Le magazine des locataires de Logisens No19 - Juin 2017LE PETIT

JOURNALSortez de chez vous

l'esprit tranquille !

Que vous vous absentiez un, deux, ou plusieurs jours de votre logement, voici quelques conseils utiles vous permettant de partir et de revenir en toute sérénité.

 Fermez le ou les robinets d'arrivée d'eau et de gaz et veillez à éteindre la chaudière et/ou le système de production d'eau chaude.

Veillez à bien verrouiller toutes les portes et les fenêtres.

 Pensez à débrancher l'ensemble des appareils électriques.

 En cas d'absence prolongée :

 Sécurisez vos objets de valeur,

 Laissez un double des clefs à un voisin ou un ami ainsi qu'un numéro de téléphone sur lequel vous joindre en cas d'urgence,

 Demandez à votre voisin ou ami de vider de temps en temps votre boîte aux lettres,

 Arrosez vos plantes et demander à un voisin et ami de les arroser pen-dant votre absence.

ÉDITOde Jean-Antoine MOINS, Président de Logisens

Pour fêter l’arrivée de l’été et profiter des jours les plus longs, Logisens et ses partenaires se sont déployés sur les rési-dences pour la 5ème semaine nationale HLM avec de nombreuses animations.

Parce que se retrouver entre voisins et partager un bon moment est essentiel pour maintenir les liens et se sentir bien dans sa résidence, Logisens s’inves-tit chaque jour pour ses habitants.

Cette année encore, tous les acteurs se sont mobili-sés afin de vous offrir de nombreuses animations et activités culturelles, sociales et sportives.

De la pièce de théâtre à la pratique de différents sports en passant par l’art du « graff » et la préven-tion santé, du plus jeune au plus sage, chacun a pu y trouver son bonheur.

Une place importante a été réservée au cinéma de plein air, que nombre d’entre vous ont beaucoup apprécié l’année dernière avec la diffusion de trois films, ayant eu un certain succès en salles. De quatre résidences en 2016, nous avons pu étendre cette année l’organisation d’évènements à cinq résidences, dont trois nouveaux sites afin de faire partager au plus grand nombre d’entre vous ces événements.

J’espère que ces animations vous ont permis de passer d’agréables moments, je vous souhaite une belle période estivale et vous remercie de la confiance que vous nous témoignez.

www.logisens.frEt profitez de votre promenade !

LOCATION-ACCESSION Devenez propriétaire en toute sécurité !

Éco quartier Les Vergnes - SAINT-MAMET

 Éxonération de la Taxe Foncière pendant 15 ans

 Sécurisation avec rachat et relogement sur 15 ans

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LES AVANTAGE DE LA LOCATION ACCESSION

5 maisons du type 3 au type 4

OURS Directeur de la publication : H. Pinget - Rédacteur en chef : A. Brunhes - Rédaction : M. Laurens - Conception : Logisens - Photos et gravures : Logisens - Impression : Logisens - N° ISSN : 2267-2656 - Tirage : 4000 exemplaires - LOGISENS 10 rue Pierre Marty - BP 10423 - 15004 Aurillac Cedex. Tel. 04.71.48.20.16 - Fax. 04.71.48.29.76 - Mail. contact@logisens.fr.

ContaCt // Sabrina VALETTE 4, rue du crucifix à Aurillac

Tél : 04 71 48 98 27 / Mob : 06 76 57 27 31Mail : s.valette@logisens.fr

Et si on mettait une reine sur votre toit ?DES ABEILLES, DES RUCHES

En partenariat avec un apiculteur cantalien, LO-GISENS a installé depuis le 20 avril dernier trois ruches sur le toit de l’immeuble n°22 de la résidence Aris-tide Briand à Aurillac.Jean-Pierre Rieu, adminis-

trateur de Logisens et initiateur du projet, répond aux questions de Marie Lassale, locataire de la résidence concernée.

 Marie Lassale : Qui est David Pigeon, l'apiculteur propriétaire des ruches ? Quel est son rôle ?Jean-Pierre Rieu : David Pigeon est un jeune api-culteur professionnel qui gère un élevage de 350 ruches réparties sur plusieurs ruchers entre le Lot et le Cantal. Il élève des abeilles et récolte le miel produit qu'il conditionne et vend sur les marchés locaux.

 ML : Peut-on sans danger avoir un ruche sur son toit ?JPR : La présence de ruches sur le toit ne présente aucun danger pour les résidents. Les ruches sont situées en hauteur et les abeilles lorqu'elles s'en-volent pour butiner, ne rencontrent aucun obstacle qui pourrait les perturber et les rendre agressives. Seul, l'apiculteur est autorisé à se rendre sur le toit.

 LM : L'abeille travaille-t-elle en perma-nence ?JPR : C'est d'avril à septembre que les abeilles sont les plus actives. Elles profitent de la période de flo-raison pour récolter, stocker et produire le miel. En hiver, elles s'occupent de leur reine en la tenant au chaud et en la nourrissant avec les réserves accu-mulées durant la saison chaude. Elles font en sorte de maintenir l'essaim en bonne santé.

 ML : A quelle distance de la ruche les abeilles vont-elles butiner et comment font-elles pour récolter le nectar ?JPR : Les abeilles parcourent au maximum 4 kms pour trouver un gisement de fleurs approprié. Ce sont les plus anciennes butineuses qui partent en prospection et qui indiquent par la suite aux autres le chemin à suivre.C'est au plus chaud de la journée que l'abeille as-pire avec sa trompe le nectar niché dans la corolle de la fleur et servant à la fabrication du miel. Elle récolte également avec ses pattes arrières le pollen destiné à nourrir les larves.

 ML : Combien ces ruches vont-elles pro-duire en miel ? Ce dernier sera-t-il d'aussi bonne qualité que celui produit par des ruches situées en pleine nature ?JPR : La production en miel d'une ruche est sou-mise aux conditions climatiques. En général, dans le Cantal, la production moyenne est de 15 kg par ruche et par an.Le miel produit ici sera d'aussi bonne qualité que celui fabriqué par des abeilles en pleine nature car l'environnement proche est tout aussi favorable : car floral, mais également très peu urbanisé et industria-lisé.

 ML : De quel type de miel s'agira-t-il ? Quelles en seront les vertus ?JPR : Le miel produit ici sera du miel de fleurs de montagne et notamment de fleurs d'acacia nom-breuses à proximité. Le miel a de nombreuses vertus. C'est un aliment contenant essentiellement des sucres, des enzymes et des vitamines. C'est aussi un médicament reconnu comme bactéricide (un pot de miel ne développera jamais de moisis-sures !).Les romains utilisaient déjà le miel pour soigner les blessures de leurs soldats.De nos jours, le CHU de Limoges expérimente le miel en traitement de cicatrisation des plaies et les premiers résultats sont prometteurs.