la pathologie

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La pathologie La pathologie Pathologie infectieuse Pathologie infectieuse : la : la pyélonéphrite pyélonéphrite Pathologie vasculaire Pathologie vasculaire : : l'hypertension réno-vasculaire l'hypertension réno-vasculaire Pathologie obstructive Pathologie obstructive "haute" : "haute" : Syndrome de la jonction pyélo- Syndrome de la jonction pyélo- uretérale, mégauretère uretérale, mégauretère

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La pathologie. Pathologie infectieuse : la pyélonéphrite Pathologie vasculaire : l'hypertension réno-vasculaire Pathologie obstructive "haute" : Syndrome de la jonction pyélo-uretérale, mégauretère. Les méthodes d'exploration. Imagerie statique : le DMSA - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: La pathologie

La pathologieLa pathologieLa pathologieLa pathologie

• Pathologie infectieusePathologie infectieuse : la pyélonéphrite : la pyélonéphrite

• Pathologie vasculairePathologie vasculaire : l'hypertension réno- : l'hypertension réno-vasculairevasculaire

• Pathologie obstructivePathologie obstructive "haute" : Syndrome "haute" : Syndrome de la jonction pyélo-uretérale, mégauretèrede la jonction pyélo-uretérale, mégauretère

Page 2: La pathologie

Les méthodes d'explorationLes méthodes d'explorationLes méthodes d'explorationLes méthodes d'exploration

• Imagerie Imagerie statiquestatique : le : le DMSADMSA• Imagerie Imagerie dynamiquedynamique : le néphrogramme : le néphrogramme

isotopique au isotopique au DTPADTPA ou au ou au MAG3MAG3• Tests Tests pharmacologiquespharmacologiques : néphrogramme : néphrogramme

sous sous CaptoprilCaptopril, néphrogramme sous , néphrogramme sous lasilixlasilix (= test de vidange)(= test de vidange)

• Explorations Explorations vésicalesvésicales : cystographie : cystographie isotopiqueisotopique

Page 3: La pathologie

Anatomie rénaleAnatomie rénale

• A : reinA : rein• C : artère rénaleC : artère rénale• D : veine rénaleD : veine rénale• G : bassinetG : bassinet• F : uretèreF : uretère• I : jonction pyélo-I : jonction pyélo-

uretéraleuretérale

d'après l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert

Page 4: La pathologie

Anatomie rénale (2)Anatomie rénale (2)

d'après l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert

Page 5: La pathologie

Principaux composants du reinPrincipaux composants du rein

glomérule

tubule

glomérule

anse de Henlé

NEPHRON = glomérule + "tubule"

Page 6: La pathologie

Scintigraphie au DMSAScintigraphie au DMSAScintigraphie au DMSAScintigraphie au DMSA• DMSADMSA : traceur "cortical" , qui se fixe sur les : traceur "cortical" , qui se fixe sur les

tubulestubules. (pas de fix° si atteinte tubulaire). (pas de fix° si atteinte tubulaire)• Reflet de la "Reflet de la "masse corticale fonctionnellemasse corticale fonctionnelle".".• Fixation progressive Fixation progressive avec un avec un plateau au bout de plateau au bout de

12h environ12h environ : environ 45% de la dose injectée : environ 45% de la dose injectée chez l'adulte, chez l'adulte, rapport G/D rapport G/D proportionnel à la proportionnel à la fonction rénale séparéefonction rénale séparée

• la fixation augmente chez l'enfant au fur et à la fixation augmente chez l'enfant au fur et à mesure de la croissance rénale.mesure de la croissance rénale.

Page 7: La pathologie

TechniqueTechnique TechniqueTechnique • Injection IVInjection IV du DMSA : 50 µCi/kg du DMSA : 50 µCi/kg• Images statiquesImages statiques : :18 h18 h après : après :

• face face postérieurepostérieure (coll // ± pinhole)(coll // ± pinhole)

• éventuellement éventuellement obliques postérieuresobliques postérieures• peu d'intérêt de la tomographiepeu d'intérêt de la tomographie

• Quantification relative (G-D) ± absolueQuantification relative (G-D) ± absolue (% de (% de fixation de la dose injectée). Incidences fixation de la dose injectée). Incidences antérieure et postérieure avec caméra 2 têtes antérieure et postérieure avec caméra 2 têtes pour la correction de profondeurpour la correction de profondeur

Page 8: La pathologie

Fixation du DMSAFixation du DMSAFixation du DMSAFixation du DMSA

plateau Images planes

Page 9: La pathologie

RésultatsRésultatsRésultatsRésultats• Fixation homogèneFixation homogène sur le cortex, en forme de sur le cortex, en forme de

"haricot"."haricot".• Taux de fixation absoluTaux de fixation absolu ( ( 45% ± 7) 45% ± 7)• Fixation relativeFixation relative (symétrique) (symétrique)• En cas de pyélonéphriteEn cas de pyélonéphrite : : hypofixation hypofixation

corticalecorticale, souvent polaire, pouvant être , souvent polaire, pouvant être multiple, avec éventuelle diminution de la multiple, avec éventuelle diminution de la fixation totale et asymétrie fonctionnelle.fixation totale et asymétrie fonctionnelle.

Page 10: La pathologie

Scintigraphie au DMSA normaleScintigraphie au DMSA normaleScintigraphie au DMSA normaleScintigraphie au DMSA normale

fixation homogène

zones d'interêt

quantificationrelative

quantificationabsolue

Page 11: La pathologie

La pyélonéphrite aiguëLa pyélonéphrite aiguëLa pyélonéphrite aiguëLa pyélonéphrite aiguë

• Atteinte bactérienne interstitielleAtteinte bactérienne interstitielle, de la , de la médullaire et du bassinetmédullaire et du bassinet

• Sémiologie d'une infection urinaire Sémiologie d'une infection urinaire fébrilefébrile• pathologie pathologie fréquente chez l'enfantfréquente chez l'enfant, en , en

particulier chez les particulier chez les fillesfilles (sex ratio : 10). (sex ratio : 10).• Fréquence des Fréquence des récidivesrécidives (50 à 80% des cas) (50 à 80% des cas)• Risque de Risque de séquelles graves séquelles graves : HTA sévères, : HTA sévères,

insuffisance rénaleinsuffisance rénale

Page 12: La pathologie

LesLes facteursfacteurs favorisantsfavorisantsLesLes facteursfacteurs favorisantsfavorisants

• UropathieUropathie : : reflux vésico-uretéralreflux vésico-uretéral

• Dysplasie rénaleDysplasie rénale <=> Uropathie <=> Uropathie

• VirulenceVirulence du germe du germe

• Qualité de la réponse immunitaireQualité de la réponse immunitaire

Page 13: La pathologie

TDM : PNATDM : PNA

Page 14: La pathologie

Aspects Scintigraphiques des Aspects Scintigraphiques des Pyélonéphrites aiguesPyélonéphrites aiguesAspects Scintigraphiques des Aspects Scintigraphiques des Pyélonéphrites aiguesPyélonéphrites aigues

Focale localisée Focale étendue Diffuse

Page 15: La pathologie

Pyélonéphrite sévèrePyélonéphrite sévère

Page 16: La pathologie

PNA bifocale sévèrePNA bifocale sévère

Page 17: La pathologie

Pyélonéphrite pluri focalePyélonéphrite pluri focale

Page 18: La pathologie

PerformancesPerformances

d'après Bouissou & coll

Page 19: La pathologie

Pyélonéphrite aiguë chez un nourrisson de un anPyélonéphrite aiguë chez un nourrisson de un an

Phase aiguë 9 mois plus tard

Scintigraphies au DMSA et valeurs de fixation absolue

16% 8% 21% 14%

Pas de séquelles

Page 20: La pathologie

PNA avec séquellesPNA avec séquelles

Page 21: La pathologie

Autres applications du DMSAAutres applications du DMSAAutres applications du DMSAAutres applications du DMSA

• Évaluation précise de la Évaluation précise de la fonction rénale fonction rénale séparéeséparée (pour indication de néphrectomie)(pour indication de néphrectomie)

• Suivi de la fonction Suivi de la fonction compensatricecompensatrice controlatérale après ablationcontrolatérale après ablation

• L'imagerie des tumeursL'imagerie des tumeurs ou autres masses est ou autres masses est abandonnée au profit des US, TDM et IRMabandonnée au profit des US, TDM et IRM

Page 22: La pathologie

ConclusionConclusionConclusionConclusion

• Technique Technique performanteperformante (meilleure sensibilité (meilleure sensibilité dans la PNA)dans la PNA)

• Technique Technique peu irradiantepeu irradiante (vs UIV ou TDM)(vs UIV ou TDM)• Technique Technique reproductiblereproductible et et quantifiablequantifiable• Seule méthode de quantification de la Seule méthode de quantification de la

fonction rénale séparée NON INVASIVEfonction rénale séparée NON INVASIVE• ABSENCE d'injection d'iodeABSENCE d'injection d'iode (pas d'allergie (pas d'allergie

ni de néphrotoxicité)ni de néphrotoxicité)

Page 23: La pathologie

Données de radioprotectionDonnées de radioprotection

rein vessie ovaire testicule

UIV 1875 4350 3055 78

DMSA(2mCi)

1460(-22%)

360(-92%)

40(-99%)

21(-73%)

DTPA(5mCi)

247(-87%)

1713(-61%)

67(-98%)

50(-36%)

Les techniques isotopiques sont moins irradiantes

Page 24: La pathologie

Cystographie isotopiqueCystographie isotopiqueCystographie isotopiqueCystographie isotopique

• Exploration de la vessieExploration de la vessie après remplissage par après remplissage par du du Tc Tc 99m99m

• Remplissage Remplissage physiologique ou actifphysiologique ou actif (sonde) (sonde)• clichés clichés statiques séquentiels + dynamique per statiques séquentiels + dynamique per

mictionnelmictionnel• manoeuvres de provocationmanoeuvres de provocation• méthode méthode sensiblesensible et et peu irradiantepeu irradiante• permet de permet de détecter le refluxdétecter le reflux (gradation ?) (gradation ?)

Page 25: La pathologie

Gradation des refluxGradation des reflux

Page 26: La pathologie

Cystographie rétrogradeCystographie rétrograde

Page 27: La pathologie

Cystographie isotopique positiveCystographie isotopique positiveCystographie isotopique positiveCystographie isotopique positive

a 1h30 per mictionnel