattributaire que voussouhaitez copier.

2. Cliquez avec le bouton droitsur la valeur à copier, puissélectionnez Copier.

3. Cliquez sur le champd’affichage principal del’entité dans laquelle voussouhaitez coller la valeur.

4. Cliquez à l’endroit où voussouhaitez coller la valeur.

5. Cliquez avec le bouton droit àl’endroit où vous souhaitezcoller la valeur, puissélectionnez Coller.

La valeur attributaire estcollée dans l’entité.

Astuce

Copie et collage d’unevaleur attributaire dansl’intégralité d’une couchePour copier une valeur attributairedans une couche, cliquez sur lavaleur à copier, cliquez avec lebouton droit et sélectionnez Copier.Puis, cliquez sur le nom de lacouche et cliquez avec le boutondroit, dans la colonne Valeur, à côtéde la propriété appropriée. Cliquezsur Coller, les valeurs attributairessont alors copiées dans toutes lesentités sélectionnées de la couche.

Astuce

Coupage et collage desattributsLa méthode couper-coller estidentique à copier-coller pour lesattributs. Cliquez sur le bouton droitpuis sélectionnez Couper dans lemenu contextuel pour supprimer lavaleur attributaire de son emplace-ment actuel dans la boîte de dialogueAttributs, puis cliquez sur Coller pourla coller dans un autre endroit.

La valeur attributaireest collée dans l’entité.

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Copie et collage detoutes les valeursattributaires d’une entitéà une autre

1. Cliquez, avec le bouton droitde la souris, sur le champd’affichage principal de l’entitédont vous voulez copier lesvaleurs attributaires puiscliquez sur Copier.

2. Cliquez, avec le bouton droit,sur le champ d’affichageprincipal de l’entité danslaquelle vous voulez collerles valeurs attributaires, puiscliquez sur Coller.

Les valeurs attributaires sontcollées dans l’entité.

Astuce

Copie et collage de toutesles valeurs attributairesd’une entité versl’intégralité d’une coucheVous pouvez copier toutes lesvaleurs attributaires d’une entitévers l’ensemble des entitéssélectionnées d’une couche.Cliquez, avec le bouton droit de lasouris, sur le champ d’affichageprincipal de l’entité dont vousvoulez copier les valeursattributaires puis cliquez surCopier. Cliquez avec le boutondroit sur le nom de la couche danslaquelle vous souhaitez coller lesvaleurs attributaires. Cliquez surColler, les valeurs attributairessont alors copiées dans toutes lesentités sélectionnées de la couche.

Les valeursattributaires sontcollées dans l’entité.

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DANS CE CHAPITRE

287

10• Modification d’une géodatabase

avec ArcMap

• Modification d’entités avec dessous-types et des valeurs pardéfaut

• Modification des domainesattributaires

• Validation d’entités

Mise à jour des attributsde géodatabase

Certaines entités d’une géodatabase sont conçues avec des sous-types, desvaleurs par défaut et des domaines attributaires. Ceci peut accélérer et faciliter lamodification des attributs des entités, et éviter des erreurs de saisie de données.

Les sous-types sont des catégories logiquement distinctes d’un type donnéd’entités pouvant posséder des attributs, des rôles de réseau ou des règles detopologie différents. Lorsque vous créez une entité dans une classe avec dessous-types, vous pouvez choisir le sous-type d’entité à créer. Par exemple, lorsde la création d’un tracé d’immeuble, vous pouvez avoir le choix entre lessous-types de bâtiment résidentiel, résidentiel haute densité, mobile home,commercial, industriel, école et administration publique.

Les sous-types représentant des groupes logiques à l’intérieur d’une classed’entités, ils peuvent en général posséder des attributs différents. En plus d’uncode identifiant les sous-types, chaque sous-type peut posséder des codesidentifiant le mode de collecte des données. Les bâtiments résidentiels peuventavoir la description de source par défaut « numérisés à partir de plats », tandis quecelle des mobile homes sera « numérisés à partir de photos ortho. ». Il pourraits’agir de deux descriptions de source autorisées parmi une liste de cinq.

Les attributs d’une géodatabase peuvent avoir des règles spécifiant que leursvaleurs doivent s’inscrire dans une plage donnée ou figurer dans une liste devaleurs autorisées. Les entités de bâtiments peuvent toutes avoir un chiffred’occupation pour la planification des urgences. Les bâtiments résidentielspeuvent avoir une plage d’occupation correcte comprise entre 0 et 15, tandisque les bâtiments commerciaux peuvent avoir une plage autorisée de 0 à 500.

Après avoir saisi des attributs pour les entités possédant des domainesspécifiés dans la géodatabase, vous pouvez valider vos modifications pourvérifier que les attributs entrent dans le domaine autorisé.



Les fonctions d’édition ArcMap sont étroitement intégréesaux divers aspects de la géodatabase, tels que les réseauxgéométriques et les règles de validation. Même si chaquecomposant de la géodatabase peut agir indépendamment desautres, la véritable puissance de la géodatabase n’apparaît quelorsque tous ces éléments sont réunis.

Ce chapitre vous explique comment l’édition dans ArcMap tireparti des aspects d’une géodatabase qui vous aident à gérer unebase de données valide.

Règles de validation

La géodatabase prend en charge plusieurs grands types de règlesde validation : règles de validation des attributs, règles deconnectivité de réseau et règles de relation. Il est important decomprendre que ces règles de validation peuvent être violées ;dans certains cas, une géodatabase permet le stockage d’objetsnon valides dans la base de données.

Si vous avez par exemple une règle d’attribut stipulant que laplage de pression valide pour une conduite principale d’eau dansle réseau se situe entre 50 et 75 psi, la géodatabase ne vousempêche pas de stocker une valeur en-dehors de cette plage.Cependant, une conduite d’eau dont la pression se situe hors dela plage est un objet non valide dans la géodatabase. ArcMappossède de nombreux outils de modification vous permettantd’identifier les entités non valides pour pouvoir les corriger.

Les exceptions sont les règles de connectivité tronçon–tronçon,les règles de connectivité tronçon–jonction et les règlesd’attributs à valeur précodée. Dans ces cas, ArcMap joue un rôleplus actif lors de la modification d’entités associées à ces règles.Vous découvrirez comment les modifications dans ArcMap secomportent dans ces contextes plus loin dans ce chapitre.

L’approche générale du problème de validation des entités estque le processus de validation ne doit pas donner comme résultat

des entités valides libellées non valides (fausses négatives). Il estcependant acceptable d’avoir des entités non valides qualifiées devalides (fausses positives). Si la géodatabase ne met pas en placela validation, toutes les entités sont valides. La validation d’uneentité particulière se fait en cinq étapes :

1. Validation du sous-type.

2. Validation des règles d’attributs.

3. Validation des règles de connectivité réseau (s’il y a desentités réseau).

4. Validation personnalisée (à l’aide de l’extension de classe enoption).

5. Validation des règles de relations.

Cette stratégie signifie que la validation la plus économique se faiten premier. Le processus de validation s’interrompt lorsqu’uneentité est non valide. Ainsi, par exemple, si une entités échoue autest de validité lors de la première vérification, les deuxième,troisième, quatrième et cinquième vérification ne se feront pas.

Lors de la vérification des règles de connectivité et de relations,toutes les règles associées doivent être valides. Dans le cas desrègles de connectivité, si vous en spécifiez une, vous devez toutesles spécifier. Ainsi, s’il existe un type de connectivité qui n’a pasde règle de connectivité associée, l’entité de réseau est fatalementnon valide.

En plus de ces règles, des règles de topologie peuvent égalementêtre établies. Pour de plus amples informations, reportez-vous auchapitre 4, « Mise à jour de la topologie ».

Pour en savoir davantage sur les règles de validation desattributs, consultez la section Construction d’une géodatabase.Pour en savoir plus sur les règles de connectivité, voir lechapitre 12, « Modification des réseaux géométriques », de cemanuel, ou Construction d’une géodatabase.

Modification d’une géodatabase avec ArcMap


MISE À JOUR DES ATTRIBUTS DE GÉODATABASE 289

Modificationd’entités avecdes sous-typeset des valeurspar défautLes classes d’entités et sous-types individuels de classesd’entités d’une géodatabasepeuvent avoir des valeurs pardéfaut.

Les valeurs par défaut aidentà rationaliser le processus demodification des attributs et àconserver des valeurs réalistespour les attributs des entités devotre base de données. Si laplupart des entités de bâtimentscréées dans une classesd’entités sont résidentielles,vous pouvez avoir une valeurpar défaut résidentiel pourl’attribut de type de bâtiment.Lorsque vous créez ensuiteun bâtiment, il reçoitautomatiquement la valeurd’attribut résidentiel. Dans lesrares cas où le bâtiment estd’un autre type, vous pouvezchanger l’attribut.

Si votre classe d’entitéscontient des sous-types,lorsque vous changez le sous-type d’une entité, cette dernièreprend les valeurs de champ pardéfaut du nouveau sous-type.

Création d’entités d’unsous-type

1. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Tâche, puissélectionnez l’option Créerune nouvelle entité.

2. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Couche cible,puis sur la couche contenantle type d’entités que voussouhaitez créer.

3. Cliquez sur la flèche pointantvers le bas de la paletted’outils, puis sur l’outilConstruction.

4. Cliquez sur la carte pournumériser les sommets del’entité. u


4

3

1

2


5. Double-cliquez sur le derniersommet pour terminer l’entité.


La boîte de dialogue Attributss’affiche. Vous remarquerezque certains champscontiennent déjà des valeurs.Il s’agit des valeurs pardéfaut définies lors de lacréation de cette classed’entités.

7. Cliquez sur les champs àmodifier, puis saisissez lesnouvelles valeurs.

8. Cliquez sur le bouton Fermerpour fermer la boîte dedialogue.


7

8

6


Modification du sous-type d’une entité


2. Cliquez sur l’entité dont voussouhaitez modifier le sous-type.

3. Cliquez sur le bouton Attributs.

4. Cliquez sur la valeur duchamp de sous-type.

Une liste déroulante apparaîtcontenant tous les sous-types disponibles.

5. Cliquez sur le sous-typesouhaité. u

Voir aussi

Pour en savoir davantage sur lessous-types et les domainesattributaires, consultez la sectionConstruction d’une géodatabase.


5

4

3

2

1


Le bâtiment estdésormais marquéavec la symbologie dunouveau sous-type del’entité.

La symbologie de l’entitéchange pour correspondre aunouveau sous-type. Leschamps avec des valeurs pardéfaut prennent ces valeurspour le nouveau sous-type.

Astuce

Valeurs par défautLorsque vous changez le sous-typed’une entité, les champs prennentles valeurs par défaut du nouveausous-type. Si un champ ne contientaucune valeur par défaut associéepour le nouveau sous-type, savaleur reste inchangée.



Modification des champsà valeur précodée


2. Cliquez sur les entités dontvous souhaitez modifier lesattributs.


4. Cliquez sur la valeur duchamp à valeur précodée quevous voulez modifier.

Une liste déroulante detoutes les descriptions devaleurs précodées dudomaine apparaît.

5. Cliquez sur celle que vousvoulez attribuer au champ.

Modification desdomainesattributairesLes classes d’entités et sous-types d’une géodatabasepeuvent avoir des domainesattributaires. Il s’agit de règlesdéterminant les valeursautorisées pour les attributsd’une entité. Elles aident àmaintenir la qualité des donnéeset la cohérence des attributs desentités de votre base de données.

Il existe deux types de domaineattributaire : les domaines parplage et les domaines à valeurprécodée. Dans une base dedonnées de réseau d’eau,vous pouvez avoir une classed’entités stockant desconduites d’eau. Les conduitesd’eau peuvent être associées àun domaine par plage spécifiantque la valeur de pression doitse situer dans la plage autoriséecomprise entre 40 et 100 psi.

Si votre système d’eau necomporte que trois diamètres deconduites, vous pouvez avoir undomaine à valeur précodéespécifiant que les conduitespeuvent avoir un diamètre de 10,24 ou 30 pouces. Les domaines àvaleur précodée peuvent accélérerla modification des attributs, carlorsque vous les mettez à jour,ArcMap vous propose une listedéroulante des valeurs autoriséesque vous pouvez sélectionner.


1

2

3

4

5


Validation d’entités


2. Cliquez sur les entités àvalider.

3. Cliquez sur Editeur, puis surValider. u

Validationd’entitésLorsque vous modifiez des entitésayant des domaines à valeurprécodée ou de plage, il estconseillé de valider les entitéspour la base de données afin devérifier que les attributs possèdentdes valeurs appropriées.

La validation d’entités inclutégalement toutes les règlesde connectivité de réseaugéométrique et règles de relationpouvant être définies pour la classed’entités. Pour plus d’informationssur les règles de relation et deconnectivité, voir le chapitre 12,« Modification des réseauxgéométriques », et Constructiond’une géodatabase.

Astuce

Validation de la topologieLa validation d’entités etd’attributs n’est pas identique à lavalidation de topologie. Pour plusd’informations, voir le chapitre 4,« Mise à jour de la topologie ».


1

3

2


Si votre sélection contientdes entités non valides, unmessage s’affiche indiquantle nombre d’entités nonvalides. Seules les entitésnon valides restentsélectionnées.

4. Cliquez sur OK.

5. Cliquez sur l’une des entitésnon valides.

6. Répétez l’étape 3.

7. Un message s’afficheindiquant pourquoi l’entitén’est pas valide.

8. Cliquez sur OK.

9. Cliquez sur le boutonAttributs pour afficher lesattributs de l’entité nonvalide.

10. Cliquez sur les valeurs nonvalides et modifiez-les.

11. Fermez la boîte de dialogueAttributs.

12. Répétez les étapes 5 à 11pour toutes les entités nonvalides.

13. Répétez les étapes 2 et 3.vous devez voir un messagevous informant que toutesles entités sont valides.

14. Cliquez sur OK.


T

W

Q

9

4

8

DANS CE CHAPITRE

297


11• Compréhension des relations et

des objets reliés

• Modification des relations et desobjets associés

Mise à jour d’objets reliés

Certaines classes d’entités et tables d’une géodatabase sont conçues pouravoir des relations avec d’autres classes d’entités ou tables. Lorsque vouscréez, modifiez ou supprimez de tels objets de géodatabase avec ArcMap,des messages peuvent être envoyés automatiquement à la géodatabase pourcréer, modifier ou supprimer les objets reliés. Ces types de relationsintégrées sont stockés dans des classes de relations dans la géodatabase.

S’il existe des classes de relations entre des classes d’entités et des tables devotre géodatabase, vous pouvez faire appel aux outils d’édition d’ArcMappour tirer parti des relations. A l’aide des outils d’édition d’ArcMap, vouspouvez trouver tous les objets associés à un objet particulier et les modifier.Par exemple, vous pouvez sélectionner une parcelle et en trouver lepropriétaire, puis éditer certains attributs de ce propriétaire sans jamaisdevoir ajouter la table stockant les propriétaires à votre session ArcMap.

Vous pouvez également utiliser les outils d’édition ArcMap pour définir unenouvelle relation entre les objets ou diviser les relations existantes entre lesobjets. Par exemple, si une parcelle change de propriétaire, vous pouvezsupprimer la relation existant entre la parcelle et son propriétaire d’origine,puis définir une nouvelle relation avec son nouveau propriétaire.

Après avoir édité des tables ou entités de géodatabase reliées ayant desrègles de relations, vous pouvez valider vos modifications pour vérifier queles objets reliés restent conformes aux règles de relations de la géodatabase.

Pour de plus amples informations concernant les classes de relations,reportez-vous à la section Construction d’une géodatabase.



Compréhension des relations et des objets reliés

Les classes de relations permettent de gérer les associations entreles objets de votre géodatabase. Ces relations peuvent êtresimples et passives ou composites. Les relations compositesimpliquent des relations parent/enfant ou composition, et enconséquence ont des comportements déclenchés par deschangements répercutés des objets d’un côté de la relationsur les objets de l’autre côté.

Les relations d’une classe de relations peuvent être stockées à l’aidede clés primaires et externes dans les classes d’objets de l’un descôtés de la classe de relations. Dans le cas de classes de relations deplusieurs à plusieurs (M–N) et de classes de relations attribuées, lesrelations sont des lignes stockées dans une table séparée.

Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Attributs ou de la tablepour trouver tous les objets reliés à un objet sélectionné. Une foisque vous avez navigué vers l’objet associé, vous pouvez enmodifier les attributs. Vous pouvez également faire appel à l’outild’édition d’ArcMap pour rompre la relation entre deux objets oucréer de nouvelles relations entre les objets. Lorsque vousmodifiez des objets et des relations de cette manière, l’intégritéréférentielle est conservée.

Création et suppression de relations

Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Attributs pour créer etsupprimer une relation entre deux objets. Si la relation est géréepar des clés primaires et externes, la clé externe de l’objet dedestination est renseignée avec la valeur de la clé primaire del’objet d’origine. Si vous supprimez la relation entre deux objets,la valeur de la clé externe de l’objet de destination est remplacéepar une valeur nulle.

Si la classe de relations est M–N ou attribuée, les relations sontstockées dans une table séparée de la base de données. Lorsquevous créez une relation entre deux objets dans ce type de classede relations, une nouvelle ligne est ajoutée à cette table, qui est

Si les relations d’une classe de relations sont gérées à l’aide de clésprimaires et externes (relations 1–1 ou 1–M non attribuées), la créationet la suppression de relations complètent et affectent une valeur nulle à laclé externe dans les objets de la classe de destination.

MISE À JOUR D’OBJETS RELIÉS 299


renseignée avec les valeurs provenant des clés primaires desobjets d’origine et de destination. Si vous supprimez une relationentre deux objets, la ligne correspondant à cette relation estsupprimée de la table de relations.

Suppression d’objets avec des relations

Lorsqu’un objet faisant partie d’une relation avec d’autres objetsest supprimé d’une base de données, toutes ses relations sontégalement supprimées. Si les relations sont gérées à l’aide de clésprimaires et externes et que l’objet supprimé est l’objet d’origine,la clé externe de l’objet de destination se voit attribuer la valeurnulle. Si l’objet supprimé est l’objet de destination, l’objetd’origine n’est pas affecté.

Si les relations sont gérées en tant que lignes dans une table derelations (relations M–N ou attribuées), lorsqu’un objet d’origineou de destination est supprimé ainsi que ses relations, les lignescorrespondant à ces relations sont également supprimées de latable de relations.

Création de nouveaux objets reliés

Dans ArcMap, vous pouvez sélectionner un objet, puis utiliser la boîtede dialogue Attributs pour créer un objet non spatial dans une classereliée. Lorsque cet objet est créé, tous ses attributs sont renseignésavec leurs valeurs par défaut correspondantes (voir Constructiond’une géodatabase) et une relation est créée avec l’objet à partirduquel il a été créé. Vous ne pouvez créer que des objets non spatiauxde cette façon ; vous ne pouvez pas créer d’entités.

Si les relations sont gérées à l’aide de clés primaire et externe, la cléexterne de l’objet de destination est renseignée avec la clé primaire del’objet d’origine, que l’un ou l’autre des objets soit créé à l’aide de laboîte de dialogue Attributs ou non. Si les relations sont gérées en tantque lignes dans la table de relations (relations M–N ou attribuées), unenouvelle ligne est ajoutée à la table de classes de relations.

Si la classe de relations est M–N ou attribuée, les relations sont stockéessous forme de lignes dans la table de la classe de relations. La créationet la suppression de relations ajoutent et suppriment des lignes dans latable de la classe de relations.



Modification des relations composites

Les relations composites ont un comportement particulier.Lors de la modification des objets faisant partie d’une relationcomposite, ce comportement s’étend au processus demodification. En effet, les modifications apportées à l’objetd’origine d’une relation composite affectent souvent directementles objets de destination associés. Ce comportement dépend enpartie de la messagerie de la classe de relations.

Par défaut, les classes de relations composites ont une messagerieavant (voir Construction d’une géodatabase), c’est-à-dire que,lorsque l’objet d’origine d’une relation est modifié, il envoie des

Lorsqu’un objet faisant partie d’une relation avec d’autres objets estsupprimé d’une base de données, toutes ses relations sont égalementsupprimées.

Lorsque vous utilisez la boîte de dialogue Attributs pour créer des objetsreliés, une relation est créée avec l’objet d’origine de la création. Si lesrelations sont mises à jour par des clés primaires et externes, la cléexterne de l’objet de destination est renseignée avec la clé primaire del’objet d’origine.



messages à ses objets de destination reliés. Les objets associésréagissent à ces messages d’une manière standard : si les objets dedestination sont des objets non spatiaux, ils ne changent pas.Cependant, s’il s’agit d’entités, lorsque l’objet d’origine estdéplacé, les objets de destination se déplacent également de lamême façon. Si l’objet d’origine est tourné, les objets dedestination seront aussi tournés selon le même angle.

A l’instar des relations simples, les relations compositesconservent leur intégrité référentielle lorsque les objets sontsupprimés, mais elles le font différemment. Lorsque l’objetd’origine d’une relation composite est supprimé, tous les objetsqui lui sont associés par le biais de la relation sont égalementsupprimés. Cette suppression en cascade se produit que lamessagerie soit définie en avant, en arrière, dans les deux sens

ou dans aucun. En revanche, lorsqu’un objet de destination estsupprimé, la relation le liant à son objet d’origine est supprimée ;l’objet d’origine quant à lui n’est ni supprimé ni modifié.

Fractionnement d’entités faisant partie d’unerelation

La division d’une entité de géodatabase en deux entités séparéesrelève en fait de l’opération de suppression et création ; à savoirque l’entité d’origine est supprimée et que deux entités sont créées.Cela a certaines implications lorsque l’entité divisée possède desrelations avec d’autres objets dans la base de données.

Dans les relations simples, lorsqu’une entité d’origine est divisée,les relations la liant à ses objets de destination sont supprimées.

Lorsque l’objet d’origine d’une relation composite est déplacé et que lamessagerie est définie en avant ou dans les deux sens, si les objets reliéssont des entités, ils se déplacent de la même distance pour suivre l’entité.Dans cet exemple, le pôle sélectionné est l’objet d’origine et letransformateur l’objet de destination.

Lorsqu’un objet d’origine d’une relation composite est supprimé, tous lesobjets de destination qui lui sont associés par le biais de la relation sontégalement supprimés.



Lorsque des entités sont créées à partir d’une opération dedivision, des relations se créent entre la nouvelle entité contenantla plus grande proportion de la géométrie de l’entité d’origine etles objets de destination qui étaient associés à cette dernière.

Dans le cas d’une relation composite, le comportement estdifférent. Lorsqu’une entité d’origine dans une relation compositeest divisée, tous les objets associés par le biais de cette relationsont supprimés avant que les deux entités résultantes soientcréées à partir de la division.

Lorsqu’une entité de destination est fractionnée dans unerelation simple ou composite, les relations entre l’entité d’origineet ses objets d’origine reliés sont supprimées, et les nouvellesrelations sont créées entre les objets d’origine et les deuxnouvelles entités résultant du fractionnement.

Le comportement des objets impliqués dans une division avecdes relations décrit ici est le comportement par défaut. Vouspouvez le contourner au niveau de la classe en créant uneextension de classe mettant en œuvre l’interfaceIFeatureClassEdit. Cette interface possède une propriété appeléeCustomSplitPolicyForRelationship, qui permet de préciser lamanière dont les relations sont gérées lors de la division desentités. Pour en savoir plus sur les extensions de classe et leurimplémentation, voir Exploration d’ArcObjects.

Quand un objet d’origine d’une relation composite est fractionné, sesobjets de destination sont supprimés.

Lorsqu’une entité de destination est fractionnée dans une relation simpleou composite, les relations entre l’entité d’origine et ses objets d’originereliés sont supprimées, et les nouvelles relations sont créées entre lesobjets d’origine et les deux nouvelles entités résultant du fractionnement.



Modification desrelations et desobjets reliésLes tâches présentées ici sonttoutes des exemples demodification de relations entredes conduites secondaires et desbouches d’incendie dans unréseau d’eau. Les règles de cetteclasse de relations stipulentqu’une conduite secondaire debouche d’incendie doit avoir unebouche d’incendie associée etque les bouches d’incendie nepeuvent être associées à d’autrestypes de conduites secondaires.

Edition d’un d’objet relié


2. Cliquez sur la conduitesecondaire associée dontvous voulez modifier labouche d’incendie associée.


4. Double-cliquez sur lepanneau gauche de la boîtede dialogue Attributs.

5. Double-cliquez surl’appellation de la relation.

Les bouches d’incendieassociées sont répertoriéessous l’appellation.

6. Cliquez sur le numéro d’ID dela bouche d’incendieassociée que vous voulezmodifier.

7. Modifiez les attributs del’objet bouche d’incendie encliquant sur la valeur et en lasaisissant, ou en cliquant surla valeur et en sélectionnantla nouvelle valeur dans laliste proposée.

Astuce

Règles de relations ettopologieIl est important de distinguer lesrelations et règles de relations de latopologie et des règles associées.Pour de plus amples informations,reportez-vous au chapitre 4, « Miseà jour de la topologie ».

3

2

1

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6

45



Sélection d’un objet relié


2. Cliquez sur la conduitesecondaire associée dontvous voulez modifier labouche d’incendie associée.


4. Double-cliquez sur lepanneau gauche de la boîtede dialogue Attributs.

5. Double-cliquez surl’appellation de la relation.

Les bouches d’incendieassociées sont répertoriéessous l’appellation.

6. Cliquez avec le bouton droitsur la bouche d’incendieassociée que vous voulezajouter à la sélection de lacarte et cliquez surSélectionner. u

2

4

6

5



La bouche d’incendie estajoutée à la sélection.

La bouche d’incendie est ajoutée à la sélection.



Création d’une relationentre des entités


2. Cliquez sur les entités entrelesquelles vous voulez créerdes relations.


4. Double-cliquez sur l’une desentités du panneau gauche.

5. Cliquez avec le bouton droitsur l’appellation de la relationet sélectionnez Ajouter unerelation sélectionnée. u

Astuce

Mise en relation d’objetsAvant d’ajouter une relation entredeux objets, vous devez aupréalable créer une classe derelations entre les classes d’entitésou les tables contenant les objetsque vous souhaitez relier. Pour ensavoir plus sur la création declasses de relations, reportez-vousà la section Construction d’unegéodatabase.

1

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4



Les objets sélectionnés sontajoutés à la liste sousl’appellation de la classede relations.

Les relations avecles objetssélectionnés sontajoutées.



Création d’une relationentre une entité et unobjet non spatial


2. Cliquez sur l’entité aveclaquelle vous voulez créerune relation.

3. Dans la table des matières,cliquez avec le bouton droitsur la table contenant lesobjets que vous mettez enrelation, puis sélectionnezOuvrir. u

2

3



4. Cliquez dans la table surl’objet avec lequel vousvoulez créer une relation àl’entité sélectionnée.


6. Double-cliquez sur l’entité dupanneau gauche.

7. Cliquez avec le bouton droitsur l’appellation de la relationet sélectionnez Ajouter unerelation sélectionnée.


L’objet apparaît dans la liste sous l’appellation de la relation.

4

5

6

7



Suppression d’unerelation


2. Cliquez sur l’entité à partirde laquelle vous voulezsupprimer une relation.



5. Double-cliquez surl’appellation de la relationpour afficher une liste desobjets reliés.

6. Cliquez avec le bouton droitsur l’objet à partir duquelvous voulez supprimer larelation, puis cliquez surSupprimer de la relation. u

1

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6

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L’objet n’apparaît plus dans laliste sous l’appellation de larelation.

7. Cliquez sur le bouton Fermerpour fermer la boîte dedialogue Attributs.

7

L’objet n’apparaît plus dans la liste sous l’appellation de la relation.



Création de nouveauxobjets reliés nonspatiaux


2. Cliquez sur l’entité pourlaquelle vous voulez créerun objet associé.


4. Double-cliquez sur l’entitédans le panneau gauche. u

2

3

4

Astuce

Création de nouvellesentités reliéesVous ne pouvez pas utiliser lacommande Ajouter une relationdans la boîte de dialogue Attributspour créer des entités associées.Pour savoir comment créer denouvelles entités reliées, reportez-vous à la section « Création denouvelles entités reliées », plusloin dans ce chapitre.



5. Cliquez avec le bouton droitsur l’appellation de la relationet sélectionnez Ajouter unerelation.

Un objet est créé et associé àl’entité sélectionnée.

6. Cliquez sur le nouvel objetdans le panneau gauchepour afficher ses attributs.

5

6

Un nouvel objet est créé dans la classe reliée et une relationl’associe à l’entité sélectionnée.



Création de nouvellesentités reliées

1. Utilisez les outils deconstruction d’ArcMappour créer l’entité.


3. Maintenez la touche Majappuyée et cliquez sur l’entitéque vous souhaitez associerà la nouvelle entité.

La nouvelle entité et l’entité àlaquelle vous l’associezdoivent être sélectionnées. u

Voir aussi

Pour en savoir plus sur les outils deconstruction d’ArcMap et sur laprocédure de création d’entités,reportez-vous aux chapitre 2,« Concepts de base de mise à jour »,et chapitre 3, « Création denouvelles entités ».

3

1





6. Cliquez avec le bouton droitsur l’appellation de la relationet sélectionnez Ajouter unerelation sélectionnée.


Une relation avecl’objet sélectionnéest ajoutée.

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6

4



Suppression d’objetsreliés


2. Cliquez sur l’entité dont voussouhaitez supprimer l’objetassocié.



5. Double-cliquez surl’appellation de la relationpour afficher une liste desobjets reliés.

6. Cliquez avec le bouton droitde la souris sur l’objet quevous souhaitez supprimer,puis cliquez sur Supprimer.

L’objet est supprimé etn’apparaît plus dans la listesous l’appellation de larelation.

Astuce

Suppression d’entitésreliéesVous pouvez également supprimerdes entités associées à l’aide de lacommande Supprimer du menucontextuel Relation de la boîte dedialogue Attributs.

L’objet n’apparaît plus dans la liste sous l’appellation de la relation.

2

6

54



Mise à jour d’entités avecdes relations composites


2. Cliquez sur l’entité d’originedans la relation compositeque vous voulez modifier.

3. Faites glisser l’entité vers unnouvel emplacement.

Les entités associées sedéplacent de la mêmedistance x,y que l’entité quevous avez déplacée. u

Astuce

Boîte de dialogue AttributsLa boîte de dialogue Attributs secomporte de la même manière avecles relations composites qu’avec lacréation ou la suppressiond’entités ou de relations.

2

3

Les entités reliées se déplacent de la mêmedistance que l’entité que vous avez déplacée.

1


ArcInfo et ArcEditor4. Cliquez sur l’outil Rotation.

5. Cliquez à un endroitquelconque dans la carte etdéplacez le pointeur pourfaire pivoter l’entité vers laposition souhaitée.

Les entités associéespivotent avec l’entité.

6. Cliquez sur l’outil Edition,puis sur une entité dedestination d’une relationcomposite.


L’entité d’origine de la relationne se déplace pas. u

4

7

L’entité d’origine ne se déplace pas.

5

Les entités reliées pivotent avec les entités.



8. Cliquez à nouveau sur l’entitéd’origine et sélectionnezSupprimer.

L’entité et son entité associéesont supprimées.

L’entité d’origine et son entité reliée sont toutes deux supprimées.



Validation de relations

1. Cliquez sur l’outil Edition etsélectionnez l’entité ou lesentités à valider.

2. Cliquez sur Editeur, puis surValider.

Un message s’afficheindiquant le nombre d’entitésnon valides. Seules lesentités non valides restentsélectionnées. u

Astuce

Règles de relationsLes règles de relation peuvent sediviser en deux parties : lorsqu’uneentité est reliée à un sous-type de laclasse reliée qui n’est prévu dansaucune règle ou lorsqu’une règlede cardinalité est violée.

Pour de plus amples informationsconcernant les règles de relations,reportez-vous à la sectionConstruction d’une géodatabase.

2



3. Cliquez sur OK.

4. Cliquez sur l’une des entitésnon valides.


Une boîte de dialogue vousindique pourquoi l’entitésélectionnée n’est pas valide.

6. Cliquez sur OK.

7. Apportez les modificationsnécessaires aux relations ouaux objets reliés pour rendrel’entité valide. Ceci peutimpliquer l’ajout et lasuppression de relations oula modification du sous-typed’une ou de toutes lesentités.

8. Répétez l’étape 2 : unmessage vous informe quetoutes les entités sontvalides.

9. Cliquez sur OK.

3

6

9

DANS CE CHAPITRE

323


12• Modification des entités de réseau

• Création des tronçons de réseau

• Subsomption des jonctions deréseau

• Barre d’outils de mise à jour deréseaux

• Validation d’entités de réseau

Mise à jour des réseauxgéométriques

En plus des entités simples, ArcMap vous permet de modifier des ensemblesd’entités associées à un réseau géométrique. Dans une géodatabase, unréseau géométrique contient des types particuliers d’entités de réseau quiactivent la connectivité de recherche, des règles de connexion au réseau etune jonction spécialisée ou change le comportement relatif à la modélisation.

Les réseaux géométriques sont utiles pour les modélisation des réseaux de fils,de canalisations et de réseaux naturels hydrauliques. Les réseaux se composentd’entités de tronçons et de jonctions. Les tronçons peuvent servir à modéliserdes entités linéaires tels que les canalisations, les fils et les courants. Lesjonctions servent à modéliser les nœuds du réseau que sont les endroits où lestronçons sont liés les uns aux autres. Ces nœuds peuvent être des raccords decanalisations, des valves, des bouches d’incendie, des commutateurs, desfusibles, des transformateurs ou encore des confluences de biefs, des postesd’analyse et des dispositifs de contrôle de la qualité de l’eau.

Il existe deux grandes catégories d’entités de réseau : les simples et lescomplexes. Les entités de tronçons simples sont reliées aux jonctions à chaqueextrémité. Déplacer une entité le long d’une entité de tronçon simple a poureffet de fractionner le tronçon en deux tronçons simples. Les entités detronçons complexes sont connectées aux jonctions à chaque extrémité maispeuvent également être raccordées à d’autres jonctions sur leur longueur ; ellesne sont pas fractionnées en cas d’ajout de jonctions. Les entités de jonctionssimples sont connectées aux tronçons. Les jonctions complexes sont des entitésuniques personnalisées qui possèdent des réseaux internes de tronçons et dejonctions. Une station de pompage peut être modélisée comme une entité dejonction unique complexe d’un réseau hydraulique, mais se compose d’ungroupe de canalisations, de valves et de pompes qui appartiennent à uneconnectivité de réseau interne complexe.



Modification des entités de réseau

Les entités de réseau géométriques stockent différentsmécanismes et comportements qui mettent à jour leurconnectivité topologique. Les fonctionnalités de mise à jourd’ArcMap sont complètement intégrées à la géodatabase lorsde la modification des entités de réseau.

Création de la connectivité

La connectivité topologique d’une classe d’entités de réseaudépend de la coïncidence géométrique. Si une jonction est ajoutéele long d’un tronçon ou si un tronçon est ajouté le long d’un autretronçon, ils seront topologiquement connectés l’un à l’autre.

A l’aide de l’environnement de capture d’ArcMap, vous pouvez créerde nouvelles fonctions de tronçon et de jonction tout en mettant à jourla connectivité de réseau à la volée. La fonctionnalité d’alignementd’ArcMap garantit la coïncidence géométrique lors de l’ajout denouvelles entités de réseau le long des entités de réseau existantes.

Tronçons simples et complexes

Le tronçon d’un réseau géométrique peut être simple ou complexe.Un tronçon simple dans un réseau géométrique a une relation 1 à 1avec les éléments de tronçon du réseau logique. Un tronçoncomplexe a une relation 1 à M avec les éléments de tronçon dans leréseau logique. Ainsi un tronçon complexe du réseau géométriquepeut représenter plusieurs tronçons du réseau logique.

Si vous alignez une jonction ou un tronçon le long d’un tronçonsimple, le tronçon aligné est divisé à la fois dans le réseaulogique et dans le réseau géométrique, ce qui vous donne deuxentités de tronçon. Si vous alignez une jonction ou un tronçon lelong d’un tronçon complexe, ce tronçon est divisé dans le réseaulogique mais demeure un tronçon simple dans le réseaugéométrique. Toutefois, un nouveau sommet est créé à l’endroitoù la nouvelle jonction ou le nouveau tronçon lui est connecté.

Jonctions par défaut

Lorsque vous alignez un tronçon sur un autre tronçon à unendroit où il n’y a pas de jonction, une jonction estautomatiquement insérée pour établir la connectivité. Si un typede jonction par défaut est spécifié dans les règles de connectivitédu réseau, ce type de jonction par défaut est utilisé. S’il n’existepas de règle tronçon–tronçon entre ces types de tronçon, unejonction orpheline est insérée, qui est stockée dans la classed’entités <network>_Junctions.

De même, si vous créez un nouveau tronçon dans le réseau quin’est pas aligné sur une jonction ou un tronçon existant aux deuxextrémités, une jonction est automatiquement créée et connectéeà l’extrémité libre du nouveau tronçon. S’il existe une règle deconnectivité qui définit un type de jonction par défaut pour letype de tronçon ajouté, ce type de jonction par défaut est lajonction ajoutée à l’extrémité libre de la nouvelle entité. Si untype de tronçon ne comporte pas de type de jonction par défautassocié par une règle de connectivité, une jonction orpheline estinsérée qui est stockée dans la classe d’entités<network>_Junctions.

Subsomption de jonction

Lorsque vous alignez une jonction à une jonction existante,l’ancienne jonction est subsumée par la nouvelle jonction. C’est-à-dire que la jonction originale est supprimée du réseau et que lanouvelle jonction est insérée à sa place. Toute la connectivité duréseau est mise à jour.

Lorsque vous créez une entité de tronçon dans un réseau dont uneextrémité n’est connectée à rien et qu’il n’existe pas de règle deconnectivité énonçant quel type de jonction doit être placée à sonextrémité libre, le type de jonction orpheline de réseau est inséré.Vous pouvez remplacer cette jonction orpheline en alignant uneautre jonction sur elle.

MISE À JOUR DES RÉSEAUX GÉOMÉTRIQUES 325


Déplacement des entités de réseau

Lorsqu’un tronçon ou une jonction de réseau est déplacé, lesentités de réseau auxquelles il ou elle est connecté(e) répondenten s’étirant et en s’ajustant pour conserver la connectivité.Lorsque vous déplacez une entité de réseau et que vous l’alignezsur une autre entité de réseau, les entités peuvent devenirconnectées (voir ci-dessous).

Modèles de connectivité

La mise à jour d’opérations qui impliquent l’ajout, lasuppression, le déplacement et la subsomption d’entités de réseaupeut affecter la connectivité d’une entité géométrique. Chaquetype d’opération peut ou non créer une connectivité, selon le typed’entités de réseau impliqué. La série suivante de schémas illustreplusieurs scénarios de mise à jour et la connectivité ou l’absencede connectivité qui en résulte. Dans ces diagrammes, utilisez laclé ci-dessous pour identifier les types d’entités illustrés danschaque scénario :

Etirement et déplacement : Lorsque vous étirez ou déplacez desjonctions, tous les tronçons connectés s’étirent pour resterconnectés. Lorsque vous alignez ces jonctions à d’autres entitésde réseau, l’illustration suivante récapitule la connectivité deréseau qui en résulte :

Comportement de la connectivité au cours de l’étirement et dudéplacement des entités de réseau.



Suppression : La suppression d’entités de réseau peut affecterles entités qui leur sont connectées. Lorsque vous supprimezune entité de tronçon, le tronçon est physiquement supprimé duréseau géométrique et il est logiquement supprimé du réseaulogique ; toutefois, ses entités de tronçon connectées ne sont passupprimées. Lorsque vous supprimez des entités de jonction, sila jonction supprimée n’est pas de type jonction orpheline, ellen’est pas physiquement supprimée du réseau géométrique. Aulieu d’être supprimée, elle devient une jonction orpheline.Lorsque vous supprimez une jonction orpheline, elle estphysiquement supprimée du réseau géométrique. Dans ce cas, enfonction du type et du nombre de tronçons connectés, certainstronçons peuvent également être détruits. L’illustration suivanterécapitule les résultats de la suppression de jonctions de réseau :

Déconnexion d’entités : L’illustration suivante récapitulel’affectation de la connectivité lors de la déconnexion d’entitésde tronçon et d’entités de jonction de réseau à l’aide de lacommande Déconnexion d’ArcMap :

Comportement de la connectivité au cours de la suppression des entitésde réseau.

Comportement de la connectivité au cours de la déconnexion des entitésde réseau.



Création de nouvelles entités de réseau : Lorsque vous créez denouvelles entités de réseau et que vous les alignez sur d’autresentités de tronçons et de jonctions de réseau, la connectivitérésultante et les effets sur les entités que vous leur connectez sontrécapitulés ci-dessous :

Connexion d’entités : L’illustration suivante récapitulel’affectation de la connectivité lors de la connexion d’entités deréseau à l’aide de la commande Connexion d’ArcMap :

Réparation de la topologie réseau

La connectivité entre les entités de réseau est mise à jour à la voléelorsque vous créez, supprimez et modifiez les entités de réseau. Danscertaines circonstances, l’association entre certaines entités de réseauet leurs éléments logiques peut se désynchroniser. Ceci peut intervenir,par exemple, lors de l’utilisation d’un outil personnalisé qui ne gèrepar correctement l’annulation des opérations de mise à jour.

Ce type de corruption de réseau est circonscrit à un recueild’entités du réseau. Vous pourrez voir les entités qui ontcorrompu la topologie de deux façons : (1) Lorsque vousdéplacez une entité de réseau, si l’étirement n’intervient pas surd’autres entités de réseau auxquelles elle est connectée et sil’opération de mise à jour échoue, la topologie est corrompue.(2) La réconciliation d’une version avec des entités de réseaucorrompues provoque une erreur (pour plus d’informations, voirChapitre 15, « Utilisation d’une géodatabase versionnée »).

Comportement de la connectivité au cours de la connexion des entités deréseau NOOP indique que l’utilisation de la commande Connecter n’a pasentraîné d’opération de mise à jour.

Comportement de la connectivité au cours de la création de nouvellesentités de réseau NOOP indique qu’aucune nouvelle entité n’a été créée.



L’outil Reconstruire la connectivité dans ArcMap reconstruitla connectivité pour un ensemble d’entités de réseau dans uneemprise par reconstruction de leurs éléments logiques. Laconnectivité est établie en fonction de la coïncidence géométriqueà l’aide de la règle décrite dans Construction d’une géodatabase.

Considérations sur la performance

La connectivité est établie pour les nouvelles entités de réseau enfonction de la coïncidence géométrique. Lorsque vous ajoutez oudéplacez une entité dans un réseau, chaque classe d’entités duréseau doit être analysée pour que la connectivité puisse êtreétablie. L’exécution d’une requête spatiale sur chaque classede réseau détermine si la nouvelle entité ou l’entité déplacéecoïncide avec les autres entités de réseau à un point quelconque.

Si le réseau se trouve dans une géodatabase ArcSDE, l’analysede connectivité requiert des requêtes spatiales sur le serveur. Enutilisant le cache de mise à jour lors de la modification du réseau,ces requêtes spatiales ne vont pas à l’encontre du serveur, sontbeaucoup plus rapides et ne représentent pas une grosse chargepour celui-ci. Lors de la mise à jour de données de réseau dansune géodatabase ArcSDE, utilisez toujours le cache de mise àjour. L’utilisation du cache de mise à jour peut rendre vos misesà jour cinq fois plus rapides et ne représente pas une charge sigrande pour le serveur.



Création d’un tronçon deréseau à une jonctionexistante

1. Ajoutez vos classes d’entitéde réseau à ArcMap ainsique la barre d’outils Editeur.


3. Effectuez un zoom sur lazone dans laquelle voussouhaitez ajouter unenouvelle entité.



6. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Couche cible,puis sur le type d’entité detronçon que vous souhaitezcréer. u

Voir aussi

Pour plus d’informations surl’environnement de captured’ArcMap, voir Chapitre 3,« Création de nouvelles entités ».

Astuce

Réseaux géométriques ettopologieIl est important de distinguer lesréseaux géométriques de leurrelations topologiques et les règlescorrespondantes. Pour de plusamples informations sur latopologie, voir le chapitre 4« Mise à jour de la topologie ».

Création destronçons deréseauA l’aide des outils de base del’éditeur d’ArcMap, vous avez lapossibilité de créer des tronçonsde réseau et de les associer à vosentités préexistantes. This includesadding network edges at anexisting junction, along a complexedge, or along a simple edge.

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ArcInfo et ArcEditor7. Sélectionnez les cases à

cocher dans la fenêtreEnvironnement de capture demanière à définir la capturesur le sommet de la classed’entités de jonction surlequel vous voulez capturerle nouveau tronçon.

8. Déplacez le pointeur près dela jonction sur laquelle vousvoulez capturer ce tronçon,jusqu’à ce qu’il s’alignedessus.

9. Cliquez sur la carte pourcréer les sommets de lanouvelle entité.

10. Double-cliquez sur le derniersommet pour terminerl’entité. u

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Vous venez de créer untronçon de réseau. Puisquevous l’avez capturé sur unejonction de réseau existante,il est relié automatiquementau réseau.

S’il existe une règle tronçon-jonction concernant lenouveau tronçon avec untype de jonction d’extrémitéprécisé par défaut, ce typede jonction sera placé àl’extrémité libre du nouveautronçon. Si aucune règletronçon–jonction ne préciseune jonction par défaut, unejonction orpheline seraplacée à l’extrémité dunouveau tronçon. Pour deplus amples informationssur la façon de remplacer lajonction orpheline par unautre type de jonction, voir latâche « Subsomption desjonctions de réseau » plusloin dans ce chapitre.

Astuce

Jonction par défautVous pouvez spécifier le type dejonction placé à l’extrémité libredes nouveaux tronçons en créantune règle tronçon–jonction. Pourde plus amples informations surles règles de connectivité, voirConstruction d’une géodatabase.

La jonction de réseau oula jonction orpheline deréseau est insérée àl’extrémité du tronçon.



Création d’un tronçon deréseau le long d’untronçon complexe

1. Suivez les étapes 1 à 6 de larubrique intitulée « Créationd’un tronçon de réseau à unejonction existante » dans cechapitre.

2. Sélectionnez les cases àcocher dans la fenêtreEnvironnement de capture demanière à définir la capturesur le tronçon de la classed’entités de tronçon complexesur lequel vous voulezcapturer le nouveau tronçon.

3. Déplacez le pointeur sur letronçon complexe sur lequelvous voulez capturer letronçon jusqu’à ce qu’ils’aligne dessus.



Astuce

Ajout de jonctions le longdes tronçons complexesVous pouvez également capturerune jonction le long d’un tronçoncomplexe. Comme pour la captured’un tronçon, la jonction estconnectée au réseau. Le tronçoncomplexe est divisé dans le réseaulogique mais reste une entité unique.

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Vous venez de créer untronçon de réseau. Puisquevous l’avez capturé sur letronçon d’un tronçon existant,s’il existe une règle deconnectivité tronçon-tronçonentre ces tronçons, unejonction est créée, quicorrespond au type dejonction par défaut de cetterègle. S’il n’existe aucunerègle tronçon–tronçon, lanouvelle jonction est alors lajonction de réseau par défaut.

S’il existe une règle tronçon-jonction pour le nouveautronçon ayant un type dejonction d’extrémité spécifié,ce type de jonction seraajouté. S’il n’existe aucunerègle de connectivitétronçon–jonction, unejonction orpheline est ajoutée.

Puisque le tronçon sur lequella capture s’est faite estcomplexe, il reste une entitésimple, mais est divisé dansle réseau logique.


7. Cliquez sur le tronçoncomplexe sur lequel vousavez capturé le nouveautronçon.

Le tronçon est sélectionnédans son intégralité même siun autre tronçon et une autrejonction sont reliés à lui. Ilreste une entité unique.

La jonction par défautpour la règle tronçon–tronçon est insérée.

Astuce


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Création d’un tronçonde réseau le long d’untronçon simple

1. Suivez les étapes 1 à 6 de larubrique intitulée « Créationd’un tronçon de réseau à unejonction existante » dans cechapitre.

2. Sélectionnez les cases àcocher dans la fenêtreEnvironnement de capture demanière à définir la capturesur le tronçon de la classed’entités de tronçon simplesur lequel vous voulezcapturer le nouveau tronçon.

3. Déplacez le pointeur prèsdu tronçon simple sur lequelvous voulez capturer cetronçon jusqu’à ce qu’ils’aligne dessus.



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Vous venez de créer untronçon de réseau. Puisquevous l’avez capturé sur letronçon d’un tronçon existant,s’il existe une règle deconnectivité tronçon–tronçonentre ces tronçons, unejonction est créée, quicorrespond au type dejonction par défaut de cetterègle. S’il n’existe aucunerègle tronçon–tronçon, lanouvelle jonction est alors lajonction de réseau par défaut.

S’il existe une règle tronçon–jonction pour le nouveautronçon ayant un type dejonction d’extrémité spécifié,ce type de jonction seraajouté. S’il n’existe aucunerègle de connectivité tronçon–jonction, une jonctionorpheline est ajoutée.

Puisque le tronçon sur lequella capture s’est faite estsimple, il est divisé en deuxnouvelles entités de tronçon.La valeur des attributs desnouvelles entités est définiepar leur règle de division.


7. Cliquez sur le tronçon simplesur lequel vous avez capturéle nouveau tronçon.

Il y a maintenant deux tronçonsdivisés à la nouvelle jonction.

Voir aussi

Pour plus d’informations sur lesrègles de division et la façon dontelles affectent les valeursattributaires, voir Constructiond’une géodatabase.

Astuce

Ajout de jonctions le longdes tronçons simplesVous pouvez également capturer unejonction le long d’un tronçon simple.Comme pour la capture d’untronçon, la jonction est connectée auréseau. Le tronçon simple est diviséen deux nouvelles entités.

La jonction par défautpour la règle tronçon–tronçon est insérée.

Astuce


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ArcInfo et ArcEditor1. Suivez les étapes 1 à 4 de la

rubrique intitulée « Créationd’un tronçon de réseau à unejonction existante » dans cechapitre.

2. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Couche cible,puis sur le type d’entité dejonction que vous souhaitezcréer.

3. Sélectionnez les cases àcocher dans la fenêtreEnvironnement de capture demanière à définir la capturesur le sommet de la classed’entités de jonction surlequel vous voulez subsumer.

4. Déplacez le pointeur près dela jonction que vous voulezsubsumer avec une nouvellejonction jusqu’à ce qu’ils’aligne dessus. u

Subsomption desjonctions deréseauVous pouvez remplacer lesattributs de jonction de réseaupar ceux qui sont associés à unautre type de jonction. Parexemple, dans un réseau dedistribution, un type de valve oules caractéristiques d’un pylônepeuvent changer. Les fonctionsde base de l’éditeur, lespropriétés d’une jonction peuventêtre subsumées par les propriétésd’un autre type.

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5. Cliquez une fois poursubsumer la jonction.

La jonction d’origine estsupprimée et remplacée parla nouvelle : la connectivitédu réseau est maintenue.

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La jonction d’origine est supprimée et remplacée par la nouvelle.



Déplacement d’entités deréseau existantes

1. Suivez les étapes 1 à 2 de larubrique intitulée « Créationd’un tronçon de réseau à unejonction existante ».


3. Cliquez sur les jonctions deréseau et les tronçons quevous souhaitez déplacer.

4. Faites glisser les entités versle nouvel emplacement.

Autres éléments de réseauconnectés aux entités defaçon élastique. Cela montrecomment d’autres élémentsde réseau sont affectés parle déplacement des entitéssélectionnées.

Toutes les entités qui ontété étirées lorsque vousavez déplacé les entitéssélectionnées sontautomatiquement remisesà jour pour conserver laconnectivité du réseau.

Astuce

Annulation des mises àjour de réseauSi vous déplacez une entité deréseau, d’autres entités se déplacentégalement. Si vous cliquez sur lebouton Annuler, les modificationsaffectant les entités sont supprimées.Pour de plus amples informationssur l’annulation des modifications,voir le chapitre 2 « Mise à jourd’entités existantes ».

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Modification du rôle deréseau auxiliaire d’unejonction


2. Cliquez sur la jonction deréseau dont vous souhaitezmodifier le rôle auxiliaire.


4. Cliquez sur la valeur du rôleauxiliaire.

5. Si vous voulez que cettejonction fonctionne commeun exutoire dans le réseau,cliquez sur Exutoire.

Si vous voulez que cettejonction fonctionne commeune source dans le réseau,cliquez sur Source.

Si vous voulez que cettejonction ne soit ni une sourceni un exutoire, cliquez surAucun.

6. Répétez les étapes 3 à 5jusqu’à ce que les jonctionsdont vous souhaitez modifierle rôle auxiliaire soient misesà jour.

7. Utilisez les outils de la barred’outils Analyse réseau pourrecalculer le sens decirculation du réseau.

Voir aussi

Pour savoir comment définir lesens de circulation d’un réseauet d’autres outils d’analyse deréseau, voir Construction d’unegéodatabase.

Astuce

Rôles auxiliairesToutes les jonctions de réseau nepeuvent pas avoir de rôle auxiliaire,celles qui n’en ont pas ne peuventagir comme des sources ou desexutoires dans le réseau. Pour ensavoir plus sur les rôles auxiliairesdans le réseau, voir Constructiond’une géodatabase.

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Activation et désactivationdes entités de réseau


2. Cliquez sur l’entité de réseauque vous voulez activer etdésactiver.


4. Cliquez sur la valeur del’option Activé.

5. Cliquez sur True si vous voulezactiver l’entité dans le réseau.

Cliquez sur False si vousvoulez désactiver l’entitédans le réseau.

Entités de réseauactivées etdésactivéesSi une entité du réseau estdésactivée, elle ne peut êtretracée. Pour en savoir plus surla recherche de réseau, voirConstruction d’une géodatabase.

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Ajour de la barre d’outilsMise à jour de réseaux

1. Cliquez sur Editeur, pointezsur Autres outils et cliquezsur Mise à jour de réseaux.

La barre d’outils Mise à jourde réseaux s’affiche dans lafenêtre ArcMap.

Barre d’outilsMise à jour deréseauxLa barre d’outils Mise à jour deréseaux contient des outils servantà la gestion de la connectivitédes réseaux géométriques. Laconnectivité entre entités deréseau coïncidentes peut êtreexplicitement modifiée. Il peutse produire que des portions duréseau géométrique nécessitentdes réparations en raison de lagéométrie incorrecte d’une entitéou de la connectivité incorrecteentre des entités. Les entités dontla géométrie n’est pas valideconcernent des classes d’entitésutilisées pour la construction d’unréseau géométrique. Ces entitéspeuvent être identifiées et leurgéométrie réparée. La connectivitédu réseau entre des entitéspeut être désynchronisée oucorrompue. Ces entités peuventêtre identifiées et leur connectivitépeut être réparée et rétablie.

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Déconnexion d’une entitédu réseau

1. Sélectionnez l’entité que vousvoulez déconnecter du réseau.

2. Cliquez sur l’outil Déconnexiondans la barre d’outils Mise àjour de réseaux.

Connexion d’une entitéau réseau

1. Sélectionnez l’entité que vousvoulez connecter au réseau.

2. Cliquez sur l’outil Connexiondans la barre d’outils Mise àjour de réseaux.

Astuce

A propos de la connexionet déconnexion des entitésde réseauDans certains cas, vous pouvezdéconnecter une entité du réseau.La déconnexion d’une entité nela supprime pas de la base dedonnées ; elle supprime lesassociations topologiquesexistantes entre cette entité et lesautres entités du réseau. De lamême façon, la connexion d’uneentité au réseau crée des relationstopologiques entre cette entité etles entités coïncidentes.

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Vérification de laconnectivité d’un réseau

1. Cliquez sur l’une des classesd’entité du réseau géométriquede la table des matièresd’ArcMap.

2. Cliquez sur l’outil de vérificationde la connectivité dans la barred’outils Mise à jour de réseaux.

3. Faites glisser un cadre autourdes entités de réseau dontvous voulez vérifier laconnectivité.

L’outil permet de créer unensemble de sélectiond’entités de réseau pourlesquelles la connectivité estcorrompue. Vous pouvezensuite faire appel à l’outilReconstruire la connectivitépour réparer la connectivitédes entités. Si toutes lesconnectivités sont correctes,un message s’affiche pourvous en informer.

Astuce

Garantie de la connectivitéd’un réseauL’outil de vérification de laconnectivité vérifie la connectivitéentre les tronçons et les jonctionsdu réseau logique.

L’outil recherche des entités avecdes éléments de réseau qui necorrespondent pas, des entitéspour lesquelles un ou plusieurséléments de réseau manquent, desentités avec des éléments de réseaudupliqués, des entités associées àdes éléments de réseau corrompusou invalides et des entitésassociées ou connectées à uneentité de réseau inexistante.

Astuce

Annulation de l’opérationde vérification de laconnectivitéSi vous appuyez sur Echap alorsque vous définissez la zone de votrechoix, l’opération est annulée.

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Astuce

Vérification de l’intégralitédu réseau géométriqueLa commande Vérifier laconnectivité contrôle laconnectivité du réseau dans sonintégralité ou celle d’un sous-ensemble d’entités sélectionnées.

La commande Vérifier laconnectivité



Reconstruction de laconnectivité du réseau


2. Cliquez sur l’outil dereconstruction de laconnectivité dans la barred’outils Mise à jour deréseaux.

3. Faites glisser un cadre autourdes entités de réseau dontvous voulez reconstruire laconnectivité.

Astuce

Reconstruction de laconnectivitéAu cours de la modification,la connectivité du réseau estconservée à la volée. Vous n’avezpas besoin de faire appel à l’outilReconstruire la connectivité àmoins que la connectivité duréseau ne soit corrompue pourcertaines entités du réseau.

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Vérification de lagéométrie de l’entitéde réseau


2. Cliquez sur l’outil Vérifierla géométrie de l’entité deréseau dans la barre d’outilsMise à jour de réseaux.

3. Faites glisser un cadre autourdes entités de réseau dontvous voulez vérifier lagéométrie.

L’outil permet de créer unensemble de sélectiond’entités de réseau pourlesquelles la géométrie del’entité est corrompue. Vouspouvez ensuite faire appelaux outils de base de mise àjour pour corriger la géométriedes entités. Si la géométriedes entités est correcte, unmessage s’affiche pour vousen informer.

Astuce

Garantie de la géométriede l’entité de réseauL’outil Vérifier la géométrie del’entité de réseau s’assure que lagéométrie des entités faisant partiedu réseau géométrique est de formecorrecte. Les formes non validesincluent des entités dont lagéométrie est vide, les entitéstronçons qui comprennent plusieursparties, formant une boucle ferméeou de longueur zéro.

Astuce

Annulation de l’opération devérification de la géométriede l’entité de réseauSi vous appuyez sur Echap alorsque vous définissez la zone de votrechoix, l’opération est annulée.

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Astuce

Vérification de l’intégralitédu réseau géométriqueLa commande Vérifier la géométriede l’entité de réseau contrôle lagéométrie du réseau dans sonintégralité ou celle d’un sous-ensemble d’entités sélectionnées.

La commande Vérifier lagéométrie de l’entité deréseau



Astuce

Réparation de la connectivitéLa commande Réparer laconnectivité répare les erreurs deconnectivité du réseau logique.

Au cours de la procédure deréparation de la connectivité,certaines actions nécessiterontl’intervention de l’utilisateur.Un message s’affiche à la fin dela procédure spécifiant le typed’avertissement, la classe d’entitéset le code objet de l’entité.

La commande Réparer laconnectivité

Astuce

Commande Erreurs lors dela construction du réseauLa commande Erreurs lors de laconstruction du réseau crée unesélection d’entités avec des formesnon conformes à l’aide de la tabled’erreurs générée au cours de laconstruction du réseau. Les formesincorrectes incluent des lignescontenant plusieurs parties, les lignesformant une boucle fermée, les lignesde longueur zéro et les entités necontenant pas de formes. Une foiscréé, l’ensemble de sélection permetd’identifier et de rechercher lesentités qui ont causé l’erreurspécifique. Pour de plus amplesinformations sur la construction desréseaux géométriques, voirConstruction d’une géodatabase.

La commande Erreurs lorsde la construction du réseau




2. Cliquez sur les entités deréseau que vous voulez valider.

3. Dans le menu Editeur, cliquezsur Valider la sélection. u

Validation d’entitésde réseauLa procédure de validationgarantit que les entités de réseaurespectent les règles deconnectivité. Ceci vous permetde rechercher les entités qui ontété modifiées de telle sortequ’elles ne sont plus conformesaux règles de connectivitéprédéterminées du réseau.

Pour de plus amples informationssur la création et la modificationdes règles de connectivité, voirConstruction d’une géodatabase.

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ArcInfo et ArcEditorS’il existe des entités nonvalides, un message s’afficheindiquant le nombre d’entitésqui ne sont pas valides.Seules les entités non validesrestent sélectionnées.

4. Cliquez sur OK.

5. Cliquez sur l’une des entitésde réseau non valides.


Une boîte de dialogue vousindique pourquoi l’entitésélectionnée n’est pas valide.

7. Cliquez sur OK.

8. Apportez les modificationsnécessaires au réseau pourrendre l’entité valide. Celapeut impliquer d’effectuercertaines des tâches de miseà jour du réseau décritesprécédemment dans cechapitre.

9. Répétez l’étape 3 : vousdevez voir un message vousinformant que toutes lesentités sont valides.

10. Cliquez sur OK.

Astuce

Règles de validationLes entités de réseau peuventse voir attribuer des règles deconnectivité ainsi que des règlesde validation d’attributs et derelations. Pour en savoir plus surles règles de validation d’attributset de relations, consultez les tâchesdétaillées précédemment dans cechapitre.

Q

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4

DANS CE CHAPITRE

349

Mise à jour des annotations 13• Annotations dans la géodatabase

• Modification des annotations

• Conversion d’étiquettes enannotations

• Conversion d’une couvertured’annotations en annotationsde géodatabase

En plus d’une géométrie et d’un emplacement, des entités géographiquespeuvent aussi avoir du texte descriptif qui leur est associé. Par exemple, uneclasse d’entités contenant des rues peut être associée à du texte indiquantles noms des rues. Une annotation peut aussi être un texte localiségéographiquement et qui existe indépendamment de toute autre entité,comme par exemple le nom d’un massif montagneux sur une carte physique.

Les annotations font référence soit au processus de placement automatiquedu texte ou au texte proprement dit. Ce chapitre décrit la manière de créerune annotation pour les classes d’entités et la manière de convertir uneannotation de couverture en une annotation de géodatabase.


Annotations dans la géodatabase

L’annotation dans la géodatabase est conservée dans une classed’entités spéciale appelée classes d’annotations. A la différencedes points, des lignes et des polygones, stockés en tant qu’entitésESRI simples, l’annotation est conservée en tant qu’entitéannotation ESRI.

Qu’est-ce qu’une annotation de géodatabase ?

A l’instar d’autres classes d’entités de la géodatabase, toutes lesentités d’une classe d’annotations possèdent une positiongéographique et des attributs et peuvent se trouver à l’intérieurd’un jeu de classes d’entités ou d’une classe d’annotationsautonome. Chaque annotation possède sa propre symbologie(police, coleur, etc.). Les annotations peuvent contenir du texte,mais également des formes (boîtes et flèches, par exemple).

Il existe deux types d’annotation dans la géodatabase : lesannotations liées à des entités et les annotations non liées à desentités. Les annotations non liées à des entités représentent deschaînes de texte géographiquement positionnées, non associées àdes entités dans la géodatabase. Le texte indiquant une chaîne demontagnes sur une carte est un exemple d’annotation non liée àdes entités. Aucune entité spécifique ne représente la chaîne demontagnes, mais il s’agit néanmoins d’une zone à prendre enconsidération.

Les annotations liées à des entités sont associées à une entitéspécifique d’une autre classe d’entités dans la géodatabase. Letexte de l’annotation non liée à des entités reflète la valeur d’unchamp ou de plusieurs champs provenant de l’entité à laquellel’annotation est liée. La classe d’entités annotation participe à unerelation composite avec la classe d’entités à laquelle elle est liée.La classe d’annotations représente la classe de destination de cetterelation, et la classe d’entités annotée la classe d’origine. Celasignifie que l’entité d’origine définit la position et l’existence del’annotation (voir Construction d’une géodatabase).

Comme exemple d’annotation lié à des entités, une bouched’incendie d’un réseau d’eau peut comporter des annotationsrelatives à sa pression, qui sont stockées dans un champ de laclasse d’entités. Dans le même réseau d’eau, les canalisationsprincipales peuvent comporter des annotations portant leurs noms.

Comme pour d’autres relations composites, l’entité d’origine gèrel’entité de destination. Pour cette raison, lorsque l’entité d’origineest déplacée ou pivotée, l’annotation liée se déplace ou pivote enmême temps. Lorsque l’entité d’origine est supprimée de la basede données, l’annotation liée est également supprimée. Si la valeurd’un champ générant le texte de l’annotation est modifié dansl’entité, l’annotation adopte différents comportements afin derépondre à ces modifications et met automatiquement à jour lachaîne de texte.

Dans l’exemple du réseau d’eau, une bouche d’incendie peut êtresituée beaucoup trop près d’un carrefour important et devoir êtredéplacée de 50 pieds. Lorsque la bouche d’incendie est déplacée,l’annotation liée à elle se déplace avec elle. Dans le même réseau,le nom d’une canalisation est susceptible de changer. Lorsque lavaleur contenue dans le champ du nom est modifiée, la mise à jourdu texte stocké dans l’annotation liée est automatique pour prendreen compte ce changement de nom.

MISE À JOUR DES ANNOTATIONS 351

Modification desannotationsLes outils d’édition dans ArcMappermettent de modifier les anno-tations liées à des entités ainsique les annotations non liées.Bien que vous puissiez effectuerles mêmes opérations de mise àjour sur les deux types d’annota-tions, une entité comportant desannotations liées a des comporte-ments spéciaux lorsqu’elle estmodifiée. L’entité d’annotationrépond aux changements dansson entité liée, par exemple lesmises à jour d’attributs.

Vous pouvez utiliser les outils dedessin d’ArcMap pour modifierla chaîne, la symbologie etl’emplacement des annotations.Vous pouvez aussi utiliser lesoutils de dessin pour créer denouvelles annotations.

Lorsque vous modifiez desentités avec des annotationsliées, tous les comportements quis’appliquent à la modification desentités avec des objets composi-tes s’appliquent—par exemple, ledéplacement et la suppression.En outre, lorsque vous modifiezles attributs de l’entité, l’annota-tion liée est également modifiéepour refléter les changements.

Vous pouvez utiliser les mêmesoutils pour modifier des objetsliés et séparer et créer denouvelles relations. Consultezle chapitre 11, « Modificationdes objets liés ».

Création de nouvellesannotations non liéesaux entités

1. Ajoutez votre classed’annotations à ArcMap etajoutez les barres d’outilsEditeur et Dessiner.

2. Cliquez sur Editeur et cliquezsur Ouvrir une session demise à jour.

3. Dans la barre d’outils Dessin,cliquez sur Dessin, amenezle curseur sur Cible del’annotation active, puiscliquez sur le nom de laclasse d’entités annotations.

4. Utilisez les boutons deréglage de polices dans labarre d’outils Dessiner pourdéfinir les propriétés du texted’annotation que vous voulezcréer.

5. Cliquez sur le bouton Créerun nouvel élément textuel.

6. Cliquez sur la carte surlaquelle vous voulez ajouter lanouvelle entité d’annotation.

7. Saisissez la chaîne du textede l’annotation et appuyezsur Entrer. u

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L’annotation non liée à uneentité est ajoutée à votrecarte.

Les annotations non liées à des entités sont créées.

Voir aussi

Pour en savoir plus sur lesannotations de géodatabase, voirConstruction d’une géodatabase.


Modification d’une entitéd’annotation existante

1. Cliquez sur l’outilSélectionner les éléments.

2. Cliquez sur l’annotation quevous voulez modifier.

3. Cliquez avec le bouton droitde la souris sur la chaîned’annotation que vous voulezmodifier, puis sur Propriétés.

4. Modifiez la chaîne de texte.


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Voir aussi

La capacité d’ajouter et de modifierdes annotations avec ArcMap estvaste et ne peut pas être décrite icidans son intégralité. Si vous voulezen savoir davantage sur cet outil,voir Construction d’unegéodatabase.


Le texte est mis à jour sur lacarte.

6. Pour déplacer la chaîned’annotation, cliquez etdéplacez-la vers un nouvelemplacement.

Le texte semet à jour.

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Création de nouvellesentités avec desannotations liées

1. Effectuez un zoom sur la zonedans laquelle vous souhaitezajouter une nouvelle entité.



4. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Couche cible,puis sur le type d’entité quevous souhaitez créer.

5. Cliquez sur la carte pourcréer les sommets de lanouvelle entité. u


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6. Double-cliquez sur le derniersommet pour terminer l’entité.

Une entité d’annotation estautomatiquement créée etliée à la nouvelle entité.

Si votre entité comporte desvaleurs par défaut pour lechamp d’où l’annotation estdérivée, l’annotation apparaîtet reflète les valeurs de ceschamps.


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Une entité d’annotation est créée avec la nouvelle entité.


Modification d’entitésavec des annotationsliées


2. Cliquez sur l’entité à modifier.


4. Cliquez sur la valeur d’oùl’annotation est dérivée etsaisissez les changements.

L’annotation estautomatiquement mise à jourpour refléter ces changements.

5. Cliquez sur le bouton Fermerpour fermer la boîte dedialogue Attributs. u


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Astuce

Relations compositesL’entité et son annotation sont enrelation composite l’une avecl’autre. L’entité est l’entitéd’origine et l’annotation l’entitéde destination. La modificationde ces entités est similaire à lamodification des entités quiparticipent à une relationcomposite.



L’entité de l’annotation liée sedéplace de la même distancex, y que l’entité que vousavez déplacée. u

L’annotation et l’entité se déplacent ensemble vers leur nouvelemplacement.


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L’annotation liée est automatiquement mise à jour.


7. Cliquez sur l’outil Rotation.

8. Cliquez à un endroitquelconque dans la carte etdéplacez le pointeur pourfaire pivoter l’entité vers laposition souhaitée.

L’annotation pivote avecl’entité.

9. Cliquez sur l’outil Supprimer.

L’entité que vous avezsélectionnée, ainsi que sonannotation liée, est suppriméede la base de données.

L’entité pivote ainsi que l’annotation liée.


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Création d’annotationsliées à des entités

1. Dans ArcMap, cliquez sur lebouton Ajouter des donnéespour ajouter une classed’entités et sa classed’annotations liée à votrecarte.

2. Cliquez sur le boutonSélectionner des entités afinde sélectionner les entités pourlesquelles vous souhaitezcréer les annotations. Pourcréer des annotations pourtoutes les entités, sélectionnezla totalité des entités.

3. Cliquez avec le bouton droitde la souris sur la classed’entités de la table desmatières.

4. Pointez sur Sélection.

5. Cliquez sur Annoter lesentités sélectionnées

6. Sélectionnez les classesd’annotations reliées danslesquelles vous souhaitezstocker les annotations.

7. Cochez la case pour ajouterdes étiquettes non placées àla fenêtre de conflits.

8. Cliquez sur OK.

Astuce

VersionnementLorsque cela est possible, créez vosannotations avant de versionnervos données.


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1. Dans ArcMap, cliquez sur lebouton Ajouter des donnéespour ajouter à la carte laclasse d’entités pour laquellevous souhaitez créer desannotations.

2. Etiquetez les entités devotre carte.

3. Cliquez avec le bouton droitde la souris sur la classed’entités de la table desmatières.

4. Cliquez sur Convertir lesétiquettes en annotations. u

Conversiond’étiquettes enannotationsArcMap vous permet d’étiqueterles entités stockées dans une classed’entités. Une fois les étiquettescréées, vous pouvez les stockerdans un document ArcMap, sousforme de graphiques dans une basede données ou les convertir enannotations.

Si vous souhaitez les convertir enannotations, ArcMap crée uneclasse d’annotations pour stockerces annotations. Si vous choisissezde les associer aux entités, ArcMapcrée également la classe derelations pour conserver la liaison.

La classe d’annotations et laclasse de relations sont crééesdans le même jeu de classesd’entités dans lequel la classed’entités est stockée, ou au niveaude la géodatabase dans le casd’une classe d’entités autonome.

Voir aussi

Pour obtenir des informationsdétaillées sur l’étiquetage descartes et les différentes méthodesavancées à votre disposition, voirUtilisation d’ArcMap.

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Astuce

Nouvelle classed’annotationsLorsque toutes les étiquettes ontété converties en annotations, lanouvelle classe d’annotations estautomatiquement ajoutée à la carte.

Astuce

VersionnementLorsque cela est possible,convertissez vos étiquettes enannotations avant de versionnerles données.

Astuce

Stockage des annotationsLors du stockage d’annotationsde géodatabase dans un systèmede gestion de bases de données(SGBD), la longueur de la ligne doitêtre comprise entre 80 et 100 octets.

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5. Cliquez sur la classed’entités pour laquelle vousvoulez enregistrer lesétiquettes.

6. Cliquez sur la troisièmeoption de stockage desannotations.

7. Saisissez le nom de lanouvelle classe d’annotationsqui sera créée pour stockerles annotations.

8. Cliquez sur Toutes les entitésde la couche afin de créerdes annotations pour toutesles entités.

Cliquez sur Entités affichéesdans l’étendue courantepour créer des annotationsdestinées exclusivementaux entités affichées dansl’étendue courante de la carte.

Cliquez sur Entitéssélectionnées pour créerune annotation uniquementdestinée à l’ensembled’entités actuellementsélectionné.

9. Cliquez sur Etiquettessuperposées dans la fenêtrede conflits pour afficher lesannotations qui ne peuventpas être créées sanschevaucher d’autresannotations.

10. Cliquez sur OK.


Conversion d’unecouvertured’annotations enannotations degéodatabaseArcMap vous permet de convertirdes annotations stockées dans uneclasse d’entités de la couvertured’annotations en annotations degéodatabase. Vous devez convertirl’annotation en une classed’annotation dans votregéodatabase.

Si la classe d’entités de lacouverture d’annotations contientdes attributs, lorsque vous laconvertissez en annotations degéodatabase, ces attributs serontégalement automatiquementconvertis.

La commande permettantde convertir la couvertured’annotations est disponibledans la boîte de dialoguePersonnaliser d’ArcMap.

Ajout de la commandeConvertir la couvertured’annotations à ArcMap

1. Dans ArcMap, cliquez surAffichage, pointez sur Barresd’outils et cliquez surPersonnaliser.

2. Cliquez sur l’ongletCommandes dans la boîtede dialogue Personnaliser.

3. Cliquez sur la catégorieEtiquette.

4. Faites glisser la commandeConvertir la couvertured’annotations de la listeCommandes vers la barred’outils Standard.

La commande s’affiche dansla barre d’outils.

5. Cliquez sur le bouton Fermerde la boîte de dialoguePersonnaliser.

Voir aussi

Pour de plus amples informationssur la personnalisation d’ArcMap,voir Utilisation d’ArcMap etExploration d’ArcObjects.

La commande s’affichedans la barre d’outils.

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Conversion en couvertured’annotations

1. Ajoutez à la carte les classesd’entités de couvertured’annotations que voussouhaitez convertir.

2. Définissez la symbologie de laclasse d’entités de couvertured’annotations. Créez destracés test de vos donnéespour vérifier que la symbologieutilisée est correcte avant depasser à l’étape 3.

3. Cliquez sur la commandeConvertir la couvertured’annotations.

4. Sélectionnez les classesd’annotations que voussouhaitez convertir. Vouspouvez convertir plusieursclasses de couverturesd’annotations dans uneseule classe d’annotationsde géodatabase.

5. Cliquez sur l’option pourconvertir les annotationsen une base de données.

6. Cliquez sur le boutonParcourir pour rechercherune classe d’annotationsexistante à l’intérieur devotre géodatabase.

7. Cliquez sur Convertir.

8. Cliquez sur le bouton Fermerpour fermer la boîte de dialogueConvertir la couvertured’annotations lorsque laconversion est terminée.

Voir aussi

Pour de plus amples informations surla symbolisation des couches dansArcMap, voir Utilisation d’ArcMap.

Astuce

Cible de la classed’annotationsLa classe d’annotations danslaquelle vous souhaitez convertirvotre couverture d’annotations doitexister dans la géodatabase avantd’effectuer la conversion. Vouspouvez créer une nouvelle classed’annotations à l’aide d’ArcCatalog.

Astuce

Stockage des annotationsLors du stockage d’annotations degéodatabase dans un SGBD, lalongueur de la ligne doit êtrecomprise entre 80 et 100 octets.

Astuce

Classe d’annotationsVous pouvez uniquement convertirles couvertures d’annotations dansdes classes d’annotations existantes.Pour créer une classe d’annotations,voir les tâches « Création denouvelles annotations non liéesaux entités » et « Générationd’annotations liées à des entités »décrites dans ce chapitre.

Voir aussi

Pour de plus amples informationssur l’ajout des classes d’entitésaux cartes, la symbolisation desannotations ainsi que la créationde tracés dans ArcMap, voirUtilisation d’ArcMap.

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DANS CE CHAPITRE

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Mise à jour des entités cotes 14• Modification des entités cotes

• Ajout de la barre d’outils Cotation

• Création d’entités cotes

• Modification des entités cotes

Les entités cotes permettent de communiquer des informations sur lescotes des entités géographiques ou sur les distances les séparant sur unecarte. De ce point de vue, elles sont similaires aux annotations. Les entitéscotes expriment exclusivement des mesures de distance. Les cotespermettent d’afficher la longueur d’une ligne de propriété, la distanceentre deux travées de pont ou la longueur d’une entité selon un axe.

Les cotes sont stockées dans une classe d’entités cotes dans unegéodatabase. Ces classes appliquent un ou plusieurs styles afin de garantirque les entités cotes créées soient conformes à vos normes de cartographie.



Modification des entités cotes

Les entités cotes, à la différence des entités simples, n’ignorentpas leur mode de création. Une entité cote nécessite la saisie d’unnombre spécifique de points dans l’outil de construction pourdécrire sa géométrie. Vous pouvez utiliser les outils de mise àjour standard pour entrer manuellement les points nécessaires àces méthodes de construction. Outre ces méthodes deconstruction manuelles, il existe plusieurs outils vous permettantde créer de nouvelles entités cotes à partir d’entités cotesexistantes et d’autres entités. Ces outils sont regroupés sous leterme d’outils de cotation automatique.

Vous pouvez aussi attribuer un style à une entité cote lorsquevous la créez ou lorsque vous changez le style d’une entité coteexistante. Les entités cotes sont tracées et symbolisées à partirdes propriétés de leur style.

Méthodes de construction

Le type d’entité cote que vous créez dictera le nombre de pointsd’entrée requis.

Vous trouverez ci-dessous une liste des types de cotes et lenombre de points nécessaire à leur construction :

• Alignée avec poursuite : trois points

• Alignée sans attache : deux points

• Linéaire (horizontale et verticale) : trois points

• Linéaire avec rotation : quatre points

Vous pouvez préciser le type de méthode de construction à utiliserpour la création de votre entité cote. La méthode de constructiondicte le type de cote créé. Chaque méthode de construction connaîtle nombre de points requis pour créer un type spécifique d’entitécote. Lorsque vous utilisez ces méthodes, l’option Finir laconstruction est automatiquement activée après la saisie du nombrecorrect de points. Les méthodes de construction sont une exception.

Les méthodes de construction connaissent également le nombre depoints d’entrée requis, mais n’activent pas automatiquement l’optionFinir la construction. Avec les méthodes de construction, vouspouvez ajouter autant de points que nécessaire dans la constructionpour construire votre entité cote. Lorsque vous appellerez l’optionFinir la construction, le type d’entité cote créé dépendra du nombrede points de votre construction.

MISE À JOUR DES ENTITÉS COTES 367


Voici un récapitulatif des différentes méthodes de construction :

• Alignée sans attache : crée des entités cotes alignées sansattache. Nécessite deux points d’entrée : le point de cote dedébut et le point de cote de fin. L’option Finir la constructionest automatiquement activée après la saisie du second point.

• Alignée avec poursuite : crée des entités cotes alignées avecpoursuite. Nécessite trois points d’entrée : le point de cote dedébut, le point de cote de fin et un autre point représentant lahauteur de la ligne de cote. L’option Terminer la constructionest automatiquement activée après la saisie du troisième point.

• Linéaire avec poursuite : crée des entités cotes horizontales etverticales. Nécessite trois points d’entrée : le point de cote dedébut, le point de cote de fin et un autre point représentant lahauteur de la ligne de cote. L’emplacement du troisième pointpar rapport aux points de cote de début et de fin dicteral’horizontalité ou la verticalité de l’entité cote. L’optionTerminer la construction est automatiquement activée aprèsla saisie du troisième point.

• Linéaire avec rotation : crée des entités cotes linéaires avecrotation. Nécessite quatre points d’entrée : le point de cote dedébut, le point de cote de fin, un troisième point représentant lahauteur de la ligne de cote et un quatrième point représentantl’angle des lignes d’attache. L’option Terminer la constructionest automatiquement activée après la saisie du quatrième point.

• Alignée : crée des entités cotes alignées sans attache etalignées avec poursuite. Nécessite deux ou trois pointsd’entrée. Si vous activez l’option Finir la construction avecdeux points dans la construction, vous créez une entité cotealignée sans attache. Si vous activez l’option Finir laconstruction avec trois points dans la construction, vous créezune entité cote alignée avec poursuite. Si vous activez l’optionFinir la construction avec moins de deux ou plus de troispoints de construction, l’opération de modification échoue.

• Linéaire : crée des entités cotes linéaire horizontal, linéairevertical et linéaire avec rotation. Nécessite trois ou quatrepoints d’entrée. Si vous activez l’option Finir la constructionavec trois points de construction, vous créez une entité cotelinéaire horizontale ou verticale. Si vous activez l’option Finirla construction avec quatre points de construction, vous créezune entité cote linéaire avec rotation. Si vous activez l’optionFinir la construction avec moins de trois ou plus de quatrepoints de construction, l’opération de modification échoue.

Outils de cotation automatique

La palette d’outils de cotation automatique contient quatre outilspermettant la création automatique d’entités cotes : Coter le bord,Cotations perpendiculaires, Cotation imbriquée et Cotationchaînée. Avec ces outils, vous pouvez créer de nouvelles entitéscotes en fonction des entités cotes existantes ou d’autres entitéssur votre carte.

L’outil Coter le bord fonctionne sur n’importe quel type d’entité.L’outil Coter le bord crée automatiquement une entité dont la lignede base est définie par le segment linéaire d’une entité existante.

Les cotations perpendiculaires créent deux entités cotesperpendiculaires.

Les outils Cotation imbriquée et Cotation chaînée ne sont utilisésque sur des entités cotes existantes. La cotation imbriquée créeune entité cote dont le point de cote de début est le même que lepoint de cote de début de la cote précédente. L’outil Cotationchaînée crée une nouvelle entité cote dont le point de cote dedébut est identique au point de cote de fin de l’entité coteexistante chaînée. Les outils Cotation imbriquée et Cotationchaînée créent le même type de cote que la cote existante àlaquelle ils sont appliqués et lui attribuent le style sélectionnédans la liste déroulante Style de la barre d’outils Cotation.



Styles de cotes

Toutes les entités cotes sont associées à un style de cote.Lorsque vous créez une nouvelle entité cote, vous devez luiattribuer un style de cote. Ce style de cote doit exister dans laclasse d’entités cotes dans laquelle vous créez votre nouvelleentité cote. Une fois qu’une dimension cote est créée, elle prendtoutes les propriétés de son style. Vous pouvez utiliser la boîte dedialogue Attributs pour modifier certaines de ces propriétés ;vous ne pouvez pas toutefois les modifier toutes comme lasymbologie des éléments des entités cote.

Pour en savoir plus sur les styles de cotes et leur création, voirConstruction d’une géodatabase.

La barre d’outils Cotation

Les outils de cotation automatique et les commandes de définitionde la méthode de construction et d’attribution d’un style de cote sesituent dans la barre d’outils Cotation. Les commandes de la barred’outils Cotation ne sont actives que lorsque vous les modifiez et laclasse d’entités sélectionnée dans la liste déroulante Cible de labarre d’outils Editeur est une classe d’entités cotes.

La liste déroulante Construction contient toutes les méthodes deconstruction des entités cotes. La méthode de création dicte lenombre de points requis pour créer une entité cote et le typed’entité cote créé.

La liste déroulante Styles contient tous les styles de la classed’entités cotes sélectionnée dans la liste déroulante Cible de labarre d’outils Editeur. Les nouvelles entités cotes sont créées etle style qui est sélectionné dans la liste déroulante Style leur estattribué.

N’oubliez pas que les outils Cotation imbriquée et Cotationchaînée ne sont actifs que si une entité cote est sélectionnée.L’outil Coter le bord est actif quelle que soit l’entité sélectionnée.

Modification de la géométrie d’une entité cote

Les entités cotes sont dessinées et symbolisées en fonction du stylequi leur est attribué mais elles sont également capables d’ajuster lamodification de leur géométrie. A l’aide des outils de modificationd’ArcMap que vous utilisez pour modifier la géométrie d’autrestypes d’entités, vous pouvez modifier la géométrie d’une entitécote tout en conservant la configuration correcte des points pourune entité cote valide.

Lorsque vous modifiez une entité cote, vous pouvez choisir unesérie de sommets que vous pouvez déplacer avec l’outil Edition,pour changer la géométrie de l’entité cote. Vous ne pouvez pasajouter de sommets supplémentaires ou supprimer les sommets

ListedéroulanteCréation

ListedéroulanteStyle

Palette d’outilsde cotationautomatique



Vous ne pouvez pas éloigner le texte d’une entité cote de sa lignede cote. L’affichage du texte dépend du style choisi pour l’entitécote. Certains styles comportent un habillage de la ligne ycompris une ligne de pointage. Pour ces styles, si vous éloignezle texte de l’entité cote de la ligne d’entité et qu’il dépasse latolérance de la ligne de pointage, cette ligne de pointage s’afficheautomatiquement.

Vous pouvez modifier l’angle de la ligne d’attache et les autrespropriétés de la géométrie d’une entité cote en changeant lesvaleurs de certains de ses champs. Voici une liste des champs quevous pouvez modifier pour une entité cote et leur correspondanceà sa géométrie :

Champ Propriété

BEGINX coordonnée x du point de cote de début

BEGINY coordonnée y du point de cote de début

ENDX coordonnée x du point de cote de fin

ENDY coordonnée y du point de cote de fin

DIMX coordonnée x de la hauteur de ligne de cote

DIMY coordonnée y de la hauteur de la ligne de cote

TEXTX coordonnée x du point de texte (nulle si le texte

a été déplacé par rapport à l’entité cote)

TEXTY coordonnée y du point de texte (nulle si le texte

a été déplacé par rapport à l’entité cote)

EXTANGLE Angle de la ligne d’attache

Pour de plus amples informations sur la modification de lagéométrie d’une entité, voir le chapitre 7, « Modification desentités existantes ». Pour de plus amples informations sur lessymboles textuels et l’habillage de texte, voir Utilisationd’ArcMap.

Vous pouvez modifier la géométrie d’une entité cote en déplaçant unensemble de sommets tout en conservant une cote valide.

Déplacement du pointde cote de fin

Déplacement du pointde cote de début

Modification de lahauteur de laligne de cote

Déplacement dutexte de cote

Si le style d’une entité cote comporte un symbole textuel avec une lignede pointage, cette ligne est dessinée lorsque le texte est déplacé et qu’ildépasse la tolérance de pointage définie pour le symbole textuel.

existants. Le schéma suivant montre l’orientation d’une entitécote qui est modifiée lorsqu’un de ces sommets est déplacé.



Modification des propriétés d’une entité cote

Une entité cote tire la plupart de ses propriétés de son style.Toutefois, vous pouvez ignorer certains aspects du style d’uneentité cote. Voici les propriétés qui peuvent différer entre uneentité cote et son style :

• Affichage de la ligne de cote

• Affichage du symbole de flèche de la ligne de cote

• Affichage de la ligne d’attache

Pour de plus amples informations sur les styles de cotes,reportez-vous à la rubrique Construction d’une géodatabase.

Outre le fait d’ignorer ces propriétés de style, vous pouvez aussimodifier le style d’une entité cote, spécifier une valeurpersonnalisée à utiliser pour le texte de cote au lieu de lalongueur de l’entité cote et changer l’angle de la ligne d’attache.

Vous pouvez modifier les entités cotes à l’aide de la boîte dedialogue Attributs. Les entités cotes comportent une boîte dedialogue spéciale Attributs qui permet de modifier facilementleurs différentes propriétés. Toutefois, vous pouvez aussi utiliserla boîte de dialogue standard Attributs pour modifier lespropriétés d’une entité cote ou pour modifier les valeurs deschamps que vous avez ajoutés à votre classe d’entités cotes.

Vous pouvez aussi modifier chaque propriété d’une entité coteque vous pouvez changer dans la boîte de dialogue Attributs decotation en modifiant les valeurs de certains de ses champs.Vous trouverez à la page suivante une liste des champs que vouspouvez modifier pour une entité cote et leur correspondance à sespropriétés :

Vous pouvez modifier des propriétés d’entités cotes à l’aide de la boîte dedialogue Attributs de cotation ou de la boîte de dialogue standard Attributs.

Bascule vers la boîte dedialogue standard Attributs

Utilisation d’une valeur personnaliséeou d’une valeur système

Affichage du symbolede flèche de fin de laligne de cote

Angle de la ligned’attache

Affichagede la ligned’attache

Affichage de laligne de cote

Style de cote



Champ Propriété

STYLEID ID du style de cote.

USECUSTOMLENGTH 0 indique que la longueur de l’entité

est utilisée pour le texte de la cote ;

1indique qu’une valeur personnalisée

est utilisée pour le texte de la cote.

CUSTOMLENGTH Valeur utilisée pour le texte de cote si

USECUSTOMLENGTH est 1.

DIMDISPLAY 0 (Nul) indique que les deux lignes

d’attache sont affichées ; 1 indique

que seule la ligne d’attache de début

est affichée ; 2 indique que seule la

ligne d’attache de fin est affichée ;

3 indique qu’aucune ligne d’attache

n’est affichée.

EXTDISPLAY 0 (Nul) indique que les deux lignes

d’attache sont affichées ; 1 indique

que seule la ligne d’attache de début

est affichée ; 2 indique que seule la

ligne d’attache de fin est affichée ;

3 indique qu’aucune ligne d’attache

n’est affichée.

MARKERDISPLAY 0 (Nul) indique que les deux symboles

ponctuels de type flèche de fin de

ligne d’attache sont affichés ;

1 indique que seul le symbole

ponctuel de type flèche de fin de ligne

d’attache de fin est affiché ; 2 indique

que seul le symbole ponctuel de type

flèche de fin de ligne d’attache de fin

est affiché ; 3 indique qu’aucun des

symboles ponctuels de type flèche de

fin d’attache de cote n’est affiché.

Pour de plus amples informations sur la boîte de dialogueAttributs dans ArcMap, voir le chapitre 9, « Mise à jour desattributs ».


ArcInfo et ArcEditor1. Cliquez avec le bouton droit

de la souris sur le menuprincipal.

2. Cliquez sur Cotation.

3. Ancrez la barre d’outils à lafenêtre ArcMap. La barred’outils s’affiche désormais àchaque démarrage d’ArcMap.

Astuce

Ajout de barre d’outilsVous pouvez aussi ajouter la barred’outils en cliquant sur le menuVue, en pointant sur Barres d’outilspuis en cliquant sur Cotation.

Ajout de la barred’outils CotationLes outils de cotation automatiqueet les commandes de définitionde la méthode de construction etd’attribution d’un style de cotese situent dans la barre d’outilsCotation. Les commandes de labarre d’outils Cotation ne sontactives que lorsque vous lesmodifiez et la classe d’entitéssélectionnée dans la listedéroulante Cible de la barred’outils Editeur est une classed’entités cotes.

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Création d’une entitécote alignée sans attache

1. Ajoutez votre classe d’entitéscotes à ArcMap et ajoutez labarre d’outils Editeur et labarre d’outils Cotation.


3. Effectuez un zoom sur lazone dans laquelle voussouhaitez ajouter unenouvelle entité.



6. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Couche cible,puis sur la classe d’entitécote. u

Astuce

ConstructionArcMap contient de nombreuxoutils qui vous aident à entrer despoints dans votre construction.Vous pouvez utiliser tous ces outilspour entrer les points nécessairesà ces différentes méthodes deconstruction d’entités cotes.

Création d’entitéscotesA l’aide des outils fournis par labarre d’outils de base Editeur etceux de la barre d’outils Cotation,vous pouvez créer de nombreuxtypes d’entités cotes.

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ArcInfo et ArcEditor7. Cliquez sur la flèche de la

liste déroulante Style etcliquez sur le style que vousvoulez pour votre nouvelleentité cote.

8. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Constructionet cliquez sur Alignée sansattache.

9. Cliquez sur la carte au niveaudu point de cote de débutpour commencer laconstruction.

En déplaçant le curseur de lasouris, vous constatez que lanouvelle cote est tracéedynamiquement en prenant laposition du curseur de lasouris comme point de cotede fin. u

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Astuce

Affichage de la constructionLorsque vous créez des entités cotes,la construction affiche l’aspect queprendra l’entité cote résultantelorsque vous déplacerez la souris.

Les méthodes de constructiond’entités sont une exception.Avec ces méthodes de construction,l’affichage de construction estidentique à celui de la créationd’entités simples.

Astuce

Utilisation de la fenêtreLoupePour placer vos sommets de manièreplus précise, servez-vous de lafenêtre Loupe sous Fenêtre dans lemenu principal. Pour de plus amplesinformations concernant la fenêtreLoupe, voir Utilisation d’ArcMap.

Astuce

Réglage de l’environnementde captureEn ajustant les paramètres de laboîte de dialogue Environnement decapture, vous pouvez positionnerles sommets de façon plus précise.Pour de plus amples informationssur l’environnement de capture,voir le chapitre 3 « Création denouvelles entités ».

9



10. Cliquez sur la carte au niveaudu point de cote de fin.

La construction estautomatiquement terminéeet une nouvelle entité cotealignée sans attache estcréée selon le style quevous avez sélectionné.

Q



Création d’une entité cotealignée avec poursuite

1. Suivez les étapes 1 à 7 de larubrique « Création d’uneentité cote alignée sansattache » dans ce chapitre.

2. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Constructionet cliquez sur Alignée avecpoursuite.

3. Cliquez sur la carte au niveaudu point de cote de débutpour commencer laconstruction.

En déplaçant le curseur dela souris, vous constatez quela nouvelle cote est tracéedynamiquement en prenantla position du curseur de lasouris comme point de cotede fin. u

Astuce

Entités cotes alignéesLa ligne de dimension d’une entitécote alignée avec poursuite esttoujours parallèle à sa ligne de base.

Pour de plus amples informationsconcernant les différents typesd’entités cotes, voir Constructiond’une géodatabase.

2

3




La nouvelle cote continued’être tracée dynamiquement ;cependant, les points dedébut et de fin sont désormaisfixes et la hauteur de la lignede cote varie lorsque vousdéplacez le curseur de lasouris.

5. Cliquez sur la carte à l’endroitoù vous souhaitez placer laligne de cote.

La construction estautomatiquement terminéeet une nouvelle entité cotealignée avec poursuite estcréée selon le style quevous avez sélectionné.

Comme vous avez sélectionnéAlignée avec poursuite commeméthode de construction, laligne de cote est parallèle àla ligne de base.

4

5



Création d’une entité cotealignée avec poursuite


2. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Constructionet cliquez sur Linéaire.

3. Cliquez sur la carte au niveaudu point de cote de début pourcommencer la construction.


Astuce

Entités cotes linéairesLa ligne de dimension d’une entitécote linéaire est toujours parallèleà sa ligne de base. Par conséquent,la distance représentée par uneentité linéaire n’est pas la longueurde la ligne de base.

Pour de plus amples informationsconcernant les différents typesd’entités cotes, voir Constructiond’une géodatabase.

3

2




La nouvelle cote continued’être tracée dynamiquement ;cependant, les points de débutet de fin sont désormais fixeset la hauteur de la ligne de cotevarie lorsque vous déplacez lecurseur de la souris.

Si vous déplacez le curseurde la souris vers la gaucheou vers la droite de la ligne debase, une entité cote linéaireverticale s’affiche. Si vousdéplacez le curseur de lasouris vers le haut ou vers lebas de la ligne de base, uneentité cote linéaire horizontales’affiche. u

4


ArcInfo et ArcEditor5. Cliquez sur la carte à l’endroit

où vous souhaitez placer laligne de cote.

La construction estautomatiquement terminéeet une nouvelle entité cotelinéaire est créée selon le styleque vous avez sélectionné.

5



Création d’une entité cotelinéaire avec rotation


2. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Constructionet cliquez sur Linéaire avecrotation.



3

2


ArcInfo et ArcEditor4. Cliquez sur la carte au niveau

du point de cote de fin.

La nouvelle cote continued’être tracée dynamiquement ;cependant, les points de débutet de fin sont désormais fixeset la hauteur de la ligne de cotevarie lorsque vous déplacez lecurseur de la souris.

Si vous déplacez le curseurde la souris vers le haut ouvers le bas de la ligne debase, une entité cote linéairehorizontale s’affiche. Si vousdéplacez le curseur de lasouris vers la gauche ou versla droite de la ligne de base,une entité cote linéaireverticale s’affiche. u

4



5. Cliquez sur la carte àl’endroit où vous souhaitezplacer la ligne de cote.

La nouvelle cote continued’être tracée dynamiquement ;cependant, les points decote de début et de fin et lahauteur de la ligne de cotesont désormais fixes et l’angledes lignes d’attache varielorsque vous déplacez lasouris.

6. Cliquez sur la carte à l’angleoù vous voulez placer leslignes d’attache.

La construction estautomatiquement terminéeet une nouvelle entité cotelinéaire avec rotation estcréée selon le style quevous avez sélectionné.

6

5



Création d’une entitécote avec la méthode deconstruction alignée


2. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Constructionet cliquez sur Alignée.


L’entité cote n’est plus tracéedynamiquement lorsque vousdéplacez le curseur de lasouris.

4. Utilisez les outils et lesméthodes de constructiond’ArcMap pour spécifier unnouveau point de cote de fin.

Si vous créez une entité cotealignée sans attache, passezà l’étape 6. u 4

3

2

Astuce

Méthodes de constructionLes méthodes de construction vouspermettent de saisir autant desommets que vous le voulez dansla construction pour vous aider àdéfinir vos points d’entités cotes.Toutefois, vous devez supprimer dela construction tout sommet qui necorrespond pas à un des pointsd’entités cotes requis avant decliquer sur Terminer la construction.Si vous avez trop ou trop peu desommets, votre opération demodification échoue.



5. Utilisez les outils et lesméthodes de constructiond’ArcMap pour spécifier lepoint où vous souhaitezplacer la ligne de cote.

6. Si votre construction comporteplus de trois sommets ou dessommets qui ne représententpas le point de cote de débutou de fin ou la hauteur de laligne de cote, cliquez surSupprimer un sommet pourles supprimer avant de passerà l’étape 7. u

5

6


ArcInfo et ArcEditor7. Cliquez avec le bouton droit de

la souris sur la construction,puis sélectionnez l’optionTerminer la construction.

La nouvelle entité coteest créée selon le stylesélectionné. Si la constructioncomporte deux points, uneentité alignée sans attacheest créée. Si la constructioncomporte trois points, uneentité cote alignée sanspoursuite est créée.

Les points de l’entité cotereprésentés par les sommetssont définis selon l’ordredans lequel vous les avezentrés dans la construction.Le premier sommet entréest utilisé comme point decote de début. Le secondsommet entré est utilisécomme point de cote de fin.Si la construction comportetrois sommets, le troisièmesommet sert de point dehauteur de la ligne de cote.

7



Création d’une entitécote avec la méthodede construction linéaire

1. Suivez les étapes 1 à 7 dela rubrique « Création d’uneentité cote alignée sansattache » dans ce chapitre.

2. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Constructionet cliquez sur Linéaire.


L’entité cote n’est plus tracéedynamiquement lorsque vousdéplacez le curseur de lasouris.

4. Utilisez les outils et lesméthodes de constructiond’ArcMap pour spécifier unnouveau point de cote defin. u

2

3

4


ArcInfo et ArcEditor5. Utilisez les outils et les

méthodes de constructiond’ArcMap pour spécifier lepoint où vous souhaitezplacer la ligne de cote.

Si vous créez une entitécote linéaire horizontale ouverticale, passez à l’étape 7.

6. Utilisez les outils et lesméthodes de constructiond’ArcMap pour saisir le pointqui décrit l’angle de la ligned’attache. u

Astuce

Angle de la ligne d’attacheLorsque vous créez des coteslinéaires avec rotation, l’angle dela ligne d’attache est calculé detelle sorte que la ligne de cote soitparallèle à la ligne entre letroisième et le quatrième pointde construction.

5

6



7. Si votre construction comporteplus de quatre sommetsou des sommets qui nereprésentent pas le point decote de début ou de fin, lahauteur de la ligne de cote oul’angle de la ligne d’attache,vous devez les supprimeravant de passer à l’étape 8.

8. Cliquez avec le bouton droit dela souris sur la construction,puis sélectionnez l’optionTerminer la construction.

La nouvelle entité coteest créée selon le stylesélectionné. Si la constructioncomporte trois points, uneentité cote linéaire verticaleou horizontale est créée. Si laconstruction comporte quatrepoints, une entité cote linéaireavec rotation est créée.

Les points de l’entité cotereprésentés par les sommetssont définis selon l’ordredans lequel vous les avezentrés dans la construction.Le premier sommet entré estutilisé comme point de cotede début. Le second sommetentré est utilisé comme pointde cote de fin. Le troisièmesommet sert de point dehauteur de la ligne de cote.Si la construction comportequatre sommets, le quatrièmesommet sert à décrire l’anglede la ligne d’attache.

8



Création d’une entité coteavec l’outil Coter le bord


2. Sélectionnez l’entité dontvous voulez utiliser le tronçoncomme ligne de base pourvotre nouvelle entité cote.

3. Cliquez sur la flèche de la listedéroulante Palette d’outils,puis sur l’outil Coter le bord.

4. Sélectionnez le tronçon quevous voulez utiliser commeligne de base pour votreentité cote.

Lorsque vous déplacez votresouris, la nouvelle cote sedessine dynamiquement avecles points de cote de débutet de fin comme extrémitésdu tronçon que vous avezsélectionné ; la hauteur dela ligne de cote change.

Si vous déplacez le curseur dela souris vers la gauche ou versla droite de la ligne de base,une entité cote linéaire verticales’affiche. Si vous déplacez lecurseur de la souris vers le hautou vers le bas de la ligne debase, une entité cote linéairehorizontale s’affiche.

5. Cliquez sur la carte à l’endroitoù vous souhaitez placer laligne de cote.

La construction estautomatiquement terminéeet une nouvelle entité cotelinéaire est créée selon le styleque vous avez sélectionné.

Astuce

Outils de cotationautomatiqueL’outil Coter le bord ne crée desentités cotes linéaires qu’en utilisantautomatiquement les sommets surles entités existantes pour pointsde cote de début et de fin.

Astuce

Outil Coter le bord etentités diagonalesPour utiliser l’outil Coter le bordafin d’obtenir des mesures dediagonales, cliquez sur la ligneet placez le curseur au-dessus dusommet de début du segment de laligne. La mesure de la diagonales’affiche.

4

5

3



Création de deux entitéscotes avec l’outil Cotationsperpendiculaires


2. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante de la paletted’outils, puis sur l’outilCotations perpendiculaires.


Une ligne s’affiche sur la cartequi va du premier sommetplacé à l’emplacement ducurseur.

4. Cliquez sur la carte ànouveau pour définir l’anglede la première entité cote.

Lorsque le curseur est éloignéde la première ligne, deuxentités cotes s’affichent. Lapremière apparaît le long dela ligne définie et la deuxièmeest perpendiculaire à la ligneau point où se trouve lecurseur. u

4

3

2


ArcInfo et ArcEditor5. Cliquez sur la carte à nouveau

pour définir la longueur de lamesure perpendiculaire.

Cette opération marque la finde la définition des entitéscotes.

5



Création d’une entitécote avec l’outil Cotationimbriquée


2. Sélectionnez l’entité cote dontvous voulez utiliser le point decote de début comme point decote de début de votrenouvelle entité cote.

3. Cliquez sur la flèche de la listedéroulante de la palette d’outilsde cotation automatique, puissur l’outil Cotation imbriquée.

En déplaçant la souris, vousconstatez que la nouvelleentité cote est tracéedynamiquement en prenantle point de cote de début del’entité cote que vous avezsélectionnée à l’étape 2comme point de cote dedébut. La hauteur est fixée àla hauteur de l’entité cote quevous avez sélectionnée, plusla hauteur de la ligne debase du style que vous avezsélectionné à l’étape 2.

Le point de cote de fin varielorsque vous déplacez lecurseur de la souris, la lignede base de la nouvelle entitécote restant parallèle à cellede l’entité cote sélectionnéeà l’étape 2. u

3



où vous souhaitez placer lepoint de cote de fin.

La construction estautomatiquement terminée etune nouvelle entité cote estcréée selon le style que vousavez sélectionné. Le type decote est identique à l’entitécote sélectionnée à l’étape 2.

4

Astuce

Hauteur d’imbricationPour une entité cote créée avecl’outil Cotation imbriquée, lahauteur de la ligne de cote estcontrôlée par la propriété hauteurde la ligne de base de son style.

La hauteur de la ligne de base nesert qu’à la création d’entitéscotes. Si vous changez le styled’une entité cote existante pour unstyle dont la hauteur de la ligne debase est différente, la hauteur dela ligne de cote ne bouge pas.

Pour de plus amples informationssur les styles et sur la définition dela propriété hauteur de la ligne debase, voir Construction d’unegéodatabase.



Création d’une entitécote avec l’outil Cotationchaînée


2. Sélectionnez l’entité cotedont vous voulez utiliser lepoint de cote de fin commepoint de cote de début devotre nouvelle entité cote.

3. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante de la paletted’outils, puis sur l’outilCotation chaînée.

En déplaçant la souris, vousconstatez que la nouvelleentité cote est tracéedynamiquement en prenantle point de cote de début del’entité cote que vous avezsélectionnée à l’étape 2comme point de cote de fin.La hauteur est égalementfixée à la hauteur de l’entitécote que vous avezsélectionnée à l’étape 2.

Le point de cote de fin varielorsque vous déplacez lecurseur de la souris, la lignede base de la nouvelle entitécote restant parallèle à cellede l’entité cote sélectionnéeà l’étape 2. u

3



où vous souhaitez placer lepoint de cote de fin.

La construction estautomatiquement terminée etune nouvelle entité cote estcréée selon le style que vousavez sélectionné. Le type decote est identique à l’entitécote sélectionnée à l’étape 2.

4



Modification de lagéométrie d’une entitécote


2. Cliquez sur l’outil Edition,puis sélectionnez l’entité cotedont vous voulez modifier lagéométrie.

3. Positionnez le pointeur surle sommet qui correspond àl’exposition de la géométriede cote que vous voulezmodifier.

4. Cliquez et faites glisser lesommet vers l’emplacementsouhaité.

Lorsque vous déplacezla souris, l’entité cote estdynamiquement mise à jouret vous pouvez voir l’aspectde l’entité une fois que vousavez modifié sa géométrie. u

Astuce

Modification des cotationsperpendiculairesUne fois que les cotationsperpendiculaires ont été créées,elles agissent indépendammentl’une de l’autre et peuvent êtresélectionnées et modifiées commedécrit dans ce chapitre.

Modification desentités cotesLa modification de la géométriedes entités cotes ne se résume pasà la modification de la hauteur dela ligne de cote. Vous pouvezaussi modifier le point de cote dedébut, le point de cote de fin et leplacement du texte de cote.

Outre l’utilisation de l’outilModifier, vous pouvez utiliser laboîte de dialogue Attributs pourmodifier la géométrie de l’entitécote. La boîte de dialogueAttributs permet de modifierles éléments suivants :

• Affichage de la ligne de cote

• Affichage du symbole deflèche de la ligne de cote

• Affichage de la ligne d’attache

• Angle de la ligne d’attache

• Valeur textuelle de cote

1

3

4



5. Cliquez avec le bouton droitsur n’importe quelle partie dela construction, puis cliquezsur Terminer la construction.

La géométrie de l’entité coteest mise à jour.

Astuce

Modification des attributsde la géométrie de l’entitécoteOutre l’utilisation de l’outil Modifier,vous pouvez utiliser la boîte dedialogue Attributs pour modifier lagéométrie de l’entité cote.

5



Modification du styled’une entité cote

1. Cliquez sur l’outil Edition, puissélectionnez l’entité cote dontvous voulez modifier le style.


La boîte de dialogue Attributsapparaît. Notez qu’il existe uneboîte de dialogue spécialeAttributs pour modifier lesattributs d’une entité cote.

3. Cliquez sur la liste déroulanteStyle de cote et cliquez sur lestyle de cote que vous voulezattribuer à cette entité. u

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2


ArcInfo et ArcEditor4. Cliquez sur Valider.

L’entité cote est mise à jourpour refléter le nouveau style.

5. Cliquez sur le bouton Fermerpour fermer la boîte dedialogue Attributs.

4

5

DANS CE CHAPITRE


Utilisation d’une géodatabaseversionnée 15• Intégration du versionnement

dans le flux de travail de votresociété

• Inscription de données commeversionnées

• Création et gestion de versionsdans ArcCatalog

• Utilisation des versions dansArcMap

• Modification et résolution desconflits

• Mise à jour d’une version

• Possibilités de versionnement

Avec ArcGIS 8, plusieurs utilisateurs peuvent accéder aux donnéesgéographiques d’une géodatabase par le biais du versionnement. Leversionnement permet aux utilisateurs de créer simultanément plusieursreprésentations permanentes de la base de données sans duplication desdonnées. Les utilisateurs peuvent modifier les mêmes entités ou lignes sansqu’aucun blocage explicite ne se produise.

Un organisme peut utiliser le versionnement pour gérer des conceptionsalternatives, résoudre des scénarios hypothétiques sans effet sur la base dedonnées de l’organisme et créer des représentations ponctuelles de la basede données.

Essentiellement, le versionnement simplifie le processus de mise à jour.Plusieurs utilisateurs peuvent modifier directement la base de données sansavoir à extraire les données ou bloquer les entités et lignes avant de procéderà la mise à jour. Si, par hasard, les mêmes entités sont modifiées en mêmetemps, une boîte de dialogue de Résolution de conflit guide l’utilisateur dansle processus permettant de déterminer la représentation et les attributs correctsde l’entité.

Les bases de données versionnées contiennent éventuellement des topologies.Pour plus d’informations sur la manière dont le versionnement affecte lestopologies, voir Construction d’une géodatabase.

Les bases de données versionnées peuvent également faire office de bases dedonnées d’extraction pour les éditeurs déconnectés. Pour plus d’informationssur l’utilisation d’une base de données versionnée pour la mise à jourdéconnectée, voir Construction d’une géodatabase.



Le processus est de nature cyclique. Le bon de travail est généréet affecté à un ingénieur puis modifié au fur et à mesure qu’ilprogresse d’une étape à l’autre et en dernier lieu lesmodifications sont réinjectées ou appliquées à la base de donnéescentrale.

Voici un exemple de simplification du flux de travail grâce auversionnement. Etant donné que le processus de flux de travailpeut s’étaler sur des jours, des mois et même des années, la basede données centrale doit être disponible continuellement pour lesopérations quotidiennes. Si un bon de travail applique un blocagerestrictif sur les données utilisées dans le processus, d’autresutilisateurs risqueront de ne pas pouvoir effectuer leurs tâchesquotidiennes.

Pour mettre en oeuvre le flux de travail dans la géodatabase,des versions peuvent être créées correspondant à chaque palierdu processus. Vous pouvez également, créer une version pourchaque bon de travail et modifier le nom de version pour refléterl’étape dans laquelle vous vous trouvez, au fur et à mesure dudéroulement du processus.

Intégration du versionnement dans le flux de travail de votre société

La géodatabase et le versionnement fournissent aux organismesdes techniques de stockage de données avancées quirévolutionnent le flux de travail dans de nombreuses applicationsdans lesquelles les informations spatiales sont utilisées. Lesingénieurs ont la possibilité de générer des conceptionsalternatives en utilisant la totalité de la base de données. Lesanalystes spatiaux peuvent effectuer des scénarios hypothétiquescomplexes sans affecter pour autant la représentation actuelle dela base de données. Les administrateurs des bases de donnéespeuvent créer des vues figées historiques de la base de donnéesdans le cadre de l’archivage ou de la récupération.

A long terme, la mise en oeuvre d’une base de données versionnéeest bénéficiaire pour tout organisme. Les données sont centraliséesdans une base de données. Il n’est jamais nécessaire d’extraire desunités de la base de données pour mettre à jour ou bloquer lesfeuilles de carte ou les entités individuelles. Ces facteurssimplifient le processus d’administration.

Le circuit de production

L’évolution du processus du flux de travail – déroulement desprojets et bon de travail sur une période de temps – variegrandement d’un organisme à un autre et dans chaque secteurdu monde des affaires. Par conséquent, le processus deversionnement de la géodatabase a été conçu de façon às’adapter aux processus les plus rudimentaires comme aux pluscomplexes tout en étant suffisamment restrictif avec ou sanspersonnalisation supplémentaire.

Les processus de flux de travail se déroulent en général en étapesdiscrètes. A chaque étape, des impératifs ou règles différentessont exécutés. Typiquement, le projet ou bon de travail est associéà un nom d’étape à chaque niveau du processus. Par exemple, dansle domaine des services publics, les étapes les plus communessont travail, proposé, accepté, en cours et conforme à l’exécution.

Un processus de flux de travail passant par toutes les étapes du projet

UTILISATION D’UNE GÉODATABASE VERSIONNÉE


403

La structure actuelle du flux de travail de votre organisme a uneinfluence significative sur la mise en oeuvre du processus deversionnement de la géodatabase dans le cadre de la gestion destransactions spatiales. La souplesse et la transparence du systèmevous permettent de déterminer la solution qui répondra le mieuxà vos besoins.

Les autres sections de ce chapitre illustrent l’utilisationd’ArcCatalog et d’ArcMap dans le cadre de l’exécution destâches de versionnement. En particulier, la dernière sectionpropose des exemples sur la mise en place des processus de fluxde travail à l’aide de la fonctionnalité de versionnement de labase de données. Pour plus de détails sur la gestion du flux detravail de votre organisme grâce aux versions, consultezModélisation de notre monde.

404 MISE ÀJOUR DANS ARCMAP


Inscription dedonnées commeversionnéesAvant de mettre à jour les jeux declasses d’entités, les classes d’entitéset les tables, vous devez tout d’abordinscrire vos données versionnéesdans ArcCatalog.

Pour qu’une classe d’entités ouune table soit multi-versionnée,vous devez utiliser un champentier unique. Seul le propriétairedes données peut inscrire oudésinscrire l’objet comme étantversionné.

Lors de la désinscription d’un jeude données ou classe d’entitéscomme étant versionnée dansArcCatalog, une boîte de dialoguepeut s’afficher vous informantque les versions existantescontiennent des mises à jours nonterminées. La désinscription de laclasse entraînerait la suppressionde toutes les mises à jour. Pourconserver les mises à jour vousdevez comprimer la base de données.

1. Dans l’arborescence duCatalogue, cliquez, avec lebouton droit de la souris, surle Jeu de classes d’entités,la classe d’entités ou la tableque vous voulez inscrirecomme versionnés.

2. Cliquez sur Inscrire commeversionné.

Astuce

Inscription de donnéescomme versionnéesL’inscription d’un jeu de classesd’entités enregistre toutes lesclasses d’entités d’un jeu de classesd’entités comme versionnées.

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1



405

Création etgestion desversions dansArcCatalogArcCatalog vous permet decréer de nouvelles versions, derenommer des versions existantes,de supprimer des versions et demodifier les propriétés des versions.Ces tâches administratives sontaccomplies à l’aide de la boîte dedialogue Gestionnaire de versions.

Initialement, la base de donnéesn’a qu’une version appeléeDEFAULT dont l’utilisateuradministratif ArcSDE est lepropriétaire. Les nouvellesversions créées le sont toujours àpartir d’une version existante. Lanouvelle version est identique àcelle dont elle est dérivée. Avec letemps, les versions divergent aufur et à mesure que des modifica-tions sont apportées à la versionparente et à la nouvelle version.

Une version comprendplusieurs propriétés : un nomalphanumérique, un propriétaire,une description facultative, ladate de création, la date de ladernière modification, la versionparente et la permission deversion. u

Création d’une version

1. Créez une connexion àla base de données dansArcCatalog à l’aide dela boîte de dialogue Ajouterune connexion ArcSDE.

2. Cliquez sur la connexion àla base de données dansl’arborescence du Catalogueavec le bouton droit de lasouris puis sur Versions. u

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2


ArcInfo et ArcEditor3. Cliquez sur une version avec

le bouton droit de la sourispuis sur Nouveau.

4. Tapez le nom de la nouvelleversion.

5. Saisissez une description.

6. Cliquez sur le type depermission approprié ; letype par défaut est privé.

7. Cliquez sur OK.

Une permission de version nepeut être modifiée que par sonpropriétaire. Les paramètres depermission disponibles sont :

• Privé – seul le propriétairepeut visualiser la version etmodifier les classes d’entités.

• Protégé – tous les utilisateurspeuvent visualiser la versionmais seul le propriétaire a ledroit de modifier les classesd’entité.

• Public – tous les utilisateurspeuvent visualiser la versionet modifier les classes d’entités.

Seul le propriétaire peut renommer,supprimer ou altérer une version.Une version parente ne peut pasêtre supprimée tant qu’il existedes versions dépendantes.

Pour améliorer la performance dela base de données, elle devraitêtre comprimée périodiquement.La compression supprime tousles états de la base de donnéesqui ne sont pas référencés ettoutes les lignes redondantes.Seul l’administrateur ArcSDEpeut effectuer cette tâche. Lorsquela commande de compressionest exécutée, la base dedonnées n’est pas accessibletant que la compression n’estpas terminée. Pour plus dedétails, voir la section traitantdes scénarios de versionnementà la fin de ce chapitre. u

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407

Modification du nomd’une version

1. Cliquez avec le bouton droitde la souris sur la connexionà la base de données, puissélectionnez l’option Versions.

2. Cliquez avec le bouton droitsur la version à renommer,puis sélectionnez Renommer.

3. Saisissez le nouveau nom etappuyez sur la touche Entrée.

Suppression d’uneversion


2. Cliquez avec le bouton droitde la souris sur la versionque vous souhaitez supprimer.

3. Cliquez sur Supprimer ouappuyez sur la touche desuppression du clavier.

En dernier lieu, après la com-pression de la base de donnéesou la modification des données,la commande d’Analyse devraitêtre exécutée pour mettre à jourles statistiques de la base dedonnées pour chaque classed’entité et jeu de données.L’affichage et les requêtes s’entrouveront ainsi améliorés.

Astuce

DescriptionsLes descriptions donnent desinformations utiles concernantl’objectif de la version.

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2



Modifications despropriétés d’une version


2. Cliquez sur une version avecle bouton droit de la souris.

3. Cliquez sur Propriétés.

4. Saisissez la nouvelledescription.

5. Cliquez sur le nouveau typede permission.

6. Cliquez sur OK.

Astuce

ActualiserUtilisez la commande derafraîchissement pour mettre àjour les propriétés de chaqueversion sur la base de leursvaleurs actuelles.

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409

Ajout de la commande decompression à ArcCatalog

1. Dans ArcCatalog, cliquez surAffichage, pointez sur Barresd’outils, puis cliquez surPersonnaliser.

2. Cochez la case Menuscontextuels dans la listedes barres d’outils. u

Voir aussi

Pour de plus amples informationssur la personnalisationd’ArcCatalog, voir Utilisationd’ArcCatalog et Explorationd’ArcObjects.

1

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ArcInfo et ArcEditor3. Cliquez sur Menus

contextuels.

4. Cliquez sur la flèche à côtédu Menu contextuel de labase de données distante.

Menu contextuel de la basede données distante resteaffiché.

5. Cliquez sur l’ongletCommandes dans la boîtede dialogue Personnaliser.

6. Cliquez sur Outils degéodatabase.

7. Cliquez et faites glisser lacommande de compressionde la base de données dansla liste Commandes, puisdéposez-la dans le menucontextuel Menu contextuelde la base de donnéesdistante.

La commande s’affiche dansle menu contextuel.

8. Cliquez sur Fermer dansla boîte de dialoguePersonnaliser.

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411

Compression de la basede données

1. Dans ArcCatalog, créez unenouvelle connexion à la basede données en tantqu’utilisateur administratifArcSDE.

2. Cliquez sur la nouvelleconnexion avec le boutondroit de la souris puis surCompresser la basede données.

Astuce

AnalyseAprès avoir comprimé une base dedonnées, analysez toujours lesdonnées pour mettre à jour lesstatistiques de la base de données.

Voir aussi

Pour plus d’informations surl’administration d’une base dedonnées ArcSDE, voir le guideGestion des services ArcSDE.

Voir aussi

Pour de plus amples informationssur la création de connexions àdes bases de données dansArcCatalog, voir Utilisationd’ArcCatalog.

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Utilisation desversions dansArcMapDans ArcMap, vous pouvezafficher et utiliser plusieursversions simultanément, créer denouvelles versions, et modifierles classes d’entités ou les tablesd’une version à une autre. Vouspouvez également utiliser leGestionnaire de versions,actualiser la connexion del’espace de travail d’une version,et modifier les classes d’entitésdisponibles dans ArcMap.

Pour créer une nouvelle version,vous devez disposer d’au moinsune version dans la carte. Si celle-ci contient plusieurs versions,vous devez spécifier la versionparent. La nouvelle version crééeest identique à cette version parent.

L’option de changement de versionvous permet de passer d’uneversion à une autre en modifiantles classes d’entités figurant dansla carte. Cela simplifie l’affichagedes différences entre les classesd’entités ou l’analyse de deuxversions. u

Création d’une nouvelleversion dans ArcMap

1. Ajoutez la barre d’outilsVersionnement à la carte.

2. Cliquez sur le bouton Créerune nouvelle version. Vousdevez disposer d’au moinsune version dans ArcMappour que la commande soitdisponible.

3. Cliquez sur la flèche de laliste déroulante Versionparent et sélectionnez laversion parent à partir delaquelle vous souhaitezcréer la nouvelle version.

4. Tapez le nom de la nouvelleversion.

5. Entrez une description(facultatif).

6. Sélectionnez le typed’autorisations approprié.

7. Si vous n’êtes pas au milieud’une session de mise à jour,activez la case pour passerde la version parent à lanouvelle version (facultatif).

8. Cliquez sur OK.

Astuce

Création de nouvellesversionsCréez d’autres versions en tant quesauvegardes en ligne de la versiond’origine.

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413

Changement de version

1. Cliquez sur l’onglet Sourceau bas de la table desmatières ArcMap pourrépertorier les espacesde travail dans la carte.

2. Cliquez avec le bouton droitsur l’espace de travail d’uneversion.

3. Cliquez sur Changer deversion.

4. Sélectionnez la version quevous souhaitez afficher.

5. Cliquez sur OK.

Lorsque vous passez del’espace de travail d’uneversion à un autre, toutes lesclasses d’entités y figurantreprésentent la version cible.

Vous disposez de deuxméthodes pour changer deversion dans ArcMap. Vouspouvez le faire à partir de labarre d’outils Versionnement oude la table des matières.

Lorsque vous travaillez dans unenvironnement multi-utilisateurs,la base de données peut êtremodifiée par un autre utilisateuralors que vous l’affichez. Lesclasses d’entités figurant dansArcMap peuvent ainsi êtreobsolètes.

Pour mettre à jour les classesd’entités dans ArcMap, vouspouvez actualiser un ou tousles espaces de travail.

Pour actualiser toutes lesversions, cliquez sur le boutonActualiser de la barre d’outilsVersionnement. Pour actualiserun espace de travail individuel,utilisez la commande Actualiserdu menu contextuel Tabledes matières. u

Astuce

Commande Changer deversionUtilisez la commande Changerde version au lieu d’ajouterplusieurs espaces de travail audocument de carte.

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Actualisation d’unespace de travail

1. Cliquez sur le boutonActualiser de la barre d’outilsVersionnement.

Lorsque vous effectuez unemise à jour, le bouton Actualiseret la commande Actualiser nesont pas disponibles.

Vous pouvez disposer d’autant deversions que vous le souhaitezdans la carte, mais vous pouvezmodifier une seule version parsession de mise à jour.

Astuce

Préservation d’une versionSi vous devez conserver unereprésentation en cours de la basede données, créez une nouvelleversion avant de l’actualiser.

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de la version cible et les entités de la session de mise à jour sontappliquées à la session. Les différences peuvent être, par exemple,l’insertion, la suppression ou la mise à jour d’une entité. Laréconciliation détecte ces différences et met en évidence toutconflit. En cas de conflit, un message s’affiche, suivi de la boîtede dialogue de résolution de conflit. La réconciliation se produitavant la réinjection d’une version dans la version cible. Uneversion cible est une version ayant un lien direct avec la versiontelle que la version parente ou la version DEFAULT.

En outre, pour que la réconciliation puisse s’effectuer, vous devezêtre le seul utilisateur à mettre à jour la version pendant tout leprocessus jusqu’à ce que vous ayez effectué l’enregistrement ou laréinjection. Si un autre utilisateur est également en train de mettreà jour la version ou qu’il effectue une mise à jour une fois quevous avez terminé la réconciliation, vous recevrez un messaged’erreur vous informant que la version est en cours d’utilisation.

Pour pouvoir effectuer une réconciliation, vous devez avoir lespermissions complètes pour toutes les classes d’entités qui ontété modifiées dans la version en cours de mise à jour. Si une classed’entités est modifiée dans une version pour laquelle vous n’avezpas le privilège de mise à jour, un message d’erreur s’affichera.Vous ne pourrez pas réconcilier les versions. Un utilisateur dotédes permissions appropriées devra le faire à votre place.

Par exemple, supposons que vous ayez terminé vos modificationsdans une version et que vous ayez besoin de réinjecter la version

Modification et résolution des conflits

La géodatabase est conçue de façon à gérer efficacement lestransactions longues à l’aide des versions. La géodatabase permetégalement à plusieurs utilisateurs de mettre à jour la même versionsimultanément. Chaque session de mise à jour dans ArcMap estsa propre représentation de la version tant que l’enregistrementn’a pas été effectué. L’enregistrement de la session de mise à jourapplique les modifications à la version, ces dernières étantimmédiatement accessibles dans la base de données.

Lorsque plusieurs utilisateurs éditent simultanément une versionou réconcilient simultanément deux versions, des conflits peuventse produire. La réconciliation consiste à fusionner deux versions.Des conflits interviennent lorsque la même entité ou des entitéstopologiquement liées sont éditées par deux ou plusieursutilisateurs et que la base de données ne peut pas déterminer lareprésentation qui est valide. Les conflits sont rares mais peuventse produire lorsque deux zones géographiques superposées sontmises à jour. Pour assurer l’intégrité de la base de données, lagéodatabase détecte si une entité a été modifiée dans deuxversions et déclare un conflit. ArcMap fournit les outils nécessairesà la résolution mais vous devez intervenir pour décider de lareprésentation correcte d l’entité.

ArcMap fournit les outils nécessaires à la résolution ainsi que ceuxpermettant de réconcilier et de réinjecter les versions. Les sectionssuivantes expliquent ces fonctionnalités de façon plus détaillée.

Les géodatabases contenant des topologies sont soumises à desrègles, des détections d’erreur et des techniques de validationsupplémentaires. Pour de plus amples informations sur latopologie, voir le chapitre 4 « Mise à jour de la topologie » ouConstruction d’une géodatabase.

Réconciliation

Le bouton Réconcilier dans ArcMap fusionne toutes lesmodifications entre la session de mise à jour et la version cibleque vous sélectionnez. Toutes les différences entre les entités

Un message d’erreur s’affiche si vous nedisposez pas des permissions relatives à uneclasse d’entités pour réconcilier les versions.



est modifiée entre la réconciliation et la réinjection, vous serezinformé qu’une réconciliation est nécessaire avant la réinjection.

dans la base de données. Vous devez tout d’abord réconcilier laversion avec la version cible que vous sélectionnez, résoudre toutconflit éventuel, puis effectuer la réinjection.

Réconciliation automatique

Lorsque plusieurs utilisateurs mettent à jour la même versionsimultanément et qu’un utilisateur a déjà enregistré sa mise à jour,ArcMap vous informe, lorsque vous effectuez votre enregistrement,que la session a été réconciliée avec la représentation actuelle de laversion. Vous avez également la possibilité d’effectuer uneréconciliation et un enregistrement explicite sans notification. Ilse peut que vous souhaitiez que la notification que vous recevezvous permette de contrôler les résultats de la réconciliation. Celavous donne la possibilité d’examiner les différences entre lasession de mise à jour et la représentation actuelle de la version.En cas de conflit, un message d’erreur vous en informera etl’enregistrement échouera.

Ce message indique que la version cible a été modifiée depuis laréconciliation ; vous devez recommencer l’opération deréconciliation avant de procéder à la réinjection.

Ce message indique qu’une session de mise à jour n’a pas pu êtreenregistrée car d’autres utilisateurs ont modifié et enregistré leursession de mise à jour avant que l’utilisateur actuel n’enregistre oune mette à jour sa session.

Conflits

Des conflits interviennent lorsque la même entité, des entitéstopologiquement liées ou une classe de relations sont modifiéesdans deux versions : la version en cours de mise à jour et laversion cible. La détection de conflit ne se produit que lors duprocessus de réconciliation. En cas de conflit, un messages’affiche, suivi de la boîte de dialogue de résolution de conflit.

Il y a trois catégories de conflit : lorsque la même entité a été miseà jour dans chaque version, lorsque la même entité a été mise àjour dans une version et supprimée dans l’autre et lorsque lamême entité a été supprimée dans une version et mise à jourdans l’autre.

En cas de conflit, la représentation de l’entité de la versionparente prime sur la représentation de la session de mise à jour.Par conséquent, toutes les entités conflictuelles dans la sessionde mise à jour sont remplacées par leur représentation dans laversion parente. Si plusieurs utilisateurs mettent à jour la mêmeversion et des conflits se produisent, l’entité qui a été enregistréela première, la représentation de la version actuelle, est préservéeet remplace la représentation de l’entité mise à jour. ArcMapassure l’intégrité de la base de données en vous obligeant àcontrôler chaque conflit et à résoudre les conflits en effectuant unremplacement de l’entité de la version actuelle par la représentationde votre session de mise à jour.

Réinjection

Vous pouvez réinjecter une version après avoir effectué laréconciliation. Une fois que la session de mise à jour est réconciliéeavec la version cible, cliquez sur le bouton Réinjecter poursynchroniser la session de mise à jour avec la version réconciliéepuis effectuez l’enregistrement. La réinjection ne peut pass’effectuer car vous appliquez les modifications à une versionque vous n’est pas en train de mettre à jour. Si la version réconciliée



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Résolution des conflits

Une fois les conflits détectés, la boîte de dialogue de résolutionde conflits s’affiche indiquant toutes les classes de conflit et lesentités ou lignes en conflit. Cette boîte de dialogue vous permetde résoudre les conflits interactivement au niveau de la classed’entités ou de l’entité individuelle. Pour résoudre le conflit, vousaurez à choisir la représentation correcte de l’entité. Si vous êtessatisfait de la représentation actuelle de l’entité, aucunerésolution n’est nécessaire.

Vous pouvez choisir l’une des trois représentations de l’entité ouligne conflictuelle pour résoudre le conflit. La version préalabledésigne la représentation de l’entité avant que vous ne commenciezà apporter des modifications. La version de la session de mise àjour représente l’entité comme elle était avant la réconciliation.La troisième représentation est celle de la version conflictuelle, c’està dire la représentation de l’entité dans la version conflictuelle.

La sélection d’une classe d’entités ou d’une entité individuellepermet d’afficher les représentations de l’entité sur la carte. Laversion préalable s’affiche en jaune, la version de mise à jour envert et la version conflictuelle en rouge. Vous pouvez égalementactiver ou désactiver les paramètres d’affichage pour chaqueversion – préalable, de mise à jour et conflictuelle – en cliquantsur la commande d’affichage dans le menu contextuel et encochant ou décochant la version correspondante.

Lorsque vous sélectionnez une entité dans la boîte de dialoguede résolution de conflit, chaque représentation de version desattributs de l’entité ou de la ligne est listée dans la partieinférieure de la boîte. Un point rouge à gauche d’un nom dechamp identifie le motif du conflit. Par exemple, si la géométrie del’entité a été modifiée dans chaque version, un point rougeapparaît à côté du champ de forme. Le même principe s’appliqueaux conflits entre attributs. Si une entité a été supprimée dansl’une des versions, <supprimée> apparaît comme valeurattributaire de la version. Par conséquent, un point rouge figuresur chaque colonne indiquant qu’elle contient un conflit mise àjour/suppression ou un conflit suppression/mise à jour.

La résolution d’un conflit exige que vous preniez une décisionrelative à la représentation correcte d’une entité. Vous pouvezsélectionner l’entité dans la boîte de dialogue Résolution des

La conduite secondaire en bleu telle qu’elle existait avant modification (A),la conduite secondaire après modification (B) et les trois représentationsau cours de la résolution du conflit (C).

La boîte de dialogue de résolution de conflit affiche trois classes d’entitésavec conflit et une entité avec les attributs de sa version.



conflits et remplacer l’entité de la carte par l’une des troisreprésentations de l’entité. Cela vous permet de rapidementmettre à jour et remplacer les entités conflictuelles. Si desmodifications supplémentaires sont nécessaires, vous pouveztout simplement utiliser les outils de mise à jour d’ArcMap.

Conflits avec les réseaux géométriques, lesannotations liées à des entités, les relations etla topologie

La résolution des conflits relatifs aux entités reliées à d’autresentités par le biais de réseaux géométriques, d’annotationsliées à des entités et des classes de relations est différente de

la résolution des conflits entre classes d’entités simples.Ces classes d’entité ayant des comportements spécifiques àla géodatabase qui peuvent influencer d’autres classes d’entités,la résolution d’un conflit d’entités risque d’avoir un impact surles entités liées.

Lorsque vous mettez à jour les entités d’un réseau, les modificationsapportées tant au réseau géométrique qu’au réseau logiquerisquent de créer des conflits. Par exemple, lorsque vous ajoutezun service à une canalisation, cette dernière ne sera pas fractionnéephysiquement dans le réseau géométrique mais sera fractionnéedans le réseau logique.. Par conséquent, même si vous n’avez pasmis à jour la géométrie de la canalisation directement, elle a étémise à jour logiquement. Si la version cible que vous réconcilieza également modifié la canalisation, le nouveau service que vousinsérez entraînera un conflit avec la canalisation.

Pour résoudre un conflit entre des classes d’entité du réseaugéométrique, vous devez comprendre comment la commandeRemplacer par de la boîte de dialogue de résolution des conflitsprocède pour mettre à jour la topologie du réseau existantprésente dans la session de mise à jour.

Dans l’exemple précédent, deux utilisateurs modifiaient lacanalisation, l’un en modifiant un attribut et l’autre en branchantun nouveau service. Une enquête serait nécessaire pour vérifierles différences et décider si le conflit est valide et si aucunerésolution n’est nécessaire. Puisque l’attribut de diamètre de lacanalisation est correct, le nouveau service est correctementbranché sur la canalisation. Cependant, dans certains cas, larésolution de conflits dans le cadre d’une jonction de classesd’entités mettra également à jour le tronçon du réseau connecté.

Lorsque vous travaillez avec des annotations liées aux entités,vous devez vous rappeler une règle : quand vous remplacez uneentité qui a des annotations liées aux entités, l’entité etl’annotation sont remplacées par la nouvelle entité et la nouvelleannotation. Il sera peut-être nécessaire d’effectuer une mise à jour

La conduite principale (A), la conduite principale dont lediamètre a été remplacé par un diamètre de 8-pouces dans lapremière session de mise à jour (B), un nouveau service insérédans la deuxième session de mise à jour (C) et la conduiteprincipale en rouge indiquant un conflit (D).



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supplémentaire de l’annotation. Par exemple, vous pourriezrencontrer un conflit lors du déplacement d’une entité et durepositionnement de son annotation. La version conflictuelle aeffectué la même mise à jour, c’est à dire le déplacement del’entité et le pivotement de l’annotation. Vous décidez deremplacer l’entité avec l’entité de la version conflictuelle.Cette action supprime l’annotation liée à l’entité existante, insèrel’entité conflictuelle et crée une nouvelle annotation. Vous aurezbesoin de mettre à jour la nouvelle annotation en la déplaçant oula pivotant si nécessaire.

Les relations ont des dépendances similaires avec les annotationsliées aux entités. La suppression d’une entité d’une classe derelations source risque de déclencher un message entraînant lasuppression d’une entité de la classe de relations destinataire.Soyez conscients des ramifications lorsque vous décidezd’effectuer un remplacement lors de conflit impliquant desclasses d’entités qui font partie de classes de relations.

Par exemple, un conflit survenant entre des classes de relationsse produit lorsque vous mettez à jour le champ principal de laclasse d’origine, rompant ainsi la relation dans la version A,alors que dans la version B, l’entité reliée de la classe dedestination est également mise à jour. Lorsque vous réconciliezles versions, étant donné que la classe de destination estdépendante de la classe d’origine, un conflit est détecté. Il en vade même, si vous supprimez un poteau relié à un transformateur,ce transformateur est également supprimé. Dans la versionconflictuelle, les attributs du transformateur sont mis à jour. Unconflit mise àjour/suppression est détecté lors de la réconciliation.

Pour de plus amples informations sur la topologie, voir lechapitre 4 « Mise à jour de la topologie » ou Constructiond’une géodatabase.



Activation etdésactivation deréconciliationautomatique



3. Cliquez sur l’ongletVersionnement.

4. Cochez la case pour activerou désactiver la réconciliationautomatique.

5. Cliquez sur OK.

Mise à jour d’uneversionLa barre d’outils de mise à jourd’ArcMap offre une cadre pour lamodification des versions, laréconciliation des versions,la résolution des conflits etla réinjection des versions.

Lorsque vous commencez la miseà jour, si plusieurs versions sontprésentes sur la carte, vousdevrez en choisir une. Lelancement d’une session demise à jour crée une versiontemporaire sans nom qui existejusqu’à ce que vous enregistriezou terminiez la session. Vous êtesle seul utilisateur à pouvoirvisualiser les données jusqu’àce que vous enregistriezexplicitement.

Lors de l’enregistrement d’unesession de mise à jour, vous avezla possibilité d’activer ou dedésactiver la réconciliationautomatique. Si la réconciliationautomatique est active, lasession de mise à jour seraautomatiquement réconciliéeavec l’état actuel de la base dedonnées et enregistrée afin quevos modifications soientdisponibles pour les autresutilisateurs. Si elle n’est pasactive, la session de mise à joursera réconciliée avec l’état actuelde la base de données lorsquevous enregistrez. Un message u

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Réconciliation

1. Cliquez sur le boutonRéconcilier de la barred’outils Versionnement.

2. Cliquez sur la version cible.

3. Cliquez sur OK.

Réinjection

1. Cliquez sur le boutonRéinjecter de la barre d’outilsVersionnement.

vous informera que la session demise à jour a été réconciliée maispas enregistrée. Cela ne seproduira qu’au cas où un autreutilisateur a également modifié laversion et l’a enregistrée une foisque vous avez commencé votremise à jour. Vous devrezenregistrer à nouveau vosmodifications pour qu’ellessoient disponibles à tous.

En fonction du flux de travail devotre organisme, vous aurezpeut-être à réconcilier deuxversions. La réconciliationconsiste à fusionner des entitésd’une version cible à la sessionde mise à jour en cours. Laréconciliation doit être effectuéeavant de réinjecter les modifica-tions dans une autre version.

Des conflits risquent d’apparaîtrelors de la réconciliation. Desconflits se produisent lorsquela même entité est mise à jourdans chaque version ou est miseà jour d’en une et suppriméedans l’autre.

Lorsque des conflits surviennent,une boîte de dialogue de résolutionde conflit interactive fournit lesoutils nécessaires à la résolution.Pour chaque conflit, vousdevez décider si vous souhaitezremplacer l’entité de votre sessionavec la version conflictuelle,avec la version de votre sessionou avec la version qui existaitavant votre mise à jour. u

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Affichage des conflits

1. Cliquez sur le bouton Conflitsde la barre d’outilsVersionnement.

2. Cliquez sur Conflits avec lebouton droit de la souris puissur Afficher.

3. Cochez la case permettantd’afficher chaque catégoriede conflit.

4. Cliquez sur OK.

5. Cliquez sur le bouton Fermerpour fermer la boîte dedialogue Conflits.

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Une fois que la réconciliation esteffectuée, vous pouvez réinjecter laversion. L’opération d’injectionsynchronise votre session de miseà jour avec la version cible. Ellessont identiques.



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Résolution des conflits

1. Cliquez sur le bouton Conflitsde la barre d’outilsVersionnement.

2. Cliquez sur une classed’entités.

3. Cliquez sur une entité puiscliquez avec le bouton droitde la souris pour afficher lemenu contextuel.

4. Cliquez sur la commande deremplacement permettant derésoudre le conflit.

5. Cliquez sur le bouton Fermerpour fermer la boîte dedialogue Conflits.

Voir aussi

Pour de plus amples informationssur la topologie et le versionnement,voir Construction d’unegéodatabase.

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Les scénarios suivants montrent comment une société peut mettreen place son circuit de production à l’aide d’une base de donnéesversionnée. Ces exemples présentent plusieurs des techniquespermettant d’effectuer des transactions de longue durée dansun environnement multi-utilisateurs. Les sociétés utilisent d’unefaçon ou d’une autre chacune de ces techniques en fonction destâches à effectuer.

Scénario 1 : modifications simples apportées à labase de données

Tâche : plusieurs utilisateurs mettent simultanément à jour labase de données, en apportant des modifications courantes à descartes, telles que l’insertion de nouvelles entités, la mise à jourd’attributs et la suppression d’installations obsolètes.

Solution : les utilisateurs peuvent simplement se connecter à laversion PAR DEFAUT simultanément, ouvrir une session demise à jour et enregistrer les modifications lorsqu’ils ont terminé.Ainsi, les utilisateurs n’ont pas à créer de nouvelles versions pourmodifier la base de données. Si un autre utilisateur a modifié laversion PAR DEFAUT depuis que l’utilisateur actuel a ouvertune session de mise à jour, l’utilisateur qui procède àl’enregistrement reçoit une notification lui indiquant que laversion a été modifiée et qu’elle doit être enregistrée à nouveau.Il est possible de passer outre ce message d’avertissement enactivant l’option de réconciliation automatique de la boîte dedialogue Options d’ArcMap. De la même manière, si deuxutilisateurs modifient la même entité lors d’une session de miseà jour, le deuxième utilisateur qui procède à l’enregistrementrencontre un conflit. Il doit alors déterminer la représentationcorrecte de l’entité en question et enregistrer la session demise à jour.

Possibilités de versionnement

Scénario 2 : transactions se déroulant surplusieurs jours

Tâche : mettre à jour la base de données pour incorporer desinstallations nouvelles et modifiées sur le terrain, ce qui impliqueplusieurs sessions de mise à jour et quelques jours de travail.

Solution : un utilisateur crée et passe à une nouvelle versiondérivée de la version PAR DEFAUT. L’utilisateur ouvre unesession de mise à jour pour cette nouvelle version, modifie desentités et procède à l’enregistrement comme il convient. Il peutreprendre la session de mise à jour le lendemain ou même lasemaine suivante, le cas échéant. Lorsque les modifications sontterminées et prêtes à être réinjectées dans la version PARDEFAUT, l’utilisateur doit tout d’abord cliquer sur le boutonRéconcilier de la barre d’outils Versionnement. Si des conflitssont détectés, l’utilisateur peut les résoudre et effectuer latransaction en cliquant sur le bouton Réinjecter. La réinjectionapplique toutes les modifications apportées dans la version del’utilisateur à la version PAR DEFAUT. L’utilisateur peut ensuitesupprimer sa version.

Scénario 3 : un circuit de production

Tâche : créer des versions individuelles pour chaque étape ouphase du bon de travail et du circuit de production et réinjecterle bon de travail dans la base de données.

Solution : un utilisateur ou un superviseur crée une nouvelleversion dérivée de la version PAR DEFAUT. L’utilisateur ouvreune session de mise à jour pour cette nouvelle version, enmodifiant des entités ou en créant une nouvelle conception.Lorsque l’utilisateur a terminé la conception ou proposé desmodifications, le bon de travail est soumis au superviseur pourvérification. A ce stade, il est possible de créer une nouvelleversion pour assurer la conservation de la conception initiale. Ellepeut ensuite être modifiée ou ajustée en fonction des besoins. Une



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fois le bon de travail approuvé pour construction, une autre versionpeut être créée. L’objet de cette version est de refléter toutemodification apportée au cours de l’élaboration du bon de travailsur le terrain. Enfin, lorsque la construction est achevée et que lesnouvelles installations sont en service, il convient de réinjecter lebon de travail dans la base de données. Un utilisateur peut ensuiteouvrir une session de mise à jour pour le bon de travail, effectuerune réconciliation avec la version PAR DEFAUT, résoudre toutconflit potentiel et réinjecter le résultat.

Cette solution permet à la société de créer de nouvelles versions dubon de travail pour chaque étape du projet – la conception initialeou la version proposée, une version de travail ou acceptée, et uneversion pour la phase de construction. Chaque version est ainsiconservée et disponible pour examen à des fins d’archivage.La dernière étape consiste à réinjecter la version construite dansla base de données. Le projet effectue un cycle complet avec lacréation de versions individuelles à chaque étape.

Scénario 4 : limitation des autorisations d’accès àla base de données

Tâche : le superviseur de la société a limité l’accès en écriture à laversion PAR DEFAUT, en demandant la vérification systématiquede toutes les modifications apportées avant leur réinjection dansla base de données.

Solution : pour limiter les autorisations d’accès en écriture à la base(la version PAR DEFAUT), l’administrateur ArcSDE peut définirl’accès à la version PAR DEFAUT comme protégé à l’aide duGestionnaire de versions. Cela permet aux utilisateurs de continuer àafficher la version PAR DEFAUT sans pouvoir ouvrir de session demise à jour. Les utilisateurs doivent ainsi créer de nouvelles versionspour mettre à jour la base de données, comme dans le scénario 2.Lorsqu’un utilisateur a terminé et enregistré la session de mise àjour, l’administrateur ArcSDE peut réconcilier cette version avec laversion PAR DEFAUT. Pour effectuer cette tâche, le responsable se

connectant à la base de données en tant qu’administrateur ArcSDEouvre une session de mise à jour pour la version de l’utilisateur etclique sur le bouton Réconcilier. La réinjection entraîne la fusion detoutes les modifications apportées dans la version de l’utilisateur etde la version PAR DEFAUT. Si des conflits sont détectés, leresponsable peut les résoudre et enregistrer la session de mise à jour.Une fois les modifications acceptées par le responsable, la versionest prête à être réinjectée dans la version PAR DEFAUT.L’administrateur ArcSDE peut alors ouvrir une session de mise àjour pour la version, effectuer une réconciliation et réinjecter laversion. La version de l’utilisateur peut ensuite être supprimée.

Scénario 5 : compression de la base de données

Tâche : la géodatabase a été modifiée à maintes reprises et lenombre d’états et de lignes de la base de données des tables deltade chaque classe d’entités a considérablement augmenté. Commentaméliorer les performances en exécutant la commande Compresser ?

Solution : la commande Compresser supprime tous les états de labase de données qui ne sont plus référencés par une version etdéplace toutes les lignes des tables delta (communes à toutes lesversions) vers la table de base. Pour tirer pleinement parti de lacommande Compresser, vous devez tout d’abord procéder à laréconciliation, à la réinjection puis à la suppression de chaqueversion dans la version PAR DEFAUT. Il est possible que cetteoption ne soit pas adaptée au circuit de production de votresociété. Pour optimiser les performances, réconciliez au moinschaque version avec la version PAR DEFAUT et enregistrez lerésultat avant de procéder à la compression. Vous vous assurezainsi que toutes les modifications apportées à la version PARDEFAUT sont compressées à partir des tables delta vers la tabled’affaire. Rappelez-vous qu’il est possible d’exécuter la commandeCompresser sans procéder au préalable à la réconciliation,réinjection et suppression de chaque version, mais que dansce cas, les bénéfices ne sont pas aussi significatifs.

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12Glossaire Adresse IPAdresse d’une serveur du réseau. Elle est formée de quatre chiffres séparés par un point (.).

aliasAutre nom d’un champ dans une table.

alignementProcessus consistant à déplacer une entité pour qu’elle coïncide exactement avec les coordonnéesd’une autre entité à l’intérieur d’une distance de capture ou de tolérance.

annotation1. Texte descriptif servant à étiqueter des entités. Il est utilisé à des fins d’affichage et nond’analyse.

2. Classe d’entités permettant d’étiqueter d’autres entités. Les informations contenues dansles annotations sont une chaîne de texte, son emplacement d’affichage et un symbole de texte(couleur, police, taille, etc.) pour l’affichage.

3. Il s’agit du processus de placement automatique du texte ou du texte associé à une entitéou à une zone de la carte proprement dit.

arc circulaireLorsque vous créez des entités, il est souvent nécessaire de créer un arc circulaire. Au lieu d’êtrecomposé de plusieurs sommets, un arc circulaire comprend uniquement deux sommets en tantqu’extrémités. ArcMap propose quatre méthodes pour créer un segment en forme d’arc circulaire.Elles incluent l’outil Arc, l’outil des extrémités de l’arc, l’outil Courbe tangente et la commandeCourbe tangente.

arc pendantDans les couvertures, arc ayant le même polygone à sa droite et à sa gauche et au moins unnœud qui ne se connecte à aucun autre arc. Il identifie souvent l’endroit où un polygone ne seferme pas correctement (par exemple sous-dépassement), l’endroit où les arcs ne se connectent pascorrectement ou encore l’endroit où un arc a été numérisé au-delà de son intersection avec un autrearc (par exemple dépassement). Un arc pendant ne désigne pas toujours une erreur, de tels arcspeuvent représenter des voies sans issue sur les cartes représentant les axes des rues, par exemple.


ArcSDEPasserelle vers les SGBDR multi-utilisateurs, disponibles sur lemarché : par exemple Oracle®, Microsoft® SQL Server™, Informix®,IBM® DB2®. ArcSDE est un serveur de données spatiales, ouvert,très performant, qui fait appel à une architecture client/serveurpour exécuter des opérations spatiales efficaces et gérer de grosvolumes de données géographiques partagées. Il était connusous le nom de Spatial Database Engine™ (SDE®) avant 1999.

assistantOutil qui dirige un utilisateur pas à pas au cours d’une tâcheinhabituellement longue, difficile ou complexe.

Association topologiqueRelation spatiale entre les entités qui partagent une géométrie telsque des limites et des sommets. Lorsque vous modifiez une limiteou un sommet partagé par deux ou plusieurs entités à l’aide desoutils de topologie d’ArcMap Editor, la forme de chacune de cesentités est mise à jour.

asynchroneOpérations ou événements qui ne se produisent passimultanément. Pour l’édition déconnectée, la modification despropriétés d’une extraction est une opération asynchrone ; leschangements effectués dans l’extraction d’une géodatabaseprincipale restent sans effet sur l’extraction associée dans unegéodatabase d’extraction.

attributCaractéristique d’une entité cartographique. Les attributs d’unfleuve peuvent être par exemple son nom, sa longueur, saprofondeur moyenne, etc.

azimutAngle mesuré à partir du Nord. S’utilise souvent pour définir uneprojection cylindrique oblique ou l’angle d’une géodésique entredeux points.

Barre d’outils CotationBarre d’outils dans ArcMap qui facilite la création d’entités cotes.

Barre d’outils EditeurBarre d’outils permettant de créer et de modifier des entités etleurs attributs dans ArcMap.

base de donnéesEnsemble de fichiers connexes organisés en vue de faciliter larécupération des informations. Dans le cas d’une géodatabaseArcSDE, certaines base de données relationnelles rassemblentdes données sous forme de bases de données discrètes commeSQL Server, Sybase®, alors que d’autres ne le font pas commeOracle.

base de données spatialeTout SGBD contenant des données spatiales.

bloc de donnéesDans ArcMap, bloc sur la carte qui affiche des couches occupantla même zone géographique. Une carte comporte un ou plusieursblocs de données selon la manière dont sont organisées lesdonnées. Par exemple, un bloc de données peut mettre enévidence une zone d’étude, un autre peut fournir une vued’ensemble de son emplacement.

GLOSSAIRE 429

Bloc de données actifBloc de données en cours d’utilisation dans une carte : parexemple, le bloc de données auquel des couches sont ajoutées.Le bloc de données actif s’affiche en caractères gras dans la tabledes matières d’ArcMap.

Boîte de dialogue AttributsBoîte de dialogue permettant d’afficher et de modifier les attributsdes entités sélectionnées dans ArcMap.

bon de travailTache spécifique qui passe par chacune des étapes du circuitde production : conception, acceptation et construction surle terrain.

cache de mise à jourParamètre utilisé dans l’édition de données spatiales dansArcMap qui permet aux entités visibles sur l’étendue de la carted’être conservées en mémoire sur une machine locale. Conçupour être utilisé avec de gros volumes de données, un cache demise à jour permet d’avoir une mise à jour plus rapide car ArcMapn’a pas à récupérer les données auprès du serveur.

cardinalité tronçon-jonctionUne règle peut exister qui permet à un tronçon de type A d’êtreconnecté à un tronçon de type B. Par défaut, un nombrequelconque de tronçons de type A peut être connecté à une seulejonction de type B. Vous pouvez restreindre cette règle. Vouspouvez préciser que deux à cinq tronçons de type A peuvent êtreconnectés à une jonction de type B, s’il y a moins de deuxtronçons ou plus de cinq, la règle de connectivité est violée. Vouspouvez aussi restreindre le nombre de jonctions de type C quipeuvent être connectées à une jonction quelconque de type D.Cette plage de connexions s’appelle cardinalité tronçon-jonction.

carte1. Représentation graphique d’informations géographiques.Elle contient des données géographiques et d’autres élémentstels qu’un titre, une flèche du Nord, une légende et une barred’échelle. Vous pouvez afficher et interroger les donnéesgéographiques sur une carte et également préparer sonimpression en organisant les éléments cartographiques autourdes données pour obtenir une présentation visuelle agréable.

2. Document utilisé dans ArcMap permettant d’afficher et detravailler sur des données géographiques. Une carte contientune ou plusieurs couches de données géographiques et diverséléments cartographiques complémentaires tels que les barresd’échelle. Les couches sont contenues dans des blocs dedonnées. Un bloc de données se caractérise par différentespropriétés (échelle, projection, étendue) et par divers critèresgraphiques (sa position sur la page de la carte, par exemple).Certaines cartes ont un seul bloc de données ; d’autres, pluscomplexes, peuvent en compter plusieurs.

centroïdeLe point central mathématique ou géographique d’un polygoneou le milieu d’une ligne.

cercleForme géométrique dont tous les points sont situés à égaledistance du centre.

champColonne d’une table. Chaque champ contient les valeurs d’unseul attribut.

circuit de productionProcédure établie par une société pour la conception, laconstruction et la maintenance des installations.


classe d’entités1. Représentation conceptuelle d’une catégorie d’entitésgéographiques. Lorsqu’elles se rapportent à des entitésgéographiques, les classes d’entités incluent : le point, la ligne,la surface et l’annotation. Dans une géodatabase, il s’agit d’uneclasse d’objets stockant les entités et ayant un champ de typede géométrie.

2. Classification décrivant le format des entités géographiqueset des données complémentaires d’une couverture. Les classesd’entités de couverture permettant de représenter des entitésgéographiques incluent : le point, l’arc, le nœud, le systèmed’itinéraire, l’itinéraire, la section, le polygone et la région. Uneou plusieurs entités de couverture permettent de modéliser lesentités géographiques. Les arcs et les nœuds peuvent notammentservir à modéliser des entités linéaires telles que les axes des rues.Les classes d’entités tic, annotation, lien et limite fournissent desdonnées complémentaires permettant de gérer et d’afficher lesdonnées de couverture.

3. Ensemble de tous les points, lignes, entités polygones ouannotations contenus dans un jeu de données DAO.

4. Dans une géodatabase, il s’agit d’une classe d’objets stockantles entités et ayant un champ de géométrie type.

classes d’entités cotesDans la géodatabase, les cotes sont stockées dans des classesd’entités cotes. A l’instar d’autres entités de la géodatabase,toutes les entités d’une classe d’entités cotes possèdent uneposition géographique et des attributs et peuvent se trouver àl’intérieur ou à l’extérieur d’un jeu de classes d’entités.

classe d’entités DAOClasse d’entités dans un jeu de données DAO. Un jeu de classesd’entités DAO inclut les classes d’entités correspondant àl’ensemble des points, lignes, polygones ou annotations figurantsur le dessin DAO – par exemple, un dessin DAO peut contenir

deux couches linéaires, l’une représentant des routes, l’autre deslimites de parcelles. La classe des entités linéaires d’un jeu dedonnées DAO représente toutes les entités contenues dans lescouches routes et limites de parcelles.

classe de relationsLes objets d’un système du monde réel sont souvent associés defaçon particulière à des objets de la base de données. Ces typesd’associations entre objets dans la géodatabase s’appellent desrelations. Des relations peuvent exister entre des objets spatiaux(des entités dans des classes d’entités), des objets non spatiaux(lignes d’une table) ou entre des objets spatiaux et non spatiaux.Tandis que les objets spatiaux sont stockés dans la géodatabasedans des classes d’entités et que les objets non spatiaux sontstockés dans des classes d’objets, les relations sont stockéesdans des classes de relations.

classe d’objetCollection d’objets d’une géodatabase ayant le mêmecomportement et les mêmes jeux d’attributs. Tous les objets d’unegéodatabase sont stockés dans des classes d’objets.

classementMéthode consistant à attribuer une valeur de précision à desclasses d’entités afin d’éviter d’aligner les sommets d’une classed’entité de haute précision avec des sommets d’une classed’entités moins précise. Les sommets de classes d’entités de rangsupérieur ne pourront pas être déplacés lors de l’alignement avecdes sommets de classes d’entités de rang inférieur. Le rang le plusélevé est 1 ; vous pouvez attribuer jusqu’à 50 rangs différents.

colonneDimension verticale d’une table. Une colonne attribue un nomet un type de données à toutes les valeurs qu’elle contient.Voir aussi Elément, Champ et Attribut.

GLOSSAIRE 431

comportementPropriétés d’un objet dans une géodatabase qui décrit le moded’édition et de dessin. Le comportement inclut, de manière nonlimitative, les règles de validation, les sous-types, les valeurs pardéfaut et les relations.

comportement personnaliséLe comportement est la mise en œuvre d’une méthode de classed’objets. Un ensemble de méthodes est associé aux objets fournispar ESRI. Un développeur peut choisir d’ignorer une de cesméthodes ou de créer des méthodes supplémentaires. Dans cecas, on dit que l’objet a un comportement personnalisé.

compressionProcessus consistant à réduire la taille d’un fichier ou d’une basede données. Améliore la performance de la base de données ensupprimant les lignes redondantes partagées par plusieurs versions.Seul un administrateur ArcSDE est autorisé à lancer cette procédure.

conflitDans le processus de réconciliation des versions, si la mêmeentité de la version mise à jour et de la version de réconciliation aété mise à jour, l’entité est dite en conflit. La résolution du conflitpasse par une prise de décision quant à la représentation correctede l’entité à l’aide de la boîte de dialogue de résolution desconflits.

connectivité1. Dans une géodatabase, état des segments et des jonctionsd’un réseau logique qui contrôle le flux, le tracé et la recherchede parcours.

2. Identification topologique dans une couverture des arcsinterconnectés, réalisée en enregistrant les nœuds (points dedépart et de fin) de chaque arc. Les arcs ayant un nœud communsont reliés entre eux. Voir aussi arc : topologie des nœuds.

connexion directeArchitecture à deux niveaux de connexion à des bases de donnéesspatiales. Pour une connexion directe, il n’est pas nécessaire que leserveur d’application ArcSDE soit connecté à une base de donnéesspatiale.

constructionLors d’une session d’édition dans ArcMap, forme représentantune géométrie d’entité. Chaque entité existante sur une cartepossède une forme alternée, une construction. Une constructionpermet de voir exactement la composition d’une entité, avec tousles sommets et les segments de l’entité visible. Pour modifier uneentité, vous devez modifier sa construction. Pour créer une entité,vous devez tout d’abord créer une construction. Vous pouvezuniquement créer des constructions de lignes et de polygones carles points n’ont ni sommet ni segment.

Les constructions permettent d’achever la tâche en cours.Par exemple, la tâche Créer une nouvelle entité utilise uneconstruction que vous créez pour faire une nouvelle entité. Latâche Prolonger/Tronquer des entités utilise une constructionque vous créez pour déterminer si l’entité sélectionnée doit êtreprolongée ou tronquée. La tâche Couper des entités surfaciquesutilise une construction que vous créez pour déterminer si lepolygone doit être coupé en deux entités.

construction des entitésProcédure consistant à prendre des entités sélectionnées dansune ou plusieurs classes d’entités et à créer des entités dans uneclasses d’entités cible au cours d’une session de mise à jour.L’outil Construction des entités utilise les géométries d’entréedes entités sélectionnées pour construire les polygones ou deslignes suivant les limites des polygones, en fonction de lagéométrie de la classe d’entités cible.


contiguïtéDans les couvertures, identification topologique des polygonesadjacents, réalisée en enregistrant les polygones à droite et àgauche de chaque arc. Voir aussi polygone : topologie des arcs.

contraintesDans les bases de données du monde réel, les attributs d’un objet ne peuvent avoir aucune valeur particulière qui repose uniquementsur des types et des plages de données autorisées par tel ou telautre type de champ de la base de données. En réalité, les valeursautorisées sont une plage ou une liste de valeurs.

contraintes de constructionLors d’une session d’édition dans ArcMap, limitations des angles oudes longueurs à poser sur les segments en cours de création. Cescommandes sont disponibles dans le menu contextuel de l’outilConstruction. Par exemple, vous pouvez définir une contrainte delongueur spécifiant que la longueur du segment en cours de créationdoit être de 50 unités de la carte. Quel que soit l’angle de création dusegment, sa longueur est limitée à 50 unités de la carte.

Les contraintes d’angle fonctionnent de la même façon. Parexemple, vous pouvez définir une contrainte d’angle spécifiant quel’angle du segment en cours de création doit être de 45 degrésmesurés à partir d’une autre entité existante. Quelle que soit lalongueur de création du segment, son angle est limité à 45 degrés.

coordonnéesEnsemble de nombres qui précisent l’emplacement d’un objetdans un système de référence déterminé, tel que x,y dans unsystème de coordonnées planaire ou x,y,z dans un système decoordonnées en trois dimensions. Les coordonnées permettentde positionner un point sur la surface de la Terre en fonctiond’autres points.

cote alignéeDimension parallèle à la ligne de base qui représente la distancevéritable entre les points de cotes de début et de fin.

cote linéaireDimension dont la longueur ne représente pas la distance réelleentre les points de début et de fin de la dimension. Les coteslinéaires peuvent être verticales, horizontales ou pivotées. Uneligne de cote verticale représente la distance verticale entre lespoints de cote de début et de fin. Une ligne de cote horizontalereprésente la distance horizontale entre les points de cote dedébut et de fin. Une cote linéaire pivotée représente une cotedont la ligne affiche un certain angle avec la ligne de base et dontla longueur représente la longueur de la ligne de côte et non cellede la ligne de base.

couche1. Ensemble d’entités géographiques similaires tels les rivières,lacs, comtés, ou villes d’une zone ou d’un lieu particulier,destinées à être affichées sur une carte. Une couche référence desdonnées géographiques stockées dans une source de données,telle qu’une couverture et définit comment l’afficher. Vous pouvezcréer et gérer les couches de la même manière que vous le faitesavec tout autre type de données de votre base de données.

2. Classe d’entités d’une géodatabase partagée gérée avec SDE 3.

couche cibleUtilisé lors d’une session d’édition dans ArcMap, paramètrecontenu dans la liste déroulante Couche cible qui détermine versquelle couche les nouvelles entités sont ajoutées. La couche cibleest définie en cliquant sur une couche dans la liste déroulanteCouche cible. Par exemple, si vous sélectionnez la couche cibleBâtiments, toute entité créée fera partie de la couche Bâtiments.Vous devez définir la couche cible chaque fois que vous créezde nouvelles entités : que ce soit avec l’outil Construction, parCopier-Coller ou par bufferisation d’une autre entité.

GLOSSAIRE 433

courbe réelleVoir Arc circulaire.

couvertureFichier de format de stockage des données vectoriellespermettant de stocker l’emplacement, la forme et les attributs desentités géographiques. Une couverture représente habituellementun seul thème, tel que des sols, des cours d’eau, des routes oul’occupation des sols. C’est l’un des principaux formats destockage des données vectorielles dans ArcInfo.

Une couverture stocke les entités géographiques en tantqu’entités principales tels les arcs, les nœuds, les polygones etles points labels et en tant qu’entités secondaires tels les tics,l’étendue cartographique, les liens et les annotations. Les tablesattributaires des entités associées décrivent et stockent lesattributs des entités géographiques.

coïncidentLes sommets ou les contours sont coïncidents lorsqu’ils sontcompris dans leur tolérance de regroupement mutuelle. Voir aussitolérance de regroupement.

DAOVoir dessin assisté par ordinateur.

degrés décimauxDegrés de latitude et de longitude exprimés en décimales à laplace des degrés, minutes et secondes.

dépassementPortion d’un arc numérisé qui dépasse l’intersection avec unautre arc. Voir aussi arc pendant.

déplacerDécaler la fenêtre d’affichage dans le sens vertical ou horizontalpour visualiser des zones d’un jeu de données géographiquesqui, à l’échelle courante, se situent à l’extérieur du cadre visible.

dessin assisté par ordinateurSystème automatisé permettant de créer, dessiner et afficher desinformations axées sur des graphiques.

document ArcMapDans ArcMap, représentation cartographique sous forme de disque.Les documents ArcMap peuvent être imprimés ou incorporés àd’autres documents. Ils présentent l’extension de fichier .mxd.

domaine attributaireNom d’une contrainte de la base de données. Une contrainteattributaire peut s’appliquer à un champ d’un sous-type d’uneclasse d’entités ou à une classe d’objets afin de définir une règleattributaire. Les types de domaines attributaires sont notammentles domaines par plage et les domaines de valeurs précodées.

domaine spatialDécrit le rang et la précision des coordonnées x, y et z et desvaleurs m pouvant être stockées dans un jeu de classes d’entitésou une classe d’entités dans une géodatabase.

donnéesEnsemble de faits ayant un rapport entre eux, généralementorganisés selon un format particulier et rassemblés à des finsspécifiques.


données de référenceLes tables ou les classes d’entités contenant des informationsd’adresses que les services de géocodage utilisent pourrechercher des emplacements d’adresses.

données de référence de géocodageDonnées qu’utilise un service de géocodage pour définir lesreprésentations géométriques de positions.

données tabulairesInformations descriptives stockées dans des lignes et descolonnes et pouvant être associées aux entités d’une carte.

double précisionSe rapporte au haut degré de précision des coordonnées, évaluéen fonction du nombre de chiffres significatifs pouvant êtrestockés pour chaque coordonnée. Les jeux de données ArcInfopeuvent être stockés dans des coordonnées à précision simpleou double. Les couvertures à double précision peuvent stockerjusqu’à 15 chiffres significatifs par coordonnée, généralement13 à 14. Elles permettent une précision bien inférieure à un mètredans une étendue globale. Voir aussi Simple précision.

édition déconnectéeProcessus de copie des données vers une autre géodatabase, demodification de ces données et de fusion des changements avecles données de la géodatabase source ou principale.

élément1. Colonne contenant des informations dans une table INFO.

2. Elément de l’arborescence du Catalogue. L’arborescence duCatalogue peut contenir des sources de données géographiqueset des éléments non géographiques : dossiers, connexions à undossier et types de fichier, par exemple.

élément jonctionVoir Réseau logique.

élément tronçonVoir Réseau logique.

ellipseForme géométrique équivalente à un cercle vu en oblique ; cercleaplati.

enregistrement1. Dans une table attributaire, il s’agit d’une ligne de descripteursthématiques. Dans SQL Server, un enregistrement est analogue àun tuple.

2. Unité logique des données d’un fichier. Par exemple, il existeun enregistrement dans le fichier ARC pour chaque arc d’unecouverture.

ensemble sélectionnéSous-ensemble constitué par les entités d’une couche ou parles enregistrements d’une table. ArcMap met à votre dispositionplusieurs méthodes pour sélectionner des entités et desenregistrements selon leurs détails graphiques ou en fonctionde leurs valeurs attributaires.

entité1. Classe d’objets d’une géodatabase ayant un champ degéométrie type. Les entités sont organisées dans des classes.

2. Représentation d’un objet du monde réel.

3. Point, ligne ou polygone d’une couverture ou d’un fichierde formes.

4. Représentation d’un objet du monde réel sur la couched’une carte.

GLOSSAIRE 435

entités cotesLes entités cotes sont un type spécial d’annotations de carte quimontre uniquement des longueurs ou des distances spécifiquessur une carte. Une cote permet d’indiquer la longueur d’un côtéde bâtiment, d’une parcelle de terrain ou la distance entre deuxentités telles qu’une bouche d’incendie et l’angle d’un bâtiment.Les cotes sont stockées dans une classe d’entités cotes.

entité multi-partiesEntité composée de plusieurs parties physiques mais qui neréférence qu’un seul jeu d’attributs dans la base de données. Ainsi,dans une couche d’Etats, l’Etat d’Hawaï peut être considéré commeune entité multi-parties. Bien que composé de nombreuses îles, ilest enregistré dans la base de données comme une seule entité.

entité multi-pointsEntité composée de plusieurs points mais qui ne référence qu’unseul jeu d’attributs dans la base de données. Par exemple, unsystème de puits de pétrole peut être considéré comme une entitémulti-points, car il existe un seul jeu d’attributs pour le puitsprincipal et pour les puits annexes.

entité personnaliséeUne entité avec un comportement spécialisé initialisé dans uneclasse par un développeur.

entité simpleEntité qui met en œuvre Entité ESRI. Les entités simples dont lesgéométries sont partagées peuvent être mises à jour par unetopologie de carte à l’aide d’ArcView et de postes bénéficiant delicences ArcMap d’un niveau supérieur.

entité topologiqueEntité prenant en charge la connectivité réseau qui est établie etconservée en fonction des coïncidences géométriques.

environnement de captureParamètres dans la fenêtre Environnement de capture d’ArcMapEditor et de la boîte de dialogue Options de mise à jour permettantd’établir des positions exactes par rapport à d’autres entités.Vous déterminez l’environnement de capture en définissant unetolérance de capture, des propriétés de capture et une prioritéde capture.

erreurViolations de la règle de topologie détectées au cours duprocessus de validation de la topologie.

espace de travailConteneur de données géographiques. Il peut s’agir d’un dossiercontenant des fichiers de forme, d’un espace de travail ArcInforenfermant des couvertures, d’une géodatabase personnelle oud’une connexion à une base de données ArcSDE.

Espace de travail ArcInfoFichier d’un ensemble de couvertures, grilles, TIN ou fichiers deformes archivés comme un répertoire de dossiers dans le fichiersystème.

étendueCoordonnées définissant le rectangle englobant minimum,c’est-à-dire x min, y min et x max, y max, d’une source de données.Toutes les coordonnées de la source de données sont comprisesà l’intérieur de ces limites.

extractionProcessus de copie des données vers une géodatabased’extraction.


extractionUne entité de géodatabase qui représente les données extraitesà partir ou vers une autre géodatabase.

extraction de la structure seulementType d’extraction qui créé la structure des données devant êtreextraites dans la géodatabase d’extraction mais qui ne copie pasl’intégralité des données.

fichier de formesFormat de stockage des données de vecteur permettantd’archiver l’emplacement, la forme et les attributs des entitésgéographiques. Un fichier de formes est stocké dans un jeu defichiers associés et contient une classe d’entités.

formeApparence caractéristique ou forme visible d’un objetgéographique. Les objets géographiques peuvent êtrereprésentés sur une carte à l’aide des trois principales formessuivantes : points, lignes ou polygones.

fragmentationPartie de la procédure de validation de la topologie au cours delaquelle les sommets sont créés à l’intersection des tronçons.

géocodageProcessus de création de représentations géométriques depositions, telles les entités de points, à partir de descriptions(telles que des adresses).

géodatabaseBase de données géographique, hébergée dans un systèmede gestion de base de données relationnelles, fournissant desservices de gestion des données géographiques. Ces servicesincluent les règles de validation, les relations et les associationstopologiques.

géodatabase d’extractionGéodatabase personnelle ou ArcSDE contenant des donnéesextraites d’une géodatabase principale.

géodatabase multi-utilisateurGéodatabase dans un SGBDR mise à la disposition desapplications clients (par exemple ArcMap) par ArcSDE. Lesgéodatabases multi-utilisateurs sont parfois très volumineuses etprennent en charge de nombreux éditeurs concurrents. Elles sontprises en charge par les différents SGBDR du marché, notammentpar Oracle, Microsoft SQL Server, IBM DB2 et Informix.

géodatabase personnelleUne géodatabase, habituellement sur le même réseau quel’application client (par exemple ArcMap) qui prend en charge unéditeur à la fois. La gestion des géodatabases personnelless’effectue dans une base de données Microsoft Jet Engine. Desgéodatabases personnelles peuvent contenir des réseauxgéométriques, des réseaux linéaires et des topologies et peuventêtre utilisées en tant que bases de données d’extraction lors del’édition déconnectée des données géographiques dans le champ.

géodatabase principaleGéodatabase ArcSDE à partir de laquelle les données sont extraites.

groupementPartie de la procédure de validation de la topologie au cours delaquelle les sommets qui se trouvent dans la limite de la tolérancede regroupement sont alignés.

indexStructure de données utilisée dans une base de données pouraméliorer les performances de requête. Les classes d’entités ontégalement des index spatiaux qui améliorent les performances derequête spatiale.

GLOSSAIRE 437

index de géocodageUn index de géocodage référence les données exploitées par lesservices de géocodage.

insertionProcessus de transfert des modifications vers une géodatabaseprincipale.

insertion par opération pullOpération d’insertion lancée à partir d’une géodatabaseprincipale.

insertion par opération pushOpération d’insertion lancée à partir d’une géodatabased’extraction.

instanceIl s’agit du nom du processus exécuté sur le serveur ArcSDE quipermet de se connecter et d’accéder aux données spatiales.

intégrité des donnéesConservation des valeurs des données conformément à unmodèle et à un type de données ; les colonnes de chiffresn’acceptent par les caractères dans un souci d’intégrité, parexemple.

intersectionIntégration topologique de deux jeux de données spatiales quirespecte les entités comprises dans la surface commune aux deuxjeux de données en entrée. Voir aussi Union.

jeu de classes d’entitésDans les géodatabases, ensemble de classes d’entités partageantla même référence spatiale. Du fait qu’elles partagent la mêmeréférence spatiale, les classes d’entités peuvent collaborer entreelles dans des relations topologiques, dans un réseau géométrique,un réseau linéaire ou une topologie par exemple. Plusieurs classesd’entités dotées de la même géométrie peuvent être stockées dansle même jeu de classes d’entités. Les classes d’objets et les classesde relations peuvent également être stockées dans un jeu declasses d’entités.

jeu de données1. Toute classe ou table d’entités et tout ensemble de classes oude tables d’entités contenus dans la géodatabase.

2. Nom d’un ensemble d’éléments de données associéslogiquement et organisés de manière imposée.

jointure relationnelleOpération consistant à mettre en relation et à combinerphysiquement deux tables attributaires à l’aide de leur élémentcommun.

jointure spatialeType d’analyse spatiale dans laquelle les attributs des entitésappartenant à deux couches différentes sont joints ensemble àpartir des emplacements relatifs à des entités.

ligne1. Enregistrement dans une table attributaire. Dimensionhorizontale d’une table composée d’un ensemble de colonnescontenant chacune un élément de données.

2. Groupe horizontal de cellules dans un raster.


limite partagéeSegment ou limite commune à deux entités. Par exemple, dans unebase de données parcelle, des parcelles adjacentes partagent unelimite. Autre exemple : une parcelle partageant une limite sur uncôté, avec un fleuve. Le segment du fleuve qui coïncide avec lalimite de la parcelle partagent les mêmes coordonnées que la limitede parcelle.

Listes de couches modifiablesListe de la barre d’outils Sélection permettant de définir lescouches pouvant être sélectionnées.

Par exemple, supposons que vous vouliez sélectionner un grandnombre de bâtiments en dessinant une boîte autour d’eux maisque vous ayez sélectionné par erreur une parcelle alors que vousdessiniez la boîte de sélection. Pour éviter cela, vous pouvezdésactiver la couche Parcelles dans la liste Couchessélectionnables de sorte que les parcelles ne puissent êtresélectionnées.

méthodes de création de cotesLes méthodes de création de cotes dictent le type d’entité de cotequi est créé et le nombre de points nécessaire pour terminer lagéométrie de l’entité. Les méthodes de création incluent alignéesans attache, alignée, linéaire, linéaire avec rotation, alignée etlinéaire.

mise en relationOpération qui établit une connexion temporaire entre desenregistrements correspondant dans deux tables à l’aide d’unélément commun aux deux (par exemple des attributs de touche).Tous les enregistrements de la première table sont connectés auxenregistrements de la seconde qui partagent la même valeur pourl’élément commun. Voir aussi Jointure relationnelle.

mode DonnéesMode général d’ArcMap permettant d’explorer, d’afficher etd’interroger les données géographiques. Il masque tous leséléments de la carte comme les titres, les flèches du Nord et lesbarres d’échelle. Voir aussi Mode Mise en page.

modèle de données d’une géodatabaseModèle de données géographiques représentant des entitésgéographiques comme des objets dans une base de donnéesrelationnelle d’objets. Les entités sont stockées sous forme delignes dans une table ; la géométrie est stockée dans un champ deforme. Prend en charge une modélisation sophistiquée des entitésdu monde réel. Les objets peuvent avoir des comportementspersonnalisés. Comparer avec Modèle de donnéesgéorelationnelles

modèle de données géorelationnellesModèle de données géographiques représentant des entitésgéographiques comme un jeu de données spatiales etdescriptives reliées entre elles. Le modèle géorelationnel est lemodèle de base utilisé dans les couvertures. Comparer avecModèle de données d’une géodatabase.

mode Mise en pageMode permettant de mettre en page une carte dans ArcMap. Lemode Mise en page affiche la page virtuelle sur laquelle vousplacez et disposez des données géographiques et des élémentsde carte, tels que des titres, des légendes et des barres d’échelles,en vue de l’impression. Voir aussi Mode Données.

mode numérisationEgalement appelé mode absolu, le mode numérisation est l’un desmodes de fonctionnement d’une tablette à numériser. En modenumérisation, l’emplacement de la tablette correspond exactement àun emplacement spécifique de l’écran. Le pointeur de l’écran suitprécisément le déplacement du curseur sur la surface de la tablette.

GLOSSAIRE 439

mot de passeMot de passe permettant de vous identifier lorsque vous vousconnectez à une géodatabase ArcSDE.

nom d’utilisateurNom réservé à l’authentification de l’utilisateur lorsqu’il seconnecte à une géodatabase ArcSDE.

numérisation1. Encoder des entités géographiques sous forme numérique entant que coordonnées x,y.

2. Procédé de conversion des entités d’une carte papier au formatnumérique. Lorsque vous numérisez une carte, vous utilisez unetablette à numériser, connectée à un ordinateur et tracez lesentités à l’aide d’un curseur de table à numériser semblable à unesouris. Les coordonnées x, y de ces entités sont automatiquementenregistrées et stockées comme données spatiales.

numérisation en mode continuL’une des deux méthodes de numérisation des entités à partir d’unecarte papier. Egalement connue sous le nom de streaming, lanumérisation en mode continu facilite la capture des entités lorsquevous ne nécessitez pas beaucoup de précisions : par exemple pournumériser des fleuves, des cours d’eau et des contours. En modecontinu, vous créez le premier sommet de l’entité et tracez le restede l’entité avec le curseur de table à numériser. Vous pouvez aussiutiliser la numérisation en mode continu avec l’outil Constructiond’ArcMap lorsque vous effectuez un travail à main levée. Voir aussinumérisation en mode point.

numérisation en mode pointL’une des deux méthodes de numérisation des entités à l’aide del’outil Construction d’ArcMap Editor ou avec un digitaliseur àpartir d’une carte papier. Avec une numérisation en mode point,vous pouvez créer ou modifier des entités en numérisant unesérie de points précis ou de sommets. La numérisation en modepoint est efficace lorsqu’une numérisation précise est requise :par exemple, pour la numérisation d’une ligne parfaitement droite.Voir aussi numérisation en mode continu.

numérisation par balayageProcessus de capture des données au format raster avec unappareil appelé scanner. Certains scanners utilisent aussi unlogiciel permettant de convertir des données raster en donnéesvectorielles.

numéro de portLe numéro de port TCP/IP sur lequel une instance de lagéodatabase ArcSDE communique.

nœudExtrémité (ou point de fin) d’un tronçon. Les nœuds de topologiepeuvent également être introduits le long d’un tronçon lors de lamise à jour.

objetReprésentation d’une entité réelle stockée dans une géodatabase.Un objet a des propriétés et un comportement.

objet personnaliséLes objets avec des comportements personnalisés fournis par undéveloppeur.


opérations de constructionDans ArcMap, opérations d’édition exécutées sur uneconstruction existante. Exemples : Insérer un sommet, Supprimerun sommet, Inverser, Tronquer, Supprimer la construction,Terminer la construction, Terminer une partie. Toutes cesopérations sont disponibles à partir du menu contextuelConstruction qui s’affiche lorsque vous cliquez avec le boutondroit sur une partie quelconque d’une construction, quel que soitl’outil d’édition utilisé.

page virtuellePage de la carte telle que visible en mode Mise en page.

planarisationProcessus de création de plusieurs entités linéaires consistant àdiviser les entités les plus longues en leur point d’intersection. Ceprocessus s’avère utile en cas de représentation linéaire nontopologique numérisée de type spaghetti ou importée à partird’un dessin assisté par ordinateur(DAO).

pointCoordonnée unique x,y représentant une seule entitégéographique tel qu’un poteau téléphonique.

point labelClasse d’entités d’une couverture permettant de représenter desentités ponctuelles et d’identifier des polygones.

points de contrôlePoints définis par l’utilisateur sur une carte papier et quicorrespondent à des points de contrôle connus ou à desemplacements spécifiques. Les points de contrôle permettentd’enregistrer une carte papier avant de commencer à en numériserles entités avec un digitaliseur.

polygoneEntité en deux dimensions représentant une zone telle qu’un étatou une région.

précision (jeu de données)Le nombre d’unités système par unité de mesure dans le domaineXY du jeu de données du système de coordonnées. La précisiondéfinit la distance la plus petite pouvant être stockée entre lescoordonnées d’un jeu de données. Une référence spatiale avecune précision d’ un (1) stocke des valeurs entières, tandis qu’uneprécision de 1 000 permet de stocker des chiffres à trois décimales.

précision simpleSe rapporte à un degré de précision des coordonnées, évalué enfonction du nombre de chiffres significatifs pouvant être stockéspour chaque coordonnée. Les nombres à simple précisionpeuvent stocker jusqu’à sept chiffres significatifs pour chaquecoordonnée. La précision atteinte est de l’ordre de +/- 5 mètrespour une étendue de 1 000 000 mètres. Les jeux de donnéesd’ArcInfo peuvent être stockés sous forme de coordonnées deprécision simple ou double. Voir aussi Double précision.

priorité de captureLors d’une session d’édition dans ArcMap, ordre dans lequels’effectuent les captures, couche par couche. Vous pouvez définirla priorité de capture en faisant glisser le nom des couches à unnouvel emplacement dans la fenêtre Environnement de capture.

projectionFormule mathématique qui transforme les emplacements desentités de la surface courbe de la Terre vers la surface planed’une carte. Un système de coordonnées projetées utilise uneprojection pour transformer des positions exprimées en valeursde latitude et de longitude en coordonnées x,y. Les projectionspeuvent altérer une ou plusieurs des propriétés spatialessuivantes : distance, surface, forme et direction.

GLOSSAIRE 441

propriétéAttribut d’un objet définissant une de ses caractéristiques ou unaspect de son comportement ; par exemple, la propriété Visibledétermine si un contrôle est affiché ou masqué lors de sonactivation. Vous pouvez définir les propriétés d’une source dedonnées à l’aide de sa boîte de dialogue Propriétés.

propriétés de captureLors d’une session d’édition dans ArcMap, combinaison d’uneforme et d’une méthode de capture pour la partie de la forme àcapturer. Vous pouvez définir la propriétés de capture pour avoirune capture d’entité au sommet, au bord ou à l’extrémité desentités d’une couche spécifique. Par exemple, une propriété decapture de couche peut vous permettre de capturer les sommetsdes bâtiments. Une propriété de capture spécifique auxconstructions et plus générique permet de capturer les sommetsd’une construction en cours de création.

pseudo-nœudNœud reliant seulement deux tronçons ou division logique définiedans le cache de topologie lors de la mise à jour. Les pseudo-nœuds du deuxième type énoncé se transforment en sommetaprès édition.

pyramidesDans les jeux de données raster, les couches à faible résolutionou pyramides enregistrent les données originales par niveaux derésolution décroissants. Le niveau de résolution le plus grossierpermet de dessiner rapidement l’intégralité d’un jeu de données.Lorsque vous effectuez un zoom avant, des couches derésolutions plus fines sont dessinées. Par ailleurs, la qualitéd’affichage est conservée car les zones affichées sont de plusen plus réduites.

rasterReprésente une source de données s’appuyant sur une structurede grille pour stocker les informations géographiques.

rayonDistance du point central d’un cercle ou d’une courbe circulaire àun point quelconque de sa circonférence.

réconciliationLa réconciliation est une méthode permettant de fusionner tousles jeux de données, classes d’entités et tables modifiés dans laversion de mise à jour actuelle et une seconde version cible.Toutes les entités et les lignes qui ne sont pas en conflit sontfusionnées dans la version de mise à jour et remplacent les entitésou lignes actuelles. Les entités qui sont modifiées dans chaqueversion produisent des conflits et nécessitent un traitementsupplémentaire via la boîte de dialogue de résolution des conflits.

rectangle englobant minimumRectangle, orienté selon les axes x et y, qui délimite une entité ouune base de données géographiques. Il est déterminé par deuxcoordonnées : x min, y min et x max, y max. Par exemple, l’étenduedéfinit un rectangle limite minimal d’une couverture.

référence spatialeDécrit à la fois la projection et l’étendue du domaine spatial pourun jeu de données d’entités ou une classe d’entité dans unegéodatabase.

règle (connectivité)Limitation du type d’entités de réseau pouvant être connectéesles unes aux autres et le nombre d’entités d’un type particulierquelconque pouvant être raccordées aux entités d’un autre type.Il existe deux types de règles de connectivité : la règle tronçon-jonction et la règle tronçon–tronçon.


règle (topologie)Instruction destinée à la géodatabase définissant les relationsautorisées des entités au sein d’une classe d’entités donnée ouentre des entités de deux classes d’entités différentes. Les règlesde topologie sont comparées aux entités de la classe d’entités aucours de la procédure de validation de la topologie et lesviolations sont alors désignées comme des erreurs. Après lavalidation de la topologie, les erreurs peuvent être corrigées lorsde la mise à jour de la classe d’entités ; il arrive parfois que lesviolations à la règle de topologie représentent des conditionsacceptables. En pareil cas, les erreurs sont considérées commedes exceptions.

règle de combinaisonDans les géodatabases, tous les domaines attributaires sontassociées à une règle de combinaison. Dans ArcMap, en cas decombinaison de deux entités en une seule, les règles decombinaison dictent ce qu’il advient de la valeur de l’attributauquel le domaine est associé. Les règles de combinaisonstandard sont des valeurs par défaut, des sommes et desmoyennes pondérées.

règles de connectivitéLes règles de réseau limitent le type d’entités de réseau pouvantêtre connectées les unes aux autres et le nombre d’entités d’untype particulier quelconque pouvant être raccordées aux entitésd’un autre type. Dans la plupart des réseaux, tous les types desegments ne peuvent être logiquement connectés à tous lestypes de jointures. De même, tous les types de tronçons nepeuvent pas être logiquement connectés à tous les autres typesde tronçons par l’intermédiaire de tous les types de jonctions.Il existe deux types de règles de connectivité : Segment-jointureet segment-segment.

règle de divisionTous les domaines attributaires sont associés à une règle dedivision. Dans l’éditeur d’ArcMap, en cas de division d’uneentité en deux nouvelles entités, les règles de division dictentce qu’il advient de la valeur de l’attribut auquel le domaine estassocié. Les règles de division standard sont les suivantes :duplication, valeur par défaut et ratio géométrique.

règles de topologieInstruction destinée à la géodatabase définissant les relationsautorisées des entités au sein d’une classe d’entités donnée ouentre des entités de deux classes d’entités différentes. Les règlesde topologie sont comparées aux entités de la classe d’entités aucours de la procédure de validation de la topologie et les violationssont alors désignées comme des erreurs. Après la validation de latopologie, les erreurs peuvent être corrigées lors de la mise à jourde la classe d’entités ; il arrive parfois que les violations à la règlede topologie représentent des conditions acceptables. En pareilcas, les erreurs sont considérées comme des exceptions.

règle de validationLes règles de validation s’appliquent aux objets de lagéodatabase pour garantir leur cohérence par rapport au systèmeque la base de données est en train de modéliser. La géodatabaseprend en charge des règles de validation d’attribut, deconnectivité, de relation et personnalisées.

règle tronçon–jonctionRègle de connectivité établissant qu’un tronçon de type A peutêtre connecté à une jonction de type B.

GLOSSAIRE 443

règle tronçon–tronçonRègle de connectivité qui établit qu’un tronçon de type A peutêtre relié à un tronçon de type B via une jonction de type C. Lesrègles tronçon-tronçon impliquent toujours un type de jonction.

réinjectionLa réinjection est la méthode consistant à appliquer la session demise à jour actuelle à la version cible réconciliée.

relationAssociation ou lien entre plusieurs objets d’une base dedonnées. Les relations existent entre des objets spatiaux (entitésdans les classes d’entités) ou non spatiaux (lignes dans unetable) ou entre des objets spatiaux et non spatiaux.

requêteQuestion ou demande permettant de sélectionner des entités. Lesrequêtes apparaissent souvent sous la forme d’instructions oud’expressions logiques. Dans ArcMap, elles contiennent unchamp, un opérateur et une valeur.

réseau géométriqueUn réseau géométrique peut être assimilé à un diagrammeunidimensionnel non planaire ou à un réseau logique, composéd’entités. Ces entités peuvent être considérées comme des entitésde réseau car elles doivent demeurer dans le réseau pour exister.ArcInfo gère automatiquement les relations topologiquesexplicites entre les entités d’un réseau géométrique.

réseau logiqueUn réseau logique est une représentation abstraite d’un réseau. Unréseau logique est constitué de tronçons, de jonctions, de courbes etd’éléments d’interconnexion. Vous pouvez avoir un réseau logiquedont les éléments sont connectés, mais vous ne pouvez pas avoir deréseau en fonction d’une géométrie donnée pour ces éléments. Un

réseau logique ne contient pas de donnée de coordonnées, on nepeut donc pas l’interroger sur l’emplacement de ses éléments. Pource faire, il faut un réseau géométrique. Dans un réseau logique, untronçon est connecté à deux éléments de jonction – une jonctiondepuis, une jonction à – et une jonction peut avoir, zéro ou plusieurstronçons qui lui sont connectés. Une courbe a un tronçon d’origine,une jonction et un tronçon de destination. Chaque élément peutavoir de nombreuses pondérations qui lui sont associées. Lespondérations sont généralement utilisées pour décrire le coûtnécessaire à la traversée d’un tronçon ou d’une courbe ou le coûtnécessaire au franchissement d’une jonction.

segmentLigne qui relie des sommets. Par exemple, dans la constructiond’un bâtiment, un segment représente un mur.

sélectionnerChoisir dans un nombre ou groupe d’entités oud’enregistrements, pour créer un ensemble séparé ou un sous-ensemble.

sélection d’un point d’ancrageLors d’une session de mise à jour dans ArcMap, petit x situé aucentre des entités sélectionnées. L’ancre de sélection s’utiliselorsque vous déplacez des entités par capture. Il s’agit du pointsur l’entité ou le groupe d’entités à capturer pour le déplacerjusqu’à l’emplacement de capture. Il s’agit également du pointautour duquel votre sélection effectue une rotation lorsque vousutilisez l’outil Rotation et autour duquel votre entité se met àl’échelle lorsque vous utilisez l’outil Echelle. Il est possible dedéplacer l’ancre (ou poignée) de sélection.

serveurOrdinateur hébergeant la géodatabase ArcSDE à laquelle voussouhaitez accéder.


service de géocodageObjet définissant le processus de création de représentationsgéométriques de positions, telles que des entités de points, àpartir de descriptions telles les adresses.

session d’éditionDans ArcMap, l’opération d’édition a lieu dans le cadre d’unesession de mise à jour. Une session d’édition commence lorsquevous sélectionnez Ouvrir une session d’édition dans le menuEditeur et se termine lorsque vous sélectionnez Quitter la sessionde mise à jour.

SGBDRSystème de gestion de base de données relationnelle. Système degestion de base de données ayant la capacité d’accéder à desdonnées organisées en fichiers de tables pouvant être reliés lesuns aux autres par un champ commun (élément). Un SGBDR peutréorganiser les éléments issus de différents fichiers, en fournissantde puissants outils d’exploitation de données. ArcSDE prend encharge plusieurs SGBDR disponibles sur le marché.

sommet1. L’un des jeux de coordonnées ordonnées x,y définissant uneentité linéaire ou surfacique.

2. Points joignant deux segments d’une même entité. Par exemple,un bâtiment carré possède quatre sommets, un à chaque coin.

sommet partagéSommet commun à plusieurs entités. Par exemple, dans une basede données des parcelles, des parcelles adjacentes partagent unsommet au coin commun.

source de donnéesToute donnée géographique contenue dans une géodatabase,telle qu’une couverture, un fichier de formes, un raster ou uneclasse d’entités.

sous-dépassementArc qui ne s’étend pas suffisamment loin pour en croiser unautre. Voir aussi arc pendant.

sous-typesBien que tous les objets contenus dans une classe d’entitésou d’objets doivent avoir le même comportement et les mêmesattributs, certains d’entre eux peuvent se distinguer par leursvaleurs par défaut et leurs règles de validation. Vous pouvezregrouper des entités et des objets dans des sous-types. Lessous-types différencient les objets en fonction des règles quileur sont associées.

SQLStructured Query Language. Syntaxe permettant de définir et demanipuler des données à partir d’une base de donnéesrelationnelles. Conçu par IBM dans les années 70, ce système estdevenu une norme industrielle pour les langages d’interrogationdans la plupart des systèmes de gestion de bases de donnéesrelationnelles.

structureStructure ou conception d’une base de données.

style de coteUn style d’entité cote indique la symbologie, les parties tracées etla méthode de traçage. Chaque fois que vous créez une nouvelleentité cote, un style particulier lui est assigné. Un ensemble destyles de cotes est associé aux classes d’entités cotes.

GLOSSAIRE 445

symboleMotif graphique permettant de représenter une entité. Parexemple, les symboles linéaires représentent des arcs ; lessymboles ponctuels, des points ; les symboles surfaciques, despolygones et les symboles textuels, des annotations. Denombreuses caractéristiques définissent les symboles, y comprisla couleur, la taille, l’angle et le motif.

symbologieCritères utilisés pour déterminer les symboles des entités d’unecouche. Les caractéristiques d’une entité peuvent influencer lataille, la couleur et la forme du symbole choisi.

système de coordonnées1. Système de référence permettant de mesurer les distanceshorizontales et verticales sur une carte planimétrique. Un systèmede coordonnées se définit généralement par une projectioncartographique; un sphéroïde de référence, un datum, un ouplusieurs parallèles standard; un méridien central et destranslations possibles dans le sens des x et des y pour localiserles positions x, y d’un point, d’une ligne et d’entités surfaciques.

2. Dans ArcInfo, système comportant des unités et descaractéristiques définies par une projection cartographique. Unsystème de coordonnées courant s’utilise pour enregistrer desdonnées géographiques spatiales pour une même zone.

tableInformations présentées en lignes et en colonnes. Un jeud’éléments de données ayant une dimension horizontale (lignes)et une dimension verticale (colonnes) dans un SGBDR. Une tablea un nombre précis de colonnes alors que le nombre de lignes estlibre. Voir aussi table attributaire.

table attributaireUn système de gestion de base de données (SGBD) ou tout autrefichier tabulaire contenant des lignes et des colonnes. DansArcInfo, les tables attributaires sont associées à une classed’entités géographiques, par exemple à des puits ou à des routes.Chaque ligne représente une entité géographique. Chaquecolonne représente un attribut d’une entité (un seul attribut parcolonne quelle que soit la ligne considérée). Voir également Tableattributaire d’entité.

table attributaire d’entitésTable permettant de stocker les informations concernant lesattributs d’une classe d’entités de couverture spécifique. ArcInfogère les premiers éléments de ces tables. Les tables attributairesd’entité prises en charge pour les couvertures sont, entre autres,les suivantes :

<couverture>.PAT pour les polygones ou les points<couverture>.AAT pour les arcs<couverture>.NAT pour les nœuds<couverture>.RAT pour les itinéraires<couverture>.SEC pour les sections<couverture>.PAT pour les régions<couverture>.RAT pour les annotations (texte)

où <couverture> est le nom de la couverture.

table des matièresDans ArcMap, la table des matières liste tous les blocs dedonnées et toutes les couches de la carte et affiche ce que lesentités représentent dans chaque couche.


tâche courantePendant l’édition dans ArcMap, paramètre de la liste déroulanteTâche courante qui détermine les tâches associées aux outils deconstruction (Construction, Arc, Distance-Distance etIntersection). La tâche courante se définit en cliquant sur unetâche dans la liste déroulante Tâche courante. Toutes les tâchesde la liste déroulante Tâche courante vont de pair avec uneconstruction créée par l’utilisateur. Par exemple, la tâche Créer unenouvelle entité utilise une construction que vous créez pour faireune nouvelle entité. La tâche Prolonger/Tronquer des entitésutilise une construction que vous créez pour déterminer si l’entitésélectionnée doit être prolongée ou tronquée. La tâche Découperdes entités surfaciques fait appel à la construction créée pourdéterminer si le polygone doit être découpé.

ticPoints d’inscription de contrôle géographique d’une couchereprésentant des emplacements connus sur la surface de la Terre.Les tics permettent d’inscrire toutes les entités d’une couchedans un système de coordonnées commun, tel que la projectionde Mercator (UTM). Ils permettent d’inscrire des feuilles de cartelorsqu’elles sont placées sur un digitaliseur et de transformer lescoordonnées d’une couverture. Ils convertissent notamment lesunités du digitaliseur (pouces) en valeurs reconnues par unsystème de coordonnées (mètres, dans le cas de l’UTM).

tolérance d’arc pendantLongueur minimum autorisée pour les arcs pendants descouvertures lors du processus de nettoyage d’ArcInfo. Leprocessus de nettoyage supprime des arcs pendants dont lalongueur est inférieure à celle de l’arc pendant. Aussi appeléeLongueur d’arc pendant.

tolérance de captureDistance à partir de laquelle le pointeur ou une entité s’aligne surun emplacement au cours de la mise à jour dans ArcMap.

Le pointeur s’aligne automatiquement sur une position (sommet,limite, point médian ou connexion) s’il se trouve à l’intérieur de ladistance que vous avez déterminée. Par exemple, si voussouhaitez aligner une ligne électrique sur un pylône alors que latolérance d’alignement est réglée sur 25 pixels, lorsque la lignes’approche à moins de 25 pixels du pylône, elle s’aligne sur celui-ci. La tolérance d’alignement peut être mesurée à l’aide des unitésou des pixels de la carte.

tolérance de regroupementDistance minimale entre des sommets d’une topologie. Lessommets qui se trouvent dans la limite de la tolérance deregroupement sont alignés au cours de la procédure de validationde la topologie. La tolérance de regroupement par défaut est latolérance de regroupement la plus petite possible, basée sur laprécision et l’étendue définies pour la référence spatiale du jeu dedonnées. Voir également Tolérance floue utilisée de manièreanalogue avec le modèle de données de couverture.

tolérance en mode continuDistance minimale de déplacement du pointeur à partir du derniersommet créé avant l’ajout du sommet suivant à l’aide de l’outilConstruction en mode continu.

Lors de la numérisation en mode continu, des sommets sont créésautomatiquement à intervalles définis à mesure que vous déplacezla souris. Par exemple, si la tolérance en mode continu est définieà 10 unités de la carte, vous devez déplacer le pointeur d’aumoins 10 unités de la carte avant de pouvoir créer le sommetsuivant. Si vous déplacez le pointeur à plus de 10 unités de lacarte, il y aura plus d’espace entre les sommets mais il y auratoujours un intervalle minimum de 10 unités de la carte. Latolérance en mode continu se mesure en unités de la carte.

GLOSSAIRE 447

tolérance floueDistance extrêmement réduite utilisée pour corriger des pointsd’intersection inexacts en raison de la précision arithmétiquelimitée des ordinateurs. Il définit la résolution d’une couverturerésultant d’une opération de nettoyage ou de superpositiontopologique (ex. Agréger, Intersecter ou Couper).

Dans les classes d’entités de géodatabase, ce concept estremplacé par la tolérance de regroupement.

tolérancesLes couvertures utilisent de nombreuses tolérances de traitement(grain, appariement de tics, longueur d’arc pendant) et de miseà jour (table de pondération, données de grille, distance de miseà jour et distance de classification normalisée). Stocké dans unfichier TOL, ArcInfo utilise ces tolérances comme valeurs pardéfaut dans de nombreuses opérations d’automatisation, de miseà jour et de traitement. Vous pouvez modifier la tolérance d’unecouche à l’aide de sa boîte de dialogue Propriétés dans ArcCatalog.

topologie1. Dans les géodatabases, relations entre des entités connectéesà un réseau géométrique ou limites partagées entre des entitésdans une topologie.

2. Dans les couvertures, relations spatiales entre des entitésconnectées ou adjacentes (par exemple, des arcs, des nœuds, despolygones et des points). La topologie d’un arc comprend sesnœuds de départ et d’arrivée et ses polygones gauche et droit.Les relations topologiques se créent à partir d’éléments simplesvers des éléments complexes : les points (éléments les plussimples), les arcs (ensembles de points reliés), les surfaces(ensembles d’arcs reliés) et les itinéraires (ensembles de sectionsconstituant des arcs ou des segments d’arcs). Les donnéesredondantes (coordonnées) sont éliminées car un arc peutreprésenter une entité linéaire, une partie des limites d’une entitésurfacique, ou les deux.

Topologie arc–noeudLes arcs composent les entités linéaires et les contours desentités surfaciques des couvertures. Chaque arc comporte unpoint de début (ou nœud) qui correspond au premier sommet del’arc et un point de fin (ou nœud) qui est le dernier sommet del’arc. Les nœuds indiquent les extrémités et les intersections desarcs. Ils n’existent pas en tant qu’entités indépendantes, maisdéfinissent ensemble la direction de l’arc. La topologie arc-noeuddéfinit les relations de connexion entre les arcs dans lescouvertures : les arcs sont interconnectés s’ils partagent unmême nœud.

topologie de carteEnsemble temporaire de relations topologiques entre des partiescoïncidentes d’entités simples d’une carte, utilisé pour mettreà jour des parties partagées de plusieurs entités.

topologie gauche-droiteStructure des données topologiques utilisée pour représenterla contiguïté entre polygones dans le modèle de données decouverture. La topologie gauche–droite prend en charge parexemple des fonctions d’analyse des relations d’adjacence.Voir aussi topologie.

topologie polygone-arcPAT. Polygone de couverture constitué d’arcs qui définissent leslimites et un point label reliant l’entité surfacique à un enregistrementattributaire dans la couverture PAT. Dans le modèle de données decouverture, les polygones sont représentés de manière topologiquesous forme d’une liste des arcs et d’une étiquette constituantchaque polygone. Dans le modèle de données de géodatabase, lespolygones sont stockés sous forme d’entités simples participantéventuellement à des relations topologiques avec d’autres entités.


topologie préliminaireDans les couvertures, fait référence à une région ou topologiesurfacique incomplète. Les topologies de région définissent lesrelations région–arc et région–polygone. Toutes régionstopologiques possèdent ces deux relations. Une régionpréliminaire a une relation région-arc mais n’a pas de relationrégion-polygone. En d’autres termes, les régions préliminairesn’ont pas de topologie de polygone. La topologie surfaciquedéfinit des relations polygone–arc–point label. Les couverturesavec une topologie préliminaire peuvent être identifiées dans leCatalogue grâce à la couleur rouge de leurs icônes.

tracéCréation d’un ensemble d’éléments de réseau en fonction d’uneprocédure.

tracé du réseauD’après son sens générique, le tracé du réseau consiste ànaviguer sur le réseau en suivant la connectivité du réseau dansun certain but.

transaction1. Groupe d’opérations de données atomiques comprenant unetâche opérationnelle complète telle que l’insertion d’une lignedans une table.

2. Unité logique de travail telle que définie par un utilisateur. Lestransactions peuvent être des définitions de données (créationd’un objet), des manipulations de données (mise à jour d’unobjet) ou des lectures de données (sélection à partir d’un objet).

tronçon (topologie)Segment de ligne dans une topologie qui définit des lignes ou deslimites de polygone. Plusieurs entités d’une ou plusieurs classesd’entités peuvent partager des tronçons de topologie.

type de donnéesCaractéristique des colonnes et des variables définissant lestypes de valeurs de données qu’elles peuvent stocker. Parexemple, un caractère, une virgule flottante ou un entier.

type de jonctions par défautDeux types de segments peuvent être connectés via plusieurstypes de jonctions. Vous pouvez définir les types de jonction pardéfaut pour la connexion des deux types de segments. Ce type dejonction est le type de jonction par défaut.

unionSuperposition topologique de deux jeux de données spatialespolygonales qui conservent les entités comprises dans l’étenduespatiale de l’un des jeux de données en entrée ; en d’autrestermes toutes les entités des deux couvertures sont conservées.Voir aussi intersection.

unités de distanceUnités, comme par exemple des pieds, des miles, des mètres oudes kilomètres, utilisées par ArcMap pour relever des mesures,des dimensions de formes, et des tolérances et décalages dedistance.

unités de la carteUnité comme par exemple des pieds, des miles, des mètres ou deskilomètres, dans laquelle sont stockées les coordonnées desdonnées spatiales.

valeur nulleAbsence de valeur. Entité géographique à laquelle aucuneinformation d’attribut n’est associée.

GLOSSAIRE 449

valeurs baliséesLes valeurs balisées permettent de définir des propriétéssupplémentaires des éléments UML. Par exemple, vous pouvezdéfinir la longueur, en caractères, d’un champ de type chaîne àl’aide d’une valeur balisée.

validation (topologie)Procédure visant à comparer les règles de topologie avec lesentités du jeu de données. Lors de la validation d’une topologie,les entités qui ne respectent pas les règles sont désignées commedes entités d’erreurs. La validation de la topologie estgénéralement réalisée après la définition des règles topologiques,la modification des classes d’entités ou lorsque des classesd’entités ou des règles ont été ajoutées à la topologie de carte.

versionReprésentation alternative de la base de données qui a unpropriétaire, une description, une autorisation (privée, protégéeou publique) et une version parent. Les versions ne sont pasaffectées par les modifications intervenant sur d’autres versionsde la base de données.

version de synchronisationVersion créée dans une géodatabase d’extraction ArcSDE àl’extraction des données à partir de cette géodatabase. Cetteversion est créée sous forme de version « enfant » de la versionPAR DEFAUT et représente l’état des données au moment del’extraction.

version extraiteVersion créée dans une géodatabase d’extraction ArcSDE àl’extraction des données. Cette version est créée en tant queversion « enfant » de la version de synchronisation. Seules lesmodifications apportées à la version extraite peuvent êtreréinscrites dans la géodatabase principale.

version extraite principaleVersion dans la géodatabase principale, créée à l’extraction desdonnées, représentant l’état des données à ce moment.

zones salesZones qui ont été modifiées après la procédure de validation detopologie initiale. Les zones sales représentent des régionsentourant des entités inchangées qui nécessitent une validationsupplémentaire de manière à détecter toute erreur éventuelle detopologie.

zone tamponZone d’une distance donnée autour des entités. Des zonestampons de largeur constante ou variable peuvent être généréessur les valeurs attributaires de chaque entité. Les zones tamponsobtenues forment des polygones situés à l’intérieur ou àl’extérieur de la distance de la zone tampon délimitée à partir dechaque entité. Les zones tampons sont utiles dans les analysesde proximité (par exemple pour rechercher tous les segments deruisseau à l’intérieur des 300 pieds d’une zone d’habitation).

449

12Index AAdresse IP

définition 427Agréger. Voir aussi Combinaison d’entités à partir

de différentes couchesdéfinition 448

Ajout de donnéesà mettre à jour 27

Ajustement géométriqueet déformation élastique 244

Ajustement spatialaperçu 274barre d’outils Ajustement spatial diagramme 246Capture de bords 254choix des données d’entrée 250création de liens d’identité 258création de liens de déplacement 255création de plusieurs liens de déplacement 256déformation élastique

choix d’une méthode 252Linéaire 252Voisin naturel 252

description 242fichier de points de contrôle 271liens de déplacement

création à partir de points de contrôle 272enregistrement d’un fichier de liens 270modification de liens 264ouverture d’un fichier de liens 269sélection de liens 262suppression de liens 266table des liens 268

modif. de la symbologie des liens et des zones 261outils Zone limite d’ajustement 259processus 275

description 247recollement de bords

choix d’une méthode 253définition des propriétés de capture

de bords 254ligne 253

Ajustement spatial (suite)lissage 253utilisation de l’outil Recollement de bords 260

références 245transfert d’attributs

mappage 276outil Transfert d’attributs 278

transformationaffine 242choix d’une méthode 251d’Helmert 243projective 243

Algorithme Douglas–Poiker 103Alias

définition 427Alignement

définition 427Ancre de sélection

déplacementlors de la mise à l’échelle d’une entité 235lors de la rotation ou de la capture d’une

entité 40description 35et alignement 40

Angle polairedescription 111

Annotationchaîne 354classe

autonome 350classe d’entités de la couverture

d’annotations 363dans ArcMap 351, 361description 350et topologie 142

conversioncommande Convertir la couverture

d’annotations 363couverture 363étiquettes 361

création 361définition 349, 427, 432


Annotation (suite)description 350entités 350, 353, 356, 361et versionnement 418–419liée à une entité

création 360description 350modification 351

non liée à une entité 350, 351Annotations liées aux entités. Voir

Annotation. Voir aussi AnnotationAnnulation d’un traçage 82. Voir aussi Outils

d’éditionAperçu de l’ajustement, fenêtre 274Arc circulaire

création 77définition 427

Arc, outil. Voir Outils d’éditionArc pendant

arcdéfinition 427

tolérancedéfinition 446

ArcCataloget topologie 137et versionnement 403, 404, 405personnalisation 409

ArcMapanalyse réseau 339cible de l’annotation active 351conversion en annotations 361document 361et topologie 137et versionnement 403, 412, 415fenêtre de conflits 360listes de couches modifiables 438outils de dessin 351personnalisation 363, 372

boîte de dialogue Personnaliser 363cache de mise à jour 31menu des tâches 33

table des matières 360, 361

Arcs circulaires 45description 50

ArcSDEdéfinition 428

Assistantdéfinition 428

Association. Voir RelationsAssociation topologique

définition 428Attributs

à partir d’entités ponctuelles 137affichage 280ajout 282annulation des mises à jour 283Attributs, boîte de dialogue 280boîte de dialogue

définition 429et entités cotes 370

champs d’affichage principaux 281copie et collage 42, 284définition 428et annotations 363et classes de relations 350mention 297, 401, 417, 424mise à jour 21, 22modification 282modification dans ArcMap 289, 293, 335règles. Voir Domaines attributairessuppression 283tables

définition 445Azimut

définition 428Azimutal nord

description 111Azimutal sud

description 111

BBarre d’outils Editeur

ajout 25avancée

diagramme 24définition 428diagramme 16outil Rotation 318

Base de données 401, 402définition 428

Base de données spatialedéfinition 428

Bloc de donnéesdéfinition 428

Bloc de données actifdéfinition 429

Blocs de donnéesmodification d’une carte avec plusieurs 30

Bon de travail 402définition 429

CCache automatique 32Cache de mise à jour

barre d’outils 29ajout 31

cache automatique 32création 28, 29, 32définition 429outils 32zoom sur l’étendue 29

Cache Majutilisation 31

CAO (conception assistée par ordinateur)et planarisation 138mention 2

Captureagent 446Capturer sur l’entité, option 110environnement

boîte de dialogue Capture del’environnement 166

création de points et de sommets 52définition 427définition de la tolérance de capture. Voir

Capture : tolérance

INDEX 451

Capture (suite)déplacement des entités 40description 107fenêtre 105

et nœuds topologiques 166priorité

configuration 109description 109

prioritésdéfinition 440

propriétéscomparaison (table) 106configuration 108construction 106, 109définition 441description 106

toléranceaffichage 107configuration 107description 108

tolérance de capturedéfinition 446

utilisation lors de la numérisation 191utilisation pour fractionner une ligne 210

Capture de bords 254Captures

propriétéscouche 106

Cardinalité tronçon-jonctiondéfinition 429

Carte 360, 412définition 429éléments 4

Centre, outil. Voir Outils d’éditionCentroïde

définition 429Cercle

définition 429Chaîne

description 118

Champdéfinition 429et annotation 350mention 404, 417

Champ clé 419Champ d’affichage principal 281Chargement

données d’une géodatabase 27Chargeur d’objets. Voir aussi Chargement de

donnéesCheminement

ajout d’un segmentangle-distance 92courbe 93courbe tangente 94direction-distance 91

ajustementcorrection crandall 98correction de compas 98correction de transit 98processus 99techniques 98

chargement 101Cheminement, outil 90conversion d’angles et de distances 115enregistrement 100modification d’un segment 96partant d’une coordonnée connue 90rapport de fermeture 97

Choisissez les données d’entrée à ajuster, boîte250

Circuit de productiondéfinition 429

Classe de relationsappellations

dans l’Editeur d’ArcMap 316édition dans ArcMap

303, 304, 306, 309, 310, 313, 315classe d’origine 350classe de destination 350

Classe de relations (suite)clé étrangère. Voir Clé étrangèrecomposite 350, 351définition 430et annotation 361et versionnement 416, 418–419

Classe de tronçonsmodifications dans ArcMap 332, 334

Classe d’entitésdéfinition 430étiquetage 361mention 293, 404, 412, 417

Classe d’entités annotations. Voir Annotation:classe

Classe d’entités de jonctiondans ArcMap Editor 330, 336

Classe d’entités dimensionet topologie 142

Classe d’entités relationet topologie 142

Classe d’entités surfaciquesA partir de lignes, outil 137création à partir de lignes 178

Classe d’objetdéfinition 430

Classementdéfinition 430description 123

Clé étrangère imbriquée. Voir Champ cléCOGO

champs requis 95conversion d’angles et de distances 115création d’entités linéaires à deux points 95description 89

Coïncidentdéfinition 433, 435

Collerentités. Voir Copier: et coller des entités

Colonnedéfinition 430


Combinaisonet topologie 174

Combinaison d’entitésà partir de différentes couches 204ayant des zones communes 206

Comportement 350, 418définition 431et topologie 122

Compression 406dans ArcCatalog 409définition 431

Conflit 401, 415, 416–417, 420définition 431

Connectivitécréation 324définition 431

Connectivité du réseau 325, 335, 338Connectivité, règles

définition 442règle tronçon-jonction

définition 442règle tronçon-tronçon

jonctions par défaut 448Connexion directe

définition 431Construction

contraintesdéfinition 432

création 20définition 431déplacement des sommets 226description 18, 46et modifications topologiques 158finalisation

option Terminer avec mise à l’équerre 67raccourci 63

insertion de sommets 232menu contextuel 51modification 21modification des valeurs m et z 234opérations

définition 440

Construction (suite)outil. Voir Outils d’éditionpropriétés

modification 231suppression 64suppression des parties 233

Construire des entitésoutil

description 137Contiguïté

définition 431Contraintes. Voir aussi Domaines

attributairesdéfinition 432

Conversion de données. Voir Chargement:données d’une géodatabase

Conversion des mesuresutilisation 115, 116

Coordonnée d’extrémitéet cheminement 97

Coordonnéesdéfinition 432

Coordonnées X,Y absolues 53Copie parallèle, commande 196Copier

et coller des attributs 42, 284et coller des entités 42une ligne parallèle à une ligne existante 196

Copier des entités, outil 83Correction Crandall

ajustement du cheminement 98Correction de compas

ajustement du cheminement 98Correction de transit

ajustement du cheminement 98Cotation, barre d’outils 368, 372

définition 428Cote alignée

définition 432Cote linéaire

définition 432

Cotes, entitésboîte de dialogue Attributs 370création. Voir Cotes, entités: outils de

cotation automatique. Voir entités:outils de cotation automatique

définition 430, 435méthodes de construction

alignée 367alignée avec poursuite 376, 378alignée sans attache 365, 367, 373construction alignée 384description 366, 438linéaire 367, 387linéaire avec poursuite 367linéaire avec rotation 367, 381

modification 366, 368, 370description de la procédure 397

modification du style 399outils de cotation automatique 366, 367

cotation chaînée 367, 391, 395cotation imbriquée 367, 393coter le bord 367, 390mention 368, 372

propriétés (table) 369, 371Couche

création 53définition 432

Couche cible 21, 47définition 432et transfert d’attributs 245

Couche source. Voir Couche cibleCourbe réelle. Voir aussi Arc circulaire

définition 433Courbe tangente. Voir Arc circulaireCouverture

annotation 349définition 433

Créer le cache de topologie. Voir aussiTopologie: cache

Customization. Voir ArcCatalog :customizing ; ArcMap: customizing

INDEX 453

DDAO (dessin assisté par ordinateur)

classe d’entités DAOdéfinition 430

définition 433Décalage angulaire 117Découpage d’entités 237Déflexion 69Déflexion du segment. Voir Edition : création de

segments : utilisation d’angles de segmentsexistants

option 73Déformation élastique 244. Voir Ajustement

spatial : déformation élastiqueDegrés décimaux

définition 433Degrés Minutes Secondes

description 112formats de saisie valides 112

Delta X, Y 54Dépassement

définition 433Déplacement des entités. Voir aussi

Remodelage des entitésà l’aide des coordonnées delta x,y 38, 39annulation d’un déplacement 40par rapport à leur position actuelle 39par rotation 39, 41utilisation de l’environnement de capture 40

Déplacerdéfinition 433

Dessin assisté par ordinateur (DAO). Voiraussi DAO (dessin assisté par ordinateur)

définition 433Digitaliseur

alignement de la carte 184configuration 184configuration de boutons de curseurs

graphiquesà l’aide de code de programmation 191, 194pour le mode continu 194

Digitaliseur (suite)configuration de curseurs graphiques

programme de configuration dugestionnaire WinTab 184

utilisation de code de programmation 184utilisation du programme de configuration

du gesti 184création d’entités 183fixer la carte au 184préparation de la carte 184

Direction, système de mesuredéfinition 111

Distance–Distance, outil. Voir Outils d’éditionDistorsions

et déformation élastique 244Division d’une entité linéaire. Voir Placement

de points le long d’une ligneDivision proportionnelle d’une ligne 87Document ArcMap. Voir aussi ArcMap

définition 433Domaine spatial

définition 433Domaines attributaires

définition 433domaine à valeur précodée dans ArcMap

Editor 288domaine de plage dans ArcMap 288exploration dans ArcCatalog. Voir Attributs :

boîte de dialoguemention 122, 288

Données 401, 402ajout pour la mise à jour 27arrêt du traçage de 255, 256champ collecté 90chargement d’une géodatabase 27définition 433éditeur

mention 3intégrité

définition 437qualité

et topologie 122

Données (suite)source

définition 444Données de référence

définition 434Données de référence de géocodage

définition 434Données tabulaires

définition 434Double précision

définition 434

EEditeur, barre d’outils. Voir Outils d’édition

outil Rotation 359Edition

ajoutet suppression des sommets d’une

construction 224ajustement spatial 250

diagramme de la barre d’outils 246configuration de la couche cible 47, 52coordonnées X,Y absolues 53copie

Copier des entités, outil 83création

construction à l’aide de l’outilcheminement 90

entité linéaire pour compléter desattributs COGO 95

entité multi-parties 65entité multi-points 61entités linéaires et surfaciques 63entités multi-points 61entités ponctuelles et sommets 52raccord entre deux lignes 84segment à l’aide d’un angle et d’une

longueur 69segment en forme d’arc circulaire 77segments parallèles 75segments perpendiculaires 75


Edition (suite)création de segments

traçage d’entités 82utilisation d’angles de segments

existants 73utilisation d’angles et de longueurs 69

création d’entitésdescription 46duplication 83seules à partir de multi-parties 102utilisation d’une construction 46

déf. du syst. et des unités de mesure dedirection 111

delta X, Y 54déplacement

sommets d’une construction 226division proportionnelle d’une ligne 87éclatement d’une entité multi-points 102entité multi-parties en une seule 102Environnement de capture, fenêtre 105généralisation d’une entité 103lissage d’une entité 104menu contextuel Construction 51mesures

conversion automatisée 115mise à l’équerre d’un polygone 67placement de points le long d’une entité

linéaire 220prolongement des entités linéaires 85, 217relations

composites 317création 306, 308description 303édition d’objets reliés 303règles de relations 320suppression 298, 310, 312,

314, 316, 321retournement des entités linéaires 219tâches à l’aide d’une construction 46tronquage d’une entité linéaire 86, 214utilisation de l’environnement de capture 107

Edition dans ArcMapattributs 303Attributs, boîte de dialogue 298, 303, 304outil Edition 318

Edition déconnectéedéfinition 434

Edition, outil. Voir Outils d’éditio ; Editeur,barre d’outils

Elémentdéfinition 434

Elément jonctiondéfinition 434

Elément tronçon. Voir aussi Réseau logiquedéfinition 434

Eléments de réseau 338Eléments géométriques

et topologie 131Ellipse

définition 434Enregistrement

définition 434Enregistrement des mises à jour 29Ensemble sélectionné

définition 434Entité. Voir aussi Classe

d’entités ; Objet ; Type d’entitécréation à partir de la géométrie d’autres

entités 179définition 434duplication 83mention 349, 401, 415, 424modification 289, 293. Voir aussi

Modificationsélection 297simple 435table attributaire

définition 445Entité annotation ESRI. Voir Type d’entitéEntité ESRI simple. Voir aussi Type d’entitéEntité linéaire

création 47, 63, 68

Entité multi-partiescréation 65

ligne ou polygone 65définition 435description 65éclatement 102raccourci pour terminer une partie 66

Entité multi-pointsdéfinition 435description 61

Entité ponctuellecréation 47, 52, 68

Entité simpledéfinition 435

Entité surfaciquecréation 63mise à l’équerre 67

Entité topologiquedéfinition 435

Entité valide 321Entités de réseau

classe d’entités. Voir Classe de tronçons :Classe d’entités de jonction ; Classed’entités de jonction

Entités linéairescopier 196création 20fractionnement 210placement de points le long de 220prolongement 217remodelage. Voir Remodelage des entitésretournement 219tronquage 214

Entités multi-partiescombinaison d’entités pour créer 202création 204suppression des parties 233

Entités multi-pointscréation 61

Entités non valides 288, 295, 348objets 288

INDEX 455

Entités pointscréation 20

Entités ponctuellescréation 65

Entités surfaciquescréation 20découpage d’une forme surfacique à partir

d’une 213fractionnement 210remodelage. Voir Remodelage des entités

Entités tronçons. Voir Entités de réseauEQM, erreur

équation 244Erreur

définition 435Erreur EQM 184, 186

compréhension 243Erreur quadratique moyenne. Voir EQM, erreurErreur résiduelle

compréhension 243Erreurs et exceptions

description 125Espace de travail 412

actualisation (versionnement) 414définition 435

Espace de travail ArcInfodéfinition 435

Etendue spatiale. Voir EtendueEtiquettes

conversion en annotations 361Etirement

entités 164Etirement des entités. Voir Etirement

proportionnel de la géométrieEtirement proportionnel de la géométrie 238Extraction

géodatabasedéfinition 436

processusdéfinition 435

versiondéfinition 449

FFacteur de conversion de distance 116Faire glisser des entités. Voir aussi

Déplacement des entitésFichier de formes

définition 436Finalisation d’une construction

option Terminer avec mise à l’équerre 67raccourci 63, 214

Finalisation d’une des parties d’une entité 66Flux de travail 402Forme

définition 436Fractionnement

entités linéaires 210entités surfaciques 210outil. Voir Outils d’édition

Fragmentationdéfinition 436

Fragmentation. Voir aussi Topologie :validation

Fusionentités 202

GGénéralisation

entité 103Géocodage

définition 436Géodatabase

chargement des données à partir d’une 27compression 406, 411définition 436et versions 401mention 402, 415mise à niveau 26structure 17

Géodatabase distante. Voir SDE : géodatabaseGéodatabase multi-utilisateur

définition 436

Géodatabase personnelledéfinition 436

Géodatabase principaledéfinition 436

Géométriemention 349, 417

Géométrie partagéemise à jour 143

Gonsdescription 112

GPS (Global Positioning System)mention 124

Gradesdescription 112

Graphiques 361Groupement

définition 436

IImage miroir

d’une entité 200Index

définition 436Index de géocodage

définition 437Inscription d’une carte

ajout de points de contrôle supplémentaires187

définition de points de contrôle 184description 185–186enregistrement des coordonnées

terrestres 186fichiers tic existants ou coord.

enregistrées 187–188numérisation des points de contrôle 185pour la première fois 185rapport d’erreur 184, 186saisie de coordonnées terrestres 185suppression d’enregistrements de ccoord.

terrestre 187veiller à la précision lorsque 188


Insertiondéfinition 437

Insertion par opération pull 437Insertion par opération push 437Inspecteur d’erreurs

description 125, 172Instance

définition 437Intersecter 206Intersection

définition 437Intersection, outil. Voir Outils d’éditionInverser, outil 89

JJeu de classes d’entités

définition 437et classe d’annotations 350mention 404

Jeu de donnéesdéfinition 437

Jeux de données vectorielscomparaison de la structure 17

Jointure relationnelledéfinition 437

Jointure spatialedéfinition 437

Jonctionincorporation

description 324Jonction de classes d’entités

et versionnement 418Jonction simple ESRI. Voir Type d’entitéJonction. Voir Entités de réseauJonctions par défaut

description 324type de jonction

définition 448

KKilomètre

description 118

LLien (unité de distance)

description 118Liens de déplacement

et ajustement spatial 255Liens d’identité

et ajustement spatial 258Ligne. Voir aussi Objet

définition 437Ligne simple ESRI. Voir Type d’entitéLimite partagée

définition 438Limites

description 140Lissage

entité 104Listes de couches modifiables

définition 438

MMenu des tâches

modification des options 33Mesures

déf. du nombre de décimales pour lesrapports 44

saisies dans le SIG 115visualisation 44

Mesures dans les rapports. Voir Mesures : déf.du nombre de décimales pour les rapports

Mètredescription 118

Milledescription 118

Mille nautiquedescription 118

Millimètredescription 118

Mise à jour. Voir aussi Mise à jour dansArcMap

ajoutbarre d’outils Editeur 25données 27

ajustement spatial. Voir Ajustement spatialattributs. Voir aussi AttributsBarre d’outils Edition avancée 24création

cache de mise à jour 29création entités

description 20démarrage 28déplacement

entités 38fichiers de formes 17–18jeux de classes d’entités 17menu des tâches

modification des options 33mise à niveau d’une géodatabase 26raccourcis clavier 23remodelage d’une entité linéaire ou

surfacique. Voir Remodelage des entitéssession de mise à jour 28sommets dans une construction 21vue d’ensemble du processus 14, 247

Mise à jour dans ArcMapajout du cache de mise à jour 31création d’un cache de mise à jour 32Edition, outil. Voir aussi Outils d’édition ;

Editeur, barre d’outilsMise à l’échelle des entités 235Mise à l’équerre d’entités surfaciques 67Mise en relation

définition 438Mode absolu. Voir Numérisation : mode

(absolu) en numérisationMode continu. Voir Numérisation : en mode

continu

INDEX 457

Mode Donnéesdéfinition 438modification

mention 4Mode Mise en page

définition 438modification

mention 4Modèle de données d’une géodatabase

définition 438Modèle de données géorelationnelles

définition 438Modèle UML

définition des valeurs balisées 449Modification 414

avec plus d’un ensemble de jeuxde données 28

combinaison d’entités à partir de différentecouche 204

copieet collage des entités 42

création d’entitésvenant d’entités ayant des zones

communes 206création d’entités multi-parties

combinaison d’entités 204de relations

suppression 323enregistrement des mises à jour 29entités de réseau

activation et désactivation des entités deréseau 340

annulation de modifications 338création d’un tronçon de réseau

329, 332, 334création d’une entité de tronçon 324incorporation des jonctions de réseau 324rôles auxiliaires 339validation 347

fractionnement d’entités linéaires ousurfaciques 210

Modification (suite)mise à l’échelle des entités 235plusieurs blocs de données 30relations

suppression 351rotation de la symbologie d’un point 41suppression d’entités 43utilisation de l’environnement de capture 40

Modification dans ArcMapsélection 348

Modification des entitésen déplaçant les sommets 226–227raccourci 214

Modificationscopier

une ligne parallèle à une ligne existante 196création

image miroir d’une entité 200zones tampon autour d’entités 198

création d’entités multi-partiescombinaison 202

entités de réseausubsomption des jonctions de réseau 336

fusion d’entités 202Modifications dans ArcMap

annuler 338boîte de dialogue Attributs

290, 295, 311, 317, 357, 399couche cible 289, 329, 336, 355, 373démarrage de la mise à jour 351entités

suppression 319environnement de capture

324, 330, 332, 334, 336et annotation

création 351création d’entités liées à des annotations

355description 351, 353modification d’entités avec des annotations

liées 357

Modifications dans ArcMap (suite)et domaines attributaires

description 289, 293domaines à valeur précodée 293validation 294

et entitéscréation 289suppression 359

et règles de validation 288et sous-types 291, 292et valeurs par défaut 289, 293et versionnement 415outil Edition 320, 333, 335, 338, 340, 347sous-types 321valider la sélection 294, 320, 347

Mot de passedéfinition 439

Multiversionné. Voir Version

NNom d’utilisateur

définition 439Nœud

définition 439Nœuds

description 140Numérisation

à main levée 183, 189bascule entre les modes numérisation et

souris 189bascule entre les modes point et continu 193création d’un point ou sommet 52création d’une ligne ou d’un polygone 63définition 439description 183en mode (absolu) numérisation

189, 190–191en mode (relatif) souris 189en mode continu 189, 192, 193, 194en mode point 189, 190


Numérisation (suite)installation du logiciel de pilote

du digitaliseur 184mode

définition 438onglet digitaliseur manquant 186utilisation de captures 191

Numérisation en mode continudéfinition 439

Numérisation en mode point. Voir aussiNumérisation : en mode point

définition 439Numérisation par balayage

définition 439Numéro de port

définition 439

OObjet

définition 439relations 298

Objets reliés. Voir Relationssuppression 316

Onglet Digitaliseur manquant 186Orientation au quadrant

description 112Outil Centre 49Outils. Voir Outils d’éditionOutils CASE. Voir aussi Modèle UMLOutils de mise à jour

barre d’outils Mise à jour 16Outils d’édition

Arc, outil 48, 50, 77Arc, outils

description 79Centre, outil

création d’un point ou d’un sommet 57Construction, outil 46, 289, 329, 355, 373Courbe tangente, outil 50Direction-Distance, outil

création d’un point ou d’un sommet 59

Outils d’édition (suite)Distance-Distance, outil 48, 55Echelle, outil 235Fractionner, outil 210Intersection, outil 49, 58

création d’un point ou d’un sommet 58outil Distance–Distance

création d’un point ou d’un sommet 55palette d’outils 46, 48traçage 50Traçage, outil 82

Outils Zone limite d’ajustementet ajustement spatial 259

PPage virtuelle

définition 440Palette d’outils. Voir Outils d’éditionPerche

description 118Personnalisation. Voir ArcCatalog :

personnalisation ; ArcMap :personnalisation

comportementdéfinition 431

entitédéfinition 435

objetdéfinition 439

Personnalisécomportement. Voir aussi Comportemententité. Voir aussi Comportementobjet. Voir aussi Comportementrègles. Voir aussi Règles de validation

Pieddescription 118

Pivotemententités 39

Placement de points le long d’une ligne 220Planarisation

définition 440

Planariser 181outil 179

mention 138Point

définition 440Point de contrôle

définition 184Point label

définition 440Points de contrôle

définition 440fichier de points

et ajustement spatial 271numérisation 185

Polygonedéfinition 440topologie polygone-arc

définition 447Précision

définition 44Précision (jeu de données)

définition 440Précision simple

définition 440Privilèges

et versionnementdescription 406, 415, 425privé 406protégé 406public 406

Projectiondéfinition 440

Prolongement des entités linéaires 85, 217Propriété

définition 441modification dans une construction 231

Propriétés des domainesrègle de division dans ArcMap 335

Pseudo-noeudsdescription 140règles de topologie 128

INDEX 459

Pseudo-nœud 441Pyramides

définition 441

RRaccord

description 84Raccourcis

mise à jour 23Radians

description 112Raster

définition 441Rayon

définition 441Recollement de bords

outil Recollement de bords 260Recollement des bords 245Réconciliation 415, 420, 424

définition 441description 415

Réconciliation automatique 416Rectangle englobant minimum

définition 441Référence spatiale

définition 441domaine spatial 441

Règleconnectivité

définition 441topologie 123

définition 442Règle d’agrégation. Voir aussi Domaines

attributairesRègle de combinaison

définition 442Règle de division. Voir aussi Domaines

attributairesdéfinition 442

Règle de validation des attributs. VoirDomaines attributaires

Règle tronçon-jonctiondéfinition 442

Règle tronçon-tronçondéfinition 443

Règles de connectivitémention 288règle tronçon-tronçon

dans ArcMap Editor 324, 333jonction par défaut 333

tronçon-tronçondans ArcMap Editor 288

Règles de divisionconfiguration 212

Règles de topologie. Voir Règle : topologieRègles de validation

définition 442mention 122ordre de validation 288

Règles de validation. Voir Topologie :validation. Voir aussi Domainesattributaires ; Règles deconnectivité ; Règles de relation

Règles géométriqueset topologie 122

Réinjection 402, 415, 416, 424définition 443

Relatif, mode. Voir Numérisation : en mode(relatif) souris

Relationrelation 443

Relationscomposites 317, 357création 297, 299, 306création et suppression 298édition 303et versionnement 419fractionnement d’entités 301objet de destination 318, 350objet d’origine 317, 350objet lié 418objet relié 310, 316, 317

Relations (suite)règles

dans l’Editeur d’ArcMap 320mention 288

suppression 299, 310validation 320

Relations composites. Voir Relations :composites

Remodelage des entitésen ajoutant des sommets 224en déplaçant les sommets 226en supprimant des sommets 224utilisation d’une construction que vous

dessinez 222Requête

définition 443Réseau, entité

complexe 324déplacement 325et versionnement 418jonctions 339modification 324modification dans ArcMap 347sources et exutoires 339validation 347

Réseau, entitésrôle auxiliaire 339

Réseau géométriquecorruption de réseau 327définition 443et le cache de mise à jour 328et topologie 142et versionnement 418modèles de connectivité 325

connexion d’entités 327création de nouvelles entités de réseau 327déconnexion d’entités 326étirement et déplacement 325suppression 326

modification 288performance 328


Réseau géométrique (suite)réparation de la topologie 327sens de circulation 339

Réseau logique 333définition 443

Réseau logique. Voir aussi Réseau géométriqueRetournement des entités linéaires 219Rotation

entités 41symbologie d’un point 41

SScénarios

et versionnement 424SDE. Voir ArcSDESDE pour couvertures. Voir ArcSDESegments

créationarcs circulaires 77d’un angle calculé à partir du dernier

segment 71en traçant des entités 82parallèles à un segment existant 75perpendiculaires à un segment existant 75utilisation d’angles de segments existants

73utilisation d’angles et de longueurs 69

définition 443description 46

Segments parallèle. Voir Segments : création :parallèles à un segment existant

Segments perpendiculaires. Voir Segments :création : perpendiculaires à un segmentexistant

Sélection 298, 333, 360Sélection des entités

désélection d’entités 34utilisation de l’outil de mise à jour 34utilisation du menu de sélection 36utilisation d’un polygone 36utilisation d’une ligne 35

Sélection dun point d’ancragedéfinition 443

Sélectionnerdéfinition 443

Serveurserveur 443

Serveur SDE 443Service de géocodage

définition 444Session de mise à jour. Voir aussi Mise à

jour ; Mise à jour dans ArcMapdémarrage 28et versionnement 414, 415, 416, 420, 424

Session d’éditiondéfinition 444

Sommetannulation et répétition 55, 65création 52définition 444description 46suppression 64, 191suppression de plusieurs sommets lors de la

num. 193Sommet partagé

définition 444Sommets

ajout 21, 224, 232déplacement

en spécifiant les coordonnées x, y 227par glissement 226par rapport à l’emplacement actuel 229

et entités cotes 368suppression 21, 224

Sous-dépassementdéfinition 444

Sous-types 21définition 444mention 122modification dans ArcMap 289

SQL (Structured Query Language)définition 444

Structuredéfinition 436, 444

Structured Query Language (SQL)définition 444

Style de cotedéfinition 444

Styles de cotedescription 368hauteur d’imbrication 394

Suivi des entités. Voir Outils d’éditionSupression

entités 43Surface ellipsoïde

distances mesurées 115Symbole

définition 445Symbologie 292, 350, 351

définition 445Système de coordonnées

définition 445Système de gestion de base de données relat.

définition 444Système de mesure

définition 111Système de mesure de direction

angle polaire 111Azimutal nord 111Azimutal sud 111définition 113orientation au quadrant 112

TTable

définition 445édition dans ArcMap 297mention 404, 412

Table des matièresdéfinition 445

Tables attributairesmodification 279

Tablette de numérisation. Voir Digitaliseur

INDEX 461

Tâche courantedéfinition 446

Ticdéfinition 446

Tolérance d’agrégat. Voir aussi Topologie :tolérance d’agrégat

description 123Tolérance en mode continu. Voir aussi

Numérisation : en mode continudéfinition 446

Tolérance flouedéfinition 447

Tolérancesdéfinition 447

Topologiebarre d’outils

ajout 139but 122cache

automatisation 152reconstruction 152

Classe d’entités surfaciques à partir de lignes137, 178

classementsdescription 123

concepts 140création 141création de nouvelles entités

à partir de la géométrie des entitésexistantes 179

lignes 180plusieurs entités linéaires 179polygones 179

définition 447déplacement

d’une distance X, Y donnée 145extrémité partagée 150jusqu’à un emplacement donné 146limite 144nœud 144sommet sur limite 143

Topologie (suite)

description 122éléments géométriques 131éléments partagés 154

désactivation 155entités intégrées 415, 416erreur

correctifs disponibles 136erreurs

combinaison avec un polygone 174correctifs disponibles 174correction 174création d’un récapitulatif 172–173déplacement ou zoom 173entités affectées 175et Inspecteur d’erreurs 172gestion 172méthodes de correction 136modification de la symbologie 167pour une règle donnée 173recherche 172recherche dans l’étendue visible

uniquement 172erreurs et exceptions

description 125, 130marquage comme exception 176rapport 125recherche des exceptions 173symbologie 169

et ArcCatalog 137et ArcMap 137et construction 158et flux de travail 122et relations géométriques 122fiabilité des données 124fonctions de base 123fractionnement-déplacement 150géométrie partagée

mise à jour 143Inspecteur d’erreurs

combinaison avec un polygone 175description 125

mention 134ouverture 172

limites connectéescombinaisons 157

mise à jour 121avec une construction 158capture des nœuds 166description 133désélection des éléments 153étirement des entités 164fractionnement d’une limite 147, 148modification d’une limite 158outil de mise à jour 142plusieurs entités 121remodelage d’une limite 162

modification de la symbologie 168nouvelles entités

création 137polygones 137

nœudsajout temporaire 132

outil Afficher les entités mitoyennes132, 154

outilsdéplacement des nœuds et des outils 131fonctionnalité de la barre d’outils 139mention outil de mise à jour 133mise à jour et gestion 5outil de mise à jour, mention 124

paramètres 123partage d’éléments 155planarisation 137, 178, 179, 181règles

affichage d’une description 177description 123, 126détection des violations 171mention 121règles linéaires 127règles polygonales 126règles ponctuelles 129

Topologie (suite)sélection


entités topologiques mitoyennes 156noeud 143, 143

symbologie 168couches 169

tolérance d’agrégatdéfinition 142description 123, 140modification 140

topologie de réseau 324topologie de réseau. Voir aussi Connectivité

du réseautronçon

définition 448validation 171

étendue visible 171topologie entière 171zone sélectionnée 171

zones à validercréation 125description 124stockage 125symbologie 170

Topologie arc-nœuddéfinition 447

Topologie de carte. Voir aussi Topologiecréation 140, 141définition 447description 140

Topologie de réseau. Voir Réseau géométriqueTopologie gauche-droite

définition 447Topologie préliminaire

définition 448Traçage. Voir aussi Outils d’éditionTraçage, outil. Voir Outils d’éditionTracé

définition 448Tracé du réseau

définition 448Transaction 415, 424–425

définition 448

Transfert d’attributset ajustement spatial 245, 276

Transformation affineajustement spatial 242

Transformation d’Helmertajustement spatial 243

Transformation projectiveajustement spatial 243

Tronçon. Voir aussi Topologie : tronçonTronçon et jonction complexes. Voir Entités

de réseauTronçon simple ESRI. Voir Type d’entitéTronquage des entités linéaires 86, 214Type de direction

définition 113Type de données

définition 448Type d’entité

ESRI, entité annotation 350ESRI, entités simples 350réseau. Voir Entités de réseautopologique 446. Voir aussi Topologie

UUnités de direction

définition 114Unités de distance

conversion automatisée 118définition 448description 118

Unités de la cartedéfinition 448

Unités de mesure de directiondéfinition 114Degrés Minutes Secondes 112Gons 112Grades 112Radians 112

VValeur nulle

définition 448Valeurs balisées

définition 449Valeurs M

modification 234Valeurs par défaut

mention 122modifications dans ArcMap 356

Valeurs Zmodification 234utilisation du contrôle Valeur Z actuelle 234

Validationréseau géométrique 347topologie 171

Validation de la topologiedéfinition 449

VBAconfiguration des boutons de curseur

graphique à l 184configuration des boutons de curseurs

graphiques 191Version

actualiser 408, 414changement 413

commande Changer de version 413conflict. Voir Conflictconflit

affichage 422résolution 415, 423

créationdans ArcCatalog 405dans ArcMap 412

dans ArcMap 412définition 401, 449description 402enregistrement des données 404et ArcMap 412et géodatabase 415

INDEX 463

Version (suite)et modification 415gestion

dans ArcCatalog 405mise à jour 420modification

compression 411modification des propriétés 408modification du nom 407suppression 407

permissions 406réconciliation. Voir aussi Reconciliation

procédure 421réconciliation automatique 416

activation et désactivation 420réinjection. Voir aussi Réinjection

procédure 421scénarios 424transaction. Voir Transaction

Version de synchronisationdéfinition 449

Version extraite principaleversion

définition 449Visual Basic pour Applications. Voir VBA

YYard

description 118

ZZones à valider

description 124, 449Zones tampon

création 198découpage d’une entité à l’aide d’une zone

tampon 237définition 449

ArcGIS 8

Mise à jour dans ArcMap

ESRI 380 New York Street RedLands, CA 92373-8100 USA909-793-2853 FAX 909-793-5953 www.esri.com

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T M

Imprimé en FranceESRI France 21 rue des Capucins 92190 Meudon www.esrifrance.fr

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