skwj bulletin 2 09
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SKWJ Bulletin 2009TRANSCRIPT
1 | skwj-bulletin 2/09
Liebe Mitglieder
Von Irène Dietschi
Das äussere Erscheinungsbild des SKWJ, unsere sogenannte Corporate Identity, er-lebt zurzeit ein Facelifting. Das vorliegen-de Bulletin erscheint zum ersten Mal im neuen Kleid und mit neuem Logo: modern, unverschnörkelt, luftig. Die Gestalter von Ritz & Häfliger aus Basel haben mit der Gradlinigkeit kluger Schönheitschirurgen die Schnitte angesetzt. Wir hoffen, dass Euch das Resultat gefällt, und bitten gleich-zeitig um Feedback, wenn Ihr Vorschläge für Verbesserungen habt.Unser Schwerpunkt in diesem Heft be-leuchtet das Verhältnis zwischen Journa-lismus und Public Relations – ein Thema, das uns schon oft beschäftigt hat und das sich in der Zeit des medialen Strukturwan-dels zum Dauerbrenner zu entwickeln scheint. Darf und soll ein PR-Büro, dessen Inhaber Aufgaben im öffentlichen Wissen-schaftsbetrieb der Schweiz wahrnimmt, die Wissenschaftsseite für das grösste Schwei-zer Pendlerblatt bestreiten? Ist es okay, wenn redaktionelle Stellen im Fernsehen oder bei einer Agentur mit Fremdmitteln, in diesem Fall aus Universitäts-Töpfen, finanziert werden? Die Grenze zwischen Journalismus und Public Relations brö-ckelt immer mehr. Wir vom SKWJ sind gefragt, diese Entwicklung mit kritischem Blick zu verfolgen und zu diskutieren. Am 2. September formiert sich in Lau-sanne offiziell die «section romande» un-seres Klubs. In der Vergangenheit gab es schon mehrere Versuche, die Kolleginnen und Kollegen aus der Westschweiz in den SKWJ einzubinden. Dass es diesmal ge-klappt hat, ist dem Engagement unsere Vor-standsmitglieds Olivier Dessibourg (Le Temps) zu verdanken: Über Monate hat er sich bemüht, Kontakte zu den Westschweizer
Bulletin2 | 09 SEPTEMBER 2009
www.science-journal ism.ch
Schweizer Klub für WissenschaftsjournalismusAssociation suisse du journalisme scientifiqueSwiss Association of Science Journalism
E D I T O R I A L
KollegInnen zu knüpfen. Und siehe da: Sie meldeten sich! Die Romandie ist alles an-dere als ein weisser Fleck des Wissen-schaftsjournalismus. Wir heissen die rund 40 neuen Mitglieder im SKWJ herzlich will-kommen und hoffen auf viel gegenseitigen Austausch, hüben wie drüben der Saane! Last but not least: An der GV vom 12. Juni 2009 habt Ihr mich zur neuen Präsi-dentin des SKWJ gewählt. Es ist mir eine grosse Freude und Ehre, dieses Amt von meinem Vorgänger Michael Breu überneh-men zu dürfen. Ich danke allen für das in mich gesetzte Vertrauen. Wenn ich den Blick Richtung Anfänge des SKWJ richte, überkommt mich ein fast ehrfurchtsvolles Gefühl, doch bei allem Respekt für die His-torie: Wir sind ein Klub, wie Thomas Mül-ler an der GV so treffend bemerkte. Wir sind keine «Vereinigung» oder «Gesellschaft» oder «Interessensgemeinschaft», sondern ein Klub, in dem es – neben den ernsten Themen – auch etwas informell zu und her gehen darf. Deshalb freue ich mich nicht nur darauf, die Geschäfte des SKWJ leiten zu dürfen; ich freue mich auch auf ein ins-pirierendes, lebendiges Klubleben!
Chers membres
L’image de l’Association suisse du jour-nalisme scientifique (ASJS) subit un lif-ting: le présent bulletin apparaît dans son nouveau layout, fruit du travail du bureau bâlois Ritz&Häfliger. Point fort de ce nu-méro : les frontières parfois ambigües en-tre journalisme et relations publiques. De plus, le 2 septembre à Lausanne s’est of-ficiellement constituée la « section roman-de » de l’ASJS, riche d’une quarantaine de membres, grâce à l’engagement d’Oli-vier Dessibourg (Le Temps), membre de notre comité. Enfin, lors de l’Assemblé Générale du 12 juin, vous m’avez choisie pour succéder à Michael Breu à la prési-dence de notre club (Klub en allemand, selon le nom de l’association). Ce qui si-gnifie qu’il peut y avoir à notre démarche un côté informel aussi. Je ne me réjouis donc pas uniquement de gérer nos affai-res, mais aussi de faire partie d’un club à la vie inspirante et vivante.
Irène Dietschi
Editorial .................................................1
Nouvelle Section romande .......................2
Visite à l’IDIAP ........................................3
Gefährdete Unabhängigkeit ................. 4–5
Collaboration Universités-TSR ..................6
«Das ist die Realität» ..............................7
Das Science Media Centre London ........ 8–9
Katsch ...................................................9
Filmen wie ein Profi ..............................11
SNF-Seminar 2009 .......................... 12–13
GV / Gesundheitsseminar 2009 ........ 15–19
Mutationen / Members ................... 20–23
I N H A L T / S O M M A I R E
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N O U V E L L E S E C T I O N R O M A N D E
Sciences dans les médias romands : la qualité est vertueuse !
La création d’un réseau de journalistes scientifiques en Suisse romande, asso-cié à celui existant en Suisse alémani-que, ne peut que permettre de montrer que le tissu médiatique romand s’enri-chit d’une pratique réfléchie et posée du journalisme scientifique.
Par Olivier Dessibourg
Chers nouveaux membres romands, En Allemagne, selon une étude récente, la place accordée à la science par la Fran-kfurter Allgemeine Zeitung, la Süddeuts-che Zeitung et Die Welt a augmenté de 48% entre les années 2003/04 et 2006/07. En Suisse alémanique, la même tendance est observée : des émissions de radio et de télévision ont été créées ces dernières an-nées, la science occupe de plus en plus de place. Pourquoi n’en serait-il pas de même en Suisse romande ? La musique est connue : le grand pu-blic semble s’intéresser aux questions scientifiques. Et le montre en participant en masse aux visites du CERN (75000 vi-siteurs en 2008), ou aux vifs débats sur la vaccination contre la rougeole. Pourtant, le traitement des questions scientifiques dans les médias romands est encore por-tion relativement congrue, et les réelles « rubriques scientifiques » restent des sec-teurs « nice to have », autrement dit « sym-pathiques » mais superflus par mauvais temps médiatique. Tout au plus la science (re)devient-elle intéressante, aux yeux des responsables des rédactions, lorsque qu’elle se trame de scandale, de polémi-que ou d’alarmisme – les trous noirs du CERN par exemple –, voire à l’inverse de sensationnel, de surprise ou de superficia-lité ludique. Loin de moi l’idée de dire qu’il ne faut pas user de ces canaux pour parler de scien ce : tout fil peut être bon à tirer. Il s’agit toute-fois d’éviter que nous, journalistes, soyons de simples faire-valoir de la recherche et des passe-plats de ses résultats. C’est pour discuter de ces questions que, depuis plus d’une année, quelques
journalistes scientifiques de Suisse ro-mande se sont réunis. Avec l’objectif de cibler les outils qui permettent de mieux décoder le flux croissant d’informations provenant du monde académique, les chercheurs saisissant désormais de mieux en mieux l’importance de la communica-tion. Et le but, surtout, de susciter des ré-flexions critiques sur les sujets scientifi-ques, de favoriser une juste pesée et une mise en perspective des découvertes. C’est à ces réflexions, chers nouveaux membres romands, que nous vous convions désor-mais aussi dans le cadre des activités de l’Association suisse du journalisme scien-tifique. Que ce soit lors des « crash-cour-ses » destinés à enrichir nos connaissan-ces de fond (comme celui consacré au thè-me « Nanotechnologies et santé » qui se tiendra le 11 septembre), lors des séminai-res de formation continue, lors des visites et voyages divers, ou lors de tout autre contact informel. La création d’un tel réseau en Suisse romande, associé à celui existant de nos collègues alémaniques, ne peut que contri-buer à montrer que le tissu médiatique s’enrichit de cette pratique posée et ré-fléchie du journalisme scientifique. La dy-namique globale ainsi créée dans les mé-dias romands n’en sera que profitable à tous. Quelques initiatives vont déjà dans ce sens, avec l’émission « Impatience » de RSR-La Première, qui a bien pris ses mar-ques, la page « Sciences » hebdomadaire conjointe de 24Heures et La Tribune de Genève, ou la page « Sciences » quoti-dienne lancée par Le TEMPS cet autom-ne. Mais surtout, chacun, à son échelle, dans son média, peut y contribuer. Comme il est désormais impensable qu’une rédaction ne dispose pas d’un ou plusieurs journalistes économiques, alors que ceux-ci étaient très rares il y a trois décennies, il y a alors des raisons d’espé-rer que, dans le monde hypertechno-scien-tifique dans lequel nous vivons, un traîte-ment de qualité de la science occupe à son tour dans la plupart des médias romands une place de plus en plus essentielle, cré-dible et appréciée des lecteurs, auditeurs et téléspectacteurs. Car, j’en suis convain-cu, la qualité est vertueuse.
Der Qualität verpflichtet
Ein Netzwerk der Wissenschaftsjournalisten in der Romandie, verbunden mit dem bestehenden SKWJ, bedeutet eine Bereicherung der Medienlandschaft. Wie neuere Untersuchungen aus Deutschland und der Schweiz zeigen, steigt der Anteil an redaktionellen Beiträgen aus dem Wissenschaftsbereich. Warum sollte das in der Romandie nicht auch möglich sein? Seit einem guten Jahr diskutiert einer Gruppe von Journalisten in der Westschweiz die nötigen Voraussetzungen, um die wachsende Informationsflut aus Wissenschaft und Forschung kompetent zu bearbeiten. Dies umso mehr, als bei den Forschern das Bewusstsein über die Bedeutung der Kommunikation wächst. Kritische Diskussionen in den Medien über wissenschaftliche Themen sollen gefördert werden. Forschungsergebnisse sollen gewichtet und in ihrer Bedeutung eingeordnet werden. Dazu tragen die Aktivitäten des ASJS bei, mit Crashkursen, Seminaren und wissenschaftlichen Ausflügen und Reisen. Eine auf Qualität ausgerichtete Arbeit der Journalisten im Bereich von Wissenschaft und Forschung wird von Lesern, Hörern und Zuschauern zweifellos geschätzt.
Olivier Dessibourg
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V I S I T E S C I E N T I F I Q U E
Les trois fondateurs de la start-up Klewel, qui développe des systèmes d’archivage des conférences. © Alain Herzog/FNS
Nouveaux modes d’interactions hommes-machines
Visite à l’Institut de recherches IDIAP à Martigny, qui abrite le Pôle de recher-ches national IM2
Par Emmanuel Barraud
A peine inscrits à l’Association suisse du journalisme scientifique (ASJS), et tous motivés, les Romands ont décidé de mettre en place, le 30 avril 2009, une première visite scientifique. Notre choix s’est porté sur un fleuron local: l’Institut de recherche IDIAP, à Martigny. Hervé Bourlard, son directeur, a accueilli les participants pour leur expliquer les compétences de son institut. Cellesci vont du traitement de données multimédia au développement de nouveaux modes d’interaction hommemachine, l’IDIAP hébergeant le Pôle de recherches national (PRN) IM2, dédié à ces recherches. Une salle de démonstration nous a permis, entre autres, de jouer à « Pong »... avec la tête. Dans le détail, cela signifie par exemple que les chercheurs de l’IDIAP développent des logiciels « intelligents », élaborés pour ne garder que les éléments essentiels d’un flot quelconque de données multimédia sons et images, donc. Nous avons pu nous installer dans une salle de conférence pourvue de nombreux micros et caméras, tous reliés à un gros ordinateur. Celuici a plusieurs tâches: non seulement il établit des statistiques des temps de parole ce qui permet notamment de déterminer qui « pilote » la conversation mais il est aussi capable de pratiquer une reconnaissance vocale sur les motsclés prononcés par les orateurs et générer des procèsverbaux automatiques. Selon des algorithmes toujours en évolution, qui permettront au fil du temps d’être de plus en plus fiables. « L’avantage, insiste Hervé Bourlard, c’est que tous ces éléments peuvent ensuite être indexés et apparaître dans les moteurs de recherche sur internet ». En parallèle, l’une des spinoff dont a accouché l’IDIAP pratique l’indexation automatique des diapositives présentées lors des conférences. Son équipe peut installer son matériel dans n’importe quel centre de congrès, filmer les diapositives en même temps que les discours sont enregistrés, puis les rendre disponibles « en parallèle » et avec indexation sur le net. Ce n’est là qu’un exemple des nombreuses startup qui sont nées de l’IDIAP, centre très orienté vers le transfert de technologies. Des visites de locaux et une « pitch session » de plusieurs de ces jeunes pousses ont conclu notre visite à l’IDIAP, ce qui a fini par donner une coloration peutêtre un peu trop commerciale à une journée où les intervenants auraient pu se permettre, au vu de ce public « choisi », d’aller un peu plus en profondeur dans la description des technologies à l’œuvre.A noter, encore, deux regrets qui ont marqué cette journée. D’abord, notre invitation n’a guère convaincu nos collègues alémaniques, que nous aurions souhaité voir nombreux parmi nous, et ce malgré la promesse d’une visite en anglais... et d’une dégustation d’excellents crus valaisans au terme de la journée. Ensuite, les hasards du calendrier ont voulu que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) décide de déclarer un état de quasipandémie la veille au soir, ce qui a mis sur la brèche une partie des journalistes inscrits... Au final, huit personnes (sur douze annoncées) ont pu assister à ce premier événement organisé par la section romande de l’ASJS.
Mais cela ne nous a en rien empêché de terminer la journée sur une note festive, en savourant des crus d’exception dans le carnotzet du truculent Philippe Gay, vigneron de la Cave de la Tulipe, à Fully.
Emmanuel Barraud est journaliste à « 24 heures »
Erste «gemeinsame» Reise
Bereits kurze Zeit nach dem Beitritt der Romands zum SKWJ war eine erste gemeinsame Veranstaltung geplant: Am 30. April der Besuch des IDIAP Research Instituts in Martigny. Dabei handelt es sich um eine unabhängige nonprofitStiftung, spezialisiert auf Forschung in den Bereichen «Interaktives Multimedia Information Management» bis zu neuen Formen der Interaktion MenschMaschine. Besucht wurde ein Raum, der mit zahlreichen Mikrofonen und Kameras ausgestattet war, die alle mit einem grossen Computer verbunden waren. Dieser hat verschiedene Aufgaben: es können etwa Statistiken über die Redezeiten an Konferenzen erstellt werden – was der Erkenntnis dient, wer tatsächlich ein Gespräch «führt». Der Computer dient weiter der Stimmerkennung, beruhend auf Schlüsselwörtern. Diese Technik ermöglicht es, automatische Protokolle erstellen. Der erhoffte Besuch von Mitgliedern aus der Deutschschweiz fiel leider dem SchweinegrippeAlarm zum Opfer.
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Gefährdete Unabhängigkeit
In der Krise zeigt sich ein neuer Trend: Vermehrt greifen Dritte – zum Beispiel der Staat oder Stiftungen – Wissenschaftsredaktionen unter die Arme, um diese zu entlasten und die Wissensvermittlung zu sichern. Dabei wird in Kauf genom-men, dass sich die Grenzen zwischen PR und Journalismus verwischen.
Von Hanna Wick
Im Darwin-Jahr 2009 sind die Theorien des berühmten Forschers in den Medien präsent wie selten zuvor. Vielleicht waren die darwinistischen Schlagworte am 6. Weltkongress der Wissenschaftsjournalisten Anfang Juli in London deshalb so im Schwang. Auch hier war – mit Bezug auf den eigenen Beruf – von bedrohten Arten die Rede, von der natürlichen Selektion, dem «survival of the fittest» und von der Suche nach der passenden Nische. Ganz offensichtlich leiden auch die Wissenschaftsjournalisten unter der finanziellen und strukturellen Medienkrise. Vor allem im angelsächsischen Raum sind im vergangenen Jahr zahlreiche Stellen gestrichen worden, etwa bei der «New York Times», oder beim Sender CNN, der seine ganze Wissenschaftsredaktion entlassen hat. Aber auch in der Schweiz und in Deutschland spüren die Wissenschaftsjournalisten den Spardruck. Wie Wissenschaftsjournalismus in Zukunft finanziert werden kann, war deshalb eine der drängendsten Fragen, die sich den rund 900 Kongressteilnehmern in London stellte.
Die Strategie der National Science FoundationIn den Diskussionen meldeten sich viele Journalisten mit dem Wunsch zu Wort, ihre Arbeit möge in Zukunft vom Staat bezahlt werden. Die Forschungsbehörden ihrerseits sehen den Abbau der Wissenschaftsberichterstattung mit Sorge und sind immer öfter bereit, in die Bresche zu springen. Ein Beispiel dafür ist die amerikanische National Science Foundation (NSF), die über einen beträchtlichen Teil der nichtmedizinischen Forschungsgelder der USA verfügt. Sie liefert neuerdings unter anderem wissenschaftliche Inhalte für das Nachrichtenmagazin «U.S. News & World Report» und kooperiert mit dem Wissenschaftsmagazin «Discover». Ausserdem hat die NSF den OnlineVideokanal «Science Nation» ins Leben gerufen, dessen Inhalte mehrheitlich von den entlassenen CNNWissenschaftsjournalisten produziert werden. Nicht alle Journalisten begrüssen diese Entwicklung. Immer wieder wurden am Kongress in London Stimmen laut, welche die Verwischung zwischen Journalismus und Public Relations kritisierten. Sie befürchten, der Wissenschaftsjournalismus könnte seine Unabhängigkeit verlieren. Jeff Nesbit, der Direktor der Abteilung für Public Affairs der NSF, anerkennt diese Problematik. Doch seine Organisation habe gar keine andere Wahl, wenn sie eine hochstehende Berichterstattung über Wissenschaft für die breite Bevölkerung gewährleisten wolle. Miles O’Brien, einer der entlassenen CNNJournalisten, wies ausserdem darauf hin, dass Fremdfinanzierung nichts Neues sei: Die Firma AT&T habe finanziell zum Aufbau der Wissenschaftsredaktion von CNN beigetragen.
Aktive Schweizer UniversitätenAuch in der Schweiz stellt sich die Frage, wie der Staat agieren soll, wenn er die Wissenschaftsberichterstattung gefährdet sieht oder diese fördern möchte. Offenbar verfolgen die Schweizer Universitäten eine ähnliche Strategie wie die NSF. So finanziert die Rektorenkonferenz – vorerst für zwei Jahre – die Stelle des Wissenschaftsredaktors bei der Schweizerischen Depeschenagentur mit. Und die Universitäten Genf, Neuenburg und Lausanne bezahlen eine Stelle, die soeben in der MultimediaRedaktion bei der Télévision Suisse Romande (TSR) neu geschaffen wurde. Aufgabe der – bereits gewählten – Stelleininhaberin ist es, wissenschaftliche Informationen der drei Universitäten so aufzubereiten, dass die TSR sie ohne grossen Aufwand in der Berichterstattung verwenden kann (als Texte, Videos, Grafiken etc).
J O U R N A L I S M U S U N D P R / J O U R N A L I S M E E T P R
Charles Darwin / Quelle: www.lib.utexas.edu
«Immer wieder wurden am Kongress in London Stimmen laut, welche die Verwischung zwischen Journalismus und Public Relations kritisierten.»
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Didier Raboud von der Pressestelle der Universität Genf sieht die Unabhängigkeit der TSRRedaktion dadurch nicht in Gefahr (siehe Seite 6). Schliesslich entscheide diese noch immer selbst darüber, ob und wie sie das zur Verfügung gestellte Material verwenden wolle. Anscheinend ist die Redaktion mit dieser Beurteilung aber nicht ganz einverstanden: Dem Vernehmen nach macht sich bereits Unmut über das neuartige Arrangement breit.
Eine Person, zwei RollenBesonders problematisch dürfte das Modell dann sein, wenn die TSRRedaktion einer Recherche nachgehen will, die für eine der drei Universitäten unangenehm ist. Wem hält die von den Unis bezahlte Kollegin dann die Treue? Ist sie neutral oder doch vielmehr ein «embedded spin doctor»? Ein ähnlicher Konflikt tut sich auf im Fall von 20 Minuten, das ab dem kommenden Herbst wöchentlich eine Wissenschaftsdoppelseite publizieren wird. Nach dem «Blick am Abend» hält die Wissenschaft damit Einzug in eine zweite Pendlerzeitung – eine begrüssenswerte Entwicklung. Die Seite wird allerdings nicht von 20Minuten finanziert, sondern von der GebertRüfStiftung und der MercatorStiftung, zu deren Hauptzwecken die Wissenschaftsförderung gehört. Gefüllt werden die Seiten von der Agentur scitecmedia unter der Leitung von Beat Glogger. Die Agentur arbeitet für verschiedene Arbeitgeber, darunter die Interpharma, und das Nationale Forschungsprogramm «Nutzen und Risiken der Freisetzung gentechnisch veränderter Pflanzen». Auch hier drängt sich die Frage auf, wie über Themen, die für diese Klienten kritisch sind, in 20 Minuten in Zukunft berichtet werden wird (siehe Seite 7).
Ohne Transparenz geht es nichtNatürlich sind solche Konflikte für unseren Berufstand nichts Neues. Insbesondere freie Journalisten kennen die Problematik nur zu gut. Ohne Aufträge von Firmen oder Behörden lässt sich nicht überleben, schon gar nicht heute, wo die Redaktionen die Honorare weiter zusammenstreichen. Manche Freischaffenden trennen ihr «PRIch» deshalb thematisch klar von ihrem «JournalistenIch» ab, schreiben PRTexte zum Beispiel nur über Biologie, Zeitungstexte nur über Computertechnik. Wo sich das nicht einrichten lässt, sollten Interessenkonflikte zumindest offengelegt werden. Das Gleiche gilt für Pressereisen, die von Unternehmen bezahlt werden. Denn das Publikum hat das Recht, über die Quellen von Informationen aufgeklärt zu werden.
Eine Kurzfassung dieses Artikels ist am 17. Juli in der NZZ erschienen.
Indépendance mise à mal
Avec la crise apparaît une nouvelle tendance : des tiers – par exemple l’Etat ou des fondations – viennent en aide aux rédactions scientifiques de certains médias, pour les décharger des soucis financiers et assurer la vulgarisation des savoirs. Un exemple ? La National Science Foundation américaine produit du contenu scientifique pour les magazines « U.S. News&World Report » et « Discover » ainsi pour que pour le canal de vidéos « Science Nation » : En Suisse, c’est la Conférence des recteurs des universités suisses (CRUS) qui finance depuis deux ans un poste de rédacteur scientifique au sein de l’Agence télégraphique suisse. Et récemment, les universités de Genève, Lausanne et Neuchâtel se sont mises ensemble pour payer un poste au sein de la rédaction multimédia de la Télévision Suisse Romande (TSR). Dès lors, les frontières entre les Relations publiques (PR) et le journalisme deviennent floue. Un cas similaire est observable au sein de la rédaction de « 20 Minuten », dont la nouvelle doublepage « Sciences » sera financée par les fondations GebertRüf et Mercator, et dont le contenu sera produit par l’agence de communication ScitecMedia.
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J O U R N A L I S M U S U N D P R / J O U R N A L I S M E E T P R
Collaboration active entre trois universités romandes et la TSR
Les trois universités de Genève, Lausanne et Neuchâtel ont engagé une personne, qui travaillerait au sein de la TSR. Elle devrait chercher et préparer des sujets ayant trait aux trois universitéset les livrer aux journalistes de la TSR. Elle serait payée par les trois Hautes-écoles.
Par Didier Raboud
La Télévision Suisse Romande (TSR) annonçait, en début d’année, le renforcement de sa collaboration avec les universités romandes. Cette nouvelle est révélatrice d’une modification des relations entre hautes écoles et média, due à l’évolution du monde de l’information. Depuis plusieurs années, les canaux de communication se multiplient. Les webradios et webtv fleurissent, la presse écrite occupe l’internet, les blogs prolifèrent, les journaux citoyens émergent. L’information est réceptionnée à la demande, sur des supports variés. Les exigences du public sont comblées par la diversité des technologies à disposition, offrant une palette allant du sms factuel au dossier thématique de fond. Or ces technologies sont à la portée de tous. Elles permettent la réception, mais aussi la production de contenus par chacun. Ceci entraîne une multiplication spectaculaire des sources d’information disponibles sur le web et, réciproquement, nous confronte à la question de leur pertinence et de leur validité. Une question qui peut être partiellement réglée par la connaissance que nous avons du mode fonctionnement du média électronique considéré, puisque la qualité d’une source d’information dépend de la façon dont ses contenus sont traités et validés. Des modes de travail très différents sont en mesure d’assurer la valeur des informations diffusées. D’un côté, nous avons le modèle classique qui a fait ses preuves. Il garantit la valeur des contenus proposés par celle de la politique rédactionnelle du média, conçue comme impartiale et indépendante, ainsi que par le professionnalisme de ses journalistes. De l’autre, nous avons un mode de fonctionnement totalement nouveau et caractéristique du web. C’est celui d’un média ouvert à tous, alimenté par une multitude de contributeurs, et dont la qualité doit être correctement assurée par un système de validation pyramidale. Ce fonctionnement participatif demande toutefois, pour être efficace, la coopération d’un grand nombre d’acteurs. L’intérêt de la collaboration entre les universités et la TSR tient à ce que, tout en s’inscrivant résolument dans le premier mode de fonctionnement, elle tire parti du second. Grâce au régime de la liberté académique, les universités produisent des savoirs aussi indépendants que possible. Elles se profilent aujourd’hui comme des sources de contenu crédibles, des contributeurs, capables d’offrir une matière dont le traitement avant diffusion est minimal. Le rapprochement ainsi opéré, redéfinissant les relations entre mondes médiatique et académique, est riche de promesses. Il permet d’imaginer offrir au public un regard sur l’actualité profitant autant de l’analyse journalistique que de l’approche critique que proposent les sciences. Un traitement de l’information qui pourra s’assumer à la fois synthétique et approfondi, instantané et historique. Le monde des média reste celui qui repère, qui analyse, qui priorise, qui traite et diffuse l’information. Le monde de l’académie devient celui qui offre une expertise quotidienne à tous les citoyens. Le projet de collaboration entre les universités romandes et la TSR a débuté sur tsrdecouverte.ch avec une série de forums par lesquels les chercheurs répondent directement au public sur des thématiques actuelles. Il se développera dans les prochains mois avec de nouvelles offres. Véritable terrain d’expérimentation, il devrait nous apprendre à mieux échanger et partager les savoirs.
Didier Raboud est le chef de la communication de l’Université de Genève.
«Grâce au régime de la liberté académique, les universités produisent des savoirs aussi indépendants que possible. »
Zusammenarbeit statt Unabhängigkeit?
Per Inserat haben die drei Universitäten Genf, Lausanne und Neuenburg einen Beauftragten für Information und Kommunikation gesucht. Die gesuchte Person soll an den Universitäten Themen und Stoffe suchen und so aufbereiten, dass sie direkt von den Journalisten der TSR übernommen werden können. Didier Raboud ist Chef der Kommunikation der Universität Genf und rechtfertigt dieses Vorgehen, das bei Journalisten Diskussionen auslöste.
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«Das ist die Realität!»
Die Agentur des SKWJ-Mitglieds Beat Glogger produziert ab Herbst für «20 Minuten» Wissenschaftsseiten. Finan-ziert werden sie von zwei Stiftungen.
Interview: Marcel HänggiDu bist Inhaber eines Kommunikati-onsbüros, bildest Journalisten aus, sitzt im Beirat der SCNAT, schreibst Roma-ne – und nennst dich Journalist. Bringst du das alles unter einen Hut?Beat Glogger: Es geht nicht darum, alles unter einen Hut zu bringen: Man kann auch verschiedene Hüte tragen. Es kommt nur darauf an, diese unterscheiden zu können. Ich glaube bewiesen zu haben, dass ich das kann.
Ab Herbst produziert dein Büro Scitec-Media für «20 Minuten» eine wöchent-liche Doppelseite Wissenschaft. Kannst du journalistische Unabhängigkeit ge-währleisten?Ja. Es gibt ein Redaktionsstatut, das festlegt, dass es keine Hidden Agenda gibt, keine versteckten PR oder sonstige Interessen, und dass keine Themen und keine Institutionen bevorzugt werden.
Wirklich? Die Wissenschaftsseiten von «20 Minuten» werden von zwei Stiftun-gen finanziert. Im Leitbild der einen heisst es, die von ihr unterstützten For-schungsprojekte sollten «für eine brei - tere Öffentlichkeit sichtbar» gemacht werden.Dieses Ziel strebt diese Stiftung mit anderen Aktivitäten an. Hier geht es um das gemeinsame Projekt der beiden Stiftungen Gebert Rüf und Mercator, die die Schweiz als Wissenschaftsstandort sichtbar machen wollen.
Gebert Rüf nennt als Stiftungszweck die Stärkung des Wirtschaftsstandorts Schweiz. Geht es darum – Wissenschaft im Dienste der Wirtschaft?Dazu wäre eine WissenschaftsDoppelseite in einer Pendlerzeitung kaum der richtige Weg. Hier geht es darum, Wissenschaft als etwas Spannendes, Interessantes darzustellen; um Faszination und Emotionen. Und dabei soll das Bewusstsein der Leser dafür
gefördert werden, dass wir eine Wissensnation sind. Unser Rohstoff ist die Intelligenz, aber dessen sind wir uns nicht bewusst.
Du bist Umsetzungsbeauftragter des NFP 59 «Chancen und Risiken gentech-nisch veränderter Organismen». Als sol-cher wirst du Resultate des Programms präsentieren, während gleichzeitig dein Team darüber berichtet. Geht das?Ich werde ja nicht selber schreiben. Ich schaffe einfach die Arbeitsplätze, und mein Team soll in grösstmöglicher journalistischer Freiheit arbeiten. Deine Frage ist, als würde man TamediaVerleger Coninx fragen, wie seine Zeitungen über Umweltthemen schreiben können, während er Geld mit Autoinseraten verdient.
Der «Tages-Anzeiger» wurde von der Automobilbranche jahrelang wegen ei-nes kritischen Artikels boykottiert…Dieser Fall beweist, dass man einer Zeitung nicht vorschreiben kann, was sie tun darf. Die Autobranche inseriert wieder.
2008 hast du als Journalist fast nur über ein Thema geschrieben: Gendoping. Dafür brachtest du deine Artikel sehr breit unter: in der «Zeit», in «Fit for Life» und sowohl im «Tagi» wie auch im «Magazin». Du machst sehr gute Promo für deinen Gendoping-Roman…Danke fürs Kompliment. Ich sehe da kein Problem. Gerade meine GendopingArtikel beweisen, dass es ohne verschiedene Auftraggeber nicht geht. Welcher freie Journalist hat denn Zeit, mehrere Monate lang zu recherchieren, wenn er dafür beim «Tagesanzeiger» 800 Fränkli kriegt? Die Redaktionen sehen offenbar kein Problem in meinem diversen Engagements. Die Idee für den einen Artikel kam vom «Magazin». Für den wurde ich prompt zum «Wissenschaftsjournalisten des Jahres» gewählt. Die Begründung der Jury: «Einer der Gründlichsten seiner Sparte».
In deinen Gendoping-Artikeln zitierst du aus einer Broschüre, die du selber im Auftrag des Bundesamtes für Sport verfasst hast. Ist das zulässig?Die Broschüre ist eine frei zugängliche Quelle. Jeder, der über das Thema schreibt, würde sie zitieren. – Ich finde es interes
sant, dass ausgerechnet ich immer kritisiert werde – der ich all meine möglichen Interessenkonflikte offen deklariere. Barbara Vonarburg, die im Tagi über Raumfahrt schrieb, war «Satellitengotte» der ESA und schrieb für einen bestimmten Satelliten PRArtikel.* Da sagt niemand etwas. Und kann ein Martin Läubli, der an jede Klimakonferenz geht, noch unabhängig über den Klimawandel schreiben? Wenn er auf einer Zeitungsseite IPCCGrafiken ohne journalistische Zusatzleistung wiedergibt, fragt auch niemand nach seinen Interessen. Oder wenn du im Auftrag der ETH ein Podium moderierst… Es ist alles graduell. Für mich heisst es: Wenn man alles deklariert, ist es sauber.
Tut das «20 Minuten»?Dort wird es einen Header geben: «Produced by ScitecMedia, Sponsored by Gebert Rüf Stiftung and Stiftung Mercator Schweiz». Lies doch «20 Minuten» mal richtig: Dort gibt es Seiten «Powered by Swisscontent». Hat schon mal jemand gefragt, was Swisscontent sonst noch alles tut? Keiner weiss, dass die ganze Wirtschaft von «20 Minuten» extern produziert wird. So ist die Realität! Aber wir Wissenschaftsjournalisten übertreiben es manchmal schon mit der Ethik. Wenn fest angestellte, gut bezahlte Redaktoren sich über die Vermischung der Interessen beklagen, ist das ein bisschen ein Luxuspro blem. Die mussten sich einfach nie auf dem freien Markt behaupten. Ich produziere lieber Wissenschaftsseiten mit Drittmitteln, als gar nichts zu produzieren und zu stempeln!*Barbara Vonarburg hält fest, sie habe als freie Journalistin Aufträge der ESA angenommen, jedoch nicht mehr für die ESA gearbeitet, als sie «Tages-Anzeiger»-Redaktorin war.
«C’est cela la réalité!»
L’agence de communication scientifique ScitecMedia de Beat Glogger, membre de longue date de l’ASJS, produira dès cet automne pour le gratuit alémanique «20 Minuten» des pages sciences hebdomadaires, ceci grâce au financement de deux fondations. Pratiquer du journalisme indépendant dans ces conditions estil possible ? Oui, répond Beat Glogger, pour autant que l’on porte indépendamment l’une de l’autre les deux casquettes possibles (journaliste ou communicateur), et que l’on déclare les éventuels conflits d’intérêt.
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B R I T I S C H E K O N T A K T B Ö R S E
Zwischen Lobbying und Information – das Science Media Centre in London
Das Science Media Centre in London sieht sich als eine Art Kontakt-Börse für Wissenschafter und Journalisten. Es hilft Medienschaffenden in Grossbritanni-en, kompetente Ansprechpartner zu finden, wenn Wissenschaftsthemen Schlag-zeilen machen. Gegründet 2002, wird es heute von vielen Journalisten regelmä-ssig genutzt. Die anfängliche Skepsis, was die Rolle des Zentrums betrifft, ist of-fenbar verebbt.
Von Hanna Wick
Freitagabend, 18 Uhr 37: Über den Nachrichtenticker trifft die Meldung ein, in Mexiko sei eine grosse Anzahl Menschen an einer neuen Variante der Schweinegrippe erkrankt. Erste Verdachtsfälle in Kalifornien werden erwähnt. Für Journalisten in den NewsMedien ist klar: Das müssen sie möglichst bald vermelden, am besten mit der Einschätzung eines heimischen Experten. Doch von der Gesundheitsbehörde ist niemand mehr zu erreichen und auch die Ansprechpersonen der Veterinärmedizin haben ihr Büro bereits fürs Wochenende verlassen. Da wünschte man sich die Handynummer eines kompetenten Experten, der bereit ist, einem rasch die wichtigsten Fragen zu beantworten. Genau diesen Wunsch können die Mitarbeiter des Science Media Centre in London unseren britischen Kollegen erfüllen – zumindest in den allermeisten Fällen. Denn sie haben eine nichtöffentliche Datenbank zur Verfügung, in der die Kontakte von derzeit 2000 Wissenschaftern und 900 Pressesprechern verzeichnet sind. Diese haben sich verpflichtet, Medienarbeit zu leisten, sollte ihre Expertise gefragt sein. Nach einer kurzen Abklärung wird die rettende Telefonnummer an den wartenden Journalisten weitergegeben. «Im Jahr 2008 hat das Zentrum zum Beispiel auf 26 Anfragen des BBC Programms «Today» geantwortet, auf 33 von der Times und 19 von der Daily Mail», sagt Will Greenacre, einer der sechs fest angestellten Mitarbeiter des Science Media Centre. Und auch die anderen nationalen Medienhäuser greifen gerne auf diesen Dienst des Zentrums zurück.
Zitate zum Copy-PastenDoch mit der PartnerBörse sind die Aufgaben des Science Media Centre noch nicht erschöpft: Es versendet auch Pressemitteilungen und Factsheets zu kontroversen Wissenschaftsthemen, die in den Nachrichten eine Rolle spielen. Typische Beispiele sind die Masernimpfung oder der Klimawandel. «Aber eigentlich machen wir alles, ausser Dinosauriern und Raumfahrt», sagt Greenacre. Diese beiden Bereiche würden in den Medien bereits sehr gut abgedeckt. Die Pressemitteilungen sollen Journalisten rasch einen Überblick über die wichtigsten Fakten und offenen Fragen aus Sicht der Wissenschaft geben. So entlastet das Science Media Centre die Journalisten. Bei der Schweinegrippe fragte es beispielsweise alle registrierten Journalisten per RundMail an, auf welche Fragen sie gerne eine Antwort hätten. Dann verschickte Greenacre einen editierten Fragenkatalog an eine Reihe von Forschern. Diese waren frei, nur auf ausgewählte Fragen zu antworten. Die gesammelten Antworten leitete das Zentrum dann direkt an alle Journalisten weiter – als pfannenfertige Zitate, mit der jeweiligen Quelle. Gehetzte Medienschaffende können die Zitate also einfach per CopyPaste in ihren Text einbauen, was laut Greenacre auch tatsächlich häufig gemacht wird, ähnlich wie bei Zitaten aus Agenturmeldungen. Anders als bei diesen weiss der Leser allerdings nicht, aus welchem Kanal die Information stammt. Das Science Media Centre wird nämlich nie als Quelle genannt, es will auch gar nicht als Quelle genannt werden. Für den Leser sieht es deshalb so aus, als habe der Journalist direkt mit dem Forscher gesprochen eine fragwürdige, aber beliebte Praxis. «Wir sind das einzige Pressebüro in Grossbritannien, das seinen eigenen Namen nicht anpreisen muss», erklärt Greenacre. «Das macht uns extrem populär.»
www.sciencemediacentre.org
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Schwindende Ressourcen schaffen BedarfManchmal findet man in Zeitungen Artikel, die fast ganz aus Zitaten vom Science Media Centre aufgebaut sind. Ein Beispiel: Nachdem die britische Tageszeitung The Independent am 22. April dieses Jahres auf ihrer Frontseite den umstrittenen Forscher Panayotis Zavos mit den Worten zitiert hatte: «I can clone a human being», meldeten sich unzählige aufgebrachte Forscher beim Science Media Centre. Dieses gab daraufhin eine Pressemeldung heraus, in dem die wichtigsten Kritikpunkte aufgelistet waren, mitsamt knackigen Zitaten von hochrangigen Experten. Am nächsten Tag zog der Independent mit einem Artikel unter dem Titel «Scientists and ethicists unite to attack doctor’s clone plan» nach, der fast nur aus diesen Zitaten bestand. Offenbar hatte der Journalist keine Zeit gehabt, noch weitere Stimmen einzuholen. Dieses Beispiel – es ist beileibe kein Einzelfall – macht deutlich: Hätten die Journalisten mehr Musse, bräuchten sie das Science Media Centre nicht. Fiona Fox, die Direktorin des Zentrums, drückt das so aus: «Wir sind ein Produkt der schwindenden Qualität im NewsJournalismus», sagt Fox. «Ich wünschte, wir wären überflüssig.» Auch die HintergrundGespräche über aktuellen Themen, die das Science Media Centre organisiert, sind eine Hilfe für Journalisten in Zeitnot. Sie bekommen innerhalb einer Stunde genügend Information für einen ganzen Artikel geliefert. 2008 hat das Zentrum 76 solche Briefings veranstaltet, mit durchschnittlich 10 Teilnehmern aus nationalen Medienhäusern. Über gut 90 Prozent der Veranstaltungen wurde anschliessend in den Medien berichtet, im Schnitt in jeweils 6 Beträgen. Nicht immer fällt die Berichterstattung allerdings zur Zufriedenheit des Science Media Centre aus. So titelte der Daily Express nach einem Briefing im April über Energiesparlampen auf der Frontpage: «Dangers of low energy lightbulbs: They contain poisonous mercury powder.» Der Text enthielt mehrere Fehler und gab den Inhalt des Briefings laut Greenacre nicht korrekt wieder. Fiona Fox protestierte mit einem Brief, der auch in die Hände anderer Zeitungen gelangte. Diese schlachteten den Fehltritt des Express genüsslich aus. Von der Verteilerliste für Einladungen und Pressemitteilungen wurde der Daily Express aber nicht gestrichen, das widerspräche den Grundsätzen des Science Media Centre. Dennoch musste sich Fox anschliessend unangenehme Fragen gefallen lassen: Ob es wirklich die Rolle des Zentrums sei, einzelne Journalisten abzumahnen? Ob diese Einflussnahme nicht zu weit gehe? Fox begründete ihren Protest damit, dass es für die Forscher unfair sei, sich nach einem Briefing so verzerrt in der Zeitung wieder zu finden.
Ein Kind der BSE-KriseDiese Rücksichtnahme auf die Gefühle der Wissenschafter ist durch die Geschichte des Science Media Centre zu erklären. Laut Fox begann alles mit der BSEKrise Ende der 1980er Jahre: Unvorsichtige Äusserungen einiger Forscher beeinträchtigten damals das Vertrauen der britischen Bevölkerung in die Wissenschaft, das ihr zuvor so sicher gewesen war. Das Ansehen von Forschern schwand, sie wurden karikiert und verlacht. Die Mehrheit der Wissenschafter in Grossbritannien zog sich daraufhin aus dem Dialog mit der Öffentlichkeit zurück. Man wollte sich die Finger nicht verbrennen. Bei den Debatten über genmodifizierte Pflanzen und die MMRImpfung überliess man anderen das Feld – sehr zum Ungemach der Politik. 1999 hielt ein Komitee des britischen Oberhauses in einem Bericht fest, dass die Kommunikation der Wissenschaft im Königreich dringend offener und positiver werden müsse.
2002 wurde deshalb das Science Media Centre ins Leben gerufen. Um die Unabhängigkeit zu wahren, darf keiner der über 70 Geldgeber mehr als 5 Prozent zum jährlichen Etat des Science Media Centre von 400 000 Pfund beitragen. Zu den Sponsoren gehören nicht nur grosse Firmen aus unterschiedlichsten Branchen, sondern auch das Magazin «Nature», mehrere britische Zeitungsverlage und zahlreiche Forschungsinstitute.
K L A T S C H / E N B R E F
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Wenn es um Abschiedsgeschenke geht, herrscht oft Ratlosigkeit: Fussball oder Reisegutschein? Oder doch lieber was für die ganze Familie? Derartigen Recher-chen führen manchmal zu überraschen-den Entdeckungen. So ging es auch mit dem Dankeschön an Präsident Michael Breu – er entpuppte sich nicht etwa als Fussballer, sondern als Hitchcock-Fan. Da kam die brandneue Edition von Fil-men des Meisters des suspense gerade zum richtigen Zeitpunkt auf Markt. Ob Mi-chael die noch vor der Abreise zum MIT geniessen konnte?
Nicht zuviel versprochen hat Thomas Müller an der GV, als er die Präsentation des neuen Klubauftritts mit «coming soon» schloss: Dem jetzt schon neu ge-stalteten Bulletin folgt demnächst auch der neue Webauftritt, den Christian Heuss gerade vorbereitet.
«Welcome back» heisst es am Leutschen-bach, wenn Barbara Vonarburg dem-nächst für acht Monate zu 3sat nano stösst. Viele Jahre war sie MTW-Redaktorin, be-vor der Tagi sie abwarb – und sie jetzt ge-hen lässt. Sie vertritt Reto Vetterli, der in der nano-Pause als Produzent die Sen-dungen «Kairo-Kapstadt» betreuen wird.
Wieder einmal ist das Thema des Gesund-heitsseminars topaktuell: «Braindoping». Wer sich speziell darauf vorbereiten will, kann im Magazin No. 33 den Erlebnisbe-richt von Birgit Schmid über ihre «Woche mit Ritalin» lesen. Macht nachdenklich.
Der «Jungfrau Klimaguide» ist aus An-lass des 175-jährigen Jubiläums der Uni-versität Bern entstanden. Er stammt aus der Küche von «Texetera» – und dahinter steckt bekanntlich Erik Thurnherr. Spezi-alisten der Universität Bern präsentieren auf sieben Pfaden die Anzeichen des Wan-dels in der Jungfrauregion. Ein Beispiel attraktiver Aufbereitung neuester For-schungsresultate. Für Erik Thurnherr ist sein jüngstes Projekt das bisher innova-tivste. Interessiert? Eine reduzierte Versi-on des Klimaguides kann aufs iPhone ge-laden werden.
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Tatkräftige Aufbauhilfe leistete Baroness Greenfield, die Direktorin der Royal Institution of Great Britain, in deren prunkvollem Gebäude im exklusiven Stadtteil Mayfair das Science Media Centre heute eingemietet ist. Fox legt allerdings grossen Wert darauf, dass ihr Zentrum nicht «Greenfield’s pressoffice» sei. Dies, obwohl dem Science Media Centre eine ideelle Nähe zur Royal Institution kaum abgesprochen werden kann. Beide sind der Förderung Evidenzbasierter Wissenschaft verpflichtet und vertreten bei der Interpretation von Forschungsresultaten die Meinung der Forschermehrheit, verfolgen also eine Agenda. Das hat schon öfters zu Kritik Anlass gegeben, etwa als das Science Media Centre eine Mitteilung verschickte, in der zahlreiche Wissenschafter Stellung für die Atomkraft bezogen und die Forderung nach neuen AKWs klar unterstützten. Auch beim Thema «Genmanipulierte Organismen» wurde dem Zentrum schon öfter Parteinahme vorgeworfen. Es lasse nicht alle zentralen Forscher zu Wort kommen und vertrete im Wesentlichen die Wissenschaftspolitik der Regierung. Darauf erwidert Fox: «Wir vertreten die Meinung der Mehrheit aller Wissenschafter, den Mainstream. Ist ein Thema auch unter Forschern umstritten, machen wir das deutlich und geben beiden Lagern eine Plattform. Sind es nur einige Aussenseiter, die eine andere Meinung haben, dann halten wir Normalfall dagegen.» Dies gilt es für Journalisten zu bedenken, wenn sie auf Informationen vom Science Media Centre zurückgreifen.
Mehrfach kopiertes KonzeptDer Erfolg zeigt, dass Journalisten und Forscher dem Zentrum prinzipiell grosses Vertrauen entgegenbringen. Das war nicht immer so, erzählt Fox. Zu Beginn hagelte es auf der Website der Association of British Science Writers (ABSW) Kritik. Heute ist die Verbindung mit der ABSW freundlich, wenn auch nicht besonders eng. Deren neue Präsidentin, Natasha Loder vom Economist, hält das Science Media Centre für sehr nützlich, obwohl sie anfänglich enorm skeptisch gewesen sei, wie sie im Gespräch einräumt. Das Konzept ist so erfolgreich, dass es bereits in Neuseeland und Australien kopiert wurde. Auch in Kanada ist ein Science Media Centre im Aufbau; in Südafrika, Uganda und Nigeria wird darüber nachgedacht. Und bald könnten es noch mehr werden. An der 6. World Conference of Science Journalism in London Anfang Juli war eine Session nämlich dem Thema gewidmet: «How to start up a science media centre... and keep it running in top gear».
B R I T I S C H E K O N T A K T B Ö R S E
«Ist ein Thema auch unter Forschern umstritten, machen wir das deutlich und geben beiden Lagern eine Plattform.»
Entre lobbyisme et information: le Science Media Center de Londres
Le Science Media Center de Londres, créé en 2002, se veut être une sorte de « boîte à contacts » : il aide les journalistes à trouver des interlocuteurs compétents pour discuter des thèmes qui font les gros titres, comme l’apparition de la grippe A(H1N1). Même les collaborateurs des médias de référence, comme la BBC ou The Economist, font appel à ses services fréquemment. Le Science Media Center travaille aussi en amont : ainsi dans le cas de la grippe A(H1N1), il a demandé aux journalistes quelles étaient toutes les questions auxquelles ils souhaitaient avoir des réponses, puis a adressé ces questions à plusieurs chercheurs, qui étaient libres d’y répondre selon leurs compétences. Leurs citations pouvaient alors être utilisées par les journalistes. S’il a suscité scepticisme et crainte de lobbyisme lors de son lancement, le concept à désormais convaincu les journalistes britanniques. A tel point qu’il a été repris dans d’autres pays (Australie, Canada, Afrique du Sud, Nigeria).
Royal Institution of Great Britain / www.wickipedie.org
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H A N D W E R K
Filmen wie ein ProfiVon Michael Breu
Medienkonvergenz und Multimedia sind Stichworte, die in der Journalistenwelt kontrovers diskutiert werden. Nicht alle sind begeistert von den neuesten Entwicklungen, vor allem ältere Journalisten befürchten, dass der ganze Berufsstand Schiffbruch erleiden wird. Der SKWJ hat an seiner letzten Frühjahrestagung das Thema aufgenommen und in den Mittelpunkt gestellt. Auch die Gewerkschaften haben reagiert und zusammen mit dem Institut für Angewandte Medienwissenschaft der ZHAW, dem Medieninstitut, dem Bakom und der SRG für die Zeitschrift «message» eine WerkstattAusgabe mit dem Titel «Multimedial erzählen» produziert (Ausgabe 1/2009). «Zuerst ist und bleibt der Journalismus – aber die Konvergenz bietet zusätzliche Chancen», schreibt Frank Hänecke, MAZStudienleiter, im zitierten Magazin. Die wohl grössten Veränderungen (und Chancen) werden Journalisten erleben, die neben Printartikeln auch TVBeiträge produzieren müssen (wie bei 20minuten bereits der Fall). Doch keine Angst: Das Fernsehhandwerk ist lernbar. Die deutsche Videojournalistin Sabine Streich (ARD/ZDF) hat in der Reihe «Praktischer Journalismus» des UVKVerlags ein Buch aufgelegt, dass über 12 Level in die praktische Arbeit einführt. Die ersten Kapitel vermitteln eine Einführung in die technischen Grundlagen – von der Kamerahaltung über die Einstellungsgrössen bis zur 5ShotRegel. Ab Level 5 wird der Leser Schritt für Schritt zum fertigen Fernsehbeitrag geführt. Das Buch «Videojournalismus» ist verständlich geschrieben, und die zahlreichen Beispiele und Interviews geben einen guten Einblick in das Arbeitsleben eines Videojournalisten. Eine gute Ergänzung zum Buch ist der Videoguide «Filmen wie ein Profi» von SF Wissen. Das MultimediaProdukt des Schweizer Fernsehens kann im Internet abgerufen werden, wird aber auch von Sony beim Kauf von jeder neuen Consumerkamera gratis abgegeben. Beim Schweizer Fernsehen werden mehrheitlich SonyKameras für VJEinsätze eingesetzt; im Buch von Sabine Streich werden Kameras von Panasonic und Canon vorgestellt. Doch die wichtigsten Handgriffe (NDFilter, Umstellung AutofokusManuell, PushAutoEinstellung etc.) sind bei allen Kameratypen die gleichen – also auch hier: keine Angst! Bei meiner letzten Diskussion über den künftigen Einsatz von VJKameras in der Wissenschaftsberichterstattung wurde ich noch belächelt, als ich von den grossen Chancen sprach. Heute setzen wir unsere VJKamera – eine Sony Z7 – regelmässig ein, für Langzeitbeobachtungen im Labor, für aktuelle Stücke oder für Reportagen aus dem Ausland
Filmer comme un pro
Convergence des médias, multimédias: des motsclé pour autant de concepts qui sont régulièrement remis en question parmi les journalistes, notamment les anciennes générations. Un exemple ? Les journalistes « print » qui doivent aussi réaliser des vidéos, comme c’est le cas chez « 20 Minuten ». A ce sujet, un livre en 12 leçons en allemand, « Praktischer Journalismus » de Sabine Streich, permet de se former simplement aux concepts de base du vidéojournalisme. De plus, le vidéoguide « Filmen wie ein Profi », produit par SF Wissen (section sciences de la télévision alémanique) et disponible sur Internet, complète bien ce livre.
Die Evolution des Journalisten zum Videojournalisten / Quelle: SF
(ich produziere im Moment einen Dokfilm nur mit einer VJKamera). Also, Scheuklappen ablegen und das Trainingsbuch studieren, denn das Filmen macht Spass!
Sabine Streich: «Videojournalismus. Ein Trainingshandbuch», Reihe Praktischer Journalismus, UVKVerlag, Konstanz 2008 (sFr. 44.–; http://www.uvk.de/). Der SFGuide ist online abrufbar unter: http://www.sf.tv/sfwissen/manualx.php?catid=sfwissenmanualx&docid=1
«Eine gute Ergänzung zum Buch ist der Videoguide ‹Filmen wie ein Profi› von SF Wissen.»
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S N F - S E M I N A R 2 0 0 9
«Ich halte Newsrooms für einen Hype»
Am 19. Mai fand in Zürich das diesjährige SNF-Seminar des Klubs statt: «Der multimediale Journalist – Medien-Konvergenz: Chance oder Schock?». Kenner aus Forschung und Praxis diskutierten darüber, ob die Journalisten in Zukunft Alleskönner sein müssen.
Von Patrick Imhasly
Multimediale Inhalte werden immer wichtiger. Und Zeitungsverlage, aber auch Radios und Fernsehanstalten, werden zu Multimediahäusern. Zu Produktionsstätten von Inhalten, die den Konsumenten oft gleichzeitig auf verschiedenen Plattformen angeboten werden, weil diese das so wünschen – gedruckt auf Papier, elektronisch oder im Internet. «MedienKonvergenz» heisst das Schlagwort. Doch was bedeutet das konkret für die Journalisten – insbesondere die Wissenschaftsjournalisten , ihren Arbeitsalltag und ihr Selbstverständnis? Solchen Fragen ging das diesjährige SNFSeminar am 19. Mai 2009 im WTC und im Schweizer Fernsehen in Zürich Oerlikon nach. Geladen waren illustre Referenten aus Deutschland, die sich seit Jahren auf unterschiedlichen Ebenen mit dem Thema «MedienKonvergenz» auseinandersetzen. Organisiert wurde das Seminar von Mürra Zabel und Christian Heuss vom Vorstand des Klubs für Wissenschaftsjournalismus, die Finanzierung erfolgte in verdankenswerter Weise einmal mehr durch den Schweizerischen Nationalfonds.
Personalisierte statt Massenmedien«Der klassische Medienbegriff verliert zunehmend seine Bedeutung» erklärte Peter Wippermann, Professor für Kommunikationsdesign an der Folkwang Hochschule Essen und Mitbegründer einer Agentur für Mediendesign und Medienmarketing. Noch vor zehn Jahren habe der Verleger Christian DuMont verkündet, «in zehn Jahren ist Google tot», jetzt baue der Internetkonzern eines seiner vielen neuen Datenzentren ausgerechnet in einer unrentabel gewordenen Papierfabrik in Finnland. Damit veranschaulichte Wippermann eindrücklich, wie sich die Hoheit über die Informationen von den Zeitungen ins Internet verlagert hat.
« Je considère que les newsrooms, c’est du vent »
Le 19 mai s’est tenu à Zurich le séminaire de l’ASJS coorganisé avec le FNS, sur le thème « Journaliste multimedia – convergence des médias: chance ou désarroi ? » Plusieurs experts se sont exprimés. « Le concept classique des médias perd de plus en plus de sa signification, estime Peter Wippermann. Aujourd’hui, ce qui compte, ce ne sont plus les massmédias, mais les médias personnalisés ». Pour le professeur de design de la communication à Essen (Allemagne), le micropaiement, plutôt que des abonnements fixes, est le nouveau modèle d’affaire. De son côté, Klaus Meier, professeur de journalistique à la Haute école de Darmstadt, juge qu’il n’y a pas de modèletype pour la convergence de médias. Et c’est aux journalistes de s’adapter selon la configuration choisie. Enfin, Hogler Dambeck, de la rédaction scientifique online du Spiegel, s’est voulu provocateur en disant que « les newsrooms, c’est du vent. ». Selon lui, les mails ou les coups de téléphones restent les meilleurs moyens, dans une rédaction, de décider à travers quel canal (print, web, audio, etc.) sera diffusé chaque information.
Die Online-Redaktion im Schweizer Fernsehen / Foto: Claudia Steiner
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Der Grund für diese Entwicklung ist laut Wippermann letztlich darin zu finden, dass sich die Mediennutzung besonders der jungen Menschen verändert hat – und zwar unwiderruflich. «Heute zählen nicht mehr die Massenmedien, sondern die personalisierten Medien», sagte Wippermann. Neben all dem was Google bereit stellt, sind das zum Beispiel auf die Bedürfnisse des einzelnen zugeschnittene und jederzeit verfügbare Informationen aus sozialen Netzwerken wie Facebook. Glaubt man Wippermann, bleibt den klassischen Medien einzig, sich anzupassen. So wie das zum Beispiel die ehemalige britische Komikertruppe Monty Python tat. Zuerst strebte diese Prozesse gegen Leute an, die ihre Sketche gratis auf Youtube stellten. Dann entdeckte die Truppe den Werbewert solcher Aktionen, stellte selbst ihre Filme auf Youtube – und steigerte ihren Gewinn aus dem eigentlichen Verkauf ihrer Sketche auf DVD um 230 Prozent. Die Zukunft der Medien und ihren Verlagen sieht Wippermann in Plattformen wie «Pixazza». Hier sind Bilder von Fotografen direkt gekoppelt mit Verkaufsangeboten für die Dinge des Alltags. Der Fotograf publiziert seine Bilder und kriegt eine Provision, wenn jemand Dinge kauft, die darauf abgebildet sind. «Das ist Mikropayment statt angestellt zu sein bei einem Verlag», erklärte Wippermann dieses neue Geschäftsmodell.
Modelle Crossmedialer NewsroomsEs ist ja nicht so, dass die klassischen Medien angesichts der Entwicklung völlig untätig geblieben wären. Inzwischen sind nämlich die Redaktionen fast aller grossen Zeitungen in Deutschland und der Schweiz dazu übergangen, so genannte «Crossmediale Newsrooms» einzurichten. Dort soll das multimediale Publizieren gesteuert und koordiniert werden, in dem man zum Beispiel entscheidet, welche Inhalte online oder in die Printausgabe gehen. Klaus Meier, Professor für Journalistik an der Hochschule Darmstadt, hatte in einem Forschungsprojekt verschiedene Modelle konvergenter Redaktionen untersucht und präsentierte die Ergebnisse am Seminar. Fazit: Es gibt kein goldenes Modell der MedienKonvergenz. Von der Trennung von Print und Online wie beim Wiener «Standard» bis zur fast vollständigen Durchmengung wie bei der «Welt/MorgenpostGruppe» in Berlin existiert im deutschsprachigen Raum fast alles. Und die Journalisten: Müssen sie künftig Alleskönner sein? «Je nach Modell: Ja», befand Klaus Meier.
Auch online ist Qualität«Ich halte Newsrooms für einen Hype» sagte demgegenüber Holger Dambeck von der Wissenschaftsredaktion bei «SpiegelOnline». Er hält den Austausch über Telefon oder Mail immer für den besten Weg zu entscheiden, in welche Kanäle bestimmte Informationen fliessen sollen. Jenseits solcher Diskussionen über Formalismen zeigte Dambeck an vielen Beispielen eindrücklich auf, warum «SpiegelOnline» unter den InternetNachrichtenwebseiten in Deutschland mit grossem Abstand die Nummer 1 ist und seit kurzem erst noch Geld verdient. «SpiegelOnline» zieht alle Register der Informationsvermittlung über Internet: von Texten über Bilder und Videos bis zu aufwändig hergestellten FlashInhalten. Geliefert werden diese Inhalte bei «SpiegelOnline» von 100 Leuten, die zudem eng mit dem «Spiegel» selbst und «SpiegelTV» zusammenarbeiten. Damit wurde klar: Auch online ist Qualität – und letztlich der Erfolg – nicht umsonst zu haben.
Die Referenten Peter Wippermann, Holger Dahmbeck, Klaus Meier / Foto: Claudia Steiner
«Heute zählen nicht mehr die Massenmedien, sondern die personalisierten Medien.»
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Generalversammlung 2009 und Jahresbericht des Präsidenten
Am 12.Juni 2009 fand im REGA Center, Zürich-Flughafen, die letzte GV unter Leitung des Präsidenten Michael Breu statt. Zu diesem Ort hat Michael Breu eine ganz besondere Beziehung. Er wurde mit grossem Applaus verabschiedet, als er das Amt der neuen Präsidentin Irène Dietschi übergab.
Protokoll der GV 2009
Programm:
15:20 h Eintreffen der Journalisten (Ankunft des Buses 736)15.30 – 17.00 h Offizieller Teil der GV17:00 – 17:15 h Begrüssung durch den Gastgeber REGA und kleiner Apéro17:30 – 19:00 h Führung durch REGA (in zwei Gruppen) Referat von Chefarzt Dr. med. Roland Albrecht «Intensivmedizin unter Extrembedingungen»19:09 h Abfahrt Bus 736 Richtung Flughafenab 19:30 h Nachtessen im Self Server (des Restaurants Italian)
Traktanden:
1. Wahl der Stimmenzähler2. Genehmigung der Traktandenliste 09 und des Protokolls der GV 08 (Bulletin 1/08)3. Jahresbericht des Präsidenten4. Bericht der Sekretärin, Jahresabschluss und Rechnung5. Revisorenbericht von Christian Bernhart und Felix Frank6. Budget 2009 und Genehmigung des (gleich bleibenden) Mitgliederbeitrages7. Wahl des Vorstandes und Bestätigung der Revisoren Rücktritt von Thomas Müller (freier Journalist) und Michael Breu (3sat nano) Vorschlag des Vorstandes: Olivier Dessibourg (Le Temps) als neues Vorstandsmitglied, Iréne Dietschi (freie Journalistin) als neue Präsidentin8. Corporate Identity: Der neue Auftritt des SKWJ9. Der SKWJ neu auch in der Westschweiz mit einer eigenen Gruppe10. Gesundheitsseminar 2009: Wahl eines Themas11. Varia
Der Ablauf:Herzlich willkommen zur 36. GV des Schweizer Klubs für Wissenschaftsjournalismus – meiner letzten GV als Präsident. Es freut mich sehr, hier bei der Schweizerischen Rettungsflugwacht (REGA) in Zürich Gast zu sein. Denn zur REGA habe ich ein tiefes Verhältnis: Im April 1981 wurde am Ostschweizer Kinderspital die St.Galler REGABasis eröffnet; ich habe damals für die Schülerzeitung «Chrüsimüsi» darüber berichtet. Es war mein erster Artikel.
Entschuldigt (aus dem Vorstand): Christian Heuss (Ferien), Sabine Olff (journalistisch unterwegs aber aufs Abendessen zurück) und Marcel Hänggi (muss die kranken Kinder betreuen). Ebenfalls entschuldigen lässt sich Revisor Felix Frank (Ferien).
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Der scheidende Präsident Michael Breu. Foto: Mürra Zabel
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Protokollführerin: Hanna Wick
1. Wahl der StimmenzählerVorschlag des Vorstandes: Patrick Imhasly, Mürra Zabel
2. Genehmigung der Traktandenliste 09 und des Protokolls der GV 08Die Traktanden wurden mit dem Einladungsschreiben fristgemäss publiziert. Es sind keine Anträge von Mitgliedern eingegangen. Ich möchte darauf hinweisen, dass gemäss Statuten nur ordentliche Mitglieder Stimm und Wahlberechtigt sind.Das Protokoll der GV 2008 wurde im Bulletin 2/08 abgedruckt.
3. Jahresbericht des PräsidentenPeriode 6. Juni 2008 – 12. Juni 2009
Mitgliederbestand am 12. Juni 2009 ordentliche Mitglieder: 186 (2005: 128; 2006: 129; 2007: 118; 2008: 117) ausserordentliche Mitglieder: 127 (2005: 106; 2006: 113, 2007: 132; 2008: 142) Ehrenmitglieder: 9 (2005: 9; 2006: 9, 2007: 9; 2008: 9) Gönner: 19 (2005: 10; 2006: 11, 2007: 11; 2008: 10)
Kurz zwei Bemerkungen zu den Daten: Besonders bei den ordentlichen Mitgliedern konnten wir im vergangenen Jahr deut
lich zulegen. Das ist Olivier Dessibourg zu verdanken. Er hat in den letzten Monaten in der Westschweiz für unseren Klub Werbung betrieben. Nach genau zwanzig Jahren Abstinenz sind wir jetzt in der Westschweiz wieder mit einer Gruppe aktiv! – Olivier wird später den aktuellen Stand zusammenfassen.
An der letzten GV wurde dem Vorstand der Auftrag erteilt, mehr Gönnermitglieder anzuwerben. Das haben wir getan. Knapp hundert Unternehmen und Hochschulen haben wir angeschrieben. Zu den Gönnern gehören: Akademien der Wissenschaften Schweiz, Astra Zeneca AG, Bundesamt für Energie, Geistlich Pharma AG, GlaxoSmithKline AG, Ulrich Goetz, HoffmannLa Roche AG, Inselspital Bern, Interpharma, JanssenCilag AG, Nagra, Nestlé SA, Novartis AG, Paul Scherrer Institut, Schindler
Wahl per Akklamation der Präsidentin Irène Dietschi. Foto: Mürra Zabel
Besuch bei der Rega / Foto: Mürra Zabel
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Management AG, Schweizerisches Tropeninstitut, SGCI Chemie Pharma Schweiz, Universität Basel und Universität Luzern. Seit Bestehen des Klubs hatten wir noch nie so viele Gönnermitglieder!
Anlässe21. Juni 2008: Wanderung zur Glarner Hauptüberschiebung mit dem Geologen David Imper und dem Paläobiologen Toni Bürgin bei schönstem Wetter. Christoph Meier berichtete im Bulletin 2/08 über den Anlass.
23./24. Oktober 2008: 34. Gesundheitsseminar in Zusammenarbeit mit der Interpharma, Thema: «Alter, Altern, Altersmedizin» in Pfäffikon. Patrick Imhasly berichtete über das sehr spannende Seminar im Bulletin 1/09.
29. Oktober 2008: Besuch der Eidgenössischen Forschungsanstalt für Wald, Schnee und Landschaft (WSL) in Birmensdorf. WSLDirektor James Kirchner hat uns mit einem sympathischen Kurzreferat empfangen. Für die Organisation des Anlasses möchte ich unserem, Klubmitglied Reinhard Lässig herzlich danken. Ein Bericht erschien im Bulletin 1/09.
30. April 2009: Eine spannende Exkursion ans IDIAP in Martigny haben unsere Westschweizer Kollegen organisiert. Wir konnten exklusiv das Nationale Forschungsprojekt IM2 (Interactive Multimodale Information Management) unter die Lupe nehmen.19. Mai 2009: Frühjahresseminar des Schweizerischen Nationalfonds in Zürich zum Thema: «Der multimediale Journalist – MedienKonvergenz: Chance oder Schock?». Es ist das zweite Mal in Serie, dass wir handwerkliche Themen in den Mittelpunkt stellen (im 2008 hiess das Thema «Wer versteht da was richtig?»). Die Diskussionen während des Workshops und bei der Führung durch die MultimediaRedaktion des Schweizer Fernsehens zeigten, dass das Thema brisant ist.
Kommunikation 23 Newsletter verschickt mit Hinweisen auf Anlässe, Artikel, Fellowships,
Weiterbildungen, Reisen etc. Zwei Bulletins publiziert. Themen: Textverständnis (2/08), Rappen und Lyrik in der
Wissenschaft (1/09).
Vorstand Der Vorstand besteht aus 8 Mitgliedern. Wechsel im Vorstand: An der letzten GV trat Irène Dietschi (Sonntag) zurück. Neu
gewählt wurde Hanna Wick (NZZ). Der Vorstand traf sich im vergangenen Vereinsjahr zu 9 Sitzungen.
Weitere Aktivitäten Wie an der letzten GV angekündigt, haben wir im vergangenen Jahr das visuelle Er
scheinungsbild des Klubs überarbeitet. Wir kommen auf diesem Punkt später nochmals zurück.
Viel zu diskutieren gab auch bei uns der Stellenabbau bei den Schweizer Medien. Was hat unser Klub unternommen? Im November 2008 habe ich als Präsident des SKWJ eine Petition der Europäischen Föderation der Journalistinnen und Journalisten gegen den Niedergang von journalistischen Standards unterzeichnet, ich habe mich mit den Schweizer Medienverbänden und –Gewerkschaften ausgetauscht (bei denen
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Thomas Müller / Foto: Mürra Zabel
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alle aktiven Journalisten im Berufsregister eingetragen sind) und habe mich mit den Chefredaktoren der grossen Tageszeitungen unterhalten. Die EUSJA hat das Thema auf unseren Antrag hin auch an der Jahresversammlung diskutiert. Anfang Mai 2009 haben wir zudem einen Brief an 35 ausgesuchte Persönlichkeiten aus der Wissenschaft und Wissenschaftspolitik verschickt und auf die bedrohliche Situation aufmerksam gemacht. Der Vorstand hofft, mit dieser Lobbyarbeit Druck von zwei Seiten auf die Entscheidträger der Schweizer Medienhäuser machen zu können.
Und gleich nochmals zum Stellenabbau: Im Gespräch mit verschiedenen Medienwissenschaftern haben wir festgestellt, dass die Datenlage zum Thema Wissenschaftsjournalismus äusserst mager ist. Deshalb haben wir eine Studie des European Journalism Observatory unterstützt, die im Auftrag der Akademien der Wissenschaften die Situation in der Schweiz untersucht. Ebenfalls befasst sich eine Diplomarbeit der ZHAW in Winterthur mit unserem Klub; mehrere Mitglieder wurden in diesem Zusammenhang für Interviews angefragt.
Mit den Kollegen der WissenschaftsPressekonferenz (wpk) und von Teli habe ich mich zum Gedankenaustausch über verschiedene Themen aus dem Bereich des Wissenschaftsjournalismus getroffen. Thema war u.a. auch hier die Veränderung in der Medienlandschaft.1. Oktober 2008: Klubmitglied Marcel Falk startet den Blog www.sciencesofa.info wo bis heute rege über Wissenschaft und Wissenschaftsjournalismus diskutiert wird. Unter anderem berichten Marcel Falk und Martin Hicklin live von der Tagung «Wissenschaftskommunikation» der Akademien der Wissenschaften Schweiz (23. April 2009). Fast gleichzeitig startet Christian Heuss u.a. eine FacebookGruppe unseres Klubs. Zu beiden Themen haben wir im Newsletter und im Bulletin (1/09) berichtet.
1.–4. Dezember 2008: Zusammen mit Klubmitglied Reto Vetterli (3sat nano) habe ich in Florenz den World Congress of Science and Factual Producers besucht. Reto Vetterli hat über die Highlights des Anlasses im Bulletin 1/09 berichtet. Der nächste Kongress findet im Dezember in Melbourne (Australien) statt.
12.–15. März 2009: Generalversammlung der EUSJA in Triest, Italien. Die Delegierten besuchen das International Centre of Genetic Engineering and Biotechnology, das Italian National Institute of Nuclear Physics und das Italian National Institute of Oceanography and Experimental Geophysics. Es ist die erste Generalversammlung unter Leitung von Hajo Neubert (Deutschland) und Vizepräsidentin Barbara Drillsma (Grossbritannien). Neu berichtet die EUSJA regelmässig online über alle Aktivitäten: http://www.eusja.org/
Recherchierfonds: Aus dem Recherchierfonds hat der SKWJ Marcel Hänggi, Andreas Walker und Adrian Heuss je einen Beitrag gewährt. Marcel Hänggi hat ein Buch über Klimapolitik geschrieben («Wir Schwätzer im Treibhaus», Rotpunkt Verlag) und im Bulletin 2/08 über seine Erfahrungen berichtet. Andreas Walker arbeitet an einem Fotobuch über extreme Wetterphänomene, und Adrian Heuss recherchiert für ein Buch mit dem Titel «Wissenschaftsskandale».
Aussichten aufs neue Jahr
30.6. – 1.7.2009: World Conference of Science Journalists, London2.9.2009: Offizielle Vorstellung des SKWJ in der Westschweiz (im Rahmenprogramm der Eröffnung des neuen Life Science Center der EPFL)11. September 2009: Crashkurs Nanotechnologie, Uni Lausanne22.–23.10.2009: Gesundheitsseminar in Neuchâtel
Hanna Wick in Aktion. / Foto: Mürra Zabel
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9.–11.11.2009: Wissenswerte BremenMai 2010: SNFSeminar (Thema noch offen)Juni 2010: Generalversammlung
Noch offen: Exkursion an die Sternwarte im Val d’Anniviers zusammen mit Genfer ExoPlane
tenjäger Exkursion zum Thema radioaktive Entsorgung (in Zusammenarbeit mit Nagra)
4. Bericht der Sekretärin, Jahresabschluss und RechnungHanna Wick berichtet aus dem Sekretariat …… und stellt die Jahresrechnung vor.
5. Revisorenbericht von Christian Bernhart und Felix FrankAnschliessend Revisorenbericht von Christian Bernhart
6. Budget 2009 und Genehmigung des MitgliederbeitragesHanna Wick stellt Budget 2009 vor.Der Mitgliederbeitrag bleibt mit 70 Franken gleich wie in den Jahren zuvor.
7. Wahl des Vorstandes und Bestätigung der Revisoren
Rücktritt von Thomas Müller (freier Journalist)Thomas Müller wurde an der GV 2004 in den Vorstand gewählt. Thomas ist ein stiller Schaffer, der mir vor allem durch seine vielen Fachinputs in bester Erinnerung bleiben wird. Thomas ist aber auch ein grosses Organisationstalent. Das hat er nicht nur im Vorfeld und während der Chinareise bewiesen; Thomas hat auch zahlreiche Seminare für den Klub organisiert und moderiert. Für die Zusammenarbeit im Vorstand und für seine geleistete Arbeit möchte ich mich im Namen des ganzen Klubs herzlich bei ihm bedanken.Der Vorstand schlägt Olivier Dessibourg (Le Temps) als neues Vorstandsmitglied vor.
Rücktritt von Michael Breu (3sat nano) als Präsident:Vor acht Jahren habe ich das erste Mal an einer Vorstandssitzung teilgenommen und bin den KlubVorstand in verschiedensten Funktionen immer verbunden geblieben – als Redaktor des Bulletins oder als Mitorganisator von verschiedenen Anlässen. Während der letzten vier Jahren habe ich den SKWJ als Präsident geleitet und viel dabei gelernt. Jetzt ist es für mich Zeit, Abschied zu nehmen. Die letzten Jahre waren intensiv und lehrreich. Ich möchte Euch für das Vertrauen danken, dass ihr mir in den letzten Jahren immer wieder ausgesprochen habt – und dem Vorstand für die sehr gute Zusammenarbeit. Letztes Jahr haben wir Irène Dietschi aus dem Vorstand verabschiedet. Jetzt ist sie wieder zurück. Der Vorstand schlägt Irène Dietschi (freie Journalistin) als neue Präsidentin vor. Für ein weites Amtsjahr haben sich unsere beiden Revisoren Christian Bernhart und Felix Frank zur Verfügung gestellt.
8. Corporate Identity: Der neue Auftritt des SKWJThomas Müller stellt das neue CI vor.
9. SKWJ neu auch in der Westschweiz mit einer eigenen GruppeOlivier Dessibourg stellt die neue Gruppe aus der Westschweiz vor.
10. Gesundheitsseminar 2009: Wahl eines Themas
G E N E R A L V E R S A M M L U N G 2 0 0 9S E M I N A R
Health-Seminar 09
organized by the Swiss Association of Science Journalism and Interpharma.
Topic: NeuroEnhancementDate: October, 22–23, 2009Place: Neuchâtel; Hotel Beaulac / www.beaulac.chFacilitator: Patrick Imhasly, NZZ am Sonntag
Thursday-Night• Neuro-Enhancement: An overview Lutz Jäncke, Institute of Psychology, Chair in Neuropsychology, University of Zurich• Modafinil, Ritalin and others: what are
the effects of these drugs on learning?Ralph Schumacher, Institute for Behavioural Sciences at the Swiss Federal Institute of Technology Zurich
Dinner
Friday• How Modafinil boosted my brain: Les
sons from a personal experience (short presentation)
Felix Hasler, Psychiatric University Hospital, Zurich• Facts and figures about the use of brain
stimulating drugs (short presentation) Theres Lüthi, NZZ am Sonntag• Cognitive enhancers for people suffe
ring from dementia: What is the pharmaceutical industry doing?
NN• Making you forget: Getting over post
traumatic stress disorders with the help of drugs
Beat Lutz, Institute of Physiological Chemistry and Pathobiochemistry, Johannes Gutenberg University, Mainz
Lunch
• How interfaces between computers are used to augment the cognition of soldiers, pilots or car drivers
NN• Neuro-Enhancement for everybody?
Ethical considerationsDavinia Talbot, Institute of Ethics, History and Theory of Medicine, University of Münster
Final discussion
skwj-bulletin 2/09 | 19
Der Vorstand schlägt folgende Themen vor:
A Hirndoping (Patrick) 28 22
B Impfungen (Thomas) 12 –
C Das Gen und ICH (Marcel) 19 12
D Nahrungsmittelzusätze 04 –
Das Seminar findet vom 22.–23. Oktober 2009 in Neuchâtel statt. Sabine Olff und Patrick Imhasly werden den Anlass organisieren. Thema: NeuroEnhancement.
11. VariaVon der ChinaReise hat Werner Hadorn einen Film gedreht. Wer Interesse daran hat, kann bei ihm eine DVD bekommen.
MitgliederbeiträgeGönnerSpendenAdressenverkaufInserate/NewsletterZinsen
Einnahmen total
Ausgabenüberschuss
36 404.00
de facto 1925.83
29750.00
Budget 4900.00
Einnahmen2008
Budget2008
15 750.00 700.00 5.00 2790.00 10 300.00 59.00
15 000.00 4 500.00 200.00 3000.00 7000.00 50.00
VorstandSekretariatWebsiteBulletinEuslaPC-KontosChInareIse/AnlässeRecherchebeiträge
Einnahmen total 38 329.83 34 650.00
Ausgaben2008
Budget2008
3073.11 2714.40 653.80 900.57 346.75 16 280.50 8 000.00
3000.00 3500.00 1000.00 9000.00 1000.00 150.00 12000.00 5000.00
Jahresrechnung / Budget
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Les nouveaux membres romands
Depuis le mois de juin, l’Association suisse du journalisme scientifique, à tra-vers sa nouvelle section romande, comp-te 41 nouveaux membres ordinaires (la grande majorité) ou extraordinaires. En voici une courte présentation :
Michael Balavoine est journaliste à la Revue Medicale Suisse et rédacteur en chef du magazine Planète Santé. Après des études de lettres et d΄informatique, il a notamment travaillé aux départements multimédia du journal d΄architecture turc XXI et du Deutsches Historisches Museum de Berlin, ainsi que comme stagiaire pour l΄émission A Bon Entendeur de la TSR. Ses domaines de prédilections: politique de santé, technologie de l΄information, interface hommemachine.
Emmanuel Barraud ne s΄est formé à la science que jusqu΄à la « matu ». Mais les sirènes de la littérature, au chant desquelles il a succombé, n΄ont pas réussi à lui faire oublier son intérêt pour les choses de la technique, de la physique, de la chimie, de l΄environnement. Journaliste formé en rubrique locale, il a occupé pour le quotidien 24 Heures, pendant deux ans, un bureau installé au cœur du campus lausannois (UNIL+EPFL). Il travaille actuellement pour 24 Heures et la Tribune de Genève, traitant d΄économie (surtout) et de sciences.
Philippe Barraud a créé et animé la rubrique scientifique de L΄Hebdo pendant plusieurs années, avant de reprendre la responsabilité de la rubrique scientifique du Temps, puis celle de la rubrique Société. Il a collaboré aux Editions Médecine & Hygiène dans le domaine de la vulgarisation médicale. Il est actuellement journaliste indépendant et travaille sur divers projets de livres dans le domaine de l΄astronomie, notamment un essai sur le Paradoxe de Fermi. Ses travaux d΄astro-photographie sont régulièrement publiés en France et aux EtatsUnis (www.observatoiredecully.com).
Bertrand Beauté est journaliste scientifique à l’agence de presse Largeur.com, à Genève. Il écrit notamment dans le magazine scientifique suisse Reflex, ainsi que pour plusieurs newsmagazines romands comme L’Hebdo ou Bilan. Auparavant, il a suivi des études scientifiques à l’Université Pierre et Marie Curie, à Paris, achevées en 2004 avec une spécialisation en biologie cellulaire et moléculaire. En France, il a collaboré pour différents journaux scientifiques tels que Sciences et Avenir et le Journal de l’environnement, mais aussi économique, comme l’Usine Nouvelle.
Natalie Bougeard est journaliste scientifique à la Radio Suisse Romande (RSR) depuis mai 2008. Elle collabore aux émissions Impatience et On en parle sur la Première. Après une maîtrise en sciences de la Terre obtenue à l΄Université de Lille (France), elle a suivi une formation de journalisme scientifique à l΄école de journalisme de Lille (ESJ). Avant la RSR, elle a collaboré en tant que journaliste freelance pour la rubrique science de l’hebdomadaire allemand Focus, puis a écrit deux ans pour le magazine romand L΄Hebdo.
Anne-Muriel Brouet est journaliste scientifique à la Tribune de Genève (TdG), responsable de la science et de la santé depuis 2004. Elle est en charge de deux pages thématique hebdomadaire et du suivi de l΄actualité. Ses articles sont aussi publiés dans 24 Heures. Après une maîtrise en relations internationales à Genève, elle s΄est dirigée vers le journalisme. Son stage effectué en rubrique locale à la TdG, elle a aussi travaillé pour les rubriques Société, Suisse et Internationale, notamment comme correspondante à Washington.
Francine Brunschwig est journaliste à 24 heures. Licenciée en lettres, se considérant comme une généraliste, elle a néanmoins développé, depuis plusieurs années, des compétences dans le domaine de la santé et de la médecine. Après son stage dans le quotidien vaudois, elle a travaillé comme journaliste libre aux EtatsUnis. De retour en Suisse, elle a collaboré à l΄Hebdo et à la TSR. Puis elle a rejoint
Ordentlich
Franziska Agosti ist Redaktorin der Abteilung Wissen beim Blick.
Markus Frutig ist freier Journalist. Er hat die letzten zwei Jahre als Fachredaktor für die Fachzeitschrift SMM gearbeitet und sich im Bereich Energiemedizin weitergebildet. Er lebt und arbeitet in Schlieren.
Ausserordentlich
Klaus Duffner ist freier Journalist in Freiburg/Deutschland. Er schreibt über vieles, was lebt oder lebte. Er wohnt und arbeitet in Freiburg und ist oft beruflich in der Schweiz unterwegs.
Urs Hafner ist seit 2007 wissenschaftlicher Redaktor des SNF und daneben freier Mitarbeiter der NZZ. Er hat frühneuzeitliche Geschichte und Soziologie in Bern studiert und war mehrere Jahre bei der WOZ.
Verena Vermeulen ist Biologin und arbeitet seit September 2008 als ZeitschriftenRedaktorin beim Springer Medizin Verlag Schweiz AG Zürich. Schwerpunkte : KongressBerichterstattungen und die Redaktion verschiedener Zeitschriften für Haus und Fachärzte.
M U T A T I O N E N / M U T A T I O N S M I T G L I E D E R / M E M B E R S
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24 heures, d΄abord en rubrique Enquêtes et Reportages, puis en rubrique Société. Aujourd΄hui, elle travaille au sein de la rubrique Vaudoise.
Marina Casselyn est rédactrice scientifique à la Revue Médicale Suisse, où elle est en charge de la partie Actualités depuis 2006, et à la revue grand public Planète Santé depuis fin 2008. Après un doctorat en sciences de la vie, elle s’est orientée vers la vulgarisation scientifique en devenant pigiste pour les magazines La Recherche et Biofutur. Marina Casselyn est également coresponsable de la plateforme internet de formation et pratique en réseau eRMS destinée aux professionnels de santé.
Igor Chlebny est responsable de la communication du Pôle de recherche national Survie des plantes, un réseau de chercheurs piloté depuis l’Université de Neuchâtel. Journaliste scientifique de formation, il a été par le passé chroniqueur à la RSR, rédacteur de la page Sciences du Journal de Genève et Gazette de Lausanne, tout en travaillant auprès du bureau de l’AFP à Genève.
Tania Chytil est journaliste et responsable du site internet tsrdécouverte.ch, portail éducatif de la TSR. Elle produit et présente chaque semaine une chronique dans le 12:45, chronique de vulgarisation scientifique élaborée en collaboration avec les Universités de Genève et Neuchâtel ainsi que différentes fondations. Elle a présenté auparavant Territoires 21, émission scientifique de la TSR, Le Journal ainsi que Magellan.
Geneviève Comby est journaliste au sein des cahiers magazine du Matin Dimanche depuis 2006. Elle est en charge d’un page dédiée à la santé et traite aussi des sujets de société et. Rédactrice au pôle actualité du Matin Semaine de 2000 à 2006, elle a, avant de faire du journalisme, participé au lancement du Centre de Déminage Humanitaire de Genève.
Bastien Confino est président de la Fondation de l’Observatoire François-Xavier
Bagnoud de StLuc (Valais) après en avoir été responsable pour une période de 2 ans. En tant que journaliste scientifique indépendant il collabore avec différents magazines d΄astronomie, notamment sur le matériel pour amateur. Il a par ailleurs présenté une rubrique astronomique dans l΄émission 100%2000 de la Télévision Suisse Romande (TSR) et enseigne l΄astronomie à l΄Université Populaire de Lausanne. Une chronique radiophonique est prévue pour la fin de l΄année 2009.
Caroline Depecker, chimiste de formation, est journaliste pigiste. Après avoir œuvré dans la recherche, son doctorat en poche, elle a travaillé en tant que chargée d’études pour un institut spécialisé dans l’environnement. Journaliste depuis trois ans, elle produit des chroniques radio scientifiques pour France Bleu Pays de Savoie (réseau Radio France), écrit pour le magazine Kaële Annecy Léman et occasionnellement pour le magazine Science et Avenir et Le Temps.
Etienne Dubuis est en charge des sujets liés à l΄environnement au quotidien Le Temps à Genève. Titulaire d΄une licence en ethnologie et en histoire, il a commencé dans le journalisme en réalisant des reportages à travers le monde, de l΄Afghanis-tan au Nicaragua, puis a été correspondant à Santiago du Chili. Il a collaboré avec nombre de médias suisses et français, et publié un livre sur la résistance afghane. Il a quitté l΄actualité politique pour s΄intéresser au plus long terme, soit aux rapports de l΄homme avec sa planète.
Yves Duc est le responsable francophone de la rubrique scientifique de l΄ATS. A ce titre il se charge principalement de l΄actualité suisse et internationale dans ce domaine, avec un accent particulier sur la recherche en Suisse romande. Il travaille aussi à temps partiel pour la rubrique suisse. Titulaire d΄une licence en lettres de l΄Université de Lausanne, il a une formation d΄enseignant et de journaliste, avec stage RP au journal La Côte à Nyon. A déjà été responsable d΄un service «Médecine/santé» mis en place par l΄ATS dans les années 1990.
Après des études de lettres et de sports à l΄université de Lausanne, Françoise Du-cret entre comme journaliste à la Télévision Suisse Romande (TSR) en 1986. Correspondante à Zurich pour le Téléjournal, puis présentatrice du TJ midi et du TJ nuit, elle se spécialise dans le domaine médicoscientifique dès 1992 (émission TéléScope, CheckUp et Territoire 21). Elle a également effectué plusieurs collaborations à Temps Présent.
Pascal Fleury est journaliste à La Liberté. Affilié à la rubrique nationale, il s΄intéresse en particulier aux sujets scientifiques et techniques: énergies, transports, communications, santé... Il anime aussi la page thématique Histoire Vivante (collaboration TSR2 / RSRLa Première) et est coresponsable de la page Religions. Rédacteur RP depuis 1988, après un stage à La Suisse, il est membre du Conseil suisse de la presse depuis 2003.
Bretonne d΄origine, Cécile Guérin est journaliste scientifiques à la Radio Suisse Romande. Elle est responsable du pôle Sciences, qui fournit du contenu sonore pour les émissions Impatience, On en parle, Atlas et Les Temps qui courent. Ingénieure en chimie et métallurgie, elle a travaillé dans la presse spécialisée scientifique en France (Science et Vie Junior, Libération, Industries&Techniques), avant d΄arriver à Lausanne en 2000.
Diplômée en biologie à l’Université de Fribourg, Colette Gremaud a été journaliste libre pendant 6 ans, contribuant au journal La Liberté (articles scientifiques), à Environnement (revue de l’OFEV) et à différents médias (Horizons). Comme biologiste indépendante, elle a aussi effectué des relevés botaniques dans le cadre de l’Inventaire fédéral des prairies et pâturages secs de Suisse (PPS). En 2007, elle a rédigé le Guide des jardins botaniques de Suisse. Depuis 2008, elle est engagée au Service de presse et communication de l’Université de Neuchâtel (rédaction de la brochure UniNEws).
Après une maturité scientifique, Béatrice Jéquier s’est tournée vers une formation
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musicale dans l΄idée de devenir professeur de piano. Puis elle est entrée à la radio (Espace 2) pour faire de la régie musicale, mais a eu l΄opportunité de devenir réalisatrice radio. Elle a ensuite faut son stage de journaliste à la RSR avec une spécialisation en science. Engagée ensuite comme journaliste scientifique à la TSR au Téléjournal (TJ), elle a aussi eu l΄occasion d’y produire et présenter un magazine économique. Puis retour au TJ en tant que responsable de la rubrique science et économie.
Bertrand Kiefer est rédacteur en chef de la Revue Médicale Suisse, hebdomadaire francophone de formation continue destiné aux professionnels de la santé. Il est également directeur de la coopérative d΄éditions médicales Médecine et Hygiène et membre de la Commission nationale d΄éthique dans le domaine humain. Il a suivi une formation en médecine et en théologie.
Huma Khamis, biologiste et journaliste RP, est responsable des tests comparatifs et des dossiers scientifiques pour la revue FRC Magazine de la Fédération romande des consommateurs. Elle a précédemment travaillé sur des projets de recherche en santé publique au Laboratoire Cantonal de Microbiologie de Lugano. Elle a en outre contribué à la mise en place de cours sur la thématique du développement durable dans le cadre de projets eLearning du Campus Virtuel Suisse pour les Universités de la Suisse italienne et de Genève.
Virginie Matter est actuellement journaliste scientifique au département de l΄In-for mation de la Radio suisse romande (RSR). Après des études de biologie à l΄université de Genève, elle a effectué son stage RP à la RSR. Elle s΄est spécialisée dans la médecine et la biologie et s΄inté-resse de près à l΄évolution des rapports sciencesociété.
Pascaline Minet est journaliste scientifique à la RSR depuis novembre 2007. Elle collabore aux émissions Impatience, On en parle et Atlas sur La Première, ainsi que Les Temps qui courent sur Espace 2. Ses thèmes de prédilection sont l΄envi ronne-
ment et la santé. Après une maîtrise de biologie obtenue à l΄Université de Montpellier (France), elle a suivi une formation de journaliste au Centre de Formation des Journalistes à Paris. Avant d΄arriver à la RSR, elle a travaillé pour une radio privée française (BFM) et pour Radio France Internationale.
Christian Moccia, biologiste de formation, travaille actuellement comme journaliste au sein de la rédaction italienne de l΄ATS à Berne. Il écrit régulièrement pour l΄hebdomadaire suisse italien Azione à propos de culture, sciences et société, en particulier comme envoyé en Romandie. Il a également à son actif une collaboration avec Pro Natura (rédaction de la revue cantonale tessinoise).
Isabelle Moncada est présentatrice et coproductrice de l΄émission santé 36,9° sur la TSR. Elle tient une rubrique régulière de médecine-santé dans l΄émission Impatience sur la RSR. Elle a produit et présenté durant 10 ans l΄émission de consommation A Bon Entendeur, a collaboré avec Kassensturtz et 10vor10 sur SFDRS. Ses thèmes de prédilection: la nutrition, la politique de santé et l΄environnement.
Titulaire d΄un master en littérature anglaise et sociologie, Annick Monod est journaliste à la rubrique Magazine du quotidien La Liberté à Fribourg. En charge des pages
Société, elle y traite notamment des sujets de santé, de recherche ou d΄ environnement. Elle a auparavant été responsable de la rédaction régionale de La Liberté à Payerne, où elle a effectué son stage RP. Elle a publié en 2007 un guide de randonnées pédestres A sautefrontières, et remporté le Prix BZ 2008 du journalisme local.
Anne Onidi, chimiste de formation, se vouait à une carrière humanitaire dans le domaine de l’eau potable lorsque la venue de son premier enfant a tout chamboulé. C’est en effet à ce moment qu’elle s’est rappelée que, petite, elle rêvait d’être journaliste. D’abord rédactrice, puis pigiste (Le Temps, Ciel&Espace, Le Courrier), elle réalise actuellement son stage RP au FRC magazine où elle s’occupe de tests comparatifs et d’enquêtes dans des domaines variés allant du hightech à la sécurité, en passant par l’alimentation.
Jean-Olivier Pain est producteur de la Science de Pain une rubrique scientifique, diffusée quotidiennement à 7 h 25 sur RSRLa Première. Il collabore à l’émission Dolce Vita sur TSR pour une rubrique ayant trait à l’actualité multimédia. Il a effectué son stage RP au sein de la RSR, après avoir été animateur sur Couleur 3 pendant une dizaine d’années. JeanOlivier Pain a écrit un ouvrage intitulé Dictionnaire Azerty ou presque du Multimédia, publié en 2005 aux éditions Favre.
M I T G L I E D E R / M E M B E R S
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Chimiste de l΄environnement à l΄UNIGE, à l΄UNIL puis à l΄EPFL, Didier Perret a rapidement été contaminé par la diffusion des savoirs scientifiques auprès des enseignants puis du grand public. Il est en charge de la communication pour la Section de chimie et biochimie ainsi qu΄à la Faculté des sciences de l΄UNIGE. Son éclectisme le conduit tant à gérer la médiatisation des découvertes scientifiques qu΄à organiser des événements de promotion de la science.
Jacques Perret, ingénieur et Dr es sciences, travaille depuis 2002 comme rédacteur pour le génie civil à la revue bimensuelle Tracés, organe officiel de la Société des ingénieurs et architectes (sia). Il est responsable de dossiers thématiques qui illustrent la variété des métiers de l’ingénierie et leur influence sur la société. En plus de ses activités de rédacteur, il assume également le choix des illustrations et la mise en page des numéros dont il a la charge. Il a aussi participé à la réalisation de plusieurs brochures de vulgarisation scientifique.
Julien Perrot, naturaliste et biologiste de formation, est rédacteur en chef de La Salamandre, la revue des curieux de nature, qu’il a fondé en 1983 à l’âge de 11 ans. Il est aussi directeur des Editions de La Salamandre qui publient également une revue d’éveil à la nature pour les enfants La Petite Salamandre, des films, des CD audio et des guides de détermination naturalistes. Entre autres collaborations, il a été chroniqueur durant trois ans pour L’Hebdo, chroniqueur pour la RSR et a adapté et présenté une série d’émission sur les animaux pour la TSR.
Marie-Christine Petit-Pierre est spécialisée dans le domaine de la santé à la rubrique Société du Temps depuis 7ans. Après en avoir suivi également l΄aspect politique du dossier pendant plusieurs années en rubrique suisse du Temps et du Journal de Genève et Gazette de Lausanne, et avant cela, au Bureau de reportage et de recherche d΄information (BRRI) de Roger de Diesbach. Intérêts à la fois pour les aspects sociétaux de la santé et pour la recherche scientifique.
Lara Pizurki, biologiste et journaliste scientifique, est chargée d’information et de communication au sein du Pôle de recherche national Frontiers in Genetics, à Genève. Elle a mené près de 15 ans de recherche dans divers domaines de biologie médicale, à Genève et à Athènes. Elle a ensuite effectué son stage RP au quotidien L’Agefi, où elle a rédigé des articles dans le secteur biomédical, économique et financier.
Sophie Roulin est responsable de la rubrique régionale à La Gruyère depuis 2007 et journaliste depuis 2004. Avant cela, elle a fréquenté l΄Université de Fribourg et suivi une formation de géologue (master). Elle possède aussi une formation d΄employée de commerce, suivie entre le collège et l΄université. Elle a consacré l΄année 2002 à un grand voyage en Amérique du Sud et en Asie. Son travail de journaliste régional lui laisse peu d΄occasion d΄écrire des articles sur la science. Mais si l΄échéancier le permet, elle en profite pour lancer des sujets traitant de l΄environnement et de la nature
Daniel Saraga est journaliste scientifique pour l΄agence de presse Largeur.com et écrit en particulier pour le magazine scientifique Reflex. Il organise également les «Cafés Scientifique Basel» à l΄Université de Bâle. Titulaire d΄un doctorat en physique du University College London, il a travaillé pendant huit ans comme chercheur en nanotechnologie avant de se tourner vers la communication scientifique.
Lucia Sillig, physicienne de formation à l’EPFL, est actuellement journaliste scientifique, pour la rubrique Société du quotidien Le Temps, à Genève. Elle a auparavant travaillé pour 24 Heures, notamment au sein de la rubrique Suisse et comme correspondante à Zurich.
Christophe Ungar est journaliste à la TSR et médiateur scientifique indépendant. Après un Masters en biochimie aux Universités de Genève et du Queensland (Australie), il découvre une passion pour la vulgarisation scientifique. Comme
chargé de communication à la Passerelle Science-Cité de l΄Université de Genève, il gère des mandats, de l΄événementiel à l΄animation, et relance le journal des étudiants en science. D’abord sélectionné pour le Centre de formation aux métiers de la télévision CFTV de la TSR, il achève sa formation de journaliste reporter d΄images -JRI- à la chaîne valaisanne Canal9. Aujourd΄hui il travaille pour la télévision, la radio, la presse écrite et le web.
Pierre Veya est rédacteur en chef adjoint au Temps. Il a commencé sa carrière à L’Impartial, en charge des relations avec l΄Université, créé une page scientifique hebdomadaire «Ouvert sur...», a rejoint L΄hebdo où il collaborait à la page science et technologie, avant d’y diriger la rubrique économique. Nommé rédacteur en chef de l΄agefi, il a développé une page technologique quotidienne. Au Temps, Pierre Veya tient une chronique sur l΄énergie et les questions environnementales.
Anton Vos, physicien de formation, travaille comme journaliste scientifique dans le magazine Campus de l΄Université de Genève. Il y écrit des articles sur les recherches menées par les scientifiques de cette institution, avec une prédilection pour les sciences naturelles et médicales. Il a auparavant travaillé pour le Journal de Genève et Gazette de Lausanne, où il a dirigé la rubrique scientifique jusqu΄à la disparition du titre. Il a ensuite codirigé la même rubrique au sein du quotidien Le Temps jusqu΄en 2004.
Nancy Ypsilantis travaille depuis 1979 à la Radio Suisse Romande (RSR). Elle a collaboré à différentes émissions pour les chaînes Couleur3, Espace 2, puis La Première, où elle fut, et est encore, journalisteproductrice d’émissions tantôt culturelles, sociétale, ou scientifiques, comme actuellement avec Impatience.
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