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Améliorer par l’auto-évaluation la gestion des connaissances dans une organisation OUTIL D’AUTO-ÉVALUATION GESTION DES CONNAISSANCES destiné aux dirigeants de l’administration fédérale

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Améliorer par l’auto-évaluationla gestion des connaissances dans une organisation

OUTIL D’AUTO-ÉVALUATIONGESTION DES CONNAISSANCESdestiné aux dirigeants de l’administration fédérale

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INTRODUCTION 3

1. Mener une politique de gestion des connaissances 3

2. L’Outil d’auto-évaluation Gestion des connaissances :objectif et mode d’emploi 4

Pour qui ? 4Pourquoi ? 4Comment l’outil d’auto-évaluation est-il construit ? 4Comment utiliser l’outil d’auto-évaluation ? 6

L’OUTIL D’AUTO-ÉVALUATION GESTION DES CONNAISSANCES 8

Partie 1 : Facteurs organisationnels

1. Leadership 92. Stratégie & Planification 103. Gestion des ressources humaines 114. Partenariats & Ressources 125. Gestion des processus 13

Partie 2 : Résultats

6. Résultats auprès du citoyen/client 157. Résultats auprès du personnel 168. Résultats auprès de la société 179. Résultats sur les performances-clés 18

OUTIL D’AUTO-ÉVALUATIONGESTION DES CONNAISSANCES

connaissances

OUTIL D’AUTO-ÉVALUATION GESTION DES CONNAISSANCES 3

Pour remplir sa mission de façon efficace et efficiente, toute organisation doit pouvoirmobiliser à chaque instant les connaissances dont elle a besoin. Mener une politiquede gestion des connaissances vise à préserver les connaissances utiles disponibleset à développer celles qui sont rares ou font encore défaut dans l’organisation. Lagestion des connaissances n’est pas une fin en soi, mais un levier puissant pour l’amé-lioration des résultats de l’organisation.

La gestion des connaissances se préoccupe

• des connaissances explicites, formalisables (règles, procédures, modes d’emploi,savoirs académiques, etc.),

• des connaissances implicites (façons de faire devenues automatiques, savoirs issusde l’expérience, etc.).

Les connaissances concernées ne sont pas seulement des savoirs individuels, maisaussi et surtout des savoirs collectifs : plus la collaboration et l’échange entre les indi-vidus et les groupes sont productifs, plus vastes et évolutives sont les connaissances dis-ponibles. Ces connaissances ne sont pas exclusivement des connaissances “métiers” :il s’agit également des connaissances relatives à la mission, aux valeurs et à la culturede l’organisation, indispensables elles aussi.

Encourager les membres du personnel à suivre des formations est nécessaire, mais insuf-fisant, car toutes les connaissances – en particulier les connaissances implicites et lesconnaissances collectives – ne s’enseignent pas en salles de cours. Pour que les connais-sances utiles soient partagées, développées, enregistrées et diffusées, les dirigeantsdevront agir à tous les niveaux: culture et leadership, stratégie, gestion des ressources humai-nes, équipements et processus. C’est la condition d’une organisation apprenante.

Voici, à titre d’exemples, quelques défis en matière de gestion des connaissances :

• sauvegarder les connaissances menacées par le départ en retraite des seniors ;• acquérir dans un délai court une expertise nouvelle pour faire face à une nouvelle mission;• s’assurer qu’à une même question est fournie une réponse identique, quels que

soient le service contacté ou le canal d’information utilisé (téléphone, site internet,guichet).

1. Mener une politique de gestion des connaissances

INTRODUCTION

OUTIL D’AUTO-ÉVALUATIONGESTION DES CONNAISSANCES

mode d’emploi

OUTIL D’AUTO-ÉVALUATION GESTION DES CONNAISSSANCES4

2. L’Outil d’auto-évaluation Gestion des connaissances :objectif et mode d’emploi

> Pour qui ?

L’Outil d’auto-évaluation Gestion des connaissances est destiné aux organisationsde l’administration fédérale, qu’elles aient déjà développé ou non une politique de ges-tion des connaissances.

> Pourquoi ?

Il permet un diagnostic rapide à un moment donné, soit dans l’organisation entière, soitdans une partie de celle-ci (en particulier dans le cas de très grandes organisations).

Concrètement, l’outil d’auto-évaluation servira de support lors d’ateliers stratégiquesvisant

• la sensibilisation des participants aux enjeux et conditions de mise en œuvre de lagestion des connaissances;

• l’identification des points forts, des points faibles et des priorités de l’organisationen matière de gestion des connaissances, en vue d’un plan d’action;

• le suivi des progrès en gestion des connaissances, par une utilisation périodique del’outil (par exemple, annuelle).

Cet outil complète un autre outil mis à la disposition de l’administration fédérale :l’Instrument de réflexion Gestion des connaissances destiné aux équipes. Les deuxoutils sont complémentaires et indépendants car ils situent leur champ d’application à desniveaux différents: dans un cas, l’équipe ; dans l’autre, l’organisation.

> Comment l’outil d’auto-évaluation est-il construit ?

Il se présente sous la forme d’un questionnaire organisé selon le modèle CAF (Cadre d’Auto-évaluation des Fonctions publiques).

Le CAF est un instrument destiné à aider les organisations publiques européennes à uti-liser les techniques de management par la qualité pour améliorer leur performance. Lecadre d’analyse qu’offre le CAF est simple et facile à utiliser. Il est également complet,du fait qu’il identifie les principaux aspects d’une organisation à prendre en compte danstoute analyse organisationnelle.

OUTIL D’AUTO-ÉVALUATION GESTION DES CONNAISSANCES 5

Le Modèle CAFFACTEURS

INNOVATION ET APPRENTISSAGE

RESULTATS

1. Leadership

3. Gestiondes ressources

humaines

7. Résultatsauprès

du personnel

8. Résultatsauprès

de la société

6. Résultatsauprès

du citoyen/client

2. Stratégie&

Planification

5. Gestiondes

processus

9. Résultatssur les

performances-clés

4. Partenariats&

Ressources

L’Outil d’auto-évaluation Gestion des connaissances adopte les 2 volets et les9 rubriques du CAF :

• Les facteurs organisationnelsL’utilisateur de l’outil évalue les pratiques de gestion des connaissances dans son orga-nisation en prenant pour références les 30 bonnes pratiques proposées. Ces bonnes pra-tiques sont regroupées par facteurs.

• Les résultatsL’utilisateur évalue l’impact de ces pratiques à l’aide de 13 questions. Celles-ci sontregroupées par domaines de résultats.

1 Leadership2 Stratégie & Planification3 Gestion des ressources humaines4 Partenariats & Ressources5 Gestion des processus

6 Résultats auprès du citoyen/client7 Résultats auprès du personnel8 Résultats auprès de la société9 Résultats sur les performances-clés

OUTIL D’AUTO-ÉVALUATION GESTION DES CONNAISSSANCES6

IDENTIFIER ET DONNER UNE PRIORITÉAUX AMÉLIORATIONSLes résultats de l’auto-évaluation seront examinéspar la direction, afin d’identifier les domaines d’ac-tions prioritaires ainsi que les actions les plus appro-priées. Les résultats de l’auto-évaluation et lesactions d’amélioration seront communiqués à l’en-semble de l’organisation.

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EVALUER LES PROGRÈS ET FIXERDE NOUVEAUX OBJECTIFSIl sera utile de recourir de façon périodique à l’ou-til d’auto-évaluation, afin d’évaluer les progrès etde fixer de nouveaux objectifs.

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DÉVELOPPER ET METTRE EN ŒUVRELE PROGRAMME D’AMÉLIORATIONL’utilisation de l’outil d’auto-évaluation devrait idéa-lement initier ou appuyer une stratégie d’améliora-tion de la gestion des connaissances à long terme.Néanmoins, il sera utile, pour créer la confiance etasseoir la crédibilité du programme, d’initier rapide-ment des actions faciles à mener, aux résultatsvisibles. Il est recommandé d’impliquer les membresdu groupe d’évaluation dans la mise en œuvre desactions d’amélioration.

8

OBTENIR L’ENGAGEMENT DE LA DIRECTIONAvant de lancer un projet d’auto-évaluation, la direc-tion de l’organisation devra discuter et s’entendre surle but poursuivi et sur les modalités de la conduitede l’auto-évaluation. Un membre de la direction serachoisi comme sponsor du projet, chargé de soute-nir le chef de projet dans ses démarches.

DÉSIGNER UN CHEF DE PROJETIl pourra s’agir du responsable de la gestion desconnaissances ou de toute autre personne manda-tée pour diriger le projet. Sa mission sera de pren-dre en charge l’organisation de l’auto-évaluationdans ses différents aspects: la communication, laplanification, l’animation des ateliers et le rapportage.

COMPOSER LE GROUPE D’ÉVALUATIONLe chef de projet définira la composition du groupe quisera chargé de l’auto-évaluation. Ce groupe sera aussireprésentatif que possible de l’organisation, tout en res-tant, pour être efficace, limité en taille. Les membresseront issus des différents secteurs et niveaux de l’or-ganisation. La composition du groupe sera validée parle sponsor du projet.

INFORMER LE GROUPE D’ÉVALUATION ETSE CONCERTER SUR LA MÉTHODELe chef de projet informera le groupe d’évaluationdu but et des étapes du processus d’évaluation.Les membres seront invités à justifier leurs appré-ciations par des preuves (quelques mots-clés ànoter en regard des scores attribués). Afin de se pré-parer à l’évaluation individuelle, les membres dugroupe aborderont en commun une question liée auxfacteurs et une question liée aux résultats.

MENER L’ÉVALUATION INDIVIDUELLEChacun des membres du groupe procédera à uneévaluation individuelle. Le chef de projet dresseraensuite des tableaux reprenant les scores attribuésaux différentes questions.

RECHERCHER LE CONSENSUSAprès l’évaluation individuelle, le groupe se réunirapour confronter les résultats des uns et des autreset s’accorder sur des scores communs pour cha-que question. En cas de divergence, la discussionsera approfondie et les parties seront invitées àfournir des preuves. Si, après apport de preuves etdiscussion sur les divergences, le consensus nepeut pas être établi, le chef de projet calculera unscore moyen.

> Comment utiliser l’outil d’auto-évaluation ?

La mise en place d’un processus structuré permettra d’utiliser au mieux l’Outil d’auto-évaluation Gestion des connaissances. Les étapes présentées ci-dessous sont lar-gement inspirées de la méthodologie CAF, qui a fait ses preuves dans des contextes variés.

1

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6

OUTIL D’AUTO-ÉVALUATION GESTION DES CONNAISSANCES 7

D’autres modes d’utilisation de l’Outil d’auto-évaluation Gestion des connaissancessont également possibles, répondant à d’autres finalités. Ci-dessous, 3 variantes succinc-tement décrites :

CENTRER L’AUTO-ÉVALUATION SUR UNFACTEUR PARTICULIER, AFIN DE LIMITERLE CHAMPEn accord avec les priorités de son plan demanagement, la direction peut décider de foca-liser l’auto-évaluation de la gestion des connais-sances sur un facteur particulier à améliorer. Seules les questions relatives à ce facteurseront débattues et donneront lieu à des actionsd’amélioration.

MENER L’ÉVALUATION EN COMITÉ DEDIRECTION, AFIN DE DRESSER RAPIDEMENTUN PREMIER BILANLa direction peut souhaiter, dans un premier temps,ne pas constituer de groupe d’auto-évaluation repré-sentatif de l’organisation et mener elle-même l’auto-évaluation. Cette méthode peut répondre au soucide la direction de mieux appréhender les différen-tes facettes de la gestion des connaissances etde faire un premier bilan, avant d’impliquer les col-laborateurs.

CONSTITUER 2 GROUPES D’ÉVALUATION,AFIN DE CONFRONTER LES POINTS DE VUELa direction peut décider d’organiser le processusd’auto-évaluation avec 2 groupes fonctionnant demanière parallèle : un groupe composé des mem-bres de la direction et un groupe représentatif dupersonnel. La comparaison des convergences etdivergences dans les résultats donnera certaine-ment matière à réflexion.

Et bien sûr, tout usage créatif de l’outil d’auto-évaluation est le bienvenu.

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organisationnels

OUTIL D’AUTO-ÉVALUATION GESTION DES CONNAISSSANCES8

L’OUTIL D’AUTO-ÉVALUATION GESTION DES CONNAISSANCES

Partie 1 : Facteurs organisationnels

La partie 1 rassemble 30 bonnes pratiques en gestion des connaissances,groupées en 5 rubriques. Le plus souvent, des exemples illustrent la bonnepratique. Ils ne sont pas limitatifs et le score peut être positif sans que cha-que exemple soit d’application.Voici l’échelle proposée pour la notation des scores :

Cette échelle est croissante. Ainsi,

• une pratique est “évaluée après application” (4) si elle est entièrement appliquée etévaluée, mais qu’elle n’est encore ni adaptée après évaluation, ni transformée en pro-cessus systématique ;

• une pratique est devenue “un processus systématique” (6) si elle est appliquée, éva-luée, adaptée et complètement intégrée dans l’organisation.

Il est important qu’il y ait consensus au sein du groupe d’évaluation sur la façon d’inter-préter les scores. Exemples :

• le groupe peut convenir qu’une pratique est “planifiée” (1) quand un projet pour samise en oeuvre est décrit dans un document;

• le groupe peut décider qu’une pratique est “partiellement appliquée” (2) si elleconcerne au moins 10 % de l’organisation.

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uels

moy

ens

mob

iliso

ns-n

ous

pour

la g

estio

nde

s co

nnai

ssan

ces?

Not

re o

rgan

isat

ion

met

à p

rofit

ses

par

tena

riat

s po

urap

pren

dre

et d

écou

vrir

les

nouv

eaut

és e

t te

ndan

ces.

•Ex

empl

es- C

olla

bora

tion

avec

des

uni

vers

ités

et d

es o

rgan

ism

esde

rec

herc

he- P

arte

naria

t ave

c de

s ad

min

istr

atio

ns d

es a

utre

s ni

veau

xde

pou

voir

(com

mun

auté

s, r

égio

ns, e

tc.)

- Par

ticip

atio

n au

x as

soci

atio

ns p

rofe

ssio

nnel

les

(sec

teur

s pu

blic

et p

rivé)

Not

re o

rgan

isat

ion

expl

oite

ple

inem

ent

les

com

péte

nces

de s

es e

xper

ts.

• Ex

empl

es- D

escr

iptio

ns d

e fo

nctio

n ét

ablie

s en

col

labo

ratio

nav

ec le

s ex

pert

s du

mét

ier

- Con

tenu

s de

s fo

rmat

ions

bas

és s

ur le

urs

bonn

es p

ratiq

ues

Not

re o

rgan

isat

ion

inve

stit

dans

des

out

ils in

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atiq

ues

de g

estio

n de

s co

nnai

ssan

ces.

• Ex

empl

es- S

ite in

tern

et p

our

les

cito

yens

- Int

rane

t pou

r le

s co

llabo

rate

urs

- Pla

te-fo

rme

de g

estio

n do

cum

enta

ire e

t de

colla

bora

tion

- Bas

es d

e do

nnée

s

Des

con

vent

ions

et d

es r

ègle

s pe

rmet

tent

d’o

ptim

iser

l’us

age

des

outil

s in

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atiq

ues

et d

es r

esso

urce

s do

cum

enta

ires.

• Ex

empl

es- C

onfid

entia

lité

et d

roits

d’a

ccès

- Pla

ce d

es d

ocum

ents

sur

les

supp

orts

info

rmat

ique

s- D

ocum

ents

pré

form

atés

(tem

plat

es) e

t mod

èles

- Cha

mps

obl

igat

oire

s à

com

plét

er lo

rsde

l’en

regi

stre

men

t des

doc

umen

ts (m

étad

onné

es)

Dan

s no

tre

bâtim

ent,

l’esp

ace

est

amén

agé

pour

fav

oris

erla

col

labo

ratio

n et

les

renc

ontr

es.

• Ex

empl

es- C

oins

caf

é- A

gora

s- S

alle

s de

réu

nion

en

nom

bre

suffi

sant

Not

re o

rgan

isat

ion

inve

stit

dans

des

ser

vice

s de

sup

port

pour

la g

estio

n de

s co

nnai

ssan

ces.

• Ex

empl

es- C

entre

s de

doc

umen

tatio

n- S

ervi

ces

mul

timéd

ias

- For

mat

ion

à di

stan

ce (e

-form

atio

n)12

4

18 19 20 21 22 23

4

INEX

ISTA

NTE

0

PLAN

IFIÉ

E

1

PART

IELL

EMEN

TAP

PLIQ

UÉE

2

ENTI

ÈREM

ENT

APPL

IQUÉ

E3

ÉVAL

UÉE

APRÈ

SAP

PLIC

ATIO

N4

ADAP

TÉE

APRÈ

SÉV

ALUA

TIO

N5

UN P

ROCE

SSUS

SYST

ÉMAT

IQUE

6

CET

TE P

RAT

IQU

E ES

T...

PART

ENAR

IATS

& R

ESSO

URCE

S

Que

ls s

ont

les

proc

essu

s po

ur p

arta

ger,

dév

elop

per,

enr

egis

trer

et d

iffus

erle

s co

nnai

ssan

ces?

Avan

t, pe

ndan

t et

apr

ès u

ne t

âche

com

plex

e, d

esm

omen

ts d

e co

ncer

tatio

n av

ec d

es c

ollè

gues

expé

rim

enté

s so

nt p

révu

s.

Les

expe

rts

part

agen

t et

dév

elop

pent

leur

s co

nnai

ssan

ces

au s

ein

de r

ésea

ux.

• Ex

empl

es- C

omm

unau

tés

de p

ratiq

ue- C

entre

s de

com

péte

nces

Les

nouv

eaux

col

labo

rate

urs

sont

acc

ompa

gnés

pour

êtr

e ra

pide

men

t op

érat

ionn

els.

• Ex

empl

es- A

ccue

il- F

orm

atio

n de

bas

e- P

arra

inag

e

Les

conn

aiss

ance

s de

s ex

pert

s so

nt p

rése

rvée

slo

rsqu

’ils

quitt

ent

l’org

anis

atio

n.•

Exem

ples

- Par

rain

age

des

juni

ors

par

les

seni

ors

avan

t le

dépa

rt- T

rans

fert

des

con

nais

sanc

es c

ritiq

ues

lors

d’e

ntre

tiens

stru

ctur

és- F

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alis

atio

n de

s pr

océd

ures

util

isée

s

Des

initi

ativ

es s

timul

ent l

e dé

velo

ppem

ent d

’idée

s no

uvel

les.

• Ex

empl

es- F

orm

atio

ns e

n ré

flexi

on c

réat

ive

- Util

isat

ion

des

tech

niqu

es d

e br

ains

torm

ing

- Sup

port

à d

es p

roje

ts d

’inno

vatio

n

Les

conn

aiss

ance

s es

sent

ielle

s fo

nt l’

obje

td’

une

form

alis

atio

n.•

Exem

ples

- Réd

actio

n de

mod

es d

’em

ploi

, pro

cédu

res,

règ

les

de fo

nctio

nnem

ent,

norm

es d

e qu

alité

- Réd

actio

n de

“liv

res

de c

onna

issa

nces

”rep

rena

nt é

tude

s de

cas,

leço

ns ti

rées

de

l’exp

érie

nce,

réci

ts ri

ches

d’e

nsei

gnem

ent

Les

conn

aiss

ance

s de

s ex

pert

s so

nt d

ispo

nibl

eset

ais

émen

t lo

calis

able

s.•

Exem

ples

- Ann

uaire

des

exp

erts

- Site

inte

rnet

ave

c le

s qu

estio

ns fr

éque

mm

ent p

osée

s (F

AQ)

et la

doc

umen

tatio

n- P

erm

anen

ce té

léph

oniq

ue p

our

les

ques

tions

13

5

24 25 26 27 28 29 30

5

INEX

ISTA

NTE

0

PLAN

IFIÉ

E

1

PART

IELL

EMEN

TAP

PLIQ

UÉE

2

ENTI

ÈREM

ENT

APPL

IQUÉ

E3

ÉVAL

UÉE

APRÈ

SAP

PLIC

ATIO

N4

ADAP

TÉE

APRÈ

SÉV

ALUA

TIO

N5

UN P

ROCE

SSUS

SYST

ÉMAT

IQUE

6

CET

TE P

RAT

IQU

E ES

T...

GES

TIO

N D

ES P

ROCE

SSUS

résultatsPartie 2 : Résultats

La partie 2 comporte 13 questions relatives aux résultats produits par lespratiques en matière de gestion des connaissances dans l’organisation.Elles sont groupées en 4 rubriques. Comme précédemment, les exemplessont ajoutés à titre d’illustration et le score peut être positif sans que cha-que exemple soit d’application.L’évaluation s’opère en 3 étapes, auxquelles correspondent 3 tableaux àcompléter :

1. Comment connaissons-nous nos résultats ?

Le premier tableau permet d’établir si les résultats sont connus et sous quelle forme.Une bonne mesure se compose à la fois de récits (exemple : plaintes récurrentes) etde chiffres (exemple : le nombre de plaintes). Dans ce tableau, les réponses possiblessont “oui” ou “non”. Si vous répondez deux fois par la négative, cela signifie que vousne connaissez pas les résultats et qu’il n’est dès lors pas pertinent d’aller plus loin dansl’évaluation pour cette question.

2. Comment évaluons-nous nos résultats actuels ?

Les appréciations suivantes sont proposées: “insuffisants”, “suffisants” ou “très bons”.

3. Comment évaluons-nous l’évolution de nos résultats ?

Le troisième tableau demande de comparer les résultats actuels aux résultats obtenuslors de l’utilisation précédente de l’outil d’auto-évaluation (“en recul”, “identiques”, enprogrès”). Il restera donc vierge lors d’une première utilisation.

SI NOUS CONNAISSONS NOS ANCIENSET NOS NOUVEAUX RÉSULTATS,

COMMENT ÉVALUONS-NOUS LEUR ÉVOLUTION?COMMENT CONNAISSONS-NOUS

NOS RÉSULTATS?SI NOUS CONNAISSONS NOS RÉSULTATS,

COMMENT LES ÉVALUONS-NOUS?

INSUFFISANTS SUFFISANTS TRÈS BONSPAR DES RÉCITS PAR DES CHIFFRES EN RECUL IDENTIQUES EN PROGRÈS

OUI NON OUI NON 0 1 2 0 1 2

L’OUTIL D’AUTO-ÉVALUATION GESTION DES CONNAISSANCES

OUTIL D’AUTO-ÉVALUATION GESTION DES CONNAISSSANCES14

RÉSU

LTAT

S AU

PRÈS

DU

CITO

YEN

/CLI

ENT

15

Les

cito

yens

/clie

nts

et le

s au

tres

par

ties

pren

ante

s so

ntsa

tisfa

its d

e la

rap

idité

, de

la li

sibi

lité

et d

e l’e

xact

itude

des

info

rmat

ions

et

avis

com

mun

iqué

s.•

Exem

ples

- Nou

velle

s ré

glem

enta

tions

exp

liqué

es s

impl

emen

t- E

tude

s de

bon

ne q

ualit

é- R

épon

ses

aux

ques

tions

par

lem

enta

ires

rapi

des

et c

ompl

ètes

Les

cito

yens

/clie

nts

et le

s au

tres

par

ties

pren

ante

s so

ntsa

tisfa

its d

e la

con

vivi

alité

des

méd

ias

utili

sés

pour

com

mun

ique

r in

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atio

ns e

t av

is.

• Ex

empl

es- S

ites

Inte

rnet

con

vivi

aux

et p

erfo

rman

ts- C

all c

ente

rs e

ffica

ces

- Bro

chur

es e

t dép

liant

s fa

cile

s à

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ipul

er

Les

cito

yens

/clie

nts

et le

s au

tres

par

ties

pren

ante

s on

tun

e im

age

posi

tive

de n

otre

exp

ertis

e et

de

notr

e sa

voir-

faire

.•

Exem

ple

- Rec

ours

fréq

uent

s au

x se

rvic

es d

e no

s ex

pert

s

SI N

OU

S C

ON

NAI

SSO

NS

NO

S AN

CIE

NS

ET N

OS

NO

UVE

AUX

RÉS

ULT

ATS,

CO

MM

ENT

ÉVAL

UO

NS-

NO

US

LEU

R É

VOLU

TIO

N?

6

CO

MM

ENT

CO

NN

AISS

ON

S-N

OU

SN

OS

RÉS

ULT

ATS

?SI

NO

US

CO

NN

AISS

ON

S N

OS

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ULT

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ENT

LES

ÉVAL

UO

NS-

NO

US

?

INSU

FFIS

ANTS

SUFF

ISAN

TSTR

ÈS B

ON

SPA

R DE

S RÉ

CITS

PAR

DES

CHIF

FRES

EN R

ECUL

IDEN

TIQ

UES

EN P

ROGR

ÈS

OU

IN

ON

OU

IN

ON

01

20

1

31 32 33

6

La g

estio

n de

s co

nnai

ssan

ces

dans

not

re o

rgan

isat

ion

a-t-

elle

un

impa

ct s

ur le

cito

yen/

clie

nt e

t su

r le

sau

tres

par

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pren

ante

s (c

ellu

le s

trat

égiq

ue, p

arle

men

t, pr

esta

taire

s de

ser

vice

s, e

tc.)

?

Ces

ques

tions

peu

vent

faire

l’ob

jet d

e ré

pons

es d

istin

ctes

par

gro

upe-

cibl

e.

2

RÉSU

LTAT

S AU

PRÈS

DU

PERS

ON

NEL

16

Not

re o

rgan

isat

ion

disp

ose

de c

olla

bora

teur

s co

mpé

tent

s,en

nom

bre

suff

isan

t.•

Exem

ple

- Pou

rcen

tage

“ra

ison

nabl

e” d

e co

llabo

rate

urs

dans

leur

prem

ière

ou

dern

ière

ann

ée d

e ca

rriè

re

Les

colla

bora

teur

s po

sent

vol

ontie

rs d

es q

uest

ions

et

solli

cite

nt f

réqu

emm

ent

leur

s co

llègu

es.

• Ex

empl

e- C

onta

cts

fréq

uent

s et

con

vivi

aux

Les

colla

bora

teur

s so

nt v

olon

tiers

dis

posé

s à

répo

ndre

aux

ques

tions

, à p

arta

ger

les

expé

rien

ces

inté

ress

ante

set

à a

ppor

ter

leur

aid

e.•

Exem

ples

- Con

trib

utio

ns s

pont

anée

s de

s ag

ents

aux

pub

licat

ions

inte

rnes

et a

ux a

ctio

ns d

’éch

ange

de

conn

aiss

ance

s- C

andi

datu

res

nom

breu

ses

pour

le p

arra

inag

e de

juni

ors

Les

colla

bora

teur

s ex

ploi

tent

les

poss

ibili

tés

qui l

eur

sont

offe

rtes

d’a

cqué

rir

une

plus

gra

nde

expe

rtis

e.•

Exem

ples

- Util

isat

ion

des

prog

ram

mes

de

form

atio

n à

dist

ance

(e-fo

rmat

ion)

- Par

ticip

atio

n à

des

form

atio

ns, c

ollo

ques

, sém

inai

res

- Com

man

de, e

mpr

unt d

e liv

res

et d

e pé

riodi

ques

- Par

ticip

atio

n au

x ré

seau

x d’

écha

nge

d’ex

pert

ise,

aux

grou

pes

de r

éfle

xion

, aux

ren

cont

res

thém

atiq

ues

SI N

OU

S C

ON

NAI

SSO

NS

NO

S AN

CIE

NS

ET N

OS

NO

UVE

AUX

RÉS

ULT

ATS,

CO

MM

ENT

ÉVAL

UO

NS-

NO

US

LEU

R É

VOLU

TIO

N?

7

CO

MM

ENT

CO

NN

AISS

ON

S-N

OU

SN

OS

RÉS

ULT

ATS

?SI

NO

US

CO

NN

AISS

ON

S N

OS

RÉS

ULT

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CO

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ENT

LES

ÉVAL

UO

NS-

NO

US

?

INSU

FFIS

ANTS

SUFF

ISAN

TSTR

ÈS B

ON

SPA

R DE

S RÉ

CITS

PAR

DES

CHIF

FRES

EN R

ECUL

IDEN

TIQ

UES

EN P

ROGR

ÈS

OU

IN

ON

OU

IN

ON

01

20

1

34 35 36 37

7

La g

estio

n de

s co

nnai

ssan

ces

dans

not

re o

rgan

isat

ion

a-t-

elle

un

impa

ctsu

r le

s co

mpé

tenc

es, l

es a

ttitu

des

et la

mot

ivat

ion

de n

os c

olla

bora

teur

s?

2

RÉSU

LTAT

S AU

PRÈS

DE

LA S

OCI

ÉTÉ

17

L’ex

pert

ise

prés

ente

dan

s no

tre

orga

nisa

tion

est r

econ

nue

;el

le r

enfo

rce

la c

onfia

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des

cito

yens

à l’

égar

d de

sse

rvic

es p

ublic

s.•

Exem

ples

- Réf

éren

ces

à no

s pu

blic

atio

ns d

ans

la p

ress

e sp

écia

lisée

- Int

erve

ntio

ns d

e no

s ex

pert

s da

ns le

cad

re d

e co

lloqu

esna

tiona

ux e

t int

erna

tiona

ux- F

eed-

back

pos

itifs

dan

s la

pre

sse

Not

re o

rgan

isat

ion

joue

un

rôle

act

if da

ns la

réd

uctio

ndu

cliv

age

soci

al q

ui e

xist

e en

mat

ière

d’a

ccès

à la

con

nais

sanc

e.•

Exem

ples

- Evo

lutio

n po

sitiv

e de

l’ut

ilisat

ion

de n

os s

ervi

ces

en li

gne

(form

ulai

res

élec

troni

ques

, etc

.)- M

aint

ien

de c

anau

x al

tern

atifs

pou

r la

diff

usio

nde

s co

nnai

ssan

ces

(pap

ier,

télé

phon

e, s

ite in

tern

et)

SI N

OU

S C

ON

NAI

SSO

NS

NO

S AN

CIE

NS

ET N

OS

NO

UVE

AUX

RÉS

ULT

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CO

MM

ENT

ÉVAL

UO

NS-

NO

US

LEU

R É

VOLU

TIO

N?

8

CO

MM

ENT

CO

NN

AISS

ON

S-N

OU

SN

OS

RÉS

ULT

ATS

?SI

NO

US

CO

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AISS

ON

S N

OS

RÉS

ULT

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CO

MM

ENT

LES

ÉVAL

UO

NS-

NO

US

?

INSU

FFIS

ANTS

SUFF

ISAN

TSTR

ÈS B

ON

SPA

R DE

S RÉ

CITS

PAR

DES

CHIF

FRES

EN R

ECUL

IDEN

TIQ

UES

EN P

ROGR

ÈS

OU

IN

ON

OU

IN

ON

01

20

1

38 39

8

La g

estio

n de

s co

nnai

ssan

ces

dans

not

re o

rgan

isat

ion

a-t-

elle

un

impa

ct s

ur la

soc

iété

?

2

RÉSU

LTAT

S SU

R LE

S PE

RFO

RMAN

CES-

CLÉS

18

Les

conn

aiss

ance

s né

cess

aire

s so

nt d

ispo

nibl

es p

our

réal

iser

nos

obj

ectif

s.•

Exem

ples

- Nor

mes

de

qual

ité e

t dél

ais

resp

ecté

s da

ns la

four

nitu

rede

s se

rvic

es- D

imin

utio

n du

nom

bre

d’in

cide

nts

criti

ques

dus

à l’

abse

nce

des

conn

aiss

ance

s né

cess

aire

s (re

tard

dan

s la

four

nitu

rede

s se

rvic

es, q

ualit

é in

suffi

sant

e)

Les

proj

ets

en g

estio

n de

s co

nnai

ssan

ces

etle

s in

vest

isse

men

ts c

onse

ntis

(en

per

sonn

el e

ten

équ

ipem

ent)

pro

duis

ent

les

résu

ltats

esc

ompt

és.

• Ex

empl

e- D

imin

utio

n du

tem

ps m

oyen

pou

r lo

calis

er l’

info

rmat

ion

néce

ssai

re

Nos

pro

cess

us d

e ge

stio

n de

s co

nnai

ssan

ces

perm

ette

ntde

s éc

onom

ies.

• Ex

empl

es- G

ains

obt

enus

grâ

ce à

la r

é-ut

ilisat

ion

de m

étho

des

déjà

épro

uvée

s lo

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Editeur responsable: Georges Monard – Rue de la Loi 51 – 1040 BruxellesDépôt légal : D/2006/7737/13

Juin 2006

• le réseau des correspondants en gestion des connaissancesde l'administration fédérale, KMnet, et tout particulièrement

Verdi Alan Office national de l’Emploi

Pedro Facon Institut national d’assurance maladie-invalidité

Inge Goossens Office national de sécurité sociale

Ludwig Moens Institut national d’assurance maladie-invalidité

Ans Rossy Secrétariat de la Commissioninterdépartementale du développement durable (CIDD)

Geneviève Speltincx Institut national d’assurance maladie-invalidité

Veerle Vanhauwaert Fonds des maladies professionnelles

Nathalie Verbeke Institut de formation de l’administration fédérale

• Jean-Marc Dochot expert qualité, de la direction Développementde l’organisation du SPF Personnel et Organisation

TRAITS\ graphic design \

ContactSPF Personnel et OrganisationDirection Gestion des connaissancesRue de la Loi 51BE-1040 BruxellesTél. +32 (0)2 790 58 [email protected]

Version électroniquede l’outil d’auto-évaluationdisponible sur www.belgium.be

La direction Gestion des connaissances du SPF Personnel et Organisation remercie tous ceux qui ont pris part à l’élaborationde l’Outil d’auto-évaluation Gestion des connaissances :

Graphic design: TRAITS - www.traits.be