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Époque Art Nouveau« 1900 »

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2Art Nouveau : +/-1880 - 1909

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3Intérieur de style Napoléon III, (Paris), vers 1880.

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A. Baar, Intérieur Napoléon III, 1871.

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AN

GLETERRE

• 1851 : Exposition universelle de Londres, c’est la première exposition industrielle et technique du XIXe siècle

• réorganisation des forces en présence entre les beaux-arts et les arts décoratifs dans le contexte inédit de la révolution industrielle

• Les machines promettent d’alléger le travail, de multiplier, de redistribuer les richesses et d’améliorer la vie de tous, d’autant que le commerce des biens est censé apporter la paix et la fraternité entre les nations

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Crystal Palace de Joseph Paxton (1801-1865) Hyde Park

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E. A. Leuteritz, Ernst August (1818-1893) pour la porcelaine de Meissen, ensemble complet d’un vase, présenté à l’Exposition de Londres de 1851.

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Minton, potiche, 1851.

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Matthew C. Wyatt (1777-1862), L' ami fidèle de l'homme foulant des pieds (pattes) son ennemi le plus insidieux,1834 mais présenté à l’Exposition de Londres de 1851.

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13Angiolo Barbetti (1803-1880), console et miroir, 1845, présenté à l’Exposition de Londres de 1851.

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Manufacture Thomas Hoffmeister &Theodor Behrens, Fauteuil de style néo-gothique allemand, présenté en 1851 à l’Exposition de Londres et utilisé en ensemble par la Reine Victoria au Holyrood Palace.

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Manufacture Thomas Hoffmeister &TheodorBehrens, Buffet de style néo-gothique allemand, présenté en 1851 à l’Exposition de Londres et utilisé en ensemble par la Reine Victoria au HolyroodPalace.

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Henry Eyles et Chamberlain & Co., Fauteuil, 1851.

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Henry Eyles et Chamberlain & Co., Table « The Star of Brunswick », 1851.

18Barberi et George Morant & Son, guéridon, présenté en 1851 à l’Exposition de Londres.

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Della Valle, table, 1850 et présenté en 1851 à l’Exposition de Londres.

William Morris (1834-1896)

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ARTS A

ND

CRA

FTS

William MORRIS (1834-1896), Galahad, Bors et Perceval découvrent le Graal, 1890.

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William Morris (1834-1896)

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• Dénonce les conditions de travail (aliénation) de l’ouvrier

• Dénonce la mise en avant la notion de profit, au détriment de l’esthétique et de la qualité du produit

• Veut rendre la joie de la création• Il ne refuse pas l’industrialisation

tant qu’elle est maitrisée• Il propose une réorganisation sur le

modèle de la guildeÞ Dimension utopique mais il ouvre

la porte au design lieu d’expérimentation

Philip WEBB (architecture) et William MORRIS (intérieur), The Red House, (Bexleyheath), 1859. 22

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23Philip WEBB (architecture) et William MORRIS (intérieur), The Red House - salle de réception, 1859.

24Détail d’un panneau décoratif.

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25Philip WEBB (architecture) et William MORRIS (intérieur), The Red House - chambre, 1859.

26Dante Gabriel ROSSETTI (1828-1882), Le cabinet bleu, 1857, aquarelle sur papier, 34,3 x 24,8 cm, Tate Britain, Londres.

Le Préraphaélisme : créer une nouvelle peinture, se référant non-plus à la Renaissance, mais à l'art médiéval, celui d'avant Raphaël, libre et authentique, suivant en cela les préceptes de l'influent théoricien victorien, John Ruskin. Leurs tableaux sont colorés, porteurs de multiples symboles et références littéraires, sensibles à la nature et aux questions sociales.

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27John Pollard Seddon, Cabinet King René's Honeymoon, 1861.

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Lewis F. Day et George McCulloch, cabinet, vers 1888, chêne et panneaux peints, 175 x 132 x 45 cm, V&A Museum, Londres.

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29Armoire d'apparat,France, vers 1510, chêne sculpté de médaillons profilés, 232 x 176 x 70 cm, MAD, Paris.

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George W. H. Jack, coffre, 1893, noyer, V&A Museum, Londres

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George W. H. Jack, cabinet, 1893, acajou, sycomore et autres essences, V&A Museum, Londres.

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33Ernst Barnsley, Garde-robe, 1902

34MackayBaillie Scott, paravent, 1896, V&A Museum, Londres.

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35Gustave Eiffel et ses collaborateurs, Tour Eiffel, 1889.

36Henri BEYAERT, Maison des Chats, 1875 (prix de la ville de Bruxelles en 1876).

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Jan BAES, Koninklijke VlaamseSchouwburg, 1887.

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Victor HORTA, Hôtel Tassel, 1892-1893.

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• version personnelle du bow-window

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Bow-windowEn français : oriel, avec qqnuances.L’avancée de la fenêtre se présente sur un seul étage, oriel sur plusieurs niveaux. Logette est utilisé dans le cas d’un très petit volume (pour une personne) accolé à une façade. 40

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• version personnelle du bow-window

• La structure métallique est très affirmée

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• version personnelle du bow-window

• La structure métallique est très affirmée

• L’importance des fenêtres est proportionnée à la dimension des pièces éclairées

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• version personnelle du bow-window

• La structure métallique est très affirmée

• L’importance des fenêtres est proportionnée à la dimension des pièces éclairées

• Intérêt pour l’organisation de l’espace

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• version personnelle du bow-window

• La structure métallique est très affirmée

• L’importance des fenêtres est proportionnée à la dimension des pièces éclairées

• Intérêt pour l’organisation de l’espace

• L’asymétrie s’impose sans nuire à la sensation d’équilibre qu’offre la façade

décoration• Cohérente• Inspirée par la nature

• Le rapport au monde végétal s’exprime dans la ligne qui concentre en ses circonvolutions une puissance quasi créatrice• La ligne en « coup de fouet » lyrique et stylisée renonce à

toute articulation trop nette, trop rationnelle de l’espace.

• L’attention de l’artiste se porte sur chaque élément de la demeure: le moindre objet donne lieu à une réflexion qui lie au tout

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décoration• Cohérente• Inspirée par la nature

• Le rapport au monde végétal s’exprime dans la ligne qui concentre en ses circonvolutions une puissance quasi créatrice• La ligne en « coup de fouet » lyrique et stylisée renonce à

toute articulation trop nette, trop rationnelle de l’espace.

• L’attention de l’artiste se porte sur chaque élément de la demeure: le moindre objet donne lieu à une réflexion qui lie au tout

• Les toiles marouflées sur les murs donnent sa tonalité à l’espace en des harmonies qui s’allègent au fur et à mesure qu’on gravit les niveaux

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décoration• Cohérente• Inspirée par la nature

• Le rapport au monde végétal s’exprime dans la ligne qui concentre en ses circonvolutions une puissance quasi créatrice• La ligne en « coup de fouet » lyrique et stylisée renonce à toute

articulation trop nette, trop rationnelle de l’espace.

• L’attention de l’artiste se porte sur chaque élément de la demeure: le moindre objet donne lieu à une réflexion qui lie au tout

• Les toiles marouflées sur les murs donnent sa tonalité à l’espace en des harmonies qui s’allègent au fur et à mesure qu’on gravit les niveaux

• Les boiseries jouent de modulations selon les essences et la lumière

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décoration• Cohérente• Inspirée par la nature

• Le rapport au monde végétal s’exprime dans la ligne qui concentre en ses circonvolutions une puissance quasi créatrice• La ligne en « coup de fouet » lyrique et stylisée renonce à toute

articulation trop nette, trop rationnelle de l’espace.• L’attention de l’artiste se porte sur chaque élément de

la demeure: le moindre objet donne lieu à une réflexion qui lie au tout

• Les toiles marouflées sur les murs donnent sa tonalité à l’espace en des harmonies qui s’allègent au fur et à mesure qu’on gravit les niveaux

• Les boiseries jouent de modulations selon les essences et la lumière

• Les éléments de ferronneries sont conçus pour être facilement articulés 56

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décoration• Cohérente• Inspirée par la nature

• Le rapport au monde végétal s’exprime dans la ligne qui concentre en ses circonvolutions une puissance quasi créatrice• La ligne en « coup de fouet » lyrique et stylisée renonce à toute

articulation trop nette, trop rationnelle de l’espace.• L’attention de l’artiste se porte sur chaque élément de la

demeure: le moindre objet donne lieu à une réflexion qui lie au tout

• Les toiles marouflées sur les murs donnent sa tonalité à l’espace en des harmonies qui s’allègent au fur et à mesure qu’on gravit les niveaux

• Les boiseries jouent de modulations selon les essences et la lumière

• Les éléments de ferronneries sont conçus pour être facilement articulés

• Aération et chauffage sont réfléchis pour obtenir un rendement maximal 58

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59Victor HORTA, maison personnelle, 1898-1901.

60Victor HORTA, Hôtel Max Hallet, 1903-1906.

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61Hector Guimard, Le Castel Béranger, 1895-1898.

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Edicule Guimard, Paris.

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Gustave STRAUVEN, Maison Saint-Cyr, 1901-1903.

Palais du vin, 1909.

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Maison Paul Cauchie, 1905.

P. HANKAR, Maison Ciamberlani, 1897.

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Josef Hoffmann, Palais Stoclet, 1903-1904

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Joseph Maria Olbrich , Pavillon de la Sécession, 1897.

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Adolf LOOS, Café Muséum, Vienne, 1899

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69Charles Rennie Mackintosh, Glasgow School of Art, 1897 et 1909.

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Siegfried BING (1838-1905)

Magasin : 19 Rue Chauchat et 22 Rue de Provence:

• L’Art japonais en 1884;• L'Art nouveau en 1895

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Alphonse MUCHA, Job, 1897.

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Privat LIVEMONT, Biscuits et chocolat Delacre, 1896.76

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Audrey Beardsley, le paon, 1893 – illustration pour Salomé

78George de Feure, seau à glace, 1902, vendu par L’Art nouveau de S. Bing.

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RENÉ LA

LIQUE

peigne « orchidée », vers 1903-1904, corne, or, citrine, et ivoire, 14 x 16 cm, Museu Gulbenkian, Lisbonne.

Pectoral « Paon », vers 1899-1900, or, diamants et émaux, 9, 2 x 19 cm, Museu Gulbenkian, Lisbonne.

80Pectoral « Serpents », vers 1898-1899, or et émaux, 21 x 14,3 cm, MuseuGulbenkian, Lisbonne.

Psyché « Serpents », vers 1898-1899, bronze, 169 cm, Museu Gulbenkian, Lisbonne.

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MIC

HAEL THO

NET (1796-1871)

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Bain de vapeur : 20 à 40 minutes

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83N°14, édition de 1859 N°14, édition de 1881

Aujourd’hui : n°214

N°14K, édition actuelle

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Première estampille en creux de 1850 à 1860

étiquette de 1888 à 1922

étiquette de 1922 à 1940

estampille en creux de 1860 à 1888

estampille à l’encre de 1888 à 1922

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La chaise n°1, vers 1858

88Le fauteuil à bascule n°1, 1860

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89Mathieu Lehanneur, Porte-manteau [After Thonet], 2003

90MAK – Musée des Art appliqués/Art contemporain de Vienne.Installation de l’artiste Barbara Bloom

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93https://www.youtube.com/watch?v=G7pPXEG26zQ

Antoni GAUDÍ, Casa Batlló, 1904-1906.

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Boiserie du salon du Bois du pavillon de l’Union Centrale des Arts Décoratifs à l’Exposition universelle de Paris en 1900.

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Alexandre Charpentier, Alexandre Bigot, Fontaine Boiserie de salle à manger entre 1900 et 1901

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Hector Guimard, Fauteuil, vers 1898, noyer d'Amérique et garniture moderne, 116 x 68 x 52 cm, musée d'Orsay, Paris.

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Hector Guimard, Fauteuil provenant du Castel Val, 1903 poirier, garniture originale en cuir repoussé et ciselé, 106 x 76 x 56, musée d'Orsay, Paris.

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99Hector Guimard, Lit vers 1903, poirier mouluré et sculpté, MAD, Paris

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Hector Guimard, Miroir de dessus de cheminée, vers 1910, bois sculpté et doré, 134,3 x 88 x 58 cm, musée d'Orsay, Paris.

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Alexandre Louis-Marie Charpentier, pupitre à musique, vers 1901, piètement et cadre du pupitre en charme ciré, pupitre en placage de tamo, MAD, Paris.

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Emile GALLÉ, Les Ombellules, vers 1900, bureau de dame : robinier mouluré et sculpté, marqueterie de bois variés, 160 x 84 x 55 cm, musée d'Orsay, Paris

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Emile GALLÉ, Table à jeu, 1902-1904, noyer et cèdre du Honduras mouluré, marqueterie de bois variés, 76 x 56 x 57 cm, musée d'Orsay, Paris

104Emile GALLÉ, Chaise de salle à manger, 1904-1905, noyer mouluré et sculpté, ajouré ; garniture en velours, MAD, Paris.

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Emile GALLÉ, Chaise « Aux ombelles », 1904-1905, Hêtre mouluré, sculpté, ajouré. Garniture en velours, MAD, Paris.

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Emile GALLÉ, Desserte : la moisson, 1904-1905, noyer mouluré et sculpté, marqueterie de bois polychromes, bronze ciselé et doré, MAD, Paris.

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Pérol Frères, Mobilier de salle à manger : desserte,1900 acajou chromaté poli et verni, cuivre doré, grès, 229,5 x 154 x 51,9 cm, musée d'Orsay, Paris.

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Pérol Frères, Mobilier de salle à manger : fauteuil,1900 acajou chromaté poli et verni, cuivre doré, grès, 94,5 x 57 x55,5 cm, musée d'Orsay, Paris.

110Pérol Frères, Mobilier de salle à manger : table, 1900, acajou chromaté poli et verni, cuivre doré, 75, 4 x 156,7 x 128,3 cm, musée d'Orsay, Paris.

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PérolFrères, Mobilier de salle à manger : jardinière, 1900, acajou chromatépoli et verni, cuivre, 81 x 90 x 38,5 cm, musée d'Orsay, Paris.

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Louis Majorelle, Guéridon : Orchidées, vers 1902, amarante mouluré, orme chenillé, bronzes ciselés et dorés, 77 x 56 cm, musée d'Orsay, Paris.

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Louis Majorelle, bureau : Orchidées,entre1905-1909, acajou, amourette, bronzes dorés et ciselés, cuivre, cuir ciselé et repoussé, 95 x 170 x 70 cm, musée d'Orsay, Paris.

114Louis Majorelle, Mobilier de chambre à coucher de Georges Rouard, vers 1900, MAD, Paris.

bâti en chêne, moulures en noyer à patine verte, panneaux et longs-pans en placage de montouchi, marqueterie de palissandre, citronnier, loupe d'orme, corail, amarante, bois de violette, charme, sycomore, bois de rose, cuivre rouge

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Louis Majorelle, Fauteuil, 1898-1899, noyer, placage de palissandre de Rio, marqueterie de bois variés et couverture originale en velours de coton, Musée d’Orsay, Paris.

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Eugenio Quarti, Bureau-coiffeuse,vers 1898, noyer incrusté de filets de laiton et nacre formant un décor floral, deux tiroirs latéraux pivotants sous tablette de cristal, 78,5 x 53 x 79,5 cm, musée d'Orsay, Paris.

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117Paul Auscher, Tabouret ou Support,1911-1912 citronnier de Ceylan, peinture à l'huile, Musée d’Orsay, Paris.

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Paul Auscher, Table à abattants, vers 1911, citronnier de Ceylan orné de motifs peints, Musée d’Orsay, Paris.

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Carlo Bugatti, Chaise de salle à manger, entre 1904 et 1910, acajou à filets de bois clair, parchemin de chèvre peint et doré, crayon bleu, 114 x 45,3 x 50 cm, musée d'Orsay, Paris.

120Paul HANKAR, Tabouret, 1897.

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Gustave Serrurier-Bovy, Mobilier de chambre à coucher, 1899 acajou ciré, laiton, panneaux de soie originaux brodés et peints au pochoir, avec broderies d'application, Orsay

122Gustave Serrurier-Bovy, Mobilier de chambre à coucher : coiffeuse, 1899 acajou ciré et laiton, Musée d’Orsay, Paris.

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Gustave Serrurier-Bovy, Mobilier de chambre à coucher : armoire, 1899, acajou ciré et laiton, Musée d’Orsay, Paris.

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Gustave Serrurier-Bovy, chaise de salle à manger : Réséda, entre 1905 et 1908, chêne, laiton, garniture originale en velours, musée d’Orsay, Paris.

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125Gustave SERRURIER-BOVY, Table de nuit « Silex », 1905, peuplier, 79 x 42 x 37 cm.

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Gustave SERRURIER-BOVY, Lit « Silex », 1905, peuplier.

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Gustave SERRURIER-BOVY, coiffeuse et armoire « Silex », 1905, peuplier.

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Henry Van de Velde, écritoire de dame, vers 1897 acajou moucheté de Cuba (ou de Saint-Domingue) et cuir original, Musée d’Orsay, Paris.