la structure anthropologique

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La Structure anthropologique. Selon Thérèse et Jean de la Croix. Europe, Asie, Afrique. La terre au centre du cosmos. Révolution copernicienne. Les cartes du corps. La terre à mesure de l’homme. - PowerPoint PPT Presentation

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La Structure anthropologique

Selon Thérèse et Jean de la Croix

Europe, Asie, Afrique

La terre au centre du cosmos

Révolution copernicienne

Les cartes du corps

La terre à mesure de l’homme

En Espagne, les maîtres du recueillement : Alonso de Madrid, Bernardino de Laredo, Francesco de Osuna

L’âme comme un château

• J'ai considéré notre âme comme un château, fait d'un seul diamant, ou d'un cristal très pur, dans lequel il y a, de même que dans le ciel, diverses demeures.

• Ce château , ai je dit , renferme plusieurs demeures les unes sont en haut, les autres en bas; d'autres sur les côtés; enfin, au centre, au milieu de toutes, se trouve la principale, où se passent les choses les plus secrètes entre Dieu et l'âme. Demeures 1,1

La structure de l’âme suivant Jean de la Croix

De lui-même, l’homme ne peut pas s’élever des choses de la terre vers celles du ciel

Je sortis sans être vu

Par ce chemin il n’y a pas de chemin

La lumière de notre entendement ne peut connaître que par voie naturelle, c'est-à-dire ce qu'elle perçoit par les

sens, rien de plus .

Pour obtenir cette connaissance, il faut ... les images et les formes de

l'objet, soit en elle même, soit en leur semblable

Si vous parlez à quelqu'un de choses qu'il ne connaît en aucune manière,

n'ayant jamais rien vu qui leur ressemble tout ce que vous lui en dites ne lui en

donne pas plus de connaissance que si vous ne disiez rien.

La foi nous dit des choses que nous n'avons jamais vues ni connues,

soit en elles mêmes, soit en leurs semblables,

puisqu'elles n'en ont point.

des choses dont nous n'avons aucun rayon de connaissance naturelle

et qui sont sans proportion avec aucun de nos sens,

mais qui nous sont dites, nous les savons par ouïe, en croyant ce qui

nous est enseigné

La foi n'est pas une science qui entre en nous par les sens

c'est un assentiment de l'âme à ce qui entre en nous par l'ouïe.

La foi qui dit, c’est la Parole de Dieu

Car je sais bien moi, la fontaine

Le donné de la foi, res creditiva

La foi qui accueille, l’attitude croyante

La foi théologale, qui donne de connaître Dieu par Dieu même

L’anatomie de l’âme

Les faubourgs des sens

La Judée est la partie de l’âme ; et ses faubourgs, cesont les sens sensitifs intérieurs, comme la fantaisie ,

l’imagination, en lesquels prennent place les formes des choses

lesquelles entrent dans ces faubourgs des sens intérieurs par les portes des sens extérieurs

que sont entendre, voir, sentir, goûter, toucher ; si bien que toutes les puissances et les sens de cette partie

sensitive, nous pouvons les appeler faubourgs,c'est-à-dire quartiers situés hors de la cité.

La cité des puissancesCar ce qui s’appelle cité, en l’âme, c’est là ce

qu’il y a en elle de plus intérieur, la partie raisonnable,

celle qui a capacité de communiquer avec Dieu

et dont les opérations sont contraires à celles de la sensualité.

Toutefois, il y a communication naturelle entre les habitants de ces faubourgs et ceux de la cité,

de telle sorte que ce qui s’opère en cette partie se sentd’ordinaire en l’autre plus intérieure,

et par conséquent la distrait etl’inquiète dans l’opération spirituelle qu’elle tient en Dieu

La structure de l’âme suivant Jean de la Croix

L’imagination et ces papillons, Thérèse

• Comme l'entendement demeure totalement étranger à ce qu'elles (l’imagination et la mémoire) lui représentent, elles ne s'arrêtent à rien, et passent incessamment d'un objet à l'autre, semblables à ces petits papillons de nuit importuns et inquiets, qui ne font qu'aller et venir sans jamais se fixer.

• Cette comparaison peint de la manière la plus fidèle ce qui se passe alors; car, si ces petits insectes n'ont aucune puissance de nuire, ils ne laissent pas d'être importuns. A cela je ne connais point de remède; si Dieu m'en avait enseigné, je m'en servirais bien volontiers, tant j'ai à souffrir sous ce rapport

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