n°120 - avril 2013 · budgétaire pour 2014/2015/2016. il ne faut pas trop jouer avec les...

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imprimé sur papier recyclé

N°120 - AVRIL 2013

imprimé sur papier recycléHomécourt Magazine • avril 2013 • n° 120 • Directeur de la publication : Jean-Pierre Minella • Conception graphique et rédactionnelle, mise en page : anagram - 54000Impression : Digit’offset • Administration et rédaction : Mairie de Homécourt • Photographies : Lucien Rizzato • Dépôt légal n° 1390 • Tirage à 3200 exemplaires

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CultuRe - FestiVal des RenContRes soCiales

G rand, longiligne, la barbe de troisjours soigneusement entretenue, Jean-Paul Jaud porte sur le monde unregard inquiet : “Pour la première

fois de l’histoire de la terre, les choix qu’on faitrisquent de s’avérer irréversibles. Si on ne ditpas stop aux OGM et au nucléaire, si on neprend pas conscience qu’on nourrit nos autosavant nos enfants (avec les biocarburants), c’estfichu…” Alarmiste, le réalisateur de Nos Enfantsnous accuseront (2008), Severn, la Voix de nosenfants (2010) ou de Tous Cobayes ? (2012),qu’il venait justement présenter au public desRencontres sociales ? “L’urgence est là ! L’agro-alimentaire ne doit pas avoir les mains libres,on doit s’insurger contre ses dysfonctionnements !Surtout quand ils touchent les tout petits…” Etde s’insurger contre “le scandale des cantinesscolaires qui servent des cochonneries auxgamins, alors que manger bio coûterait moinscher !” Sous certaines conditions. “Il s’agit debien choisir ses fournisseurs. C’est un changement

d’habitudes essentiel. Vous avez déjà vu ce qu’onfile aux enfants dans la plupart des cantines ?”

Et de relater les propos du directeur qualité d’unimportant groupe agro-alimentaire nourrissant desmilliers de petits, interrogé pour les besoins d’untournage : “Je le bombardais de questions sur laqualité douteuse de ses produits, leur provenance…quand soudain il a craqué, m’avouant que sa fillede 14 ans en était à sa 2e chimio. Et que depuisqu’elle était malade, chez lui, on ne mangeait plusque des produits bio…” Un paradoxe à faire froiddans le dos : les autres enfants, eux (dans les cantinesscolaires ou les services de pédiatrie), pourraientmal manger sans que quiconque réagisse ? Lesystème tout entier mérite d’être repensé : “Voyezl’aberration : on n’a pas le droit de servir deslégumes cueillis dans le jardin de l’école (cf : NosEnfants nous accuseront). Certains contournent larègle quand-même. Sans cette forme de courageon ne ferait plus rien !” On n’a pas le droit nonplus, quand on est restaurateur, de servir pissenlitsou champignons cueillis dans la nature… maisl’agro-alimentaire nous fait prendre du bœuf pourdu cheval, fabrique des raviolis avec les mêmesrestes de boucherie utilisés pour préparer lescroquettes des chats ou des chiens, nourrit lesvaches avec des moutons et les poissons avec desexcréments, autorise les additifs les plus aberrantsdans les sodas…

Le combat n’en est qu’à ses balbutiements. Carentre discours et politique, le fossé est colossal. Etla pression des différents lobbies, implacable. “Ilm’est arrivé, en pleine projection de mes films, devoir débarquer des membres de fédérationsd’agriculteurs venant semer la zizanie. Mes discoursne plaisent pas, je ne vais pas dans le sens duvent” constate Jean-Paul Jaud. “Voyez la France,premier pays agricole d’Europe, au 3e ou 4e rangmondial : On est à 3% de nos terres agricolesrevenues dans le giron du bio. L’ambition étaitd’atteindre 6% en 2012 et 50% en 2025. Pourcela, il faut une volonté politique. Or l’actuelministre de l’agriculture, M. Le Foll, déroule letapis rouge aux producteurs d’agrocarburants.C’est assez paradoxal, non ?” Reconquérir les

terres nourricières et réapprendre aux enfants lerespect du vivant, de la terre qui les porte, leurinculquer des réflexes aux antipodes de ceuxvéhiculés par nos sociétés de consommation : untravail de longue haleine, presque une croisade.Que Jean-Paul Jaud est bien décidé à poursuivre.Manger bio, choisir de consommer une énergiepropre (Enercoop), préférer le covoiturage, boireun vin biodynamique (“Moins mais mieux !”),refuser d’être victimes passives de la pollution :autant de réflexes citoyens qui préserveront un peudu bonheur de vivre sur Terre auquel nos enfantsont droit. Mais qui s’éloigne peu à peu, faute deprise de conscience collective… �

il est des rencontres qui vousfont grandir. Parce qu’elles

vous contraignent à réfléchirautrement, à faire preuve

de davantage d’honnêtetéavec vous-même.

le réalisateur et parraindu festival 2013 desRencontres sociales,

Jean-Paul Jaud, fait partiede ces hommes rares.

Parce qu’il aime éperdumentses contemporains, il secoue

leurs consciencessans ménagement.

Question de survie !

JEAN-PAUL JAUDparrain, un rôle des plus sérieux

Homécourt Magazine n°120

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Cinéma et spectacle vivant

à la carte pour

l’édition 2013



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C e numéro du magazine municipal met enrelief la diversité de la vie associative, culturelleet sportive de notre ville. Une offre large et

variée mise au service de nos concitoyens, etparticulièrement des jeunes.

Ce tissu associatif témoigne du dynamisme dedizaines de bénévoles et de professionnels quianiment la vie locale et font vivre les équipementsexceptionnels qui font la fierté de notre localité.Dans ce même journal, nous insistons sur les nouvellesconstructions qui se créent petit à petit.

Trente-deux maisons de Meurthe-et-Moselle habitat(MMh), douze maisons seniors en accession à lapropriété, demain neuf autres maisons seniors enlocation. Certes, pour notre malheur, le marché del’immobilier est en difficulté au niveau national (-30% de mise en chantier). Cela affecte encoredavantage des territoires comme le nôtre, qui ontété privés de leur capacité de construction jusqu’en2008 (après-mine).

Malgré ces difficultés, nous continuons les programmesimmobiliers bien que ce marché soit aujourd’hui

frappé par la récession. C’est dans cette conjoncturedifficile que nous menons un travail acharné derevitalisation de notre territoire. Les efforts entrepriset notre persévérance commencent à payer et lesconcrétisations arrivent.

Pour autant, nous ne voulons pas masquer nosinquiétudes face aux coupes financières que veutnous imposer le Gouvernement.

On nous avait annoncé un milliard et demi de coupebudgétaire pour 2014/2015/2016. Il ne faut pas tropjouer avec les recettes des collectivités, ce sont ellesqui animent la vie de la localité et mettent denombreux services à la disposition de nos concitoyens.

Ce sont elles aussi qui représentent 72% descommandes passées aux entreprises du bâtiment etdes travaux publics. Ajouter de la rigueur à la rigueur,c’est aussi pénaliser lourdement les services auxusagers et amplifier le chômage.

Ce cap politique nous mène inexorablement à unerécession inacceptable.

Jean-Pierre MinellaMaire d’Homécourt

Président de la CCPOVice-président du Conseil Général 54

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it

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RECETTES DES COLLECTIVITÉS :VIGILANCE DE MISE

Nouvelle concrétisation des efforts municipaux avec l’inauguration des maisons seniors au Bois de la Sarre

EDITO


tRaVaux-uRbanisMe

L’urbanisme ne cesse de se développer à Homécourt bien que freiné par l’actuelle crise paralysant pourtantle secteur de la construction. Il s’agissait pour la Municipalité d’un engagement qui voit ici encore son

accomplissement. Dix pavillons conçus pour la population Senior vont sortir de terre au centre ville, courantavril 2013. Donnant sur la place Neruda-Allende, dans le prolongement des résidences Meurthe-et-Mosellehabitat (MMh) des Prés-sous-la-Ville, ces huit maisonnettes de type T2 et deux de type T3 seront proposéesà la location, à des loyers plus que modérés puisque s’inscrivant dans les dispositifs PLAI et PLUS (Prêtlocatif aidé d’intégration et Prêt locatif à usage social). La construction privilégiera l’environnement et leséconomies d’énergie : ces maisons respecteront en effet les normes BBC (Bâtiment basse consommation) ;Logi Est a en outre souhaité retenir le principe de maisons à ossature bois, installées sur des parcellesd’environ 4a chacune. Un joli jardin, une maison dans laquelle le confort aura été privilégié, le tout en pleincœur de la localité et à proximité directe de diverses commodités (La Poste, centre culturel, mairie, centresocial…). Pour tout renseignement concernant ce projet, il conviendra de vous adresser à Logi Est (1 rue del'Equerre, 57100 Thionville, tél. 03 82 59 59 80, fax 03 82 59 59 88). �

Des réalisations qui changent la ville Quartiers nouveaux,

lignes électriquesenfouies, reprise de

réseaux et voiries,floriculture en pleine

ébullition : lesopérations menées àbien par les services

techniques de la Villetransforment,

doucement maissûrement, la localité.

tour d’horizon desderniers changements

opérés.


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LOGI EST

L e premier projet de maisons Senior a été mené à bien, au sein du quartier du Bois dela Sarre. Douze coquettes demeures de plain-pied, de belles proportions (70m² et

garage attenant), posées sur des terrains déjà engazonnés de 4,5 a et desservies par uneroute toute neuve. Les propriétaires de ces bâtisses, conçues par la société MTP (Briey),ont eu le plaisir de fêter l’inauguration de leur quartier en présence des entrepreneurs(qui ont souhaité offrir ce moment de partage), du Maire d’Homécourt et de plusieursmembres du Conseil municipal. Une belle réussite que ce lotissement, première étape del’aménagement d’un quartier nouveau : une trentaine de parcelles sont en effet proposéesà la vente par Nexity, MMH ayant décidé de bâtir de nouveaux logements locatifs tandisque le projet de maison de retraite, bien que reporté suite aux mésaventures de l’Amapa,est toujours d’actualité. �

INAUGURATION DE MAISONS SENIOR CHÂTEAU ET HAUTS-COTEAUX

I mpossible de faire l’impasse sur les importants travauxengagés dans le parc du château Gouverneur : le terrain

a été déboisé, et devrait accueillir d’ici peu une quinzainede maisons. Le château lui-même a également été achetéet pourrait lui aussi subir quelques transformations. A laGrande-Fin aussi, la transformation amorcée par laconstruction de résidences MMH, rue Barbara, se poursuit.C’est désormais un lotissement résidentiel de 60 parcellesqui est appelé à sortir de terre. Deux permis de construireont d’ores et déjà été acceptés, pionniers de cette nouvelleextension de la ville. Pour ces deux lotissements, despanneaux donnant toutes les indications nécessaires ontété posés sur ces sites par les promoteurs. Le serviceUrbanisme d’Homécourt est également à même de vousinformer (tél. 03 82 47 15 37). �

Terrains à acquérir à Homécourt

Place Nerruda Allende, nouveau havre pour les seniors


Un pas de plus sera franchi cette année versla gestion différenciée : le plan de tonte

initié l’an passé sera complété cette année (ilfaudra s’habituer à des passages moins nombreuxdes tondeuses, à la préservation de zones nontondues). Mais qu’on se rassure : moins detontes, moins de produits phytosanitaires etune moindre consommation d’eau pour l’arrosagene riment pas avec “ville abandonnée” ! “Nousallons opter pour davantage de vivaces, plantéesen pleine terre, nécessitant donc moinsd’arrosages” indique Kevin Watts, directeurdes services techniques. Moins de suspensionset de bacs, des paillages réduisant les besoinsen désherbants : en matière d’environnement,Homécourt se veut résolument bon élève.“L’arrivée d’un nouvel élément dansl’équipe, aux côtés d’Alain Barthel etde Sébastien Lopez, constitue une bonnechose. Avec son BTS d’aménagementpaysager, Max Tassotapporte des idées, destechniques nouvelles.”Pour l’heure, le jeune

homme se familiarise avec la ville et accompagneles idées de ses collègues : ainsi Alain Barthel,féru de nature, est-il à l’origine des hôtels àinsectes conçus aux ateliers. Bravo aussi pourles nichoirs réalisés par les mêmes, et installésaux quatre coins de la localité. Notes demusiques et compositions de fer forgé onttrouvé leur place ici ou là, conférant à Homécourtun air de printemps avant l’heure… “Nousallons aussi développer de nouveaux massifsfleuris, notamment près de Ville-Plurielle (côtéLieu d’Accueil Parents Enfants), aux abordsdu Haut-des-Tappes, le long du FPA…”Davantage de fleurs et un plus grand respectde l’environnement : l’avenir se veut vert àHomécourt ! �

MAIS AUSSI…Centre technique municipal

Du nouveau du côté des ateliers : les techniciensmunicipaux disposent désormais de douches

neuves, essentielles après une journée de travail.Enfin, pour une parfaite gestion des stocks, un hangarà sel va être réalisé dans les semaines à venir :indispensable avec l’arrivée de la saison hivernale. �

Rond-point Carnot

T ravaux en vue ! Ilots retirés et remplacés par unenrobé sain, réalisation du marquage au sol et

reprise des bordures : le rond-point fera peau neuvedès ce printemps. Une opération financée par lesservices de la Ville et du Département. �

Chasse-roue rue Carnot

Pour que cessent les passages de camions sur letrottoir, à hauteur du café de l’Abattoir, des

bordures chasse-roues vont être installées sur letrottoir dans les jours à venir. Un abaissé de trottoirdestiné aux personnes à mobilité réduite sera égalementmis en place. �

Enfouissement de ligne 20 000V

U ne ligne haute tension de moins, voilà quiaméliore le paysage ! Les travaux engagés

dès décembre à la Petite-Fin par ERDF vont bientôts’achever. Les rues Barbusse, Commune-de-Paris,Romain-Rolland sont encore en chantier ; toutdevrait être réglé avant fin avril. �

Voiries et réseaux

A ttention, chantier ! La rentrée de septembre seracelle des renouvellements de voiries et réseaux

divers pour les rues Sépulchre et Basse-Soulieu. Unchantier dont la facture s’élève à 500 000€, dont laquasi-totalité sera subventionnée (Etat, Région,Département). Réseaux d’eau et d’assainissementneufs (branchements + conduites), reprise des enrobéset suppression des trottoirs au programme. L’heureest aujourd’hui à l’information des riverains, dontles jardins seront impactés (mais remis à neuf). �

Avenue de la République

Oubliée, la vieille clôture de béton longeant la voieferrée. Les frais de remplacement par une clôture

métallique étant partagés, à parts égales, par la ville etla SNCF. Démarrage en septembre. A noter qu’au FPAaussi, un grillage rigide neuf vient d’être posé. �

Sens unique rue Emile-Zola

Les riverains, excédés par le stationnement anarchiqueinduit par les entrées et sorties d’école, ont plaidé

pour un passage de leur rue en sens unique (vers le basde la rue). Message reçu : signalisations horizontale etverticale seront mises en place dès les beaux jours. �

Véhicule électrique

Une Renault Kangoo électrique sera désormais utiliséepour le portage des repas. Un choix écologique

plébiscité par le Centre Communal d’Action Sociale. �


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FLORICULTUREpour un avenir

plus vert

après un hiver passé à épaulerleurs collègues (déneigement, entretien

des bâtiments…), les trois jardiniersmunicipaux se préparent à rendre à la ville ses

couleurs estivales. Pour une belle saison au top, le travailde préparation est essentiel. la preuve…

Nichoirs, bacs à fleurs, hôtel à insectes :autant de réalisations des techniciens municipaux



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eduCation – RéFoRMe

“ R ien ne sert de courir, il fautpartir à point”: Esope enson temps , Jean de laFontaine quelques siècles

plus tard, l’assuraient déjà. Aux élus du conseilmunicipal d’Homécourt de s’approprier l’adage,dans le cadre particulièrement sensible de laréforme des rythmes scolaires. Il était en effetessentiel, avant de décider si cette réformedevait se mettre en place à la rentrée 2013 ou

l’année suivante, de savoir ce qu’elle impliquait.A savoir : un nouveau découpage du temps desenfants, des enseignants ainsi que des structuresd’accueil périscolaire (passage de la semainede cours de 4 à 4,5 jours). Impératif soulignétant par les enseignants que par les élus, “quetous les enfants aient accès au même contenud’enseignement”. Or telle qu’amenée, la réformene permet pas cela. “La concertation entre élus,enseignants et parents d’élèves élus, a abouti

à la conclusion que cette réforme, telle qu’elleest mise en place ne ferait que renforcer lesdisparités” indiquent les élus. Claire Reichling,adjointe aux affaires scolaires, de poursuivre :“La mise en place de cette réforme dès à présentest complexe du fait du découpage temporairequ’elle implique (par tranches de 3/4h)”.

N’y voyez pas d’opposition systématique maisun rejet basé sur un constat simple, comme lesouligne le premier magistrat : “Par le passé,dans le cadre de certaines réformes (les classesde pratiques culturelles initiées par Jack Langnotamment), les collectivités ont montré qu’ellesétaient à même de s’impliquer intelligemment.Là, on nous demande des choses floues ! Or ilest essentiel que tout ce qui est dans le champde l’Education Nationale soit géré par cettedernière !” La Ville d’Homécourt attendra doncla rentrée 2014/2015 pour franchir le pas. Lesmercredis resteront chômés une année scolaireencore pour nos p’tits loups. Le temps que leGouvernement réfléchisse aux moyens à mettreen face de sa réforme ? “C’est essentiel, acquiesceJean-Pierre Minella. Si on commence à mégoter,on ne fera que renforcer les inégalités. En ignorant,qui plus est, l’impact sur certaines structurescomme la CAF…” Bref, Homécourt ne veut pasd’une réforme “mal ficelée, impossible à organiser,sans avantages pour les enfants et empêchant lemontage de projets”. Les élus et les enseignantsattendent de pied ferme des propositions sérieuses,qui tiendraient compte des commentaires entendusde façon forte au niveau nationale. �

Rythmes scolaires : savoir prendre son temps

Que sont les millions devenus ? depuis janvier, les élus du

territoire communautaire tirentla sonnette d’alarme, en quête

des 2,867M€ de la part“communes concernées” du

fonds départemental depéréquation de la taxe

professionnelle provenant del’écrêtement de l’entreprise

sovab. une somme à répartirentre une cinquantaine de

communes, toutes sansnouvelles de leur dû.

u n peu gros… “Pour Homécourt, cela représente une somme d’environ300 000€” indique un Jean-Pierre Minella à la patience de plus en plusélimée. “Les budgets des collectivités sont dangereusement étranglés, alorsimpossible de faire comme si cette “disparition” était sans conséquences.”

Une évaporation bien difficile à justifier, qui n’a d’ailleurs toujours pas été expliquéepar les services de l’Etat : “Nous avons interrogé le préfet de Meurthe-et-Mosellequi nous a répondu, mi février, qu’il craignait de ne pouvoir mandater les sommesen question”. Abasourdis, les élus refusent d’y croire et s’adressent à Bercy. Sansobtenir davantage d’éclaircissements. En gros, cette recette est bien prévue dans laloi de finance adoptée par les parlementaires à l’automne dernier, mais rien n’estdéfini quant à son affectation. Face à la grogne des élus, les services de l’Etat onttout de même consenti, depuis, quelques confidences à demi-mots : les 2,8M€existent. Reste à remettre la main dessus pour pouvoir verser aux communes lessommes attendues. D’ici là, les budgets seront bouclés à marche forcée. Pas d’autrechoix pour des collectivités qui redoutent que d’autres mauvaises surprises ne leursoient réservées à l’avenir. “Mais une chose est certaine, nous refusons de perdre ces sommes ! Cela mettraitnotre budget en grande difficulté. Tout sera engagé pour que nous retrouvions ces2,8M€ qui nous appartiennent.” �

Parce que l’égalité des chances (et des contenus enseignés)doivent rester la priorité de l’education nationale, parce qu’ilest essentiel que la réforme du temps scolaire s’accompagnede moyens financiers adaptés, la Municipalité attendra 2014pour franchir le pas de la semaine de 4,5 jours. une rentréesimilaire à celle de 78 % des écoliers français



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il y a six ans maintenant,alain aissaoui a été recruté

sur plusieurs missions, dontla médiation. Ce rôle est

particulièrement sensible,à une époque où sévissentincivilités, querelles entre

voisins et oùles démarcheurs indélicats

cherchent quasiquotidiennement à berner

les personnes les plusfragiles. autant de réalités

devenues,malheureusement,monnaie courante.

Incivilités et conflitsChaque semaine, le médiateur de la Ville d’Homécourttravaille avec le sous-brigradier Philippe Kedzierskides services de police du commissariat de Briey.Mise en place de rencontres entre les parties opposéesdans des conflits, démarches auprès des contrevenants(visites à domicile), anticipation des problèmes devoisinage, conseils aux différents protagonistes :tout cela sert à apaiser les tensions, à éviter lesrecours devant les tribunaux, et parfois, remet dulien social là où les gens ne se parlaient plus.

Constats d’incivilités, verbalisation,intervention de la policeUne fois des délits constatés, des rencontres ontlieu en mairie, en présence du premier magistrat,des responsables de la commission citoyenneté etdu commandant de police. Ces rencontres permettentla confrontation de personnes responsable de délitset débouchent, à chaque fois que la Municipalitésubit des dégradations, sur des dépôts de plainteset des poursuites. Cela permet aussi des confrontationsparents-enfants lorsque ce sont des mineurs quisont en cause. Le médiateur accompagne aussi desvictimes dans les démarches auprès des servicesde police, et s’il le faut, auprès des autorités judiciaires.

Démarcheurs indélicatsDe manière régulière, des dizaines de personnessont abusées par des démarcheurs qui, sous couvertd’économies (fourniture d’énergie, téléphonie,toiture…), font signer des contrats en n’annonçantpas clairement de quoi il retourne. Le médiateur atraité plus de cent dossiers d’annulation de cescontrats, recours qui ont été couronnés de succès

sans dépenses supplémentaires pour les victimes.Ce sont souvent des personnes âgées ou en état defaiblesse qui sont ciblées par de telles pratiques etqui ont pu être rétablies dans leurs droits grâce àl’intervention du médiateur.

Liaisons avec les référents de quartiersLe médiateur est aussi en liaison avec les référentsqui œuvrent sur divers secteurs de la localité pourrétablir ou préserver le lien social et servir derelais auprès de la municipalité.

Une mission importanteSans entrer davantage dans les détails de la fonctionde médiateur, soulignons combien le volume detravail est conséquent. Chaque intervention demandel’exécution de multiples tâches et démarches. Lemédiateur est aussi chargé, avec le représentant dela Police nationale, de la mise en fourrière desvoitures abandonnées ou hors service. Tout celadans le cadre évident du respect des lois… ce quinous ramène aux démarches multiples et parfoisfastidieuses citées plus haut. Ce poste, rarementmis en avant, constitue pourtant un service importantet permanent d’aide aux personnes, une garantiede respect du droit.

Le médiateur n’a pas, ce serait trop beau, lapossibilité de régler tous les conflits. Mais letravail réalisé ces dernières années mérite unevalorisation particulière. La meilleure preuve decette affirmation est que la réputation du médiateurn’est plus à faire, comme en attestent les maintesdemandes d’intervention affluant sur son bureau ! �

Jean-Pierre Minella

LE MÉDIATEUR aide, écoute et application de la loi

soCiete

La médiation : un service public de proximité


Citoyenneté

RÉFÉRENTS DE QUARTIERS,des bénévoles au service de leur ville

en décembre dernier, date àlaquelle les premiers floconsont envahi notre vallée, une

sympathique cérémonie amis en place les 20 référents

de quartier qui sont déjàentrés en fonction avec

enthousiasme.

Jean toniolo Maire adjoint délégué à la citoyenneté et à la sécurité publique

Des élus et des bénévoles, confiants en la démocratie participative

J ean-Pierre Minella, maire de la ville aremercié ces 20 volontaires qui se mettentau service de la collectivité pour être celien entre la population et la ville. Il a salué

également le remarquable travail de la commissioncitoyenneté qui a fait preuve de pugnacité durantces derniers mois afin de mener à bien ce projetqui s’inscrit dans une politique de rapprochementdes quartiers, à l'écoute des riverains, et aux côtésdes associations homécourtoises, tout ceci formantun tissu social fort et riche. Il a ensuite remis, aunom de la collectivité, à chacun des référents dequartier, une carte officielle à leur nom et prénomqui leur servira à justifier leur fonction dans leursdémarches au sein des rues de la ville. Son adjointen charge de la citoyenneté, Jean Toniolo, a pris àson tour la parole pour expliquer une nouvelle foisla philosophie de cette initiative, faisant fi descritiques infondées de certains élus sans doute peuau fait du dossier.“Il se dit que la démocratie est la chose la moinsbien partagée... Faire lien social ne s'improvisepas. C'est une construction méthodique, régulière,et la volonté chevillée au corps de renforcer celien avec les quartiers, pour que le bien vivreensemble prenne tout son sens.

C'est ce leitmotiv qui a mené la commissioncitoyenneté à s'emparer de ce qui était un engagementde campagne en 2008 et à faire aboutir cette équipede référents de quartier, 20 volontaires au servicedu dialogue citoyen.20 bénévoles pleins de bonne volonté et disponiblespour devenir trait d'union entre la ville, ses élus,les services municipaux et les habitants de nosquartiers afin de proposer, suggérer, amélioreraussi ce qui peut l'être dans des champs d'interventiondéfinis dans la charte que chacun d'entre vous avezsignée (Espaces publics, dégradations et incivilités,propreté et embellissement, stationnement-circulation,éclairage public, aménagement de voirie...). 20citoyens dans la diversité de leurs origines, leurhistoire, leur personnalité feront la richesse dugroupe.Beaucoup de questions ont été posées sur lesproblématiques du quotidien, les soucis rencontréspar les habitants, des suggestions aussi ont étéfaites... Tout cela est riche de contacts et utile pournourrir les premières actions de nos référents dequartier qui se sont déjà mis au travail et qui ontcommencé à saisir Alain Aissaoui qui est le réceptacledes demandes écrites formulées par les référents.Avec une ambition: éclairer au maximum les

riverains des politiques menées par notre ville enpartageant les projets, et une exigence: apporterdes réponses dans la mesure du possible à celleset ceux qui nous sollicitent. Il n'y a rien de pirequ'un courrier resté dans un tiroir ou dans unepile, un appel téléphonique sans lendemain, unerequête prise à la légère...Les référents se veulent porteur d'une aspiration:agir pour améliorer l'image de notre ville et participerà son développement afin de mieux aider les élusà appréhender les problèmes de nos quartiers maisaussi à être en proposition. “Ce n'est pas l'utopie qui est dangereuse, car elleest indispensable à l'évolution. C'est le dogmatisme,que certains utilisent pour maintenir leur pouvoir,leurs prérogatives et leur dominance.” disait HenriLaborit.À Homécourt, ce n'est pas la manière dont nousvoulons concevoir la politique.L’accueil des administrés observé ces premiersmois et l’implication dans leurs missions initialesportées par nos référents démontrent que noussommes dans le vrai : ce besoin d’échanges, deremontées des critiques (car elles existent et nepeuvent être édulcorées), ou de propositions sontencourageantes.” �

LA COMMISSION CITOYENNETÉ ÉTOFFE SES COMPÉTENCESen prenant en charge la délégation “sécurité de l’espace public”E n novembre dernier, une légère réorganisation

de l’exécutif a permis à Jean-Claude Bareytde devenir adjoint au maire en charge de l’urbanismeet à Gisèle Bourgasser, conseillère municipaledéléguée à la circulation et au stationnement.Désormais, et dans une forme de continuité del’action engagée par la commission citoyenneté,

c’est Jean Toniolo, adjoint au maire, qui reprendla délégation désormais appelée “sécurité de l’espacepublic”. En lien direct avec la police nationale etle médiateur municipal, cette délégation a pour butde travailler au plus près des attentes expriméespar les administrés et des quartiers: veiller à mieuxprévenir les soucis récurrents d’incivilité, detranquillité et de salubrité publique. Tout ceci, dansun climat de sensibilisation et de dialogue, maisaussi de fermeté afin de préserver le bien vivreensemble qui a fait la richesse humaine de notrecité. Car il n'est plus possible de se voiler la face:la société devient de plus en plus violente, alorsque les moyens mis à la disposition des communeset des citoyens n'ont eux, cessé de régresser(fermetures de commissariats, de gendarmeries...)à une époque où sévissent incivilités grandissantes,querelles de voisinage, non respect des règles de

bonne conduite… Aussi, pas question de fairepreuve d'angélisme, mais nécessité pour la majoritémunicipale de mettre en conformité la paroleaux actes: une main de velours dans un gant defer en quelque sorte. Car après le temps desconstats, doit venir le temps de la verbalisationet de la sanction policière ou judiciaire. C'estpeut être un mal pour un bien, mais utile si l'onveut préserver cette relative tranquillité, bienessentiel et premier auquel ont droit les habitantsde nos quartiers. Un travail efficient avec lacommission circulation et stationnement (pource qui relève des incivilités routières et de lasécurisation des sorties d'école), mais aussi avecles référents de quartier et la police est déjàengagé afin de démontrer que la municipalitéprend en compte cette évolution sociétale et saitaussi anticiper les problèmes. �


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a rrivée au sein du service Etat Civil, sur la pointe des pieds voici troisdécennies, Mireille Spiess est depuis de longues années, le lien directet fidèle de la Direction Générale, dont elle assure le secrétariat.Mais Mireille est plus que cela, c’est une assistante efficace, parfaitement

au fait des arcanes administratives et l’une des mémoires de la vie municipale.

Ainsi, au-delà de l’accueil physique et téléphonique, du suivi des courriers divers,c’est elle qui assure la préparation des dossiers pour les séances de conseilmunicipal (par l’élaboration des notes de synthèse), le suivi des délibérations etdes comptes rendus.

Mireille est aussi en charge de la rédaction des décisions : fêtes, sinistres, emprunts,reprise concessions cimetière, des arrêtés de délégations de fonctions, signatures,officiers d’état-civil élus et personnel, placements d’office, de la confection etla diffusion du recueil des actes administratifs, le suivi de la formation desélus, et quelques autres dossiers bien spécifiques et plus anecdotiques (Jurycriminel, Permis pour chiens dangereux…).

Enfin, Mireille Spiess est l’incontournable interlocuteur dans la préparationdes élections quant aux permanences des assesseurs et du personnel communal.

Françoise Pegurri quant à elle est chargée du secrétariat des Adjoints.

C’est elle que les élus viennent “embêter”, lorsqu’ils ont un courrierurgent, une note à saisir, une salle à réserver en dernière minute pour latenue de réunions… Bref, c’est souvent l’ébullition dans son bureau, carchaque élu a ses urgences et ses priorités…

Françoise gère donc le suivi des invitations, des compte-rendus decommissions, mais aussi la mise à jour du fichier des élus, des congés deceux-ci, sans oublier le fichier des associations sportives et culturelles.

Françoise Pegurri est en charge d’apporter accusés de réception et réponsesaux demandes d’emploi en parfaite symbiose avec la direction des ressourceshumaines et le secrétariat de la Direction Générale.

Enfin, la benjamine, Laure Brochetto, est chargée du secrétariat duCabinet du maire.

Elle assure notamment l’accueil physique et téléphonique, les prises derendez-vous, les notes à retranscrire, les comptes rendus des bureauxmunicipaux, les courriers du Cabinet en ligne directe avec le maire.

Mais elle a aussi un rôle important bien que souvent ingrat : celuid’assurer le suivi de la mise à disposition des véhicules aux élus etagents, ce qui n’est pas toujours une sinécure, tout comme le prêt de

matériel (en lien avec le service technique).

Elle a la charge du secrétariat de la commission des Fêtes et Cérémonies :courriers, suivi des manifestations, commandes et suivi du planning deréservation des salles pour réunions internes ou externes.

Enfin, elle épaule le secrétariat de la direction générale et effectue quelquestâches comptables comme le mandatement et l’émission de titres de recettes.

Si vous avez l’occasion de gravir l’escalier central et de vous retrouver au

1er étage de votre mairie, nul doute qu’il vous arrivera de croiser, si ce n’est

déjà fait, ces agents territoriaux, tout dévoués au service public, qui œuvrent

avec gentillesse et discrétion au service des administrés homécourtois. �

Jean tonioloMaire adjoint délégué au personnel communal

dans ce numéro printanier d’HomécourtMagazine, nous poursuivons la présentation

des services administratifs municipaux.il s’agit plus particulièrement du pôle

secrétariat en relation avec les éluset la direction générale. Focus ce trimestre

sur Mireille spiess, Françoise Pegurriet laure brochetto.

seRViCes MuniCiPaux

SECRÉTARIAT : efficacité et diponibilitégrâce à la complémentarité


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Mireille Spiess au secrétariat

de la direction générale

Françoise Pegurri

au secrétariat des adjoints

Laure Brochetto

au secrétariat du cabinet du Maire


née en 1996, la Flèchehomécourtoise rassemble une

trentaine d’archers sur le pasde tir de la salle des sports

municipale. au fil des ans, lastructure s’est étoffée,

asseyant la réputation du clubet permettant l’accueil, en

2012, du championnatdépartemental. et depuis l’an

passé, un heureux partenariatavec le club conflanais

renforce encore l’aura de nosRobins des bois.

LA FLÈCHE HOMÉCOURTOISE : au coeur de la cible

Vie assoCiatiVe - sPoRts


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“C e qui est formidable, c’est quele tir à l’arc est quasimentaccessible à tous, valides oupas !”Argument numéro un en

faveur de ce sport, le plus important aux yeux deRené Herbelet, président de la Flèche homécourtoise

depuis 2001. “Le premier président était AhceneBenabdallah, j’étais alors vice-président, sesouvient René Herbelet. Aujourd’hui, je céderaisbien ma place, mais il faut trouver un successeur…” Car même si les effectifs du club sont, untemps, montés en flèche – “Nous avons été 50archers” - la tendance est aujourd’hui à la baisse.“C’est le secteur de l’arbitrage qui souffre leplus de cet état de fait. Il faut consentir certainssacrifices que la vie moderne rend compliqués.Même chose pour recruter un entraîneursupplémentaire…” De fait, le président est àce jour le seul entraîneur de la Flèche. Orl’Entraîneur de niveau 2 est supposé entraînerles archers pour les préparer à des compétitions,assurer leur suivi en compétition, participerau choix et à la gestion de leur matériel decompétition et veiller à la sécurité despratiquants, des tiers et du lieu de pratique.“Dans les faits, j’entraîne les débutants aulieu de me consacrer à ceux qui ont déjà

un certain niveau. Même si c’est très plaisant, ceserait plus pratique que nous soyons deux…”

Mutualiser apparaît, dans ce contexte, commeune solution idéale. Or l’an passé, le club deConflans-en-Jarnisy se frotte à un problème desalle : “La leur a été rasée. Le club devait secontenter de s’entraîner dans un couloir d’école”(on s’en doute, hors heures de classe !). Unrapprochement s’est effectué, tout naturellement,qui a permis aux deux clubs de s’entendre :“D’ici à ce qu’ils récupèrent une salle, les 35archers conflanais s’entraînent avec nous. Chaqueclub garde son identité mais notre associationa notamment permis à nos deux clubs d’organiserensemble le challenge de l’Orne !” La solidaritéfonctionne donc bel et bien parmi les archers,jusqu’aux entraînements pour lesquels “il estinutile d’acheter du matériel la première année :le club prête ce qu’il faut, en loue éventuellementpour les compétitions” . Des tarifs plusqu’abordables (50€/an pour les jeunes, 80€/anpour les adultes), des vertus relaxantes, uneconcentration renforcée et un développementgaranti des muscles dorsaux : la Flèchehomécourtoise n’attend que vous pour continuersur sa lancée ! �

ContaCt la Flèche homécourtoiseM. René HeRbelet - tél. 06 76 60 80 72

http://club.quomodo.com/lfh/accueil/bienvenue.html

René Herbelet,

entraîneur et président heureux

Quentin Succurro,

champion de Lorraine

2012 et 2013

La Flèche en action, lors d’une compétition

départementale à la salle des sports


A 10 ans, Hugo

pourrait se rêver

champion mais se

verrait bien

notaire !

du haut de ses 10 ans, Hugodewald a les yeux qui brillent

dès qu’il parle de son sportfavori. il a de qui tenir puisque

son père est féru de motodepuis de longues années.

HUGO DEWALD Démarrage sur les chapeaux de roues…

e lève de CM2 à l’école Joliot-Curie, HugoDewald n’est qu’en maternelle lorsqu’ilaccompagne déjà son papa sur les circuits,tant les jours d’entraînements qu’au cours

des compétitions. Dès son plus jeune âge, il estbercé par le vrombissement des moteurs et c’estsûrement ce qui déclenche en lui une véritablepassion. En lui offrant sa première moto, une Piwide 50 cc, alors qu’il n’a que trois ans et demi, sesparents ne se trompent pas puisque c’est avec cejouet pas comme les autres qu’Hugo Dewald montrequ’il recèle d’énormes capacités pour la pratiquede ce sport mécanique.

Si un peu plus tard, Hugo est tenté par la pratiqued’autres sports, (le judo et le hand-ball, entre autres),c’est tout de même à la moto qu’il consacre le plusde temps. “Un peu de judo pour la concentrationet du hand-ball pour l’exercice… cela m’aide àêtre en grande forme sur les circuits” précise parailleurs le jeune motard. Des arguments partagéspar son entourage qui confirme observer une grandeconcentration chez Hugo, chaque fois qu’il s’apprêteà enfourcher sa moto. Il faut d’abord rappeler qu’ila disputé son premier challenge à 4 ans et demi.Pour cela, il a dû obtenir une dispense car l’âgeminimum requis est de six ans. Pour cette premièrecompétition qui s’est déroulée au Luxembourg,Hugo Dewald était le plus petit concurrent, ce quine l’a pas empêché de décrocher un premier titreen gravissant les marches du podium. Une premièreexpérience, et par là même, une première récompense,qui accroît l’esprit de compétition du jeune Hugo.

Qui dit sport mécanique dit tout de même sport àrisques. Malgré toutes les règles de sécurité qu’HugoDewald a appris à respecter, il n’a pu éviter uneblessure l’an passé. Une fracture de l’humérus quil’a empêché de rouler durant 3 mois. “Cela faitpartie des règles du jeu” précise le jeune champion,avec beaucoup de philosophie. Une période qu’ilmet à profit pour se perfectionner en mécanique.“Savoir comment fonctionne sa machine, la prépareret la bichonner soi-même fait aussi partie du jeu”,affirme encore celui qui est en train de devenirexpert en la matière.

Aujourd’hui, juché sur une 85 cc, la cinquièmemoto, déjà, de sa courte mais précoce carrière,Hugo Dewald se remémore les tours de circuit desa dernière compétition. Il s’agit des Masters-kids,

sorte de championnats du monde pour enfants de9 à 12 ans, qui se sont déroulés à Commercy l’andernier. Là encore, en tant que l’un des plus jeunesparticipants, il remporte une honorable 21e placesur 50 participants à la course.

Toujours cette volonté de se surpasser. Une qualitéqu’il n’oublie évidemment pas d’appliquer à l’écoleoù ses efforts, ainsi que ses notes, ressemblent àses résultats sportifs. L’école, Hugo Dewald neveut surtout pas la négliger. Pour lui, malgré sapassion dévorante, il faut d’abord de bons diplômeset un bon métier. “En sport, on ne peut pas tousêtre N°1 et quelle que soit la discipline, on ne peutpas toujours en faire sa profession”, expliquelucidement Hugo qui conclut en ajoutant : “J’aidéjà choisi mon futur métier. Je serai notaire. Uneprofession qui revêt de multiples facettes et demandeaussi beaucoup de rigueur. Un travail qui nem’empêchera cependant pas de poursuivre etpartager ma passion sportive.”

B e a u c o u p d ematurité, déjà, pource petit gars quia probablementpris le bondépart… �

Hugo le conquérant, juché sur

sa machine de 85cc


ainsi que nousl’évoquions dans le

n° 119 de HomécourtMagazine (paru en

décembre 2012), lesbâtiments propriétés

d’adoma, sis ruePasteur, vont bientôt

entamer unenouvelle vie.

C’ en est en effet fini du Centre d’accueildes demandeurs d’asile (Cada) et duFoyer de travailleurs migrants (FTM, exSonacotra) depuis août 2012. Depuis lors,

Adoma avait mis ces deux édifices en vente et enpremier lieu, tenté d’attirer les bailleurs sociaux. Sices derniers n’ont pas fait montre d’un grand intérêt,préférant ces temps derniers la construction de produitsneufs, un acheteur privé s’est fait connaître en débutd’année. Conformément aux accords pris avec laMunicipalité et les services de l’Etat, les dirigeantsrégionaux d’Adoma ont organisé, le 28 février dernier,une rencontre entre leur acheteur, la Ville et Mme

Christine Bœhler, sous-préfète de l’arrondissement deBriey. Le projet présenté à cette occasion possède desqualités intéressantes pour Homécourt : il s’agirait,

pour l’entrepreneur retenu, de transformer les deuxbâtiments en une trentaine de plateaux pouvant ensuiteêtre aménagés en logements de type F3 ou F4 d’environ85m². Il a déjà réalisé le même type de projets dansd’autres localités du Pays-Haut. Marchand de biendepuis 1985, le repreneur en est encore à peaufinerles détails de son projet : mode d’isolation, suivi despréconisations de la Commission de sécurité, calibragedes parkings, gestion des ordures ménagères…

L’acquisition de ces bâtiments par l’entrepreneur enquestion doit maintenant être entérinée par le Conseild’administration d’Adoma. “Une formalité” selon lesdires du directeur régional. Le permis de construiredevrait ensuite être déposé courant avril 2013. �

senioRs

FOYER DE PERSONNES ÂGÉES : bienvenue aux couples

o uvert depuis 1977, les 55 appartementsdu foyer de personnes âgéesd’Homécourt n’étaient ouverts qu’auxpersonnes de plus de 60 ans, vivant

seules. Mais depuis lors, la société a évolué etfort heureusement, la durée de vie s’est allongée.Aujourd’hui, vous êtes de plus en plus nombreuxà souhaiter continuer à vivre en autonomie, maissans les contraintes liées à l’entretien d’unemaison. Il vous est aujourd’hui possible d’opterpour cette solution, avec votre conjoint : leCCAS innove en effet et accueille désormaisindifféremment couples et personnes seules.Tant que votre santé le permet (car le FPA nepeut accueillir que des personnes valides etautonomes) il vous est donc possible d’effectuer

les démarches d’admission auprès du personneldu Centre communal d’action sociale. Un dossierd’admission vous sera remis ainsi qu’un dossiermédical à faire remplir à votre médecin généralisteavant examen de votre candidature par le Conseild’administration du CCAS. Bien entendu, encas de demande supérieure à l’offre de logements,vous serez inscrits sur une liste d’attente. Rappelonsque le loyer comprend également les charges(eau, chauffage et charges locatives) et que lesaides au logement peuvent être perçues selonvotre plafond de ressources. Les repas de midipeuvent également être pris à la salle à mangerdu FPA tandis que le temps de loisir estagréablement meublé par les activités associativesproposées au sein même du bâtiment. �


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soCial

FOYER DE TRAVAILLEURS MIGRANTS, l’avenir se dessine

Jusqu’à présent, le Foyer de personnes âgées d’Homécourtn’accueillait que des personnes seules. l’évolution del’espérance de vie amène de plus en plus de couples àsouhaiter intégrer ce type de structures. aussi le règlementdu FPa s’adapte-t-il : bienvenue aux inséparables !

RenseiGneMents : CCas (tél. 03 82 47 15 33)

La vice-présidente du CCAS

et la directrice, Mmes Giovannelli et Billotte

bernadette Giovannelli


LA TROISIÈME VIE des fripes et des chiffons

AU SIRTOM AUSSI…

Ville PluRielle

C heveux tirés en arrière, regard mobileet sourire désarmant, Hafida Tijahi-Benmansour fait entrer le soleiljusque dans le sous-sol de Ville

Plurielle. C’est là, en effet, que sont installésles quartiers de l’Ami Vesti, vestiaire socialcréé dans le cadre du Point Femmes. Làqu’Hafida trie les vêtements déposés par lesdonateurs (vous, moi, elle, lui…), reprendles éventuels accrocs, repasse… “C’est làaussi que j’ai constaté tout le tissu qui partaitau rebut, c'est-à-dire tout ce qu’on ne proposepas à la vente” indique la jeune femme. Desvolumes de tissu impressionnants, bons pourla benne à ordure faute de rôle à jouer.

Cette vocation nouvelle, Hafida l’envisage d’autantmieux qu’il permet d’assurer la pérennisation deson emploi. “Et quand je vois l’intérêt que ça asuscité… Aujourd’hui, nous ne jetons plus rienà Ville-Plurielle ! Tous les tissus coton (éponge,coton peigné…) sont redécoupés et vendus 1€du kilo.” Une affaire qui roule, en somme ! “Aun moment, nous avions même réussi à récupérerl’éponge blanche au complexe d’Amnéville…mais je crois qu’ils ont compris quel intérêt ilspouvaient en tirer…” Qu’importe : les particuliers,en déposant leurs vieux vêtements ou leur linge,veillent à fournir l’Ami Vesti en matière première.Une opération positive à 200% : environnementet économie y trouvent leur compte ! �

a u Si r tom auss i , larécupération de chiffonsest devenue “tendance”.En partenariat avec Tri

d’Union, entreprise spécialiséedans la collecte et valorisation destextiles et chaussures, des conteneursseront bientôt installés dans toutesles localités adhérentes au Sirtom.“Dont trois à Homécourt (rues du8-Mai-45, Lully et Jean-Moulin).Deux ramassages hebdomadairessont programmés pour commencer”signale Alain Frantz, président duSirtom. Matériaux isolants et chiffonsen seront tirés tandis que leSirtom réduira la quantité de déchetsà enfouir (210 à 315 tonnes paran. Conséquence espérées : desfactures moins lourdes pour lesusagers. On se prend à rêver… �

a Ville-Plurielle, rien ne seperd, tout se transforme !

ainsi l’ami Vesti, vestiairesocial crée dans le cadre de

l’action Point Femmes, est-ilaujourd’hui producteur de

chiffons ensuite vendus auxparticuliers, collectivités ou

entreprises du secteur. unrecyclage utile, tant sur le plan

environnementalqu’économique. d’ailleurs ausirtom aussi, le virus a pris le

pouvoir…


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RAPPEL

Déchèterie : horairesLa déchèterie d’Homécourt est ouverte les jours et plageshoraires suivants : les mardis, mercredis, jeudis, vendredis, etsamedis de 9 à 12h et de 13h30 à 17h.

Collecte des déchets verts Les déchets verts sont collectés chaque quinzaine, de marsà novembre, et doivent être présentés dans des poubellesrigides. Un calendrier vous a été distribué. Il est égalementconsultable sur le site du Sirtom (http://www.sirtom.fr).

Tri sélectif Le ramassage est effectué tous les 15 jours. Il est conseillé detrier davantage et avec plus de soin : moins de déchets ultimes,c’est aussi une diminution du coût de la tonne enfouie.

Ramassage des encombrants Contacter le SIRTOM au 03 82 20 22 00 pour fixer un rendez-vous, puis la veille, après 18 h, déposer les encombrants devantvotre domicile. Le ramassage a lieu généralement le mercredi.

Triés, découpés, les chiffons sont ensuite revendus

Trier plus,

pour payer moins



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Nous nous sommes battus, nombreux, pour tourner la pageSarkozy et pour le changement. Nous n’étions pas aveugles:la décennie écoulée a mis à mal la société française. Lechangement annoncé (maintenant disait le candidat Hollande),nous savions qu’il ne pouvait pas s’imposer tout de suite.Mais le sens de sa campagne devait orienter le travail dugouvernement : le traité européen devait être renégocié etdéboucher sur la relance.

Et c’est l’austérité. L’industrie devait être soutenue. C’est ledrame Mittal à notre porte. Les classes laborieuses devaientêtre la priorité, le travail devait être revalorisé.

C’est 20 milliards de cadeaux fiscaux aux entreprises. Cetteaide va-t-elle aux petites et moyennes entreprises qui viventles pires difficultés ? Non, le principal de ce crédit d’impôtsira à celles du CAC40 (74 milliards de bénéfices nets en 2011pour -4,4% d’investissements en 2012). Nous attendions uneaide aux collectivités locales que N. Sarkozy avait étranglées,

l’état va prélever 4,5 milliards sur leur dos d’ici 2015. Laliste peut être allongée.

Alors soutenons-nous ce gouvernement ?

Oui parce que nous avons vu la droite au pouvoir et avonsbeaucoup pesé pour la battre.

Oui pour les emplois d’avenir, les contrats de génération, lerelèvement de la prime de rentrée, les réformes sociétales auservice de l’égalité. Mais nos députés et sénateurs ne peuvents’associer aux mesures citées en début d’article.

On nous accuse de faire le jeu de la droite. C’est tourner ledos aux engagements de campagne qui fait le jeu de la droiteet de l’extrême droite, et non pas le Front de Gauche quiappelle, pour donner sens à la politique, à s’attaquer enfinaux puissances financières.

S’attaquer enfin aux puissances financières

Encore et toujours dans l’action pour notre ville jusqu’à la fin du mandat !Indignez-vous !, Engagez-vous ! disait StéphaneHESSEL, cette conscience de la gaucheprogressiste qui vient de tirer sa révérence.C’est le sens des combats que nous menonsdepuis de longues années pour faire avancerHomécourt, malgré les vicissitudes qui n’ontpas manqué ces dernières décennies. En fairela liste, désormais connue de tous, serait unevraie litanie, presque un inventaire à la Prévert.Au sein de la majorité, nous n’avons pasménagé notre peine, avec notre singularité,nos exigences, nos coups de gueule aussi.Non pas à des fins politiciennes, les administrésde notre ville n’ont que faire des nuances durouge au rose, du rose au vert. Même si nousn’avons jamais renié notre appartenance ninos idéaux. Nous laissons à d’autres la vacuitédu discours, le ministère de la parole, la bassessede l’insulte et de la diffamation. Ce qui importe plus que jamais, c’est l’efficacité,l’action et les réponses que nous sommesamenés à apporter en terme de développementéconomique de ce territoire et de bien-être ausein de notre ville pour celles et ceux qui yvivent depuis toujours ou de fraîche date. Le budget 2013 est à cet égard à la foismesuré mais volontariste, dans cette quêtede faire avancer la ville dans ces projets,tout en maîtrisant la fiscalité locale dontnous ne pouvons plus nous payer le luxed’une augmentation, tant la pression est

forte par les contraintes extérieures qu’imposedéjà le poids des charges et impôts divers.Point de béatitude donc en ces temps d’électionpapale, mais les pieds ancrés dans le réel !Le temps est à la rigueur, pour ne pas dire à larécession sur le plan mondial et le pays n’échappepas aux difficultés qu’ont accrues 10 annéesde gestion libérale.Il faut en payer la note, salée… Une dettepublique de 600 milliards sur les 5 dernièresannées, un déficit de la sécurité sociale de 160milliards, une industrie qui a perdu 750 000emplois, un commerce extérieur au déficitrecord, 80 000 emplois supprimés dans l’éducationnationale, 4 millions de personnes qui renoncentaux soins faute de mutuelle complémentaire,10 700 postes de policiers et gendarmessupprimés depuis 2008, un bouclier fiscal pourles plus fortunés… Alors, c’est vrai que dans ce contexte, leredressement des comptes publics sonne commeune évidence : “on ne peut plus raser gratis”.Et il est demandé aux collectivités localesd’être solidaires dans les efforts, avec un geldouloureux des dotations d’Etat de plus de 3milliards de 2013 à 2015.Rappelons aussi que le taux d’autonomie fiscaledes régions, départements, intercommunalitéset communes est passé globalement de 31%en 2000 à 9% en 2011 !Nous portons donc, avec d’autres, l’exigence

de parvenir à une dotation plus efficace desprojets structurels des collectivités et de lesassocier plus encore à la réflexion sur lesmissions de la fonction publique territorialeafin de préserver l’investissement public local.En passant, nous espérons que le présidentHollande et sa majorité s’attèleront enfin àune juste et ambitieuse réforme de la fiscalitélocale, devenue l’arlésienne depuis 30 ans !Gouverner, c’est choisir disait MendesFrance. Ce serait un signal fort d’unvolontarisme politique de gauche dont nousavons tous besoin et auquel nous adhéronssans hésitation, préférant mettre les mainsdans le cambouis comme le rappelait ledéputé Le Déaut lors de ses vœux ! Un dernier mot pour saluer ici le remarquabletravail de notre collègue Jacques URBAN quia décidé de lever le pied pour des raisonspersonnelles et familiales. Son abnégation etla disponibilité qu’il a mises au service de safonction d’adjoint au maire à l’urbanisme depuis2008 méritaient cet hommage du groupe socialisteet républicain avec lequel il a su mener un vraitravail de réflexion et de rénovation au servicede la ville, guidé par le seul intérêt général.Poursuivons ensemble le débat. Retrouveznous sur : ps-homecourt.over-blog.com

Pour le groupe socialiste et républicainJean toniolo

ENTENTE DÉMOCRATIQUE

ELUS SOCIALISTES ET RÉPUBLICAINS

exPRession des GRouPes

Pour le groupe Front de Gaucheandré Martin


Vite lu, Vite su…

Passage de la balayeusecalendrier 2013

Avril : lundi 15 et mardi 16 ; mai : lundi 13 et mardi 14. Juin : lundi 17et mardi 18. Juillet : lundi 8 et mardi 9. Août : lundi 19 et mardi 20.Septembre : lundi 9 et mardi 10. Octobre : lundi 21 et mardi 22. Novembre :mardi 12 et mercredi 13. Décembre : lundi 16 et mardi 17.

Mélodia en concertL’ensemble vocal homécourtois Mélodia se produira le samedi 25 maiprochain à 20h30, au centre culturel Pablo-Picasso, à l’occasion du retourdu printemps. Victimes de leur succès, les choristes ont déjà vendu toutesles places pour cette soirée tant attendue. Une séance a donc été ajoutéepour le dimanche 26 mai à 16h, à Pablo-Picasso également. Là encore,150 places ont déjà été réservées. Il n’en reste donc que 270.Hâtez-vous ! Réservations auprès de Stan Wysocki (tél. 03 82 46 9223), Laurent Bertin (tél. 03 55 05 47 36), Jean-Claude Cardon (tél. 0382 46 56 50), Bernard Ravaux (tél. 03 82 21 03 72).Tarifs d’entrée : 15€ adultes, 8€ enfants.

MAIRIE9, rue Georges Clemenceau 54310 HOMECOURT

A votre service : 8h30 à 12h, 13h30 à 17h. www.mairie-homecourt.fr

ACCUEIL : 0382471530fax 0382226261

Services administratifsDirection générale des services : 0382471538

Cabinet du Maire : 0382471536Etat civil : 0382471531

Aide sociale - Elections : 0382471533Service scolaire : 0382471539

Vacances - classes transplantées : 0382471534Comptabilité : 0382471535Urbanisme: 0382471537

Services administratifs techniques : 0382471532 Centre technique municipal : Rue Carnot

0382223016 / fax 0382228622Salle des sports municipale : 0382222498

Complexe sportif : Rue Bois de la Sarre, 0382223256 Foyer des personnes âgées : Rue Denfer Rochereau

0382223446 / fax 0382225055

Interdiction de nourrir les pigeonsL’interdiction, ici rappelée, de nourrir les pigeons se fonde sur l'article

L 1311-2 du Code de la santé publique et sur le Règlement sanitaire

départemental. Ainsi, il est interdit de jeter ou déposer des graines ounourriture en tous lieux publics pour y attirer les animaux errants, sauvagesou redevenus tels, notamment les chats ou les pigeons; la même interdictionest applicable aux voies privées, cours ou autres parties d'un immeubleslorsque cette pratique risque de constituer une gêne pour le voisinage oud'attirer les rongeurs. Toutes mesures doivent être prises si la pullulationde ces animaux est susceptible de causer une nuisance ou un risque decontamination de l'homme par une maladie transmissible.

Repas des SeniorsLa Municipalité informe la population que le repas des seniors aura lieules dimanches 22 et 29 septembre 2013 (selon places disponibles). Lespersonnes déjà inscrites les années précédentes recevront une invitation àleur domicile. Les personnes jamais inscrites ou nées au moins en 1943doivent s’inscrire en Maire (service accueil) du lundi 3 juin au vendredi26 juillet 2013. (se munir d’une pièce d’identité).

Plan communal de sauvegardeAucune commune n'est à l'abri de situations déstabilisantes nécessitant

une réaction rapide (phénomènes climatiques extrêmes, perturbations de

la vie collective, accidents…). L’article 13 de la loi de modernisation de la

sécurité civile 2004-811 du 13 août 2004 a créé le Plan communal de

sauvegarde (PCS). Il s’agit d’un outil utile au Maire dans son rôle d’acteurmajeur de la gestion d'un événement de sécurité civile. Ce nouveau plan s'intègredans l'organisation générale des secours. Il forme, avec les plans Orsec, unenouvelle chaîne de gestion des événements portant atteinte aux populations,aux biens et à l'environnement. Organisant la réponse de proximité en prenanten compte l'accompagnement et le soutien aux populations ainsi que l'appuiaux services de secours, le PCS est le maillon local de l'organisation de lasécurité civile. L’organisation de la sécurité civile s’articule autour de deuxtypes de mission : les missions de sauvegarde et les missions de secours. Seulesles missions de sauvegarde sont à la charge de la collectivité. Le PCS a pourobjectif de mettre en place une organisation capable de gérer un événement detype majeur impactant le territoire de la commune, et qui mettrait en périll’intégrité des personnes et des biens. Le directeur des opérations de secours(DOS) est le Maire ou le Préfet.Ce document est consultable en mairie (sur demande) ainsi que sur le site

internet de la Ville (ville-homecourt.com)

Concert de printemps de l’ACLL’accordéon-club de Lorraine fera son retour sur les planches du centreculturel Pablo-Picasso, le 21 avril à 16h, au centre culturel Pablo-Picassod’Homécourt. Le public d’Homécourt aura le privilège d’assister enavant-première à la présentation du nouveau programme musical prolifiqueet éclectique, concocté par Richard Telatin, le directeur musical del’ACL. En première partie de spectacle, un Lorrain, Alain Dubois,accordéoniste soliste, grand amateur d’André Astier et Médard Ferrero,deux grands maîtres virtuoses du piano à bretelles, puis un trio lorrain,French Touch, avec à l’accordéon le jeune Charles Kieny, du Conservatoirerégional de Metz.Renseignements, réservations :

à Homécourt, restaurant Poivre rouge (03 82 22 21 21)à Jœuf, Tina ALOI (03 82 22 73 17), Anny AMADORI (03 82 22 73 41)à Jarny, chez Cousette, 4 av. Wilson (03 82 33 49 25)www.accordeon-club-lorrain.com

LE BRUIT :des lois existent, respectons-les !

Une réglementation stricte existe au niveau des nuisances sonores

dans notre département et des plages de silence sont à respecter.

(règlement sanitaire et social départemental).

Article 3Toute personne utilisant dans le cadre de ses activités professionnelles,à l’intérieur de locaux ou en plein air, sur la voie publique ou dans despropriétés privées, des outils ou appareils de quelque nature qu’ilssoient, susceptibles de causer une gêne pour le voisinage, en raison deleur intensité sonore ou des vibrations transmises, doit interrompre cestravaux entre 20 h et 7 h, et toute la journée des dimanches et joursfériés, sauf en cas d’intervention urgente.

Article 6Les travaux de bricolage ou de jardinage réalisés par des particuliers àl’aide d’outils ou d’appareils susceptibles de causer une gêne pour levoisinage en raison de leur intensité sonore, tels que tondeuses à gazonà moteur thermique, tronçonneuses, perçeuses, raboteuses ou sciesmécaniques ne peuvent être effectués que :• les jours ouvrables de 8 heures à 20 heures ;

• les samedis de 9 heures à 12 heures et de 15 heures à 19 heures ;

• les dimanches et jours fériés de 10 heures à 12 heures.

Homécourt Magazine • avril 2013 • n° 120 • Directeur de la publication : Jean-Pierre Minella • Conception graphique et rédactionnelle, mise en page : anagram - 54000Impression : Digit’offset • Administration et rédaction : Mairie de Homécourt • Photographies : Lucien Rizzato • Dépôt légal n° 1390 • Tirage à 3200 exemplaires



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Beaucoup diront: c’est toujours la même chose à quoibon ! Ils ont sans doute raison, car de nombreux élusleur laissent voir ce qu’ils veulent leur laisser voir enles noyant dans un nuage de fumée. Comme il est facilede tourner la tête une fois le haut du cocotier atteint.Cocotier qu’il nous faut parfois secouer afin d’en éliminerles improductifs ou pour le moins essayer de modifierles habitudes.La politique telle que je la conçois et dont je veux vousparler n’est pas une politique de parties, ni une politiquequi divise ou celle qui entretien la haine ou encore cellequi calcule et sert les ambitions personnelles ou quicherche à assouvir une vengeance. Vendetta qui devrait selon eux laver une humiliationappartenant au passé.Elle ne s’adresse pas à l’envie, à la cupidité, mais elleest centrée et dirigée uniquement vers le bien public.Elle doit être conduite et tournée vers la compréhension,la tolérance, la générosité tout en s’inscrivant avec

lucidité dans l’action continue. De faire en sorte quetous les éléments soient réunis afin de remplir dignementla mission confiée. Cette charge doit être réalisée dansle respect des oppositions qui sont là pour éveiller lesconsciences et provoquer la réflexion, le débat et nonsusciter rancœur et l’aversion. Elle doit être assumée,responsabilisée dans le respect des droits individuelsde chacun.Elle doit également jouer son rôle d’arbitre et dénonceravec courage en mettant à l’index les divisions observéesau sein même de la majorité municipale ; il est fort aiséde voir le jeu de cache-cache de certain camouflé dernièreune pseudo loyauté !.. Laissez-moi rire. C’est en ayant l’intime conviction en ces idées et engardant le cap que les résultats de nos actions seront unjour atteints et seront bénéfiques à notre localité. Ornous constatons malheureusement que souvent certainespromesses sont aux antipodes.La politique, la vraie est à mon sens celle qui est mise

en avant et qui est au service unique des citoyens denotre ville. Celle qui intervient pour tous et à tous lesniveaux de la société avec une attention particulièreenvers les plus fragiles d’entre nous. Elle se doit deproposer à la population d’autres pistes de progrèsmeilleures que celles proposées jusqu’ici. Notre devoird’élu, est de s’efforcer d’atteindre sans faux fuyants lesobjectifs que l’on a fixés et que l’on a clairementannoncés.

Voilà ce qu'est pour moi la Politique avec un grand ‘'P‘’une Politique accessible, énergique, ambitieuse, volontairepour que le mandat d’élu qui nous a été confié soitréalisé avec audace, avec passion et que les ingrédientsnommés Liberté, Egalité, Fraternité trouvent tout leursens dans le pétrin de la République.

“L’Avenir Avec Vous”Patrick Montana

L’AVENIR AVEC VOUS

HOMÉCOURT POUR VOUS ET AVEC VOUS

F abophiles des quatre coins de France, c’est à Homécourtque ça se passe ! Pas sûr pourtant que Jean-PierrePoirel, adjoint au Maire en charge des fêtes et cérémonies,ait bénéficié de beaucoup de suffrages lorsqu’il a

présenté son idée, voilà plus de dix ans. Faboqui ? Faboquoi ?“Pourtant cette année, pour le 10e anniversaire du salon,nous avons enregistré 257 entrées payantes et 165 entréesd’enfants de moins de 15 ans” triomphe l’élu, lui-mêmecollectionneur invétéré. Pas moins de 30 exposants issus de

7 régions (Lorraine, Alsace, Bourgogne, Champagne-Ardenne, Franche-Comté,Pays de la Loire) ont ainsi étalé leurs trésors sur les 105 mètres linéaires detables installés à la salle des sports municipale. La Poste était elle aussi associéeà l’événement : un bureau temporaire avait été installé pour l’occasion. Etbien entendu, le partenaire historique, Nex, était venu cette année proposerson nouveau puzzle de fèves “spécial Homécourt”. Depuis 2004, date dupremier salon, les fèves, marque-page et autres enveloppes “timbre à date”auront fait voyager Homécourt à travers la France entière… sans compter lessavoureuses galettes partagées à chaque fois ! �

COLLECTIONNEURS DE FÈVES dix ans déjà !

La politique c’est quoi ?

aucun commentaire pour cette fois-ci.

HoMéCouRt PouR Vous et aVeC Vousdominique sPiGaRelli

105 mètres linéaires :

un vrai bonheur pour les collectionneurs


n°120 - avril 2013 · budgétaire pour 2014/2015/2016. il ne faut pas trop jouer avec les...

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