education therapeutique vih/sida/hépatites

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SFLS 6 avril 2012 PARIS education therapeutique vih/sida/ hepatites Dr p .Mélin pdt de sos hépatites responsable UTEP et réseau addicto chg

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Page 1: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

SFLS 6 avril 2012 PARISeducation therapeutique

vih/sida/ hepatitesDr p .Mélin pdt de sos hépatites

responsable UTEP et réseau addicto chg

Page 2: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Informer sans inquiéterSoutenir sans exclure Accompagner sans assister

Page 3: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Buts de la FédérationButs de la Fédération La Fédération SOS hépatites fondée en 1996 a pour but de réunir et fédérer l’action de toutes les associations adhérentes se retrouvant dans l’objectif commun :

la prévention la promotion de la recherche l’information la solidarité la défensede toutes les personnes concernées par les hépatites virales, quels que soient les virus et les modes de

contamination

Page 4: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

SOS hépatites c’est…

Depuis sa création : 3000 adhérents (malades, soignants, entourage)

des milliers d’appels téléphoniques des groupes de paroles

Et c’est aussi… 40 militants engagés au quotidien 6 SALARIES

Page 5: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Rôle de la Fédération

Favoriser l’implantation régionale et transfrontalière d’associations adhérentes Impulser coordonner et soutenir l’action des associations adhérentes Participer par le biais des associations adhérentes, aux réseaux médico-sociaux existants Développer tout partenariat susceptible de contribuer à une avancée de nos objectifs Former les membres actifs et répondre aux besoins de formation des personnels soignants

Page 6: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Quelques actions…Quelques actions…

O Numéro Vert d’écoute et de soutien : 0800 004 372

Forum National annuel SOS hépatites (prochain 22 et 23 novembre a rennes)

Organisation de formations infirmières, psychothérapeutes, travailleurs sociaux…

Actions de sensibilisation grand public.

Page 7: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Quelques actions…Quelques actions… Organisation des 1ers États Généraux Hépatite C,

création du premier service d’écoute téléphonique dédié aux hépatites virales, enquêtes nationales auprès de malades …

Défense des intérêts collectifs et individuels : CRCI, Comité Stratégique Hépatites Virales, CISS, MDPH…

Implication dans les réseaux VHC et Fédération des Pôles de référence.

Présence MEDEC, AFEF, THS… Participation à la conférence de consensus VHC, aux

réunions ANRS, TRT5, INSERM, INVS, AFSSAPS…

Page 8: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

PublicationsPublications Elles ont été conçues par des membres de l’Association SOS hépatites, par des personnes atteintes par le virus d’une hépatite virale et leurs proches.

Notre objectif :

Informer sur les hépatites, Lutter pour une meilleure prise en charge, Contribuer à une plus grande intégration des personnes atteintes. Un journal trimestriel d’information.

Ces publications sont validées par des médecins.

Page 9: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

  Le site internet : www.soshepatites.org Le bulletin périodique Les albums «Histoire de Max» et «Le Rêve de

Lucas» La série «Etre Hépatant» - 14 numéros La série «Hépatite C Conseil» - 6 numéros Deux guides d’accompagnement de la bithérapie Les brochures sur le thème juridique et social

Page 10: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

EtEt Pourtant...Pourtant...

Pour chaque malade, individuellement,

Tout reste à faire !

Page 11: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Coordonnées SOS HEPATITES FEDERATIONSOS HEPATITES FEDERATION

190 boulevard de Charonne75020 Paris

Téléphone : 01 43 67 26 40Fax : 01 43 67 26 84

N° Vert d’écoute et de soutien : 0800 004 372

E-Mail : [email protected] Internet : www.soshepatites.org

Page 12: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

L’AMBIGUITE…

L’hépatite C : La première maladie chronique

dont on peut guérir….

Ce qui perturbe les concepts habituels

Page 13: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

LA MALADIE DU PARADOXE

«Une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement grave, qu’on peut ne pas traiter et surveiller régulièrement, mais dont les traitements les plus précoces ont plus de chance d’être efficaces en vous rendant malade pour vous guérir.»

Page 14: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites
Page 15: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

•Quel sens prend cette guérison ?

•La définition médicale d’une guérison serait un retour à l’état antérieur. Est-ce réaliste après 10 à 20 ans d’évolution ?

•Comment nommer et gérer les séquelles ?

•La guérison définie par les médecins n’est peut-être pas celle des malades !

Page 16: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Les différents partenaires sont

perdus entre maladie

chronique et maladie aiguë.

Page 17: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Psycho

Social

Travailleurs sociaux

Malade

Psychologue, psychiatre

Médico

Hépato, Généraliste

Page 18: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Facteurs de non adhésion au traitement

CausesLe malade

-__acceptation de la maladie

- manque de formation pour la gestion du traitement

- les représentations sur la maladie et le traitement

- manque de motivation pour un suivi au long cours

- confusion entre contrôle interne et externe

Démarches possibles

- entretiens, tables rondes (malade etentourage)

- élaboration de programme d’enseignement

- formation des soignants au niveau des représentations médicales des patients

- stratégies d’encadrement du patient pour le motiver à se soigner

- jeu de rôles avec les soignants

Page 19: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Facteurs de non adhésion au traitement

CausesLe médecin

- identité médicale : intervention directe (modèle aigu)

- difficultés d’écoute du malade

- objectifs thérapeutiques trop ambitieux

- mauvaise gestion des rechutes dans le traitement

- mauvaise formation du malade pour la gestion du traitement

- suivi à long terme centré sur le somatique

- non participation de l’entourage dumalade

desDémarches possibles

- formation pour le suivi au long cours

- formation à l’écoute active

- maîtrise de l’approche par objectifs

- formation à la gestion des rechutes

- maîtrise de la pédagogie del’apprentissage

- gestion d’un suivi intégrant au biomédicalles exigences psychologiques etpédagogiques nécessaires au malade

- formations et tables ron avec la famille

Page 20: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Facteurs de non adhésion au traitement

CausesLa maladie

- absence de signes d’alarme, maladiesilencieuse

- maladie chronique, non guérissable

- complications invalidantes à long terme

- discordance entre les plaintes du maladeet les signes objectifs de la maladie

Démarches possibles

- pédagogie de la prise de conscience et dela recherche de signes

- problème de la gestion du long terme

- stratégie de prévention tertiaire

- appréciation de l’utilité et des limitesd’utiliser ce qui est objectif et ce qui estsubjectif

Démarches possibles

- pédagogie de la prise de conscience et de

la recherche de signes

- problème de la gestion du long terme

- stratégie de prévention tertiaire

- appréciation de l’utilité et des limites

d’utiliser ce qui est objectif

Page 21: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Les 4 questions éducatives à poser selon Christiane

CourteheuseQue savez-vous de votre maladie ou qu’avez-vous appris

depuis notre dernière consultation ?

Que pensez-vous des traitements qui vous ont déjà été prescrits ?

Comment vivez-vous votre maladie ?

Qu’attendez-vous de notre entretien ?

Page 22: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

La Biopsie Hépatique

F1

F3

F4

F4

F 2

Page 23: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Recommandations HAS 2007Hépatite C sans co-morbidité

OU

OU

Page 24: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Maintien de l’état nutritionnel • Essai randomisé, contrôlé • 53 malades VHC+ (F3-F4 :

46 % ; génotype 67,4 : 59 %) traités par bithérapie pégylée

• Conseil diététique (régime hyperprotidique, petits repas fréquents, supplément nutritionnel au coucher)– « Préventif » à chaque

consultation– « A la demande »

si perte de poids ≥ 5%

Le conseil nutritionnel préventif avec supplémentation préserve le poids, la force musculaire et la qualité de vie

• Bras « Préventif »– Ration calorique + 10 %/baseline– Ration protidique + 55 %/baseline– Maintien du poids– Maintien de la force musculaire– Meilleure qualité de vie – Moins d’effets indésirables– RVS identique (64 versus 62 %)

Huisman EJ, AASLD 2011, Abs. 1037 actualisé

Préventif

À la demande

Durée du traitement (semaines)

Poid

s (%

du

poid

s de

bas

e)p < 0,001

0 4 8 12 16 20 2480

90

100

110

36

Page 25: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Facteurs pré thérapeutiques prédictifs de réponse à la bithérapie pégylée

Liés à l’hôteLiés à l’hôte Âge, sexe, origine ethniqueImportance de la fibrose Syndrome dysmétabolique: poids, HOMA, stéatoseCo-infection avec le VIH Consommation de drogue/d’alcool

Liés au virusLiés au virus

Génotype

Charge virale

Nouveaux facteursNouveaux facteurs

Carence en vitamine D

Protéine IP-10

Polymorphisme de l’IL28B

Page 26: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Trithérapie : un nouveau vocabulaire

RGT : durée de traitement adaptée à la réponse– La durée du traitement peut être de moins de 48 semaines s’il existe

une eRVR.

PIB : phase initiale de bithérapie (lead-in phase)– Traitement de 4 semaines par bithérapie avant de débuter le

bocéprévir

eRVR, réponse virologique rapide c’est-à-dire ARN du VHC négatif :– à S4 et S12 de trithérapie avec le télaprévir– à S4 et S24 de trithérapie avec le bocéprévir (soit S8 et S28 du

traitement)

Page 27: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

pegIFNpegIFN

RibavirineRibavirine

InhibiteurInhibiteurProtéaseProtéase

pegIFNpegIFN

RibavirineRibavirine

Traitement de l’hépatite chronique C

Page 28: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

IFN6 m.1989

IFN 12 m.1994

IFN+ Riba1998

PEG IFN+ Riba

2001-2005

Résultats du Traitement (RVP)

6%

16%

40%

55%

Page 29: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Effets secondaires de l’IFN et de l’IFN-PEGFréquents et habituellement peu sévères

• Syndrôme pseudogrippal– céphalée– asthenie– Myalgie, arthralgie– Fièvre

• Nausée• Anorexie• Diarrhée• Symptômes psychiatriques

– Insomnie

• Alopecie

• Réaction site injection

• Leucopenie

• Thrombocytopenie

Page 30: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Effets secondaires de l’IFN et de l’IFN-PEGRares et potentiellement graves

• Symptômes psychiatriques– Dépression– Insomnie

Thyroidite

Autoimmunité

Page 31: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Effets secondaires de la RBV

• Anemie hémolytique

• Teratogenicité

• Rash et prurit

• Toux

Page 32: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Effets secondaires (% patients)Symptômes psychiatriques dépression insomnie irritabilité

22 % 37 % 24 %

Syndrome pseudo-grippal fatigue fièvre maux de tête frissons arthralgies douleurs musculaires

54 % 56 % 52 % 35 % 25 % 50 %

Symptômes gastro-intestinaux anorexie nausées

21 % 33 %

Symptômes dermatologiques alopécie prurit rash cutané réaction aux site d’injection

28 % 22 % 21 % 12%

Page 33: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Etude CHEOBS

0

20

40

60

80

52,248,6 49,4

%Bonne compliance

(> 80 % doses et durée)

0

20

40

60

80

57,850,9 49,3

%RVS à la bithérapie

pégylée

UD actifs ou substitués (N = 244)Ex-UD (N = 578)Non-UD (N = 1038)

Melin P et al. AFEF Paris, septembre 2008

Page 34: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Résultats du traitement chez les UD actifs

0

20

40

60

80

100

6660

88 86

% Doses > 80 % Durée > 80 %

Compliance

UD actifs (N = 199)Groupe contrôle (N = 301) Bruggmann P et al. J Viral Hepat 2008; 15: 747-

52

0

20

40

60

80

100

6960

%R V S

Page 35: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Impact de la consommation d’alcool sur le traitement de l’hépatite C

0

20

40

60

80

58 5963

% Bonne compliance

0

20

40

60

80

60 5750

% RVS à la bithérapiepégylée

pas d’alcool (N = 447)alcool 24 g/j (N = 91)alcool > 24 g/j (N = 16)

Bruggmann P et al.Drug Alcohol Depend 2010; 110: 167-71

Cohorte suisse (N = 554)

Page 36: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Impact de la consommation de tabac sur la RVS

0

20

40

60

80%

5360

N = 106

Madrazo A et al. EASL Milan 2008 # 593

> 30 PA 30 PA

Page 37: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Le cannabis est associé à une meilleure observance et à une meilleure RVS

0

20

40

60

80

100 95

67

N=19

N=29

Sylvestre DL et al. Eur J GastroenterolHepatol 2006; 18: 1057-63Bourlière M et al. Antiviral Therapy 2011

Observance

%

0

20

40

60

80

100

6452

N=22

N=49

RVS àIFN + RBV %

54

18

RVS àbithérapie pégylée

N=893N=133

Cannabis

–+ Cannabis p = 0,01

Page 38: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Schémas thérapeutiques AMM : Bocéprévir

S0 S4 S8 S12* S24* S28 S36 S48

VICTRELIS

ARN-VHC indétectable à S8

Victrelis® + PegIFN/RBV

PegIFN/RBV

Victrelis® + PegIFN/RBV PegIFN/RBV

ARN-VHC détectable à S8

VICTRELIS

S4S0 S12* S24* S36 S48

Victrelis® + PegIFN/RBVPegIFNRBV

PegIFN/RBV

S0 S4 S12* S24* S48

Victrelis® + PegIFN/RBVPegIFNRBV

VICTRELIS

Patient naïf(sauf patient cirrhotique)

Patient en échec à un précédent traitement (sauf répondeur nul ou cirrhotique)

Patient cirrhotique ou répondeur nul

* Règles d’arrêt de la trithérapie en fonction du taux d’ARN-VHCSi ARN-VHC ≥ 100 UI/ml à S12Si ARN-VHC détectable à S24

Page 39: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Modalités d’administration

Exemple d’horaires Exemple d’horaires de prise à heure fixede prise à heure fixe

7 h 00 14 h 00 21 h 007 h 00 14 h 00 21 h 00Petit-déjeunerPetit-déjeuner En cas Dîner En cas Dîner

Ribavirine Petit-déjeuner Dîner(en fonction du poids) 1ère prise 2ème prise

+

VICTRELIS+

PegInterferon 1 injection sous-cutanée par semaine

VICTRELIS800 mg en 3 prises/jouren association à une bithérapie standard

Si oubli d’une prise de VICTRELIS

• Si ≤ 2 H / dose suivante on saute la prise

• Si > 2 H / dose suivante on le prend prise suivante à l’heure initialement prévue

Moment de prise souple par rapport à la nourritureMoment de prise souple par rapport à la nourritureAvec un repas : ou avec un encas

- 5 min avant de manger- ou pendant le repas- ou immédiatement après

Page 40: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Schémas thérapeutiques AMM* : Télaprévir

* Selon l’AMM délivrée aux USA** Règles d’arrêt de la trithérapie en fonction du taux d’ARN-VHC (selon l’AMM des USA)

Si ARN-VHC ≥ 1000 UI/ml à S4Si ARN-VHC > 1000 UI/ml à S12Si ARN-VHC détectable à S24

Télaprévir 12 semaines +PegIFN α2b + RBV

Patient naïf et rechuteur (sauf cirrhotique)

Patient répondeur nul et non répondeur

S0 S4** S48S12** S24**

PegIFN α-2b + RBV

Télaprévir 12 semaines +PegIFN α2b + RBV PegIFN α-2b + RBV

Télaprévir 12 semaines +PegIFN α2b + RBV PegIFN α-2b + RBV

Patient naïf cirrhotique

PegIFN α-2b + RBV

S0 S4** S48S12** S24**

S0 S4** S48S12** S24**

RVR : ARN-VHC indétectable à S4 et S12

Non-RVR : ARN-VHC détectable à S4 et/ou S12

Page 41: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Schéma thérapeutique Bocéprévir :

1° phase : bithérapie 4 semaines 2° phase : trithérapie 3° phase : variable

– bithérapie ou trithérapie – durée adaptée : patient naïf/non, cirrhose/non et rapidité de la réponse

virologique

Schéma complexe mais personnalisé

Télaprévir : 1° phase : trithérapie 3 mois 2° phase : bithérapie de durée variable (AMM)Schéma plus simple

Page 42: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Prise médicamenteuse

Bocéprévir : – 4 gélules matin, après midi et soir (dont 2 des prises peuvent coïncider avec celles de la ribavirine) avec une collation– Prise possible jusqu’à 2h avant l’horaire de la prise suivante

Télaprévir :

– 2 gélules toutes les 8h avec un repas gras – Prise possible « seulement » dans les 4h après la dose oubliée (1/2 vie de 4h)

La posologie plus simple du Télaprévir impose

cependant plus de contraintes.

Page 43: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Management des effets indésirables

Bocéprévir et Télaprévir : co-prescription possible d’EPO (PTT avec le néorecormon®) ; au delà de 3 mois, il semble possible de réduire la dose de ribavirine sans conséquence sur la réponse virologique

Télaprévir : les manifestations cutanées sont imprévisibles, d’où la nécessité d’un suivi strict

L’utilisation d’EPO s’est banalisée et les futurs prescripteurs de trithérapie en connaissent le plus

souvent déjà le maniement.

Page 44: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Interactions médicamenteuses

Nombreuses, diversement étudiées :

- Grande prudence pour les deux trithérapies !- Vigilance avant de mettre en route l’anti-protéase, en

cours de traitement- Bien connaître les co-prescriptions- Taper fort pendant trois mois ou un an en

commencant doucement

Pour tout renseignement, se référer à la rubrique Interactions médicamenteuses des sites : www.drugs.com/drug-interactionswww.hep-druginteractions.org

Page 45: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Autres sites spécialisés : www.pharmacoclin.ch

Interactions médicamenteuses

Coadministration is contraindicated due to the potential for myopathy, including rhabdomyolysis

Page 46: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites

Rechuteurs Répondeurs partiels

Répondeurs nuls

53/62n/N= 2/1512/38 144/167 10/180/53/17 34/47 15/380/91/5 11/32

F0-F2 F4Score de fibrose

Pbo/PR48

T12/PR48 poolés

RVS

(%)

48/572/15 1/18 24/59 1/10 7/50

F3 F0-F2 F4F3 F0-F2 F4F3

Zeuzem S, et al. J Hepatol 2011;54(Suppl.):S3

TELAPREVIR : RVS en fonction de la réponse au traitement précédent et du score de fibrose

Page 47: Education therapeutique VIH/SIDA/Hépatites