nick - french essay 2[1]

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Avant Mois, Le Déluge. Je regardais le scalpel pendant qu’il coupait la chair. Il faisait une ligne rouge sur la poitrine du corps sans vie qui était posé sur la table par les techniciens médicaux. Je me souviens penser que le corps avait l’air d’être mort. La peau était blanche contre les bleus de la matière hygiénique. Le visage se cachait sous la plastique, l’identité de la personne n’était plus visible. Sur la table, j’ai vu un cadavre. J’ai oublié que c’était une personne avec une famille, un système de croyances, une joie de de vivre. Non. Ce n’était pas une chose vivante. Le surgeon continuait à couper la poitrine jusqu’à il a trouvé l’appendice xiphoïde. Au fait, je contemplais toujours le corps. Comme avant, il n’était pas animé, il n’était pas vivant. Le surgeon a avancé la procédure. Quand l’incision était complète, l’étape prochaine a commencé. Le surgeon a pris la scie. Avec les mains tranquilles, Il l’a appliqué au sternum. L’os était sol sous la lame de la scie. J’ai pensais qu’Il y aurait beaucoup de sang, mais non, Il y a eu seulement l’os. Finis sous la scie, le sternum a séparé. Je l’ai vu. Et dans la poitrine de cette chose que je n’ai pas pensé être vivant, J’ai vu un cœur majestueux. Il battait rapidement. Ici bas l’os, Il y avait de la vie ! A ce moment, je suis devenu plongé dans mes pensées. Pourquoi était-ce que j’ai oublié la vie du corps ? A ce temps, le cœur battait. Pourquoi-était ce que ce corps a été posé immobile, mais dedans, Il y avait une grande coule de sang ? Comment-était ce que je n’ai pu pas voir le déluge du cœur ondulant ? Je pensais, je pensais, je pensais dans cette salle d’opération. La procédure a fini autour de moi. Les docteurs qui s’est accompli la suspense et la réanimation de la vie temps après temps après temps, Ils l’avaient l’habitude. Je n’avais pas l’habitude, j’avais une nouvelle raison d’être. En l’existence de jour en jour, j’oublie souvent le coule du cœur. La seule chose que j’ai vu, il est l’os. Je me réveille, je mange, je cours vers les bâtiments académiques et en attendent le soleil tombe en le ciel. Je dors et je répète la routine. Un autre jour, Il passe sans évènement. Mais, c’est quand on regarde

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French essay written in response to "describe a meaningful event in your life" French 458

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Page 1: Nick - French Essay 2[1]

Avant Mois, Le Déluge.

Je regardais le scalpel pendant qu’il coupait la chair. Il faisait une ligne rouge sur la poitrine du corps sans vie qui était posé sur la table par les techniciens médicaux. Je me souviens penser que le corps avait l’air d’être mort. La peau était blanche contre les bleus de la matière hygiénique. Le visage se cachait sous la plastique, l’identité de la personne n’était plus visible. Sur la table, j’ai vu un cadavre. J’ai oublié que c’était une personne avec une famille, un système de croyances, une joie de de vivre. Non. Ce n’était pas une chose vivante.

Le surgeon continuait à couper la poitrine jusqu’à il a trouvé l’appendice xiphoïde. Au fait, je contemplais toujours le corps. Comme avant, il n’était pas animé, il n’était pas vivant. Le surgeon a avancé la procédure. Quand l’incision était complète, l’étape prochaine a commencé. Le surgeon a pris la scie. Avec les mains tranquilles, Il l’a appliqué au sternum. L’os était sol sous la lame de la scie. J’ai pensais qu’Il y aurait beaucoup de sang, mais non, Il y a eu seulement l’os. Finis sous la scie, le sternum a séparé. Je l’ai vu. Et dans la poitrine de cette chose que je n’ai pas pensé être vivant, J’ai vu un cœur majestueux. Il battait rapidement. Ici bas l’os, Il y avait de la vie ! A ce moment, je suis devenu plongé dans mes pensées. Pourquoi était-ce que j’ai oublié la vie du corps ? A ce temps, le cœur battait. Pourquoi-était ce que ce corps a été posé immobile, mais dedans, Il y avait une grande coule de sang ? Comment-était ce que je n’ai pu pas voir le déluge du cœur ondulant ? Je pensais, je pensais, je pensais dans cette salle d’opération. La procédure a fini autour de moi. Les docteurs qui s’est accompli la suspense et la réanimation de la vie temps après temps après temps, Ils l’avaient l’habitude. Je n’avais pas l’habitude, j’avais une nouvelle raison d’être. En l’existence de jour en jour, j’oublie souvent le coule du cœur. La seule chose que j’ai vu, il est l’os. Je me réveille, je mange, je cours vers les bâtiments académiques et en attendent le soleil tombe en le ciel. Je dors et je répète la routine. Un autre jour, Il passe sans évènement. Mais, c’est quand on regarde seulement l’os du jour. L’os du jour, il a le cafard. Et quand je choisis l’os, Je me trouve comme le corps sur la table. L’existence n’est pas la vie. La vie est théorique. Mais si on choisit chercher pour le cœur sous les évènements superficiels, vous trouvez la coule de la vie. En le matin, voyez le vierge blanc des yeux avant qu’on regarde les premiers moments du jour. Choisissez zieuter en substitue de voir. Tenez-vous sur ses gardes. En vigilance de fraiche date, le ciel noir il n’est pas la seulement chose. on s’aperçois la nuit éclabousse avec les Etoiles. Plus importante, le coure et la vivante et le cœur peux rêver. Les rêves sont l’innocence de vivre, le récif sur ont peux trouver asile dans la mer de merde qui s’appelle « la vie ». Voire, c’est une vie qui mérite vivre.