pierre cesaro pôle neurolocomoteur inserm u 841 npi ghu chenevier mondor créteil (france)
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Maladie de Parkinson: Neurostimulation chronique du noyau subthalamique Vina del Mar, 15 mars 2008. Pierre Cesaro Pôle neurolocomoteur INSERM U 841 NPI GHU Chenevier Mondor Créteil (France). Stimulation thalamique. Grenoble Pr. A.Benabid 1993. Stimulation sous thalamique. - PowerPoint PPT PresentationTRANSCRIPT
Maladie de Parkinson:Neurostimulation chronique du
noyau subthalamiqueVina del Mar, 15 mars 2008
Pierre CesaroPôle neurolocomoteurINSERM U 841 NPI
GHU Chenevier MondorCréteil (France)
U.421 IM3
Coupe coronale
Stimulation thalamique
Stimulation sous thalamique
Stimulation Pallidale
Grenoble Pr. A.Benabid 1993
Stimulation cérébrale profonde
Activité en France 1993-2008
• 1993: 4 centres, 20 en 2008
• 300 nouveaux patients/an
• Impact du changement de pile (7ans)
• > 3000 sujets implantés parmi 140000 patients atteints de MPI
Rationnel, selon le modèle « classique »
NEUROPHYSIOLOGIE:chez les patients:
« local field potentials »
The prominent LFP power over 8–30 Hz was suppressed during DBS
Technique: une équipe multidisciplinaire
Neurochirurgien
Neurologue…
Mais également:Neuroradiologue,NeurophysiologisteAnesthésistePsychologue…
Chirurgie : Stimulation cérébrale profonde
Neurophysiologie
IRM StéréotaxiqueVentriculographie
Tests cliniques
Anesthésie
Electrodes
100
70
40
30
Anesthésie généraleMonitoring de l’anesthésie par le système BIS (Bispectral Index)
(Inana Gabriel)
Traitement antiepileptique peropératoire (Rivotril/24h ± Tegretol/72h)
Neuronavigation
TDM non Stéréotaxique J+7
IRM T1 et T2 la veille J-1
TDM Stéréotaxique J0
Système Stimloc
Plus de précision dans le positionnement final
Réduction du temps opératoire de 45 min
Plus discret sous la peau
Electrophysiologie
STN
Macro-éléctrode (>1 mm diameter)
Semi-micro-éléctrode (50-150 m) champs locaux Micro-éléctrodes (1-25 m)
(Jean Pascal Le Faucheur & Hélène Lepetit)
Amplitude/Tours
2 microélectrodes simultanées
Effets thérapeutiques moteurs
1995
Bons résultats: > 70% des patients 50% diminuent les médicaments; 20%
stoppent
AMELIORE
• Akinésie• Rigidité• tremblement• On/off• dyskinésies• Sommeil• marche
PEU/PAS AMELIORE
• Parole
• Déglutition
• Équilibre, Troubles posturaux et chutes
• Signes non DOPAsensibles
Effets secondaires immédiats
• Hémorragies: 1% des trajectoires, dont 10% cliniques
• Confusion post opératoire
• Etats « hyperdopaminergiques » avec dyskinésies, hallucinations, et troubles du comportement
• Infections générales (pneumopathies)
• Infections locales ou cutanées
• Retrait du matériel
• Fracture/déplacement
Effets secondaires tardifs
APATHIE• Dans les trois à douze
mois suivant l’implantation des électrodes,
• Si réduction majeure du traitement dopaminergique
• .antidépresseurs pas efficaces,
• Le traitement dopaminergique améliore
TROUBLES MOTEURS• Apraxie d’ouverture des
paupières• Dysarthrie• Dyskinésies
DIVERS• Dépression « aigue »• Rires• Prise de poids
Autres recherches
indication• État général (insuffisance viscérale, maladie grave ou cancer évolutif)
• État cognitif démence (échelle Mattis > 130, indication à discuter si 120 < score < 130) Syndrome frontal mineur ou modéré accepté
• État psychique/comportemental psychose ou dépression sévère Discussion si antécédent psychiatrique sévère; Sujet compliant, capable d’anticiper les résultats attendus de la chirurgie, motivé, ouvert à l’accompagnement psychothérapeutique
• Médicaments Pas d’addiction aux médicaments antiparkinsoniens Pas d’anticoagulants, aspirine, AINS, lisuride (arrêt possible en période opératoire)
• Type de syndrome parkinsonien MP idiopathique§, > 5 ans d’évolution pour assurer le diagnostic, < 70 ans; Parkinsonisme dopasensible comme le parkinsonisme juvénile autosomique récessif Sévérité: Invalidité intermittente pour certains AVQ, activité professionnelle compromise
• Dopasensibilité Persistance d’une bonne réactivité à la L-dopa, sauf forme tremblante prédominante (test à la dopa avec dose supraliminaire, réponse L-dopa prédictive de la réponse chirurgicale)
• IRM Pas d’atrophie sévère Pas d’hypersignaux en pondération T2 Pas d’anomalie sur le trajet théorique de la chirurgie (MAV, kyste arachnoïdien)
Bilan préopératoire
TOUS PATIENTS• Durée de suivi > 3
mois• Optimisation du
traitement médical• Test à la L-Dopa• Echelle de Mattis• IRM• Discussion
collégiale
OPTIONNEL• Avis psychiatre• Contrôle Mattis> 6
mois• Bilan anesthésique• Cas particuliers:
ex:tremblement majeur chez un professionnel
DECISION COLLEGIALE
Modifications de parametres
Nouvelles cibles (Fraix et coll,2004)
Cortex moteur, centre médiannoyau pédonculo-pontin…
Nouvelles recherches
Psychochirurgie
• TOC
• Tourette
• Dépression
• Halucinations
Divers
• Dystonies
• Obésité
• Mémoire
• Algies faciales rebelles
• AVC
CELLULES SOUCHES: EMBRYONNAIRES OU ADULTES?
L’équipe de Créteil, GH Chenevier-Mondor
NeurochirurgieYves KeravelJean Paul NguyenStéphane PalfiBechir Jarraya
NeurologieAnne-Caterine Bachoud LeviYarra BeaugendrePierre CesaroGilles FenelonJean Marc GurruchagaAnne LeroyPhilippe RemyGabriel Villafane
NeurophysiologieJean Pascal Lefaucheur
ImagerieAndré GastonEmmanuel IttiPierre Brugieres
RechercheGroupe NPI, INSERM U 841CNRS URA 345Philippe Hantraye