Émission, rÉflexion et transmission · reflexion, transmission et emission bilan énergétique un...
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ANALYSE DE SPECTRES INFRAROUGES:ÉMISSION, RÉFLEXION ET TRANSMISSION
EXTRACTION DES INDICES OPTIQUES
MODÈLE SEMI-QUANTIQUE
OUTILS DE SIMULATION
MODÈLE DE VOIGT CAUSALISÉ
D. DE SOUSA MENESES, J-F. BRUN, B. ROUSSEAU, M. MALKI ET P. ECHEGUT CNRS - Centre de Recherche sur les Matériaux à Haute Température
GRANDEURS EXPERIMÉNTALES
GRANDEURS EXPERIMENTALESREFLEXION, TRANSMISSION ET EMISSION
Bilan énergétiqueUn rayonnement incident sur un corps et soit réfléchi soit transmis soit absorbé. Le bilan peut être exprimé en fonction de ces quantités sous la forme:
Loi de KirchhoffA l'équilibre thermodynamique, l'émissivité spectrale du corps est égale à l'absorptivité spectrale:
1=++ λλλ αTR
λλ αε =
λλλε TR −−=1λλε R−= 1
R
α
T
L'émissivité est directement reliée aux propriétés optiques des matériaux.
corps semi transparentcorps opaque
1000 2000 3000 40000.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
d=162 µm
Méthode indirecte T=1073 K directe T=1105 K
EMIS
SIVI
TE S
PET
CR
ALE
NO
RM
ALE
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
1000 2000 3000 40000.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
SiO2
Méthode indirecte T=873 K directe T=856 K
MESURE DIRECTE DE L'EMISSIVITE SPECTRALE
( ) ( )( )TLTLT
CN ,,,,,
λθλθλε =
Corps Noir Radiateur idéal dont la luminance spectrale est donnée par la loi de Planck:
( )12
51
−⎟⎠⎞
⎜⎝⎛
=−
TC
exp
CT,LCN
λ
λλ
mK0143876902 .C =2161 Wm101910441 −= .C
θ
TL(λ,T,θ)
GRANDEURS EXPERIMENTALES
( )[ ]⎪⎩
⎪⎨⎧
+−+=+=+= °°
CNTamb
CNTamb
CNTeeE
Te
CNTamb
CNTamb
CNC
CNC
LLLfSSfLSSfLSS
ε0
01400
01400
CNTamb
CNTe
CNTamb
CNC
CNTamb
CNC
CNTamb
ETee LL
LLSS
SS−−⋅−
−= °
°
1400
1400ε
DISPOSITIF DE MESURE
3
1
MS
BS
S1
REFL.
TRANSM.
Détecteurs
Sources IR
IFS 113 IFS 88
2
FiltreSéparatriceMirroir mobile
Echantillon / Référence
123
Emission
600-2600 K10-12000 cm-1
Méthode indirecte300-1300 K10-40000 cm-1
Méthode directe
GRANDEURS EXPERIMENTALES
EXTRACTION DES INDICES OPTIQUES
rr I,Er
ii I,Er
tt I,Er
GRANDEURS EXPÉRIMENTALES : réflexion, transmission, émission.
CAS PARTICULIER DE R: ( ) ( ) ( )ωωω *rrIIR
i
r ==
( ) ( ) ( ) ( )( ) 1
1+−
===ωωωρω ωθ
NNe
EEr i
i
r
A partir du seul coefficient de réflexion r (ω) , on peut déterminer l’indice complexe N(ω) et la fonction diélectrique ε (ω).
spectre de phase θ(ω)
information manquante
( ) ( )( ) ( ) ( )( )ωθωρωρ
ωρωcos
n21
12
2
−+−
= ( ) ( ) ( )( )( ) ( ) ( )( )ωθωρωρ
ωθωρωcos
sink21
22 −+
= ( ) ( )ωωε 2N=
( ) ( )ωωρ R=
( ) ( ) ( )ωωω kinN +=
indice de réfraction
coefficient d’extinction
( ) ( )dsds
sRlndsslnP∫
∞
−+
−=02
1ωω
πωθ
Relation de Kramers-Kronig :
SIMULATION DE SPECTRESMéthode alternative basée sur la reproduction des données expérimentales à l’aide d’un modèle de fonction diélectrique.
( ) ( )ωχωε ∑+=i
i1
0 200 400 600 800 1000-15
-10
-5
0
5
10
15
20
25
χ' χ''
WAVE NUMBER (cm-1)
( ) ( )( )
2
11
+−
=ωεωε
ω ~~
R
( )ωγω
ωγγωγωωγω
εωε
o
opp
j jTOjTO
jLOjLO
ii
ii
−
−+Ω−⎟
⎟⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛
−−Ω
−−Ω= ∏
∞2
2
22
22 )(~
( )γωωω
εωωχi−−
∆= 22
0
20
MÉTHODES DE RÉCUPÉRATION DU SPECTRE DE PHASEMéthode d’entropie maximum (MEM):
spectres complets
spectres tronqués
connaissance de l’indice complexe pour quelques fréquences situées dans l’intervalle de mesure.
Information sur les mécanismes d’absorption
Modèle classique à quatre paramètres + terme de Drude étendu:
phonons charges libres
EXTRACTION DES INDICES OPTIQUES
COMPARAISON DES DIFFERENTES METHODES
0 250 500 750 1000 1250 1500 1750 20000.0
0.3
0.6
0.9
Rexp
R4p
RMEM
R
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
50 100 150 200 2500.1
0.2
0.3
0.4
0 200 400 600 800 1000 1200 1400 16000
10
20
30
40 ε"KK
ε"4p
ε"MEM
ε"
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
50 100 150 2000
10
20
30
40
0 200 400 600 800 1000 1200 1400 1600-20
-10
0
10
20
30
40
ε'KK
ε'4p
ε'MEM
ε'
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
50 100 150 200 2500
5
10
15
( ) ∏ ⎟⎟⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛
−−Ω−−Ω
=∞ j jTOjTO
jLOjLO
ii
ωγωωγω
εωε
22
22~
YAGModèle classique à quatre paramètres:
- Y3AL5O12
Bon comportement des modèles classiquesdans les zones de fort coefficient d’absorption.
EXTRACTION DES INDICES OPTIQUES
MODÈLE SEMI-QUANTIQUELIMITES DES MODÈLES CLASSIQUES
( ) ∑ −−Ω
Ω∆+= ∞
j jTOjTO
jTOj
i ωγωε
εωε 22
2
MgO d = 0.3 mm
Modèle classique à trois paramètres:
0 500 1000 1500 2000 25000.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
TRA
NS
MIT
TAN
CE
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
Expérience Modèle 3P
0 500 1000 1500 2000 25000.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
EM
ITTA
NC
E
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
Expérience Modèle 3P
E = 1-R-T = A
Théorie des groupes prédit un seul mode actif –simulation nécessite au moins 2 phonons.
Surestimation du coefficient d’absorption dans lazone de semi transparence du cristal.
0 500 1000 1500 2000 25000.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
RE
FLEC
TAN
CE
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
Expérience Modèle 3P
OPA
CIT
É
MODÈLE SEMI-QUANTIQUEPrésentation du modèle semi quantiqueLe traitement quantique de l’interaction rayonnement-matière montre que l’amortissement d’un modene peut être caractérisé par une simple constante. L’amortissement peut présenter de fortes variations en fréquence qui sont le reflet des interactions multiphonons.
K. Parlinski, Journal of Physics and Chemistry of Solids61 (2000) 87–90
( ) ∑ −−Ω
Ω∆+= ∞
j jTOjTO
jTOj
i ωγωε
εωε 22
2
( ) ( )( ) ( ) ( )∑ −−
∆+= ∞
j
j
jPjjj
ωωωωωε
εωε;0020
022
2
Où P désigne la ‘’self energy’’ du phonon : ( ) ( ) ( )ωωω ;,0;,0;,0 jijjPrrr
Γ+∆=
MgO
Densité d’états de MgO :
0 500 1000 1500 2000 25000
5
10
15
20
25
30
35
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
Γ(0j;ω)MgO
MODÈLE SEMI-QUANTIQUESimulation de l’oxyde de magnésium MgO
0 500 1000 1500 20001E-8
1E-7
1E-6
1E-5
1E-4
1E-3
0.01
0.1
1
10
100
CO
EFFI
CIE
NT
D'E
XTI
NC
TIO
N
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
KKg RT Modèle 3P Modèle SQ
200 400 600 800 1000 1200 1400 1600 1800 20000
2
4
6
8
10
12
14
16
18
20
22
IND
ICE
DE
REF
RA
CTI
ON
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
KKg Modèle 3P Modèle SQ
Simulation avec un seul phonon
Reproduction des spectres sur l’ensemble de lagamme spectrale
( ) ( )( ) ( ) ( )ωωωω
ωεεωε
;00200
22
2
P−−
∆+= ∞
Information sur les processus multiphonons0 500 1000 1500 2000
0.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0R
,T,E
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
Modèle Expérience
MODÈLE SEMI-QUANTIQUE
Expressions mathématiques pour la ‘’Self energy’’
( ) ( ) ( )⎟⎟⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛ +−−⎟
⎟⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛ −−= 2
20
2
20 expexp
γωω
γωω
ω AAg ( ) ⎥⎦
⎤⎢⎣
⎡⎟⎟⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛ −−⎟⎟
⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛ +=
γωω
γωω
πω 002 DDAg kkg
( ) ( ) ( )dttxxDx
∫−=0
22 expexp
( ) ( ) ( )ωωω iggg kkg +=~( )( ) ( )
∑∑ ∑ ⎟⎟
⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛+Ω−−Ω
Ω+= ∞
j
n ppnjj
jj
lg
S
ωωωεωε
~~222
2
( ) ( ) ( )ωωω illl kkg +=~
où D représente l’intégral de Dawson:
( )
⎪⎪
⎩
⎪⎪
⎨
⎧
≥⎥⎦
⎤⎢⎣
⎡⎟⎟⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛ +−−⎟⎟
⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛ −
<<⎥⎦
⎤⎢⎣
⎡⎟⎟⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛ +−−⎟⎟
⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛ −
=
000
000
expexp
0expexp
ωωγ
ωωγ
ωω
ωωγ
ωωγ
ωω
ω
lr
ll
A
Al
gaussienne causalisée
Laplace généralisée
( ) ⎥⎦
⎤⎢⎣
⎡⎟⎟⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛ −−−⎟⎟
⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛ +−−⎟⎟
⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛ −−+⎟⎟
⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛ +=
rrll
kkg FFFFAlγ
ωωγ
ωωγ
ωωγ
ωωπ
ω 0000
( ) ( ) ( )xEixxF −= exp ( )
( )
( )⎪⎪⎪
⎩
⎪⎪⎪
⎨
⎧
<−
=∞−
>
=
∫
∫
∞
−
∞−
x
x
xdtt
tx
xdtt
t
xEi
0exp0
0exp
0 500 1000 1500 2000-20
-15
-10
-5
0
5
10
15
20
25
30
35
SELF
EN
ERG
Y
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
∆ Γ
MgO
EXEMPLES DE SIMULATIONSimulation d'Al2O3
1000 2000 3000 40000.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
10
Al2O3296 K
simulation expérienceE
mitt
ance
Nombre d'onde (cm-1)
2,5Longueur d'onde (µm)101000
Al2O3d = 0,5 mm
Spectre comportant plusieurs phonons
Relaxation de Debye
ωτεi
D
−∆
+1
2000 4000 60000,0
0,2
0,4
0,6
0,8
1,0
10
Al2O32300 K
simulation expérience
Em
ittan
ce
Nombre d'onde (cm-1)
2Longueur d'onde (µm)
101000
2000 4000 6000 80000.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
monocristalépaisseur 0.5mm
Al2O3
Emitt
ance
Nombre d'onde (cm-1)
1430 K 1686 K 2106 K 2300 K 2368 K 2408 K
10
Longueur d'onde (µm)1000 10 2
Liquide ( ) ( )ωεωε SQ=
Al2O3
Simulation de l’alumine – résultats
Phénomène thermiquement activé ~ 3 eV
Relaxation de Debye
( ) ( )ωτ
εωεωεi
DSQ −
∆+=
1
4,0 4,4 4,8 5,2 5,6 6,0
1E-6
1E-5
1E-4
2400 2200 2000 1800
Al2O3
log(
∆ε D
)
1/T (K-1) x10-4
1 mm 0.5 mm
EA=10.4 eVEA=10.6 eV
EA=3.2 eV
EA=3.0 eV
Tfusion
T (K)
1600 1800 2000 2200 2400456789
10111213
Tfusion
Al2O3
1 mm 0.5 mm
τ (s
) x10
-15
T (K)
Temps de relaxation : τ ~ 10-14 s
1000 2000 3000 4000 50000.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
monocristalépaisseur=0.45 mm
MgO 1087 K 1820 K 2025 K 2220 K 2346 K 2488 K 2607 KE
mitt
ance
Nombre d'onde (cm-1)
20 10 2Longueur d'onde (µm)
EA=2.5 eVτ~10-14 s
EXEMPLES DE SIMULATION
Simulation de silice – résultats
500 1000 1500 2000 2500 3000 35000.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
EMIT
TAN
CE
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
Expérience Modèle
T = 856 K T = 1105 K T = 1350 K T = 1600 K T = 1818 K T = 2044 K T = 2252 K
20 10 5
1000 2000 3000 4000 50000.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
T = 296 K
EM
ITTA
NC
E
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
SiO2d = 160 µm
0 500 1000 1500 2000 2500 3000 35001E-6
1E-5
1E-4
1E-3
0.01
0.1
1
10
IND
ICE
CO
MPL
EXE
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
n k
Spectre comportant plusieurs phonons
Milieu désordonné
EXEMPLES DE SIMULATION
MODÈLE DE VOIGT CAUSALISÉ
FONCTION DE VOIGT
( )( )
dttxy
eyyxKt
∫+∞
∞−
−
−+= 22
2
,π
désordre
Le désordre structural contribue à l'élargissement de la bande d'absorption.
INFLUENCE DU DESORDRE STRUCTURALunité
structurale
L'élargissement gaussien d'un profil d'absorption de type lorentzien est décrit par la fonction de Voigt:
Profil largement utilisé en RMN,Raman,...
Profil non causal
MODÈLE DE VOIGT CAUSALISÉ
( )( )
dttxy
eyyxKt
∫+∞
∞−
−
−+= 22
2
,π
( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( )yxJiyxKizerfczdttztizw ,,expexp 2
2
+=−−=−−
= ∫+∞
∞−π
( ) ( ) ( ) ( )( )( )( )yiw
yixxwyixxwAyxCC VV ℜ
++++−ℑ−== 00'' ,ω ω
γ G
x 2ln2= 00
2ln2 ωγ G
x = 2lnG
Lyγγ
=
( ) ( ) ( ) ( )( )
( ) ( )( )( )( )yiw
yixxwyixxwA
yKyxxKyxxK
AyxCC VV ℜ++−+−ℜ
=+−−
== 0000""
,0,,
,ω
Voigt Faddeeva
PROFIL D’ABSORPTION CAUSALISÉ
300 400 500 600 700
-0.6
-0.4
-0.2
0.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
ε' ε"
0 50 100 150 200
-0.6
-0.4
-0.2
0.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
ε' ε"
( ) ( )ωεωε ∑+= ∞j
VjC
MODÈLE DE VOIGT CAUSALISÉ
0 500 1000 1500 20000.0
0.5
1.0
1.5
2.0
2.5
3.0
3.5
k
IND
ICES
OPT
IQU
ES
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
KKG Modèle
Ca2SiAl2O7
n
0 500 1000 1500 20000.00
0.05
0.10
0.15
0.20
0.25
0.30
REF
LEXI
ON
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
Expérience V-Modèle
0.00
0.05
0.10
0.15
0.20
0.25
0.30 Expérience C-Modèle
Ca2SiAl
2O
7
600 800 1000 1200 1400
0.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
(0,100) (5,96) (10,93) (20,88) (50,68) (80,39) (0,100)
0 500 1000 1500 20000.00
0.05
0.10
0.15
0.20
0.25
0.30
R
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
Élargissement homogène ou inhomogène?
SYSTÉME BINAIRE CaO-SiO2
0 800 1600 2400 3200 40000.00.2
WAVE NUMBER (cm-1)
42
0.00.2 44
0.00.2 46
0.00.2
TRA
NS
MIT
TAN
CE
0.00.2
0.0
0.2
0.4
0.6
0.8
47
50
53
CaO(%)
(CaO)x(SiO2)1-x
0 400 800 1200 16000.0
0.1
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
42
0.0
0.144
0.0
0.146
0.0
0.1
REF
LEC
TAN
CE
0.0
0.1
0.0
0.1
0.2
0.3(CaO)
x(SiO
2)1-x
47
50
53
CaO(%)
SYSTÉME BINAIRE CaO-SiO2
0 300 600 900 1200 15000
1
2
3
4
5
6
7
ε''
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
42 44 46 47 50 53
CaO (%)
0 1000 2000 3000 40001E-6
1E-5
1E-4
1E-3
0.01
0.1
1
10
(CaO)0.47(SiO2)0.53
CO
EFF
ICIE
NT
D'E
XTI
NC
TIO
N
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
RT KKG Modèle
0 1000 2000 3000 40000.5
1.0
1.5
2.0
2.5
3.0
3.5IN
DIC
E D
E R
EFR
AC
TIO
N
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
RT KKG Modèle
(CaO)0.47(SiO2)0.53
0
1
2
3
4
542
CaO(%)
0
1
2
3
4
547
0
1
2
3
4
544
7+8+9+10 7 8 9 10
0
1
2
3
4
550
800 1000 12000
1
2
3
4
546
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
800 1000 12000
1
2
3
4
553
42 44 46 48 50 52 540
50
100
150
200
250
300
350
400
CaO(%)
7 8 9 10
SYSTÉME BINAIRE CaO-SiO2
''ε
800 900 1000 1100 1200 13000
2
4
6
8
0
10
20
30
40
50
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
CS-53
ε"Topaze- Al2F2SiO4
B1u
B2u
B3u
800 900 1000 1100 1200 13000
2
4
6
8
10
12
NOMBRE D'ONDE (cm-1)
Silice CS-42
ε"
SYSTÉME BINAIRE CaO-SiO2
Qn nombre d’oxygènes pontants
Q0
Q4
OUTILS DE SIMULATION
0 300 600 900 1200 1500
-200
-100
0
100
200
300
400
LiNbO3 E
ε' ε''
ε
WAVE NUMBER(cm-1)
( ) ∏ ⎟⎟⎠
⎞⎜⎜⎝
⎛
−−Ω−−Ω
= ∞j jTOjTO
jLOjLO
ii
ωγωωγω
εωε 22
22
( ) ( )( )
2
11
+
−=
ωεωε
ωR
( ) ( )ωεω =N
( ) ( )( )ωπωω NimagK 4=
réflexion
fonction diélectrique
indice complexe
coefficient d’absorption
0 300 600 900 1200 1500
0.0
0.2
0.4
0.6
0.8
1.0
LiNbO3 E
Experiment Model
REF
LEC
TIVI
TY
WAVE NUMBER (cm-1)
Comment échanger l’information efficacement ?
LE PROBLÈME DE MODÉLISATION
Ensemble d’expressions mathématiques interconnectées. Grande variabilité des modèles physiques.Complexité des modèles semi quantiques.
<math><definition name="x"></definition> <definition name="Amplitude"><number> 1.0 </number>
</definition> <definition name="gauss-lorentz"><apply><function name="sum"/><link> Amplitude</link><apply>
<function name="gaussian" source="document"/><link> x </link><link> Amplitude</link><number> 200.0 </number><number> 20.0 </number>
</apply>..
</apply></definition>
</math>
•Langage compréhensible à la fois par des personnes et des logiciels.
OSML Document
<secure algorithm="SHA-256">84983E44 1C3BD26E BAAE4AA1 F95129E5 E54670F1 …
</secure>
<?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?><osml version="1.0">
<semantics><symbol name="gaussian" type="function">
<argument name="x"><number> 0.0 </number>
</argument>..
</symbol></semantics>
•Langage à balises basé sur XML capable de stocker l’ensemble de l’information contenue dans un problème de modélisation.
OPTICAL SPECTROSCOPY MARKUP LANGUAGE
OUTILS DE SIMULATION
MECANISME D'EXTENSION
OUTILS DE SIMULATION
<apply><function name= "minus"><apply><number> 1.0 </number> <apply><function name= "Reflectivity-E" source= "R.sml" ><link> Ei </link><link> Eo </link>
</apply></apply>
</apply>
<symbol encoding="OSML" name="Reflectivity-E" type="function"><argument name="Ei"><number> 1.0 </number></argument><argument name="Eo"><number> 2.0 </number></argument><definition name="Reflectivity-E"><apply><function name="norm" source="core"/><apply><function name="divide" source="core"/><apply><function name="minus" source="core"/><apply><function name="root" source="core"/><link> Ei </link></apply><apply><function name="root" source="core"/><link> Eo </link></apply></apply><apply><function name="plus" source="core"/><apply><function name="root" source="core"/><link> Ei </link></apply><apply><function name="root" source="core"/><link> Eo </link></apply></apply></apply></apply></definition></symbol>
( )2
0
00,
εεεε
εε+
−=
i
iiR
( ) ( )00 ,1, εεεε ii RE −=
Arguments de la fonction
Définition
Emittance matériaux opaques:
OUTILS DE SIMULATION FOCUS : http://crmht.cnrs-orleans.fr/pot/software/focus.html
EXEMPLE DE CONSTRUCTION D'UN MODELE
OUTILS DE SIMULATION
Container regroupant les différentes expressions mathématiques constituant le modèle.
Définitions des différentes expressions.
Assemblage d’éléments provenant de la librairie interne contenant les fonctions de base ou de librairies externes.
Interconnexions via des liens.