ssions des étab lissem ents de microfinance (emf) au gabon
TRANSCRIPT
Mi
Résumé
Ce pap
caractér
EMF. L
compor
dans le
activités
aux clie
glissem
commer
originel
les pous
Mots-cl
issions d
Laborat
é :
pier met en
ristiques de
L’analyse q
rtement de d
cas du Gab
s génératric
ents qui ne
ment compo
rciales clas
lles. Ces EM
ssant vers le
lés : EMF, M
des étab
Ga
IN
toire de Re
Institu
n lumière
la clientèle
qualitative
dérive dans
bon, accomp
ces de reven
résident pa
ortemental
ssiques. N
MF adopten
es usuriers.
Missions or
blissem
abon : d
NDJENDJE
echerche en
ut Supérieu
pindj
la dérive
e (cœur de
comparée «
leurs missio
pagnent de
nu. En outre
as à proxim
progressif
ous en av
nt un compo
riginelles, d
XXIV
ents de
dérive o
E NDALA P
n Sciences I
ur de Tech
jendje@yah
de mission
cible) pour
« crisp » (c
ons. Nous s
moins en m
e ces EMF p
mité de leur
des EMF
vons conclu
ortement hyb
dérive, csQC
Ve Conférence
microf
ou fidél
Pierre Dan
Informatiq
nologie (IS
hoo.fr
ns des EM
expliquer l
csQCA) nou
sommes arri
moins des pe
prêtent à de
r siège d’af
F vers le
u qu’ils d
bride et exc
CA
Internationale
finance
lité
niel
ue et de Ge
ST), Gabon
MF. Nous
le comporte
us a permi
ivés aux rés
ersonnes à f
s niveaux d
ffiliation. N
comportem
dérivent da
cluent leurs
e de Managem
(EMF)
estion (LAR
avons obse
ement quali
is de modé
sultats que l
faible reven
de montant é
Nous assisto
ment des
ans leurs m
clients orig
ment Stratégiq
1
au
RSIG)
ervé les
itatif des
éliser ce
es EMF,
nu et des
élevés et
ons à un
banques
missions
ginels en
que
Mi
INTRO
Le systè
un prêt.
circuit b
d’intérê
(environ
La mic
rentabil
engendr
des min
moyenn
d’admin
ordinair
microcr
couches
Welthun
clients r
personn
Dans le
prestata
aux pau
revenu
mission
sont lég
sont en
activités
voix cri
les clien
issions d
ODUCTION
ème bancair
Les person
bancaire tra
êt à accorde
n 100 000 F
crofinance o
iser des pr
rerait (Attal
ni-prêts à c
ne à 35% pa
nistration e
res. Dans la
rédit. Elle a
s de popula
ngerhilfe, 2
ruraux et u
nes possédan
es zones urb
aires de serv
uvres les aid
(AGR). Le
ns messianiq
gion, montre
voie d’être
s de finance
itiques s’élè
nts des EMF
des étab
Ga
N
re tradition
nnes les plus
ditionnel. D
er des mic
FCFA), car
offre une s
rêts de faib
li et al., 200
ourt terme
ar an avec u
et les intérê
a conceptio
a pour obje
ation qui s
2011). La t
urbains. Dan
nt une petit
baines, nou
vices, artisan
dent à sortir
es EMF so
ques. Le suc
e que les ob
atteints. Le
ement de la
èvent, la pa
F bénéficien
blissem
abon : d
nel exige q
s pauvres du
De plus, les
crocrédits à
les avantag
solution au
bles monta
07). Les éta
à des taux
un délai mo
êts des mic
on générale,
ectif princip
sont exclue
typologie de
ns les zone
te activité d
us trouvons
ns, vendeur
r de la préc
outiennent é
ccès enregis
bjectifs pre
es EMF son
a micro-entr
auvreté gagn
nt des crédi
XXIV
ents de
dérive o
qu'un empru
u monde n'o
banques tra
court term
ges d'intérêt
ux réticence
ants et les
ablissement
x d’intérêts
oyen d’un (1
crocrédits s
, la microfi
pal de faci
s du secteu
e la clientè
es rurales, c
de transform
une clientè
rs de rue, et
carité en se
également l
stré par les E
emiers qu’il
nt maintenan
reprise. Il fa
ne du terrai
its, 50% d’e
Ve Conférence
microf
ou fidél
unteur prése
ont pas une
aditionnelles
me pour de
ne dépasse
es des ban
coûts de t
ts de microf
variant for
1) à trois (3
sont plus é
nance se co
iliter l’accè
ur bancaire
èle de la m
ce sont sou
mation alim
èle plus div
c. (Wolf M
lançant dan
les micro-e
EMF partou
s se sont as
nt perçus co
aut cependa
in comme a
entre eux de
Internationale
finance
lité
ente une gar
telle garant
s ne trouven
es montants
ent pas les c
nques face
transaction
finance acc
rtement, ma
3) ans (Plett
élevés que
onfond hab
ès aux serv
e (CGAP 2
microfinance
uvent de pet
mentaire ou u
versifiée : p
fére, 2009).
ns des activ
entreprises,
ut dans le m
ssignés sem
omme les ac
ant relativis
argue Walke
emeurent pa
e de Managem
(EMF)
rantie pour
tie et sont e
nt généralem
s inférieurs
coûts de tran
aux difficu
énormes q
cordent aux
ais qui s’élè
ter, 2010). L
ceux des
bituellement
ices financ
2011; Seibe
e est compo
tits paysans
un petit com
petits comm
. Les prêts a
vités générat
dans une
monde, les e
mblent ou du
cteurs clefs
er ce succè
er (2002). B
auvres. La p
ment Stratégiq
2
au
recevoir
xclus du
ment pas
à 200$
nsaction.
ultés de
que cela
pauvres
èvent en
Les frais
banques
t avec le
ciers aux
el, 2010;
osée des
s ou des
mmerce.
merçants,
accordés
trices de
de leurs
exemples
u moins,
dans les
ès car les
Bien que
pauvreté
que
dont il q
restent
entrepri
rapproc
accessib
dont la
la deuxi
C’est à
inciter l
Le con
microcr
semblen
un nouv
que les
Un qu
mission
moins a
génératr
nous pré
Nous ex
une ana
traiteme
résultats
de cette
1. MISLIT
La défin
diversité
l’offre d
aux serv
proposé
(Blonde
question n’e
nobles et
ise. L’analy
her. La pre
ble aux per
finalité est
ième appro
partir de c
les EMF à c
nstat que n
rédit, est qu
nt pas encor
veau type d
EMF s’éloi
uestionnem
ns premières
aux personn
rices de rev
ésenterons u
xposerons e
alyse qualit
ent utilisés
s en exposa
e recherche.
SSIONS ETTERATUnition de la
é dans ce s
de services
vices finan
és à des in
eau, 2006).
est pas uniq
louables, lu
yse de ces
emière appr
rsonnes pau
l’augmenta
oche se conc
cette derniè
cibler les m
nous pouvo
e les EMF,
re totalemen
de clientèle
ignent de leu
ent nous
s ? » Nous
nes sans ou à
venu (AGR)
une revue d
ensuite la m
tative comp
et les résu
ant les limite
ET DERIVURE a microfina
secteur et s
financiers e
nciers forme
ndividus à
Enfin, nou
quement mo
utter contre
s buts met
roche à fina
uvres. Le m
ation du cap
centre sur l
re approche
moins pauvre
ns faire, tr
loin d’avoi
nt atteints, i
plus nantie
urs mission
paraît n
inférons p
à faible rev
) et de micr
de la littératu
méthodologie
parée (csQ
ultats de l’é
es de l’étud
VE DE MI
nce donnée
’appuie sur
et non finan
els ». La m
bas revenu
us nous appu
XXIV
onétaire. Le
e la pauvre
t en lumiè
alité sociale
microcrédit s
pital social e
la viabilité
e que ce pa
es et impuls
rois à quat
ir effectué u
introduisent
es. Woller e
ns lorsqu’ell
nécessaire :
principaleme
enu et acco
ro-entrepris
ure sur les m
e déployée
CA), nous
étude avec
e. Nous con
SSION DE
e par (Jeule
r une comp
nciers adapté
microfinance
us et géné
uierons pou
Ve Conférence
es principau
eté, accomp
ère deux c
e considère
semble être
et l’autonom
financière e
apier trouve
ser des mod
tre décenni
un bilan sur
t de nouvea
et al. (1999
les quittent
: « Les EM
ent que « l
ompagnent d
ses ». Pour e
missions et
pour notre
présentero
une discus
nclurons par
ES EMF :
efack Nguim
préhension é
és aux pauv
e est un en
éralement e
ur la suite d
Internationale
ux buts pour
pagner les
onceptions
que la mic
e inscrit dan
mie (Iserte e
et la pérenn
e sa justific
des d’interv
ies plus ta
leurs objec
aux produits
9) et Woller
le segment
MF dériv
les EMF pr
de moins en
examiner no
la dérive de
démonstrat
ns les don
ssion. Nous
r les apports
REVUE D
mgo, 2003)
élargie: « L
vres, à ceux
nsemble de
excluent du
de ce papie
e de Managem
rsuivis par l
AGR et la
qui tende
crofinance d
ns cette dyn
et Lapenu,
nité instituti
cation car e
vention diffé
ard de prat
ctifs premier
s et s’orient
r (2002) ex
de clientèle
vent-ils de
rêtent de m
n moins les
otre problém
e mission d
ion qui se r
nnées, les o
s relativiser
s et les pers
DE LA
tient comp
La microfin
qui n’ont p
services fi
u système b
er sur l’appr
ment Stratégiq
3
les EMF
a micro-
ent à se
doit être
namique
2003) et
ionnelle.
elle peut
érenciés.
tique du
rs qui ne
tent vers
xpliquent
e pauvre.
e leurs
moins en
activités
matique,
es EMF.
résume à
outils de
rons nos
spectives
pte de la
nance est
pas accès
inanciers
bancaire
roche de
que
Servet (
engloba
des opé
l’organi
qu’elles
services
caractér
Pour qu
ses coû
coûts. U
pour co
subsaha
de bonn
Cepend
une plus
1.1.
Le prod
moins d
FCFA1.
commen
poulets
entrepri
EMF re
et la po
logique
l’entrep
2003).
l'Assem
microfin
ont pou 1 Environ
(2006) qui e
ant le micro
érations, la
isation et s
s ou ils sub
s financiers
risés par de
u'une institu
ûts. Une gra
Un EMF do
ouvrir les si
arienne pour
nes intentio
dant, Cull et
s-value soci
. MISSIONS
duit de la m
de 200$ ma
Ces prêts
ncent ou au
ou l’achat
ises contrib
echerchent l
oursuite d’u
s de la
preneuriat et
Le somme
mblée généra
nance et de
ur principale
n 500 $ ou env
estime qu’il
crédit, mais
proximité
a populatio
bissent ». G
s destinés
es faibles m
ution financ
ande banqu
oit pratiquer
iens. Des rè
r réguler les
ons. En réa
t al. (2007)
iale, ainsi il
S ORIGINEL
microfinanc
ais pour les
s minuscule
ugmentent
des produi
ue à l’amé
a performan
une mission
microfinan
t celle qui m
et du mond
ale de l’ON
es EMF. Il e
e mission l’
viron 380 euro
l est difficil
s que nous p
non seulem
on cible, et
Guérin et Se
à des popu
montants, qu
ière soit pé
ue par exem
r un taux d
èglementati
s prix dans l
alité elles p
arguent qu
ls peuvent r
LLES DE LA
ce le plus c
commodité
es sont su
leur micro-
its en gros
lioration du
nce sociale
sociale. Le
nce (Battil
met l’accent
de pour le
NU sur le rô
est question
’offre de ser
os.
XXIV
le de donner
pouvons en
ment spatia
la pauvret
ervet (2006
ulations ex
ui sont sou
érenne et res
mple, peut p
d’intérêt glo
ions rentren
le secteur sa
peuvent cau
ue les EMF
ester fidèles
A MICROFI
commun es
és de ce pap
uffisants po
-activité tel
pour les re
u quotidien
qui a un do
es EMF ont
lana and
t sur la lutte
développe
ôle du micr
n de supprim
rvices finan
Ve Conférence
r une défini
retenir troi
ale, mais a
té supposée
6) définissen
xclues du s
uvent donné
ste soutenab
prêter à plu
obal moyen
nt de plus e
ans faire du
user la ferm
peuvent à
s à leurs mi
INANCE ET
st un prêt d
pier nous in
our que les
lles le tissa
evendre sur
des bénéfi
ouble object
t cette capa
Dorado, 2
e contre la p
ement socia
rocrédit ont
mer la pauv
nciers (princ
Internationale
ition exacte
s critères : «
aussi menta
e des client
nt la micro
système cla
és dans leur
ble, elle do
us de 14%
n d’environ
en plus en v
u dumping m
meture ou la
la fois avo
ssions.
T DES EMF
de microcré
ndiquerons
s micro-ent
age des pan
un marché
iciaires et d
tif à savoir l
acité à faire
2010): cel
pauvreté et
al et la rés
bien défin
vreté dans l
cipalement
e de Managem
e de la micro
« Le faible
ale et socia
t(e)s ou l’e
ofinance com
assique ban
r dimension
it être au-d
pour récup
35% annue
vigueur en
mais elles pr
a faillite de
ir un but lu
F
édit, habitue
une limite
trepreneurs
niers, l’élev
é. Le revenu
de leur fam
l’équilibre f
e coexister
lle qui p
l’exclusion
solution 52
i les object
e monde. L
épargne, pr
ment Stratégiq
4
ofinance
montant
ale entre
xclusion
mme les
ncaire et
n locale.
dessus de
pérer ses
ellement
Afrique
rocèdent
es EMF.
ucratif et
ellement
250 000
assidus
vage des
u de ces
mille. Les
financier
les deux
privilégie
(Servet,
2/194 de
tifs de la
Les EMF
rêt, mais
que
aussi as
formelle
d’un EM
pauvreté
que Mo
indépen
(Balken
aux pau
réductio
le créd
(Terberg
(Robins
partisan
toujours
distincti
quoi le p
essayer
problèm
minima
courante
paradox
dépenda
plus d’
tendanc
rapport
Copesta
Servet,
promou
mise en
Rosenbe
outils p
général
fonction
ssurance et
e (Guérin,
MF, il est d
é et fonctio
orduch (200
ndants et ce
nhol, 2008).
uvres entrep
on de la pau
dit devrait
ger, 2002 ;
son, 2001)
ns de la nou
s à comba
ion dès lors
prêt devrait
de s'étendr
me de l'uti
aliste, se situ
e plutôt qu
xaux. D’une
ance aux su
’importance
ce a soulev
à sa missio
ake, 2007)
2005; Serv
uvoir un équ
n avant du d
erg et Jayad
pour la mes
les EMF s
n sociale (G
transfert d
Palier et Pr
difficile de
onner sans
00) qualifie
ela demand
. Les EMF
prenants. D
uvreté. Les
être accor
; Fricke, 2
pour leur p
uvelle appro
attre la pau
s qu’elles p
t être emplo
re aux indig
ilisation du
ue dans le fa
u’à l'invest
e part la mas
ubventions.
e à ses pe
vé des ques
on initiale (
et sur les e
vet, 2006; F
uilibre satis
double objec
deva, 2004)
surer (Lape
sont plus ef
Gutiérez-Ni
de fonds) au
révost, 200
concilier le
subvention
e de schism
de des prod
ont opté p
eux approc
défenseurs
rdé princip
2011) qui
permettre d
oche minima
uvreté en o
peuvent rem
oyé. Ils sugg
gents (Dale
u crédit no
fait que les p
tissement.
ssification d
La microfi
erformances
stionnement
(Christen, 2
effets néfas
Fouillet, 200
faisant entr
ctif de résul
, et le dével
enu et Doli
fficaces lors
ieto et al., 2
XXIV
ux personn
9). Indépen
es deux bu
s. La plupa
me. Il existe
duits standa
our la fourn
hes ont été
de l'approc
palement a
se situent
de financer
aliste préten
octroyant d
mbourser un
gèrent que le
ey-Harris, 2
on product
prêts sont o
Les EMF
de leur couv
nance a pri
s financièr
ts concerna
2001; Labie
stes qu’elle
07). Des co
re ses fonct
ltat, social e
loppement d
ngez, 2007
squ’il s’agi
2009). Ils m
Ve Conférence
nes qui n’on
ndamment d
uts de la mi
art des EMF
e des cas r
ards et une
niture des s
préconisée
che de reve
aux « pauvr
juste en-d
des AGR e
ndent que le
des crédits
n prêt sans l
es établissem
007). Quelq
tive, comm
rientés prin
ont donc
verture et d’
ivilégié un m
es (Robins
ant la dériv
et Mees, 2
peut entraî
ourants éme
ions march
et financier
de la notion
7; Copestak
it de leur fo
mobilisent
Internationale
nt pas accè
de la forme
icrofinance
F sont conf
ares des EM
grande qu
services de
es sur le rôl
enus produit
res économ
dessous du
et augmente
es programm
aux perso
lui dicter co
ments de m
ques études
me préconis
ncipalement
deux obje
’autre part,
modèle éco
son, 2001).
ve qu’elle p
2005; Dicht
îner sur les
ergent au se
andes et de
r, de la micr
n de perform
ke, 2007; H
onction fina
beaucoup p
e de Managem
ès à la fina
e et de la c
à savoir ré
frontés au d
MF qui dev
uantité d’op
crédit et d
le du crédit
ts maintienn
miquement
seuil de p
er leur reve
mes de créd
onnes pauvr
omment et
microfinance
s ont précis
sée par l'a
à la consom
ectifs qui s
la réduction
onomique ac
. Cependan
peut impliq
ter et Harpe
s clients (G
ein du secte
e bien publi
rofinance (C
mance socia
Hashemi, 20
ancière que
plus d'actifs
ment Stratégiq
5
ance dite
catégorie
éduire la
dilemme
viennent
pérations
d'épargne
t dans la
nent que
actifs »
pauvreté
enu. Les
dit aident
res sans
sur ce à
e doivent
sé que le
approche
mmation
semblent
n de leur
ccordant
nt, cette
quer par
er, 2007;
Guérin et
eur pour
ic, par la
Christen,
ale et des
007). En
e de leur
s de nos
que
jours, en
pas d’ef
en cause
ou à fa
démarch
premièr
Les EM
qui n’e
renforce
Dans ce
les form
les plus
le lien e
assez fr
uniquem
risque d
prise en
dans le
micro-a
EMF, à
dernier
reste co
Hulme
impacts
Rhyne,
mettent
microfin
les trava
pas les
s’inscrit 2 Bidubulsolidarité a3 In DelalMexique.
nvirons 8 m
ffets visible
e l’efficacit
aible reven
hes, ils me
re s’adresse
MF mutualis
st ni perma
ement des c
ette catégori
mules de fin
s performan
entre la mic
fragile. Parm
ment en term
de diminuti
n compte d
monde de
assurance (C
savoir faut
pour en fa
ontroversée
(2000). D’u
s économiqu
1994; Holc
en garde
nance peut
aux qui rec
plus pauvre
t dans cette
la Juwa G., 20au Sud-Kivu, Rlande L., Paqu
milliards de
es à plus gra
té de la micr
nu semble
ettent en é
aux groupe
tes pèchent
anente, ni e
capacités de
ie de popul
nancement. L
ntes avec de
crofinance
mi d’autres
mes de reve
ons brutale
de la vulnér
la microfin
Churchill, 2
t-il les ratta
ire un outil
entre les o
un côté de l
ues et socia
combe, 199
contre un
avoir (Mon
ensent les i
es, comme
dernière vi
10, MicrofinanRDC, Laboratoiuette Ch., 2007
$ en 2011 (
ande échelle
rofinance (S
se décliner
évidence tro
es les plus v
t souvent da
efficace. La
e production
ations activ
La troisièm
es formules
et la réduct
s facteurs,
nus mais qu
es des reven
rabilité revê
nance, en pa
2006)3. Un
cher au sys
l transitoire
optimistes,
la vision, so
aux très ava
95 ; Schuler
tel optimi
ntgomery, 1
impacts ava
elle l’a sou
sion. Toute
nce, micro-assurre d’Economie
7, Microfinance
XXIV
(Reille et al
e, au niveau
Schmidt, 20
r comme l
ois stratégi
vulnérables
ans la prise
a seconde
n des popul
ves, la minim
me stratégie
de crédit p
tion de la p
la pauvret
u’il faut pre
nus ou de p
êt depuis q
articulier av
débat prend
tème financ
e. La vertu
les pessim
ont les étud
antageux (H
r et al., 199
isme et ind
1996; Rogal
antageux ma
uvent préten
efois, certain
rance et structuAppliquée au D
e et réduction d
Ve Conférence
l., 2011). Il
u national ou
010). Le fin
’objectif pr
ies de fina
s afin de les
en compte
stratégie de
lations qui
misation de
de financem
plus profess
pauvreté ont
té économi
endre en com
perte d’actif
quelques ann
vec le dével
d de plus e
cier bancair
de la micro
mistes et les
des qui argu
Hossain, 19
97). D’un a
diquent les
ly, 1996; B
ais qui argu
ndu (Hulme
ns groupes b
uration du milieDéveloppementde la vulnérabil
Internationale
apparaît né
u régional.
ancement d
remier des
ncement de
s aider à dém
de cette cat
e financem
exercent dé
es risques de
ment vise le
sionnelles. P
t montré qu
ique ne pe
mpte égalem
fs (Bidubul
nées une im
loppement d
en plus corp
re ou faut-il
ofinance à
s partagés c
uent que la
88 ; Remen
autre côté, s
incidences
Buckley, 199
uent que la m
e et Mosley
bancaires m
eu pauvre Etat dt, gbidjuwa@yalité : le cas d’u
e de Managem
anmoins qu
Ce phénom
des populati
EMF. Da
es populati
marrer une
tégorie de c
ent est axé
éjà de petite
e crédit con
es micro-en
Plusieurs étu
ue cette rela
eut pas se
ment l’expo
la Juwa, 20
mportance n
des program
ps, sur la p
l les juxtapo
réduire la p
comme le
microfinan
nyi, 1991 ;
sont les aut
s négatives
97). Au mil
microfinanc
y, 1996). C
manifestent u
des lieux des mahoo.fr.
un «Microbanco
ment Stratégiq
6
u’il n’y a
mène met
ons sans
ns leurs
ions. La
activité.
clientèle,
ée sur le
es AGR.
nditionne
treprises
udes sur
ation est
mesurer
sition au
010)2. La
nouvelle
mmes de
place des
oser à ce
pauvreté
souligne
nce a des
Otero et
teurs qui
s que la
lieu sont
ce n'aide
Ce papier
un grand
mutuelles de
o rural » au
que
intérêt
D’après
ils ont
crédits
inexista
très séle
1.2.
La notio
tendanc
organisa
perdre l
l’EMF,
et la qu
Besley
Alexand
définie.
en plus
qui sem
cause l’
phénom
se maté
populati
se lance
cible de
montant
le cas d
sollicite
commer
le comm
des acti
4 Environ
à prospecte
s (Daley-Ha
contracté le
individuels
antes en mil
ectifs (Bidub
. DERIVE D
on "de miss
ce à confon
ations pourr
leur autono
ils ont adop
uestion d’a
et Coate, 1
der-Tedesch
En effet, l’
des voix cr
mble être sou
’essence et
mène est diff
érialise par
ions pauvre
er dans les
evient des p
ts largemen
de ce papie
ent des prê
rçants. D’ap
merce, l’arti
ivités comm
5500 $
er ou à se
arris, 2007),
eur premier
s reste faib
lieu pauvre,
bula Juwa,
DES EMF D
sion" dans l
ndre la miss
raient tirer
omie. Ghosh
pté une app
aléa moral.
1995; Ghata
hi, 2006; L
’EMF repré
ritiques sur
us jacent et
l’existence
fficilement d
le fait que
es ou aux dé
activités gé
personnes p
nt supérieur
r. Les catég
êts, sont de
près Dzaka
isanat et l’a
merciales, c
positionner
, presque 70
r emprunt.
le car les
, avec des d
2010).
DANS LEUR
l'économie
sion et l'obj
profit de p
h et Van T
proche d'age
Les exemp
ak, 2000; A
Labie et al.,
ésentatif a un
la microfin
t qui passe
même de l
détectable v
e les EMF
émunis, acc
énératrices
plus nanties
rs à 250 000
gories socio
es enseigna
(2009), 18
agriculture.
cette prépo
XXIV
r sur le ma
0% des usa
Le niveau
établisseme
délais et des
RS MISSION
est raremen
jectif. Dew
oursuivre d
assel, (2008
ent principa
ples de cet
Armendáriz
, 2010). La
ne mission
nance et les
sous silenc
la microfina
voire compr
accordent d
compagnent
de revenu
s en grand n
0 FCFA, frô
oprofession
ants, des e
% des créd
En effet, p
ondérance d
Ve Conférence
arché de la
agers étaient
d’accès de
ents qui les
s conditions
NS
nt utilisée. A
atripont et
des mission
8), ont mod
al pour mett
tte approche
et Gollier
a mission p
de réductio
pratiques d
e, "la dériv
ance et des
réhensible.
de moins en
t de moins e
et les micro
nombre. Ils
ôlant en mo
nnelles les p
entrepreneur
its sont affe
rès de 50%
du secteur c
Internationale
microfinan
t parmi les
s pauvres a
s offrent so
s d’accès au
Au lieu de
al. (1999)
s multiples
délisé la fon
tre en évide
e abondent
2000; Jain
particulière
on de la pau
des EMF not
ve de missio
EMF. Il es
En effet, la
n moins de
en moins les
o-entrepren
s accordent
oyenne 2 75
plus fréquen
rs, des fon
ectés à des
% des crédits
commercial
e de Managem
nce (Cobac
plus pauvre
aux mécani
ont trop rig
u crédit limi
cela, la litté
ont montré
mais elles
nction obje
ence l’anti-s
t (Stiglitz J
n et Mansur
de l’EMF
uvreté. Il y a
tamment su
on". Car il r
st indéniabl
a dérive de
es microcré
s personnes
neurs. Leur
des prêts a
50 000 FCF
ntes des cli
nctionnaires
activités au
s servent à
l dans l’aff
ment Stratégiq
7
c, 2007).
es quand
ismes de
gides ou
itatifs ou
érature a
é que les
peuvent
ective de
sélection
J. 1990 ;
ri, 2003;
est bien
a de plus
ur un fait
remet en
e que ce
mission,
édits aux
s voulant
cœur de
avec des
FA4 dans
ients qui
s et des
utres que
financer
fectation
que
sectorie
(2004)
entrepre
activités
Nous d
apparaît
les coût
pérennit
bancaris
les dépe
priorité
emprun
leurs co
encore u
originel
des inve
pourrait
(2008).
de com
entraine
et Gho
suggère
veulent
que la d
orientés
soient d
réductio
2009). I
Creusot
et instit
de ces E
La diffi
réductio
elle des mic
l’ont mont
eneur à de
s du secteur
déterminons
tre. Les prin
ts de transa
té de l’EM
sés et la tail
enses de co
car ils coût
nteurs les pl
oûts totaux
un rôle déte
lles ? » Cett
estisseurs m
t être la seu
L’EMF com
mmercialisat
e de montan
sh et Van
ent concerna
attirer des i
dérive de m
s vers les bé
des institutio
on de la pau
Ils arguent
t et Poursat,
tutionnaliste
EMF des org
iculté pour
on de la pau
crocrédits e
tré. Ils exp
moindres r
r productif,
s les condi
ncipales mo
action, la rec
MF, les diffé
lle de prêt fl
ontrôle, les
tent moins c
lus pauvres
(MicroBan
erminant à l
te tendance
mus pas la p
le façon d’a
mmercial es
tion récente
nt de prêt él
Tassel. (2
ant les EMF
investisseur
mission résul
énéfices. Le
ons financiè
uvreté et d’i
qu’ils assi
, 2009). To
e, loin de s’
ganisations
les cherch
uvreté ou d’
est courante
pliquent qu
risques et s
comme l’ag
itions théor
otivations po
cherche de
férentiels de
fluctuant aux
EMF ont u
cher. Mais u
s génèrent d
nking Bulle
l'explication
de la dériv
performance
attirer plus d
st un exemp
es sont « d
levé et cible
2008) mon
F, que la dé
rs plus socia
lte des effor
es bailleurs d
èrement ren
innovation
istent ainsi,
outefois, Mo
’opposer pe
hybrides (B
heurs empiri
’accompagn
XXIV
e dans les
ue les activ
ont rentable
griculture et
riques pou
our les EMF
l’indépenda
e coût entre
x clients plu
une tendanc
une étude a
des revenus
tin, 1998).
n : « pourqu
ve de missio
e financière
de ressource
ple typique.
de mauvais
e moins les
ntrent aussi
érive de mi
alement res
rts de l’EM
de fonds we
ntables, au r
(Roy, 2006
à la comm
orduch (200
euvent coex
Battilana an
iques d’éta
nement des
Ve Conférence
pays africa
vités de ce
es immédia
t l’artisanat
r lesquelle
F seraient le
ance par ra
e des clien
us nantis. Po
ce naturelle
prouvé que
s suffisants
Les dépens
uoi les EMF
on se justifi
et qui orien
es dans le m
. Les auteur
ses » nouve
femmes. Le
une diver
ission a lieu
sponsables.
MF à attirer p
elfariste n’a
risque de sa
6) ou de s’en
mercialisatio
00) pense q
xister et être
nd Dorado, 2
ablir si un E
AGR, est la
Internationale
ains comme
e secteur e
atement, co
.
s la dérive
e risque de
apport au su
nts plus rich
our éviter le
e à cibler le
e les program
pour couvr
ses de tran
F dérivent-il
ie égalemen
ntent les ch
modèle de G
rs ont concl
elles pour
es travaux d
rgence. Les
u parce que
Les dernier
plus des cap
attendent pa
acrifier leur
n éloigner (
on des EM
que les deux
e compléme
2010).
EMF dérive
a justificati
e de Managem
e Dzaka et
exposent le
mparativem
e de missi
défaut des
ubventionne
hes et pauv
es arriérés d
es clients r
mmes qui v
rir environ
saction jou
ls de leurs m
nt dans la re
hoix de l’EM
Ghosh et Va
lu que les te
le pauvre
de Cull et al
s premiers
e ces établis
rs auteurs su
pitaux de d
as des EMF
r mission so
(Creusot et
MF (Halpern
x visions, w
entaires. Ce
e de sa mi
on et l’intér
ment Stratégiq
8
Bitemo
e micro-
ment aux
ion peut
pauvres,
ement, la
vres non
de prêt et
iches en
visent les
70% de
ent-elles
missions
echerche
MF. Cela
an Tassel
endances
car elle
l. (2009)
auteurs
ssements
uggèrent
onateurs
qu’elles
ociale de
Poursat,
n, 2000 ;
welfariste
e qui fait
ssion de
rêt de ce
que
papier.
satisfair
s’éloign
McIntos
2009; U
plus pa
(Christe
microfin
al., 200
mission
individu
cette dé
n'est pa
appuiero
empiriq
des EM
Tassel
mission
d’observ
sur le c
EMF en
csQCA.
du prêt,
AGR ou
du clien
Nous no
est alor
pouvon
considé
s’agir d
dans la
accueill
subvent
Certains ch
re les inves
nent des clie
sh et Wydi
Urgeghe, 20
auvre (Cull
en, 2001; M
nance comm
8; Armendà
n dans la mi
us plus rich
éfinition, la
as justifiée
ons sur ce
quement me
MF de Fidle
(2008) et d
n des EMF
ver un écha
comporteme
n interne. L
. La troisièm
, la destina
u micro-ent
nt par rappo
otons que la
rs nécessair
s être indui
rer certains
de la minim
stratégie et
lent un no
tionnement,
hercheurs on
stisseurs (C
ents pauvre
ck, 2005; C
010). Plusieu
et al., 200
Mersland et
me une déri
àriz et Szaf
icrofinance
hes non ban
a dérive de
par la min
ette définit
surable. No
er (1998), d
du travail e
F. Cependan
antillon très
ent des EM
La deuxièm
me est d’ut
ation du prê
reprises et l
rt au siège d
a détection
re de ne pa
its en erreu
s indicateur
misation de c
la maturité
ombre faib
, les taux d’
nt noté que
Cull et al., 2
es, pour s’or
Cull et al. 2
urs cherche
09b) et d’au
Strom, 20
ive de sa mi
farz, 2011).
surgit quan
ncarisés en
mission pe
nimisation d
tion, qui a
ous nous ins
des travaux
empirique d
nt notre ét
s important
MF vu à trav
me est d’uti
tiliser comm
êt, la typolo
la proximité
de son EMF
de la dérive
as se tromp
ur dans plus
s sans néce
coût de tran
é du portefeu
ble des pe
intérêt élev
XXIV
, dans le bu
2009a; Mer
rienter vers
2007; AMA
eurs ont obs
utres pense
09). Plusieu
ission socia
D’après A
nd un EMF
évinçant en
eut seuleme
de la taille
a l'avantage
spirons égal
théoriques
de Cull et
tude présen
de 555 clie
vers le pris
iliser la mé
me indicateu
ogie de la
é ou l’éloign
F d’affiliatio
e de mission
per dans la
sieurs cas d
essairement
nsaction, de
uille (Chris
ersonnes t
vés et le mon
Ve Conférence
ut d’accumu
rsland et St
s une clientè
AF, 2008; B
servé que la
ent qu’elle
urs qualifie
ale (Helms,
Armendáriz e
F la trouve p
n même tem
ent apparaîtr
moyenne d
e d'être pl
lement de la
de Copest
al. (2007)
nte trois pa
ents des EM
sme de leur
éthode de l
urs en plus
clientèle, l
nement géo
on.
n des EMF
mise en év
dont il faut
dévier de l
e la taille m
ten, 2001),
très pauvre
ntant plafon
Internationale
uler davanta
trom, 2009
èle plus ais
Beck et al.,
a clientèle s
reste pratiq
ent la comm
2006; Cull
et Szafarz (
profitable p
mps de clie
re quand la
de prêt des
lus facilem
a littérature
take (2007)
pour démo
articularités
MF pour ap
rs clients au
l’analyse qu
du niveau
’accompagn
ographique d
n’est pas u
vidence du
t se méfier.
leur mission
moyenne de
les spécific
es, la pris
nd sans rega
e de Managem
age de prof
), les organ
sée (Dunfor
, 2009; Nsa
ervie est de
quement in
mercialisatio
et al., 2007
(2011), la d
pour en app
ents pauvre
a mission a
s EMF. No
ment observ
sur les exp
), de Ghosh
ontrer la d
s. La prem
pporter un ju
u lieu d’étu
ualitative co
moyen du
nement ou
du lieu de ré
un exercice
u phénomèn
Les EMF
n originelle
prêt la plu
cités des rég
se en com
arder l’histo
ment Stratégiq
9
fits et de
nisations
rd, 2003;
abimana,
e plus en
nchangée
on de la
7; Cull et
dérive de
peler aux
es. Selon
annoncée
ous nous
vable et
périences
h et Van
érive de
mière est
ugement
udier ces
omparée
montant
non des
ésidence
facile. Il
ne. Nous
peuvent
e. Il peut
us élevée
gions qui
mpte du
orique de
que
l’empru
(1999) e
Cepend
notamm
du prêt
EMF ne
pauvreté
essentie
souvent
2008; D
Morduc
(Dewez
taille du
L’idéal
clients.
compte
à revenu
pour de
littératu
Hudon,
distingu
à la dér
pour tra
mais la
de rédu
d’inform
mesurer
du seuil
utilisé la
La litté
regardan
5 35000 FC
unteur qui p
et Simtowe
dant, la litté
ment la notio
(Mosley, 1
e semble pa
é. Les indic
ellement qu
t pondéré pa
Dewez, 200
ch, 2010), o
z, 2008; Gu
u prêt que le
serait d’ob
Cependant,
du contexte
u intermédi
es clients p
ure varie en
2009) qui n
uer si accord
rive de miss
aiter la ques
proportion
uction de p
mation aux
r en pratiqu
l de pauvre
a taille de p
érature sugg
nt uniquem
CFA à 225 000
peut étendre
et al. (2006
érature a m
on de pauv
996) et l'in
as être un d
cateurs de la
uantitatifs d
ar le PNB p
08), le pour
ou encore le
utiérez-Nieto
es EMF com
btenir égalem
, cette mesu
e dans lequ
iaire comm
plus riches
ntre 70$ et
n’est pas co
der les taille
sion. Ghosh
stion de la d
d'écart de p
pauvreté et
chercheurs
ue et parce
eté qui est d
prêt comme
gère que le
ment la taille
CFA
e ce plafond
6) l’ont qual
mis en évide
reté qui est
ndice de dév
déterminant
a dérive de
dont les plu
par habitant
centage de
nombre d’
o et Serran
mmerciaux o
ment des in
ure sur la p
uel les EMF
e le cas du
non banca
450$5 com
onsidérée co
es moyenne
h et Van Ta
dérive de m
pauvreté. L
t la dérive
empiriques
que la prop
déjà controv
un indicate
e jugement
e moyenne
XXIV
d de crédit
lifié « incita
ence certain
t déterminée
veloppemen
t très impor
mission uti
us cités son
t (Cull et al
femmes cl
emprunteur
no-Cinca, 20
offrent. Cet
nformations
performance
évoluent (R
Gabon, son
arisés. La
mme le pra
omme dériv
es de prêt pl
assel (2008)
mission n’es
eur modèle
e de missio
s, ne serait-c
portion d'éc
versée parm
eur pour le s
d'un EMF
de prêt, ind
Ve Conférence
s’il honore
ation dynam
ns détermin
e par les pa
nt humain (
rtant pour u
ilisés généra
nt, le mont
l., 2009; He
lientes (De
rs actifs rapp
008; Daley
tte liste d’in
s sur le niv
e sociale pe
Rhyne, 200
nt une sour
taille moye
atique la B
vant. Les ch
lus élevées e
) suggèrent
st ni la taille
e est le plus
on. Mais, i
ce parce que
art de pauv
mi les écono
seuil de pauv
comme ay
duit en effe
Internationale
les prêts p
mique ».
nants de la
aramètres d
IDH). Le st
une mission
alement dan
tant du créd
ermes et al.
Bruyne, 20
porté au po
-Harris, 20
ndicateurs n
veau de vie
eut être qua
09). Les EM
rce qui attir
enne du pr
anco Comp
hercheurs re
est dû au su
que l'appro
e du prêt, n
adapté pou
il ne livre
e la pauvret
vreté est bas
omètres. Cu
vreté de clie
yant dérivé
et, un biais r
e de Managem
précédents M
dérive de
de la taille m
tatut juridiq
n de réducti
ns la littérat
dit moyen
, 2008; De
008; Armen
ortefeuille d
09), la plus
n’est pas exh
et de pauv
litative et e
MF des pays
re des finan
rêt utilisée
partamos (A
estent incap
ubventionne
oche la plus
ni l’approch
ur clarifier l
pas suffis
té est plus d
sée sur l’év
ull et al. (20
ents.
é de sa mis
relatif. Il fa
ment Stratégiq
10
Morduch
mission
moyenne
que d’un
on de la
ture sont
octroyé,
Bruyne,
ndáriz et
e crédits
s grande
haustive.
vreté des
en tenant
pauvres
ncements
dans la
Ashta et
pables de
ement ou
s précise
he genre,
la notion
samment
difficile à
valuation
008) ont
ssion en
aut avoir
que
plus de
analyse
notablem
Vega et
et la tai
de miss
de miss
consens
(2008)
pauvres
relativis
malgré
restent a
EMF et
d’autres
ciblant u
sembler
commer
derniers
2. ME
2.1. La prob
Nous dé
n’accom
(supérie
la conso
siège de
nécessa
décliner
H1 : « u
H2 : « u
détails nota
dynamique
ment les cli
t al. (1996).
lle moyenn
ion signifie
sion des E
sus parmi l
l’ont utilisé
s. Nous con
ser la situat
les réussite
ambitieux c
banques co
s choix aux
une clientèl
rait que no
rciales vers
s ? Sont-ils
ETHODOL
PROBLEMA
blématique d
étermineron
mpagne ni le
eurs à 250 0
ommation c
e l’EMF. En
aires. Cette
rons des hyp
un EMF acco
un EMF prêt
amment les
e serait né
ients riches
En outre, l
ne de prêt m
e vraiment. N
EMF, surtou
es chercheu
é comme va
ncluons cet
tion des EM
es ponctuel
car la pauvr
ommerciale
x EMF que
le plus rich
ous assisto
s le marché
poussés ver
OGIE DE
ATIQUE ET
de ce papier
ns qu’un EM
es AGR, ni
000 F ou plu
courante et s
n outre, que
e définition
pothèses se
ompagne né
te nécessair
clients pauv
cessaire po
et évincent
la prise en c
modique peu
Nous retien
ut le nivea
urs du dom
ariable dans
tte section
MF et de la
lles, les obj
reté ne cesse
s traditionn
ceux de dé
es et en se
ons à une
des EMF e
rs d’autres s
LA RECH
HYPOTHESE
r est : « les E
MF dérive
les micro-e
us de 500 $
si les client
e ces déterm
n constitue
condaires p
écessaireme
rement aux p
XXIV
vres sont-il
our évaluer
t les clients
compte simu
uvent donne
ndrons que l
au du mon
maine de la
s une étude
par une no
a microfinan
jectifs ou m
e de progre
nelles sur le
évelopper d
désintéressa
migration
et vis-versa
sources ?
HERCHE
ES DE L’ETU
EMF dérive
des ses mi
entreprises,
$), si les som
ts ciblés ne
minants de
e l’hypoth
pour bien ce
ent les activ
pauvres ou
Ve Conférence
s évincés pa
empiriquem
s pauvres se
ultanée des
er une idée
la recherche
tant moyen
microfinan
e pour mesu
ote non pa
nce. Au reg
missions de
esser dans le
marché de
des stratégie
ant de plus
progressiv
a. Que devi
UDE
ent-ils de leu
issions s’il
s’il prête à
mmes prêtée
résident pa
la dérive de
hèse principa
rner la prob
vités générat
aux personn
Internationale
ar des client
ment si les
elon la défin
taux d'intér
plus claire
e des déterm
n, n’a pas
nce. Cepend
urer la prop
as pessimist
gard de tou
es EMF et
e monde. La
la microfin
es d’adapta
en plus aux
ve des acti
ennent don
ur missions
ne prête pa
à des nivaux
es sont dest
as à proximi
e missions
ale de la
blématique à
trices de rev
nes à faible
e de Managem
ts plus riche
s EMF aug
nition de G
rêt monopo
de ce que l
minants de l
encore dég
dant, Herm
pension de
te mais qu
ut ce dynam
de la micro
a concurren
ance ne lais
ation notam
x clients pa
ivités des
nc les client
s originelles
as aux pauv
x de montan
tinées uniqu
ité géograph
sont des co
recherche
à savoir:
venu et les T
e revenu.»
ment Stratégiq
11
es ? Une
gmentent
onzalez-
olistiques
la dérive
la dérive
gagé un
mes et al.
prêt aux
i tend à
misme et
ofinance
nce entre
ssent pas
mment en
auvres. Il
banques
ts de ces
s ? »
vres, s’il
nt élevés
uement à
hique du
onditions
e. Nous
TPE.»
que
H3 : « L
microcr
H4 : « L
courante
H5 : «
siège. »
2.2.
Un écha
exploré
sociopro
montant
destinat
2.3.
Nou
la dériv
variable
logiciel
le tri de
Thiem (
sous le l
2
L
valeur=
fidèles
activités
6 Adrian D7 Huang Available 8 R CoreVienna, A
Le niveau
rédit inférieu
Le prêt oct
e.»
un EMF ci
car il est un
. DONNEES
antillon de 5
en 2012. L
ofessionnel
t du prêt r
tion des som
. METHODE
us avons opt
ve de missi
es explicativ
s qui nous o
es données
(2014) et Q
logiciel R8,
2.3.1. Var
La variable
1 si les EM
à leurs mi
s génératri
Dusa et Alrik TRonggui (2014from: http://cr
e Team (2014).Austria. URL htt
de montan
ure ou égale
troyé par u
ible nécess
ne banque d
S ET INFOR
555 clients
Les informat
le, la récidi
reçu, le nom
mmes reçues
E ET OUTIL
té pour la m
ion des EM
ves comme
ont servis a
. Les logic
CA37 versio
pour la mo
riables cible
e cible est l
MF ne pours
issions. Les
ices de rev
Thiem (2014). 4) QCA3: Yet ran.r‐project.or. R: A languagetp://www.R‐pro
nt prêté re
e à 250 000
un EMF n
airement le
de proximité
RMATIONS
issus des b
tions que n
ive ou le no
mbre de pr
s.
LS DE MOD
méthode d’an
MF avec la
e facteurs j
aux différen
ciels QCA6
on 0.0-7 dév
odélisation q
e et explica
la dérive da
suivent pas
s variables
venu (ACC
QCA: A Packaanother Packarg/web/packagee and environmoject.org/.
XXIV
este nécessa
0 FCFA. »
n’est pas u
es clients ré
é.
RECUEILL
ases de don
ous avons r
ombre de p
rêts déjà re
DELISATIO
nalyse qual
a variable c
ustifiant la
nts traitemen
version 1.
veloppé par
qualitative.
atives :
ans les mis
leurs missi
explicativ
CAGR), l’
age for Qualitatage for Qualitaes/QCA3/index
ment for statistic
Ve Conférence
airement fa
uniquement
ésidant à pr
LIES
nnées de deu
recueillies s
rêts déjà re
mboursés,
N
litative com
cible (DEV
dérive de
nts sont Exc
1-3 dévelop
r Huang Ro
sions des E
ons origine
es retenues
’accompagn
ive Comparativative Comparatx.html. cal computing.
Internationale
faible en c
destiné à
roximité gé
ux (2) EMF
sur ces clien
eçus ou enc
le quartier
mparée (csQC
V). Nous av
mission de
cel 2007 po
ppé par Ad
onggui (2014
EMF « DEV
elles; sinon
s sont l’acc
nement des
ve Analysis. tive Analysis. R
R Foundation
e de Managem
conformité
à la consom
éographique
F de Librevi
nts sont la c
ore l’expéri
de résiden
CA) pour m
vons retenu
es EMF. Le
our la prépa
drian Dusa
4), qui fonc
V » qui pre
valeur=0 si
compagnem
s micro-en
R Package Ver
for Statistical C
ment Stratégiq
12
avec le
mmation
e de son
ille a été
catégorie
ience, le
nce et la
modéliser
u six (6)
es outils
aration et
et Alrik
ctionnent
end pour
i ils sont
ment des
treprises
rsion 0.0-7.
Computing,
que
(ACCP
(NIVM
géograp
(PROX
2
La méth
explicat
l’étude
examine
combina
de la div
de cons
2000). L
ou d'abs
organisé
cas pou
mission
aussi bi
la conn
compren
entraîne
pour sim
au résul
plus dét
- C
Les var
transfor
empiriq
variable
qu'intern
des crit
PME), le ty
MONT), la d
phique du l
XIM). Ces v
2.3.2. Mét
hode QCA
tives et exp
de petits,
er et sur
aisons diffé
versité de c
truire la pre
L'algèbre bo
sence (=0)
ée en cinq (
ur lesquels
n des EMF.
en identifie
naissance d
nant toutes
e la réductio
mplifier des
ltat. La cinq
tails opérati
Calibration
riables son
rmées en bi
que (dans n
es de base
nes. Les cri
tères intern
ype de clie
destination
ieu de résid
variables son
thode d’ana
créée par
pliquée peu
moyens ou
la complé
érentes d'att
cas aussi bie
euve empiri
ooléenne pe
d'attributs c
(5) étapes. L
ce résultat
La deuxiè
e les attribut
des cas. La
les combin
on théoriqu
s lignes de
quième étap
ionnels, Rag
n ou dichot
nt calibrées
inaire (0 et
notre cas 5
catégoriqu
itères extern
nes suivent
entèle (TYP
des somme
dence du c
nt liées aux
alyse qualit
Ragin (198
uvent être q
u grands no
éxité causa
ributs de ca
en que les d
ique pour un
ermet aux c
causalemen
La première
est approp
me étape im
ts supposés
troisième
aisons poss
ue du jeu de
table de vé
pe implique
gin (2000, 2
tomisation
c’est-à-dir
1). Dans u
555 lignes)
ues ou cont
nes résulten
l'analyse e
XXIV
PCLIENT)
es prêtées (
lient par ra
hypothèses
tative comp
87) est basé
quantitative
ombres de
ale quand
as. Elle offr
différentes f
ne nécessité
chercheurs d
nt approprié
e étape cons
prié. Par ex
mplique le
être causal
étape exig
ibles des att
e la table de
rité et d’ide
la représen
2008), sont l
des variab
re à partir
n tableau st
. Nous cal
tinues avec
nt de la conn
empirique d
Ve Conférence
), le niveau
DEST) et
apport au si
s retenues pr
parée « Cri
ée sur l’alg
es ou quali
cas empiri
un résulta
e une appro
façons d’obt
é causale et
de lier les c
s à un résu
siste au cho
xemple, les
calibrage «
lement lié a
ge la constr
tributs caus
e vérité; la
entifier les
ntation et l'in
les meilleur
les
de certain
tatistique, c
librons des
c des critèr
naissance th
des donnée
Internationale
u moyen d
la proximit
iège de son
récédemme
isp » (csQC
gèbre de B
itatives. Ell
iques spéci
at peut rés
oche formel
tenir un résu
une suffisa
combinaison
ltat. Une ét
oix d’un résu
déterminan
« crisp » qu
au résultat b
ruction d'un
saux inclus.
logique bo
attributs de
nterprétatio
res référenc
ns seuils, le
chaque lign
jeux des
res de calib
héorique an
es disponibl
e de Managem
es montant
té ou l’éloig
n EMF d’af
ent.
CA)
oole. Les v
le se conce
fiques (10
sulter de p
lle à dresser
ultat, avec l
ance causale
ns de présen
tude QCA p
ultat d'intér
nts de la d
ui évalue le
asé sur la th
ne table de
La quatrièm
ooléenne est
e configurat
on de résulta
es.
eur modali
ne représent
données br
brage tant
ntérieure, tan
les. Le nom
ment Stratégiq
13
ts prêtés
gnement
ffiliation
variables
entre sur
à 50) à
plusieurs
r la carte
l'objectif
e (Ragin,
nce (=1)
peut être
rêt et des
dérive de
e résultat
héorie et
e vérité,
me étape
t utilisée
ions liés
ats. Pour
ités sont
e un cas
rutes de
externes
ndis que
mbre de
que
VAC
AC
TY
NI
DE
PR
DE
variable
être le p
Tableau
Variables CCAGR
CCPME
YPCLIENT
IVMONT
EST
ROXIM
EV
- T
Après l
analysée
construi
observé
avec de
les com
déclarat
obtenon
possible
empiriq
(2010),
csQCA
3 ou 4 v
une ana
conditio
empiriq
nécessa
vérité q
es explicativ
plus faible p
u n°3 : Cal
si montansi montand’entrepre
si montanentreprenesi montan
si CSP ori
si lieu résisi (ACCA(TYPCLI(DEST=0
Table de vé
le calibrage
es utilisant
ite pour dr
ée de cas. D
es ligne de 2
mbinaisons l
tions logiqu
ns 26=64 lig
es de condi
ques. Cela ab
Thygeson
un rapport
variables ex
alyse avec
on. Pour ch
ques du tabl
aires de la v
qui ne trouv
ves à reteni
possible. Da
librage ou «
Mont moyen est nt moyen > 25eneur
nt moyen ≤ 25eur, non AGR
nt moyen est
ienté AGR o
idence est daAGR=0 OU AIENT=0) ET0) ET (PROX
érité
e du résult
des tables d
resser la c
ans l'algèbr
2k (k = Le
logiquemen
ues (Caram
gnes dans l
itions (varia
boutit à un
N.M., Pei
plus grand
xplicatives.
5 ou 6 vari
haque ligne
leau statistiq
variable exp
vent pas de
ir par rappo
ans notre ca
« binairisat
odalité = 1≤ 250 000 F 50 000 F et C
50 000 F et CR ≤ 250 000 F
ou Micro-entr
ans un rayon ACCPME=T (NIVMONXIM=0)
tat et des a
de vérité (R
carte de la
re de Boole,
nombre de
nt possibles
mani, 2009;
a table de v
ables explic
problème d
ikes D. et
que 3 cas p
Ils suggère
iables expli
e de la tabl
que calibré.
pliquée ou
e cas empi
XXIV
ort au nomb
s six (6) (cf
tion » ou en
et CSP d’AGCSP
CSP non
reprise
de 4 km 1) ET
NT=0) ET
attributs ca
Ragin, 2000,
diversité
, une table d
variables e
du jeux rep
Mendelson
vérité). Le
catives) peu
de diversité
Zutshi A.
pour une 1 v
ent un ratio
icatives. Da
le de vérité
. Cela donn
de la fonct
iriques calib
Ve Conférence
bre de cas
f. tableau n°
ncore dicho
GR sinon
sinon
sinon
si mosi CSAGRSinon
sinon
ausaux dan
2008). Com
logiquemen
de vérité est
explicatives
présentant d
n, 1970). (D
nombre des
ut facilemen
limitée. Pou
(2013) rec
variable exp
o supérieur
ans notre c
é nous com
ne les différe
tion booléen
brés, sont d
Internationale
empirique d
°3).
otomisation
Mn
n
n
ontant moyenSP tout travaiR ou Micro enn (supérieur
n
s des jeux
mme tel, un
nt possible
t définie com
s incluses) p
des valeurs
Dans notre c
s combinais
nt surpasser
ur éviter ce
commanden
plicative dan
à 4 cas pou
as 555 clie
mptabilisons
entes condi
nne. Les lig
des cas log
e de Managem
disponibles
n des variab
Modalité = 0
n > 250 000 Filleur qui n’entreprise (conà 4 km)
, les donné
ne table de v
et empiriq
mme un dia
pour montre
s de vérité p
cas k=6 do
sons théoriq
r le nombre
problème,
nt pour la m
ns une analy
ur 1 conditi
ents dépasse
s le nombre
itions suffis
gnes de la
giques. La
ment Stratégiq
14
, devrait
bles.
0
F est pas orientnsommation
ées sont
vérité est
quement
agramme
er toutes
pour des
onc nous
quement
e de cas
Marx A.
méthode
yse avec
ion dans
ent cette
e de cas
antes ou
table de
fonction
que
té n).
D
truthTab
fonction
cas emp
cas logi
coder le
est util
cohéren
sont per
au résul
pour êt
variable
il faut re
3. RES
3.1. 3
Tableau
Sa
DEV=>acca
3
Tableau
San dev =>PRO dev =>PRO
3.2.
Nous no
mission
ble() des lo
n rend uniqu
pirique trou
iques qui so
e résultat da
isé pour d
nce proche
rformants. T
ltat, les con
tre retenues
e cible. Une
eprésenter e
SULTATS
MODELE G
3.1.1. Mod
u n°4 : Rés
ans cas logi
agr*accpme
3.1.2. Mod
u n°5 : Résu
ns cas logiq
OXIM + NIVM
OXIM + NIVM
. INTERPRE
ous attendio
ns originelle
ogiciels QC
uement les
uvent une ad
ont pris en
ans la table
décider que
de 1 indiqu
Tandis qu'u
nfigurations
s comme c
e fois que l'a
et interpréte
DES TRA
GENERAL AV
dèle de la v
sultats du m
iques ni con
e*typclient*
dèle de la v
ultats du mo
ques ni cont
MONT + AC
MONT + DE
ETATION
ons à ce qu
es soient : d
CA et QCA3
configuratio
dhésion. La
compte po
e de vérité,
elles config
ue que les c
une valeur t
s doivent av
conditions s
analyse de
er ces résulta
ITEMENT
VEC 555 CL
variable cib
modèle de la
ntradictoir
*nivmont*d
variable cib
odèle de la
tradictoires
CCPME
EST
ue les condi
d’accompagn
XXIV
3 crée la ta
ons de la ta
solution pa
our minimis
une grande
gurations so
cas avec la
tendant vers
voir une co
suffisantes
table de vér
ats.
TS csQCA E
LIENTS
ble DEV=1
a variable D
res
dest*proxim
ble « non dé
variable de
s
d
itions néces
ner les AGR
Ve Conférence
able de véri
able de vérit
arcimonieus
er l’express
e valeur de
ont associé
présence d
s 0 indique
hérence mi
ou nécessa
rité a tiré la
ET INTER
:
DEV (dériv
Généra
m DEV=>n
érive » ou f
v (fidélité d
Généralis
dev=>ACCP
ssaires pour
R; de cibler
Internationale
ité théoriqu
té pour lesq
se est celle
sion de la v
cohérence
ées au résu
d‘attribut da
le contraire
inimum de
aires dans
a solution lo
RPRETATI
ve de missi
alisation – m
nivmont*pr
fidélité de m
dans les mis
sation – mo
PME + NIV
r que les EM
r les clients
e de Managem
ue. Par défa
quelles au m
qui intègre
variable cib
(ou de cons
ultat. Un s
ans la confi
e. Pour être
0.85 (Ragin
l’explicatio
ogiquement
IONS
ion des EM
modèle par
roxim*(accp
mission dev
ssions des E
odèle parcim
VMONT + P
MF respecte
pauvres ou
ment Stratégiq
15
aut, cette
moins des
tous les
ble. Pour
sistance)
score de
figuration
e associé
n, 2008)
on de la
t réduite,
MF).
rcimonieux
pme + dest)
v = 0 :
EMF).
monieux
PROXIM
ent leurs
u qui ont
que
x
un faibl
(ne dép
uniquem
siège de
dans le
dev=>P
indique
microcr
ciblent l
-
c
-
q
(
Concern
générali
obtenon
indique
des prêt
ciblent
clients q
prêtent p
dérive d
montant
deux co
non acc
4. LIM
Les lim
limite s
Concern
le carac
le revenu ; d
passant pas
ment à la co
e l’EMF. Il
cas du Ga
PROXIM +
qu’il suffit
rédit (dans n
les clients r
Soit que la
courante
Soit, que ce
qui est conf
(cf. tableau
nant le mod
isation de
ns le modè
que les EM
ts à un nive
des clients
qui destinen
pas aux mic
des mission
t moyen du
onditions su
compagnem
MITES DE
mites que no
sur la coll
nant la colle
ctère intime
d’accorder d
en moyen
onsommatio
l n’en est r
abon, sont
NIVMONT
t que ces E
notre cas le
résidant à pr
destination
es EMF acc
firmé dans
n°5 deuxiè
dèle qui ca
ce modèle
le parcimon
MF considér
eau moyen q
qui ne résid
nt les monta
cro-entrepre
ns des EM
u prêt accor
uffisantes la
ent des mic
L’ETUDE
ous exposon
lecte des d
ecte des don
e du sujet po
des prêts do
nne 250 000
on courante
ien. Les fac
des conditi
T + DEST,
EMF accord
es sommes
roximité du
n des prêts a
compagnen
la généralis
ème colonne
aractérise la
e par l’inté
nieux : DE
rés comme
qui n’obéit
dent pas à p
ants reçues
eneurs pour
MF avec les
rdé (nivmon
a destination
cro-entrepris
E
ns dans ce
données et
nnées, le ca
our interrog
XXIV
ont les mon
0 FCFA) ;
et de cible
cteurs qui r
ions suffisa
T, soit dev=
dent des niv
inférieures
siège de l’E
accordés ne
nt des micro
sation en in
e).
a dérive de
égration de
EV => nivm
dérivant da
plus au prin
proximité d
essentiellem
r accompagn
filtres de
nt) et l’éloig
n des monta
ses (accpme
papier sont
la limite
aractère con
ger les clien
Ve Conférence
ntants soient
de ne pas
er les clients
rendent les
antes (cf. T
=>PROXIM
veaux moy
ou égales à
EMF ou enc
serve pas u
o-entreprise
ntégrant les
missions d
es cas logiq
mont*proxi
ans leurs mi
ncipe de mi
du siège de l
ment à la co
ner leurs ac
deux cond
gnement du
ants prêtés
e).
t de deux o
sur la mét
nfidentiel de
nts qui s’or
Internationale
t en accord
destiner le
s proche gé
EMF fidèl
Tableau n°5
M + NIVMO
ens de prêt
à 250 000 F
core :
uniquement
s. Ce derni
cas logique
des EMF (c
ques et co
im*(accpme
ssions sont
icrocrédit (>
l’EMF et qu
onsommatio
tivités. Don
ditions néce
client du s
à la consom
ordres princ
thode de t
e celles des
rientent vers
e de Managem
avec le mic
es sommes
éographique
les à leurs m
5). Le mod
ONT + AC
t en accord
F) ou que c
à la consom
ier modèle
es et contrad
cf. tableau
ontradictoire
e + dest) q
ceux qui ac
> 250 000 F
ui ; soit prê
on courante
nc il faut reg
essaires qui
siège (proxi
mmation (de
cipalement
traitement
s EMF d’un
s les établis
ment Stratégiq
16
crocrédit
s reçues,
ement du
missions
èle (soit
CCPME)
d avec le
ces EMF
mmation
est celui
dictoires
n°4), la
es, nous
qui nous
ccordent
F) et qui
êtent aux
; soit ne
garder la
i sont le
im) et de
est) et le
à savoir
adoptée.
ne part et
ssements
que
de micr
dû faire
propres
collecté
capitale
l’étendu
rural. Il
sous ré
méthode
la méth
dépassé
dans l’a
gestion.
filtre ou
tempore
incorpo
la littéra
Conclu
Nous co
concurr
d’échec
intéress
la pauv
microcr
dérivent
Gabon e
mais co
Les don
Librevil
dérive
rocrédits d’a
e face penda
secrets qu
ées à partir
e du Gabon
ue géograph
serait intér
gion CEMA
e csQCA av
hode QCA
ée une taille
article de Ch
. Nous avon
u le prisme
elle pour ét
re de séque
ature (Caren
sion
oncluons ce
rentiel. Les
c. La press
és et interro
vreté et l’a
rédits aux p
t-ils de leur
est plus com
ontractant de
nnées de l’é
lle. Les var
dans les
autre part, s
ant la condu
’il ne peut
de deux ba
n, qui conce
hique de la c
ressant d’ef
AC. A pro
vec une tail
utilisée dan
e d’échantill
hanson, Dem
ns étudié le
e de leurs c
tudier la dér
ences tempo
n et Panofsk
e papier en
EMF qui
sion qu’ils
ogés sur les
accompagne
populations
rs missions
mposée d’e
es prêts d’un
étude se so
riables qui
missions
sont les deu
uite de cette
pas mettre
ases de don
entre à ce j
collecte d’a
ffectuer une
opos de l’ap
lle de l’éch
ns les étud
lon de 193,
mil et Leco
comportem
clients. Il e
rive de mis
orelles. Elle
ky 2005; Ra
rappelant q
y évoluen
vivent les
s missions o
ement des
s pauvres.
. Nous avon
enseignants,
ne taille mo
ont résumée
nous ont p
qui est l
XXIV
ux plus imp
e étude. Ch
à la dispos
nnées client
jour, une d
autres villes
collecte qu
pproche mé
antillon de
des empiriq
l’exemple
cq (2005). N
ment des org
est nécessa
ssion. En ef
e est récemm
agin et Stran
que le march
nt présente
s contraint
originelles a
activités gé
La question
ns constaté
de fonction
oyenne qui n
es à un éch
permis d’ét
la variable
Ve Conférence
portantes ba
aque établis
sition du pu
tèle des EM
dizaine d’E
des pays de
ui touche un
éthodologiq
555 clients
ques en scie
de l’étude d
Notre papie
ganisations e
ire d’intégr
ffet, la méth
ment deven
nd, 2008).
hé de la mic
nt un dyna
à s’adapte
assignées au
énératrices
n principal
que la clie
nnaires, d’a
ne respecte
hantillon de
tudier la dé
e cible et
Internationale
arrières aux
ssement ou
ublic. Les in
MF de la vi
EMF. Nous
e la CEMA
ne échelle p
que, nous a
. Ce qui po
ences socia
de Gran et A
er s’inscrit d
en l’occurre
rer une dim
hode QCA
nue un sujet
crofinance e
amisme ma
er. Ainsi n
ux EMF qui
de revenu
e à l’étude
entèle des E
artisans et d
pas le princ
555 client
érive de m
les varia
e de Managem
xquelles nou
chaque clie
nformations
ille de Libr
n’avons pa
AC ni dans le
plus large co
avons opté
ose un probl
ales n’a pas
Alberti (200
dans les scie
ence les EM
mension dyn
temporelle
de discussi
est florissan
algré quelq
nous nous
i sont la lutt
u en accord
e était : « l
EMF dans l
de commerç
cipe de mic
ts de deux
ission sont
ables expli
ment Stratégiq
17
us avons
ent a ses
s ont été
reville la
as élargi
e monde
omme la
pour la
lème car
s encore
03) citée
ences de
MF par le
namique
(tQCA)
ion dans
nt et très
ques cas
sommes
te contre
dant des
es EMF
e cas du
çants(es)
rocrédit.
EMF de
, (DEV)
icatives ;
que
l’accom
entrepri
destinat
du clien
traiteme
sont de
obtenu
Librevil
plus au
proximi
montant
entrepre
émises
nous at
détermi
Seul niv
dans le
accordé
conditio
glissem
L’obser
d’autre
micro-e
vers leu
place à
glissem
pérennit
état de
populati
tradition
notamm
outils d
mission
mpagnement
ises ; le ty
tion des som
nt par rapp
ents par la
s modèles
est : DEV=
lle dérivent
principe de
ité géograph
ts reçues es
eneurs pour
H1, H2, H3,
ttendions à
nants néces
vmont remp
s missions
é, accompag
ons suffisan
ment de l’ob
rvation d’un
part, d’un e
entreprises.
ur cible trad
une autre ca
ment sur les
té et la gara
fait crée un
ion, comm
nnel. Cette
ment les usu
de ciblage
ns naturelle
t des activ
ype de clie
mmes prêtée
port au sièg
méthode cs
de la dériv
=>nivmont*
de leurs mi
e microcréd
hique du si
ssentielleme
r accompagn
, H4 et H5 n
à obtenir l
ssaires qui e
plie cette att
des EMF,
gnement des
ntes qui exp
bjectif des
ne part, d’un
effet exclus
Les montan
ditionnelle q
atégorie de
missions p
antie qui ser
ne certaine m
me des banq
clientèle
uriers dont
géographiq
s, qui sont
vités généra
entèle conc
es et la prox
ge de l’EM
sQCA dans
ve de missi
*proxim*(a
issions car i
dit (> 250 0
iège de l’EM
ent à la con
ner leurs ac
n’est vérifié
les trois (
expliquent l
tente. Pour
nous avon
s micro-entr
pliquent cett
EMF ver
n effet inclu
if sur une c
nts moyen
que sont les
clientèle qu
premières d
raient des b
méfiance de
ques traditi
est poussée
elle est à la
que et indiv
t, être une
XXIV
atrices de
cerné ; le n
ximité ou l’é
MF. Ces va
s les logicie
ion des EM
accpme+des
ils accorden
000F) et qu
MF et qui,
nsommation
ctivités. Au
ées. Quant
3) variable
la dérive de
l’étude de
ns obtenu
reprises et p
te fidélité. C
s celui des
usif sur une
clientèle à fa
des prêts m
pauvres et
ui est plus n
des EMF ne
barrières à l
es EMF qui
onnelles qu
e inévitable
a merci. Ce
viduel des
banque de
Ve Conférence
revenu ; l’
niveau moy
éloignemen
ariables ont
els QCA et
MF. Le mod
st) qui met
nt des prêts
i ciblent de
soit prêten
n courante,
cune des ci
à l’hypothè
es nivmont
e mission d
la variable
que les fac
proximité gé
Ce modèle
s banques
clientèle d
aible revenu
montrent que
les exclus.
nantie que s
e peut pas t
’entrée pou
i sont consi
ui l’ont déj
ement vers
es EMF hyb
pauvres po
e proximité,
Internationale
’accompagn
yen des m
nt géographi
t été dicho
t QCA3. Le
dèle princip
en évidenc
à un niveau
es clients qu
nt aux clien
soit ne prêt
inq (5) hypo
èse principa
, accagr e
es EMF. Ce
« dev » qu
cteurs (nive
éographique
a mis en év
commercia
e classe mo
u et sur l’ac
e ces EMF
Ces EMF s
on cœur de
trouver une
ur les pauvre
idérés par c
jà exclue d
s d’autres s
brides gagn
our ne pas
, destinée p
e de Managem
nement des
montants pr
ique de la ré
otomisées a
es résultats
pal que nou
ce que les
u moyen qu
ui ne réside
nts qui desti
tent pas aux
othèses sec
ale de l’étud
et accpme
ela n’est pa
ui indique la
eau moyen
e du client)
vidence qu’
ales traditio
oyenne voir
ccompagnem
ne s’orient
semblent fa
cible origin
e explicatio
es et les exc
cette catégo
du circuit b
sources fin
neraient à c
dériver da
principalem
ment Stratégiq
18
s micro-
êtés ; la
ésidence
avant les
obtenus
us avons
EMF de
ui n’obéit
ent pas à
inent les
x micro-
ondaires
de, nous
comme
as le cas.
a fidélité
de prêt
sont des
il y a un
onnelles.
e plus et
ment des
tent plus
aire de la
nelle. Ce
on par la
clus. Cet
rie de la
bancaire
nancières
créer des
ans leurs
ment aux
que
pauvres
de servi
Ils doiv
montren
clients d
d’évalua
considé
Nous p
solution
microfin
s et qui acco
ice pour sat
vent innover
nt que des
de ces struc
ation et de
rablement é
ouvons nou
ns peut-on
nance ? »
ompagne les
tisfaire les b
r et se dépa
services co
ctures. Par
refonte de
élargi son r
us interroge
mettre en
s AGR et le
besoins spéc
artir unique
omplémenta
exemple la
produits re
rayonnemen
er en concl
œuvre pou
XXIV
es micro-en
cifique des
ement de l’
aires offerts
a Grameen
eposant sur
nt et a amél
lusion et ap
ur un vrai
Ve Conférence
treprises. Il
clients pauv
épargne et
s ont un im
Bank qui a
une analys
lioré sa viab
près les rés
contrôle de
Internationale
ls devraient
vres et acco
du crédit c
mpact très p
a réalisé un
se exhaustiv
bilité (Dow
sultats de c
es missions
e de Managem
élargir leur
ompagner le
car plusieur
positif sur l
n projet qua
ve de la clie
wla et Barua
e papier : «
s du secteu
ment Stratégiq
19
r gamme
es AGR.
rs études
les vrais
adriennal
entèle, a
a, 2006).
« quelles
ur de la
que
Référen Alexandmicrofin AMAF Forum (A ArmendEconom ArmendMA:MIT Armend ArmendPte. Ltd. Ashta AInterests Attali Jmicrofin Balkenhhttp://ww Battilancommerc Beck T.Impact, a Besley Tof Devel Bidubullieux des BlondeaTome 40 BuckleyDevelop CaramaCA : Sag Caren NCompara
nces
der-Tedeschnance more fl
(2008). DiagAMAF) et W
dáriz B. et Gmic Journal, V
dáriz B. et T Press.
dáriz B., Sza
dáriz B., La. New Jersey
A. et Hudon s from Banco
J., Arthus-Bnance contre
hol ww.inwent.org
na J. and Docial microfin
., Demirgüçand Policies
T. and Coatlopment Eco
la Juwa G. s mutuelles d
au N. (2006)05, pp.188-19
y G. (1997)pment 25(7).
ani, D. (2009ge.
N. and Panative Analys
hi G. (2006flexible? »
gnostic pourWomen’s Wo
Gollier C. (2Vol.110, No.
Morduch J
afarz A. (201
abie M. (201y
M. (2009). To Compartam
Bertrand Yla pauvreté,
Bernd g/ez/articles/07
orado S. (20nance Organi
-Kunt A. et», The Worl
e S. (1995). onomics, 46(
(2010). Micrde solidarité
). « La micr98.
). "Microfina
9). Introducti
nofsky A. (2sis.” Sociolo
6). « Here to
r l’action : Lorld Banking
2000). “Peer465 (July): 6
J. (2010). Th
11). On Miss
11). The Han
To Whom Shmos Case Stu
Y., De Liméditions Jean
(2079328/index.d
010). “Buildiization.“ Aca
t Honohan Pld Bank Rese
Group Lend1), 1–18.
rofinance, mau Sud-Kivu
rofinance : U
ance in Afr
ion à la méth
2005). “ TQogical Metho
XXIV
oday, gone
La Microfinag (WWB), 14
r Group Form632–643
he Economic
sion Drift in
ndbook of m
hould we be udy. Working
a P. (2007n-Claude Lat
008).de.shtml.
ng sustainabademy of Ma
P. (2009). « earch Observ
ding, Repaym
micro-assuranu, gbidjuwa@
Un outil de
rica: is it e
hode compar
QCA: A Metds and Resea
Ve Conférence
tomorrow:
ance en Afri43 p.
mation In A
cs of Micro
Microfinanc
microfinance,
Fair? Ethicag Paper, CEB
7). Voyage ttès.
Überfäl
ble hybrid organagement J
Access to Fver Advance
ment Incentiv
nce et [email protected].
développem
either the pr
rative avec a
thod for Adarch. 34(2):
Internationale
Can dynam
ique, Africa
n Adverse S
ofinance, 2d
ce Institution
World Scie
al Issues in BB, Brussels.
au cœur d’
llige
ganizations: ournal Vol. 5
Financial SerAccess, 27 p
ves and Soci
uration du m
ment durable
roblem of t
algèbre Bool
dding Tempo147-172.
e de Managem
mic incentiv
Microfinanc
Selection Mo
Edition, Ca
s.
entific Publis
Balancing Sta
’une révolut
Neuorie
the case of 53, No.6,141
rvices: Measp.
ial Collateral
milieu pauvre
? », Etudes
the solution.
léenne. Mille
orality to Qu
ment Stratégiq
20
ves make
ce Action
odel”,The
ambridge,
shing Co.
akeholder
tion : la
entierung.
19–1440
surement,
l. Journal
e Etat des
, 2009/9,
." World
e Chênes,
ualitative
que
CGAP, Efficace ChansonComparé ChristenLatin Amwww.cg ChristenLine: ImGroup to ChurchiOffice, G Cobac Cl’activité CopestaWorld D Creusotinstitutio Cull R. Econom Cull R.Profitabi Cull R.,Working Cull R.,Economi Cull R.,5078, W Daley-H Daley-HSummit De BruyPlateform Dewatrito missio
Consultativ pour Atteind
n G., Demiée en Scienc
n R.P. (2001merica, Occagap.org.
n R.P., Rosemplications foo Assist the P
ill C. (2006Geneva.
Commissioné de microfin
ake J., (2007Development
t A.C. et Pons interméd
et al. (2007mic Journal, 1
., Demirgüçility and Out
, Demigüc–Kg Paper 4630
Demirgüç-ic Perspectiv
Demirgüç-KWashington D
Harris S. (20
Harris S. (20Campaign, W
yne B. (2008me européen
ipont M., Jeons and acco
ve Group tdre les Objec
il B., Lecoces de gestion
1). Commercasional Pape
enberg R. eor the FuturePoor.
6). Protectin
n bancaire nance dans la
7). Mainstrea, n°35, 1721–
Poursat C. diaires », Rev
7). Financial 17(517), 107
ç-Kunt A. treach? », Fin
Kunt A. et M0, Washingto
Kunt A. et Mves, vol. 23, n
Kunt A. et MDC, Banque M
007). State of
009). State Washington,
8). Summarynne de la mic
ewitt I. et Tiountability of
to Assist thctives du Mi
cq X. et Sprn. Finance C
cialization aner No.5, Con
et Jayadeva e of Microfin
ng the Poor:
d’Afrique a CEMAC.
aming microfi–1738.
(2009). « Pvue Tiers Mo
performance7–133
et Morduchnancial Acce
Morduch J.on DC: World
Morduch J.no 1, p. 167-
Morduch J.Mondiale, 46
f the Microcr
of the Micro D.C., USA.
y of Social Pcrofinance.
role J. (1999f government
XXIV
e Poor (200llénaire pour
rimont P.Aontrôle Strat
nd Mission Dnsultative Gr
V. (2004).nance. Occas
A Microin
centrale (20
finance: Soci
Pour une mende, 2009/1,
e and outrea
h J. (2008)ess Initiative
(2008). Micd Bank.
. (2009a). « -192.
. (2009b). Ba6 p.
redit Summit
ocredit Sum
Performance
9). The econt agencies. R
Ve Conférence
03). La Micr le Développ
A. (2005). Latégie, 8, 29-5
Drift : The Trroup to Assis
Financial Insional Paper
nsurance Com
007). Enquê
ial performan
eilleure incl, n° 197, pp.
ach: A global
). « Does M(FAI), 43 p.
crofinance m
Microfinanc
anks and Mic
t Campaign R
mit Campaig
e Indicators
nomics of carReview of Ec
Internationale
crofinance epement ? No
a Place de l50
Transformatiost the Poore
nstitutions w8, Washingt
mpendium.
ête statistiqu
nce managem
lusion financ17-36.
l analysis of
Microfinance.
meets the mar
ce Meets the
crobanks, do
Report 2006
gn Report 2
Survey, Dial
reer concernsconomic Stud
e de Managem
est-elle une ote Focus N°
l'Analyse Qu
on of Microfst, Washingt
with a Doubleton DC: Con
Internationa
ue sur l’évol
ment or miss
cière : renf
f leading mic
e Regulation
rket. Policy
Market », Jo
ocument de t
.
009, the Mi
logue Europ
s, Part II: Apdies , 66(1),
ment Stratégiq
21
Stratégie 24.
ualitative
finance in ton, D.C,
e Bottom nsultative
al Labour
lution de
ion drift?
forcer les
crobanks.
n Curtail
Research
Journal of
travail no
icrocredit
péen n° 1,
pplication 199–217
que
Dewez Microfin Dichter Publishin BattilanCommer1440 Dowla ABloomfi DunfordMicrofin Dzaka l’expérieIII, 15p. Dzaka performades risqu2009. 17 Fouillet Revue du Fricke SFricke, S24-36. H Fidler Microfin Ghatak effect, E Ghosh SPaper 08 GonzaleEconom Guérin microfin Guérin et innova Guérin l’expérie
D. (2008). nance Institu
T. et Harpng.
na J. and Drcial Microfi
A., Barua Deld CT.
d, C. (2003nance voluti
T. et Biteence de la RD
T. (2009). ances des IMues. Papier p7pp.
C. et al. (2u Mauss, n°
Sr. VeronikSr. Veronika
Hamburg.
P. (1998). nance, Sustai
M. (2000). Economic Jou
S. and Van T8003, Depart
ez-Vega C. mics and Socio
I., Servet Jnance », Recm
I., Kamala Mations Paris/P
I., Palier Jence indienn
The Role tions, Dialog
er M. (2007
Dorado S. inance Organ
D. (2006). T
3). “The Hon, achievem
emo X. (2DC. 7ème CIF
EntrepreneMF féminineprovisoire pr
2007). « Le m29, 1er seme
ka osf (2011a osf (2011):
Bolivia: Ainable Banki
Screening byurnal, vol. 11
Tassel E. (20tment of Eco
et al. (199ology Occas
J.M. (2005). ma, n° 296, M
M.G., PairaPondichéry,
J. et Prévoe , Paris : Ed
of Socially gue Européen
7). What’s w
(2010). “Bunizations”, A
The poor alw
Holy Grail ments and ch
2004). MicroFEPME2004
euriat féminies au Congo résenté au C
microcrédit aestre, p. 329-
1). NachhaltNachhaltig
ssessing theing with the P
y the compa10, pp. 601–3
008). A Modonomics, Col
6). “Microfiional Paper N
« L’économMai.
ault Th.et SeKhartala, /IF
st B. (2009dition des Ar
XXIV
Responsiblen n° 1, Platef
wrong with m
uilding SustAcademy of
ways pay ba
of Microfinhallenges”, IT
ocrédit et en4, Montpellie
in, Coût d’iBrazaville:
Colloque de
au péril du n-350.
tig investiereinvestieren i
e PerformanPoor. Washin
any you keep31.
del of Missiolege of Busin
finance MarkNo. 2346, Th
mie solidaire
ervet J.-M. (FP/IRD
9). Femmes rchives Conte
Ve Conférence
e Investors forme Europ
microfinance
tainable HybManagemen
ack The Gr
nance: HelpTDG, Londo
ntrepreneuriaer 27-29 Octo
intermédiatioEntre recherCotonou sur
néolibéralism
en in Mikroin Mikrofina
nce of Banngton DC: W
p: joint liabil
on Drift in Mness, Florida
ket Niches he Ohio Stat
e entre le loc
(2006). Micro
et microfinaemporaines
Internationale
in the Socpéenne de la M
e? Warwicks
brid Organint Journal V
ameen II sto
ping the pon.
at féminin eobre, Univer
on dans les rche de la pr la Microfin
me et de mar
ofinanz? Erkanz, S Mensc
nco SolidariWorld Bank
ity lending a
Microfinance a Atlantic Un
and Client e University
cal et le glob
ofinance en A
ance, Espoir
e de Managem
cial PerformMicrofinanc
shire: Practic
zations the Vol. 53, No.
ory, Kumari
oor and sus
en Afrique crsité de Mont
prêts de gérennité et lnance, 7-9 D
rchands d'ill
kelenz Markechen, Heft 2
io. Case St
and the peer
Institutions. niversity.
Profiles In y.
bal : l’exem
Asie : entre t
rs et désillu
ment Stratégiq
22
mance of e.
ca Action
Case of 6, 1419–
ian Press
stainable:
centrale : tpellier I-
groupe et a gestion
Décembre
lusions »,
eting. In: /2010, S.
tudies in
selection
Working
Bolivia”,
mple de la
traditions
usions de
que
GutiérezInstitutio Gutiérezinstitutio HalpernCommer HashemInstitutio Helms BMondial Hermesinstitutio HolcomWiltshire HossainWashing Hulme D Hulme, Better Pr Hulme “Targetithe Poor Iserte M4 novem Jain S. Microfin Jeulefac Kablan intermed Labie M Labie MDévelop Lapenu secteur d
z-Nieto, B. ons, Nonprof
z-Nieto, B., ons”, Journal
n S. (2000).rcialization o
mi S. (2007). ons », Focus
B. (2006). Ale, 170 p.
N., Lensons », SSRN
be S. (1995)e, England: R
n M. (1988)gton DC: IFP
D. and Mosl
D. (2000), ractice”, Wor
D. and Mong the Ultrar and Poores
M. et Lapembre (2/2), CI
et Mansuri nance Progra
ck Nguimgo
S., (2012). Ediation financ
M. et Mees M
M., Lelart Mppement, Vol
C. et Dolinde la microfin
and Serranfit and Volun
Serrano-Cil of operation
Microfinanof Microfinan
« Beyond GNote, n° 41,
Access for Al
sink R., Mworking pap
). Managing Redwood Bo
. Credit forPRI
ley P. (1996)
“Impact Asrld Developm
oore K. (200a-poor” Progst: Concepts,
enu C. (20IRAD (www
G. (2003). ams.” Journa
N.-G. (2003
Efficacité decière.
M. (2005). « D
M., Montalieul. 38, No.152
ngez F. (20nance » in R
no-Cinca, C.ntary Sector
inca, C., Manal research
nce in the Nnce Institutio
Good Intentio, CGAP, Ma
ll : Building
Meesters A.per No. 1143
to empowerooks.
r Alleviation
). Finance Ag
sessment Mment, Vol. 28
08). “Assistigramme’, in Policies and
003). Indicatw.lamicrofina
A Little at al of Develop
3). Analyse d
es Institution
Du bon usag
u T. (2010).2, p.7-11, Av
007). « MesuRevue RECMA
XXIV
. (2008). FaQuarterly, to
armolinero, society, 60,
New Millennons, MicroFi
ons : Measuy, 12 p.
g Inclusive F
. (2008). « O3925.
r: The Gram
n of Rural P
gainst Pover
Methodologies8 No. 1, 79 –
ing the PoorA. Barrientod Practices,
teurs de peance.org).
a Time: Thepment Econo
du Financem
ns de microf
ge de l’approc
« Microfinavril.
ure des perfoMA, n° 304, pp
Ve Conférence
ctors Explaiome 36, n°3,
C. (2009). “pp 104-119.
nium: Efficieinance Netwo
uring the Soc
Financial Sy
Outreach an
meen Bank's e
Poverty: the
rty, volumes
s for Microf– 98.
rest in Bangos and D. HuLondon:Rou
erformances
Use of Regmics 72 (1):2
ment du Mond
finance en U
che commer
ance : le tem
formances sop. 46-62.
Internationale
ning the Ra 439-464.
“Social effici
ency, Customork, Washing
cial Performa
ystems, Wash
nd efficienc
experience o
Grameen B
1 and 2, Lon
finance: The
gladesh: Leaulme (eds), Sutledge.
sociales. É
gularly Sched253-79.
de Rural par
UEMOA: Un
ciale », Défis
mps de la mat
ociales : les
e de Managem
ating of Micr
iency in micr
mer Satisfacgton DC, US
ance of Micr
hington, DC
cy of micr
of poverty all
Bank in Ban
ndon: Routle
eory, Experi
arning from Social Prote
État des lieu
duled Repay
le Micro-Cré
e approche o
s Sud, (69), p
turité ? », M
implications
ment Stratégiq
23
rofinance
rofinance
ction and SA.
rofinance
, Banque
rofinance
leviation,
ngladesh,
edge
ence and
BRAC’s ection for
ux, BIM,
yments in
édit.
outreach-
p.11-13
Mondes en
s pour le
que
Marx ABenchm4, 138-5 McIntosEconomi Mendelset comm Merslanp.28-36. MicroBaInstitute Montgoin micro Morduc Morduc Nsabimaet la perf3, tome X Otero MPublicati Pletter R24-36. H Ragin, quantitat Ragin, C Ragin, CUniversi Ragin CPanofsky Reille XRéévaluaEtats-Un RemenyCountrie RobinsoDC: IBR
A. (2010). «marks for futu
8.
sh C. et Wics, vol. 78, p
son, E. (197mutation Circ
nd R. et Stro
anking Bul, Boulder, Co
mery R. (19-credit schem
ch J. (1999),
ch J. (2000).
ana A. (200formance deXLVIII, p. 2
M. and Rhions.
R. (2010). DHamburg.
C. (1987). tives. Berkel
C. (2000). En
C. (2008). Nité de Chicag
C. and Stray." Sociolog
X., Forster Sant Retours nis.
yi J. (1991). es. London, I
on M. (2001RD/The Worl
« Crisp-set qure csQCA ap
Wydick B. (2p. 271-298.
70). Le contouits. New Yo
om R.O. (20
lletin (1998)olorado issue
996). Disciplmes. Journal
« The Micro
“The Micro
09). « Articules institutions29-38.
hyne E. (19
Das Geschäft
La méthodeley, CA : l'Un
nsemble flou
Nouvelle congo Appuyer(P
and S. (200ical Methods
S., Rosas D. Financiers e
Where CredIntermediate
1). The Micrld Bank.
qualitative copplications »
2005). « Com
our(plan) de ork : McGraw
09). « Micro
). A publice n°2, july 19
lining or proof Internatio
ofinance Pro
ofinance Schi
lation Banqus de microfin
994). The N
auf Kredit. I
e comparativniversité de l
u Social Scien
nception d'enPresser).
08). Using Qs and Resear
(2011). “Invet Sociaux”,
dit is Due: IncTechnology
rofinance Re
XXIV
omparative ». Internation
mpetition an
Schaum de w-Hill.
ofinance Mis
ation of the998
otecting the ponal Develop
mise », JEL,
ism”, World
ues-Microfinnance », Refl
New World
In : enorm –
ve : Déplacla Californie
nce. Chicago
nquête social
QCA to Sturch 36:431
vestissement Note de Ce
come-Genery.
evolution: S
Ve Conférence
analysis (csnal Journal o
nd microfina
théorie et le
sion Drift »,
e Microfinan
poor? Avoidpment, Vol. 8
, vol. XXXV
Developmen
nance en Afrflets et perspe
d of Microe
Wirtschaft fü
cement au-de appuie(pres
o : Université
le : Ensembl
udy Causal
de Capital Éentre de CGA
ating Progra
ustainable F
Internationale
sQCA) and of Multiple R
ance », Jour
es problèmes
World Deve
nce Program
ding the socia8, No. 2.
VII, Decembe
nt,vol.28, n°4
rique : Impacectives de la
enterprise F
für den Mens
delà de stratsse).
é De Chicag
les flous et a
Order: Com
Étranger danAP N ° 71,
ammes for th
Finance for t
e de Managem
model specResearch App
rnal of Dev
d'algèbre B
elopment, vo
m at the Ec
al costs of p
er, p. 1569-1
4, pp.617-62
ct sur la gouvie économi
Finance, Lon
schen, Heft 2
tégies qualit
o appuie(pre
au-delà de. C
mment on C
ns MicrofinaWashington
he Poor in De
the Poor.Wa
ment Stratégiq
24
cification: proaches,
velopment
Booléenne
l.38, n°1,
conomics
peer press
614.
9.
uvernance ique, vol.
ndon: IT
2/2010, S.
tatives et
esse).
Chicago :
aren and
ances : en D.C, les
eveloping
ashington
que
Rogaly Bpoverty Roy D. de dével Rhyne EChalleng Seibel H Servet J Servet Jles inéga Servet J Schmidt Schuler transition25(4), 56 SimtoweEvidenceBanking Stiglitz J Terberg Thygesoanalysis Urgeghesociale » Walker WelthunProjekte Wolf Ml’économréseau G Woller GEconomi Woller Deepen
B. (1996). "MFormula." D
(2006). « Laloppement ».
E. (2009). Mges of the Ma
H.D. (2010).
J.M. (2003),
J.M. (2005).alités et faire
J.M. (2006).
t K. (2010):
S. et al. (19n: evidence 63-576.
e F., Phiri Ae from Joint
g, p.5-38.
J. (1990). Pe
ger E. (2002)
on N. M., Peand configu
e L. (2010).», Mondes en
C. (2002). «
ngerhilfe (2n der Welthu
fére. (2009)mie et les limGloblelics, Da
G., Dunnforic Developm
G. (2002). Outreach in
Micro-financDevelopment
a participatio.
Microfinancearket at the B
Lokale Vera
, La micro fin
« Le besoine face aux ris
. Banquiers a
Failed State
997). 'The inffrom a stud
A., Zeller Mt Liability L
eer monitorin
). Mikrofinan
eikes D., & urational com
« Les véhicn Développem
« Agrarian Ch
2011). Orienungerhilfe.
, La Microfimites de sonakar 6-8 Oct
rd C., Woodment, vol. 1, n
«From MarkMicrofinanc
ce Evangelismin Practice,
on et l’approp
e for BankeBottom of the
ankerung. htt
nance en Ind
n d’objectifs ques ». Tech
aux pieds nu
= Failed Sup
fluence of wdy of credit
M. (2006). «DLending Prog
ng an credit m
nzierung: Al
Zutshi A. (2mparative met
cules d’invement, vol. 38
hange, Gend
ntierungsrahm
inance au Con cadre juridtobre 2009.
dworth W. (1n°29, p. 30-6
ket Failure tce», Journal
XXIV
m, 'destitute vol. 6, no. 2,
priation dans
ers and Invee Pyramid, M
tp://www.inw
de, in CERIS
principaux nhniques Fina
s : la microfi
pport? (http:
women's chant programs a
Determinants grams», Mal
markets. Wo
llheilmittel g
2013). Mixedthods.
estissement e8/4, no 152, p
der and Land
men Mikrof
ongo-Brazzavdique et inst
1999). «Whe64.
to Marketinof Internatio
Ve Conférence
women,' and, pp. 100-112
s l’utilisation
estors : UndeMcGraw-Hill
went.org/ez/a
SE, p.2.
nouveaux poncières et Dé
inance. Paris
//othes.univi
nging roles aand contrace
of Moral Hlawi African
rld Bank Eco
gegen Armut
d methods: F
en microfinap. 69-82.
d Reform: A
finanz – Le
ville : sa contitutionnel. 7
ere to Microf
g Failure: Monal Develop
Internationale
d the Hard S2.
n de la micro
erstanding thl, New York
articles/1664
our la microféveloppemen
s, éd. Odile J
ie.ac.at/).
and status in eptive use',
azard in Micn Review of
onomic Revie
?
Fuzzy set qu
ance et le dé
South Africa
eitlinien für
ntribution dan7ième conféren
finance», Int
Market-Orienpment, vol. 14
e de Managem
elling of a N
ofinance com
he Opportunk, USA.
482/index.de.
finance : luttnt, pp. 12-20
Jacob, 511p.
Bangladesh'World Dev
crofinance: Ef Money Fin
ew,vol.4,pp.
ualitative com
éfi de la perf
an Case Stud
die Förder
ns le financnce internati
ternational J
ntation as th4, n°1, p. 30
ment Stratégiq
25
New Anti-
mme outil
nities and
.shtml.
ter contre .
s fertility elopment
Empirical ance and
351-366.
mparative
formance
dy »p. 71.
rung von
ement de ionale du
Journal of
he key to 5-324.
que