Chez les filles et les garçons, l’USBLongwy s’impose devant le SCThionville. Chez les filles, le C.OSarralbe complète le podium et chezle s ga rço n s, i l s ’ag i t d u C NCommercy. Tous les résultats ici.

L’équipe féminine de l’ASPTT Nancya fini vice championne de France,derrière les Niçoises, suite à 3 victoiresde ces dernières sur les 4 matchsdisputés. L’équipe N2 termine quant àelle à la 7e place. Chez les hommes,Na n c y f i n i t 6 èm e j u s te de va n tThionville, 7e.

L'étape en mer d'Eilat programmée surun parcours de 10 km constituait la 13e

étape de la Coupe d'Europe. Malgré uneépaule douloureuse, Aurélie MULLERse classe à la neuvième place.

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Une centaine de nageurs s’étaientdonnés rendez vous à Longwy, afin dedécrocher leurs qualifications pour leschampionnats de France, mais aussipour réaliser une bonne action. Eneffet, suite aux relais de 6 minutes, 5centimes, par mètre parcouru, étaientreversés à l’association, soit un total de266 euros. Tous les résultats ici

Anita FATIS décroche le titre du 50mpapillon, du 50m et 100m nl et du 100mdos S6, tandis que Marine Bastien celuidu 100m papillon, du 200 4N et du 50met 100m nl S8. Laure USTARITZremporte le 100 brasse SB7. L’habituéedes équipe nationales, Maud DIDIERtermine à la 1ère place du 100 dos et du100 brasse SB 9.

Une grande animation a régné à lapiscine Pierre de Coubertin, où desjeunes nageurs des catégories Avenirs,Poussins et Benjamins ont participé à la8ème édition de ce Meeting. Des clubsluxembourgeois et allemands se sontmêlés aux clubs lorrains, soit au total224 nageurs. Les résultats ici

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La seconde et dernière journée deCoupe de France des régions espoirsfilles a délivré la hiérarchie 2010.Composée de 11 joueuses lorrainesi s s u e s d e L o n g w y e t Na n c y,com plé tées de 2 joueu ses deChenôve, la sélection Lorraine-Bourgogne a conservé sa couronne.

Le Président de la fédérationfrançaise de natation, Francis LUYCE,était présent pour donner le départde l'épreuve et rendre un hommagevibrant en l'honneur de son ami Jeffdisparu, en présence de sa femme etde son fils. Tous les résultats ici.

S o i x a n t e c i n q n a g e u r sreprésentaient la Lorraine durantcette compétition. Ils ont glané pasmoins de 24 médailles d’or, 12d’argent et autant de médailles debronze. Tous les résultats ici.

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DAUBA Camille (Longwy) termineà la 4ème place (records de Lorraine13 ans au 50 Papillon et 200 4N a g e s ) . C U R R A T A m é l i e(Thionville) termine à la 5ème place(records de Lorraine 13 ans au 100 nl- é g a l é - e t a u 50 d o s ) . To u sles résultats ici.

L’équipe de France féminine s’estfinalement classée 4e de la secondemanche. Le groupe de ChristopheBachelier n’a récolté qu’une seulevictoire, aux dépens de l’Afrique duSud (14-10), mais elle a égalementconclu son tournoi sur une notee ncouragean te en accro ch antl’Espagne (10-6).

Quatre plongeurs Lorrains ontpart icipé à ces championnats.Aucun d’eux n'a réussi a monter sur lepodium. Cependant on peut tout demême apprécier leurs performances( 1e re part ic ipat ion , nouveauxp l o n g e o n s ) , s y n o n y m e s d eprogression.

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A u r é l i e M U L L E R v a l i d e s e squal i f i cat ions Européennes etMondiales en terminant seconde du5km en ligne et contre la montre,ainsi que du 10 km. Elle était déjàqualifiée pour les Championnatsd'Europe Natation Course : unepremière pour une nageuse française!

Avec un record de Lorraine sur 50mnl (23’39") et cinq titres, le ForbachoisMaxime JACOMELLI a dominé ceschampionnats de Lorraine. RémiGOZZO (Val de Fensch) a lui aussiétabli un nouveau record de Lorrainede la distance chez les moins de 15ans (24’68"). Tous les résultats ici.

Elles étaient quatre nageuses àreprésenter la Lorraine au sein deséquipes de France A et juniors.Aurélie MULLER termine à la 2e

place du 800 nl . Mélissa RIGHETTI,Elodie CREUSOT et Assia TOUATIn’ont pas réussi à accéder aux finales.Elles ont, cependant, pu engrangerde l’expérience, en vue des EurosJuniors. 8

Crédit Photo: Etienne JAMINET, Républicain Lorrain

28 au 31 Juillet : Chpts Open du Canada à Victoria

4 au 8 Août : Chpts d’Europe à Budapest

9 au 15 Août : Chpts d’Europe à Budapest

26 Juillet au 7 Aout : Chpts du Monde Maîtres

1er Août : Coupe de France à Gérardmer

15 au 23 Juillet : Chpts du Monde d’Eau Libre

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16 au 18 Juillet : Chpts de France Cadets à Besançon

14 au 18 Juillet : Chpts d’Europe Juniors à Helsinki

1er au 4 Juillet : Chpts de France Maîtres à Canet

8 au 10 Juillet : Chpts de France Minimes à Béthune

12 au 22 Août : Chpts du Monde Handisport

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S’éclabousser, sauter dans l’eau, se cachersous l’eau et nager constituent sans douteles plus vieux jeux du monde. Les premiersplongeons pouvaient servir à trouver de lanourriture. Le plongeon pouvait également

servir à des fins militaires. Dans le derniertiers du 19e siècle, plusieurs conceptions duplongeon coexistent en Europe, de manièreisolée. Le choc culturel entre les plongeurs-nageurs et les plongeurs-gymnastes seproduira à la fin du 19e siècle.

L'art de plonger et de nager sous l'eauremonte aux temps les plus anciens.Il est rapporté l ’existence d’unplongeur célèbre grec, appelé Scyllis,contemporain des guerres Médiques.Selon les versions, il aurait cherchédes trésors engloutis ou enlever lesancres de navires, afin de les livrer àla tempête. À la fin du 16e siècle,dans De Arte Natandi, le premiervéritable traité de natation connu,Everard Digby présente 43 posturesdifférentes, dont différentes formesutiles ou amusantes d’immersion

Pour Thévenot (1696), ’’plonger’’ sedéfinit comme une action de nagesous l’eau, orientée vers le bas, plus oumoins facilitée par le point de départ.Jusqu’au 19e siècle, on ne fait aucunedifférence entre plongeur et nageur.En France plonger c’est se jeter a l’eaupour nager sous l’eau le plus loinpossible. En revanche, en Angleterre,une orientation sportive plus précoceprovoque une ’’mise en performance’’du plongeon, qui consiste à parcourirla plus grande distance possible sousl’eau, sans mouvement, soit à s’élancerde hauteurs importantes dans unelogique de l’exploit. Les plongeurs nesont plus, ou plus seulement, ceux quinagent vers le fond, mais ceux quiréalisent des prouesses en se jetantd’un point plus ou moins haut, maissans jamais jouer sur la maîtriseesthétique.

Fresque de la tombe du plongeur (-490)

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Au moment où l’Angleterre ’’invente’’le sport, d’autres pays européensdéveloppent une culture de lag ymna st iq ue . C ’es t le cas del’Allemagne, de la France, de laBelgique et des pays scandinaves. Lepoids de cette culture se traduitn o t a m m e n t p a r l ’ i n té g ra t i o nfréquente de chapitres sur la natationdans les ouvrages de gymnastique etpar un intérêt affiché des gymnastespour la natation. Loin de la quête deperformances, voire même du soucide qualité de l’entrée dans l’eau, laforte sensibilité à la gymnastique setraduit en effet par la recherched ’ a t t i t u d e s e t d e p o s t u r e sacrobatiques et esthétiques dans laphase aérienne. La rencontre entreces conceptions divergentes héritéesde cultures physiques nationalesdifférentes se produit à la fin du XIXesiècle quand, en 1897, ’’plongeurs-gymnastes’’ suédois et ’’plongeurs-nageurs’’ anglais sont réunis àLondres par la Life-saving Society.L’une des ambitions affichées par sesanimateurs est notamment destimuler, grâce au plongeon, les clubsde natation pour qu’ils intègrentd’autres pratiques que les courses etl e Wa te r - p ol o. L o r s de ce t temanifestation, les nageurs anglaisgagnèrent toutes les courses. Ils ont

Merci à Jérôme JACHYMOWICZ

cependant été complètement dépassésen plongeon acrobatique où lesSuédois excellent. Les anglais sont enpasse de se convertir. Le changementest d’importance dans le contextebritannique, car il valorise pour lapre m i è re f o i s l ’e s t h é t i q u e d el’exécution aérienne et non plus laperformance sous marine. C’est unenouvelle donne aquatique ou la formeprends le pas sur le temps ou ladistance. Les règlements des épreuvesse précisent. En 1912, à Londrescomme à Stockholm, deux épreuvessont en ef fe t au programme :plongeons aux tremplin (1 et 3 mètres)et plongeon de haut vol (5 et 10mètres), où les plongeurs sont jugés àpartir de figures libres et imposées deniveaux de difficultés différents etselon des critères de maîtrise etd’exécution. Le Plongeon Sportifmoderne est né…

L’USB Longwy relance unenouvelle dynamique depuisseptembre 2005, à l’aided’une nouvelle politiquesp o rt ive b asée su r l aformat ion du nageur,l’émulation et l’humilité.L a n o u v e l l e é q u i p edirigeante, qui accordetoute sa confiance auxentra îneurs en place ,construit une structureclub petit à petit, en sereposant sur une formationforte (vainqueur de lacoupe du développementen Lorraine cette saison) etsur une motivation sansfaille de tous les acteurs duclub (dirigeants, bénévoles,entraîneurs et nageurs bienentendu). Le club tenteé g a l e m e n t d e s eprofessionnaliser, de latrésorerie à l’encadrement

USB Longwy

Président:PIERRON Emmanuel

Date de création: 1971

Tel: 06 85 05 86 02

E—mail:emmanuelpierron54@orange.fr

Site:www.usb-longwy-natation-polo.com

(emploi d’un entraineurprofessionnel pour las a i s o n 2 0 1 0 - 2 0 1 1 ) .La création d’une sectionsportive en septembre2009 fut un tournant. Eneffet, les nageurs l’ayantintégré ont obtenu desrésultats exponentielsd a n s l a c a t é g o r i ebenjamine, ce qui a crééde la demande sur lescatégories inférieures etune forte émulation dansles catégories supérieures.Autant de promessesd’avenirs, à l’image deC a m i l l e DAU B AT e tAdrien CROUQUET, pourn e c i t e r q u ’e u x . L eprochain objectif du clubest d’obtenir le labelS t r u c t u r e Q u a l i t éLorraine Natation, d’ici lafin de la saison ! 12

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Les Piranhas ont vu le jouren 2005 après 2 ans detravaux sur la piscine dePont-à-Mousson. Avec lavolonté d’une poignée depassionnées, la structure sefond rapidement dans lep a y s a g e M e u r t h e e tm o s e l l a n , a i n s i q u eLorrain. Fort de sa positionau cœur de la région, lec l u b s ’ e n g a g e d a n sl ’ o r g a n i s a t i o n d enombreuses compétitions.Dans un esprit convivial etfamilial, le club progressea v e c u n e p r e m i è r ep a r t i c i p a t i o n a u xChampionnats de FranceInterclubs en 2008. Cettesa i son , l ’encadrementfavorise la formation desjeunes et s’inscrit dans leprogramme ENF avec deuxpassages du Sauv’Nage

Piranhas Mussipontains

Président:Aurore MARTIN

Date de création: 2005

Tel: 06 75 74 41 62

E—mail:piranhas.natation@ gmail.com

Site:http://piranhas.pam.free.fr/

pré v u s, a i n s i q u e l ap a r t i c i p a t i o n a uPass’Sport de l ’eau etl ’ o b t e n t i o n d ’ u nm a x i m u m d e P a s s ’Compétition en NatationSportive et Synchronisée.Le club s’investit aussidans la formation deso f f i c i e l s , c o m p t a n tactuellement 8 Officiels(B et C), régulièrementprésents sur les différentesc o m p é t i t i o n s . L e srésultats, en constanteprogression, révèlent unencadrement compétentet désireux de bien figurersur le plan rég ional .L’ouverture d’une section« Natation Synchronisée »en Septembre 2009 apermis aux Piranhas dediversifier leurs activités.

Maxime JACOMELLI et QuentinMARTIN ont décidé de s’exiler auCanada, chez les ’’Rouge et Or’’,afin de continuer à concilier lesport et les études, tout enrestant f idèle à leur région.P o r t r a i t d edeux expatriés.

Comment s’est effectué le contact avecl’Université canadienne?Maxime JACOMELLI: Un soir dedécembre en 2007, j'ai reçu un coup detéléphone de l'entraîneur adjoint del’Université de Laval au Québec, quivo u l a i t q u e j ’ i n tè gre l ’é qu i peuniversitaire à la rentrée! J’ai ensuitevisité l’installation en juillet et j’ai toutde suite été conquis !Quentin MARTIN: Comme Maxime,j’ai été convoqué par le recruteur desrouge et or en décembre 2008. J’aivisité l ’université en avril et j’aiimmédiatement su que je voulais yétudier.Pourquoi avoir choisi de partir étudierà l’étranger?M.J: C'était tout simplement lameilleure solution. Si j'étais resté enFrance, j'aurais étudié à l'IUT à Metz etj 'aurais sûrement été contraintd’arrêter de nager. Au Canada, toutesles structures sont faites pourpermettre de concilier les études et le

sport. C'était aussi l'occasion dedécouvrir un nouveau pays, unenouvelle culture, bref une occasion enor, à ne surtout pas manquer.Q . M : J e d é s i r a i s d e v e n i rkinésithérapeute, mais cela impliquaitune première année de médecine,incompatible avec la poursuite de lacompétition. Il existe bien des facilitéspour les sportifs de haut niveau, maisles quotas sont réduits et je n’ai pas puen bénéficier. J'ai donc choisi d‘étudierla kinésiologie, qui serait l'équivalentde ré-adaptateur physique en France.Cela me permettait de continuer monsport et en même temps mes études,puisque l'université dispose d’unestructure vraiment adaptée à la réussitesportive et scolaire.Pouvez vous nous décrire une de vosjournée type?M.J: Réveil à 5h pour l’entraînement quidébute à 5h45 et se termine auxalentours de 7h20. Ensuite, je me

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Quentin MARTIN et Maxime JACOMELLI

rends en cours, puis j’enchaine avecune séance de musculation , trois foispar semaine à 14h, avant un deuxièmeentrainement de 15h30 à 17h30.Q.M: Comme Maxime, je me lève à 5hpour être dans l’eau à 5h45. Mais jenage jusqu’à 7h45, afin de pouvoirassister aux cours qui débutent à 8h30et se terminent à 15h30, avec une paused ’une heure le mid i . Ensui te ,j ’e n c h a î n e a ve c l e d e u x i è m eentrainement, de 15h30 à 17h30, suiviselon les jours d’une heure demusculation.Et si c’était à refaire? M.J: Sans hésiter! J’avais besoin dechanger d'air et de découvrir autrechose. Ce départ m'a apporté des bonsrésultats scolaires et sportifs, desnouveaux amis et une chérie. Enrésumé: aucun regret!Q.M: Je ne regrette pas du tout monchoix. J'ai réussi a prendre mesmarques et je m'y sens comme chezmoi. Je serais même prêt a conseiller

cette solution à d'autres athlètes ayantpour objectif de nager et étudier. Deplus, avant je nageais souvent seul, j’airessenti un réel renouveau à nager ausein d’une Equipe. Enfin, nous sommess u i v i s m é d i c a l e m e n t s e l o nnos besoins .Ressentez vous quelques fois le mal dupays? M.J: oui et c'est normal! C'est un grossacrifice de partir loin de sa famille,mais on en profite encore plus quandon les retrouve ! Q.M: Il m'arrive d'avoir des coups deblues, car ma famille et mes amis memanquent. Mais, dans ces moments là,j e peux compter sur ma peti teamie canadienne!Pourquoi être resté fidèle à votre club(Forbach AN), malgré votre exil?M.J: je m'entends bien avec Luc, et avecQuentin on forme un beau trio. Lucnous met toujours dans les meilleuresconditions lors de nos compétitions enFrance et s'intéresse beaucoup à nous.Je m’y sens bien, l'ambiance est trèsfamiliale et il y a toujours de la bonnehumeur !Q.M: je suis très reconnaissant enversmon coach, qui m'a formé. Il est laprincipale raison de ma fidélité. Deplus il est celui qui me connait le mieuxet qui a toujours su me préparer pourmes objectifs! 15

Maxime JACOMELLI et Quentin MARTIN

Après avoir disparue du calendrierfédéral l’an passé, la Coupe de Francedes régions réapparait cette année àSaint Malo, pour le plus grandbonheur des nageurs, f ie rs dereprésenter les couleurs de la Lorraine.C’est ainsi que 24 nageurs, issus de 12clubs de la Région, se sont battus pourobtenir la 8è m e place dans lescatégories minimes filles et garçons.Les cadettes terminent à la 11ème place,quant aux cadets, i ls f inissentseulement à la 20ème place. La Lorrainese classe finalement à la 12ème place auc l a sse m en t gé né ra l . I l fau d ranotamment retenir les nombreuxpodiums décrochés par les nageursLorrains, confrontés aux meilleursnageurs nationaux de ces catégories.Ainsi, Rémi GOZZO, Assia TOUATI, 16

Alexandre PICARD, Elodie CREUSOT,Mélissa RIGHETTI et MathildeRECEVEUR se sont particulièrementillustrés. Enfin, il faudra surtoutretenir l’excellent esprit qui a suanimer cette équipe tout au long duweek-end. Combativité, discipline,entraide. Tout un programme…

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A l’occasion de la coupe deF r a n c e d ’ E a u l i b r e d eGérardmer, voici quelquesc o n s e i l s d ’ E v e l y n eMATHERON, diététicienne,qui vont vous permettred’aborder votre épreuve dansdes conditions optimales.

Lors d’un entrainement en eau libre,vous avez besoin d’eau et deproté ines , pour conser ver ouaugmenter votre masse musculaire.Votre corps aura également besoin desucres afin de couvrir les besoins del’entraînement et de constituer unstock de glycogène. Au début de lasemaine, précédant la compétition,privilégier l’apport en légumes, etdeux jours avant l’épreuve, favorisezles apports en féculents et en pain.Le jour de la compétition, le petitdéjeuner doit être pris 3 heures avantle départ. Il faut éviter les liquides, lebeurre ou les croissants, afin dedigérer au plus vite. En revanche,pensez à privilégier le pain blanc oules céréales sans fibres, pour éviter lesf e r m e n t a t i o n s d i g e s t i v e s .Commencez à boire une heure aprèsle petit déjeuner. Pendant l’épreuve, ilest important de combler les pertesen eau et en sucres. Pour cela, utilisez

une boisson sucrée, que vous aureztestée au préalable à l’entraînement. Ilpeut s’agir de boissons liquides del’effort (Isostar, Overstim…), de jus defruit dilué de moitié ou de sirop, ou del’eau mélangée avec du sucre ouencore avec du miel et du citron.Après l’effort, le plus important est dese réhydrater. Tout d’abord avec del’eau plate, puis avec une eau gazeuse,riche en sels et bicarbonates. Il fautégalement resucrer à l’aide de biscuits,de barres céréalières, de jus de fruitsou de fruits secs. Enf in, i l estnécessaire de favoriser la resynthèsedes protéines, par le biais du fromage,de lait sucré ou encore de yaourts.Il n’est pas possible de démontrer queb i e n m a n g e r a m é l i o r e l e sperformances. Néanmoins, il est facilede prouver qu’une alimentationinadaptée à votre pratique sportivenuira à vos performance.