bulletin massillargues octobre 2016

Bulletin municipal octobre 2016Secrétariat mairie : 04 66 61 71 65 - http://massillargues-atuech.fr

Éditorial du maire p 2

Les écoles p 3

Le Totem p 3

Bibliothèque p 4

Agglo news - Agenda p 4

P.L.U. p 5

Point sur les travaux p 5

Vie communale p 6

Brûlage végétaux p 7

Impôts locaux p 7Spectacle cratère - Occitanie p 8Directrice de la publication : Aurélie GenolherComité de rédaction : Jacky Rodière, Gérard Bournonville, Catherine Legrand

Bulletin municipal octobre2016

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Chaque rentrée scolaire remémore des souvenirs, bons ou mauvais. Et vous, prenez un instant pour vous souvenir... Pour moi, je me rappelle du petit

mal au ventre de veille de rentrée au moment d'aller me coucher, en me demandant si mes copains seraient toujours mes copains, si le nouveau maître ou la nouvelle maîtresse serait gentil(le) et me donnerait des bons points, si le jeu de la marelle aurait été repeint durant l'été... Cette année, avec la rentrée de mon fils en petite section de maternelle, tous ces souvenirs me sont revenus en mémoire encore plus forts qu'aux autres rentrées. Ces mêmes doutes, ces mêmes peurs, ces mêmes bonheurs étaient là avec une force différente, car je me demandais si mon fils éprouvait ces mêmes émotions.

Les rentrées scolaires sont synonymes de nouveauté. Quelle activité vais-je pratiquer cette année ? Quelles activités mes enfants vont vouloir expérimenter ? Est-ce que le planning va correspondre à celui de mon travail? Qui emmènera Timoté à la musique? Qui ira chercher Sélène au sport? Est-ce que j'aurai un peu de temps pour penser à moi? C'est ma vie mais je suis sûre que c'est un peu la vôtre aussi en cette période de rentrée scolaire!

Les rentrées scolaires sont synonymes aussi de bonnes résolutions, comme les débuts d'année civile, bonnes résolutions qui sont souvent malheureusement abandon-nées. Et si seulement celles de la rentrée scolaire pou-vaient être tenues...

Vous savez, les bonnes résolutions du type :

Je n'irai pas trop vite en voiture ou en moto sur le chemin de la Fargèze, de la Draille ou de Bellevue entre autres, car plutôt que de risquer un drame, il vaut mieux toujours partir 10 minutes plus tôt !

Je ne doublerai pas dans la traversée d'Atuech, car il y a des passages piétons et s'il y a des passages piétons, c'est qu'il y a... des piétons qui traversent !

Je marquerai bien le stop du chemin du bassin car s'il y a un stop c'est qu'il est sans doute nécessaire!

Je ne me garerai pas aux poubelles de ce même bassin, pour aller jouer sur le plateau multisports car je gêne la visibilité ; or la distance du parking au plateau multis-ports est pratiquement la même, et ainsi, je vais faire un peu de marche, donc de sport et cela ne me fera pas de mal…

J'irai moins vite sur la départementale aux abords de l'école, et en particulier au virage vers le point d'apport volontaire, au cas où un piéton sorte du parc de jeux, ou qu’un enfant cherche à rattraper un ballon ayant « sauté » le grillage, ou qu’une personne redémarre après avoir déposé ses poubelles.

Je ne me garerai plus devant le portail pour les secours devant la place de la Mairie, car ce n'est pas un endroit pour stationner vu que je suis sur la chaussée et que, en plus, il y a des places sur le parking... C'est bien le seul avantage d'avoir une classe en moins à l'école du village!

Si une poubelle est déjà pleine à déborder, je vais vérifier qu'il n'y en ait pas une de vide avant de mettre à côté et/ou de laisser le couvercle ouvert pour que les odeurs se dispersent mieux !!!

Avec toutes ces bonnes résolutions et toutes ces nou-veautés, je vous souhaite à tous de passer une bonne année scolaire et de ne pas laisser tomber les bonnes résolutions dans deux mois. C'est cela qui fait que nous pouvons tous bien vivre ensemble au village en se respectant l'un l'autre...

Bonne rentrée !

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La cloche a sonné... Les vacances sont terminées... Tout le monde retrouve son quotidien plus ou moins agréable...

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Rentrée scolaire : point sur les élèves, la cante, les TAPS...

erLe 1 septembre, ce sont 41 enfants qui ont fait leur rentrée dans l'école de Massillargues-Atuech, avec des départs annoncés seulement quel-ques jours avant la rentrée.

La répartition est finalement la sui-vante : 21 CE2-CM1 pour la classe de Mme Desplans, et 20 CM2 pour celle de Mr Bastide.

Comme tous les ans, Mme le maire et Mme Legrand, adjointe en charge de l'enfance, ont rendu visite aux deux classes, afin notamment de sou-haiter aux enfants une bonne année scolaire, de bien apprendre, mais aussi de prendre du plaisir dans une ambiance agréable. Elles ont rappelé que cela passe par le respect des règles de base de vie en société où ce mot de respect peut être décliné dans plusieurs domaines (des personnes, des lieux, du matériel…).

Malgré l'effectif en baisse, le conseil municipal a décidé pour les temps d'activité périscolaires (TAP) de maintenir 3 groupes, ce qui permet en effet une meilleure qualité de vie dans les groupes, que ce soit pour les enfants, ou pour les animatrices (Sophie Rouvière, Sonia Boivin, Véronique Marchand). Un des objectifs est de passer le moins de temps possible à faire de la discipline pour consacrer plus de temps aux acti-vités.

Le programme s'annonce varié puisque cette année, la mairie a

sollicité les associations à qui le foyer est prêté tout au long de l'année, pour qu'elles organisent 3 séances de découverte pour les enfants, toujours en présence de l'animatrice du groupe.

Les programmes pour l'année sont en cours d'élaboration par Mme Rou-vière, agent coordinatrice des TAP, qui doit jongler, en fonction des saisons et des disponibilités. Cela passera donc par de l'initiation au jardinage, à la musique, à la danse country, au dessin, à la céramique, des projets de kamishibaï avec la bibliothèque, sans compter les interventions régulières de la ludo-thèque (jeux) et de l'ACNA (athlé-tisme) et toutes les idées des anima-trices pour jouer, bouger et créer.

Comme les années précéden-tes, le principe de recyclage et réutilisation de matériaux est à l'honneur. Ne jetez donc pas vos bouteilles de lait, vieux livres ou illustrés abîmés sans vous être assuré à la mairie qu'ils ne pourraient pas être détournés et reprendre un « coup de jeune »…

La rentrée rime aussi avec reprise d'activité à la cantine scolaire, où les bonnes odeurs sont revenues après le calme de l'été.

L'objectif de toute l'équipe munici-pale, avec la déléguée à la cantine Sylvie Flesia, comme de Serge Prioux, cuisinier, et Danielle Fontu-gnes, aide-cuisinière, est toujours de préparer sur place des repas goûteux, cuisinés à partir de produits de sai-son, en majorité bio et/ou locaux.

Malheureusement, un des maraî-chers qui nous approvisionnait toute l'année depuis 4 ans, et fournissait également des fruits, a décidé de stop-per l'approvisionnement de la cantine pour des raisons d'organisation per-sonnelle, ce que nous regrettons for-tement.

Toute l'équipe recherche donc acti-vement de nouvelles solutions pour continuer à décliner ce temps de repas en temps de partage, de plaisir, de découverte de saveurs , d'apprentissage des qualités nutri-tionnelles…

Vous l'avez peut-être vu, votre enfant

vous l'a peut-être dit : pendant l'été le

totem a disparu de la cour d'école.

Quelqu'un l'a-t-il trouvé très beau et

emporté chez lui ? Est-il allé rejoindre

ses ancêtres ? Rien de tout cela. Les

employés s'étant rendu compte qu'il

était devenu instable ont regardé de

plus près et ont constaté des trous et

de petits tas de sciure. Il a donc

malheureusement fallu l'abattre

pour des raisons de sécurité. À ce

moment-là, l'ampleur des dégâts a

pu être constatée : il était entière-

ment colonisé par des fourmis, dites

charpentières, qui l'avaient rongé de

l'intérieur.

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La bibliothèque a rouvert ses portes. Comme les années précédentes, vous y serez accueilli par les

charmantes bénévoles, qui vous conseillerons, petit ou grand, si vous le souhaitez, sur votre prochaine lecture.

le jeudi de 16h00 à 18h00

le vendredi de 17h00 à 18h30

Les heures d'ouverture sont les suivantes (hors vacances scolaires):

Planning des associations au foyer :

Cevennic: lundi (sauf le dernier du mois) de 19h à 24h GS

Forme et Fitness 30: mardi de 19h à 21h GS

jeudi de 9h à 10h GS

Atelier dessin: mercredi (sauf le premier du mois) de 20h à 23h GS

MAVMA: 1er mercredi du mois de 20h30 à 22h A

Country: jeudi (sauf le 2ème du mois) de 18h30 à 22h GS

Lous Cigalous: jeudi de 14h à 18h30 A

Gym Plus: vendredi de 18h30 à 20h GS

Gardon Alésien: 2ème vendredi du mois, de 18h30 à 21h. A

GS = Grande Salle - A = Salle des Associations

WANTED

Recherche « fontaine-évier », qui ornait un angle de la place de Saint Roman et ayant disparu sans laisser de traces. Encore que, il avait été répertorié dans le cadre de l'inventaire du petit patrimoine rural…

Qui faut-il suspecter, un automobiliste cherchant à augmenter les places de stationnement, ou un amateur de pierres à réemployer ?

WANTED (bis)

Extension du cimetière

Jardins partagés d'Atuech

06 51 92 76 40

Recherche un ensemble table et bancs de pique-nique en bois, scellé au parking du temple. Aurait-il, comme celui du lac, été emporté par un amateur de grand air peu scrupuleux ?

Enfin…, après presque 2 ans d'attente, nous avons bon espoir que l'extension du cimetière, qui sera largement paysagé, puisse être financée partiellement par le Conseil Départemental. Les dossiers de demande de subventions sont en cours et devraient être rapidement instruits.

Les Jardins de la Roselière ont fini leurs récoltes, la saison se termine et va donner lieu à la préparation de la terre pour l'hiver. Une parcelle de 50 m2 est libre et peut être reprise de suite. Si vous êtes intéressés, merci de contacter Claude Geste au :

L'équipe des jardiniers

Fontaine Saint Roman

Agenda

Festival de la BD 5 et 6 novembre 2016

Concours de pêche 04 décembre 2016èmeRepas 3 âge 10 décembre 2016

Vœux 2017 janvier 2017

Covoiturage vers le Cratère

La nouvelle saison du Cratère

propose une très bonne program-

mation comme chaque année.

Pourquoi ne pas faire du covoitu-

rage pour partager au mieux de

belles soirées ? Cela pourrait se

faire à partir de cette adresse :

pour les habitants de Tornac et de

Massillargues-Atuech, avec comme

point de ralliement la cave

d'Atuech. N'hésitez pas à vous faire

connaitre, les abonnements sont

ouverts ! A très bientôt !

[email protected]


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La 2ème phase de travail sur le plan local d'urbanisme (PLU) s'est poursuivie, tout au long du printemps et

même de l'été.

Il s'agissait pour les élus et le bureau d'études de travailler sur le Plan d'Aménagement et de Développement Durable (PADD), qui est le projet urbain de la commune, décliné en plusieurs axes. Il reprend les objectifs ayant motivé la révision de notre vieux POS, avec plusieurs contraintes obligatoires, comme notamment d'économiser l'espace en densifiant les zones déjà urbanisées ou qui le seront.

Le rapport de cette phase a été présenté le 2 août aux Person-nes Publiques Associées (PPA). Pour mémoire, ce sont les services de l'État, les collectivités, les chambres consulaires, les syndicats (eau, SMAGE), etc…).

Il a été débattu lors du conseil municipal du 30 août.

Depuis cette date, toute nouvelle demande d'urbanisme qui ne respecterait pas les principes du PADD peut être « gelée » par la commune (il s'agit d'un sursis à statuer), dans l'attente de l'approbation de la totalité du PLU, avec en particulier le zonage et le règlement.

Les ateliers de travail reprendront pendant l'automne, avec un dernier atelier du groupe des « citoyens ».

Il a souvent été évoqué, lors de ces temps d'échange, le thème de la qualité de vie dans la commune, avec ses différentes composantes, en particulier paysagères, urbaines, architectu-rales, relationnelles.

Nous en sommes tous, élus, citoyens, grands

ou petits, responsables collectivement :

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en respectant les consignes de tri et la propreté des

points d'apports de déchets,

en enduisant les façades ou les murs de clôture (y

compris la face extérieure pour ces derniers…), comme le

règlement du POS l'exige,

en respectant les plantations, le milieu naturel (pas de

véhicules au bord du plan d'eau), le mobilier urbain

en évitant la pollution visuelle par de multiples pan-

neaux, dont la plupart sont interdits (par exemple pan-

neaux de publicité sur les clôtures).

L'avez-vous remarqué ? Consciente de cette « pollution »,

et du principe qu'il n'est, pour les automobilistes, pas

possible de lire et d'analyser trop d'informations en même

temps, la commune a commencé à faire le « ménage » en

privilégiant les panneaux directionnels des hameaux.

Barrière du lac : après une longue

période de maturation du projet, en

concertation avec les pêcheurs du

Gardon Alésien, une barrière a été

posée au bord du lac pour empêcher la

circulation des véhicules. Elle devait

sans doute être gênante pour cer-

tains, puisqu'elle a été renversée dès

le lendemain de sa pose… Les

employés municipaux l'ont remise en

place en renforçant son implantation.

Ces travaux ont été effectués par nos

deux employés du service technique,

en réutilisant le plus possibles des

matériaux récupérés : si vous regar-

dez bien, vous reconnaîtrez sans

doute les poteaux de la barrière qui se

trouvait jadis devant la mairie.

Chemin piéton sur la Draille : l'accord

de subvention au titre des "amendes

de police" nous a été notifié ; nous

allons donc lancer la consultation des

entreprises pour la partie des travaux

qui ne seront pas effectués en régie

par nos employés.

Place de Massillargues : la réfection du

reliquat des chaussées, prévues au

titre de cette année, va être faite d'ici

quelques jours ; cela concerne la place

de Massillargues et le début du chemin

de Bel Air, le chemin de la Savonnerie,

ainsi que, au titre des réparations des

intempéries de 2014, le chemin de

l'Âne blanc (de la Draille jusqu'au gué)

et une partie du chemin du Mas

Piqueta. Quand vous lirez ces quel-

ques lignes, ces travaux seront

d'ailleurs peut-être déjà finis.

Fibre optique : contrairement à ce qui

avait été écrit précédemment, les

travaux n'ont pas commencé en juin,

Orange ayant ajouté un délai supplé-

mentaire à son calendrier. D'après les

informations que nous possédons,

cela devrait être fait dans un délai de

six mois environ, au maximum.


Pour faire face aux dégâts causés par les sangliers sur

la commune, suite à l'investissement et la ténacité de la commune et de la société de chasse, après des longues négociations avec toutes les parties concernées (agricul-teurs, sociétés et fédération de chasses, préfecture, mairie, propriétaires fonciers, ...), plusieurs décisions ont été prises en 2013 : classement en nuisible du sanglier sur la commune, ce qui permet de le tirer hors de la saison de chasse, lorsque les céréales mûrissantes deviennent très attrayantes, mise en place d'un dispositif de piégeage (cage).

Toutes ces dispositions, si elles ont présenté une relative efficacité au début, ne produisent quasiment plus aucun résultat aujourd'hui, à cause de l'intelligence de l'animal, qui s'adapte aux conditions qui lui sont imposées. Par contre, cela génère des contraintes et beaucoup de travail pour les chasseurs, lieutenants de louveterie et tireurs à l'affût. D'un autre côté, la protection des cultures impose aussi également beaucoup de travail aux agriculteurs, en particulier pour la pose et l'entretien de clôtures électri-ques.

Outre ces aspects plus ou moins quantifiables, les dégâts provoqués ou potentiels causent beaucoup de stress aux agriculteurs, qui, à la période la plus critique (levée des semis, maturation des cultures, …), se demandent chaque jour quels dégâts ils vont constater, angoissent sur les pertes de revenus, et se désolent du travail effectué

et réduit à néant. En première ligne face aux doléances des agriculteurs, la société de chasse subit elle-aussi du stress, même si ce n'est pas du même ordre que celui des agriculteurs : que faire et comment faire pour remédier au problème ? Enfin, même si cela ne s'est pas produit sur la commune, au moins dans un passé récent, il ne faut pas oublier les nombreux accidents de la route, parfois mortels, provoqués par les sangliers.

Ce problème n'est pas purement local : si les abattages annuels en France représentent environ 500 000 san-gliers, on estime aujourd'hui leurs populations à plus de 2 millions d'individus, en constante augmentation (de 25 à 200 % par an selon les régions).

Malheureusement, aucune des actions menées sur le territoire national ne donne de résultats probants pour réduire et contenir durablement leur population et, partant de là, diminuer les dégâts causés, en particulier aux cultures.

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La pluie tombée le 14 septembre

a entraîné, comme souvent, le débordement de quelques fossés, avec son lot de demandes en mairie, afin que les fossés soient mieux nettoyés et les buses dégagées.

Voici donc un petit rappel des responsabilités de chacun.

L'entretien des fossés incombe à la collectivité en charge de l'entretien de la voie, la commune pour les voies communales, le département pour les routes départementales.

L'entretien des buses ou ponceaux permettant l'accès à une parcelle, que celle-ci soit bâtie ou pas, incombe à son propriétaire. Cette responsabilité repose sur le prin-cipe simple, que sans accès, pas de ponceau, donc pas d'entretien spécifique.

Le seul cas où des ponceaux doivent être entretenus par une collectivité concerne le cas du passage en souterrain sous la voie, communale ou départementale, des eaux pluviales.

Les propriétaires de parcelles, qui croient bien faire en disposant des grillages à l'entrée des ponceaux, sont en fait dans l'erreur : ces grillages retiennent les végétaux charriés par les eaux pluviales, ce qui provoque un bouchon et entraîne rapidement un déborde-ment du fossé.


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(1) : dans le cadre des limites ci-dessus

(2) : sauf si vent supérieur à 20km/h

(3) : dans le cadre de la dérogation expliquée ci-dessus

* : dates ajustées annuellement par arrêté préfectoral.

L'article paru dans le précédent numéro, avec le tableau, repris tel quel de l'arrêté préfectoral, a suscité de nombreuses questions parmi vous.

Pour essayer d'être plus clair, voici une nouvelle version des explications et du tableau.

Sous certaines conditions, le brûlage des végétaux sur pied (écobuage, par exemple) est autorisé, avec ou sans déclara-tion préalable (voir tableau), de mi-septembre à mi-juin (date arrêtée annuellement par arrêté préfectoral). Il est interdit dans les cas suivants : à l'intérieur et jusqu'à une distance de 200 mètres des bois, forêts, landes, maquis, garrigues, plantations et reboisement, ainsi que par vent supérieur à 20 km/h.

Du 1er février

au 14 juin (1)

Du 15 juin au

15 septembre (1)

Du 16 septembre

au 31 janvier (1)

végétaux sur pied (1) avec déclaration (2) INTERDIT sans déclaration (2)

Végétaux coupés

si obligation de

débroussaillement (3)INTERDIT sans déclaration (2)avec déclaration (2)

Végétaux coupés si

pas d’obligation de

débroussaillement

Herbes de tonte et

feuilles mortes

INTERDIT

INTERDIT

Le brûlage des végétaux coupés,

appelés aussi déchets verts, est

interdit toute l'année.

Les déchetteries d'Anduze et

Ribaute acceptent les déchets

verts.

Le brûlage des produits des tontes

de pelouse et des feuilles mortes

demeure interdit, y compris dans

les incinérateurs.

Une dérogation peut être accordée aux propriétaires ou exploitants de terrains soumis à une obligation réglementaire de débroussaillement, quand il n'y a pas à proximité de solution d'élimination de ces déchets verts. La dérogation concerne alors uniquement les résidus ligneux de taille, d'élagage et de débroussaillage.

Il n'y a actuellement sur la commune

aucun terrain et donc aucun propriétaire

soumis à l'obligation de débroussaille-

ment.

Aucune des deux conditions obligatoires n'étant remplie, aucune dérogation ne pourra donc être accordée.

Cette interdiction est motivée essentiel-lement par les pollutions liées à des émanations de gaz toxiques, causées par des combustions incomplètes.

C'est l'automne, les feuilles tombent, celles des impôts aussi. Pour celles et

ceux qui sont concernés, vous avez dû recevoir celle des taxes foncières.

Comme moi, vous avez sans doute remarqué une augmentation globale sur la

partie dite foncier bâti avec un taux en forte hausse pour la part de

l'intercommunalité, l'agglo pour être précis, mais en nette diminution pour

la part communale.

En fait, l'augmentation de la part agglo englobe deux phénomènes : d'une

part une « vraie » augmentation et d'autre part le transfert d'une portion de

la part communale, d'où notre diminution. Ce transfert est obligatoire : en

effet, les taux de chaque taxe doivent obligatoirement être harmonisés au

sein d'une même agglomération (ou communauté de communes).

Le transfert de cette recette de la commune à l'agglo doit être pris dans le

calcul des flux financiers entre les deux collectivités, et ne devrait pas avoir

d'incidence sur nos finances ; on peut toujours rêver !


Lors de la séance plénière du 24

juin dernier, les élus du Conseil Régional ont adopté le nom Occitanie pour la nouvelle grande région Languedoc Roussillon Midi Pyrénées. 85 élus ont voté pour, 60 contre, 9 se sont abstenus et 1 n'a pas participé au vote.

La mention Pyrénées-Méditerranée fera office de sous-titre de manière systématique dans le cadre de la communication institutionnelle. Elle pourra, par ailleurs, être traduite en occitan ou en catalan.

La majorité des élus a donc suivi la résolution adressée par la prési-dente Carole Delga, dans laquelle elle demandait aux conseillers régionaux de tenir compte des résultats de la consultation citoyenne. En effet, levendredi 10 juin 2016, le dépouillement des votes des quelque

200 000 , ayant participé à la consultation, a montré qu'ils avaient largement plébiscité le nom Occi-tanie, avec près de 45% des suffra-ges. En tant que conseillère régio-nale, votre Maire a décidé de suivre

le choix émanant de la consultation citoyenne.

Malgré le choix des citoyens et le vote des élus régionaux, les catalans désapprouvent ce nom, craignant que leur identité ne tombe dans l'oubli. C'est pourquoi des signes forts ont été annoncés par les élus, comme la création d'un office public de langue catalane.

Vivrons-nous en Occitanie ? Le décret a été publié jeudi 29 sep-tembre 2016 au Journal Officiel. Donc, oui, nous vivrons désormais en Occitanie.

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Spectacle Cratère Surface au lac d'Atuech

C'est devenu une tradition : avec le retour des beaux

jours, le Cratère fait surface, et même, depuis quelques

années, se délocalise.

Pour la 18éme édition, le lac d'Atuech a particulièrement

retenu l'attention, et ce malgré les difficultés

d'organisation, du spectacle présenté par le cirque

MétamOrph'O.

En cette fin du mois du juin, nous avons donc vu des

artistes mi-poissons, mi-humains s'emparer du lac, et

préparer l'unique représentation publique, prévue le jeudi

30 juin, à la tombée de la nuit.

Avec MétamOrph'O, le cirque change d'univers, passant

de la terre ferme à l'instabilité aquatique. Les artistes

réinventent leurs agrès au fil de l'eau et s'offrent des

figures impensables. Une fête joyeuse et étincelante. Un

moment circassien « hors du temps » rempli de surprises,

avec des artistes qui nous transmettent leur joie de vivre,

sur la musique d'un petit orchestre, entre musette et

manouche, entre la Louisiane et les Balkans.

Le succès fût au rendez-vous, et le spectacle a été très

apprécié, malgré les moustiques, eux aussi de la fête…

très nombreux !

bulletin massillargues octobre 2016

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