st barth magazine. mars 2013. (n°309)

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Mars 2013 • 27 e année N°309 SAINT-BARTH MAGAZINE © Christophe Jouany Les Voiles de St Barth du 8 au 13 Avril 2013

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St Barth Magazine Mars 2013 (n°309)

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Page 1: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)

M a r s 2 0 1 3 • 2 7 e a n n é e N ° 3 0 9

SAINT-BARTH MAGAZINE

© Christophe Jouany

Les Voiles de St Barth du 8 au 13 Avril 2013

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Page 3: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)

NOS HOTELS COUP DE CŒURDécouvrez une sélection de nos Hôtels de prestige où le charme et le cadre idyllique vous laisserontun souvenir impérissable de votre séjour.

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3 4

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hectares de jardin tropical, l’hôtel Le

Toiny, paradis sur les hauteurs de Saint-

Barth, est «unique au monde par son

ambiance d’élégante intimité». C’est un

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Chacune des villas est individuelle, dis-

pose d’une piscine privée chauffée et

offre une vue panoramique sur la baie de

Toiny et la mer des Caraïbes. Une plage

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Spa Sérénité opérée par la « Ligne St

Barth » vous invite à la détente et à la

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Chef Relais & Châteaux, vous offre une

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LE GUANAHANI & SPAL’INDIGO /2/Pour un repas au bord de la piscine ou

les pieds dans le sable, l’Indigo est l’en-

droit rêvé. Bercé par les alizés, vous

dégusterez les mets élaborés par Nicola

de Marchi et Philippe Masseglia. Leur cui-

sine s’inspire de leurs origines méditer-

ranéennes et de leurs multiples voyages.

L’indigo est un lieu raffiné tout en décon-

traction et simplicité qui change de

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décoré par Jan des Bouvrie réunit dans

un cadre unique au cœur d’un parc tro-

pical d’un hectare et demi avec accès

direct sur la plage, des chambres spa-

cieuses au décor élégamment minima-

liste. Atmosphère d’exception dans une

cocoteraie la Villa Emeraude, 2 cottages

de plage, 4 suites, 21 bungalows, la

“Stone House” bénéficient tous d’une vue

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mer. Les 3 cabines dont une cabine

double, grandes ouvertes sur l’océan,

sont une véritable invitation à la détente.

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ques de cosmétique française, propose

ses « Soins Phyto-Aromatiques » dans

l’intimité de l’une des 3 cabines

tournées vers l’extérieur avec la mer

comme toile de fond. Matières

naturelles, douceur des couleurs et

intimité des espaces, contribuent

encore un peu plus au bien-être des

hôtes.

Qu’ils soient réparateurs, hydratants,

purifiants ou simplement bienfaisants,

chaque besoin trouvera ici, une réponse

adaptée pour réunifier le corps et

l’esprit.

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de 9h à 20h

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4 saint-barth magazine # 309

ientôt avril… ne te découvre pas d’un fil, nous rappelle la maxime !

Le 1er de ce mois annonce et permet, du moins pour cette seule journée,

un renversement des valeurs établies : c’est le poisson d’avril !

Les expressions singulières autour des animaux, fourmillent dans la langue de Molière.

Laissez-moi vous conter cette histoire qui ne s’est peut-être jamais produite.

« Je fais le pied de grue à St Martin, pour en savoir plus sur notre député Daniel Gibbs ! Rusé comme un

renard, comme tout parlementaire, il sait aussi faire la politique de l’autruche et noyer le poisson. J’essaie

de lui tirer les vers du nez, rien à faire !

Il faut avancer à pas de loup, malgré ma démarche de crabe! Je repense alors au Forum des métiers du

Tourisme dont le Vice-Président de la Collectivité, Nils Dufau lui aussi malin comme un singe, m’a parlé.

L’avenir touristique est son cheval de bataille, mais en sautant du coq à l’âne, on parle aussi Histoire à

l’occasion. Plus particulièrement de la période suédoise !

Rentré à l’Hôtel, nu comme un ver, je tourne à m’en rendre chèvre, comme un lion en cage, dans mon

trou à rat. J’ai le cafard, je rentre à St Barth ! J’enfile mes Pumas et fonce vers Marigot situé à perpète les

oies, dans une coccinelle décapotable, à défaut de Jaguar. Chouette, mais certainement pas idéal par un

temps de chien, un froid de canard alors qu’il pleut comme vache qui pisse. J’en ai la chair de poule !

Sur le bateau, où il n’y a pas un chat, nous sommes trois pigeons, coincés comme des sardines dans

une cabine jaune canari. En face, une jolie souris, à la taille de guêpe, des cuisses de mouches et des

yeux de biche. Peut-être une surfeuse du Reefer Surf Club. Loin d’être un thon, elle est vêtue comme

une blanche colombe et se dirige vers St Barth pour admirer l’exposition de FelicA,

un artiste prometteur dont on lui dit grand bien! Moi qui ne suis pas le prince du pinceau, je pense au

rechampir à réaliser à la maison et au surf, que je n’ai jamais su faire…(sic)

A côté, un type moche comme un pou, à la face de rat, sertie d’une queue de cheval, d’un bouc

et à l’haleine de fennec, complète le clapier à lapin. Sa bouche en cul de poule, le bec de lièvre et les

oreilles d’éléphant ajoutent indéniablement du chien à son regard déjà porcin. Ce drôle de zèbre lit

l’épopée des templiers, quand il ne fait pas le coq ! Tout en songeant au franc-maçon que j’ai

rencontré la semaine dernière, je tente de faire la marmotte, pendant que la pouliche glousse comme

une dinde et que l’autre morpion rit comme une hyène en me cherchant des poux dans

la tête. Chante beau merle !

Le rafiot, vif comme la tortue, digne d’un vieux loup de mer et chargé comme un bourricot,

ressemble peu aux gazelles des mers qui participent à la Bucket ou aux Voiles de St Barth…

Soudain, panne de courant ! Crotte de bique ! Dans le noir, on entend « smack » le bruit du bisou, suivi

d’un « plac » retentissant, le bruit d’une grosse claque. L’asticot, qui jacassait comme une pie est alors

muet comme une carpe. Quelle mouche a piqué cette morue, s’indigne-t-il en silence ! Médusé, la joue

rouge comme un homard, il pense avec ses yeux de merlan frit que j’ai essayé d’embrasser la jument,

qu’elle s’est trompée de cheval et lui a mis une baffe, à lui. La grande sauterelle, elle, pense que la

gueule de raie a tenté de m’embrasser et que je lui ai mis une torgnolle

pour m’en débarrasser. Pas de lézard ! Moi, en peau de vache, je n’ai

qu’une hâte : qu’il y ait une autre coupure de courant! Minute, papillon,

je te garde un chien de ma chienne…Je pourrai alors refaire le bruit du

baiser et remettre une autre grosse gifle à assommer un boeuf, à cet

âne bâté qui faisait le paon plus tôt.

En avance, Poisson d’Avril ! »

Bonne lecture Miguel Berry

EDITO

SAINT-BARTH MAGAZINEMars 2013 # 309Gustavia - B.P. 73 97095 Saint-Barthélemy [email protected]

Directeur de Publication Sinclair Questel 0690 61 17 48

Rédaction Miguel Berry 0690 67 11 [email protected]

Mise en page et graphismeMarie-Pier Pautrot 0690 74 05 [email protected]

ImpressionPrinted by PRIMSERVICES St-Martin Z.A. Hope EstateTél : 0590 87 50 24

ISSN : 1151-3373Dépôt légal à parution© st-barth magazine 2004RC 89 B 141 Basse-Terre

SOMMAIRE• Nos hôtels coup de cœur 3

• Politique : Daniel Gibbs 6

• Avenir : Cap vers les métiers du tourisme 8

• Voile : Les Voiles de St Barth/Bucket Regatta 10

• Sport : Le surf à St barth 12

• Nos restaurants les plus gourmands 13

• Actualités 14

• Brèves 16

• Société : Les francs-maçons à St Barth 18

• D’Art en Arts : FelicA 20

• An tan lontan : Le Saviez-vous ? 22

• Insolite : 1 mois dans le monde 24

• Horoscope/Jeux 26

B

COMPLEMENTAIRE SANTEPREVOYANCE ET RETRAITE

Page 5: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)

LES ARTISANSRue du Général de GaulleGustaviaTél : 05 90 27 50 [email protected]

IOSHOPPING

TERRA BOUTIQUEPelican Plage St.JeanTél : 05 90 27 57 50

TERRA

STEPHANE & BERNARD BOUTIQUEGustavia CenterTél : 05 90 27 65 59www.stephanebernard.com

HERVE LEGERP/E 2013en EXCLUSIVITE chezSTEPHANE & BERNARD

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6 saint-barth magazine # 309

St-Barth Mag : Durant votre campagne de 2012, vousaviez innové en proposant pour votre suppléanteKarine Miot Richard un statut de co-député. Qu’en est-il aujourd’hui ?

D. Gibbs : Le néologisme « co député » nous tenait à coeur,

à Mme Miot Richard et moi même, parce qu’il reflète la rela-

tion de confiance et de travail que nous avons souhaité

instaurer. Certaines circonscriptions sont plus complexes

que les autres : la nôtre l’est tout particulièrement. Une

économie axée sur le tourisme, un statut de Collectivité

d’outre-mer…Saint-Martin et Saint-Barthélemy, malgré leur

proximité, ont peu de choses en commun. De part son impli-

cation et son expérience politiques et professionnelles à

Saint-Barthélemy, Mme Miot Richard est d’une aide pré-

cieuse pour le mandat que j’ai l’honneur d’exercer,

puisqu’elle apporte son expertise aux dossiers relatifs à la

Collectivité. J’ai la chance de plus, de pouvoir compter sur

l’excellente collaboration du Président de la Collectivité et du

Sénateur de Saint-Barthélemy notamment. Je n’envisage

d’ailleurs pas de pouvoir travailler autrement qu’en bonne

intelligence et dans un partenariat étroit avec les élus de la

Collectivité, leurs représentants nationaux ainsi que les

forces vives de Saint-Barthélemy.

St-Barth Mag : Lors de vos voeux, adressés à la popu-lation de St Barthélemy et aux autorités locales, vousdéfinissiez la DGC comme « une absurdité comptable,un non-sens administratif, un affront politique ».Quelles solutions préconisez-vous pour contrer cettedotation négative? Dans quelles mesures pourrait setraduire votre implication ?

D. Gibbs : Je ne regrette aucun des termes que j’ai effec-

tivement tenu à employer lors de mes voeux, le 11 janvier

dernier, en présence du représentant de l’Etat. Je soutiens

pleinement les élus de la COM dans leur contestation de

cette DGC inversée : je serai le relai de leurs démarches,

pour faire avancer ce « non sens », cette injustice, qui risque

de mettre purement et simplement en péril la capacité d’in-

vestissement d’une Collectivité qui a toujours su maîtriser

ses choix et sa destinée.

St-Barth Mag : Député de la circonscription de Saint-Barthélemy et de Saint-Martin, vous briguez égale-ment, dit-on, le poste de secrétaire national des Outre-Mer au sein de votre parti. Comment réussissez-vous àconcilier le tout et à répondre aux attentes de chacun ?

D. Gibbs : Je suis Député, conseiller territorial d’opposition

à Saint-Martin, président de l’association Union pour la

Démocratie et secrétaire territorial d’une Fédération territori-

ale UMP à réinventer complètement : mes responsabilités

sont aujourd’hui suffisamment plurielles et denses, pour que

je brigue un nouveau poste, à l’échelle nationale, mais je suis

à la disposition de ma famille politique pour la reconquête

des outre-mer. Pour pouvoir tout concilier, j’ai la chance,

d’une part, d’être bien entouré et j’essaie, en outre, de

partager au mieux mon temps de travail et de présence entre

Paris et la circonscription.

St-Barth Mag : Quels sont les sujets et dossierstouchant St Barthélemy, à venir ou en cours, et surlesquels vous vous penchez ?

D. Gibbs : J’ai profité de mes voeux à la population et aux

représentants de Saint-Barthélemy en janvier dernier, pour

exposer mes priorités pour les mois à venir, tels que le main-

tien de la présence du laboratoire de Saint-Barthélemy dans

le cadre de la discussion du projet de loi relatif à l'application

de l'ordonnance N°2010-49 du 13 janvier 2010 relative à la

biologie médicale, la modification du Code des Contributions

de Saint-Barthélemy, pour une proposition de relèvement du

taux du droit de quai pour les véhicules importés et ceci afin

de limiter le nombre de voitures circulant sur le territoire de la

Collectivité, la modification du Code de Commerce afin d'of-

frir la faculté à la Collectivité d'Outre-Mer de Saint-

Barthélemy de fixer un numerus clausus s'appliquant aux

entreprises pratiquant la location de voitures et de limiter le

nombre de voitures par entreprise ou encore la réflexion sur

la création d'une caisse autonome de Sécurité Sociale à

Saint-Barthélemy.

POLITIQUE

QUATRE QUESTIONS AU DÉPUTÉ

DE SAINT-BARTHÉLEMY ET SAINT-

MARTIN, DANIEL GIBBS.

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QUIKSILVERRue de la RépubliqueGustaviaTél : 05 90 29 69 40Horaires 9h30 12h30 et 15h30 19h

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LUNETTVilla CréoleSaint-JeanTél : 05 90 52 46 [email protected]

L U N E T T

Page 8: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)

8 saint-barth magazine # 309

AVENIR

Nils Dufau, vice-Président de laCollectivité et Président duCTTSB, nous parle du Forumdes Métiers du Tourisme, qui sedéroulera le 18 mars, à laCapitainerie.

Que serait l'avenir de St. Barthélemy si nous n'aidions pas dès

maintenant les jeunes de l'ile à mieux s'orienter dans le

domaine si spécifique mais pourtant si vaste qu'est le

tourisme?

La future stabilité économique et sociale de St. Barthélemy en

étant pour beaucoup concernée, les membres du CTTSB (élus et

socioprofessionnels) ont donc répondu à l'appel de ces jeunes.

Nous avons reçu à ce jour près de 200 demandes signées de

leurs parts souhaitant que nous réitérions l'action « Cap vers les

Métiers du Tourisme », j'en suis très heureux !

Cette deuxième édition, en collaboration avec le Collège Mireille

Choisy, sera ouverte aux élèves de 3ème et 2de, et aura lieu à

la Capitainerie le 18 mars.

• Le matin de 10h00 à 12h00, nous présenterons le Comité du

Tourisme, son fonctionnement et ses devoirs vis-à-vis de la

Collectivité, comment nous assurons à nos visiteurs un accueil

digne de ce nom, comment nous mettons en place la promo-

tion et la communication pour la destination St. Barth, com-

ment nous collaborons de manière régionale avec nos parte-

naires américains du nord et du sud, comment nous aidons les

associations à mettre en place des événementiels. Nous expli-

querons l'importance de l'activité des professionnels du

tourisme à St. Barth, etc...

• L'après-midi de 13h30 à 15h30. Deux heures de dialogue

entre jeunes élèves et les professionnels du tourisme avec qui

nous travaillons depuis des années de manière quotidienne. Il

s'agit d'une rencontre cruciale, permettant à nos jeunes de

mieux comprendre les réalités du terrain. C'est du direct !

Pour la jeunesse de l'ile, je tiens également à saluer le travail

effectué par la CEM. Cet organisme organise tous les 2 ans un

forum des métiers portant sur une large panoplie de métiers

allant au-delà des seuls métiers du tourisme. En somme, nos

futurs adultes ont à leurs disposition plusieurs outils différents,

mais parfaitement complémentaires, leurs permettant de mieux

préparer leur avenir en s'informant à l'avance sur les métiers

disponibles localement.

Selon le rapport de l'IEDOM 2011, le tourisme représente la

première activité économique de St. Barthélemy, générant des

emplois directs et indirects.

La branche de l’hôtellerie et de la restauration occuperait les

deux tiers des emplois touristiques et constituerait à ce titre

l’employeur le plus important.

L’INSEE confirme à son tour que 37 % des emplois salariés

seraient directement liés au tourisme (environ 1 700 emplois).

Pour terminer sur une note complémentaire, le CTTSB accom-

pagne les socio-professionnels pour le développement quali-

tatif de St. Barthélemy, il ne s'agit pas de développer un

tourisme quantitatif - sachant que trop de développement peut

tuer le développement...

Nous sommes là pour stabiliser le flux touristique, pour s'assu-

rer qu'il ne baisse pas de trop alors que le monde continue

d'endurer une crise économique relativement grave.

Si St. Barth reconnait désormais l'importance de la présence

de nos visiteurs brésiliens et la stabilisation de notre clientèle de

l'Amérique du Nord, cela est le produit positif de la collabora-

tion des socioprofessionnels avec le comité du tourisme.

Notons aussi que chaque résident de St. Barthélemy porte la

responsabilité de faire en sorte que nos visiteurs se plaisent ici:

le fait que nous n'avons pas de criminalité violente, que l'ile

reste propre, et que les habitants continuent de se montrer

hospitaliers avec une dose de "french touch", c'est cela l'un

des secrets qui rend cette ile si magique et attirante!

REFORME SCOLAIRERéflexion sur la réforme des rythmes scolaires, menée parMicheline Jacques, Conseillère Territoriale et Directrice del’Ecole Primaire de Gustavia.Cette réforme consiste à diminuer la journée de classe de 30 à

45 mn et à travailler le mercredi de 2 à 3h. Des dérogations sont

possibles quant à l'organisation des horaires, mais le travail le mer-

credi n'est pas dérogatoire. Les différents conseils d'écoles

devaient se réunir afin de proposer des horaires et de donner un

avis sur la mise en place de cette réforme dès 2013 ou la reporter

à la rentrée 2014.

Cet avis est purement consultatif et c'est la collectivité qui décidera

de demander ou non une dérogation concernant la date de la mise

en application de cette réforme. Les écoles privées ne sont pas

tenues d'appliquer la réforme mais elles ont souhaité y participer de

manière à avoir une certaine uniformité au niveau des horaires.

Plusieurs propositions étaient envisageables :

1- Augmenter le temps de la pause méridienne à 2h au lieu de

1h30 actuellement, ce qui est impensable au regard du fait que

90% des élèves mangent à la cantine, que ce sont les heures les

plus chaudes de la journée, ce qui accroit le risque d'accident, de

disputes.

2- Modifier les horaires. Nous avons opté pour la deuxième solu-

tion. Ainsi, à l'école élémentaire de Gustavia : Les enseignants ont

fait deux propositions en tenant compte du fait que les élèves sont

beaucoup plus réceptifs le matin.

1- lundi, mardi, jeudi, vendredi : 8h00-11h30 et 13h-14h45, lemercredi 8h-11h2- lundi, mardi, jeudi, vendredi : 7h30-11h30 et 13h-14h15, lemercredi 8h-11hProposition des représentants de parents d'élèves. Lundi,mardi, jeudi, vendredi : 8h30-11h30 et 13h-15h15, le mercre-di 8h30-11h30;A l'école maternelle, plusieurs propositions ont été émises en se

basant sur la même idée. C'est la proposition 1 des enseignants

qui a été retenue avec 18 votes "pour" et 3 "contre".

En maternelle c'est la proposition suivante qui a été retenue:

Lundi, mardi, jeudi, vendredi : 8h-11h30-13h-15h mercredi : 8h30-

10h30.

Concernant la mise en place de la réforme, la maternelle a souhaité

s'aligner sur l'avis de la Collectivité, l'école élémentaire a voté pour

la mise en place dès 2013 avec 10 votes "pour", 9 votes "contre"

et 2 abstentions. Au regard de ces nouveaux éléments, Il appartient

à la Collectivité de se prononcer et d'harmoniser les propositions

dans l'élaboration du PET : Projet Educatif Territorial. Il semble pré-

maturé d'appliquer localement cette réforme dès la rentrée 2013

car il est indéniable que les enseignants, les parents et les élus

doivent travailler de concert pour élaborer un projet dont la pierre

d'angle est l'épanouissement et la réussite scolaire de tous les

élèves.

CAP VERS LES MÉTIERS DU TOURISME

Page 9: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)
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10 saint-barth magazine # 309

VOILE

LA ST-BARTH BUCKET DU 28 AU 31 MARSLes plus grands et prestigieux bateaux du monde se

donnent rendez-vous dans le Port de Gustavia du 28 au

31 mars pour trois jours de régate amicale autour de St

Barthélemy.

Depuis ses débuts sporadiques à Nantucket en 1987

avec seulement sept bateaux, la Bucket s’est installée

comme une course de référence internationale dans le

monde de la voile.

Cette régate qui ne ressemble à aucune autre, et qui

emprisonne l’imaginaire onirique des marins, attire

chaque année de nombreux participants.

Un livre, The Bucket Book, A Celebration of Megayacht

Racing, a même été écrit et apporte, avec des images de

toute beauté, un éclairage singulier sur la course.

Le programme haut en couleurs est la promesse d’un

fabuleux spectacle mettant en scène les plus beaux

voiliers de la planète. A ne pas manquer !

Pour de plus amples informations vous pouvezconsulter utilement le site de la course :http://www.bucketregattas.com

©yachtsmagazine.com

LES VOILES DE SAINT-BARTH 2013

L’attrait des Voiles de St Barth, qui réside notam-ment dans la qualité de son organisation et desa programmation, se confirme pour cette 4èmeédition qui se déroulera du 8 au 13 avril prochain.De nombreux équipages représentant plus de 15 natio-

nalités, prendront part à l’un des événements nautiques

les plus attendus de la Caraïbe. Les quais de Gustavia

devraient faire écho aux accents multiples, venus des

quatre coins de l'Europe, mais aussi des Amériques, du

Pacifique et des Caraïbes.

Parmi ces marins, les Néerlandais du Swan 45 Satori

apparaissent comme de sérieux clients au podium. Ils ne

sont évidemment pas les seuls prétendants au titre. Les

autres participants sont tous bien décidés à hisser très

haut leurs couleurs nationales. On trouve le Porto Ricain

Sergio Sagramoso sur son J/122 Lazy Dog, et le très

beau Ker 51 Varuna de l’allemand Jens Kellingshusen.

Jean Pierre Dreau revient avec un équipage entièrement

français à la barre du Super Maxi Med Spirit. Séduit l’an

passé par les Voiles de Saint-Barth, il a organisé sa sai-

son autour de l'événement. Simonas Steponavicius et

ses Lithuaniens du Volvo 60 Ambersail partagent la même

passion. Ils reviennent aux Voiles avec un jeune équipage

bien aguerri par plus de 100 000 miles de navigation sur

toutes les mers du globe, et porté par l’euphorie de l’an-

nonce prochaine de leur participation à la Volvo Ocean

Race. Dynamite Idea est un super yacht qui porte lui aussi

la signature de Farr. Long de 80 pieds, il écume avec

succès les plus grandes régates de part et d'autre de

l'Atlantique. Son skipper Tony McBride arrive à Saint-

Barth avec de sérieuses ambitions dans la spectaculaire

classe des Maxi Yachts qu’il compte bien dominer, “mal-

gré un niveau de compétition toujours très relevé ici…”

Un spectacle d’exception en perspective.

Pour de plus amples renseignements :www.lesvoilesdesaintbarth.com

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Rue du Roi Oscar II GustaviaTel : + (59) 05 90 29 07 66Cell : 06 90 73 26 [email protected]

42, rue de la République GustaviaCell : 06 90 20 96 66

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Page 12: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)

12 saint-barth magazine # 309

LES DEBUTS DU SURF SUR L'ILE

C'est en 1970 que les vagues de St Barth furent surfées pour

la première fois par des Américains, originaires de la Floride.

Ces surfeurs, au terme d’un tour du monde à la voile, jetaient

l’ancre pour leur dernière étape à st Barth. Après quelques

sessions, ils laissèrent leurs planches de surf à deux jeunes

habitants de Lorient (Jules et André BRIN) pour qui ce sport

allait devenir une philosophie de vie. Par la suite et en raison

de l’engouement suscité, un modeste club de surf, le « Reefer

Surf Club » voyait le jour en 85 sous l’impulsion d’Yves

Lacoste, d’Eric Chaumont et de Jules Brin. Le club affilié à la

Fédération Française de Surf, s’intégrait aux activités de

l'AJOE, une association déjà et toujours à l’écoute des jeunes

comme des passions naissantes.

ECLOSION D'UN CHAMPION

Le surf prenait de l’ampleur et de nombreux jeunes de l'île sui-

vaient la vague sur tous les spots de l’île. Vers 1988 Mario

Lédée, encadré par Eric Chaumont, Yves Lacoste et Jules Brin,

se distingue très rapidement dans la discipline et fait le tour du

monde (jusqu'au Japon). Il est doué ! Très doué ! Le premier titre

national de surf, aux couleurs de Saint Barth, est apporté par

Mario Lédée en 1997, à l’issue d’une compétition de qualité. Il

devient champion de France dans sa catégorie Junior et pre-

mier champion de l’île après avoir remporté la coupe de France

en 96 et la coupe des Dom Tom en 91. En 2002, arrivée de

David Blanchard, Brevet d'Etat de Surf, pour suppléer Eric

Chaumont face à une demande grandissante. Puis en 2005,

Brigitte Estienne rejoint à son tour le club. Professeur de sport,

elle est aussi mère d'un jeune surfeur du comité de

Guadeloupe, Jean Sébastien Estienne, champion d’Europe en

2005 et double champion de France en 2005 et 2008. Il par-

ticipe aujourd’hui au circuit Pro Amateur, partout dans le

monde. Forte de son expérience, Brigitte prodiguera ses con-

seils avisés sur l’avenir et l’orientation des jeunes surfeurs.

LA RELEVE

Après le sacre de Mario Lédée, plusieurs années s’écoulent,

sans titre pour le Reefer Surf club de l'AJOE. Finalement, c'est

un de nos jeunes, Dimitri Ouvré, formé à St Barth depuis l’âge

de 7 ans qui sortira son épingle du jeu. Suivi par David

Blanchard jusqu'à ces 16 ans, lors de toutes ses compétitions

en Guadeloupe, en France et même en Floride, Dimitri fait ses

armes et s’améliore de jour en jour. Après s’être installé en

famille dans l’hexagone, plus près des sponsors, de l'équipe

de France et des meilleurs vagues européennes, Dimitri

devient double Champion de France en 2010 à Biarritz :

Champion Junior et Champion Open, sous le regard attentif

de quelques espoirs locaux, participant pour la première fois à

ces championnats de France, à l’instar d’Elliot Ivarra. Dimitri

fait partie du Quiksilver Team Europe depuis maintenant

plusieurs années et poursuit sa carrière. En 2011 Elliot échoue

en 1/2 finale des championnats de France Espoir mais l’année

suivante, c’est la double révélation : Nina REYNAL devient la

plus jeune championne de France du club. A 14 ans elle rem-

porte le titre national chez les ondines de moins de 14 alors

qu’Elliot Ivarra remporte le King Of The Groms Européen, un

tremplin non négligeable dans la carrière de ces jeunes sur-

feurs, notamment pour Elliot qui intègre la team Rip Curl pour

de nouvelles aventures.

DES CHAMPIONS, MAIS AUSSI UN CLUB DE VIE

Le Reefer Surf Club de l'AJOE, essentiellement composé de

bénévoles, comprend deux groupes : . Les compétiteurs : une

vingtaine de surfeurs qui s’entrainent le mercredi après- midi

et participent aux compétitions sur plusieurs week-ends tout

au long de l'année (Coupe de Guadeloupe, Championnat de

Guadeloupe, la Volcom, la Jojo Burger, La Quiksilver, la Free

Poupoule Taïnos et IPANEMA, + les compétitions interne au

club). Les pratiquants : environ 70 amateurs, qui s’initient au

surf dès 6 ans et sont encadrés dans la baie de Lorient tous

les samedis. Depuis 5 ans, le club a également ouvert, en liai-

son avec le collège Mireille Choisy, une section UNSS Surf. Il

s'agit de la seule activité UNSS sur la région de la Guadeloupe.

Brigitte Estienne envisage une participation, avec les meilleurs

d'entre eux, aux championnats de France UNSS.

Parallèlement et depuis deux ans, le club organise un Surf Trip

vers de nouvelles vagues, pour le plus grand bonheur des

jeunes espoirs.

Le 23 mars prochain sera organisée sur nos spots la pénul-

tième manche du championnat de Guadeloupe, avec la venue

des riders de Guadeloupe et de St Martin. Les mêmes

devraient se retrouver le lendemain 24 mars pour la 2ème

compétition Quiksilver, en collaboration avec Jojo Burger. De

nombreux et beaux lots sont à gagner. Alors n’hésitez plus !

ENVIRONNEMENT

Le Reefer Surf Club a rejoint la Surf Rider Foundation, la pres-

tigieuse association qui oeuvre pour le respect de l'environ-

nement, organise de grands nettoyages de la mer et des

spots de surf partout dans le monde. St Barthélemy n’est pas

en reste et prévoit une opération de nettoyage fin mai.

LE SURF A UN COUT

Même si le bénévolat est un principe majeur au Reefer Surf

Club de l'AJOE, l’organisation de compétitions comme les

déplacements représentent un coût conséquent, soulignent

David Blanchard et Serge Gréaux. Ils remercient bien évidem-

ment la Collectivité, les parents impliqués, l’AJOE, les béné-

voles (Valérie Gréaux, Virginie Audebert, Guillaume

Hennequin…) et les sponsors qui permettent à nos jeunes de

se déplacer pour des événements d’importance. Par ailleurs

tous les dons sont les bienvenus pour assurer la pérennité de

l’activité.

Serge G. : 0690 622 841 - David B. : 0690 768 470Valérie G. : 0690 563 635

le surf a

st barth

Page 13: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)

NOS RESTAURANTS LES PLUS GOURMANDSToutes les tendances de la gastronomie se révèlent avec délice dans nos restaurants. L’éveil des senset des papilles élèvent l’art culinaire au niveau poétique.

Incontournable, Do Brazil, sur la plagede Shell Beach est l'endroit idéal pourdéjeuner et dîner les pieds dans l'eau,ou tout simplement prendre un verreau Zen Bar en admirant le coucher dusoleil, à deux pas de Gustavia.

Beach Bar, Restaurant, Live MusicShell Beach T. 05 90 29 06 66Ouvert tous les jours de 10h à 23hwww.dobrazil.com

Si vous aimez la viande c’estl’endroit qu’il vous faut... le M&Pvous propose la meilleure viandede l’île : filet de boeuf, entrecote,côte de veau, de boeuf, ou encoremagret de canard… le tout accompa-gné d’un choix judicieux d'une quin-zaine de légumes frais et autant desauces savoureuses.Une excuse ou des raisons subtiles etcarnivores pour ne pas se priver !

Route de SalineT. 05 90 51 15 98E.mail : [email protected]

Les ingrédients les meilleurs et lesplus frais sont combinés à notrecréativité reconnue pour produireune gamme alléchante de platscuisinés : classiques préférés,spécialités tropicales et plaisirsinattendus. Une touche française,une touche des îles et de ça et là,une touche d'Orient.

Pains, petits pains, pâtisseries etde merveilleux cafés.

Les Galeries du Commerce,St. Jean - T. 05 90 29 83 70ouvert de 7.00. à 17.00 sauf le lundiwww.mayastogo.com

Renouer avec l'authenticité, telle estnotre volonté, dans la tradition desbistrots français. Thomas, le chef,définit ainsi sa cuisine : « une cuisinejuste, généreuse…et terriblementsavoureuse ». Coquelet aux morilles,blanquette de veau maison, navarind'agneau… Menus à 29€ et 42€, ainsique l'Apéro des Z'amis de Jules tousles vendredi à 18h30, piano et chansonfrançaise.

Lorient - ouvert tous les soirs sauf lemercredi de 18h30 à 23h00Réservation conseillée05 90 29 76 78

Au cœur des boutiques du Carré d'Or,le restaurant Le Carré vous accueilledès le matin pour un café ou un petitdéjeuner complet jusqu'au diner avecune carte offrant de nombreux plats àpartager tout en dégustant un de nosfantastiques cocktails. Au menu dudéjeuner, des salades, des sandwichset un Raw-Bar qui prépare devantvous huitres, carpaccios, sashimis,tartares…

Cocktail Bar & Lounge restaurantLe Carré d’Or - GustaviaT. 05 90 52 46 11www.lecarresbh.com

Depuis 1997, le Pipiri Palace restel’incontournable rendez vous desamateurs de convivialité et de bonnemusique. Situé en plein coeur deGustavia, Régine et son équipe vousinvite à déguster des plats traditionnelsfrançais et créoles.Des suggestions vous sont proposéestous les jours.

Restaurant Français & Créole

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T. 05 90 27 89 33E.mail : [email protected]

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Page 14: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)

14 saint-barth magazine # 309

LA CHORALE DES BONS CHOEURS

Les vendredi 22 et samedi 23 mars, 20h, à l’Eglise

Anglicane, auront lieu deux soirées d’exception

proposées par la chorale des Bons Choeurs.

Ces deux concerts de printemps font écho à ceux

de Thanksgiving donnés en novembre dernier, et qui

avaient connu un succès remarquable!

La programmation de qualité, se veut aussi éclectique.

Sting côtoiera Mozart, Vivaldi ira, à travers les saisons,

à la rencontre des Pink Floyd…un spectacle haut en

couleur, avec une première partie classique et une

deuxième plus festive.

Sous la direction de Shirley Dern, les choristes accom-

pagnés pour l’occasion de musiciens (batterie, basse

et guitare en plus du piano), animeront en harmonie

ces soirées qui devraient ravir un large public.

Un rendez-vous incontournable !

Pas de réservation, entrée 15 euros, gratuit pour les

enfants de moins de 12 ans

Pour de plus amples informations vous pouvez

contacter : Rosa : 06 90 31 69 72 et

Vincent : 06 90 59 03 73

ACTUSENVIRONNEMENT

STAGE DE VOILE

BREVES

BIENVENUE À LA GARE MARITIME !

Le 1er mars a eu lieu l’inauguration officielle de

l'espace accueil du Comité territorial du tourisme

de St-Barthélemy (CTTSB) situé à la gare maritime

de Gustavia.

Page 15: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)

BEAUTE SANTE - PARAPHARMACIELes Galeries du Commerce St JeanTel 05 90 27 71 [email protected]

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Page 16: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)

16 saint-barth magazine # 309

BREVES

IL ETAIT UN PETIT NAVIRE...

Le 28 mars dernier, une intervention initialement

prévue dans le cadre de la semaine du patrimoine,

a enchanté les écoliers de l’Ecole Sainte Marie de

Colombier. Prêtant une oreille attentive à la présenta-

tion du commerce maritime à St Barth, par Romon

Beal et François Querrard, les joyeux bambins étaient

aussi captivés par le bateau « Sacavou » installé dans

la cour de l’école pour l’occasion. L’embarcation,

comme l’a indiqué Daniel Blanchard, représentant

de l’Unesco initiatrice du projet, a été fabriquée à

St Barthélemy dans les conditions de l’époque, à

partir du tronc d’un gommier. Une matinée agréable

permettant à tous de prendre les voiles, du moins

dans l’imaginaire.

TOUT À 1 EUROS !

La semaine de la « Vestiboutique » de la Croix Rouge

les 5 et 9 mars derniers, a connu un franc succès.

Au-delà des prix modiques, des vêtements et des

jouets de 1euro à 5 euros , la bonne humeur et

l’efficacité de la fine équipe de bénévoles présents,

ont pleinement contribué à la réussite de l’opération.

RACONTE MOI, PAPI !

Dans le cadre d’un projet de l’Ecole Saint Joseph sur

la Solidarité, une rencontre inter générationnelle a eu

lieu à l’Espace Météo le 28 février dernier. Le rendez-

vous réunissant écoliers et séniors autour d’ateliers

artistiques et ludiques, a su ravir les petits comme les

plus grands. Une belle initiative !

ALL IN…

Tournoi de poker à la table de Jules le 10 mars.

GERONIMO !

L’association St Barth Essentiel a organisé le 2 mars

dernier une conférence avec des invités au nom

évocateur. Harlyn Geronimo –arrière-petit-fils du

légendaire apache Geronimo -, son épouse Karen,

accompagnés de Corinne Sombrun, auteur du livre

« Sur les pas de Geronimo », étaient présents à la

Capitainerie pour rappeler l’importance de la Nature,

ainsi que leur rapport à cette dernière.

Page 17: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)
Page 18: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)

SOCIETE

LES FRANCS-MAÇONS À ST BARTHÉLEMY :LA LOGE « L’ATHANOR DE SUDERMANIE »Héritière des principes de la loge « Sudermanie » qui existait déjà durant la période suédoise de

l’histoire de l’île, la loge L’Athanor de Sudermanie a été lancée le 12 novembre 2011 au Brigantin.

Pour mieux comprendre la Franc-Maçonnerie et plus particulièrement la loge locale, nous avons

rencontré l’un des leurs. Sous le pseudonyme de Franck Tremont, auteur du guide spirituel

« L'Ascension de la Montagne Céleste »*, il nous livre certaines clés.

18 saint-barth magazine # 309

ENTRETIEN AVEC UN FRANC-MAÇON

St-Barth Mag : Qu’est-ce que la loge L’Athanor deSudermanie ?F. Trémont : C’est la cellule de base maçonnique par excel-

lence. La franc-maçonnerie fonctionne par transmission

orale depuis la nuit des temps au sein des loges. Nous

sommes une machine à initier !

St-Barth Mag : En quoi consiste exactement le travailde la loge Athanor de Sudermanie?F. Trémont : Une des définitions de la franc-maçonnerie est

: un système particulier de morale enseignée sous le voile de

l’allégorie, au moyen de symboles. Trois mots ressortent :

morale, allégorie, symboles. Le travail d’une loge est d’initier

les profanes, leur transmettre la lumière qui leur permettra

eux-mêmes d’approfondir leur travail d’évolution spirituelle.

St-Barth Mag : Quels sont les sujets qui sont abordéslors de vos tenues?F. Trémont : Je vois au type de la question qu’il y a des con-

fusions sur le mot franc-maçonnerie. Et ça, c’est une spé-

cialité bien française ! La franc-maçonnerie en France est

diverse, ce qui n’est pas le cas ailleurs. Notamment dans les

pays anglo-saxons qui sont des références en la matière.

L’esprit gaulois a eu tôt fait de diviser la maçonnerie en

France, ce qui fait qu’aujourd’hui, celle dont on entend par-

ler est une maçonnerie qui a des visées sociétales, voire poli-

tiques. Or la maçonnerie n’est rien de tout ça ! La seule obé-

dience régulière en France est la GLNF (Grande Loge

Nationale Française)..

St-Barth Mag : Vous y êtes donc rattaché (à la GLNF) ?F. Trémont : Nous sommes sous le chapiteau de la GLNF,

qui est la seule obédience reconnue par les Anglais, on va

dire. Nous ne nous occupons absolument pas de sujets

divers et variés. Cela concerne les maçons eux-mêmes

dans leur engagement et dans leur vie. Mais la maçonnerie,

comme son principe authentique, est de leur fournir les

outils pour travailler à leur propre transformation.

St-Barth Mag : Pour revenir à la GLNF, elle a été mêléeà plusieurs affaires politico-financières. Je pense auxproblèmes liés à la Cote D’azur ou à l’ancien GrandMaitre de la GLNF, François Stifani contesté de toutesparts, au moment même de la création de la loge à StBarthélemy. Quelle est votre position sur ce sujet ?F. Trémont : Si vous voulez… qu’il y ait des histoires au sein

de l’obédience ou des crises, il y en a eu dans toutes les

obédiences, et toutes les institutions. Et c’est à l’obédience

elle-même de faire le ménage et de veiller à ce que le travail

puisse se faire dans des conditions harmonieuses. La crise

à laquelle vous faites allusion, semble-t-il, est réglée ! Il y a

eu, depuis, l’élection d’un nouveau

grand maître qui a changé le cap et essaie de respecter les

règles, ce n’est pas très compliqué en fait ! qui essaie de

respecter les points qui font que la GLNF est une loge

régulière et reconnue comme tel, dans le monde entier : en

particulier pas de politique ni de religion. Je pense que c’est

une affaire classée ! En ce qui nous concerne, ici à St

Barthélemy et dans le processus de la création de cette

loge, ça n’a jamais interféré parce que, voilà, on est là pour

faire la franc-maçonnerie et pas pour faire de la politique ou

des affaires, une fois de plus !

St-Barth Mag : Quels rapports entretenez-vous avecles autres obédiences (Grand Orient, Grande loge deFrance, Fédération française du droit humain)?F. Trémont : Aucun ! Nous sommes dans la plus grande

tolérance, mais aussi dans la plus stricte indépendance.

Chacun fait comme il pense et doit faire !

St-Barth Mag : La franc-maçonnerie est très discrètesur ses activités. Pourquoi autant de mystère?F. Trémont : Effectivement, elle est discrète aujourd’hui,

comme elle l’a été hier. Peut-être un peu moins aujourd’hui.

Il y a deux choses : une raison de fond qui fait que, depuis

les débuts, qui remontent à l’époque égyptienne… pour les

écrits, c’est à dire 700 ans avant Jésus Christ…pour les pre-

miers écrits qui donnent une trace de ce lien particulier de

transmission de la spiritualité via l’Egypte. Ça commence à

peu près là ! Une raison de fond, car ces sujets nécessitent

des conditions d’isolement favorables à l’écoute de

domaines qui sont tout sauf « grand public » et demandent

un certain isolement ou du moins l’éloignement par rapport

aux contraintes du quotidien. C’est la raison de fond ! sauf

exception ce sera plus difficile au milieu d’une boite de nuit

de traiter certains sujets et de faire certaines prises de con-

science…

St-Barth Mag : N’exagérez-vous pas un peu ?F. Trémont : je caricature à dessein pour expliquer pourquoi

il faut être dans un environnement à l’écart du regard

extérieur, parce qu’on traite de matières absolument intimes.

Cela nécessite vis-à-vis du monde extérieur un certain recul.

C’est la raison de fond. Après il y a eu les raisons historiques

sur les époques ...je ne sais pas moi… jusqu’à la sortie du

moyen âge, il ne faisait pas bon de s’intéresser à des sujets

qui étaient le monopole des religions consacrées et pou-

vaient vous faire accuser d’hérétisme. Donc, ça nécessitait

une prudence à tout le moins, voire une discrétion...

Pour une question d’espace disponible, l’article ci-dessus a

été coupé. Il peut-être néanmoins consulté dans sa globa-

lité sur le site du magazine www.stbarthmagazine.com

Page 19: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)

LE SPÉCIALISTE DU TRAITEMENT

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Page 20: St Barth Magazine. Mars 2013. (n°309)

20 saint-barth magazine # 309

D’ART EN ARTS

De son vrai prénom Frédéric, est né dans les saveurs girondines, entre

océan et vignobles, où il puise ses inspirations. Ses premières amours

se tournent vers la nature, le surf et la bande dessinée, qui deviennent

des univers dans lesquels il aime à trouver l’apaisement et cultiver

l’imaginaire.

Véritable autodidacte, ses ébauches originelles sont croquées du fond

de la salle de classe. Pour FelicA l’ennui n’existe pas, les moments de

solitude sont autant de prétextes à la créativité. Peu à peu, la passion

s’installe, la précision du trait s’affine… L’artiste prend ses marques !

Viennent quelques propositions - décos de bars, de restaurants,

scènes de concert - qui l’invitent à croire en son talent.

Sur les sentiers de la vie, ses rencontres et ses activités professionnelles

lui font connaître l’adrénaline comme l’humilité. Educateur spécialisé de

formation il partage également sa passion auprès des plus jeunes par

le biais de l’atelier Casa Couleurs.

FélicA s’épanouit, mais garde en lui le désir de s’exprimer dans un

univers moins BD, dans un style plus classique et néanmoins singulier.

L’impulsivité des émotions que lui renvoie le monde, la culture et l’écrit-

ure qui se greffe souvent à ses créations abstraites, donnent à la pein-

ture de FélicA une dimension lumineuse et puissante du support som-

bre qu’il affectionne.

Son univers commence depuis peu à s’ouvrir au monde. Après avoir

exposé à R St Barth, il sera fin Mars au Guanahani. Quelques fins

collectionneurs ont déjà craqué pour certaines de ses oeuvres et

grands formats…

Pierre Soulages, plus grand peintre français vivant et

chantre du noir. Chez Soulages, "la peinture, plus que

de couleur, peut être affaire de lumière et d'espace". Sa

peinture fait la part belle au rythme pictural, à la lumière

et à la notion de "noir-lumière", qui interroge les états de

surface du noir

Cet artiste né en 1919, continue de renouveler pro-

fondément les possibilités de la peinture abstraite,

ouvrant des voies nouvelles à partir d'une conception

de l'art exigeante. Ses toiles mono pigmentaires révè-

lent la puissance de ce qu’il appelle « l’outre-noir ».

Exposé et collectionné dans les plus grands musées

européens et américains, mais aussi en Chine et en

Russie, Soulages s'est imposé comme l'artiste con-

temporain français le plus reconnu dans le monde. Il

avait fait l'objet d'une grande rétrospective en 2009 au

Centre Pompidou à Paris.

« Ce qui me plaît vraiment

dans cette toile, c'est le

travail des matières et

surtout la recherche des

lumières en contraste

avec l'univers sombre et

puissant du noir.

En ce qui me concerne, le

noir est incontournable

dans le domaine des couleurs, il est le révélateur absolu

des lumières, des matières, des mystères... » FelicA

PIERRE SOULAGES

Félic

A

Parmi les artistes de renom qui ont su inspirer FelicA,

se trouve Pierre Soulages, que nous découvrons ici.

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22 saint-barth magazine # 309

LES MISCELLANÉES DE L’ÎLE DE ST-BARTHÉLEMY

LE SAVIEZ-VOUS… ?

AN TAN LONTAN

• Parmi les prêtres qui, depuis l'origine, ont exercé leur

ministère dans les paroisses de St Barthélemy, se trou-

ve un imposteur : Gil Cédille en 1823.

• Durant la seconde guerre mondiale, il se raconte que

des sous-marins nazis se donnaient rendez-vousdans la baie de Fourchue. (1)

• Le clocher suédois retentissait deux fois parjour, à 6 h du matin et à 20h pour assurer à la popula-

tion un repère horaire. (2)

• Avant de récolter le sel à Salines, la Saline deL’Orient, depuis 1816, ainsi que celle de St Jean

furent exploitées. (3)

• Mouvement du port en 1796 : 1739 bateaux. (4)

• St Barthélemy était la seule île de la Caraïbe avec des

murets en pierre comme clôtures. (5)

• Il y a eu plus de 6000 habitants à St Barthélemyau 19ème siècle. En 1800, il y avait à Saint-

Barthélemy : 40 marchands (la compagnie possédait

3 magasins), 3 navires affectés uniquement au trans-

port des articles d'épicerie, 17 épiciers ; 2 agents d'as-

surance, 8 hôtels et salles de billard ; 22 débitants de

boissons ; G boulangers ; 4 bouchers ; 3 voiliers

(coupeurs de voiles), 3 bijoutiers ; 1 horloger; 1 forgeron

; 8 maçons ; 7 charpentiers de marine ; 9 charpentiers

en bâtiments ; 2 menuisiers ; 6 tailleurs ; 3 cordonniers

; 1 chapelier (fabricant de chapeaux) ; 1 mercier ; 5

écoles… Population à Gustavia : 5000 habitants ;1000 à la campagne, 871 maisons, 32 citernes.

• A différentes périodes de son histoire St Barthélemya exporté du coton, du sucre, du tabac, del’ananas, de l’igname, de l’indigo... Exportations en

1855 : 39.718 douzaines d'ananas ; 1.940 régimes de

bananes, 339 barils d'ignames ; 40 barils de pistaches

; 39 douzaines 1/2 de giraumons ; 3.863 chapeaux de

paille ; 2.660 paquets de cigares ; 1.195 livres de

coton; 1.422 peaux de cabris ; 5 chevaux ; 78 bêtes à

cornes ; 575 moutons ; 60 cabris ; 376 porcs ; 63

dindons ; 29 douzaines de poules. La valeur de ces

exportations fut évaluée à la somme de 17.254 gour-

des espagnoles.

• En mars 1813, la Guadeloupe fut cédée à laSuède par l'Angleterre. Une joie de courte durée,

puisque le traité de Paris, en 1814, rendait la

Guadeloupe à la France. Encore aujourd’hui, la

Guadeloupe reverse chaque année à la Suède une

somme symbolique.

• En 1819, un homme de couleur possédait, seul,le monopole de la Presse. Dans son journal, le gou-

verneur même et des particuliers étaient pris à partie.

Un arrêt de la Cour l'obligea alors à soumettre ses arti-

cles au secrétaire du Gouvernement. Ce dernier

défendait ou permettait l'insertion des dits articles.

• En 1868, du plomb est découvert dans la mine de

l'Orient.

• St Barthélemy fut vendue à l’Ordre de Malte en1651. La croix de malte est au centre du blason. (6)

1 2 3

4 5 6

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24 saint-barth magazine # 309

INSOLITE

UN MOIS DANS LE MONDEPAS DE QUOI FOUETTER UN CHAT ! :Peter Gabriel veut connecter les ani-maux à internetLe chanteur britannique Peter Gabriel a

présenté lors de la prestigieuse conférence

TED, en Californie, un projet consistant à

développer de nouvelles interfaces pour

permettre aux animaux de se connecter à

internet.

FESTIN : Saisie de 94 kilos de chenillesséchées à l'aéroport londonien deGatwickLes douaniers britanniques ont saisi 94 kilos

de chenilles séchées à l'aéroport londonien

de Gatwick, dans les bagages d'un homme

affirmant que les larves étaient destinées à

sa "consommation personnelle", a annoncé

le ministère de l'Intérieur.

FRANCE : 5.000 euros d'amende pourun "radin maladif" qui copiait des bonsde réductionUn homme de 45 ans

habitant la région de

Fougères (Ille-et-

Vilaine), qualifié de

"radin maladif" par son

avocate, a été con-

damné par le tribunal

correctionnel de Rennes à 5.000 euros d'a-

mende pour avoir utilisé des bons de réduc-

tion falsifiés, a indiqué l'avocate.

TANGO-CHARLY : Y a-t-il un pilote dansl'avion? Oui, mais il dort....Un pilote d'Air New

Zealand s'est endor-

mi à deux reprises

aux commandes

d'un Boeing entre

Londres et Los

Angeles après une

mauvaise nuit dans la

capitale britannique, a reconnu la compa-

gnie aérienne néo-zélandaise.

PEROU : du Viagra pour les joueurs lorsdes matches en altitudeLe club de football de l'Alianza

Lima, l'un des plus populaires au

Pérou, étudie la possibilité de

donner du Viagra aux

joueurs lors des

matches en altitude

pour le championnat

local, a annoncé le

club.

FRANCE : Un maire vosgien reçoit unPV pour son tracteur mal garé... àMontpellierLe maire d'un village

des Vosges a reçu

une contravention du

tribunal de police de

Montpellier, qui lui reproche un stationnement

impayé dans cette ville concernant un

tracteur, qui n'a jamais quitté la commune

vosgienne.

EXPLOIT : Une Népalaise vaincl'Everest deux fois dans la semaine, unrecordUne alpiniste népalaise a été sacrée première

femme à avoir vaincu l'Everest deux fois dans

la même semaine, a annoncé le Guinness

World Records, après que cette femme de

29 ans a réussi la prouesse de défier le plus

haut sommet du monde à quelques jours

d'intervalle.

DISCRIMINATION POSITIVE : Genève vaembaucher 4 femmes balayeuses de rueLa ville de Genève

va recruter cet été

4 femmes bal-

ayeuses de rue,

qui travailleront

aux côtés de 330

hommes employés

au service munici-

pal de la Voirie,

après l'adoption

d'une politique de

discrimination positive lancée par l'élu

chargé de "l'environnement urbain et de la

sécurité" de la ville.

MARATHON MAN : Le plus vieuxmarathonien du monde raccroche leschaussures à... 101 ansCoiffé de son éternel turban, le plus vieux

marathonien du monde, un Britannique,

Sikh d'origine, participera à Hong Kong à sa

dernière course. A 101 ans, il commence à

trouver la compétition "difficile".

DURE VIE! : La Chine limite le nombrede mouches dans ses toilettespubliquesLe nombre de mouches autorisées dans les

toilettes publiques en Chine va être limité,

selon un projet de directive du ministère de

la Santé visant également à réduire les nui-

sances olfactives des lieux d'aisance.

FLORIDE : 68 pythons birmans capturéset tués dans les EvergladesUne vaste chasse au redoutable python bir-

man, organisée pendant un mois dans le

parc national des Everglades en Floride, a

permis de capturer et de tuer 68 de ces rep-

tiles qui menacent l'écosystème de la

région, ont annoncé les organisateurs.

USA : Le maire de New York est OKpour la marijuana, pas les verres enplastiqueLe maire de New York

Michael Bloomberg a

promis jeudi quelques initia-

tives marquantes pour ses

derniers temps à la tête de

la ville, dont un adoucisse-

ment dans la répression

pour possession de marijuana et l'interdic-

tion des gobelets en polystyrène.

BISOUS : Nouveau record du monde duplus long baiser: plus de 58 heures58 heures 35 minutes et 58 secondes les

lèvres collées l'un à l'autre. Epuisé mais

heureux, un couple de Thaïlandais a battu

de plusieurs heures le record du monde du

plus long baiser, a indiqué l'organisateur de

ce marathon un peu particulier.

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BELIER21 MARS - 20 AVRIL

Avec votre forme physique, vous aurez le pou-

voir de gagner une certaine indépendance. Si

seulement vous vouliez prendre quelques

risques supplémentaires tout vous semblerait

infiniment mieux. La réussite est toute proche

de vous.

TAUREAU21 AVRIL - 21 MAI

Vous saurez préserver malgré tout un moral un

peu endormi. Une diversion bienvenue vous

conduit à réfléchir sur votre sort. Vous pensez

pouvoir réaliser des prouesses dans une affaire

qui vous séduit malgré les difficultés qu'elle

semble présenter.

GEMEAUX22 MAI - 21 JUIN

Votre forme physique entrainera une certaine

sérénité utile dans ce que vous aimeriez com-

mencer. Laissez de côté vos angoisses qui vous

empêchent parfois de réussir là où il n'y a pas tant

de difficultés à surmonter. Vous pouvez avoir con-

fiance en la vie qui vous apportera du bon.

CANCER22 JUIN - 22 JUILLET

Saisissez la belle occasion qui va se présenter à

vous. Attendez-vous à connaître de bonnes

relations avec une personne proche de vous.

Vous n'aurez pas la déception pressentie. C'est

le moment d'essayer de faire bouger les

choses. Il faut battre le fer pendant qu'il est

chaud.

LION23 JUILLET - 23 AOÛT

Ce n'est pas la grosse forme mais cela n'est

pas non plus l'abattement. Restez pratique et

ne cherchez pas à vous compliquer la vie. Vous

saurez vous acquitter d'une obligation contraig-

nante sans trop de difficultés au grand éton-

nement de votre entourage.

VIERGE24 AOÛT - 23 SEPT.

Pour être en pleine forme vous avez besoin de

nouvelles énergies. Vous aurez des idées

neuves sur différents problèmes. Suivez votre

inspiration. Laissez-la vous guider vers de nou-

velles aventures. Vous êtes en forme, allez vite

faire ces nouvelles découvertes.

BALANCE24 SEPT.- 23 OCT.

Des réels changements se profilent à l'horizon.

Vous sortez enfin d'une période délicate et diffi-

cile. Votre comportement face à votre

entourage s'en ressent car vous faites preuve

d'énergie et de courage. Organisez votre emploi

du temps en conséquence.

SCORPION24 OCT. - 22 NOV.

On parlera de vous et vous risquez de sentir

venir le vent. Faites gentiment preuve de plus de

compréhension. Les jugements portés sur

vous, vous sont plutôt favorables. Faites en

sorte qu'on ne vous oublie pas trop. Vous

accepterez mieux les éloges et les compli-

ments.

SAGITTAIRE23 NOV.- 21 DÉC.

Le moral est bon, mais prenez soin de le

préserver en reprenant confiance en vous.

Evitez soigneusement ce qui pourrait provoquer

certains doutes en vous. Vous savez que vous

pouvez y croire, vous l'avez déjà prouvé. La

réussite est au bout du chemin.

CAPRICORNE22 DÉC. - 20 JANV.

Vous pourriez bien avoir un emploi du temps

serré. Il s'agit de rendez-vous sentimentaux.

Vous aurez des centaines de contraintes diffi-

ciles à respecter. De trop fréquents déplace-

ments pourraient bien vous fatiguer, prenez le

temps de bien vous reposer.

VERSEAU21 JANV. - 18 FÉV.

Vous pensez pouvoir gagner sur ce terrain-là et

les événements vous donnent raison. Il n'y a

aucune indication contraire au diagnostic que

vous faites sur la façon de procéder dans cette

affaire qui n'est un mystère pour personne. Cela

vous réussit et vous vous en félicitez.

POISSONS19 FÉVRIER - 20 MARS

Vous allez vivre une situation assez inhabituelle

dans laquelle vous saurez vous conduire avec

habileté. Une nouvelle chance vous est offerte de

convaincre. Prendre cette opportunité à la légère

serait une attitude négative ce qui pourrait se

traduire involontairement par un échec.

HOROSCOPE

JEUX

ENIGMESa-Le bouffon du roi !Un jour, le bouffon du roi Sarko Ier, devenant trop impertinent, le roi lui dit : "Mon

cher bouffon, tu es trop impertinent, je te condamne donc à mort... Mais tu m'as

bien fait rire, donc je t'accorde le droit de choisir ta mort. Dis-moi comment tu

veux mourir et je me soumettrai à ton choix." Que choisit le bouffon pour éviter la

mort ?

b-Un voeu, et un seul !Un homme a une femme aveugle, il est pauvre et n'a pas d'enfants. Soudain un

ange arrive et lui demande de ne faire qu'un seul voeu... Lequel serait-ce ?

LE SAVIEZ-VOUS ?Il y a un lac artificiel sous l'Opéra GarnierLe sous-sol de l'opéra Garnier à Paris ne ressemble pas à ce que l'on pourrait

penser. En effet, il abrite un lac artificiel qui sert entre autres à l'entraînement des

plongeurs et de réserve d'eau pour les pompiers, et dans lequel on peut trouver

des carpes vivantes ! Ce lac a été conçu par l'architecte de l'opéra, Charles

Garnier, pour stabiliser l'ouvrage.

Condom la bien-nomméeLa ville de Condom, dans le Gers, présente une particularité encore plus amu-

sante que son nom : elle est située exactement sur la rivière Baïse. Parmi les

activités culturelles de la ville, on trouve un musée du préservatif.

SO

LU

TIO

N S

UD

OK

U

Solution:a- Le bouffon répond "Je choisis de mourir de vieillesse !"

b- Il répond alors : "Je voudrais que ma femme voie manger mes

enfants dans des assiettes d'or".

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