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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIREMinistère des Finances
Office National des Statistiques
Journée Africaine de la Statistique« Des données de qualité pour soutenir le progrès en Afrique »
Le 18 novembre 2013
Plan de la présentation
I- Le contexte Général
II- Historique des JAS
III- Quelques principes sur la qualité des
données
IV- Des faits contribuant à la qualité des
données
V- Un SNIS : en quête permanente de
l’amélioration de la qualité
V.1 Le cadre institutionnel et légalV.2 État des lieuxV.3 Les principaux piliers du SNIS
Plan (suite)VI- Les principales activités de l’ONS
VI.1 Rappel de ses principales missionsVI.2 Les activités routinières et récurrentesVI.3 Les activités structurantesVI.4 La coopération technique VI.5 l’implantation régionale de l’ONSVI.6 Politique de publication et de diffusion
VII. Quelques indications sur les statistiques produites par l’ONS
VII.1 Nature des indicateurs statistiques de l’ONSVII.2 Les sources d’informations statistiquesVII.3 Les méthodes statistiques utiliséesVII.4 Les Outils utilisésVII.5 Transparence et perception du chiffre
Plan (suite)VIII- Cadre méthodologique pour la comparaison d’un
indicateur dans le temps
IX. Quelques indicateurs statistiques
IX.1 Statistiques des Prix
L’indice des Prix à la Consommation
L’indice des prix à la production industrielle
L’indice des valeurs unitaires à l’importation
Plan (suite)
IX.2 Statistiques de la population
Quelques indicateurs sur la population
Structure de la population par âge et par sexe en 2011
IX.3 Statistiques de la sphère réelleIndice de la production industrielle (public)
Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB
Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB de 2011
Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB Hors Hydrocarbures
Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB hors hydrocarbures de 2011
Contribution (%) des secteurs juridiques dans la valeur ajoutée réelle
Contribution (%) des secteurs juridiques dans la valeur ajoutée réelle hors hydrocarbures
Croissance annuelle (%) du PIB
Croissance annuelle (%) des secteurs d’activités
PNB per Capita
Enquête sur consommation et niveau de vie des ménages
I- Contexte général
Le 18 Novembre de chaque année, l’ONS célèbre la JournéeAfricaine de la Statistique (JAS) et ce, à l’instar de tous lespays du contient africain,
Elle vise à « sensibiliser le public sur le rôle important quejouent les statistiques dans tous les aspects de la vie socialeet économique en Afrique ».
Cette journée est une occasion pour dresser un bilan desprincipales avancées et également des contraintesrencontrées en matière de prodution de statistiquesofficielles.
I- Contexte général
La CEA (UNECA) considère que « la célébration annuellede cette année met l'accent sur la qualité des données, quiest un outil essentiel de suivi pour la réalisation du plan dedéveloppement national et les objectifs de développementinternationaux, tels que les Objectifs du millénaire pour ledéveloppement (OMD). Le thème était choisi à la suite de laréorientation de la fonction statistique à la CEA vers unequalité des données et à la suite de larges consultations avecles pays ». (UNECA)
« Selon la CEA, il existe d’autres avantages d’avoir desstatistiques de qualité. Il s’agit de planifier, prévoir et prévenirdes crises ». (UNECA)
II- Historique des JAS
1993 : Renforcement des systèmes d’informationstatistiques pour le développement et les réformespolitiques
1994 : Bâtir la capacité nécessaire pour soutenir ledéveloppement et l’intégration régionale durables
1995: Accroissement de la production et de ladiffusion des données pour une analyse et unegestion effective des politiques socio-économiques
II- Historique des JAS
1996 : Vers l’éradication de la pauvreté en Afrique:Données et statistiques pour les politiques et lesprogrammes
1997 : Bâtir une société d’information
1998 : Exploiter l’information aux fins dudéveloppement
1999 : Améliorer la coordination des activités etdes programmes statistiques
II- Historique des JAS
2000 : Renforcement des capacités pour mesurerla pauvreté
2001 : Transformer les économies africaines : leRôle de l’information statistique
2002 : Gouvernance et Développement: Un défipour l’Afrique
2003 : Suivi des progrès accomplis dans laréalisation des objectifs de développement duMillénaire : Un défi pour la Statistique
II- Historique des JAS
2004 : Gestion du développement: Le rôle de laStatistique
2005 : La série des recensements de la populationet de l’habitat de 2010 : Une opportunité pouraméliorer l’information statistique pour le suivi del’agenda du développement africain
2006 : Les stratégies nationales de développementde la statistique (SNDS): La planification statistiqueau service du développement dynamique.
II- Historique des JAS
2007 : Améliorer les indicateurs relatifs à l’emploiet les indicateurs connexes pour mieux orienter lesprogrammes et les politiques du travail en Afrique
2008 : Défis de la hausse des prix des denréesalimentaires et du développement agricole enAfrique : Le rôle des statistiques .
2009 : Le renforcement des systèmesd’enregistrement des faits d’état civil et desstatistiques de l’état civil, en appui audéveloppement national et à la réalisation des OMDen Afrique.
II- Historique des JAS
2010 : La journée a été fusionnée avec la journéemondiale de la statistique le 20 10 2010
2011 : Tenir les Comptes pour améliorer lasituation actuelle de l’Afrique et pour un avenirencore plus brillant.
2012 : S’assurer que chaque femme et chaquehomme soit pris en compte : produire desstatistiques sensibles au genre pour l’atteinte desobjectifs de développement.
II- Historique des JAS
2013 : Elle est consacrée à
« Des données de qualité poursoutenir le progrès en Afrique »
III- Quelques Principes sur la Qualité
Les fonctionnaires de l’ONS œuvrent au quotidien àassurer la disponibilité d’une information statistique debonne qualité et de manière transparente, objective,dans le respect de l’indépendance professionnelle ettechnique et ce, en se référant aux normesinternationales et en utilisant des méthodologiesadéquates et saines.
A ce titre, ils veillent au respect des normes statistiquescomme le recommandent les organisationsinternationales et régionales et comme le stipule le code
de la déontologie statistique.
III- Quelques Principes sur la Qualité
Ils veillent au respect du secret statistique desdonnées individuelles des entreprises, desadministrations et des ménages, et ce, comme lestipule le décret législatif portant loi statistique quigarantit le secret statistique et qui rend obligatoirela réponse aux différentes enquêtes et recensementstatistiques.
A ce titre, ils sont attentifs aux dispositions de la loistatistique.
IV- Des faits contribuant à la qualité des données
1- L’Algérie a adhéré aux « Principes fondamentaux
de la statistique officielle des Nations Unies (1994)
parmi lesquels : les bonnes pratiques, l’impartialité,
la qualité et la fiabilité des données statistiques sont
des dimensions importantes.
2- Participation de l’Algérie depuis 2009 au SystèmeGénéral de Diffusion des Données (SGDD) duFonds Monétaire International (FMI).
3- Rédaction des métadonnées selon lesrecommandations du Cadre d’Evaluation de laQualité des données (CEQD) du FMI
IV- Des faits contribuant à la qualité des données
4-L’ONS participe avec la Banque Africaine de
Développement (BAD) aux travaux sur le
Programme de Comparaison Internationale (PCI)
où la qualité des statistiques des prix et de la
comptabilité nationale représente une dimension
importante
5- A des périodicités régulières, le Système National
d’Information Statistique (SNIS) fait l’objet de
diagnostics objectifs et exhaustifs
IV- Des faits contribuant à la qualité des données
6- Le Conseil National de la Statistique (CNS) procède à
l’audit de certains travaux statistiques de l’ONS
(comptabilité nationale, indice des prix à la
consommation, …).
7- Toutes les publications de l’ONS sont
systématiquement accompagnées des métadonnées
8- L’ONS dispose d’un calendrier des publications qui est
rendu public via son site web
9- Disponibilité et mise en oeuvre d’éléments d’une
Stratégie Nationale de Développement de la
Statistique et ce, même si elle n’est pas
formellement adoptée.
IV- Des faits contribuant à la qualité des données
10- Une ouverture de plus en plus importante vers les
médias et les utilisateurs à travers des séminaires,
interviews, interventions dans les médias lourds,
communiqués de presse, …etc.
11- Un site web (www.ons.dz) en constante amélioration
permettant aux utilisateurs un accès facile à
l’information statistique
V- Un SNIS : en quête permanente de
l’amélioration de la qualité
Un cadre institutionnel et légal correct à travers la Loi Statistique
Il existe en Algérie une Loi Statistique (DécretLégislatif 94.01 de 1994) qui a clairementidentifié les organes de production et decoordination statistiques :
Le Conseil National de la Statistique
L’Institution Centrale de la Statistique
Les services statistiques des administrations et des collectivités territoriales
Les Organes publics et privés spécialisés dont les instituts de sondages statistiques.
V- Un SNIS : en quête permanente
de l’amélioration de la qualité
Décret exécutif N° 95-159 du 3 juin 1995 portant réaménagementdes statuts de l’Office National des Statistiques ;
Décret exécutif N° 95-159 du 3 juin 1995 portant création duConseil National de la Statistique.
Décret exécutif N° 97- 396 du 28 octobre 1997 relatif au numérod’identification statistique (NIS) et portant création d’un répertoirenational des agents économiques et sociaux;
Décret exécutif N° 02-282 du 3 septembre 2002 portant institutionde la nomenclature algérienne des activités et des produits.
Conclusion :
Cadre institutionnel et légal complet ………mais certains problèmes dans l’application
Un cadre institutionnel et légal correct à travers la Loi
Statistique
V- Un SNIS : en quête permanente de
l’amélioration de la qualité Etat des lieux : Plusieurs diagnostics sur le SNIS :
Union Européenne (1996, 2006, 2007);
MED-NA (2000);
CNS - ONS (2001);
FMI (2002, 2005);
Bureau d’études étranger (XL-Consultants 2002- 2003);
CNES (2004),
Autres : la BAD (2012), …etc.
Objectivité, convergence et similitude dans les conclusions
V- Un SNIS : en quête permanente de
l’amélioration de la qualité
Forces
Existence d’un cadre légal et institutionnelstructuré (décret exécutif 94.01);
Existence d’un cadre de concertation et dialogue –CNS-
Réelle volonté pour l’adoption des normesinternationales
Maîtrise des outils méthodologiques
Abondance des sources administratives
Personnel expérimenté
Faiblesses
Confusion entre SNIS et ONS obligation de réponse mais parfois des non-réponses
La coordination interinstitutionnellemérite d’être améliorée.
Harmonisation pas tout à fait au point
Méthodologies disparates entre les différents producteurs
Faible utilisation des fichiersadministratifs
Les moyens matériels pas toujoursadéquat
Etat des lieux : Plusieurs diagnostics sur le SNIS
V- Un SNIS : en quête permanente de
l’amélioration de la qualité
Etat des lieux : Plusieurs diagnostics sur le SNIS :
Système national et systèmes sectoriels (large
panoplie avec des niveaux très disparates)
Objectif stratégique : aller vers un SNIS
cohérent et intégré qui prend en charge
effectivement les besoins des utilisateurs
et qui s’appuie sur les normes internationales
V- Un SNIS : en quête permanente de
l’amélioration de la qualité
Les utilisateurs :
Besoins des utilisateurs non bien appréhendés
On se trouve dans une situation d’Offre.
Internationalisation des statistiques
Aller vers les normes internationales adopter
et adapter : GFS (FMI 2001), SCN (ONU 2008),
BOP (FMI 2008), CITI rev 4 (ONU 2008), CPC rev 2.0
(ONU 2008), IAS/IFRS, ….etc.
V- Un SNIS : en quête permanente de
l’amélioration de la qualité
Les principes de mise en oeuvre
Urbanisation du SNIS;
Disposer d’un cadre de référence;
Approche globale et vision à long terme (SNDS);
Respecter les engagements internationaux (SGDD)
V- Un SNIS : en quête permanente de
l’amélioration de la qualité
Les piliers du SNIS
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V- Un SNIS : en quête permanente de
l’amélioration de la qualité
Le SNIS : Les piliers du SNIS
1- Les classifications et nomenclatures
Pas de statistiques pertinentes sans ces outils;
Outils de base de la Statistiques;
Touchent l’ensemble des domaines de la statistiques;
Liées à la normalisation;
En mutuelles évolution;
Outils très flexibles.
V- Un SNIS : en quête permanente
de l’amélioration de la qualité
Le SNIS : Les piliers du SNIS
2- Les répertoires et fichiers
Outils de base de la Statistique;
Touchent l’ensemble des domaines de la statistique;
Liés à la normalisation;
En mutuelle évolution;
Outils très flexibles.
L’un des objectifs de la première phase du Recensement Economique (RE) était justement la mise en œuvre d’un nouveau répertoire des entreprises
V- Un SNIS : en quête permanente
de l’amélioration de la qualitéLe SNIS : Les piliers du SNIS
2- Les répertoires et fichiers
Nécessitent des opérations lourdes pour leurs mise en œuvre :
RGPH les ménages
Recensement Économique les entreprises
Nécessitent également des mises à jours régulières par :
des enquêtes statistiques
l’utilisation des sources administratives
V- Un SNIS : en quête permanente de
l’amélioration de la qualité
Le SNIS : Les piliers du SNIS
2- Les répertoires et fichiers : cas des entreprises
Nécessité de disposer d’un identifiant statistique
Existence du NIS
Promulgation (LF 2006) du NIF
multiplicité des identifiants (ONS, DGI, CNRC, CNAS,…..) risque de confusion
deux options : Numéro d’indentification Unique
Numéro d’indentification Commun
V- Un SNIS : en quête permanente
de l’amélioration de la qualité
Le SNIS : Les piliers du SNIS
3- La coordination inter institutionnelle
Dimension cardinale dans le SNIS
Éviter les doubles emplois (alléger le travail des entreprises et ménages, gain en qualité, réduction des coûts);
Normaliser les concepts et définitions, les modes d’évaluation, les nomenclatures,….etc
Faciliter la circulation de l’information
Pour cela :
Rôle important du CNSÉtablissement de conventions entre les différentes parties
VI- les principales activités de l’ONS
VI.1 Rappel de ses principales missions
Promouvoir le SNIS en veillant à l’élaboration, la disponibilitéet à la diffusion d’informations fiables, régulières et adaptéesaux besoins des agents économiques et sociaux.
Assurer dans le cadre du programme nationald’informations statistiques, la disponibilité régulière desdonnées et analyses statistiques et études économiquesnécessaires à l’élaboration et au suivi des politiqueséconomiques et sociales des pouvoirs publics.
Élaborer et diffuser régulièrement les comptes nationaux.
VI- les principales activités de l’ONS
V.1 Rappel de ses principales missions
Élaborer et proposer les règles et instruments techniquesauxquels doivent se conformer les opérateurs du SNIS,notamment en matière de normalisation et de méthodologiestatistiques.
Assurer la préparation technique, la réalisation,l’exploitation, et l’analyse des recensements généraux.
Contribuer au développement de la science statistique et àla formation, au perfectionnement des statisticiens du SNIS.
VI- Les principales activités de l’ONSVI.2 Les activités routinières et récurrentes
Ensemble des activités statistiques programmées chaqueannée;
Activités centrées sur le corps du métier de l’ONS;
Absorbent une grande part des moyens humains et matériels;
mobilisent l’ensemble des structures de l’ONS aussi bien auniveau central que régional et local.
VI- Les principales activités de l’ONSVI.2 Les activités routinières et récurrentes
L’Indice mensuel des Prix à la Consommation (IPC) ;
L’Indice trimestriel des Prix à la Production Industrielle (IPPI);
L’Indice trimestriel de la Production Industrielle ;
L’Indice trimestriel des Valeurs Unitaires du Commerce Extérieur ;
L’enquête trimestrielle de conjoncture (enquête d’opinion) auprès des chefs d’entreprises sur la situation et les perspectives dans l’industrie et le commerce ;
Les statistiques du Commerce Extérieur ;
VI- Les principales activités de l’ONSVI.2- Les activités routinières et récurrentes
Les statistiques de l’Etat Civil ;
Les statistiques démographiques ;
Les statistiques du parc automobiles ;
Suivi des statistiques de l’emploi et du marché du travail;
Suivi des Statistiques agricoles ;
Suivi des statistiques des finances publiques;
Les travaux de nomenclatures;
La mise à jours des répertoires, …etc.
VI- Les principales activités de l’ONSVI.3- Les activités structurantes
VI.3.1- Le Recensement Economique
C’est l’opération statistique la plus complexe et la plus importantejamais réalisée en Algérie;
Le RE a été structuré en deux phases :
Phase I : Balayage systématique de tout le territoire national
Objectif : constitution d’un répertoire général des entités économiques;
Résultats définitifs de cette première phase ont été publiés en juillet2012 et sont disponibles sur le site web de l’ONS.
VI- Les principales activités de l’ONSVI.3- Les activités structurantes
VI.3.1- Le Recensement Economique
Phase II : Enquête approfondie de structure
Lancée effectivement sur le terrain le 24 mars 2013
La formation des enquêteurs au niveau wilaya avait débuté le samedi 16 mars 2013
Objectifs de l’enquête de structure :
L’élaboration d’une nouvelle base comptable pour la comptabilité nationale, plusparticulièrement pour les comptes de branches, les Equilibres Ressources Emplois (ERE),le Tableau des Ressources et des Emplois (TRE) et le Tableau des entrées Sorties (TES) ;
L’actualisation des structures (pondérations) des différents indices, notamment l’indicedes prix à la production industrielle et l’indice de la production industrielle ;
La mise à jour du répertoire général des entreprises et des établissements économiques;
La mise en œuvre des nouvelles nomenclatures des activités (NAA 2010) et des produits(NAP 2010);
Autres : études sectorielles, élaboration de nouveaux indicateurs économiques, etc.
VI- Les principales activités de l’ONSVI.3- Les activités structurantes
VI.II.1- Le Recensement Economique
Le champ de l’enquête de structure, l’enquête sera réalisée :
Exhaustivement auprès des entreprises publiques et des entreprises privéesde dix salariés et plus ;
Auprès d’un échantillon représentatif, pour les entreprises privées de moinsde dix salariés.
Elle touche une population d’environ 40.000 entreprises couvrant l’ensembledes secteurs d’activité économique (hors agriculture) et concernera plus de600 communes à travers les 48 wilayas du pays.
L’encadrement de l’enquête sur le terrain se fait avec le concours du Ministèrede l’Intérieur et des Collectivités locales qui aura à mobiliser les responsablesdes services statistiques de wilaya et les délégués communaux, et ce, en plusdes cadres des directions régionales et centrales de l’Office.
VI- Les principales activités de l’ONSVI.3- Les activités structurantes
VI.II.1- Le Recensement Economique
Le dossier technique de l’enquête approfondie de structure comporte :
Un jeu de questionnaires adapté aux différentes activités économiques,
les instructions aux enquêteurs et aux superviseurs,
Des fiches d’exploitation
les tests de cohérence,
la partie exploitation informatique,…etc.
Nous saisissons cette opportunité pour réitérer nos remerciements anticipés à l’ensemble des opérateurs économiques, qui ont toujours coopéré et répondu favorablement à l’occasion des diverses opérations statistiques.
VI- Les principales activités de l’ONSVI.3- Les activités structurantes
VI.3.2- Enquête Consommation et niveau de vie de ménages (2011)
Cinquième enquête du genre en Algérie depuis l’indépendance(1967/1968, 1979/1980, 1988, 2000 et 2011)
Elle se distingue des précédentes par le volet afférent aux conditions devie des ménages matérialisé par une batterie de questions relatives àl’éducation, la santé, les loisirs, les revenus, …etc.
Les travaux de terrain ont duré toute l’année 2011 et ont été bouclés audébut de l’année 2012.
Les premiers résultats de cette enquête ont été rendus publics ennovembre 2013 « Données Statistiques » N° 642.
VI- Les principales activités de l’ONS
VI.3- Les activités structurantes
VI.3.3- Enquête communale
Champ : Enquête statistique exhaustive auprès des 1541 communes
Objectif : s’intéresse à l’ensemble des aspects socio-économiques de lacommune, y compris leurs comptes financiers. Les résultats de l’enquêtecontribueront à la mise en place d’un Système d’Information Régional.
Le dossier méthodologique de l’enquête communale a été finalisé par l’ONSau cours de l’année 2012;
Approche participative impliquant les diverses structures de l’ONS, de l’exMinistère de la Prospective et des Statistiques (MPS) et les services duMinistère de l’Intérieur et des Collectivités Locales (MICL).
L’enquête sera lancée au cours de l’année 2014.
VI- Les principales activités de l’ONS
VI.3- Les activités structurantes
VI.3.4- Enquête Nationale Emploi du Temps (ENET 2012):
Contexte : lancement en 2012 de l’ENET dans le cadre d’un partenariat entre l’Algérie et le système des Nations Unies au titre du « programme commun pour l’égalité entre les genres et l’autonomisation des femmes »,
Les objectifs de l’ENET sont :
L’amélioration des statistiques du genre
L’affinement des statistiques du marché du travail
L’affinement des statistiques à mettre à la disposition de la comptabilité nationale
L’ENET est d’une importance stratégique pour la mise à disposition despouvoirs publics de nouveaux instruments pour asseoir les politiqueséconomiques et sociales et permettra également d’étoffer les bases dedonnées existantes.
Les premiers résultats ont été rendus publics en juin 2013 à l’occasion d’unséminaire international
VI- Les principales activités de l’ONSVI.3- Les activités structurantes
VI.3.5- Enquête Nationale sur les salaires auprès des entreprises :
Enquête annuelle réalisée auprès d’un échantillon représentatif d’entreprise publiques et privés hors secteur agricole;
Reprise en 2009 après une longue interruption;
Les résultats de l’enquête nationale sur les salaires auprès des entreprises-de Mai 2012 ont été publiés en septembre 2013 : « données statistiques » n°643
VI- Les principales activités de l’ONSVI.3- Les activités structurantes
VI. 3. 6-Travaux de comptabilité nationale
VI.3.6.1- la base SCEA
Dans l’optique du SCEA, sont disponibles en 2012 :
Une série cohérente de comptes consolidés de la nation : 1974-2012
Une série cohérente de Tableaux Économiques d’Ensemble (TEE) :1974-2011;
Une série de Tableaux des Entrées Sorties (TES) : 1989-2011 avec un document de
méthodologie.
Remarques : les comptes de l’exercice 2013 seront disponibles en juillet
2014.
VI- Les principales activités de l’ONSVI.3- Les activités structurantes
VI. 3.6-Travaux de comptabilité nationale
VI.3.6.2- les comptes en volume
Disponibilité d’une série sur l’évolution du PIB nominal et ses deuxcomposantes à savoir les variations annuelles des volumes et des prix et ce,de 2000 à 2012.
Ces comptes donnent la répartition de la VA selon 22 secteurs d’activitééconomique ainsi que les composante du PIB selon l’optique dépenses.
Synthèse des variations des volumes conduit à l’évaluation de la croissanceéconomique;
VI- Les principales activités de l’ONS
VI.3- Les activités structurantes
VI. 3.6-Travaux de comptabilité nationale
VI.3.6.3- les comptes selon le SCN 93
En cours de finalisation une série de comptes cohérente et intégrée conforme aux recommandations du SCN 93. Elle porte sur la période 2001-2012, avec 2001 comme année de base. Cette base 2001 comprend les familles de comptes suivants :
La cascade des comptes des secteurs institutionnels (du compte de production au compte de capital) pour les secteurs suivants :
Les comptes de branches (compte de production et compte d’exploitation);
Les Équilibres Ressources Emplois (ERE niveau 220);
Des Tableaux des Ressources et des Emplois (TRE niveau 220)
Des Tableaux des Comptes Économiques Intégrés (TCEI).
VI- Les principales activités de l’ONSVI.3- Les activités structurantes
VI.3.6-Travaux de comptabilité nationale
VI.3.6.4- les comptes trimestriels
Une série sur l’évolution du PIB nominal trimestriel est disponible sur la
période allant du 1T1995 au 2T2013
Cette série est en train d’être complétée par une seconde série allant du
1T2000 au 4T2012 donnant l’évolution du PIB trimestriel réel (en volume).
Cette série qui sera finalisée à la fin du premier semestre 2013 sera calée
sur les comptes annuels en volume de 2000 à 2012.
VI- Les principales activités de l’ONS
VI.4- La coopération internationaleVaste programme de coopération avec divers partenaires.
La coopération prend diverses formes qui restent complémentaires :
Formations de courtes durées : réconciliant théorie et pratique, elles sont destinées auxnouvelles recrues
Ateliers de travail (workshops) et séminaires : espaces idoines d’échanges de bonnespratiques, ils sont destinés principalement au personnel plus expérimenté;
Mission d’Assistance Technique sur des thématiques précises;
Visite d’études : prévues lorsque le partenaire ne peut pas se déplacer ou lorsqu’il ne peutpas faire déplacer toute sa logistique de travail (base de données, fichiers, …..);
Réception de la documentation, notamment celles afférentes aux normes internationaleset les méthodologies (bonne pratique);
Réception du matériel et des logiciels : exemple des scanners pour lecture optique, presse numérique, SPSS, ….etc acquis dans le cadre du programme AMECO.
VI- Les principales activités de l’ONSVI.4- La coopération internationale
1- La coopération bilatérale : concerne principalement :
L’UE : concerne principalement le Programme AMECO arrivé à terme le 31.12.2011,
l’INSEE (une convention cadre de coopération entre l’ONS et l’INSEE depuis juin 2010),
Autres partenaires : espagnols, turcs, …etc.
2- la coopération multilatérale : concerne principalement :
le programme régional MEDSTAT 3 avec l’UE. Ce programme s’articule autour des sept sous programmes
le Programme d’Appui à la mise en œuvre de l’Accord d’Association Algérie –UE (P3A) avec deux principales formules : TAIEX et Jumelage. Cinq actions ont été inscrites et réalisées par l’ONS jusqu’à présent.
VI- Les principales activités de l’ONS
VI.4- La coopération internationale
3- La coopération régionale : avec de nombreux partenaires :
la CEA,
la Banque Africaine de Développement,
l’UMA,
la Ligue des Etats Arabes, …etc.
remarque : coopération avec la BAD concerne le Programme de Comparaison Internationale (PCI-Afrique Cycle 2011) avec ses extensions sur des sous programmes liés au renforcement des capacités techniques des INS. Le Programme PCI qui vise le calcul des PPA, comporte deux sous composantes : une composante sur les prix à la consommation et une seconde composante relative à la décomposition du PIB en composantes de la dépense.
4- Autre coopération :
Elle concerne essentiellement les partenaires internationaux comme l’UNSD, les FMI (consultation dans le cadre de l’article IV du FMI, le SGDD), la BM; …etc.
VI- Les principales activités de l’ONSVI.5- L’implantation régionale de l’ONS
L’ONS a intensifié implantation au niveau régional et local avec :
L’Antenne de Sétif opérationnelle et compte six statisticiens;
L’Antenne de Ghardaïa opérationnelle et est en cours de renforcement ;
Les Antennes de Tlemcen, Tiaret et Batna : inscription d’une opération pour l’acquisition de locaux .
VI- Les principales activités de l’ONS
VI.6- Politique de publication et de diffusion
S’articule autour des axes suivants :
Basculement de l’ensemble des publications sur le site web afin d’aller vers une dématérialisation progressive du support papier ;
Gestion de plus en plus dynamique du site web (calendrier des publications disponible sur le site).
VII. QUELQUES INDICATIONS SUR LES
STATISTIQUES DE L’ONS
VII.1 Nature des indicateurs statistiques de l’ONS
Deux grands domaines : statistiques économiques(PIB, production,….) et statistiques sociales (taux dechômage, population,…etc) ;
Diverses périodicités : mensuelle, trimestrielle,semestrielle et annuelle ;
Divers niveaux d’agrégation : micro économique(non publié), méso économique (branches) et macroéconomique ;
VII. QUELQUES INDICATIONS SUR LES
STATISTIQUES DE L’ONS
VII.1 Nature des indicateurs statistiques de l’ONS
Des indicateurs connus et usuels (IPC, tauxde chômage, le PIB,….) et des indicateursmoins connus (taux d’activité, les opinionsde chefs d’entreprises, indice des valeursunitaires,…etc);
Des indicateurs quantitatifs (IPC, IPI,…) etdes indicateurs qualitatifs (opinion des chefsd’entreprises,…etc).
VII. QUELQUES INDICATIONS SUR LES
STATISTIQUES DE L’ONS
VII.2 Les Sources utilisées pour produire lesindicateurs statistiques
Les recensements généraux (RGPH, RGA, RE);
Les enquêtes statistiques (auprès des ménages et
auprès des entreprises) qui sont directement prises
en charge par l’ONS;
Les sources administratives (Ministère des Finances,
Ministère de l’Énergie, Ministère de la Santé,
Ministère des Transports, Banque d’Algérie,
Direction Générale des Douanes…etc)
VII. QUELQUES INDICATIONS SUR LES
STATISTIQUES DE L’ONS
VII.3 Les méthodes utilisées :
Pour élaborer les différents indicateurs statistiques,
l’ONS fait référence à des méthodologies et des
pratiques saines qui sont admises universellement sur le
plan international (ONU, FMI, BIT, OCDE, OMS, …etc).
Ces méthodologies et pratiques comprennent entre
autres :
Les cadres d’enquêtes;
Les concepts et définitions;
Les nomenclatures et classifications;
Les modes d’évaluation.
VII. QUELQUES INDICATIONS SUR LES
STATISTIQUES DE L’ONS
VII.4 Les outils utilisées :
Dans le cadre de l’exercice de ses missions; l’ONS
dispose d’un certain nombre d’outils comme :
Les fichiers et les répertoires (entreprises, ménages);
Les nomenclatures et les classifications;
Les logiciels et outils informatiques (lecture optique
RE);
Un cadre de concertation et de dialogue (CNS)
VII. QUELQUES INDICATIONS SUR LES
STATISTIQUES DE L’ONS
VII.5 Transparence et perception du chiffre
Recours à des méthodologies universelles et à des normes
internationales;
Divers audits (UE, FMI, ONS, CNES, XL,…etc);
Données systématiquement accompagnées de méta données;
Un code de déontologie;
Un garant : le Conseil National de la Statistique;
Adhésion de l’Algérie au SGDD et prochainement à la NSDD;
….. Mais problème de perception du chiffre (référentiel,
interprétation, culture statistique,….etc)
Exemple : perception et mesure
Prévisions météorologiques pour Ghardaia
Conditions actuelles:
Plutôt ensoleillé
La température ressentie 26 °CPression 1011 mbHumidité 23%Visibilité 10 kmVent 14 Km/h NNELever du soleil : 05:40
27 °CCoucher du soleil : 19:46
Dernière mise à jour : 28 Mai 2013 à 13:00 (heure locale)
-10° - -5°-5° - 0°0° - 5°5° - 10°10° - 15°15° - 20°20° - 25°25° - 30°30° - 50°
VIII- Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur
VIII.1- Choix d’un référentiel ou d’une année de base
Très souvent, lorsque l’indicateur économique ou social estponctuellement et statiquement analysé, les enseignements qu’on peuttirer sont limités et parfois sans même grande signification:
En effet, quel est l’intérêt de savoir qu’en 2011 le PIB algérien est de 14481,0 milliards de DA, que l’IPC est 142,4 points ou que la populationalgérienne au milieu de l’année est de 36 717 000.
En revanche, lorsqu’on dit par exemple qu’en 2011 par rapport à 2010,le PIB réel et nominal ont augmenté respectivement de 2,6% et 20,3%ces informations sont plus significatives.
De même, lorsqu’on avance que les prix à la consommation ontaugmenté de 4,52% et que le taux d’accroissement annuel moyen de lapopulation est de 2,04%. Les variations temporelles ou longitudinalesnous renseignent mieux sur les progrès accomplis.
VIII.2- Constance de la définition ou du concept
La comparabilité d’un indicateur dans le temps n’a de sensque lorsque cet indicateur n’a conceptuellement paschangé de sens au fil du temps ou que s’il s’agit exactementdu même indicateur.
Prenons un exemple :
De même qu’il ne peut pas comparer le Produit IntérieurBrut de 2011 à la Production Intérieur Brute de 2011.
VIII- Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur
VIII.3- Principe de la permanence des méthodes
Lorsque l’utilisateur s’est bien imprégné de la méthodologie del’élaboration de l’indicateur, il est à même de mieux l’interpréter. Ilconnaît alors mieux ses forces et ses faiblesses.
L’implication de l’utilisateur dans l’élaboration de l’indicateur et lesmeta données peuvent concourir à la réalisation de cet objectif.
Si par ailleurs, l’utilisateur constate que l’évolution de l’indicateur dansle temps est perturbée, il est de son devoir de s’assurer que laméthodologie régissant l’élaboration de cet indicateur n’a pas changé
C’est le principe de la permanence des méthodes selon lequell’évolution d’un indicateur dans le temps n’a de signification que si laméthodologie d’élaboration de l’indicateur n’a pas connu dechangements notables. Il s’agit d’un principe qui est admis par toutesles normes internationales (SCN93, IFRS/IAS,…..etc).
VIII- Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur
VIII.4- Les sources
L’indicateur n’est comparable dans le temps et dans l’espace que s’il est produitpar la même source. Cela rejoint un peu le principe de la permanence desméthodes.
On ne peut pas comparer par exemple l’évolution du taux de scolarisation calculépar l’ONS en 2008 avec celui donné par exemple par le Ministère de l’éducationnationale pour 2007.
De même, pour certaines branches de l’économie nationale, on ne peut pascomparer de manière pertinente l’indice de la production calculé par l’ONS pourl’année 2008 avec celui élaboré au niveau sectoriel pour 2007 à fortiori lorsqueles méthodes de calcul sont complètement divergentes.
VIII- Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur
VIII.5- Le contexte
Afin de donner à l’indicateur l’interprétation qui soit la plus objectivepossible, il est important de se référer à son contexte global. De même,il ne faut pas faire dire à l’indicateur ce qu’il n’est pas censé dire.
A ce titre, le rapport Stiglitz par exemple sur la mesure desperformances économiques et du progrès social est très illustratif surcette question.
Le chiffre doit être analysé dans son contexte. Par exemple lorsquenotre économie est complètement extravertie ou dépendante del’extérieur, il ne faut pas s’étonner si quelques indicateurs s’affolentsuite à une turbulence de l’économie mondiale. Les exportationsalgériennes ont bien diminué en 2009 suite à la baisse du prix du baril.
VIII- Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
1- Statistiques des Prix1.1 Indices des Prix à la Consommation
INDICES ANNUELS
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Indice Général 101,43 105,75 109,95 111,47 114,05 118,24 123,98 131,1 136,23 142,39 155,05
Variations (%) 1,43 4,26 3,97 1,38 2,31 3,67 4,85 5,74 3,91 4,52 8,89
0,0
1,0
2,0
3,0
4,0
5,0
6,0
7,0
8,0
9,0
10,0
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variations annuelles (%) de l'Indice des Prix à la Consommation
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
1- Statistiques des Prix 1.2 Indices des Prix à la production industrielle (Public)
Variations annuelles (%) des indices des prix à la production industrielle (public)
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Industries hors
hydrocarbures1,6 4,2 4,8 4,5 2,7 4,2 5,7 3,4 3,1 2,2 2,6
Industries
manufacturières1,4 4,2 4,7 4,4 2,3 4,2 4,8 3,0 4,3 1,0 1,1
0,0
1,0
2,0
3,0
4,0
5,0
6,0
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variations annuelles (%) de l'indice des prix à la production industrielle (public)
Industries hors hydrocarbures Industries manufacturières
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
1- Statistiques des Prix 1.3 Indices des Prix à la production industrielle (Privé)
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variation (%)
indice Général-0,5 0,6 1,4 2,2 1,9 2,0 1,5 1,3 1,5 1,0 2,9
-1
-0,5
0
0,5
1
1,5
2
2,5
3
3,5
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variaion (%) de l'indice des prix à la production indusrielle (privé)
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
1- Statistiques des Prix 1.4 Indices des valeurs unitaires à l’importation
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variation (%) IVU 0,3 3,7 9,1 7,1 4,2 8,9 14,6 -2,5 1,2 23,5 -2,8
-5,0
0,0
5,0
10,0
15,0
20,0
25,0
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variation (%) de l'indice des valeurs Unitaires à l'importation
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
2 Statistiques de la population2.1 Quelques indicateurs sur la population
28000
30000
32000
34000
36000
38000
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Evolution de la population totale résidente (en milliers)
71
72
73
74
75
76
77
2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Evolution de l'espérence de vie à la naissance (en années)
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
2 Statistiques de la population2.2 Structure de la population par âge et par sexe en 2012
Groupes d’âges SexeEnsemble
Masculin Féminin
00-04 ans 577 546 1123
05-09 ans 447 423 870
10-14 ans 405 388 793
15-19 ans 463 444 907
20-24 ans 506 492 998
25-29 ans 507 500 1007
30-34 ans 449 439 888
35-39 ans 356 353 709
40-44 ans 304 307 611
45-49 ans 260 261 521
50-54 ans 209 208 417
55-59 ans 174 169 343
60-64 ans 133 127 260
65-69 ans 86 88 174
70-74 ans 75 77 152
75-79 ans 55 58 113
80 ans & 56 58 114
TOTAL 5062 4938 10000
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle3.1 indice de la production industrielle (public)
Variations annuelles (%) des indices de la production industrielle (public)
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012Indice Général 1,1 1,1 0,4 6,5 -3,4 0,3 1,9 0 ,4 -2,5 0,4 1,6Industries hors hydroc. 0,0 -1,5 0,1 4,3 -4,8 -0,3 4,3 3,6 -2,7 2,4 5,4Ind. manufacturières -1,5 -3,5 -2,3 -3,3 -9,3 -3,9 1,9 1,6 -5,4 -1,2 -0,1
-10,0
-8,0
-6,0
-4,0
-2,0
0,0
2,0
4,0
6,0
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variations (%) de l'indice de la production industrielle (public)
Indice Général Industries hors hydrocarbures Industries manufacturières
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle3.2 Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Agriculture 10,1 10,6 10,2 8,2 8,0 8,0 7,0 10,1 9,0 8,7 9,7
Hydrocarbures 35,6 38,5 40,7 47,4 48,4 46,3 48,1 33,6 37,2 38,4 35,4
Industrie 8,1 7,3 6,8 5,9 5,6 5,4 5,0 6,2 5,5 4,9 5,0
BTPH 9,9 9,2 8,9 8,0 8,4 9,3 9,2 11,8 11,2 9,8 10,1
Services Marchands 24,2 22,9 22,9 21,5 21,2 21,9 20,3 25,4 23,0 20,9 21,7
Services Non Marchands 12,0 11,4 10,6 8,9 8,4 9,0 10,3 12,9 14,1 17,5 18,2
Le PIB 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle3.3 Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB de 2012
10%
35%
5%10%
22%
18%
Agriculture Hydrocarbures Industrie
BTPH Services Marchands Services Non Marchands
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle3.4 Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB
Hors Hydrocarbures
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Agriculture 15,6 17,3 17,2 15,7 15,5 15,0 13,5 15,2 14,4 14,0 15,0
Industrie 12,7 11,9 11,5 11,3 10,9 10,1 9,6 9,3 8,7 7,9 7,7
BTPH 15,4 14,9 15,0 15,2 16,3 17,4 17,7 17,8 17,8 15,8 15,6
Services Marchands 37,6 37,3 38,5 40,9 40,8 40,6 39,2 38,2 36,6 33,9 33,6
Services Non Marchands 18,7 18,5 17,8 17,0 16,4 16,9 19,9 19,5 22,5 28,3 28,2
Le PIB hors Hydrocarbures 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle3.5 Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB hors
hydrocarbures de 2012
15%
8%
16%
33%
28%
Agriculture Industrie BTPH
Services Marchands Services Non Marchands
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle3.6 Contribution (%) des secteurs juridiques dans la
valeur ajoutée réelle
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Public 57,3 57,3 58,8 45,4 48,8 52,0 49,1 57,3 57,3 58,8 45,4
Privé 42,7 42,7 41,2 54,6 51,2 48,0 50,9 42,7 42,7 41,2 54,6
Total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
40
42
44
46
48
50
52
54
56
58
60
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Public Privé
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle3.7 Contribution (%) des secteurs juridiques dans la
valeur ajoutée réelle hors hydrocarbures
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Public 22,1 22,1 21,5 21,1 19,6 19,1 17,6 16,4 15,8 15,5 14,7
Privé 77,9 77,9 78,5 78,9 80,4 80,9 82,4 83,6 84,2 84,5 85,3
Total HH 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Public Privé
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle3.8 Croissance annuelle (%) du PIB
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
La PIB 4,1 3,1 5,8 7,7 4,5 6,4 1,5 3,4 2,0 1,0 3,3 2,4 3,1
Le PIB 3,8 3,0 5,6 7,2 4,3 5,9 1,7 3,4 2,4 1,6 3,6 2,8 3,3
Le PIB HH
3,8 6,2 6,5 6,6 5,0 6,0 5,4 7,0 6,7 9,6 6,3 6,1 7,1
0
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
La PIB Le PIB Le PIB Hors Hydoc,
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle3.9 Croissance annuelle (%) des secteurs d’activités et
croissance globale
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Agriculture -1,2 19,5 5,4 2,3 8,1 2,5 -3,8 21,1 4,9 11,6 7,2
Industrie 3,9 8,5 3,0 5,7 -3,0 -0,9 -3,2 -8,0 -2,2 -3,3 -3,4
Hydrocarbures 4,7 2,4 2,8 3,4 3,5 3,0 6,2 8,5 3,4 3,9 5,1
BTPH (y c services
pétroliers)
10,3 5,6 9,4 9,8 13,0 8,9 8,7 8,5 8,9 5,2 8,2
Services Marchands 6,8 5,2 6,4 9,7 6,4 10,1 8,6 7,7 7,3 7,1 6,4
Services Non Marchands 3,9 2,9 2,2 1,6 3,2 3,6 6,4 7,4 5,7 5,4 4,2
Le PIB 5,6 7,2 4,3 5,9 1,7 3,4 2,4 1,6 3,6 2,8 3,3
Le PIB Hors Hydrocarbures
(HH)
6,5 6,6 5,0 6,0 5,4 7,0 6,7 9,6 6,3 6,1 7,1
Le PIB Hors Agriculture
(HA)
7,8 4,5 5,0 6,7 5,0 7,7 8,3 8,0 6,5 5,3 7,1
Le PIB HH & HA -1,2 19,5 5,4 2,3 8,1 2,5 -3,8 21,1 4,9 11,6 7,2
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle3.10 PNB per Capita (en US $)
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
PNB per
capital (en
US $) 1740,2 2053,8 2528,1 2993,3 3363,2 3901,8 4906,1 3856,8 4474,6 5376,3 5387,8
0
1000
2000
3000
4000
5000
6000
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
PNB per capital (en US $)
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
4- Résultats Enquête Consommation et niveau de vie des ménages 2011
L’enquête décennale sur les dépenses de consommation et le
niveau de vie des ménages réalisée par l’ONS en 2011 a porté sur
un échantillon représentatif de 12 150 ménages ordinaires. La
collecte de l’information sur les 900 produits que compte la
nomenclature des biens et services a duré une année entière sur le
terrain afin de prendre en charge les effets de saisonnalité de la
consommation.
« Les dépenses de consommation des ménages algériens pour
l’année 2011 étaient de l’ordre de 4 490 Milliards de DA soit
une dépense moyenne de 59 700 DA par ménage et par mois. »
IX. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES
4- Résultats Enquête Consommation et niveau de vie des ménages 2011