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Galerie d'art contemporain
Vernissage le samedi 25 juin 2011
de 17h00 à 19h30
Marie-France Le Gall Gallou de Terruel
Tél: 02-54-44-14-62 -- Email : [email protected]
Partenariat avec la galerie Sunshine International Museum /Pékin (Chine) la galerie Balastra / Balâtre (Belgique)
Du 24 JUIN au 19 SEPTEMBRE 2011
EXPOSITION
mailto:[email protected]
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Dossier de presse
SOMMAIRE I/ Présentation des artistes
- BOUSSEAUD Philippe - photographe
- CORBEAU Caroline – designer
- GANASSIN Danilo – peintre (Belgique)
- MAYEUX Corinne – peintre (Belgique)
- NICO – sculpteur (galerie et parc)
- POTHIER Nadine - peintre
- TEKESHELASHVILI Mamuka – peintre (Géorgie)
- UBERTIS Serge – peintre (Italie)
- VIX Régine – peintre
III/ Les artistes du jardin
IV/ Les artistes permanents
IV/ Indications
- Contacts
- Plan d’accès
Vernissage le samedi 25 juin 2011 de 17h00 à 19h30
Exposition du 24 juin au 19 septembre 2011
Vendredi-samedi – dimanche-lundi
De 14h00 à 19h
« Les Métamorphozes »
Galerie d'art contemporain
Domaine du Prieuré
41120 VALAIRE
www.galerie-les-metamophozes.com
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BOUSSEAUD Philippe
En communion avec la Nature
Je suis à la recherche de ce qui dans le paysage interroge mes sens et
même les frappes, en me faisant presque sortir de moi-même. Un
moment extrêmement fugitif, d’une incroyable beauté où tout semble
en équilibre sur la Terre, livré au regard de l’homme dans une subtile
harmonie. Je recherche l’expression élémentaire d’une image, le
symbole de la nature pour dégager presque l’essence même de celle-
ci. Comme si je pouvais voir et recueillir la sève de la vie.
Pourtant, lors de mes pérégrinations, mon esprit est loin d’être
sans cesse sollicité par toutes ces questions, seuls mes sens sont
aux aguets. C’est une quête, une attente, mais qui ne s’opère
pas dans l’impatience, elle est sereine, confiante. Car la nature
contient de nombreuses promesses et les dévoile à celui qui sait
attendre pour les recevoir.
Il me faut donc m’immerger totalement dans le paysage, me
confondre avec lui, qu’il m’habite entièrement, mais que tout cela se
fasse naturellement, en oubliant de réfléchir. Pour cela le meilleur
moyen est de s’abandonner à l’émerveillement. Recevant l’ivresse du vent, la débauche des couleurs,
l’empreinte de la matière sur notre corps, nos frontières humaines disparaissent.
Puis, une lumière, une image surgit. A l’évidence, la beauté terrestre est là, il faut la saisir. La technique
photographique entre alors en jeu, mais seulement pour nous aider à capter cet instant magique.
Déclencher devient alors un moment d’une grande intensité, où mes yeux doutent encore de ce qu’ils ont
eu la chance de voir, mais où ma raison sait que le cliché est dans la boîte. C’est alors un immense bonheur
qui m’envahit car j’ai alors la certitude que j’ai été le témoin d’instants terrestres magiques et que je pourrai
les faire partager aux autres amoureux de la Terre.
Rien ne me fait plus plaisir que de susciter de l’émotion chez des spectateurs. Recréer une émotion en
différé, alors que dans l’espace et dans le temps tout les éloigne de ce moment qui sur la Terre a été et ne
sera plus.
Car même si les beautés terrestres sont infinies et sans cesse renouvelées, elles sont en même temps
toujours différentes, jamais exactement les mêmes. Un coucher de soleil sera toujours différent de celui de
la veille.
Je ne traque pas, je ne chasse pas l’image. Je la reçois et je l’accueille. Mon appareil photo n’est pas une
arme, il est le coffre à secrets qui vous murmure tout bas ce que la nature a chanté un jour si fort et si haut.
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CORBEAU Caroline
De ses parents amateurs d'art et collectionneurs avertis, Caroline
Corbeau a reçu, dès son plus jeune âge, l'amour du beau sous toutes
ses formes, en cotoyant au quotidien sculpture, peinture et mobilier
d'art. A près des études d' Arts Plastiques à l' Atelier Letellier à Paris,
Caroline se lance dans le monde passionnant, mais exigeant de la
sculpture. Très vite, son talent est reconnu et récompensé, avec un 1er
Prix de Sculpture en 1997 à Chateau-Gontier (Mayenne), alors qu'elle
n'a que 30 ans. Cette prestigieuse récompense sera vite suivi de
nombreuses autres : Prix Dunhill International en 1998, lauréate du
concours national « Jeunes Créateurs » des Ateliers d'Art de France en
2000 ou 1er Prix Européen des Fèvres à Rouen en 2007.
Simplicité complexe. Le matériau que Caroline Corbeau privilégie, le
métal, n'est certes pas le plus facile à travailler, mais c'est aussi celui
qui lui offre sa plus belle forme d'expression artistique.
Parmi ses innombrables déclinaisons, l'acier lui permet la construction
de structures à la fois brutes et complexes, sous leur apparente
simplicité. Cette simplicité complexe lui est inspirée, depuis toujours, par ses trois « Maîtres » : Soulages
pour sa peinture sans concession et son travail obsessionnel sur les infinies nuances de sa couleur fétiche, le
noir. Rothko et ses « champs colorés » qui procèdent du traitement de la couleur en aplats à bords indécis,
jouant avec les formes géométriques. Jean-Michel Franck, enfin, le mythique décorateur et créateur de
mobilier qui a su épuré le style Art Déco, en lui offrant un élégant minimalisme bienvenu.
Un travail unique de l'acier. Mais au-delà de ces trois génies de l'Art contemporain, c'est avant tout la
matière brute, son acier fétiche, qui inspire l'artiste et ses innombrables possibilités de transformation, grâce
à sa capacité à accepter des traitements de surface, comme les patines, les polissages, peintures, oxydations
et recouvrement de matières diverses.
La création de Caroline Corbeau s'articule en deux étapes majeures, centrées sur son travail inédit et original
de l'acier :
Une première période dévolue à un travail de découpes, de pliages et de cintrages de plaques de
métal traitées à la manière de l'art japonais des origamis.
Une seconde période consacrée à la création de meubles-sculptures conçus sur la base de coffrages
protéiformes et mettant en valeur la pureté de son travail et la beauté du matériau, sans ornement
inutile.
Du meuble comme une œuvre d'artSon style à la fois organique et géométrique, sa création volontairement
épurée et son extrême talent à jouer avec les formes donnent naissance aujourd'hui à un mobilier à l'élégance
intemporelle. Créant avec le même sens des proportions tables basses, chaises, guéridons ou console qu'elle
édite elle-même, Caroline Corbeau entre désormais dans la cour des grands, avec ses pièces uniques, comme
le canapé « Barnabé » mêlant la pureté poussée à l'extrême de l'acier et la douceur tactile du cuir blanc.
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GANASSIN Danilo
Il nous vient de Belgique
L’univers de Danilo GANASSIN est résolument contemporain, marqué par la passion de la B.D., laquelle atteint ici toute sa grandeur et sa nécessité. Images et instantanés de notre temps, de nos angoisses, de nos attentes. Routes infinies, paysages parcourus de solitudes, visages tournés à vif vers le vide et le sens à lui donner pour tenter d’y vivre.
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MAYEUX Corinne
Je suis Corinne Mayeux, Née le 16 avril 1963.
C’est en autodidacte et en passant du temps à l’académie des beaux-arts à Namur que j’ai expérimenté la matière argile, son exploration m’a permis d’incarner certains de mes rêves, de mes peurs, de mes aspirations, mes valeurs, besoins, et plus simplement me donner l’envie.
Ce qui m’interroge est le mouvement que l’on peut exprimer et sentir jusqu’aux limites de résistances dans /de la matière.
Mon dernier travail parle des parties les plus archaïques qui m’habitent, de vieilles mémoires de « bonnes femmes »…..
Elles sont chacune modelées en argile dans un mouvement du corps lors du déshabillage, leurs formes sont généreuses parfois jusqu’à la déformation qui exprime peut-être ce regard déformé que l’on peut avoir de la femme. Leur chevelure est reprise dans un cône, symbole de l'inspiration reçue du cosmos. Elles sont habillées par de petits bouts de journaux, symbole de l’information, des mémoires dont elles sont porteuses et d’un savoir immémorial dont elles gardent le secret ou le mystère. Elles sont empreintes d’une grande sensualité qui réjouis le cœur des hommes ou des femmes, à vous de voir ! Elles portent des noms d’étoiles car chacune représente une part de constellation venant d’un même univers.
Et pour finir, ils y a les astéroïdes, elles qui dans leur mouvement tout en légèreté descendent directement du ciel où sont regroupées dans un cadre baroque afin d’allier l’ancien et le nouveau, ou s’équilibrent du bout d’un mobile exprimant leur corps dans la liberté de l’univers.
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NICO
Un art de synthèse s’élabore aujourd’hui dans ma démarche artistique, tout se passe, comme si j’allais chercher dans
la profondeur de la matière tout ce qui fait la saveur et la « voluminosité » du monde pour ensuite l’alléger, l’affiner.
Jusqu’à l’invisible… Cette synthèse est un assemblage de matériau de récupération brut et moderne… Comme
matière j’utilise le plomb, le fer, les pierres, des pièces en bronze récupérées que je fais fondre…en bref tout
matériau pouvant rentrer dans mon processus de création. Je les transforme, les apprivoise… pour en finalité leur
donner une seconde vie.
En arrière plan de ce
processus, il y a une
relation à la nature
très forte. Je vais
chercher des
énergies qui vont
alimenter mes
formes et mes
pensées les plus
primitives.
Certains objets ou
pierres… sont
d’emblée écartées,
au moment même du
ramassage. Il y a
donc un « sixième
sens », quelque
chose d’intuitif, qui
conduit à choisir tel
ou tel matériau, à
écarter tel autre qui
reste indifférent.
C’est ainsi, qu’il faut
insister sur cette dimension de profondeur du matériau, ou de l’objet… « Sur cette épaisseur de sens enfouie, incluse et
littéralement sédimenté dans la masse »…
Toutes les métamorphoses et les transformations possibles d’une matière, peuvent alors être expérimentées.
Il y a là, dans mon processus de création, un appel en direction de forces instinctives, archaïques, dans le même
esprit que le groupe Cobra des années 1950, dont P. Alechinsky faisait partie.
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POTHIER Nadine
Maison des artistes n° : A 936351
Née en 1963 à TOULOUSE, j’intègre en 1993 l’ACADEMIE DE PEINTURE de MONTAUBAN au
sein de laquelle j’apprends le dessin, la peinture à l’huile et l’acrylique.
Un passage en Aquitaine de 1996 à 2001 me permet de m’inscrire à l’Ecole des BEAUX-
ARTS de BORDEAUX en cours
du soir d’obtenir un DEUG
d’ARTS PLASTIQUES en 2000 à
l’UNIVERSITE MONTAIGNE de
TALENCE.
Cette formation m’a permis de
me « détacher » de la peinture
classique pour un travail qui
correspond plus à ma
personnalité, tourné vers la
matière, l’émotion, le ressenti
…
La peinture est un moyen de
livrer au spectateur ce qu’il y a de plus profond au fond de soi, c’est un formidable vecteur
de communication de ses propres états d’âmes.
Je souhaite que chacun, en regardant ma peinture, puisse laisser vagabonder son
imaginaire et avoir sa propre interprétation.
J’utilise différents enduits superposés qui, au fur et à mesure, permettent à la peinture et
aux pigments de creuser leurs propres chemins.
Mes dernières créations laissent une place plus importante à la transparence que je
travaille à l’aide de différentes textures de papiers, techniques d’aquarelles, projections
d’eau, de pigments …
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TKESHELASHVILI Mamuka
(Géorgie)
1987 Art College à
Tbilisi (Georgie).
1996 Diplômé de la
faculté des beaux
arts et de
l’académie de
peinture de Tbilisi
Participe à diverses
expositions en
Géorgie et
également en
europe et au moyen
orient.
Les expositions
récentes:
2010- Galerie Les MétamorphOZes.com
2010- ART METZ
2010- Copenhagen , galleri Varming
2009- MAC/2000,MAC paris
2009-GMAC de la Bastille, Paris
2009- ART METZ
2008-Galerie Flora, DUBAI,UAE
2008-Galerie "galagalleri" Tbilisi
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UBERTI Serge (Italie)
Le désir puissant d'effacer d'un coup de gris anthracite le monde environnant pour amplifier
la clameur visuelle d'une image géométrique et primordiale apparue aux yeux de l'artiste et
qui dans son primitivisme appartient à chacun de nous.
Lidia Reghini di Pontremoli
Le long chemin
Uberti décrit et recherche ses propres objets
avec la perte de toute identité logique à
travers la matière et le pinceau, re proposant
le monde de la peinture cultivée (dans le sens
de la matière) dans une recherche néo-
moderne sans limites ou références. Son
rapport avec les choses et les objets est
emblématique, en réalité ils ne deviennent
pas icônes mais caractères cycliques de
l'histoire. Il y a tout et rien, il n'y a rien et tout
est en rapport à la construction de l'habitation
dans lequel se rencontrent aussi bien les
œuvres que les espaces, les objets que les
lignes de démarcation, les projections que les
explorations. Ses œuvres sur toile ou sur bois
sont totalement ouvertes et en rapport avec le
reste : même si elles démontrent un champ
d'action limité aux grottes habitées et peut
être antre mentale, ont en réalité des limites qui sont le début du discours successif dans une
vision qui les amine à une interaction sans fin. Tous les travaux sont liés aux autres par le
fantôme de l'artiste qui, invisible cout les dialogues avec une délicatesse unique et propre à
lui créant une atmosphère imprégnée de son être : même la date a une saveur indicible,
souvenir d'un quotidien passé dans des vies indéfinies et cimentées par la machine du temps.
Aujourd'hui l’artiste, issu des étrusques, des égyptiens, et des hypothétiques du troisième
millénaire est peut être l'ambassadeur d'une histoire déjà écrite, vrai highlander indestructible
et immortel vu que son œuvre ne nait et ne meurt jamais. Seulement la connaissance de
Serge peut peut-être porter à la quadrature du cercle préhistorique.
PAOLO PANCALDI
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VIX Régine
PARCOURS
Régine Vix vit à Nantes dans cette ville dite la belle endormie aux contrastes et
lumières tous les jours renouvelés. Elle peint sous les toits, au cœur de la ville, bercée
par le silence parfois brisé par les cloches qui rythment alors sa vie d’ Atelier.
Après avoir travaillé le figuratif, elle a
cherché une voie plus abstraite.
L’école des Beaux Arts et l’influence
d’un peintre confident vont l’aider
pendant des années à travailler sa
peinture et dans les matières, et dans
les formes et dans les couleurs.
C’est la technique du collage
aujourd’hui son meilleur outil
d’expression, et la peinture à l’huile
en synergie donne à l’œuvre sa pleine
dimension.
Sa démarche artistique est avant tout une démarche de liberté. Avant de commencer
une toile, elle se libère de toute contrainte, travaille son papier de façon gestuelle,
spontanée. La couleur arrive, les rouges puissants, les orangés tonifiants s’imposent
souvent, synonymes d’énergie, de passion, de sensualité. Ces couleurs se déclinent, se
mélangent, s’unissent ; les reliefs se dessinent et la force du tableau apparaît peu à peu
laissant l’imagination au voyageur potentiel.
Elle travaille également des statuettes en continuité avec sa peinture. Bois, papier,
résine et peinture à l’huile.
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Ne pas oublier les artistes dans le jardin
ANNE-LOU – photographe
CAUX Olivier - sculptueur
FANY. G - céramique
LAFONT Lucien – céramique
LG.Samantha - photographe
MAGEN Etienne – céramique
MAGRITTE Martine - sculpteur
MINUSSI Marco – sculpture métal
NICO – sculpture métal
TAINE – sculpture résine
TERRE SAUVAGE – sculptures Shona du Zimbabwe
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Ne pas oublier les artistes permanents de la galerie
CARBONEL Pierre
L’ébenhystérie
LINOTTE Corine
LOUKY
MAGRITTE Martine
PAGE François
SYLVIE.B
WANG YONG
ZHANG Bin
ZHANG Tom
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Pratique
CONTACTS : Marie-France le Gall Gallou de Terruel Les MétamorphOZes Domaine du prieuré 41120 VALAIRE Tél : 02.54.44.14.62 e-mail : [email protected] sites : www.galerie-les-metamorphozes.com
www.le-jardins-des-metamorphozes.com La galerie, la boutique, le salon de thé et les Jardins des MétamorphOZes sont ouverts : 1er avril- 15 septembre, le vendredi-samedi-dimanche-lundi, 14h à 18h30 16 septembre-31 décembre, le samedi – dimanche, 14h à 19h Les Jardins des MétamorphOZes ferment le 31 octobre.
Sortie A 10 direction Blois Sud Direction: CANDE SUR BEUVRON à Candé, à droite, passer le pont du Beuvron, immédiatement à gauche, prendre la ROUTE DE VALAIRE. Toujours tout droit (env. 3km) . Croisement, Monument aux Morts, prendre à gauche, à 200m sur la gauche le Domaine du Prieuré près de l’église sans clocher. AMBOISE où CHAUMONT Prendre la ROUTE DE VALAIRE, juste avant le pont à droite, et suivre comme ci-dessus
mailto:[email protected]://www.galerie-les-metamorphozes.com/http://www.le-jardins-des-metamorphozes.com/