POUR LES SOCIÉTAIRES DE PARIS-JARDINS

SOMMAIRE

Février 2020 - N° 196

SOCIÉTÉ ANONYME COOPÉRATIVE PARIS-JARDINSBOULEVARD HENRI-BARBUSSE - 91210 DRAVEIL

TÉL. 01 69 42 30 22 - 01 69 42 61 79secretariat@paris-jardins.fr

OUVERTURE DU SECRÉTARIATdu lundi au vendredi 14 h - 17 h

le samedi matin 10 h - 12 hfermé le mercredi

Le mot du Président . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 1 Claude LEJARS

Commission Environnement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 2 Hervé ADAM

Commission Sécurité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 3 Claude LEJARS

Amis de l’Histoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 4-8 Jocelyne et Serge BIANCHI

Infos CLPJ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 9-10 Guy REMY

Commission Solidarité Intergénérations . . . . . . . . . . . . . P. 11-12 Aurore TZAREWSKY

Radio PJ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 13

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LE MOT DU PRESIDENTChères et Chers Péjistes,

Le 7 décembre 2019, le CA a pris acte de la démission au poste de Présidente deMélanie Pacheco qui a repris son activité professionnelle début janvier. Le CA m’aconfié cette responsabilité qui doit être assumée. Je salue le travail énergique deMélanie qui a, entre autre, permis de solder le dossier de mise à jour des Statuts etdu Règlement Intérieur. Encore merci d’ailleurs aux sociétaires qui ont aussi participéà ce travail de longue haleine. Mélanie reste au CA et m’épaule en tant que vice-pré-sidente. Les autres administrateurs, anciens et nouveaux venus, continuent leurtravail au profit de Paris-Jardins. Merci aussi à eux.

La gestion quotidienne est déjà prenante en elle-même et les 2 gros dossiers encours nécessitent encore beaucoup de travail et de patience.

Cinéma Orangerie : la mairie prépare encore la signature d’un bail emphytéotiqueavec Paris-Jardins. Des experts, des corps de métiers sont venus plusieurs fois sursite estimer le montant des travaux, les diagnostics ont été faits, les Domaines sontpassés. Les notaires des 2 parties planchent sur ce bail où chacune doit y trouver soncompte. Tout ceci est très long et complexe. Vous serez bien évidemment informésdès que nous aurons du concret.

Le réseau eaux usées : Nous avons rencontré les organismes détenteurs desfutures subventions. La société UP avec qui nous travaillons depuis le début desétudes, nous a fait une proposition de maîtrise d’œuvre. Nous avons été contactés etavons reçu une autre société nous proposant ses services. Parallèlement, nous ex-plorons une troisième solution auprès du SYAGE. Toute cette réflexion prend dutemps car nous ne pouvons pas nous tromper dans ce dossier extrêmement lourdfinancièrement et qui va s’étirer probablement sur deux décennies.

Par ailleurs, la mairie est informée de notre mécontentement sur le déploiement de lafibre optique même après une opération de pose complémentaire effectuée fin 2018.Des Péjistes ne peuvent pas encore en bénéficier (mais on peut aussi s’en passer !).Les plans qui nous été remis contiennent beaucoup d’erreurs. Notre seule contribu-tion est de faire suivre à la mairie les difficultés et impossibilités qui nous sontconnues.

L’expérience de gardiennage nocturne en fin d’année est très intéressante. Les rap-ports montrent une activité qui va du simple bavardage bruyant sous les fenêtres duChâteau aux personnes en état d’ébriété ailleurs. Des sachets de cannabis vides ontété trouvés.

L’expertise de l’ONF sur l’état de des arbres du domaine a montré la nécessité d’enabattre 26. Ce n’est pas de gaité de cœur d’y procéder mais la sécurité des prome-neurs prime sur tout. Les arbres dangereux à proximité du Sentier des Ecoliers se-ront abattus sous couvert de la mairie car ce chemin est très usité par les Draveillois.

12 ventes de lot ont eu lieu en 2019. Bienvenue à tous ces nouveaux sociétaires.Qu’ils n’hésitent pas à participer aux activités de Paris-Jardins organisées par CLPJet aux diverses Commissions indispensables au bon fonctionnement de Paris-Jardins. Quant aux partants, j’espère qu’ils garderont de bons souvenirs de leurséjour à Paris-Jardins.

A bientôt de vous rencontrer dans le domaine et à notre “Assemblée Générale du29 mars”

Claude LEJARS

COMMISSIONENVIRONNEMENT

Chères, chers sociétaires

Tout d’abord permettez-moi de vous souhaiter une heureuse année 2020 et que celle-ci soit un millésime noté : « 20/20 » !

La campagne élagage de notre domaine bien que traditionnelle a été particulière cetteannée, suite aux préconisations de l’ONF les abattages ont été plus nombreux qu’àl’accoutumée, de plus le travail de la société en charge de cette prestation a été rendudifficile par les grèves des transports. Cela sera susceptible de repousser un peu lesfins des campagnes élagages domaine/sociétaires.

Les nichoirs à mésanges ont eu un franc succès ! Je vous remercie toutes et tous d’yavoir manifesté un si grand intérêt ! une nouvelle commande sera à envisager.

Les pièges à frelons asiatiques ne vont pas tarder à arriver, toujours au secrétariat etau prix de 5 euros. Dès réception, comme pour les nichoirs, un mail vous sera envoyéavec les conseils d’installation.

Récemment un arbre a été planté à l’angle de l’allée de la perspective et de l’allée dela lanterne, il s’agit d’un savonnier, celui-ci remplace un arbre de Judée qui étaittombé en fin d’année 2018. Quelques lauriers palmes ont trouvé place le long del’allée de Villeneuve en remplacement de ceux qui avaient souffert suite aux forteschaleurs de l’été dernier. La place des vergers ainsi que le Parc aux Daims vont béné-ficier aussi cette année d’une attention particulière.

Comme précédemment évoqué dans les dernières lanternes, l’ONF peut aussi réali-ser un diagnostic d’un ou plusieurs arbres sur votre propriété. Vous trouverez unemercuriale de prix en accompagnement.

-2-Hervé ADAM

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COMMISSION SÉCURITÉBILAN 2019

Alors que s'est-il passé en 2019 ?

A part les incivilités habituelles (bruits, déchets, déjections), nous avons à déplorer2 cambriolages dont un avec arrestation quasi immédiate des auteurs.

Une nouveauté : un tagueur a laissé sa signature en multiples endroits le long duSentier des Ecoliers.

Durant la période de fortes chaleurs de cet été, beaucoup de personnes sont venues"prendre le frais" de jour comme de nuit dans notre parc et souvent sans discrétionpour le voisinage. Ceci nous a obligés à nous rapprocher encore une fois du commis-sariat pour signaler nos soucis. Nous avons été invités à participer à une réunionmensuelle avec des bailleurs sociaux, des copropriétés et autres structures rencon-trant aussi des difficultés avec des "perturbateurs".

Parallèlement, mi-août, nous avons recherché une société de gardiennage. 4 socié-tés ont été reçues et nous en avons retenu une qui a commencé sa prestation le23 septembre. Après un début prometteur, un des gardiens n'ayant pas respecté lecadre juridique de la profession a entraîné la cessation immédiate de la prestation lepremier octobre.

Une cinquième société nous a été recommandée et est venue prendre le relais le27 octobre, cette fois avec un grand professionnalisme.

Les gardiens ne restent pas autour du château et circulent à pied dans PJ. Ils délo-gent des voitures, des buveurs, mangeurs, fumeurs de produits plus ou moins licitesdans différents endroits du domaine. Leurs rapports ont montré une activité nocturnesurtout les WE et durant les congés de fin d'année. Depuis le calme est globalementrevenu pour 2 raisons : la fin des belles nuits et cette présence dissuasive unegrande partie de la nuit. Cette présence n'étant pas de 7j/7j on peut parfois consta-ter lors des nuits sans gardien le retour de "perturbateurs". La police continue sesrondes aléatoires et est prévenue de la présence de gardiens.

Cette expérience de gardiennage a un coût financier non négligeable. Elle a été pos-sible en cette fin d'année car différents budgets prévus n'ont pas été consommés.

Pour 2020, le CA et la Commission Sécurité doivent donc trouver le juste milieu entrece qui est supportable financièrement et ce qui est nécessaire pour maintenir le calmesurtout lors du retour des beaux jours.

CLPJ va contribuer à hauteur de ses possibilités financières à cette action.

Claude LEJARS

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Ancienne LanterneNous vous proposons un article d’Andrée Gircourt, publié en mai 84 dans la Lanternen°40 à l’occasion des 75 ans de Paris-Jardins.

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En 1912, Andrée Révillon habitait la maison du 32 allée de la Perspective. Elle semarie en 1918 avec Paul Gircourt, revenu de la guerre. Paul et Andrée ont vécu lacréation de Paris-Jardins, participant en particulier aux « Veillées » et aux « thés dan-sants » des dimanches après-midis, Paul au violon et Andrée au chocolat.

Leur fille Irène est née en juillet 1920 dans la maison de la Perspective, il y a presque100 ans !! Elle habite aujourd’hui la maison Place de l’Étoile que ses parents ont faitconstruire en 1931. En 1996, nous y avions célébré le centenaire d’Andrée.

ProjetsPour le Patrimoine 2020, nous préparons une exposition sur Jules Verne, avec despanneaux anciens (de 1996) et d’autres nouveaux, plus thématiques.

Nous projetons une visite d’une journée à Amiens, où Jules Verne a résidé, au moisde mai. Une information plus complète sera envoyée par le secrétariat, pour les socié-taires intéressés.

La brochure sur Paris-Jardins sous forme de livre-jeux, destinée plutôt aux enfants,prend forme. Elle sera disponible pour les journées du Patrimoine les 19 et 20 sep-tembre.

L’Orangerie d’hier et de demainL’Orangerie, attestée sur les plans de 1750, fait l’objet d’un projet de restauration deses salles de cinéma. Voici son histoire…

Jocelyne BIANCHI

Il était une fois l’Orangerie

L’Orangerie a été construite à partir de l’hiver 1740. Décrite dans les inventaires et ter-riers de 1755-56 et de 1777, il s’agit d’un bâtiment considérable, de près de50 mètres de longueur, éclairé par 14 fenêtres donnant sur la cour du château. Marinde la Haye y a fait placer 400 cloches de verre, pour des lauriers, des grenadiers, desœillets et des giroflées. Il y entrepose l’hiver 150 caisses de bois de chêne avec desorangers de toutes tailles. Mais ce patrimoine est menacé à la mort de Marin, en1753. En 1782, sont vendues les portes et les croisées de l’orangerie. Le bâtimentdemeure en place jusqu’à la vente du domaine à la coopérative Paris-Jardins en1911, mais dégradé, vidé de ses arbustes et de ses plantes.

La guerre de 14-18Pendant la Grande Guerre, l’Orangerie est réquisitionnée par des détachements demilitaires français, à titre d’entrepôt militaire. Les chevaux couchent dans le bâti-ment ; il leur faut de la paille, du combustible, de la nourriture. On apprend en sep-tembre 1919 que l’Orangerie a été vandalisée. Le sol est défoncé, 65 carreaux sontbrisés lors du retrait des troupes.

La « Maison de la culture »C’est alors que l’Orangerie va dès lors connaître des jours de gloire. Elle est restau-rée par la coopérative de construction L’Émancipatrice en 1919-1920, avec l’éclai-rage au gaz et l’eau sous pression. Dès 1920, les sociétaires peuvent visionner unfilm sur la tuberculose, par la fondation Rockefeller. Elle accueille les Veillées, près de300 adhérents, et les réunions de sociétaires, jusqu’à la crise des Supers. Les spec-tateurs disposent de 450 fauteuils. L’électricité est installée dès 1926.

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En 1930, l’Orangerie propose auxPéjistes trois films par mois, alternésavec les pièces de théâtre, lesrevues et les bals, sous la directiondes sociétaires Tsarewsky, Ruppé etCharrière. En 1934, une revue à suc-cès, Quand l’orange rit, fait l’objet decaricatures de la part de SissiWertheimer. En 1935, a lieu la pre-mière Exposition Artisanale etArtistique, avec 500 visiteurs. Pourla fête du Front populaire, en 1936,la deuxième exposition réunit 300

œuvres, 65 exposants dans cette « Maisonde la culture » de Paris-Jardins.

L’apogée du cinéma (1939-1983)Cet apogée est suivi d’une reconversion ensalle des Fêtes, liée aux faibles recettesgénérées par les manifestations artistiques.Le président Hazemann se résout à louerl’Orangerie, le 5 novembre 1938, pour unepériode de 9 ans, par une révision des sta-tuts (226 pour l’entreprise commerciale, 12contre). Elle est consentie à des gérants recommandés, les frères Zygas mais unique-ment pour des activités culturelles. Ils en font une salle indépendante, dès 1938,après avoir restauré le toit en tuiles rouges, pour éviter les fuites. Ils possédaient déjàune salle dès 1936, le Central, en face de la mairie. L’Orangerie ouvre ses portes auxspectateurs de Draveil en 1939. Mais les frères doivent quitter la commune pouréchapper à la répression antisémite, et cèdent le « Cinéma-Théâtre de l’Orangerie »à M. Darnault, le 20 novembre 1940. Monsieur Georges Paizy, lieutenant-colonel dugénie à la retraite, associé à M. Barrière, assure l’intérim jusqu’en 1948. Le présidentGrosperrin cède la location à Madame Rouxel, puis aux frères Zygas, de retour àDraveil, le 17 novembre 1948.

La réussite des frères Zygas est prouvée par l’augmentation de la fréquentation, jus-qu’en 1983. Ils vont chercher leurs films le mercredi chez les grandes sociétés,Gaumont et Pathé et réalisent en moyenne 300 000 entrées chaque année au début,soit près de 1700 places chaque semaine pour un prix d’entrée de 50 centimes en1939, et de 16 francs en 1980. En 1964, un permis de construire permet de modifierla façade, le hall et les sanitaires. Puis, on passe à 3 salles entre 1973 et 1977.Jacques Zygas a confié à Didier Druet en mai 2010, : « Pendant la séance étaientprojetés les actualités, un documentaire, des dessins animés et un court métrage.Pendant les entractes, on distribuait des tickets de sortie, et les spectateurs allaientmême boire au café, encore ouvert à l’époque à 22 heures ! les grands succès ontété les films français, comme La Grande vadrouille, les drames comme LesMisérables, et des films américains comme Les 10 Commandements, West SideStory et Autant en Emporte le vent. On refusait souvent du monde. Je me souviensde spectateurs particulièrement turbulents lors de La fièvre du samedi soir : ils ont toutcassé ! »

En 1983, l’Orangerie est le dernier cinéma fonctionnant à Draveil, après les fer-

Exposition de 1935 à l’Orangerie

Une représentation théâtrale dans les années 1920

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metures du Central et du Palace. Au départ des frères Zygas, le cinéma est repris parmadame Rolland, très dévouée, mais qui ne réalise plus que 80 000 entrées annuel-les, contre près de 300 000 auparavant. Elle reste pourtant gérante, indépendante,très appréciée par les Draveillois. Des travaux sont effectués en 1999, avant et aprèsla tempête. Les 3 salles ont alors une contenance de 121 places (salle 1), 152 places(salle 2) et 91 places (salle 3). La façade est à nouveau transformée en 2001-2002.

La peau de chagrin (1983-2017)L’Orangerie est ensuite reprise par un nouveau gérant, Michel Pouteau, qui fait appelau numérique. Mais il reste le seul gestionnaire indépendant sur le département,après des subventions pour le Calypso, à Juvisy et pour les Cinoches à Ris-Orangis.L’Orangerie n’a plus accueilli que 30 000 spectateurs pendant l’année 2015, alors qu’ilen faudrait le double pour que le cinéma reste viable. Des problèmes d’infiltrationd’eaux de pluies, d’égouts ont pu pénaliser l’exploitant. Mais ce dernier a refusé tousles rendez-vous pour y remédier, y compris avec une commission de sécurité com-prenant des représentants des pompiers, de la police, de la municipalité et de Paris-Jardins. En fait, le gérant a manqué une solution honorable à ses problèmes de tré-sorerie lorsqu’il a refusé une offre de subvention de la communauté d’agglomérationen 2010. Ses relations avec la municipalité, de campagnes en pétitions, se dégradentrapidement, entre 2008 et 2017. Le prix des places étant pratiquement le double decelui des salles subventionnées de Ris-Orangis, Montgeron et Viry-Châtillon, l’endet-tement ne cesse de croître, avec des retards des loyers dus à Paris-Jardins et dessalaires du projectionniste !

Le 1er septembre 2017, le cinéma est fermé sur l’affiche de La planète des singes :« Expulsion judiciaire ». Les scellés sont posés. Paris-Jardins gagne son procès.Mais le gérant réclame 1,5 millions d’euros de dédommagement à Paris-Jardins et àla ville, qui n’auraient pas réagi après la tempête de l’été 2017. En deux ans de fer-meture, la situation de l’Orangerie s’est ainsi brutalement dégradée. Le dernier ciné-ma indépendant de l’Essonne est-il condamné ?

Il faut sauver l’Orangerie…Le 13 octobre 2019, une assemblée générale ordinaire a permis de faire le point surle projet de sauvetage de l’Orangerie, mené conjointement par la municipalité et

Paris-Jardins. Le principe d’un bailemphytéotique d’une durée à déterminera été ratifié par les sociétaires. La muni-cipalité s’engagerait à restaurer le bâti-ment, à verser à Paris-Jardins un loyermensuel de l’ordre de 2600 euros, et àchercher un exploitant, en conservant àl’Orangerie sa fonction de cinéma.

Au cours de l’année 2020, L’Orangeriepourrait bientôt fêter dignement ses 280années d’existence aux services desdeux cultures, celle des plantes et desarbustes jusqu’en 1911, puis celle desspectacles et du cinéma jusqu’en 2017.Et quand l’Orange rit…

Serge BIANCHI

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L’Orangerie dans les années 1900

Une salle des fêtes avant le cinéma

Au temps du succès dans les années 1980 C’était la dernière séance « ? 2020

Vue côté Cour d’honneur 2020 C’est arrivé demain », la réouverture ?

INFOS... INFOS... INFOS... INFOS...

C L P J

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CULTURE ET LOISIRS DE PARIS-JARDINS

Un retour sur nos fêtes

Théâtre Le Devin NouveauLes 9-10 et 16-17 septembre 2019, la troupe théâtrale de Paris-Jardins a donnéquatre représentations dans notre Château.

Près de 400 personnes sont venues y assister et nous applaudir et nous les en remer-cions. C’est la récompense d’un travail de plus d’une année, entre l”écriture le choixdes chansons initiées par notre ami et metteur en scène Gérard Meissonnier et lesrépétitions.

Je pense que la troupe vous a fait passer un bon moment de divertissement ce quiest notre but recherché.

En ce qui concerne l’avenir un nouveau projet est en gestation. Toutefois nous nousdonnons un peu de répit avant d’entamer celui-ci. Nous vous tiendrons au courant lemoment venu

Guy REMY

INFOS... INFOS... INFOS... INFOS...

C L P J

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CULTURE ET LOISIRS DE PARIS-JARDINS

Noël des enfantsle 8 décembre 2019, l’Association a organisé avecl’aide quelques mamans le traditionnel Noël desEnfants.

A cette occasion, un spectacle de magie a eu lieudevant un parterre d’une trentaine d’enfants, ce quià notre goût nous a paru assez peu au vu de lasomme engagée.

A l’avenir, une concertation sera nécessaire entreles membres de l’association et les jeunes parentspour définir une nouvelle politique, voire une orga-nisation un peu différente, tout ceci reste à discuter.

Mais comme d’habitude pour les enfants présents,le Père Noël est apparu à la fin de la représentationet un goûter leur a été servi. Une belle après-midifestive.

Guy REMY

Illuminations 2020Le dimanche 12 janvier 2020, le parc s’est à nouveau illuminé pour le plaisir de tous.

Merci à tous et toutes les bénévoles qui se sont affairés pour placer les bougies.

Merci à la Chorale de Paris-Jardins qui a entonné quelques chants autour de laLanterne avant qu’un vin chaud et chocolat chaud réchauffe nos coeurs.

Rendez-vous l’année prochaine.Guy REMY

INFOS CLPJ

Veuillez noter que l’Assemblée Générale de CLPJ aura lieu le mardi 25 février2020 à 21 h dans le bar du Château.

Nous vous y attendons nombreux et nombreuses adhérents ou pas.

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COMMISSIONSOLIDARITÉ

INTERGÉNÉRATIONSLa commission Solidarité Intergénérations a organisé pour la première fois un carre-four des métiers, le dimanche 24 Novembre 2019.Plus d’une trentaine de péjistes ont répondu présents et ont présenté leur métier :avocat, ostéopathe, juriste, vétérinaire, expert-comptable, dentiste, diplomate, kinési-thérapeute, aiguilleur du ciel, détective privé, gestionnaire de risque, dessinateurindustriel, médecin, ingénieur, chef d’entreprise, professeur, hypnothérapeute…. Brefun véritable inventaire à la Prévert !

Même si les jeunes péjistes n’étaient pas très nombreux pour cette première édition,ce fut un vrai moment de découverte pour ceux présents car les intervenants étaientpassionnés par leur métier respectif. Nous avons vécu un vrai moment de partage etde découverte pour les petits mais aussi les grands !

Certains intervenants ont proposé de prendre des jeunes en stage, notamment dansle cadre de leur stage de 3e, et nous tenons à disposition un carnet avec toutes lescoordonnées des pejistes qui sont intervenus.

Un grand merci aux intervenants et nous espérons qu’une prochaine édition pourraavoir lieu dans les prochaines années !

Pour bien commencer l’année2020, la commission SolidaritéIntergénérations vous a proposéla traditionnelle galette des rois,accompagnée en musique parPhilippe FABRY et Gérard MEIS-SONNIER, et en chant parMichèle MAIROVITZ

En ce samedi 11 janvier, une cin-quantaine de pejistes ont pu

savourer la galette dans un espritconvivial et festif. Une manifestationplébiscitée par les plus anciens maispeu d’enfants étaient présents pourparticiper à ce moment d’échangefestif et gourmand !

Nous souhaiterions permettre auplus grand nombre de partager cemoment unique dans l’année, etsommes à l’écoute de vos attenteset idées !

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Pour poursuivre dans cette nouvelle décennie, nous vous proposerons très bientôtune visite du musée des Gobelins avec un repas dans un restaurant parisien ainsiqu’une conférence « Photos de Thomas PESQUET », le samedi 28 mars à 20 h auChâteau.

Conférence animée par un péjiste nouvellement arrivé : Gilles DAWIDOWICZ, quinous propose une sélection de clichés réalisés depuis l’espace avec leurs explica-tions et intérêt historique, géographique, politique et humain !

Nous espérons vous y voir nombreux pour partager ce moment qui s’annonce pas-sionnant !

La commission Solidarité Intergénérations vous proposera d’autres moments forts aucours de cette année : formation aux gestes d’urgences (Dès que nous auronstrouvé un prestataire qui accepte de venir faire la formation au château, à des tarifsraisonnables…), visite du domaine et conférence sur la biodiversité ainsi que diver-ses activités intergénérationnelles que vous souhaiteriez développer.

Mais la commission n’en oublie pas sa vocation solidaire et reste à votre écoute pourvous aider lors de difficultés ponctuelles.

Je vous rappelle que toutes les bonnes volontés sont les bienvenues, la prochaineréunion de la commission aura lieu le samedi 28 Mars à 14 h à la salle du CA.

Péjistement,Aurore TZAREWSKY

pour la Commission

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Ce journal a été tiré en nos locaux et imprimé sur du papier recyclé.Responsable de la publication : Claude LEJARS - Mise en pages : Guy REMY

RADIO P.J... RADIO P.J... RADIO P.J...Pavillons à vendre :- Maison 44, allée des Vergers

Contact : M. UZENAT 06.08.62.01.76

Nouveaux sociétaires :Monsieur et Madame CHETTOUH 2, allé des Vieux LierresMonsieur et Madame DI CREA 65, allée de la Cité NouvelleMonsieur et Madame COULON 31, allée des Deux CèdresMonsieur et Madame DAWIDOWICZ 19, allée de la PerspectiveMonsieur et Madame QUIN 2, allée de la Petite FermeMonsieur SAINTE et Madame RAMZEYER 38, allée de la Cité NouvelleMonsieur QUENTEL et Madame HOURS 18, allée de la PerspectiveMonsieur BOUCHERIE et Monsieur THEVENOT17, allée du Sud au Nord

INFOS :BABYSITTING :- LE BRETON Nanon 06 05 19 36 54 (33, allée des Vergers)- BERTIN Basile 06 95 11 26 80- GARCIA Christelle 06.50.74.05.17. garcia-christelle95hotmail.fr- PRADEAU Inès 06 27 14 51 03- Hugo VALENCY, étudiant, aisément joignable, disponible et fiable,

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