production rÉalisation rÉgie de tournage

CENTRE EUROPÉEN DE FORMATION À LA PRODUCTION DE FILMS

FORMATIONS INITIALES 2013ÉTABLISSEMENT D’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE OUVERT DANS LE CADRE DU CODE DE L’ÉDUCATION

PRODUCTION

RÉALISATION

RÉGIE DE TOURNAGE

SOMMAIRE GÉNÉRAL

PRÉPARATION AUX CERTIFICATS ASSISTANT RÉALISATEUR ASSISTANT DE PRODUCTION CINÉMA ET TÉLÉVISION

La présentation et les atouts du CEFPF ……………………………………………………………… PAGES 2-3

Qui peut s’inscrire à la formation ? ………………………………………………………………… PAGE 3

Définition et mise au point- ASSISTANT RÉALISATEUR ……………………………………………………… PAGE 5

- RÉGIE DE TOURNAGE ………………………………………………………… PAGE 6

- ASSISTANT DE PRODUCTION ……………………………………………………… PAGE 7

- L’IMPORTANCE DU STAGE ……………………………………………………… PAGE 8

Les parcours proposés « ASSISTANT DE PRODUCTION CINÉMA ET TÉLÉVISION » ……………………………………… PAGES 10-11

« ASSISTANT RÉALISATEUR » ……………………………………………………… PAGES 12-14

« L’ASSISTANAT DE RÉALISATION » …………………………………………………… PAGES 15-16

« RÉGISSEUR DE FICTION » ……………………………………………………… PAGES 17-18

Liste des formateurs ………………………………………………………………………… PAGES 19-21

Conditions générales de vente …………………………………………………………………… PAGES 22-23

2 renseignements et inscription : [email protected] / standard : 01 40 30 22 35

LE CEFPFUNE ÉCOLE POUR L’INSERTION DANS LE SECTEUR CINÉMATOGRAPHIQUE ET AUDIOVISUEL

Un projet pédagogique à caractère professionnel et une exigence de qualitéAssociation créée en 1992 à l’initiative d’un syndicat de producteurs de films indépendants, l’Association Française des Producteurs de Films (AFPF), le CEFPF est le premier centre privé français de formation professionnelle dans le domaine de la production de films.

Les formations du CEFPF s’adressent à un public large qui va des professionnels du film, des étudiants aux salariés en reconversion. Elles portent sur l’ensemble des mécanismes de la production du cinéma et de l’audio visuel : déve-loppement de scénarios, assistanat, administration et direction de production, gestion des sociétés et financements des films de télévision et de cinéma, contrats audiovisuels, régie de tournage, montage…

Plus de 5 000 professionnels du film, intermittents du spectacle ou salariés permanents des sociétés de production et de diffusion ont, jusqu’à présent, participé à ces formations. Depuis 1996, le CEFPF bénéficie également de la participation des Plans Media de l’Union Européenne, du soutien du Conseil Régional d’Ile-de-France et du Fongecif.

Le niveau de la production reste élevé, et continue d’augmenter en ce qui concerne le cinéma français. Côté télévision, le secteur a notamment enregistré une progression spectaculaire des heures de programmes des chaînes thématiques. Enfin, la croissance d’internet s’ajoute à celle du DVD comme moyen de diffusion alternatif des œuvres audiovisuelles.

Cependant, cette croissance de l’industrie du cinéma et de l’audiovisuel qui se confirme d’année en année, ne doit pas masquer les incertitudes sur le marché de l’emploi, manifestées par les inquiétudes des intermittents du spectacle. Cela confirme la nécessité de pérenniser les nouveaux arrivants sur le marché, pour limiter les difficultés d’emploi ren contrées grâce à des formations qualifiantes. Si les besoins de compétences des entreprises sont réels, tout comme la volonté de nombreuses personnes de s’insérer dans le secteur, la mise en place de dispositifs de formation adaptés est une exigence et une meilleure garantie pour les candidats de bénéficier d’une insertion durable.

Le projet pédagogique du CEFPF et ses actions de formation sont adaptés aux objectifs professionnels des stagiaires et à l’évolution du secteur. Le CEFPF fait appel à des professionnels en activité (producteurs, représentants d’institutions publiques ou de sociétés de gestion collective, avocats, responsables d’organismes de diffusion…) pour dispenser les formations. Cela permet de garantir l’actualité des connaissances transmises, la spé-cialisation des interventions, ainsi que la diversité des savoirs et des savoir-faire.

Le nombre et la diversité des formateurs intervenant au CEFPF rendent nécessaire le respect d’une « démarche qualité », fondée sur :• un travail de sélection et d’orientation préalable des candidats,• la coordination pédagogique, assurée par un responsable pédagogique et un formateur référent.• la contribution d’experts chargés du conseil et de l’ingénierie pédagogique,• un suivi post-formation ainsi qu’un accompa gnement personnalisé des stagiaires.

La qualification opqf : la marque du professionnalismeAprès avoir initié une démarche qualité en 1996, le CEFPF a reçu en mai 2005 le label qualité de l’Office Professionnel de Qualification des Organismes de Formation (OPQF), qui constitue une reconnaissance de professionnalisme et engage l’organisme de formation dans une démarche de progrès permanent. Cette reconnaissance a été obtenue et validée à travers un processus en trois étapes :• l’instruction de notre demande par un instructeur professionnel reconnu de la formation professionnelle continue.• un avis collégial d’une commission.• la décision d’un comité attribuant la qualification, comprenant des professionnels, des représentants de clients

et un représentant de l’État.

En partenariat avec des professionnels du secteur, à partir des études du Centre National de la Cinématographie (CNC), de l’INSEE et du Ministère de la Culture, le CEFPF a élaboré pour ces programmes un Certificat Professionnel extrêmement détaillé. Un conseil pédagogique a été créé pour les consultations des partenaires professionnels et la création de référentiels de compétences qui sont systématiquement exposés aux candidats lors des entretiens préalables aux inscriptions.

Pour élaborer ces référentiels, le CEFPF a ainsi consulté les partenaires suivants : les formateurs, les syndicats

3renseignements et inscription : [email protected] / standard : 01 40 30 22 35

professionnels patronaux et salariaux (AFPF, Association Française des Producteurs de Films, USPA Union Syndicale de la Production Audiovisuelle, CGT), les responsables de la CNCP, la Région Île-de-France, l’ANPE Spectacle, les 150 entreprises du secteur partenaires du CEFPF.

Parcours très diversifiésQuatre parcours de scolarité détaillés plus loin sont proposés par le CEFPF. Ils ont des durées variables et certains sont proposés à plusieurs dates. Chaque parcours s’articule autour de deux périodes d’apprentissage :Un cycle intensif en Centre durant lequel les étudiants apprennent l’ensemble des mécanismes de la production et / ou de la réalisation de film et préparent le certificat correspondant. Chaque semaine comprend 35 heures de cours. Un cycle de 12 semaines en entreprise : à l’issue des semaines de cours, chaque étudiant aura recherché, accom-pagné par le CEFPF, un stage en entreprise, de façon à rendre opérationnelles « sur le terrain » les connaissances acquises en fonction de la formation reçue, dont vous pouvez lire les caractéristiques dans la double page suivante.

Deux formations validées par les professionnels du secteurLe CEFPF a mis en place, pour certaines de ses formations, une procédure de validation des connais sances et des compétences acquises par les stagiaires durant leur stage au CEFPF, effectuée par des profes-sionnels de l’audiovisuel. Les formations aux métiers d’assistant de production et d’assistant réalisateur figurent parmi les stages concernés.

Les stagiaires participant à ces formations font l’objet de contrôles continus de leurs connaissances en cours de stage et, à la fin de celui-ci, d’un examen consistant en une épreuve orale devant un jury de professionnels du cinéma ou de la télévision.

Cette validation des connaissances acquises dans le cadre des formations, par un jury de professionnels, a pour but de faciliter l’accès à l’emploi des sta giaires. En cas de succès à l’examen oral, les candidats se voient remettre un certificat professionnel constituant une reconnaissance par la Fédération de la Formation Professionnelle (FFP), des compétences et connais sances acquises durant le stage de formation à la fonction d’assis tant de production ou d’assistant réalisateur.

Le CEFPF est à l’heure actuelle le seul organisme de formation du secteur cinémato graphique et audio-visuel bénéficiant d’une validation FFP pour ses stages FONGECIF. Le certificat d’assistant de production est aujourd’hui homologué par la Commission Nationale de Certification Professionnelle (CNCP), le cer-tificat d’assistant réalisateur est en cours d’instruction en vue de son inscription au répertoire national des certifications professionnelles.

400 Professionnels en activité au service des étudiantsLes formateurs sont tous des experts qualifiés et professionnels reconnus dans le secteur de l’audiovisuel et du cinéma (voir à la fin de ce dépliant).

L’ensemble des actions est supervisé par un responsable pédagogique, Jean-Pierre BARNAUD, directeur du CEFPF, garant de l’organisation générale du stage. Il s’assure du bon déroulement de la formation et propose, le cas échéant, les actions pédagogiques correctives.

Le responsable pédagogique est assisté dans son action par un ou plusieurs formateurs- référents. Ils sont les interlocuteurs directs des stagiaires, qui peuvent se référer à eux quel que soit le problème pédago-gique qu’ils rencontrent. Les formateurs- référents aident le responsable pédago gique à mettre en œuvre les actions correctives durant le stage si nécessaire. Ils peuvent, à la demande des stagiaires, assurer des entretiens individuels.

QUI PEUT S’INSCRIRE À LA FORMATION ?Public concerné• Etudiants à partir de Bac+2.• Candidats libres effectuant une demande de dérogation.

Sélection des candidats : La sélection des candidats a lieu sur la base d’un entretien permet-tant d’examiner leurs pré-requis et de la présentation d’un dossier de pré-sélection (lettre de motivation, CV). A l’occasion de cet entretien sont évalués les points suivants :• le niveau de connaissance général du secteur audiovisuel.• la motivation et la cohérence du projet professionnel.• la nature de l’expérience et des diplômes ou titres antérieurs.• les possibilités d’application des compétences antérieures au secteur audiovisuel.• la capacité à s’insérer efficacement dans le secteur (sens de l’initiative et de l’organisation, débrouil-

lardise, aptitude à la polyvalence…).

PRÉSENTATION DES MÉTIERS

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renseignements et inscription : [email protected] / standard : 01 40 30 22 35

PLAN DE TRAVAIL DEFINITIFPRODUCTION : CEFPF

ASSISTANT RÉALISATEURLe référentiel du métierLa formation proposée ici concerne l’assistant réalisateur de fiction TV ou cinéma (longs métrage ou fictions télévisuelles). Elle permet l’acquisition des connais sances et compétences du deuxième assistant réalisateur, et ouvre la possibilité, pour les participants, de viser celles du premier assistant. L’assistant réalisateur de film met en œuvre deux grands domaines d’activité qui correspondent aux deux étapes essentielles de son intervention : en amont, lors de la préparation du film ; puis lors du tournage proprement dit.

Durant la préparation, l’assistant réalisateur étudie le scénario pour préparer la mise en œuvre des conditions artistiques et techniques dans les quelles se déroulera le tournage. Il effectue le dépouillement du scénario en établissant séquence par séquence la liste des besoins liés à la réa-lisation du film : comédiens, décors, cos tumes, accessoires, effets spéciaux. Il évalue le temps de tournage de chaque séquence et, in fine, le temps de tournage du film. Il peut être amené à consulter les différents collaborateurs de création du film (chef opérateur, chef décorateur, ingénieur du son…), pour s’assurer de la justesse de ses estimations. Il seconde le réalisateur pour la préparation du découpage technique, et la prévision des plans, angles de prises de vues et mouvements d’appareil. Une fois effectuées, ces opérations, l’assistant réalisateur soumet ses estimations au directeur de production, et détermine avec lui l’organisation optimale du tournage en fonction des impératifs techniques et budgétaires de la production.Durant cette phase préparatoire, la finalité première de la mission de l’assistant réalisateur est l’établissement du plan de travail, qui précise au jour le jour les séquences à tourner. Il peut être présent lors des repérages. Cela implique un sens de l’organisation, de la planification et de l’initiative. Enfin, l’assistant réalisateur peut procéder parfois au choix de certains rôles, en général des deuxièmes et troi sièmes rôles, ainsi que des figurants (le choix des premiers rôles reve-nant au réalisateur). L’assistant réalisateur effectue ses différentes missions en tant que collaborateur direct du réali-sateur. Un deuxième assistant réalisateur le soutient dans l’exé cution de ces missions.Lors du tournage, le premier assistant réalisateur a pour priorité de veiller au respect du plan de travail. Il est chargé de coordonner également le travail de l’équipe de tournage, de manière à ce que tous les corps de métiers concourent à la réalisation des séquences prévues. Il adapte le planning en fonction des retards et des imprévus de toute nature. Il a sous ses ordres un ou plusieurs deuxièmes assistants, à qui il confie le soin d’établir les feuilles de service des jours suivants, à l’atten-tion des membres de l’équipe, de transmettre les prévisions à plus long terme aux comédiens et à tous les services et d’assurer la liaison entre le plateau de tournage et les différents départements du film.

La formation permet d’exercer les fonctions de deuxième assistant, puis celle de premier assistant, suivant la voie hiérarchique après acquisition des expériences professionnelles requises. La trajectoire professionnelle des participants passant par cette formation peut les conduire vers la fonction de réalisateur, pour le cinéma ou la télévision.


RÉGIE DE TOURNAGELe référentiel du métierLa régie de tournage est également un domaine par lequel les étudiants peuvent s’insérer efficacement et durablement dans le secteur du cinéma et de l’audiovisuel.Sur un film, le régisseur général s’entoure de régisseur adjoints et stagiaires dans le cadre d’un travail en équipe déterminant pour l’issue du tournage.

En effet, les régisseurs assurent la logistique des repérages et préparent celle du plateau ; ils dia-loguent avec tous les partenaires du film et négocient avec les fournisseurs ; ils sont responsables de l’organisation et la gestion quotidienne du plateau, assurent la mise en place et les transferts de matériels, le repas et les hébergements des équipe, rédigent les demandes d’autorisations.Ils sont en un mot au cœur même de la réalité du tournage. L’assistant réalisateur peut d’ailleurs être amené à partager certaines tâches avec le régisseur. C’est la raison pour laquelle le CEFPF, fort de cette réalité professionnelle, propose cette filière d’accès au secteur du cinéma et de l’audiovisuel : la régie de tournage.


Les �nancementsLe travail de

l'assistant de productionLa chaîne de

postproduction

Règles d’ord’un bon

assistant deproduction

ASSISTANT DE PRODUCTIONLe référentiel du métierL’assistant de production est responsable de toutes les tâches sur lesquelles se fonde l’acti-vité quotidienne d’une société de production cinématographique ou télévisuelle : édition de documents, gestion du courrier et de l’emploi du temps du producteur, organisation des déplacements des membres de la société… Selon la taille et l’orga nisation de l’entreprise, il exécute ces tâches ou il les supervise.

En plus de ses tâches administratives, l’assistant de production doit être en mesure de seconder le producteur dans toutes ses activités, ce qui le conduit à exercer des fonctions qui se situent au cœur de la stratégie de l’entreprise :

Il participe à la gestion de la société :• en effectuant une partie des opérations comptables (sous le contrôle de l’expert comptable mandaté

par la producteur)• en contrôlant les documents émis par la société, en particulier la validité des contrats de coproduction,

de cession de droits,…• en gérant les formulaires de demandes de subvention (pour l’obtention d’aides nationales ou

européennes)

Il participe au déroulement des opérations de production, en jouant notamment le rôle d’inter-médiaire entre le producteur et les équipes situées sur le lieu de tournage.

Il participe enfin aux choix artistiques de la société en établissant des fiches de lecture de scé-narios pour le producteur ou en recevant, pour un premier entretien, acteurs ou réalisateurs.


LES STAGES EN ENTREPRISESLe référentiel du métierA l’issue des semaines de cours, chaque étudiant aura recherché, accompagné par le CEFPF, un stage en entreprise, de 12 semaines, de façon à rendre opérationnelles, « sur le terrain », les connaissances acquises en fonction de la formation reçue.

Afin d’aider les étudiants dans leur recherche de stage en entreprise, le CEFPF, en relation avec l’Association Française des Producteurs de Films (AFPF), mettra à leur disposition son réseau de contacts professionnels et d’entreprises partenaires.

Ce stage en entreprise aura lieu, ainsi, dans une société de production, de distribution, de diffusion ou auprès de prestataires techniques partenaires du CEFPF.

Le CEFPF a ainsi placé des candidats dans plus de 150 sociétés du secteur. On peut citer à titre d’exemple :

Doc en Stock, Dubbing Brothers, Duran Duboi, Elizabeth Films, Ellipse Distribution, Epicentre Films, EuropaCorp, France 2, France 3, Galatée Films, Gemini Films, Glem Prod, Gaumont Buena Vista, GTV, JLA Productions, Laboratoire Eclair, Les Films du Losange, Les Films du Poisson, Les Films Marcel Munz, Les Films Pelleas, Little Bear, LTC, Mact Productions, Morgane Production, MoviemM Productions

LES PARCOURS PROPOSÉS




postproduction



ASSISTANT DE PRODUCTION CINÉMA ET TÉLÉVISION PARCOURS N° 1

Préparation au Titre « Assistant de production : cinéma, audiovisuel » reconnu par la Commission Nationale de la Certification Professionnelle (CNCP).30 semaines (1050 heures) dont 12 semaines (420 heures) en entreprise

Du 21 mai 2013 au 13 décembre 2013Du 15 juillet 2013 au 07 février 2014Du 14 octobre 2013 au 23 mai 2014(Interruption du 23/12/13 au 03/01/14)

Coût global : 5 500 euros

Précédée d’un module de 2 semaines de préparation destinées à assurer la cohésion du groupe et à donner aux stagiaires les premières clés professionnelles utiles à leur évolution ultérieure (communication, usage des nouvelles technologies, travail du réseau), cette formation est certifiée par la FFP (Fédération de la Formation Professionnelle) et est homologuée par la CNCP (Commission Nationale de la Certification Professionnelle). Elle comprend 12 semaines de stage conventionné en entreprise.

2 semaines préparatoires : Communication, cohésion du groupe et stratégie professionnelle (70 heures)

SEMAINE 1 : Savoir convaincre et travailler avec efficacité au sein d’une équipe J1 : • contrôler son stress et son émotivité

lors de la prise de paroleJ2 : • prendre en compte la dimension verbale

et non verbale de la communication pour renforcer l’impact de son message

J3 : • préparer efficacement ses interventions en s’adaptant aux attentes explicites et implicites de son interlocuteur

J4 : • savoir argumenter et convaincreJ5 : • savoir surmonter les conflits et les obstacles

SEMAINE 2 : Mise à niveau informatique et approche de la production cinématographiqueJ1 : • mise à niveau sur Word et Excel et autres logiciels

utilisés en production et particulièrement sur MACJ2 : • mise à niveau sur Word et Excel et autres logiciels

utilisés en production et particulièrement sur MACJ3 : • analyse du contexte de création et de production

d’un filmJ4 : • analyse du contexte de création et de production

d’un filmJ5 : • analyse du contexte de création et de production

d’un film

Titre d’Assistant de Production (cinéma-audiovisuel)16 SEMAINES

SEMAINE 1 : Les enjeux du cinéma et de l’audiovisuelJ1 : • panorama de l’audiovisuel en France et dans le mondeJ2 : • l es dispositions législatives et réglementaires :

organisation et pouvoirs les marchés et les festivals internationaux

J3 : • les dispositions législatives et réglementaires : aides et soutiens, décisions européennes, le distributeur et l’exploitation des films en salles

J4 : • les aspects européens et internationaux de l’audiovisuelJ5 : • l’exploitation des films d’art et d’essai

SEMAINE 2 : Les financements du cinémaJ1 : • les services et les aides du CNC • les financements internationauxJ2 : • les politiques de coproduction

et de pré-achat des principaux diffuseurs – les SOFICA

J3 : • les mécanismes de soutien européens • les interventions des collectivités territoriales

exemples de montages financiersJ4 : • les politiques de programmation des chaînes

de télévision • les financements complémentaires J5 : • cas pratique : l’exemple d’une production indépendante.

SEMAINE 3 : La production d’un long métrage, cas pratiqueJ1 : • le développement et l’évaluation du scénarioJ2 : • les conditions générales de productionJ3 : • le financement de la phase de développementJ4 : • la cession des droits d’auteurJ5 : • rédaction du contrat d’auteur

SEMAINE 4 : La production d’un long métrage, cas pratique (2)J1 : • les besoins du tournageJ2 : • le plan de travail et le planning de productionJ3 : • l’engagement des comédiens ; • les droits voisins.J4 : • le choix et le contrat des techniciensJ5 : • les droits musicaux et leur gestion

SEMAINE 5 : La production d’un long métrage, cas pratique (3)J1 : • le devis estimatifJ2 : • le devis estimatifJ3 : • les financementsJ4 : • les financements ; • les diffuseurs.J5 : • le plan de financement définitif




postproduction



SEMAINE 6 : La production d’un long métrage, cas pratique (4)J1 : • le tournageJ2 : • la postproductionJ3 : • les tableaux de bordJ4 : • les contrats d’assurance et la garantie de bonne finJ5 : • la finition, la livraison et la sortie

SEMAINE 7 : L’entreprise de production J1 : • les caractéristiques de l’entreprise de production

et les règles de droit communJ2 : • les principes généraux de gestion comptableJ3 : • la gestion sociale et la gestion des salairesJ4 : • les règles de gestion comptable et les méthodes

de contrôle de gestion ; • les principes de gestion fiscale.J5 : • préparation du dossier en vue de l’examen final ; • conseils d’organisation / rétro-planning.

SEMAINE 8 : La fiche de lecture et l’analyse du scénarioJ1 : • définition de l’idée générale du scénario :

intention, sujet, enjeu, question dramatiqueJ2 : • la relation avec le public et la personnalité

de l’auteur ; • les personnages.J3 : • la construction dramatiqueJ4 : • les intrigues secondaires et l’approche systémique ; • les conflits, les procédés narratifs et l’écriture visuelle.J5 : • la rédaction de la fiche de lecture

SEMAINE 9 : L’optimisation de la communication par le webJ1 : • les bases de la création d’un site internetJ2 : • utiliser facilement des outils pour créer son site internetJ3 : • comprendre la logique de référencement sur internetJ4 : • optimiser sa visibilité en utilisant les réseaux sociauxJ5 : • mesurer et interpréter sa visibilité sur internet

SEMAINE 10 : La postproductionJ1 : • les différentes étapes du processus de postproductionJ2 : • planning et organisation de la postproductionJ3 : • le montage imageJ4 : • le montage son et le mixageJ5 : • le laboratoire et les effets spéciaux

SEMAINE 11 : Panorama de la production audiovisuelleJ1 : • les chaines de télévision et le « cross média »J2 : • les différents genres de programmes audiovisuelsJ3 : • flux et stock : deux modes de production différentsJ4 : • les métiers de la production audiovisuelleJ5 : • la spécificité des contrats télévisuels ; • les assurances de production audiovisuelle.

SEMAINE 12 : Les spécificités de la production d’un jeu télévisé / divertissementJ1 : • le développement du conceptJ2 : • le rôle du chargé de production lors de l’étape

de préparationJ3 : • la collaboration avec le directeur de production ; • les contrats.J4 : • le tournage et la postproductionJ5 : • visite d’une régie et d’un studio

SEMAINE 13 : Les programmes audiovisuels : les émissions en directJ1 : • les types d’émissions en directJ2 : • l’évaluation des coûts et la recherche de financementsJ3 : • la rédaction des contrats de production

et la préparation de l’évènementJ4 : • le tournage, les contraintes techniques

et la postproductionJ5 : • la diffusion et les débouchés sur les nouveaux médias

SEMAINE 14 : La production de documentairesJ1 : • la préparation du projetJ2 : • le rôle du chargé de production au sein de l’équipe

de productionJ3 : • la rédaction des contrats de production et de diffusion ; • droit à l’image, droits de diffusionJ4 : • le tournage et la postproductionJ5 : • comprendre le web pour diffuser un programme.

SEMAINE 15 : Les magazinesJ1 : • le développement : l’évaluation du projet,J2 : • l’évaluation des coûts et la recherche de financements (1)J3 : • le tournage (en direct) et la postproductionJ4 : • visite d’un plateauJ5 : • bilan de la formation

SEMAINE 16 : Validation des compétences et stratégie professionnelleJ1 : • définir sa stratégie et son champs d’applicationJ2 : • le CV et la lettre de motivationJ3 : • simulation d’un entretienJ4 : • bilan de la formationJ5 : • examen final auprès d’un jury de professionnels

12 semaines de stage en entreprise comptant pour l’obtention du certificat.

12



ASSISTANT RÉALISATEUR : PARCOURS N° 227 semaines (945 heures) dont 12 semaines (420 heures) en entreprise

Du 09 septembre 2013 au 28 mars 2014

Coût global : 5 200 euros

Cette formation est certifiée par la Fédération de la Formation Professionnelle (FFP) et est en cours d’ho-mologation auprès de la Commission Nationale de la Certification Professionnelle (CNCP). Elle comprend 12 semaines de stage conventionné, de préférence sur un tournage.

Certificat d’Assistant réalisateur

LA PREPARATION DU TRAVAIL EN EQUIPE2 SEMAINES

SEMAINE 1 : Réussir son insertion dans une équipeJ1 : • cohésion du groupe et définition des attentes • présentation du contenu pédagogique avec le

formateur référent régisseur général • réflexion sur la stratégie professionnelle de chacun sur

la base des cv, lettres, objectifs individuels J2 : • contrôler son stress et son émotivité lors de la prise

de paroleJ3 : • savoir argumenter et convaincre J4 : • savoir surmonter les conflits et les obstaclesJ5 : • la place du régisseur dans l’équipe et ses rapports

avec les intervenants extérieurs • description du métier du régisseur et de ses adjoints

et stagiaires • ses principaux domaines d’activité, ses relations

avec les autres membres du tournage, ses missions

SEMAINE 2 : Mise à niveau informatique et présentation du secteur J1 : • mise à niveau sur Word et Excel et autres logiciels

utilisés en régie et particulièrement sur MACJ2 : • mise à niveau sur Word et Excel et autres logiciels

utilisés en régie et particulièrement sur MACJ3 : • les champs de compétence et de responsabilité

des différents métiers J4 : • le rôle du producteur dans le suivi et le financement

d’un film ou d’un programmeJ5 : • le rôle du régisseur, la réunion et l’organisation

des moyens matériels et logistiques, nécessaires au tournage d’un film

• simulation pratique d’implantation d’un tournage en extérieur pour évaluation des enjeux

L’APPROCHE LOGISTIQUE DU TOURNAGE6 SEMAINES

SEMAINE 1 : Les autorisations de tournage et l’accessibilité technique, logistique et administrative aux sitesJ1 : • les autorisations de tournage, Paris et banlieueJ2 : • les cas particuliers (1) : gares, aéroports, mer, Palais

de Justice, prisons, hôpitaux, châteaux, mairies, arméeJ3 : • les cas particuliers (2) : lieux (d’enseignement,

de culte, routes, autoroutes) ; film d’époque, cascades, SFX, moyens techniques particuliers (prise de vues aérienne, sous-marine, voitures travelling, grues…)

J4 : • approfondissement des notions sur le rôle du régisseur : l’évaluation des coûts et du budget prévisionnel pour la préparation et le tournage ;

• la sécuritéJ5 : • le rôle de la Mission Cinéma de la ville de Paris

SEMAINE 2 : La prise en compte des impératifs de production, la dimension juridique attachée au métier de régisseurJ1 : • le rôle des commissions régionales, • les modalités de tournage en province, • les transports, hébergements, • les tournages à l’étranger J2 : • la gestion des décors et des contrats • les implications juridiques, • les droits à l’image et les contrats de location J3 : • la distribution du scénario de court métrage

en vue des repérages, • les fournisseurs : le matériel de tournage • visite chez un fournisseurJ4 : • le rôle du directeur de production (1), • conventions collectives, • devis régie, • relations avec le régisseurJ5 : • le rôle du directeur de production (2), • les relations avec le producteur, • les comédiens et les techniciens

SEMAINE 3 : Mise en pratique et simulation 1 De la préparation au tournage : l’organisation et la supervision des moyens matériels et logistiquesJ1 : • les repérages artistiques, • début des repérages en vue du tournage

du court métrageJ2 : • le rôle du régisseur, ses relations avec le réalisateurJ3 : • le rôle du régisseur, ses relations avec l’équipe

technique et artistique • fin des repérages en vue du tournage, • repérage techniqueJ4 : • les champs de compétence et de responsabilité

du chef décorateur • préparation et envoi des autorisations de tournageJ5 : • introduction à l’administration de production /

les relations avec l’assistant réalisateur



SEMAINE 4 : Mise en pratique et simulation 2 De la préparation au tournage : l’organisation et la supervision des moyens matériels et logistiquesJ1 : • les champs de compétence et de responsabilité

du chef opérateur • réactions à la lecture du scénario et débriefing :

le dépouillement régieJ2 : • analyse de la préparation d’un film à partir

d’un cas pratique de scénario en TD : la difficulté de certains décors, la composition de l’équipe régie dans l’exemple choisi

J3 : • dépouillement régie, listes et feuilles de décors J4 : • retour sur les autorisations de tournage envoyées • préparation du tournage • prise en main du matériel du CEFPFJ5 : • les véhicules de jeu, • les itinéraires, • la bible et les feuilles de service

SEMAINE 5 : Le tournage d’un film, mise en situationJ1 : • préparation du tournage du court métrage de simulationJ2 : • préparation du tournageJ3 : • 1re journée de tournageJ4 : • 2e journée de tournageJ5 : • 3e journée de tournage

SEMAINE 6 : Semaine de validationLes modules 1 et 2 (culture générale + régie) donnent lieu à une première validation. Celle-ci consiste en un test écrit de culture générale et une soutenance de dossier de régie devant un jury professionnel (préparation de feuilles de service, demandes d’autorisation de tournage, listes et coûts fournisseurs, repérages…)

J1 : • débriefing de la simulation • évaluation du dérushage • lecture de la séquence choisie pour l’examen • repérages techniques avec le formateur en vue de

la constitution du dossier pour la soutenance oraleJ2 : • examens écrits : QCM, test d’autorisation de tournage,

questions ouvertes • préparation des dossiers en vue de la soutenance oraleJ3 : • préparation du dossier de validation des modules 1 & 2J4 : • préparation du dossier de validation des modules 1 & 2J5 : • soutenance orale face à un jury de professionnels

LE TRAVAIL D’ASSISTANT MISE EN SCENE7 SEMAINES

SEMAINE 1 : Le rôle de l’assistant réalisateur et ses techniques Cas Pratiques à partir d’un scénario de long métrage (répartition par groupe pour les jours 3, 4 et 5)J1 : • Le recrutement de l’assistant à la réalisation • L’importance et les responsabilités d’un assistant

réalisateur. • Les qualités et compétences requises • Le travail avec le réalisateur, les choix de réalisation • Cas pratique : lecture du scénario,

les bonnes questions à poser

J2 : • La prise en compte des impératifs de production (économiques et sociaux)

• Le travail avec le régisseur général et le directeur de production

• L’animation d’une équipe sur le tournage et analyse des différents types de tournage

• Le travail avec les principaux chefs de postes, • Le recrutement d’une équipe de réalisation

(2e et 3e assistant) • Présentation de l’ensemble des documents fournis

par l’assistant en préparationJ3 : • Le réalisateur :

- Savoir lire un découpage technique, comprendre un story-board

- Cas pratique : évaluation du temps de tournage d’une scène.

• Le chef opérateur : Temps de préparation, d’installation technique et de tournage (voiture travelling, avion, train…)

J4 : • Premier dépouillement général (1) : Cas pratique : dépouillement d’une scène du long métrage

• La scripte : - Cas pratique : minutage d’une séquence- Cas pratique : continuité des 5 premières séquences.

J5 : • Présentation du logiciel MMS (Movie Magic Scheduling) • Présentation des moyens techniques utiles

à l’assistanat à la réalisation (Google Agenda, Google map, Google Group)

• Cas pratique : dépouillement des 5 premières séquences du film Répartition par groupes de 2 de l’ensemble du dépouillement général du film

SEMAINE 2 : Réalisation du premier dépouillement général, repérages, casting Cas Pratiques à partir d’un scénario de long métrage (répartition par groupe)J1 : • Cas pratique : premier dépouillement (2)J2 : • Cas pratique : premier dépouillement (3) • Cas pratique : finalisation des différentes

listes (décor, costumes, accesssoires, SFX, répétitions)

J3 : • Présentation du casting Rôles et Acteurs de complément • Etablissement des listes figuration par séquences

et par jour de tournage • Le rôle de chacun sur le plateau • Le directeur de casting et le chef de file :

Cas pratique : recherche de la figuration sur plusieurs séquences (méthodologie et mise en œuvre)

J4 : • Les options concernant la répartition des lieux de tournage

• Organisation des repérages • Les demandes de l’assistant réalisateur • Le repéreur :

Cas pratique : recherche d’un décor du film étudié • Le régisseur général :

Premières démarches en vue des autorisations de tournage (Mairie, Préfecture de police, sociétés d’autoroutes, passages de douane…).

J5 : • Le chef décorateur :- Organisation de son équipe et du travail de préparation- Son implication dans sa relation avec l’assistant

à la réalisation



SEMAINE 3 : Listes, casting et plan de travail Cas Pratiques (répartition par groupe) J1 : • Présentation des listes accessoires, costumes,

cascades, effets spéciaux, répétitions…J2 : • La costumière :

- En préparation : les essais HMC. - En tournage : les raccords sur le plateau

• L’accessoiriste :- En préparation : présentation des accessoires. - En tournage, les raccords, la disponibilité face

aux demandes de dernière minute.J3 : • Cas pratique : finalisation du dépouillement général

après interventions des différents techniciens : décors, costumes, accessoires, SFX,

J4 : • Présentation du plan de travail • Les différents outils d’aide à l’établissement d’un plan

de travail • Cas pratique : sur les 5 premières séquencesJ5 : • Présentation du plan de travail sur MMS

SEMAINE 4 : Plan de travail grille et Logiciel MMS Cas Pratiques (répartition par groupe)J1 : • Cas pratique : établissement du plan de travailJ2 : • Cas pratique : report du plan de travail sur grille ExcelJ3 : • Cas pratique : plan de travail définitifJ4 : • Cas pratique : les différents calendriers,

les « red flag », les « banners »J5 : • Cas pratique : regroupement et vérification

des documents MMS report du plan de travail MMS sur grille Excel

SEMAINE 5 : Le tournage (1) Cas pratiques (répartition par groupe)J1 : • Présentation de la feuille de service • Cas pratique : rédaction des feuilles de service

des 5 premiers jours de tournage selon le plan de travail grille établi précédemment

J2 : • Le directeur de production : - Le représentant légal du producteur, garant du

respect des règles du travail, les conventions collectives, les tarifs, règles d’hygiène et de sécurité

- La problématique du stagiaire sous convention (en préparation et sur le tournage)

- Présentation par les stagiaires du plan de travail et des feuilles de service

J3 : • La transition entre préparation et tournage • Finalisation et distribution des documents • Le 2e Assistant de Réalisation :

Les responsabilités des 2e et 3e assistants à la réalisationJ4 : • Visite chez un loueur de matériel • Le 1er assistant réalisateur :

Spécialisé aux tournages étrangers en FranceJ5 : • Le réalisateur :

Sa relation avec l’assistant à la réalisation en préparation et sur le tournage

SEMAINE 6 : Le tournage (2) Rencontre avec les principaux techniciens du filmJ1 : • Répartition géographique et répartition des tâches

sur un tournage des divers techniciens et ouvriersJ2 : • La scripte :

Cas pratique : problématique de la continuité et des raccords sur le plateau

• L’ingénieur du son : Cas pratique : le matériel et la technique

La mise en œuvre sur le plateau et la collaboration entre l’ingénieur du son et les assistants à la réalisation

J3 : • Le chef opérateur : Les problématiques du tournage : l’élaboration de la lumière et du cadre

• Le régisseur général :Les problématiques du tournage : organisation au jour le jour

J4 : • Visite d’un tournage de long métrageJ5 : • Le producteur, • Le rôle de l’assistant dans le dialogue

entre la production et l’équipe • Mise en scène

SEMAINE 7 : Le tournage (3) Les prestatairesJ1 : • Les Cascadeurs :

- Présentation de séquences de films- Préparation et tournage

• Le dresseur animalier : - Présentation de séquences de films- Préparation des animaux

J2 : • Les SFX climatiques / les VFX numériques : - Présentation des différences à partir de séquences

de films, - Implacation dans la préparation et le tournage- Cas pratique : lecture et commentaire du découpage

technique du film par rapport au temps de tournage prévu. définition de l’ordre de tournage des plans, scène par scène d’une journée de tournage

J3 et J4 : • Exercice d’application :

A partir d’un scénario de court métrage, les stagiaires devront établir le dépouillement et les documents préparatoires à la concéption d’un plan de travail

J5 : • Visionnage du long métrage utilisé pour les cas pratiques • Bilan de la formation

Evaluation des acquis sous la forme d’un entretien oral devant un jury composé de professionnels en activité.




L’ASSISTANAT DE RÉALISATION PARCOURS N° 319 semaines (665 heures) dont 12 semaines (420 heures) en entreprise

Du 25 mars 2013 au 02 août 2013Du 04 novembre 2013 au 28 mars 2013

Coût par participant : 3 000 euros

Les élèves assimileront les connaissances et compé tences de base spécifiques au métier d’assistant de réalisation (2e assistant, dans la perspective de devenir 1er assistant) :

- préparer le tournage d’un film :• dépouillement d’un scénario• repérages et établissement du plan de travail • rédaction des feuilles de service• repérage et choix des lieux de tournage

- veiller au bon déroulement d’un tournage :• les relations de l’assistant de réalisation avec le réali-

sateur et ses collaborateurs (régisseur général, scripte, directeur de production)

• l’organisation des plans au cours d’une journée de tournage

• la vérification des listes de costumes, décors et accessoires

• l’organisation des répétitions avec les comédiens • la mise à jour du plan de travail et des feuilles de service

Les stagiaires Assistant réalisateurs sont au maxi-mum 12 par session, ce qui renforce la cohésion du groupe, l’efficacité des enseignements et la proximité avec les formateurs, avantages indispensables lors des tournages.

Le matériel a été rénové et enrichi fin 2007, incluant notamment des caméras HD ou des rails de travelling.

Un module consacré spécifiquement à l’insertion pro-fessionnelle aide les participants à préparer efficacement leur entrée sur le marché du travail et à maîtriser le multimédia.

Préparation au certificat d’assistant réalisateur – validé par la FFP7 semaines (245 heures)

SEMAINE 1 : Le rôle de l’assistant réalisateur et ses techniques. Cas Pratiques à partir d’un scénario de long métrage (répartition par groupe pour les jours 3, 4 et 5)J1 : • Le recrutement de l’assistant à la réalisation • L’importance et les responsabilités d’un assistant

réalisateur.

• Les qualités et compétences requises • Le travail avec le réalisateur, les choix de réalisation • Cas pratique : lecture du scénario, les bonnes

questions à poserJ2 : • La prise en compte des impératifs de production

(économiques et sociaux) • Le travail avec le régisseur général et le directeur

de production • L’animation d’une équipe sur le tournage et analyse

des différents types de tournage • Le travail avec les principaux chefs de postes, • Le recrutement d’une équipe de réalisation

(2e et 3e assistant) • Présentation de l’ensemble des documents fournis

par l’assistant en préparationJ3 : • Le réalisateur :

- Savoir lire un découpage technique, comprendre un story-board

- Cas pratique : évaluation du temps de tournage d’une scène.

• Le chef opérateur : Temps de préparation, d’installation technique et de tournage (voiture travelling, avion, train…)

J4 : • Premier dépouillement général (1) : Cas pratique : dépouillement d’une scène du long métrage

• La scripte : - Cas pratique : minutage d’une séquence- Cas pratique : continuité des 5 premières séquences.

J5 : • Présentation du logiciel MMS (Movie Magic Scheduling) • Présentation des moyens techniques utiles

à l’assistanat à la réalisation (Google Agenda, Google map, Google Group)

• Cas pratique : dépouillement des 5 premières séquences du film Répartition par groupes de 2 de l’ensemble du dépouillement général du film

SEMAINE 2 : Réalisation du premier dépouillement général, repérages, casting. Cas Pratiques à partir d’un scénario de long métrage (répartition par groupe)J1 : • Cas pratique : premier dépouillement (2)J2 : • Cas pratique : premier dépouillement (3) • Cas pratique : finalisation des différentes listes (décor,

costumes, accesssoires, SFX, répétitions)J3 : • Présentation du casting Rôles et Acteurs de complément • Etablissement des listes figuration par séquences

et par jour de tournage • Le rôle de chacun sur le plateau • Le directeur de casting et le chef de file :

Cas pratique : recherche de la figuration sur plusieurs séquences (méthodologie et mise en œuvre)



J4 : • Les options concernant la répartition des lieux de tournage.

• Organisation des repérages. • Les demandes de l’assistant réalisateur • Le repéreur :

Cas pratique : recherche d’un décor du film étudié • Le régisseur général :

Premières démarches en vue des autorisations de tournage (Mairie, Préfecture de police, sociétés d’autoroutes, passages de douane…).

J5 : • Le chef décorateur :- Organisation de son équipe et du travail de préparation- Son implication dans sa relation avec l’assistant

à la réalisation

SEMAINE 3 : Listes, casting et plan de travail Cas Pratiques (répartition par groupe) J1 : • Présentation des listes accessoires, costumes,

cascades, effets spéciaux, répétitions…J2 : • La costumière :

- En préparation : les essais HMC. - En tournage : les raccords sur le plateau

• L’accessoiriste : - En préparation : présentation des accessoires. - En tournage, les raccords, la disponibilité

face aux demandes de dernière minute.J3 : • Cas pratique : finalisation du dépouillement

général après interventions des différents techniciens : décors, costumes, accessoires, SFX,

J4 : • Présentation du plan de travail • Les différents outils d’aide à l’établissement d’un plan

de travail • Cas pratique : sur les 5 premières séquencesJ5 : • Présentation du plan de travail sur MMS

SEMAINE 4 : Plan de travail grille et Logiciel MMS Cas Pratiques (répartition par groupe)J1 : • établissement du plan de travailJ2 : • report du plan de travail sur grille ExcelJ3 : • plan de travail définitifJ4 : • les différents calendriers, les « red flag »,

les « banners »J5 : • regroupement et vérification des documents MMS • report du plan de travail MMS sur grille Excel

SEMAINE 5 : Le tournage (1) Cas pratiques (répartition par groupe)J1 : • Présentation de la feuille de service • Cas pratique : rédaction des feuilles de service des

5 premiers jours de tournage selon le plan de travail grille établi précédemment

J2 : • Le directeur de production : - Le représentant légal du producteur, garant du respect

des règles du travail, les conventions collectives, les tarifs, règles d’hygiène et de sécurité

- La problématique du stagiaire sous convention (en préparation et sur le tournage)

- Présentation par les stagiaires du plan de travail et des feuilles de service

J3 : • La transition entre préparation et tournage • Finalisation et distribution des documents • Le 2e Assistant de Réalisation :

Les responsabilités des 2e et 3e assistants à la réalisation

J4 : • Visite chez un loueur de matériel • Le 1er assistant réalisateur :

Spécialisé aux tournages étrangers en FranceJ5 : • Le réalisateur :

Sa relation avec l’assistant à la réalisation en préparation et sur le tournage

SEMAINE 6 : Le tournage (2) Rencontre avec les principaux techniciens du filmJ1 : • Répartition géographique et répartition des tâches

sur un tournage des divers techniciens et ouvriersJ2 : • La scripte :

Cas pratique : problématique de la continuité et des raccords sur le plateau

• L’ingénieur du son : - Cas pratique : le matériel et la technique - La mise en œuvre sur le plateau et la collaboration

entre l’ingénieur du son et les assistants à la réalisationJ3 : • Le chef opérateur :

Les problématiques du tournage : l’élaboration de la lumière et du cadre

• Le régisseur général :Les problématiques du tournage : organisation au jour le jour

J4 : • Visite d’un tournage de long métrageJ5 : • Le producteur, • Le rôle de l’assistant dans le dialogue entre la production

et l’équipe • Mise en scène

SEMAINE 7 : Le tournage (3) Les prestatairesJ1 : • Les Cascadeurs :

- Présentation de séquences de films- Préparation et tournage

• Le dresseur animalier : - Présentation de séquences de films- Préparation des animaux

J2 : • Les SFX climatiques / les VFX numériques : - Présentation des différences à partir de séquences

de films, - Implacation dans la préparation et le tournage- Cas pratique : lecture et commentaire du découpage

technique du film par rapport au temps de tournage prévu. définition de l’ordre de tournage des plans, scène par scène d’une journée de tournage

J3 et J4 : • Exercice d’application :

A partir d’un scénario de court métrage, les stagiaires devront établir le dépouillement et les documents préparatoires à la concéption d’un plan de travail

J5 : • Visionnage du long métrage utilisé pour les cas pratiques • Bilan de la formation

Evaluation des acquis sous la forme d’un entretien oral devant un jury composé de professionnels en activité.



RÉGISSEUR DE FICTION : PARCOURS N° 420 semaines (700 heures) dont 12 semaines (420 heures) en entreprise

Du 09 septembre 2013 au 24 janvier 2014

Coût par participant : 3 000 euros

Les élèves apprendront les bases du métier de régisseur adjoint, dans la perspective de devenir régisseur général. Les régisseurs peuvent aussi souvent s’orienter vers les métiers de directeur de production et d’assistant réalisateur.

La première semaine d’enseignement présente les champs de compétence et de responsabilité des dif-férents métiers du cinéma, car le régisseur adjoint doit comprendre parfaitement la répartition des tâches sur un tournage et aura à collaborer avec tous les chefs de poste.

Durant une seconde partie de quatre semaines, les stagiaires assimilent les connaissances et compé-tences de base spécifiques à la régie de tournage. - le rôle du régisseur général et de ses adjoints- le matériel de tournage, visite d’une société de location

de matériel- les repérages, les autorisations, la gestion des décors, la

logistique, les véhicules, les cascades, les transports de matériel et des rushes

- les voyages, les défraiements, l’hébergement de l’équipe de tournage, les itinéraires, la bible et la feuille de service

- l’hygiène et la sécurité, les assurances - visite d’un plateau de tournage- mise en place d’une logistique de tournage

SEMAINES 1 ET 2LA PREPARATION DU TRAVAIL EN EQUIPE

SEMAINE 1 : Réussir son insertion dans une équipeJ1 : • Cohésion du groupe et définition des attentes • Présentation du contenu pédagogique avec le

responsable pédagogiqueJ2 : • Contrôler son stress et son émotivité lors de la prise

de paroleJ3 : • Savoir argumenter et convaincre J4 : • Savoir surmonter les conflits et les obstaclesJ5 : • Description du métier du régisseur, ses principaux

domaines d’activité, ses relations avec les autres membres du tournage, ses missions.

SEMAINE 2 : Mise à niveau informatique et présentation du secteur J1 : • Mise à niveau sur Word et Excel et autres logiciels,

utilisés en régie et particulièrement sur MACJ2 : • Mise à niveau sur Word et Excel et autres logiciels,

utilisés en régie et particulièrement sur MACJ3 : • Les champs de compétence et de responsabilité

des différents métiers sur un plateau et en productionJ4 : • Le rôle du producteur dans le suivi et le financement

d’un film J5 : • Simulation pratique d’implantation d’un tournage

en extérieur pour l’évaluation des enjeux.

SEMAINE 3 À 8LE TRAVAIL DU REGISSEUR

SEMAINE 3 : Les autorisations de tournage et l’accessibilité technique, logistique et administrative aux sitesJ1 : • Les autorisations de tournage Paris et banlieueJ2 : • Les cas particuliers (1) : gares, aéroports, mer, Palais

de Justice, prisons, hôpitaux, châteaux, mairies, armée • Le rôle de la Mission Cinéma de la ville de Paris J3 : • Les cas particuliers (2) : lieux d’enseignement,

lieux de culte, routes, autoroutes, films d’époque • Le pôle cinéma de la SNCF : Autorisations de tournage

et contraintes.J4 : • Les cas particuliers (3) : les SFX, cascades,

moyens techniques particuliers (prise de vue aérienne, sous marine, voitures traveling,grues

• Les champs de compétence et de responsabilité du chef décorateur

J5 : • Approfondissement des notions sur le rôle du régisseur : la réunion et l’organisation des moyens matériels et logistiques nécessaires au tournage d’un film.

• Les fournisseurs et le matériel technique.

SEMAINE 4 : La prise en compte des impératifs de production, la dimension juridique attachée au métier de régisseurJ1 : • Le rôle des commissions régionales, • Les modalités de tournage en province, les transports,

hébergements, • Les tournages à l’étranger, J2 : • La gestion des décors et des contrats de mise

à disposition • Les implications juridiques, les droits à l’image

et les contrats de locations J3 : • L’administrateur de production (bons de commande,

devis) • Visite sur un plateau de tournage de fiction


J4 : • Le rôle du directeur de production : devis régie, relations avec le producteur, les comédiens et les techniciens

J5 : • Les assurances • La convention collective.

APPLICATION DES NOTIONS ABORDÉES LORS DES PREMIÈRES SEMAINES À PARTIR DU SCÉNARIO D’UN LONG MÉTRAGE

SEMAINE 5 : Chronologie de la préparation d’un long métrage J1 : • Distribution d’un scénario de long métrage et entretien

avec le réalisateur • Le dépouillement régie du scénario, préparation

des autorisations de tournageJ2 : • Le dépouillement régie du scénario (2)J3 : • La difficulté de certains décors, la composition

de l’équipe régie les listes et les feuilles de décorsJ4 : • Le chef opérateur (ses responsabilités et son champ

de compétence) et ses relations avec le réalisateur et le régisseur général

J5 : • Hygiène et sécurité sur les plateaux.

SEMAINE 6 : Les repérages du long métrage Cette sixième semaine est consacrée aux repérages de plusieurs séquences d’un long métrage. Les stagiaires doivent prendre en compte les remarques du réalisateur tout en tenant compte du budget régie et les contraintes que les décors peuvent susciter (nuisances sonores, éloignement entre les décors… )

J1 : • Repérage artistique (recherche de décors)J2 : • Repérage artistique (recherche de décors)J3 : • Repérage artistique (recherche de décors)J4 : • Présentation des repérages au réalisateurJ5 : • Repérage technique avec le réalisateur et le formateur

référent.

SEMAINE 7 : La préparation du tournage : l’organisation et la supervision des moyens matériels et logistiquesJ1 : • L’assistant réalisateur (son rôle, ses outils, sa relation

avec le régisseur général)J2 : • Le dépouillement régie, listes et feuilles de décors J3 : • La préparation des autorisations de tournage

des décors choisis en semaine 4 par le réalisateurJ4 : • Visite chez un fournisseur • Le devis régie des séquences choisis en semaine 4J5 : • Visite d’un studio de prise de vue.

SEMAINE 8 : Semaine de validationPréparation du dossier pour l’évaluation des acquis sous la forme d’un examen écrit et d’une soutenance orale devant un jury professionnel (régie d’un long métrage (feuilles de service, demandes d’autorisation de tournage, listes et coûts fournisseurs, repérages… ).

J1 : • Examen écrit : QCM, test d’autorisation de tournage, questions ouvertes, lecture de la séquence choisie pour l’examen.

J2 : • Repérages techniques avec le formateur en vue de la constitution du dossier

J3 : • Préparation du dossierJ4 : • Préparation du dossier J5 : • Soutenance orale du dossier face à un jury de

professionnels comprenant un directeur de production, un régisseur général et un producteur de long métrage


LISTE DES FORMATEURS


PRODUCTION

cinéma

Institutions :• Sophie BOUDON-VANHILLE (Mairie

de Paris)• Diane CESBRON (Cofiloisirs)• Elsa COHEN (Conseil Régional

Île-de-France)• Sébastien COLIN (Conseil Régional

Île-de-France)• Elsa COMBY (CNC)• Lyliane CROSNIER (MEDIA Desk

Paris)• Catherine DELALANDE (Région

Bretagne)• Philippe GERMAIN (Agence du CM)• Morad KERTOBI (CNC)• Valérie LEPINE-KARNIK (CNC)• Agnès LECLERCQ (Coficine)• Christine MAZEREAU (MEDIA Desk

Paris)• Pierre-François PIET (Uni Etoile)

Marketing :• Christophe KERAMBREN (Blue

Helium)• Jean Patrick FLANDE (Films Média

Consultant)• MARQUES ET FILMS

Producteurs :• Fabrice BONNIOT• Frédéric BOURBOULON• Gabriele BRENNEN• Boudjema DAHMANE• Aïssa DJABRI• Elise JALLADEAU• Christophe KOURDOULY• Judith LANGEROME• Mehdi SABBAR• Corentin SENECHAL• Camille GENTET

Distribution et vente :• Daniel CHABANNES (Epicentre)• Frédéric MONNEREAU (UIP)• Mima FLEURENT (Abares

Productions)

Directeurs de production :• Fabrice BLANCHO• Jacques BONTOUX• Pierre CHALONS• Béatrice CHAUVIN• Daniel CHEVALIER• Hervé DUHAMEL• Aude GIRARD

• Claude GUYMONT• Jean-Louis NIEUWBOURG• Olivier RECHOU• Philippe ROUX• Frédéric SAUVAGNAC• Marie-Rose VENUTI

Administrateurs de production :• Anne DEGREMONT• Frédéric GREENE• Didier MASSERET• Corentin SENECHAL• Bernadette ZINCK

Régisseurs :• Kader DJEBRA• Philippe BAISADOULI• Stéphan GUILLEMET• Laurence LAFITEAU• Pierre-Yves LE STUM• Damien SAUSSOL• Aurélien GERBAULT

Assistants de production :• Marianne CAMPOS• Barbara CANOVAS

audiovisuel

Institutions :• Rémi SAUVAGET (CNC)• Vincent GISBERT (SPECT)• Maxime PANNETIER (NPA

CONSEILS)

Producteurs :• Hubert BESSON• Patrick BENEDEK• Barbara BERNARD• Marc-André BRUNET• Fabrice CONCA• Emmanuel DAUCE• Denis HARTNAGEL• Flore MONGIN• Gonzague PICHELIN• Jean-Philippe RAYMOND• Laurent SEGAL• Pascal WYN• Jan VASAK• Bénédicte LESAGE• Takis CANDILIS• Eric DAMAIN• Xavier FREQUANT

Chaînes de télévision :• Stéphane BERTIN• Alexandre CAZERES (France3)

• Marie-Pierre GREGOIRE (ARTE France)

• Linda HORTHOLAN (Citizen TV)• Jean ROUI• Françoise TSITSICHVILI (ARTE

France)• Hélène VAYSSIERES (ARTE France)

Directeurs de production :• Cyrille BENCHIMOL• Alexandra KRAWCZYK• Cédric LACOLLEY• Emmanuel MATT• Laurent CHOMEL• Frédéric LARY

Chargés de production :• Linda BELKADI• Joséphine SEROR• Alexandre SIMONNET• Pascal VONHATTEN• Stéphanie DESSAUD-DELAYE

Avocats, consultants, experts-comptables, compagnies d’assurances :• Jean-Claude BEINEIX (Assurances

Continentales)• Myriam LOSEGO (Cabinet Bellan)• Anne Séverine LUCAS (Gras

Savoye)• Philippe POUMARAT• Eric SANCHEZ (Cabinet Praxor)• Henri LARMARAUD• Frédéric PLAN• Patrick VILBERT• Aurélie KESSOUS• Anne-Marie PECORARO• Céline CUVELIER (Bcube)• Claire BOUCHENARD (BCube)• Laurence BENHAMOU

Intervenants spécialisés, maîtres de conférences :• Bruno DELARUE• Nicolas LACASSAGNE• Barthélemy MARTINON• Françoise TASSERA• Didier SAPAUT

PLATEAU

Assistants réalisateurs :• Patrick ARNISEN• Laurent BOURDIER• Jérôme BRIERE• Alan CORNO

LISTE DES FORMATEURS


• Yann CUINET• Thierry GUERINEL• Denis IMBERT• Stéphane LECOZ• Delphine LEMOINE• Pascal MORUCCI• Gilles SIONNET• Max MAGNAN

Décorateurs :• Laurent ALLAIRE• Jean-Jacques GERNOLLE• Jean-Marc KERDELHUE• Claire DAGUE• Yves FOURNIER• François-Renaud LABARTHE• Anne Charlotte VIMONT• Thierry JAULT

Ingénieurs du son :• Pascal ARMANT• Anne BOURCIER• Nicolas CANTIN• Pierre EXCOFFIER• Xavier PIROELLE• David RIT• Didier SAÏN

Chefs opérateurs, cadreurs :• Pierre AÏM• Mathieu CZERNICHOW• Eric GUICHARD• André LAFFONT• Frédéric MARTIAL-WETTER• Vincent MATHIAS• Benoît REGNARD• Jean-Sébastian SEGUIN• Frédéric SERVE• Myriam TOUZE• Fréderic VIAL• Philippe WELT

Scriptes :• Olivia BRUYNOGHE• Joëlle HERSANT• Véronique HEUCHENNE• Charles JODOIN-KEATON• Sylvie KOECHLIN• Julie LUPO• Claire VANDEBEEK• Zoé ZURSTRASSEN

ÉCRITURE & RÉALISATION

Scénaristes, script-doctors :• Julie DEMAY• Sandrine HENRY• Rania MEZIANI• Jean-Marie ROTH• Sabine HOGREL• Benjamin DUPONT JUBIEN• Hervé HADMAR• Nicolas DURAND ZOUKY• Dan FRANCK• Délinda JACOBS• Claude SCASSO• Vincent COLONNA

Nouvelles technologies :• Valérie BOURGOIN-CONTY• Bérangère CONDOMINES• Antoine DISLE• Sylvie GIORGIADES• Bruno ESMADJA• Marc EYCHENNE• Caroline JOLIVET• Frédéric JOSUE• Benoît LABOURDETTE• Claire LEPROUST• Alok NANDI• Vincent PUIG• Bruno RAYMOND-DAMASIO• Frédéric ROSSIGNOL (Europe

Images)

cinéma

Réalisateurs :• Thierry BINISTI• Mikael BUCH• Bris CAUVIN• Harry CLEVEN• Laurence FERREIRA BARBOSA• Denis LARZILLIERE

audiovisuel

Réalisateurs :• Antoine CAPLIEZ• Maria-Lucia CASTRILLON• Jean Teddy FILIPPE• Delphine LEMOINE• Emmanuel MALHERBE• Stéphane MERET• Serge MEYNARD• Alexis SARINI• Gilles VIENNOIS• Louis VILLERS

COMÉDIENS

Direction d’acteurs, jeu devant la caméra :• Ludovic BERTHILLOT• Franck CABOT-DAVID• Olivier PARENTY• Bruno PUTZULU

Agents artistiques, distribution artistique :• Emmanuel BOUTET (Dynamite)• Sophie LEMAITRE• Gérard MOULEVRIER• Angy PELTIER (Angy n’CO)• Maya SERRULLA• Soria MOUFAKKI

Communication :• Béatrice BOURCART• Florence LLORENS• Suzanne GIRARD

Critique, journaliste :• Alexandre LETREN• Isabelle NATAF (Figaro)

POSTPRODUCTION

• Patrice ABAUL• Nicolas BACOU• Cécile CHAGNIAUD• Arnaud CHELET• Catherine CONSTANT-GRISOLET• Eric DAMAIN• Aymeric DUPAS• Frédéric DORNER• Eric DURIEZ• Philippe HESLER • Hubert Maxime FOURNEAUX• Pascal GIROUX• Pierre HUOT• Jean-Pierre LAFORCE• Eric LEGARÇON• Anne LE QUEAU• Anne Marie L’HOTE• Nicolas LIM• Jean Sébastien LEROUX• Jeanne MARCHALOT• Frank MONTAGNE• Nadine MUSE• Hugues NAMUR• Melissa PETITJEAN• Julie PICOULEAU• Catherine RENAULT• Alexandre ROBINNE• David CANGARDEL• Pauline CASALIS• Suzanne FENN• Pierre GOUPILLON• Douglas JACOBS• Bridget O’DRISCOLL• Ghislain RIO• Emmanuel SAJOT• Catherine STRAGAND• Brigitte TIJOU• Nadine VERDIER• Laurence HAMEDI• Frederic THERY• Stéphanie PEDELACQ• Joel JACOVELLA

informatique

• Julien NEDELEC• Sébastien ABRAHAM

CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE


I . INSCRIPTIONToute personne souhaitant suivre l’un des programmes du CEFPF doit au préalable rencontrer l’un des responsables du service « sélection, orientation et suivi des stagiaires ». Celui-ci détermine si le candidat satisfait aux pré-requis du stage de manière à constituer son dossier. Les stagiaires reconnaissent avoir pris connaissance, au cours de l’entretien d’orientation, de l’ensemble des informations relatives aux unités pédagogiques. Ils ont, au cours de cet entretien, déterminé leur choix concernant la formation qu’ils vont suivre.Les candidats doivent respecter les critères de prise en charge et les délais de dépôt de dossier, prévus par leur fonds de formation.Les inscriptions sont effectuées dans la limite des places disponibles et sous réserve de la confirmation de prise en charge par le fonds de formation. Chaque stagiaire reçoit une convocation la semaine précédant son entrée en formation.

II . ANNULATION, ABSENCE ET REPORTToute annulation doit être signalée au CEFPF et au fonds de formation le plus tôt possible avant le stage, par téléphone et par confirmation écrite.Toute absence injustifiée au cours de la formation est facturée directement au stagiaire selon le tarif en vigueur. Tout report doit être signalé au CEFPF et au fonds de formation une semaine au plus tard avant le début du stage. Dans ce cas, le stagiaire est inscrit prioritairement à la session suivante, sous réserve des places disponibles et de l’accord du fonds de formation.

III . RÈGLEMENTToute part de financement individuel doit être réglée par le stagiaire avant son entrée en stage.

IV . LOGICIELS INFORMATIQUESConformément à l’article 122-6 du Code de la Propriété Intellectuelle, le stagiaire est tenu de n’introduire aucun logiciel dans les ordinateurs du CEFPF. De même, il est tenu de ne pas recopier de logiciels pour son usage personnel. Tout contrevenant s’expose à des poursuites.

V . GARANTIESLe CEFPF ne pourra être tenu responsable des modifications survenues à la suite d’événements indépendants de sa volonté, en particulier en cas d’annulation d’un stage par suite d’une insuffisance d’inscriptions.L’ensemble des formateurs étant des professionnels, le CEFPF se réserve le droit de changer de formateur ou de reporter l’intervention à une date ultérieure pendant la durée du stage, en cas d’indisponibilité de dernière minute de l’intervenant initialement prévu.

C.G.V. CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE

Centre Européen de Formation à la Production de Films

ÉTABLISSEMENT D’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE OUVERT DANS LE CADRE DU CODE DE L’ÉDUCATION

26/02/2013

Le CEFPF - Association à but non lucratif régie par la loi du 1er juillet 1901Siret 391 794 583 00040 Code APE 8559A N° de déclaration préfecture de Paris 11 75 192 997 5

CENTRE PRIVÉ EUROPÉEN DE FORMATION À LA PRODUCTION DE FILMS

ACCUEIL DU PUBLIC19 et 19 bis, rue de la Justice 75020 Paris

NOUS CONTACTERPAR COURRIER28, rue du Surmelin75020 Paris

Standard : 01 40 30 22 35Fax : 01 40 30 41 69Email : [email protected]

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Hôpital TenonHôpital Tenon

Rue des Rondeaux

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Rue de la Chine

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Rue des Envierges

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Rue de la Cour des N oues

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Rue des Prairies

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Rue Soleillet

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Rue des MuriersRue des Muriers

Rue des P artants

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Rue des Amandiers

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Rue de T lemcen

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Rue DésiréeRue Désirée

Rue RobineauRue Robineau

Rue Sorbier

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Rue d'Eupatoria

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Rue Fernand Léger

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Rue DurisRue Duris

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Rue des Cendriers

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20eArrondissement

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BagnoletBagnolet

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Map data © OpenStreetMap (and) contributors, CC-BY-SAMap data © OpenStreetMap (and) contributors, CC-BY-SA1 : 7,6071 : 7,607

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