wenceslaus hollar, hans holbein - le triomphe de la mort

Upload: ocorponegro

Post on 13-Oct-2015

41 views

Category:

Documents


1 download

TRANSCRIPT

  • lVh1\

    ^^

    V

    -

    *

  • |1C VfflTWVllfnUMMftUtMKf

    0'

    > '/. / C//rr.//

    r-

  • a I B RAFLYOF THL

    UN IVERSITYor ILLINOIS

    * 246D19Ko

    Rare Book & SpenCollerions Libraf

  • ,... ' .-.

  • HANS HOLBEIN TAINTEE.

  • LE TRIOMPHED E

    LA MORT.

    GRAVE D'APRES LES DESSEINS

    D

    HOLBEIN,

    PAR

    fV. HOLLAR.

  • Digitized by the Internet Archive

    in 2009 witli funding fromUniversity of Illinois Urbana-Champaign

    http://www.archive.org/details/letriomphedelamoOOholl

  • ^^

    EXPLICATIONDES

    SUJETSD U

    TRIOMPHED E

    LA MORT,

    D E

    JEAN HOLBEIN.

    4

  • La Frontispiece.

    I.

    T L eft vraifemblable que les deux figu-res de Gentilhomme & Dame dans cette

    pice reprefentent les perfonnes pour qui

    Holbein peignit la Danfe des Morts, &que le Peintre a voulu faire reflbuvenir

    de leur mortalit & de la vanit des Hon-neurs mondaines. Il leur a donn un Car.touche tout rogn de vieillefle qui renfer-

    me une Tte de Mort, une Horloge de

    Sable fert de Cimier au Cafque, & deuxbras de morts qui tiennent leve une grofle

    pierre furmontent le tout,

    A3 Le

  • Le Pche.II.

    Holbein a commenc ces Scnes de lavie par celle qui eut tant d'influence fur

    toutes les autres. La Mre du genre hu-main, tient dans fa main droite, la pom-

    me fatale qu'elle vient de recevoir du

    ferpent tte de jeune homme, & Adam encueille en mme tems une autre, excit parles follicitations de la trop crdule Eve,

    qui lui montre celle qu'elle a reue.

    La Punition.III.

    Nos premiers Parens chafles par l'Ange,

    s'enfuyent du Paradis terreftre prcds

    de la Mort, qui joue de la guitare, & d-montre en danfant la joie qu'elle reffent de

    fon triomphe.La

  • La Condamnation au Travail.IV.

    Holbein, pour marquer en mme tems legenre de travail qui eft le partage de l'hom-

    me, & celui qui eft le partage de la femme,nous reprfente Adam occup dracinerun arbre, avec la Mort qui l'aide de toutes

    fes forces. Se un peu plus loin, Eve allait-

    ant fon enfant & tenant une quenouille.

    Le Pape COURONNANT UN Empereur.V. /

    Un Cardinal & trois Evques affiftent cette crmonie ; la Mort s'y trouve auffi

    fous la figure de deux fquelettes, dont l'un

    eft revtu des habits de Cardinal; l'autre

    A 4 embrafle

  • embraffe le St. Pre de la main droite &s'appuie de la gauche fur une bquille.

    Le Cardinal.

    VI.

    Un meffager vient de lui remettre, enfaifant une gnuflexion, la Bulle qui le

    fait Cardinal. La Mort faifit ce moment

    pour parotre, & femble vouloir lui fairetourner fon Chapeau fur la tte. Le mef-

    fager tient de la main gauche une bote de

    ferblanc, pendue une courroie, & danslaquelle il avoit fans doute apport la

    Bulle.

    L'Elec-

  • L'Electeur.VII.

    Ce Prince fortant de fon palais avec

    fes courtifans, eft abord par une pauvre

    femme qui implore fon fecours pour elle

    & pour l'enfant quelle tient par la main ;mais infenfible aux befoins de la veuve

    & de l'orphelin, il refufe de l'couter,& fe tourne d'un air ddaigneux duct de fes courtifans. La Mort parot

    dans cet inftant, et fon air fvre annonce

    qu'elle va le faire repentir de fa duret.

    L'EVEQUE.VIII.

    D'un air de tranquillit & de rfigna-tion ce bon Pafteur fuit la Mort, qui

    l'emmne

  • l'emmne en riant & en danfant, tandis quequelques bergers, oubliant leur troupeau,

    errent & l dans la campagne, dfef-prs de la perte de leur Chef. Le fo-

    leil prt fe coucher, va laiffer dans les

    tnbres ce malheureux troupeau, qui n'a-

    yant plus de condufteur, fera bientt la

    proie du loup & des autres btes froces.

    Le Frre Quteur.IX.

    Prt rentrer dans fon couvent avec fa

    tire-lire & fa beface, la Mort l'arrte la porte, & toute aufli fourde fes cris,qu'infenfible l'effroi qu'elle lui caufe,

    elle le tire de toutes fes forces par fon

    capuchon.

  • capuchon, & rend impuiffans les effortsdu bon frre pour fe drober de fe mains.

    L'Abbe.X.

    La Mort non contente d'avoir arrach

    ce gros Prlat fa CrofTe, qu'elle porte en

    triomphe fur fon paule. Se fa Mitre, dont

    elle s'eft aiFuble, le tire encore impitoya-

    blement aprs elle; il lve d'une main fon

    brviaire, & fait de l'autre de vains effortspour la repouffer.

    L'Abesse.,

    XI.

    La Mort ridiculement coifee de di-

    verfes plumes flottantes, et vtue d'une

    efpce

  • cfpce de mante, emmne hors de foncouvent une Abbefle qu'elle tire de toutes

    fes forces par fon fcapulaire. La rv-

    rendiflime Mre quitte regret la vie &les honneurs dont elle jouit, & exprimepar l'altration de fes traits et par fes cris,

    l'effroi que la Mort a jet dans fon ame.

    On voit derrire elle, fous la port de l'Ab-baye, une jeune Nonne vivement agite

    par la crainte et par la douleur.

    Le Prdicateur.XII.

    Tandis qu'il prche a fon auditoire, la

    Mort qui eft derrire lui, une tole au cou,

    lve par-deflus fa tte un os de mort, &en

  • en le montrant l'aflemble lui fait fans

    doute le plus loquent de tous les fermons.

    Le Mdecin.XIII.

    La Mort lui amne un vieillard maladedont elle lui prfente l'urine dans une

    phiole, & parot lui dire d'un air moqueur ;crois-tu pouvoir fauver un homme que jetiens dj en ma puiflance ?

    L'Empereur.XIV.

    Affis fur fon Trne & tenant dans famain le glaive de l'Empire, il coute

    attentivement un avocat qui plaide d'un

    ton

  • ton doucereux contre un malheureux

    payfan, tandis que celui-ci attend en

    tremblant, & dans la pofture la plus fup-pliante, l'arrt qui doit dcider de fon

    fort. La Mort dveloppe en ce moment

    toute fa puiffance; elle occupe firement

    le fond du Trne, & appuie nonchalem-ment fon bras fur la couronne du Monarque.

    L'air irrit avec lequel le Chef de l'Empire

    regarde l'avocat & fes deux cliens qu'onvoit, la tte dcouverte, ct de leur

    dfenfeur, eft d'un heureux prfage pour

    le pauvre opprim. On voit au bas duTrne le fceptre & le globe de l'Empirepofs fur un couffin. La Mort a plac

    fon fable fatal ct de ces attributs d'une

    grandeur qu'elle peut faire vanouir fon

    gr.L'Im-

  • L'Impratrice.

    XV.

    Au milieu d'une marche pompeufe, dansla cour d'un vafte palais, la Mort qui pa-

    rot faire ici l'office d'Ecuyer, amne cettePrincefle jufqu'au bord d'une foffe fepul-crale, pour lui faire voir le terme auquel

    toutes fes grandeurs viendront aboutir.

    La Princesse.

    XVI.

    La Mort revtue des habits de la folie,

    entraine avec violence cette jeune Prin-cefle, au moment qu'elle fort de fon Palais

    pour jour du plaifir de la promenade ;la terreur peinte fur le vifage elle fait

    retentir

  • retentir les airs de fes cris douloureux ;

    la dame d'honneur qui l'accompagne,agite du plus violent dfefpoir, im-

    plore le fecours du ciel, tandis que le

    bouffon fait de vains efforts pour la dfen-

    dre contre la Mort, qui tient fon fable

    lev pour faire voir que l'heure fatale eft

    arrive.

    La Comtesse.XVII.

    Elle n'eft occupe que du foin de fa

    parure, & reoit avec empreffement, desmains d'une de fes femmes, un habillement

    trs-riche avec une chane d'or. La Mort

    vient troubler fa toilette, & lui a djpaflfi autour du cou, fans qu'elle s'en foit

    encore

  • encore apperue, un collier fait de petits

    os de mort.

    Les nouveaux Maries.

    XVIII.

    Dans les premiers tranfports d'une douce

    union, ces deux tendres poux paroiflent

    tellement occups l'un de l'autre, ils font fi

    enivrs de leur bonlieur mutuel, qu'ils ne

    voient ni n'entendent la Mort qui mar-

    che devant eux, en frappant vigoureufe-

    ment fur un petit tambour, & qui va leurdonner bientt un cruel trouble-fte.

    B La

  • La Chanoinesse.XIX.

    L'on voit dans cette jeune et belle re-clufe, un mlange frappant de galanterie &de dvotion. Agenouille devant un petit

    autel, fon rofaire la main, elle coute

    amoureufemtnt les chanfons qu'un jeunehomme, aflis fur fon lit, lui adreffe enles accompagnant de fon luth. La Mort

    vient teindre les cierges allums fur l'au-

    tel. Se changer en amertume les douceurs

    de ce tte--tte.

    Le Compte.

    XX.

    La Mort ajoute ici l'exercice defon emploi accoutum celui de vengeur

    de

  • de vaflaux opprims; elle jette avec vi-

    olence la tte de ce Seigneur fes ar-

    moiries, l'objet chri de fon orgueil

    fous le poids defquelles elle va le faire p-

    rir. On le voit fouler fes pieds un flaupour dfigner fon inhumanit envers les

    laboureurs, cette clafTe de la focit fi n-

    ceflaire & fi refpedable; on peut encoreremarquer terre, les dbris du cafque

    dont ces armoiries toient furmontes avec

    d'autres ornemens qui les J.ecoroicnt.

    Le Chevalier.XXI.

    Ce preux Chevalier forte vainqueurde tant de combats & de tant de tournois,vient enfin de trouver fon matre. La

    B 2 Mort

  • Mort la perc de part en part d'un

    furieux coup de lance, & fe rit des vainsefforts qu'il met en ufage pour fe dfendre

    contre elle.

    L'Avocat.

    XXII.

    L'exemple du Juge femble autoriferl'Avocat fe faire payer chrement

    fes prvarications, & cela mme en pr-fence de fon pauvre client qui fe tient dans

    un certain loignement, & dont l'tat mi-frable feroit piti une ame moins dure

    que celle de l'homme de loi. Mais la

    Mort vengera l'opprim ; elle verfe abon-

    damment dans la main de l'Avocat de l'ar-gent

  • gent dont il ne profitera gure, car elle lui

    montre en mme tems d'un air moquer fonfable coul.

    Le Marchand.

    XXIII.

    Echapp aux prils de la mer, arrivheureufement au port, ce riche Marchandfe croit en pleine fcurit ; il fe trompe.

    Occup a compter fon argent, examinerfes marchandifes & a traiter de leur vente,un mauvais chaland, la Morte elle-mme

    arrive, & ce n'eft que de fa perfonnequelle veut faire emplette.

    Le

  • Le Colporteur.

    XXIV.

    Courb fous le poids de fa charge, ilavance grands pas vers le lieu voifin,

    & trouve du foulagement en rvant augain qu'il pourroit y faire ; mais la Mort

    *ous la figure de deux fquelettes, eft venue

    fubitement mettre fin fes efprances.

    L'un des fquelettes le tire avec force par le

    bras, tandis que l'autre joue derrire lui

    de la trompette marine. C'eft en vaine

    que le pauAre Colporteur montre des

    doigts l'endroit o fes affaires l'appellent

    cette fcheufe compagnie parot vouloir

    lui faire prendre une autre route.

    Le

  • Le Voiturier.XXV.

    On voit ici la Mort exercer fes bi-zarres fureurs fur un char de vin que

    condit un pauvre voiturier. Sans doute

    que lui-mme va dvenir fon tour le

    jouet de fes caprices, & que la mme caufequi vient d'occafioner fon dfefpoir ne

    tardera pas le terminer.

    L'Avare.

    X XVI.

    Le caraftre de l'Avare eft rendu

    dans ce deffein avec beaucoup d'ner-

    gie. Renferm dans un caveau qui nereoit du jour que par une lucarne garnie

    d'une

  • d'une double grille d'pais barreux de

    fer, il n'eft occup que de fon cher tr-

    for, dont la Mort lui enlve fes yeux

    un portion trs-confidrable. Cette perte

    excite en lui tous les fymptomes du

    plus violent dfefpoir, & l'on voit bien quefon or lui tient cent fois plus cur que

    la vie.

    Les Joueurs.

    XXVlt.

    Voici une autre compagnie bien digne

    de la prcdente ; auffi le fort de ceux

    qui la compofent eft-il peu prs le mme;il ne diffre qu'en ce que le Diable & laMortfe difputent qui des deux emportera le

    joueur qui a perdu. C'eft un combat,s'il

  • s'il eft permis de le dire, auffi effroyable

    que comique, d'autant plus que le fcond

    joueur, s'intreffant au fort du premier,

    addreffe de ferventes prires au Diable

    en fa faveur ; mais le troifieme fait encore

    mieux, & profite de ce moment de trouble

    & d'effroi, pour ramaffer l'argent qui fetrouve fur la table.

    Le Vieillard.

    XXVIII.

    L'on voit ici la Mort qui conduit fur

    le bord de fa foffe, en jouant du pfal-terion, un Vieillard courb fous le poids

    des annes, & parvenu au dernier degrde la caducit. Le Vieillard fe laiffe era-

    C mener

  • mener avec ce calme & cette tranquillitqui font l'apanage de la fageffe & les fruitsd'une bonne confcience.

    La Vieille.

    XXIX.

    Le v:f?.ge rechign de cette bonne

    Vieille n'annonce pas la mme rfignationque dans le fujet prcdent. Tout oc-

    cupe marmotter fon rofaire, elle ne

    prte aucune attention au fon du timpa-

    non dont joue l'une de ces condudricei.L'autre fquelette impatient de la lenteur

    que la bonne Vieille met dans fa marche,

    emploie les menaces &c les coups pour la

    faire avancer.

    L'enfant.

  • L'enfant.

    XXX.

    Si fous le toit de la pauvret il y a

    quelque confolation, c'eft d'avoir des en-

    fans dont on peut efprer d'tre un jourfoulage. C'eft le cas de cette pauvre

    veuve, mais la Mort n'eft point de cet

    avis, & vient de lui enlever le plus petitfans fe laifler flchir, ni par fes prires ni

    par fes lamentations.

  • Wenceslaus HOLLAR

  • (u//C-C- -T- < f. ''

    rt -*i_i2

    ^- /^^

  • m:ortax ivm nob ELtrAiS*^

  • ^ c
  • do la^nOj ex cru jpraceperaan. tibi inf cotnjeac

  • 3 ^ ' ~^~^^ -i^-r, /^>'^^--^'
  • EmiXvt eixia JJoinitLix.?' JDetL*' t^p pa.rajdA'>yo voLoptat-tt, ut ojicricetur h;rt-a>iix, de qua.

  • ^A ^ ^- C-t-s . ~i^c} r.^^j2_ /?A
  • cunct JeW vit tiU9b doiie^. x^ueHaas. -o^i j.

  • VX^JL. /^C^p^^yJi^ 'C.'^ cr-y-^>-y^c^-^ CU,'

    -^>^P?kZl-i^^ /^l ^^^_e^y- ,3^ ^^ ,

    6 c^>. ,^c"..^7.; ?-Z^ ch^_^

    -C-

    '^

    I

  • Horwfair Jjwopticw n^gnu. Une. *a '

  • ^^ tJ2- y ~i~a^c

    ^^^ qg ^--^ . a^ 1, ^ T_.--

    y ^-^

  • Vd5 qui m&i&CA^s Impiuza pro munori'fcw

  • ^ fZ^c-2-^-^-

    ' ^z. 7^i < /

    - i. ._ y >- c C^c^ i.-^^' -._- ^

  • Pnnceprf indttetur tni-ore. Et quifffcCi

  • o/.y

    Ai-- /3 -z^/'^cy^-y^

    C--

  • tut OVUDS ^gre^vs. JVa*. 3.61 J&r i4-.

  • 9 //?^^c T^^ w'^ e^'~^ i^^ ^ ^y^-'^,^

    ^,Ca^ ^^^ y

    c^^tl^

    c-fy^-c- e- i-1L.i_ c^ Z- cy^i-i-

    Cr-0~

  • /'^ OO^T^l:^-

    -^ X ^7 -^ " .^

    ,

    , ^j^.^^j- -^o^ '^2- -z^ >^^ ^

    Tr X. T- ^^^ *

  • plinaitL, ir .in rtraliiiijA.-ne ftwltitiaf ta;

  • // -- .

    ^ ^^-.2 _^-

  • /2 5^xi -^

  • /s /,Ct.-^'

    ^J^cS^^- /-....j^

    J='Z e y'-^- ^:ia~i^ ry .^

    f> C c^

    .i3-

  • 3\.edice, ouura-te iplitm.

    BU t^U^

  • I/^^c^'22.-o-"trtco-.^ o^ t'vxO- 3'0-v.X>V^

    i-..,-..^^

  • rJDifpotJe cionuti iu* , -moriiiri enim in,

  • ^'' ^ X ^-"v^ '*-*^^'7'-'^^ CT.
  • Gradienics in fuperti; poteR J3E.YJ:: Itiimilizre Vah-
  • "i^G^bC hj-t^^t. ^-o-lci-i:t? Xc^t^ ^; .^

  • ^
  • ZDijcwaititiJboais diexs'ixo.v. &

    .

  • / /

    i^^^-^-^e-e /-^ .o^ ^ c^.x^ e ..^^^G y t^^-^s-^ o-iJi_j TTCi.-.-^

    /

    1

  • fis \ te Coi^TAoT^ fepaai3t,aeA i

  • /P

    fe 2^X0. i^co^a^r I^TL!,^^

    c

    _) '-'*-vO^ Ce (B--/'

    i'

    ^i^J* "^T^ ^P^.o>-P p-fe.-T-epjo

    -/ T^i. ^u^a^^^-^>^^:h^ I

  • F,^ vi* tjiT-r vttlehxr boimni iit^: nom&inu- 4uleni cm deductii Kominc .
  • j-r^ji.-ep^-^-o^ -

    Ct^y-iy-^^'J i,

  • irtrwfa.onmia, ncrw cuwx eo aelc&txdei

  • 2/ .^^ ;^^^^7>'v-/'C d*>i.o^a^ a^-^y^'i- T^^^-Cir

    -

  • 2/

    : GfTias armtr^ cixocUi altiton. fuma, fc '

  • 52

    - y

    i>

    \ CA^n \. (>-_/

  • j: ^

  • \-^crCt^ 2-^'^-^^eX.

    -^^-e^eZL^...^-,'^^

    '

  • is

    ixi Txgffegat idtiEfarro* litigua^inei

  • 7/^c.

    C^j^ y-r2?;>^V-A.^x^

    /^y.c.^J jiCr-j'->---Q.^ ^^ja^Z

  • Vcmtc atlme omncjf qui Ul^oratio, 't

  • -VW-oL /vc? O^C j-\.Oi_lJK. "U/^tX^ n^oir oio.Lc^'yy

  • Coinn iti cm-ru. (uo

    ,

  • Scjg^ u^^LL tTvc^-V i-v^ a^lcL fe

    ^:('

  • taatn-' cjirie paraXti cuitxs ertitd:^

  • 2 7 "(T-"^"'

    .,,^ l*- 1/ i^--^^ '^^-^-^- '^'"'^'f v':^

    =fc^ o-^^~ ^>-^^ c:i^c..r ^

    '^.U-

    l> r ^IW"^ ,Att:f>T

  • luDretur, aninia' aicteTB. fit-

  • {^Zi (^^-7 r?^^a^^

  • rut- &>ioLmn vtvAii SzperoA i^ncivrum, 24 /t^

  • ^/_^ _ .

    'rr

    z

  • JSeUor taiSiors q|tjaa."V53a.. a>U -30.

  • 2c>- '-^^_rrX2-t^

    i2c-*i. r/t_fi^ --1,0-0^ C-///

  • Hotn tu-tu de nmlict4 brcrui vui