tél : +33 (0)4 91 37 97 35 • fax : +33 (0) 4 91 04 69 79...

2
MONTÉVIDÉO, 3, IMPASSE MONTÉVIDÉO, 13006 MARSEILLE Tél : +33 (0)4 91 37 97 35 • Fax : +33 (0) 4 91 04 69 79 • [email protected] • www.montevideo-marseille.com CENTRE DE RESSOURCES OUVERTURE DU LUNDI AU VENDREDI DE 10H À 12H30 ET DE 14H À 19H / +33 (0)4 91 37 14 04 www.montevideo-marseille.com/centrederessources.html • [email protected] montévidéo, créations contemporaines, théâtre, musique, écriture – Direction Hubert Colas & Jean-Marc Montera montévidéo est subventionné par : Le Ministère de la Culture et de la Communication : Direction Régionale des Affaires Culturelles Provence-Alpes-Côte d’Azur / Le Conseil Régional Provence-Alpes-Côte d’Azur / Le Conseil Général des Bouches-du-Rhône / La Ville de Marseille FONDS DE RESSOURCES DE L’ACADÉMIE EXPÉRIMENTALE DES THÉÂTRES montévidéo, créations contemporaines, théâtre, musique, écriture FONDS DE RESSOURCES DE L’ACADÉMIE EXPÉRIMENTALE DES THÉÂTRES montévidéo, créations contemporaines, théâtre, musique, écriture LE CENTRE DE RESSOURCES DE MONTÉVIDÉO – MARSEILLE À la croisée des rendez-vous publics avec des artistes et leurs œuvres, proposés tout au long de l’année par Montévidéo, le Centre de Ressources est un lieu de rencontres, de découvertes, de conseil, de consultation et de recherche, dédié à l’actualité et à l’histoire des écritures contemporaines et des musiques improvisées. Installé dans ses nouveaux locaux depuis fin 2003, le Centre de Ressources est un espace propice à la lecture, à l’écoute, à l’écriture. Il s’y déroule également des rencontres, débats (tables rondes thématiques sur les musiques improvisées, comités de lecture…) et ateliers (d’écoute, d’écriture), compléments théoriques et prolongements naturels des activités de Montévidéo. Pour le fonds « écritures contemporaines », on peut consulter sur place plus de 500 manuscrits, 1100 ouvrages publiés (pièces de théâtre, romans, poésie, nouvelles, essais, ouvrages théoriques), dont toutes les nouveautés des maisons d’éditions théâtrales partenaires du lieu (L’Arche, les Solitaires Intempestifs, Lansman, Théâtre Ouvert,…), ainsi qu’un choix de revues spécialisées (Mouvement, Alternatives théâtrales, If, Ubu, Actualité de la scénographie…). Afin de permettre une plus grande accessibilité aux œuvres, un répertoire est mis à disposition des lecteurs, permettant une recherche par auteur, titre ou genre. Pour le fonds « musiques improvisées », on peut écouter sur place plus de 600 CD, dont l’ensemble de la production des labels Incus (anglais), For 4 Ears (suisse), Intakt (suisse), Potlach (français), Rectangle (français), FMP (allemand), Recommended Records (anglais), et voyager dans une centaine de revues spécialisées et d’ouvrages de fond. Le Centre de Ressources étant également un lieu de mémoire, on peut y parcourir les traces des activités de Montévidéo, sous la forme d’enregistrements audio et vidéo (entretiens, interview d’auteurs et de metteurs en scène, lectures, performances, mises en scène, concerts,…), ainsi que des dossiers complets sur les artistes ayant résidé dans le lieu, et la presse généraliste quotidienne, hebdomadiare, nationale et régionale. Le Centre de Ressources est ouvert du lundi au vendredi, de 10h à 12h30 et de 14h à 19h à tous ceux et celles œuvrant dans le champs artistique et culturel (professionnels, universitaires, étudiants, amateurs), et plus largement à toute personne curieuse de découvrir de nouveaux horizons sonores et littéraires.

Upload: nguyentram

Post on 14-Sep-2018

216 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Page 1: Tél : +33 (0)4 91 37 97 35 • Fax : +33 (0) 4 91 04 69 79 ...montevideo-marseille.com/montevideo/centre_de_ressources_files... · LES CLASSES D’AVIGNON AVEC TADEUSZ KANTOR Chapelle

MONTÉVIDÉO,3, IMPASSE MONTÉVIDÉO, 13006 MARSEILLETél : +33 (0)4 91 37 97 35 • Fax : +33 (0) 4 91 04 69 79 • [email protected] • www.montevideo-marseille.com

CENTRE DE RESSOURCESOUVERTURE DU LUNDI AU VENDREDI DE 10H À 12H30 ET DE 14H À 19H / +33 (0)4 91 37 14 04www.montevideo-marseille.com/centrederessources.html • [email protected]

montévidéo, créations contemporaines, théâtre, musique, écriture – Direction Hubert Colas & Jean-Marc Monteramontévidéo est subventionné par : Le Ministère de la Culture et de la Communication : Direction Régionale des Affaires Culturelles Provence-Alpes-Côte d’Azur / Le Conseil Régional Provence-Alpes-Côted’Azur / Le Conseil Général des Bouches-du-Rhône / La Ville de Marseille

FON

DS

DE

RE

SS

OU

RC

ES

DE

L’A

CA

MIE

EX

RIM

EN

TALE

DE

ST

ÂT

RE

S

montévidéo, créations contemporaines, théâtre, musique, écriture

FON

DS

DE

RE

SS

OU

RC

ES

DE

L’A

CA

MIE

EX

RIM

EN

TALE

DE

ST

ÂT

RE

S

montévidéo, créations contemporaines, théâtre, musique, écriture

LE CENTRE DE RESSOURCES DE MONTÉVIDÉO – MARSEILLE

À la croisée des rendez-vous publics avec des artistes et leurs œuvres, proposés tout au long de l’année par Montévidéo, llee CCeennttrree ddeeRReessssoouurrcceess eesstt uunn lliieeuu ddee rreennccoonnttrreess,, ddee ddééccoouuvveerrtteess,, ddee ccoonnsseeiill,, ddee ccoonnssuullttaattiioonn eett ddee rreecchheerrcchhee,, ddééddiiéé àà ll’’aaccttuuaalliittéé eett àà ll’’hhiissttooiirree ddeessééccrriittuurreess ccoonntteemmppoorraaiinneess eett ddeess mmuussiiqquueess iimmpprroovviissééeess..

Installé dans ses nouveaux locaux depuis fin 2003, le Centre de Ressources est un espace propice à la lecture, à l’écoute, à l’écriture. Il s’y déroule également des rencontres, débats (tables rondes thématiques sur les musiques improvisées, comités de lecture…) et ateliers(d’écoute, d’écriture), compléments théoriques et prolongements naturels des activités de Montévidéo.

PPoouurr llee ffoonnddss «« ééccrriittuurreess ccoonntteemmppoorraaiinneess »»,, on peut consulter sur place plus de 500 manuscrits, 1100 ouvrages publiés (pièces de théâtre,romans, poésie, nouvelles, essais, ouvrages théoriques), dont toutes les nouveautés des maisons d’éditions théâtrales partenaires du lieu(L’Arche, les Solitaires Intempestifs, Lansman, Théâtre Ouvert,…), ainsi qu’un choix de revues spécialisées (Mouvement, Alternatives théâtrales,If, Ubu, Actualité de la scénographie…). Afin de permettre une plus grande accessibilité aux œuvres, un répertoire est mis à disposition des lecteurs, permettant une recherche parauteur, titre ou genre.

PPoouurr llee ffoonnddss «« mmuussiiqquueess iimmpprroovviissééeess »»,, on peut écouter sur place plus de 600 CD, dont l’ensemble de la production des labels Incus (anglais),For 4 Ears (suisse), Intakt (suisse), Potlach (français), Rectangle (français), FMP (allemand), Recommended Records (anglais), et voyager dansune centaine de revues spécialisées et d’ouvrages de fond.

Le Centre de Ressources étant également un lieu de mémoire, on peut y parcourir lleess ttrraacceess ddeess aaccttiivviittééss ddee MMoonnttéévviiddééoo, sous la forme d’enregistrements audio et vidéo (entretiens, interview d’auteurs et de metteurs en scène, lectures, performances, mises en scène, concerts,…),ainsi que des ddoossssiieerrss ccoommpplleettss ssuurr lleess aarrttiisstteess aayyaanntt rrééssiiddéé ddaannss llee lliieeuu, et la pprreessssee ggéénnéérraalliissttee quotidienne, hebdomadiare, nationale et régionale.

Le Centre de Ressources est ouvert du lundi au vendredi, de 10h à 12h30 et de 14h à 19h à tous ceux et celles œuvrant dans le champs artistiqueet culturel (professionnels, universitaires, étudiants, amateurs), et plus largement à toute personne curieuse de découvrir de nouveaux horizonssonores et littéraires.

Page 2: Tél : +33 (0)4 91 37 97 35 • Fax : +33 (0) 4 91 04 69 79 ...montevideo-marseille.com/montevideo/centre_de_ressources_files... · LES CLASSES D’AVIGNON AVEC TADEUSZ KANTOR Chapelle

LES CLASSES D’AVIGNON AVEC TADEUSZ KANTORChapelle des Pénitents-Blancs. Juin 1990. Réalisation Laurent Champonnois.– «« ÔÔ DDoouuccee nnuuiitt »»,, rrééppééttiittiioonnss.. –– «« ÔÔ DDoouuccee nnuuiitt »»,, llee ssppeeccttaaccllee..

LE SECRET DE L’ACTEUR ET LES JEUNES METTEURS EN SCÈNEOdéon – Théâtre de l’Europe. Décembre 1990. Réalisation FEMIS.– BBrriiaann CCooxx eett DDaavviidd WWaarrrriillooww..

LE SECRET DE L’ACTEUR ET LES JEUNES METTEURS EN SCÈNE1990. Réalisation FEMIS.–– MMaarriioo GGoonnzzaalleess..

LES CLASSES DE BANDO TAMASABUROOpéra Bastille. 1992. Réalisation Stéphane Gatti. (5 vidéos)

POUR TADEUSZ KANTOROdéon - Théâtre de l’Europe. Décembre 1991.–– LLeeccttuurree ddee DDaavviidd WWaarrrriillooww..

HEÏNER MÜLLER AUJOURDHUIBerlin. Septembre 1992. Réalisation Dominik Barbier.–– «« JJ’’ééttaaiiss HHaammlleett »»..

DE LA PAROLE AUX CHANTSCNSAD, Paris. 1994. Réalisation Rodolphe Clémendot –– «« TToo ppllaaccee tthhee vvooiiccee wwiitthh tthhee ffaaccee,, llaa jjuussttee vvooiixx »»,, ddiiaalloogguuee aavveecc RRoobbeerrtt WWiillssoonn..–– «« VVeerrss ddeess mmoottss eenn mmoouuvveemmeenntt »»,, aatteelliieerr ddee rreecchheerrcchhee dd’’AAnnaattoollii VVaassssiilliieevv..

UNE ŒUVRE À QUESTIONNER, LUC BONDYForum des images, Paris. 1994. Réalisation Mark Blezinger–– «« LLaa LLaanngguuee eett lleess llaanngguueess »»..–– «« LL’’AAlllleemmaaggnnee eett BBootthhoo SSttrraauussss »» aavveecc LLuucc BBoonnddyy,, PPaattrriiccee CChhéérreeaauu,,RRiicchhaarrdd PPeedduuzzzzii,, RRuuddoollpphh RRaacchh,, LLiioonneell RRiicchhaarrdd eett GGeeoorrggeess BBaannuu..

BERNARD-MARIE KOLTÈS OU LA PAROLE DONNÉEBogota et Medellin, Colombie. 1995. Réalisation Marta Vales.–– LLee llaabboorraattooiirree ddee ddrraammaattuurrggiiee–– LLee llaabboorraattooiirree ddee mmiissee eenn ssccèènnee

VERBIER FESTIVAL & ACADEMYVerbier. Juillet 1995. Réalisation Niky Wolcz.–– ««MMééddééee »» ppaarroolleess eenn cchhaanntt,, ssoouuss llaa ddiirreeccttiioonn dd’’AAnnddrreeïï SSeerrbbaann..

LE LABORATOIRE D’ACTEURItalie, Russie, Suisse, France. 1996.–– IInnttrroodduuccttiioonn dduu llaabboorraattooiirree dd’’aacctteeuurr ppaarr YYaann CCiirreett..–– CCaarrnneett ddee vvooyyaaggee nn°°11 «« DDeess oorriiggiinneess aauu ccoommmmeenncceemmeenntt aavveeccGGrroottoowwsskkii »» ((PPoonntteeddeerraa,, IIttaalliiee)).. –– CCoonnfféérreennccee ddee FFeerrddiinnaannddoo TTaavviiaannii -- eexxttrraaiitt dduu CCaarrnneett ddee vvooyyaaggee nn°°11.. –– CCaarrnneett ddee vvooyyaaggee nn°°22 «« DDee ll’’eexxeerrcciiccee àà llaa rrééppééttiittiioonn aavveecc AAnnaattoolliiVVaassssiilliieevv »» ((MMoossccoouu)).. –– CCoonnfféérreennccee dd’’AAnnaattoollii VVaassssiilliieevv «« LLiieenn ddiirreecctt eett lliieenn rrééttrrooaaccttiiff -- DDuummoonnddee rrééeell aauu mmoonnddee iirrrrééeell »» ((MMoossccoouu)).. –– ÀÀ ll’’ÉÉccoollee dd’’AArrtt ddrraammaattiiqquuee ddee VVaassssiilliieevv àà MMoossccoouu..–– CCaarrnneett ddee vvooyyaaggee nn°°33 «« MMaattéérriiaauuxx 11 »» ((TThhééââttrree VViiddyy--LLaauussaannnnee)).. –– CCaarrnneett ddee vvooyyaaggee nn°°44 «« MMaattéérriiaauuxx 22 »» ((TThhééââttrree dduu RRoonndd--PPooiinntt,, PPaarriiss))..

THÉÂTRE DE LA LANGUE, LA LANGUE DES THÉÂTRESLorient, Nanterre. 1997.–– «« LLee ccoorrppss ddee llaa llaanngguuee eett llaa llaanngguuee dduu ccoorrppss »»,, ssoouuss llaa ddiirreeccttiioonn ddeeSSttaanniissllaass NNoorrddeeyy..–– «« CCoommmmeenntt ssee ffaaiitt--iill ?? »» ssoouuss llaa ddiirreeccttiioonn dd’’ÉÉrriicc VViiggnneerr..

LE THÉÂTRE D’ART AU XXÈME SIÈCLE, UNE ESTHÉTIQUE À QUESTIONNERThéâtre du Vieux-Colombier, Paris. 1997 (3 vidéos)–– «« LLee PPiiccccoolloo TTeeaattrroo eett llaa qquuêêttee dduu TThhééââttrree dd’’AArrtt »»,, ppaarr GGiioorrggiioo SSttrreehhlleerr..–– «« LLee TThhééââttrree dd’’aarrtt :: ddee ll’’oouubbllii aauu rreettoouurr »»,, ppaarr PPeetteerr SStteeiinn..–– «« LLee TThhééââttrree dd’’aarrtt :: ll’’ééccoollee eett llaa rreecchheerrcchhee »» ppaarr AAnnaattoollii VVaassssiilliieevv..

UNE ŒUVRE À QUESTIONNER, ROBERT WILSONThéâtre du Rond-point. Mars 1998. (4 vidéos)–– EEnnttrreettiieenn ddee RRoobbeerrtt WWiillssoonn aavveecc GGeeoorrggeess BBaannuu eett PPhhiilliippppee CChheemmiinn

JEAN GENET, L’HOMME EN GUERREBennington College, Etats-Unis. Mai 1998.–– PPrréésseennttaattiioonn dduu llaabboorraattooiirree..

L’AMOUR CHAMPS DE BATAILLE (AVEC HEINER MÜLLER)Berlin, Allemagne. Août 1998.–– LLaabboorraattooiirree ddee mmiissee eenn ssccèènnee..

VALÈRE NOVARINA, LE THÉÂTRE DE LA PAROLEUniversité Paris VIII, Saint Denis. 1998-1999.–– PPrréésseennttaattiioonn dduu llaabboorraattooiirree..

PIER PAOLO PASOLINI THÉÂTREBruxelles, Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis. 1999.–– EEnnttrreettiieenn ddee LLaauurraa BBeettttii aavveecc MMiicchheellllee KKookkoossoowwsskkii eett YYaann CCiirreett.. –– CCoommmmeenncceemmeenntt ddeess llaabboorraattooiirreess..–– DDiiaalloogguuee eennttrree WWaalltteerr SSiittii eett LLuuccaa RRoonnccoonnii..–– DDiiaalloogguuee aavveecc MMaarrcc LLiieebbeennss eett MMiicchhèèllee FFaabbiieenn..–– PPrréésseennttaattiioonn dduu llaabboorraattooiirree..

THÉÂTRE DES LIMITESCarré St Vincent, Orléans. Décembre 1999. Réalisation Alain Fonteray.–– «« LLee PPèèlleerriinn ddee llaa mmaattiièèrree »» ppaarr RRoommééoo CCaasstteelllluuccccii eett CChhiiaarraa GGuuiiddii..

LES PENSEURS DE L’ENSEIGNEMENTPalazoo Spinola, Rochetta (Ligure). Réalisation Pierre-Henri Magnin.–– «« LLee LLiivviinngg TThhééââttrree,, hhiieerr eett aauujjoouurrdd’’hhuuii »»..

THÉÂTRE DES LIMITESThéâtre de la Cité internationale et CNSAD, Paris. 2000.–– «« UUnn ccrrii ddee jjooiiee »»,, ééppiilloogguuee dd’’OOlliivviieerr PPyy..

HEINER MÜLLER, GÉNÉALOGIE D’UNE ŒUVRE À VENIRMaison Heinrich Heine, Paris. Mars 2000.–– CCoorriinnnnaa HHaarrffoouucchh iinntteerrpprrééttee «« HHaammlleett--MMaacchhiinnee »»..–– «« MMeettttrree eenn ssccèènnee HHeeiinneerr MMüülllleerr »»,, rreennccoonnttrree aavveecc MMaatttthhiiaass LLaanngghhooffff,,DDaavviidd BBeennnneenntt eett BBrruunnoo TTaacckkeellss..–– «« HHaammlleett--MMaacchhiinnee »» :: «« ddrreeaamm--eenndd ooff ddrreeaamm »» ppaarr JJeeaann JJoouurrddhheeuuiill..

LES PENSEURS DE L’ENSEIGNEMENTOdéon-Théâtre de l’Europe, Paris. Juin 2000.–– «« DDee GGrroottoowwsskkii vveerrss SSttaanniissllaavvsskkii »» ppaarr AAnnaattoollii VVaassssiilliieevv..

CONVERSATION AVEC PATRICE CHÉREAUThéâtre du Vieux-colombier, Paris. Octobre 2000. –– EEnnttrreettiieenn ddee PPaattrriiccee CChhéérreeaauu aavveecc GGeeoorrggeess BBaannuu eett AAnnnnee--FFrraannççooiisseeBBeennhhaammoouu..

UNE ŒUVRE À QUESTIONNER, JAN FABREThéâtre de la Ville, Paris. Novembre 2000. –– RReennccoonnttrreess aavveecc JJaann FFaabbrree,, AAnnnnyy CCzzuuppppeerr,, LLuukk VVaann ddeenn DDrriieess,, JJeeaann--MMaarrcc AAddoollpphhee eett LLiieevveenn VVaann ddeenn AAbbeeeellee ((eennrreeggiissttrreemmeenntt aauuddiioo))

LES ARMES DE LA POÉSIEÉcole d’art dramatique de Moscou. Mai 2001. Réalisation École d’art dramatiquede Moscou.–– BBeerrnnaarrdd--MMaarriiee KKoollttèèss,, ppoouurr uunnee ppooééssiiee ddééssaarrmmééee..–– JJeeaann GGeenneett,, uunnee aarrmmee ddee ccoommbbaatt..–– PPiieerr PPaaoolloo PPaassoolliinnii,, jjeetteerr mmoonn ccoorrppss ddaannss llaa lluuttttee..–– HHeeiinneerr MMüülllleerr,, rreeggaarrddeerr ll’’hhiissttooiirree ddaannss llee bbllaanncc ddee ll’’œœiill..–– PPrréésseennttaattiioonn ddeess 44 llaabboorraattooiirreess :: GGeenneett –– KKoollttèèss –– PPaassoolliinnii –– MMüülllleerr..–– RRééppééttiittiioonnss dduu ssppeeccttaaccllee «« PPoorrcchheerriiee »» ddee PP..PP..PPaassoolliinnii ssoouuss llaa ddiirreeccttiioonn ddeeSS.. NNoorrddeeyy,, 22000011..–– EEnnttrreettiieenn ddee SSttaanniissllaass NNoorrddeeyy àà pprrooppooss dduu ssppeeccttaaccllee «« PPoorrcchheerriiee »» ddeePP..PP..PPaassoolliinnii,, 22000011..

MAIS OÙ EST DONC LE THÉÂTRE ? Avignon. Juillet 2001.–– DDéébbaatt eennttrree SSttéépphhaannee BBrraauunnsscchhwweeiigg,, ÉÉrriicc LLaaccaassccaaddee,, JJeeaann LLaammbbeerrtt--wwiilldd,,MMaatttthhiiaass LLaanngghhooffff,, CChhaannttaall MMoorreell,, BBrruunnoo TTaacckkeellss,, JJeeaann--PPiieerrrree TThhiibbaauuddaatt eettRReennéé SSoolliiss.. ((eennrreeggiissttrreemmeenntt aauuddiioo))

ACADÉMIE, TRAVERSÉESParis. Décembre 2001. Captations au théâtre du Rond-Point réalisées par PabloRosenblatt et Marcin Ziebinski–– «« MMeettttrree eenn ssccèènnee llee tthhééââttrree,, dduu mmeetttteeuurr eenn ssccèènnee eenn ddiirreecctteeuurr ddeetthhééââttrree »»..–– «« HHaammlleett--MMaacchhiinnee »» eett «« TTrraauummtteexxtt »» ppaarr CCoorriinnnnaa HHaarrffoouucchh eettCCaatthheerriinnee SSttooyyaann.. –– «« UUoovvoo ddii bbooccccaa »» ppaarr RRoommeeoo CCaasstteelllluuccccii,, CCllaauuddiiaa CCaasstteelllluuccccii eett CChhiiaarraaGGuuiiddii..–– «« LL’’EEsstthhééttiiqquuee ddee llaa rrééssiissttaannccee ?? »» ppaarr SSttaanniissllaass NNoorrddeeyy eett VVaalléérriiee LLaanngg.. –– «« RReettrroouuvveerr llee tthhééââttrree »» ppaarr PPeetteerr SStteeiinn..–– «« EEtt llee cchhaanntt eesstt qquuii cchhaannttee »» ppaarr HHeennrrii MMeesscchhoonnnniicc..–– «« LL’’AAcctteeuurr llaabboorraannttiinn »» eett «« AAjjaaxx ppaarr eexxeemmppllee »» ddee HHeeiinneerr MMüülllleerr,, ppaarrAAnnddrréé WWiillmmss..–– «« PPoouurr KKookkoo »» ppaarr RRaaiimmuunndd HHoogghhee..–– «« RRêêvveeuurr ssuurr ll’’HHéélliiccoonn »» ppaarr MMiicchheell DDeeuuttsscchh..–– «« LLaa LLeeççoonn ddee PPaannttaalloonn »» ppaarr MMaarriioo GGoonnzzaalleess.. –– «« IInnttrroodduuccttiioonn àà llaa tteecchhnniiqquuee vveerrbbaallee »» ppaarr AAnnaattoollii VVaassssiilliieevv.. –– «« LL’’eessppaaccee ffuurriieeuuxx »» ddee VVaallèèrree NNoovvaarriinnaa ppaarr AAggnnèèss SSoouurrddiilllloonn–– «« LLeess ccaarrrreeffoouurrss dd’’HHééccaattee,, MMééddééee »» ddee DDaavviidd WWaahhll ppaarr CChhrriissttiinnee GGaaggnniieeuuxx..–– «« DDeebboouutt ll’’hhoommmmee !! »» ppaarr JJooëëll JJoouuaannnneeaauu..–– «« LLee ppooèèmmee ddee llaa ffiinn »» dd’’aapprrèèss MMaarriinnaa TTssvveettaaïïeevvaa ppaarr LLuuddmmiillllaa DDrreebbnneevvaa..–– «« LLee ppaarraaddiiss ddee ttrriisstteessssee »» dd’’OOlliivviieerr PPyy ((eexxttrraaiitt)) ppaarr MMiicchheell FFaauu..–– «« MMaannhhaattttaann MMééddééaa »»,, rroommaannccee ddee DDeeaa LLoohheerr ppaarr HHaannss PPeetteerr CCllooooss..–– «« MMéémmooiirree »» ppaarr YYaannnn--FFaaññcchh KKeemmeenneerr aavveecc AAnnddrréé MMaarrkkoowwiicczz..–– «« MMaattéérriiaauu--MMééddééee »» ddee HHeeiinneerr MMüülllleerr mmiissee eenn ssccèènnee dd’’AAnnaattoolliiVVaassssiilliieevv,, aavveecc VVaalléérriiee DDrréévviillllee..–– «« NNoocceess ddee ssaanngg »» ddee FFeeddeerriiccoo GGaarrcciiaa LLoorrccaa mmiissee eenn ssccèènnee dd’’AAnnaattoolliiVVaassssiilliieevv.. –– «« KKaannttoorr,, ddeess ttrraavveerrssééeess »» ppaarr LLuucciieenn AAttttoouunn –– «« DDiivviinnee »» ppaarr RRoollaanndd BBeerrttiinn,, àà ppaarrttiirr ddee NNoottrree--DDaammee--ddeess--fflleeuurrss ddeeJJeeaann GGeenneett..

Réalisation de Christoph Rüter :«« LL’’hhoommmmee ddee ppaassssaaggee »» ppaarr KKllaauuss MMiicckkaaëëll GGrrüübbeerr

Extraits inédits de son atelier au Conservatoire National Supérieur d’ArtDramatique autour de « Les Géants de la montagne » de Luigi Pirandello, avecMichel Piccoli.

Réalisation par le Piccolo Teatro de Milan, 2001 :EEnnttrreettiieenn aavveecc LLuuccaa RRoonnccoonnii ppaarr SSttaanniissllaass NNoorrddeeyy,, ssuurr ll’’eesstthhééttiiqquuee ddee llaa rrééssiissttaannccee..

Réalisation de Marcin Ziebinski, 2003 :«« AAccaaddéémmiiee,, ttrraavveerrssééeess »»

Sauf mention spéciale, tous les documents vidéos ont été réalisés par Pierre-HenriMagnin.

Le fonds, qui reproduit une partie des archives originales de l’AcadémieExpérimentale des Théâtres, comporte aussi des publications, des dos-siers pédagogiques et des documents d’information liés à son activité de1990 à 2001.

UNE MÉMOIRE TRANS-MISE NE MEURT JAMAIS

En douze années d’une existence prodigieuse (de 1990 à2001), l’Académie Expérimentale des Théâtres aura conviéet suscité une multitude d’événements dont l matrice radi-cale se résume à subtiliser au monde des produits, celui desprocessus créateurs. (...) Elle a rayonné de ses parolesnomades, invitant à se prononcer et à se re-nommer lesmonuments vivants du théâtre, les maîtres d’hier, la part «Académie », et ceux du questionnement de nos jours, la part« expérimentale ». « Théâtres » fut écrit au pluriel pour biensignifier que sa scène est le monde. (...)Aucune formation figée. Aucun répertoire arrêté. Aucunetechnique déifiée.

L’Académie est ce que devrait être un lieu de formation, larencontre de la rigueur et du risque, un lieu de certitude etde doute, la transmission des anciens et l’appel de ceux quiinterrogent le présent et les sources. Aussi cette Académiene fut jamais formelle, mais fraternelle, toujours déplacée oùla question se porte. Son destin fut de fabriquer des ponts,car si le théâtre joue avec la mort, il se projette aussi en uneconstante et prodigieuse vitalité.De ces douze années de fièvre et de voyages, tout cela futarchivé : textes, photos, vidéos, conférences, travaux etséminaires, ateliers, prospections et créations, toutes cesinnovations furent accompagnées, protégées, répertoriéessous l’œil exact et fidèle de Pierre-Henri Magnin et la parolede Georges Banu. (...)

La traces des chercheurs, celles des témoins et maîtresd’une génération, en une myriade d’actions lumineuses,appartiennent désormais aux acteurs du futur. Ainsil’Académie Expérimentale ne peut pas mourir, elle se régé-nère par sa mémoire en de jeunes et nouvelles expériences.Les théâtres se poursuivent, de cet humus-là des êtres, enune conviviale universalité.

Serge OuaknineAllié de l’Académie Expérimentale des Théâtres

L’ACADÉMIE EXPÉRIMENTALE DES THÉÂTRESTRAVERSÉE, MÉMOIRES – 1990-2001

CC’’eesstt eenn 11999900 que MMiicchheellllee KKookkoossoowwsskkii,, GGeeoorrggeess BBaannuu eett AAllaaiinn CCrroommbbeeccqquuee se retrouvent autour d’un désir commun : créer une structure légère et nomade,capable d’intervenir dans des lieux multiples, aux identités distinctes, pour fouiller, questionner, expérimenter et TRANSMETTRE l’actualité et l’histoire particu-lière des arts de la scène, dans la pluralité des esthétiques et des pratiques, au-delà de toute frontière géographique.Une sorte de « lieu insoumis » dont l’essentiel consisterait à chercher partout les principaux explorateurs du théâtre moderne, pour les mettre en présence dejeunes professionnels, d’« apprentis » artisans du théâtre de demain, auxquels les « maîtres » enseigneraient ce qu’ils cherchent et non un savoir constitué.Une « galaxie aux contours mouvants » qui s’imposerait des lois : ne jamais répéter une même action, mais toujours imaginer des scénarios pédagogiques, desmodes de relations, des structures de dialogues inédits, tout cela dans l’absolue gratuité de l’échange ; tenter de renforcer les liens entre théoriciens et prati-ciens afin qu’analyse théorique et pratique artistique s’éclairent réciproquement ; enfin, laisser des traces de chaque action réalisée, la communiquer au-delàdu cercle des participants, l’inscrire dans la durée.

LL’’AAccaaddéémmiiee EExxppéérriimmeennttaallee ddeess TThhééââttrreess eesstt nnééee. Elle porte le nom emblématique des objectifs qu’elle s’est fixés, au carrefour de l’ancien et du nouveau, résolu-ment tournée sur le grand espace du monde.Sa « traversée », réunissant les plus grands noms de la géographie des théâtres de la dernière décennie et des nouvelles générations d’alors, a pris fin en 2001.12 années d’existence, pas moins de 162 actions, une liste impressionnante de textes édités, d’enregistrements sonores, de vidéos, photos, articles, dossierspédagogiques, aujourd’hui références incontournables du monde théâtral. Autant de documents qui constituent selon l’expression de Jean-Marc Adolphe : «l’irremplaçable mémoire des arts de la scène, et le nécessaire contre-champs de leur nature éphémère ».

EEnn 22000022,, l’intégralité des archives de l’Académie Expérimentale des Théâtres est confiée à l’IMEC (Institut Mémoires de l’Édition Contemporaine, à l’Abbayed’Ardennes – Caen). Afin de diffuser cette mémoire et d’en faire la source d’expériences nouvelles, Michelle Kokosowski a conçu l’idée d’un réseau internatio-nal de Centres de Ressources qui recevraient une copie partielle du fonds.Ces nouveaux lieux de transmission ont tous en commun d’avoir été, par l’intermédiaire de l’un de leurs représentants, les complices de cette formidable aven-ture.LLee CCeennttrree ddee RReessssoouurrcceess ddee mmoonnttéévviiddééoo est heureux d’être de ceux-là.

LLeess aauuttrreess CCeennttrreess ddee RReessssoouurrcceess aaccccuueeiillllaanntt uunnee ppaarrttiiee dduu ffoonnddss ddee rreessssoouurrcceess ddee ll’’AA..EE..TT.. ssoonntt ::

EEnn FFrraannccee ::La Maison Louis-Jouvet / École Supérieure d’Art Dramatique du Conservatoire National, à Montpellier.La Parole Errante à Montreuil

ÀÀ ll’’ééttrraannggeerr ::L’Ambassade de France en Colombie / Centre d’Information André Maurois (Bogota)L’Ambassade de France en Israël / The School of Visual Theatre (Jérusalem) Le Centre Culturel français de Palerme et de Sicile / L’association Alenika (Palerme) L’Alliance française de Buenos Aires (Argentine) / L’Ambassade de France en Argentine

LE FONDS VIDÉO DE L’ACADÉMIE EXPÉRIMENTALE DES THÉÂTRES À MONTÉVIDÉO