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Maison le Cappascal Grasso architectures
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Maison le Cappascal Grasso architectures
photographiesCyrille Weiner
Confrontant deux visions, celles de l’ar-chitecte pascal Grasso et du photographe Cyrille Weiner, ce livre évoque une ex-périence à la fois architecturale, photo-graphique et humaine.
Dans un environnement exceptionnel, pascal Gras-so a conçu une maison qui tend à faire disparaître les limites entre intérieur et extérieur pour se fon-dre harmonieusement dans le paysage.
Cyrille Weiner quant à lui, a longtemps ar-penté le site et ses environs pour révéler le caractère minéral, silencieux et énigma-tique du bâtiment.
il montre comment l’architecture de la Maison le Cap s’est intégrée au paysage, l’expressivité bru-taliste du béton s’effaçant pour laisser place à une forme d’immatérialité proche de l’abstraction.
Maison le Cap
Confrontant deux visions, celles de l’architecte pascal Grasso et du photographe Cyrille Wein-er, ce livre évoque une expérience à la fois ar-chitecturale, photographique et humaine.
Dans un environnement exceptionnel, pascal Grasso a conçu une maison qui tend à faire dis-paraître les limites entre intérieur et extérieur pour se fondre harmonieusement dans le pay-sage.
Cyrille Weiner quant à lui, a longtemps arpenté le site et ses environs pour révéler le caractère minéral, silencieux et énigmatique du bâtiment.
il montre comment l’architecture de la Maison le Cap s’est intégrée au paysage, l’expressiv-ité brutaliste du béton s’effaçant pour laisser place à une forme d’immatérialité proche de l’abstraction.
Confrontant deux visions, celles de l’ar-chitecte pascal Grasso et du photog-raphe Cyrille Weiner, ce livre évoque une expérience à la fois architecturale, photographique et humaine.
Dans un environnement exceptionnel, pascal Grasso a conçu une maison qui tend à faire disparaître les limites entre intérieur et extérieur pour se fondre har-monieusement dans le paysage.
Cyrille Weiner quant à lui, a longtemps arpenté le site et ses environs pour révéler le caractère minéral, silencieux et énigmatique du bâtiment.
il montre comment l’architecture de la Maison le Cap s’est intégrée au pay-sage, l’expressivité brutaliste du béton s’effaçant pour laisser place à une forme d’immatérialité proche de l’abstraction.
Maison le Cap
Ce sont de simples cubes de béton et de verre dans lesquels se réfléchit le ciel, qui surgissent encadrés, presque camouflés par la végétation. Quatre volumes nets, comme autant de boîtes posées au milieu d’un paysage idyllique avec lequel elles semblent se fondre.pascal Grasso a réalisé une maison de vacances spacieuse qui réinvente la vie de plein air en parfaite harmonie avec l’environnement. Une architecture contextuelle conçue pour répondre et s’adapter à la géographie, au paysage, au climat, et à la lumière.
Le contexteUn terrain boisé à fleur d’eau sur l’un des plus beaux sites de la côte varoise. Le paysage offre de multiples vues sur la mer et les « îles d’or », les îles d’Hyères qui doivent leur surnom aux micaschistes qui en font scintiller les parois rocheuses.autour, la végétation caractéristique de la Méditerranée, des rochers escarpés, de minces lisières de plages, quelques criques, l’eau... le tout est baigné de lumière. Évoquant la genèse du projet, pascal Grasso parle de la géographie et du climat propres à la région, un « étant donné » qui a imposé une réponse adaptée à la spécificité du contexte, qui confère à cette réalisation sa singularité, son caractère exclusif. Dès la première visite de reconnaissance, la force des différents éléments qui composent le paysage, comme la topographie du lieu, ont retenu son attention. les premières observations ont incité pascal Grasso à exploiter la courbe du terrain, à jouer sur différents niveaux de terrasses, à démultiplier les murs de pierres sèches existants, tout en s’adaptant au climat ensoleillé de la région, mais aussi à ses intempéries et à une luminosité souvent intense. les matériaux choisis font écho à l’aspect minéral de la côte : le béton brut, la pierre, le verre, l’acier inox.Coulé dans des coffrages dont le fond était constitué de planches de bois préalablement sablées, le béton brut en a retenu les empreintes, ce qui lui confère une texture particulière.
Maison le CapFrançoise Claire prodhon
Cette vaste maison familiale permet de loger quatre générations en disposant d’un grand nombre de chambres pour accueillir proches et amis en préservant l’autonomie de chacun ; la possibilité de profiter de la douceur du climat en vivant à l’extérieur la plupart du temps.
Les sourcesDans son désir d’inscrire la maison dans le paysage, pascal Grasso a fait resurgir les images dont il aime la pertinence. Ce sont notamment les œuvres de Donald Judd, ses séries de volumes de béton installés dans le désert près de Marfa (Texas), ou les déclinaisons de cubes et de parallélépipèdes d’un volume identique dans lesquelles l’artiste introduit chaque fois une variante.C’est aussi le land art et la propension de ses protagonistes à utiliser les éléments de nature présents sur le site de leur intervention : on pense aux chemins de pierres de Richard long, à la « spiral Jetty » de Robert smithson, au Roden Crater de James Turrell. Mais si cette esthétique issue du minimalisme est l’une des influences formelles du projet, elle laisse entrevoir une approche plus conceptuelle. pour mettre en évidence des notions de perturbation ou de transparence, pascal Grasso a utilisé un verre réfléchissant de sorte que la journée on ne perçoit rien de l’intérieur de la maison, les ouvertures reflétant le paysage (ce qui a pour effet d’intensifier encore la manière dont les quatre cubes se fondent avec leur environnement). la nuit venue, la lumière électrique inverse l’effet, et l’intérieur de la maison se projette dans le jardin... Cette porosité entre intérieur et extérieur, évoque celle des «pavillons» de Dan Graham, structures de métal et de verre au croisement entre architecture et sculpture que les interactions avec la lumière environnante rendent alternativement visibles ou invisibles. Travailler la relation au paysage consistait également à régler la question des ouvertures. parlant plus volontiers d’écrans que de fenêtres, l’architecte a pensé en termes de cadrage photographique ou cinématographique. L’idée étant d’alterner plans fixes et travellings lorsque l’usager se déplace, découvrant le paysage constamment cadré depuis les fenêtres, comme depuis les meurtrières installées dans les espaces de circulation.
La maison pascal Grasso a conçu une maison fractionnée en quatre volumes disposés dans le paysage selon une orientation qui varie en fonction des points de vue, et reliés entre eux par des circulations. Chacune des quatre boîtes de béton brut a une taille et une position distinctes (posée au sol, en légère lévitation, en porte à faux, empilée) : une façon de tirer parti du terrain en pente en travaillant sur des terrasses à des niveaux différents, mais aussi d’interagir avec le paysage.
Des casquettes hautes et latérales protègent la maison du soleil estival et permettent au soleil d’hiver de pénétrer dans les pièces et de les réchauffer naturellement. Toutes les eaux sont canalisées et drainées pour faire face aux fortes intempéries de la région.les murs de pierre parallèles à la plage et formant terrasses, uniques éléments existant initialement sur le site, ont été repris et démultipliés pour devenir un élément de conception qui structure l’ensemble du projet. Toutes les liaisons entre les volumes sont en pierre, les murs se prolongent à l’intérieur de la maison, créant une articulation visuelle entre l’extérieur et l’intérieur.pour ces murs de pierres sèches (sans mortier), pascal Grasso a choisi la pierre locale extraite des carrières de Bormes-les-Mimosas (à quelques kilomètres de là), dont les tonalités rappellent celles de la côte. Cette pierre est également utilisée à l’extérieur dans le jardin pour les rocailles, les chemins piétons, les gabions. l’utilisation des mêmes matériaux en continuité à l’intérieur et à l’extérieur (béton brut, pierre, verre, acier inox) contribue au sentiment d’une parfaite fluidité entre les différentes pièces de la maison, les circulations, les terrasses et les jardins. Ce vocabulaire épuré, réduit à l’essentiel, met l’accent sur l’harmonie des volumes, et ramène constamment au paysage.Afin que rien ne vienne perturber le regard, Pascal Grasso a intégré tous les éléments techniques, au profit d’une lecture claire des espaces. Un minimalisme qui s’exprime dans le détail et révèle toute la complexité du projet en termes de conception et de réalisation.
l’implantation et la diversité des volumes de chaque bâtiment offrent des espaces résiduels que les habitants adultes et enfants se sont immédiatement appropriés. Á l’extérieur, la vie s’organise autour de l’espace situé sous le porte-à-faux du volume principal. Ce point central ombragé a été aménagé pour que toute la famille se retrouve autour d’une longue table en sipo massif de quatre mètres dessinée par pascal Grasso, ou sur les banquettes de repos. la piscine à débordement en acier inox jouxte une terrasse, offrant une alternative aux bains de mer. l’aspect lisse et neutre de l’acier inox contraste avec la matérialité du béton et de la pierre, sa surface prend la couleur de son environnement. le jardin dont l’aménagement est partie intégrante du projet et pour lequel pascal Grasso a conçu cheminements et terrasses s’articule lui aussi sur la multiplicité des points de vue, et participe de l’inscription harmonieuse de la Maison le Cap dans le paysage.
Ce sont de simples cubes de béton et de verre dans lesquels se réfléchit le ciel, qui surgissent encadrés, presque camouflés par la végétation. Quatre volumes nets, comme autant de boîtes posées au milieu d’un paysage idyllique avec lequel elles semblent se fondre.pascal Grasso a réalisé une maison de vacances spacieuse qui réinvente la vie de plein air en parfaite harmonie avec l’environnement. Une architecture contextuelle conçue pour répondre et s’adapter à la géographie, au paysage, au climat, et à la lumière.
le contexteUn terrain boisé à fleur d’eau sur l’un des plus beaux sites de la côte varoise. Le paysage offre de multiples vues sur la mer et les « îles d’or », les îles d’Hyères qui doivent leur surnom aux micaschistes qui en font scintiller les parois rocheuses.autour, la végétation caractéristique de la Méditerranée, des rochers escarpés, de minces lisières de plages, quelques criques, l’eau... le tout est baigné de lumière. Évoquant la genèse du projet, pascal Grasso parle de la géographie et du climat propres à la région, un « étant donné » qui a imposé une réponse adaptée à la spécificité du contexte, qui confère à cette réalisation sa singularité, son caractère exclusif. Dès la première visite de reconnaissance, la force des différents éléments qui composent le paysage, comme la topographie du lieu, ont retenu son attention. les premières observations ont incité pascal Grasso à exploiter la courbe du terrain, à jouer sur différents niveaux de terrasses, à démultiplier les murs de pierres sèches existants, tout en s’adaptant au climat ensoleillé de la région, mais aussi à ses intempéries et à une luminosité souvent intense. Les matériaux choisis font écho à l’aspect minéral de la côte : le béton brut, la pierre, le verre, l’acier inox.Coulé dans des coffrages dont le fond était constitué de planches de bois préalablement sablées, le béton brut en a retenu les empreintes, ce qui lui confère une texture particulière.Cette vaste maison familiale permet de loger quatre générations en disposant d’un grand nombre de chambres pour accueillir proches et amis en préservant l’autonomie de chacun ; la possibilité de profiter de la douceur du climat en vivant à l’extérieur la plupart du temps.
les sourcesDans son désir d’inscrire la maison dans le paysage, pascal Grasso a fait resurgir les images dont il aime la pertinence. Ce sont notamment les œuvres de Donald Judd, ses séries de volumes de béton installés dans le désert près de Marfa (Texas), ou les déclinaisons de cubes et de parallélépipèdes d’un volume identique dans lesquelles l’artiste introduit chaque fois une variante.C’est aussi le land art et la propension de ses protagonistes à utiliser les éléments de nature présents sur le site de leur intervention : on pense aux chemins de pierres de Richard Long, à la « Spiral Jetty » de Robert Smithson, au Roden Crater de James Turrell. Mais si cette esthétique issue du minimalisme est l’une des influences formelles du projet, elle laisse entrevoir une approche plus conceptuelle. pour mettre en évidence des notions de
perturbation ou de transparence, Pascal Grasso a utilisé un verre réfléchissant de sorte que la journée on ne perçoit rien de l’intérieur de la maison, les ouvertures reflétant le paysage (ce qui a pour effet d’intensifier encore la manière dont les quatre cubes se fondent avec leur environnement). la nuit venue, la lumière électrique inverse l’effet, et l’intérieur de la maison se projette dans le jardin... Cette porosité entre intérieur et extérieur, évoque celle des «pavillons» de Dan Graham, structures de métal et de verre au croisement entre architecture et sculpture que les interactions avec la lumière environnante rendent alternativement visibles ou invisibles. Travailler la relation au paysage consistait également à régler la question des ouvertures. parlant plus volontiers d’écrans que de fenêtres, l’architecte a pensé en termes de cadrage photographique ou cinématographique. L’idée étant d’alterner plans fixes et travellings lorsque l’usager se déplace, découvrant le paysage constamment cadré depuis les fenêtres, comme depuis les meurtrières installées dans les espaces de circulation.
la maison pascal Grasso a conçu une maison fractionnée en quatre volumes disposés dans le paysage selon une orientation qui varie en fonction des points de vue, et reliés entre eux par des circulations. Chacune des quatre boîtes de béton brut a une taille et une position distinctes (posée au sol, en légère lévitation, en porte à faux, empilée) : une façon de tirer parti du terrain en pente en travaillant sur des terrasses à des niveaux différents, mais aussi d’interagir avec le paysage.Des casquettes hautes et latérales protègent la maison du soleil estival et permettent au soleil d’hiver de pénétrer dans les pièces et de les réchauffer naturellement. Toutes les eaux sont canalisées et drainées pour faire face aux fortes intempéries de la région.les murs de pierre parallèles à la plage et formant terrasses, uniques éléments existant initialement sur le site, ont été repris et démultipliés pour devenir un élément de conception qui structure l’ensemble du projet. Toutes les liaisons entre les volumes sont en pierre, les murs se prolongent à l’intérieur de la maison, créant une articulation visuelle entre l’extérieur et l’intérieur.pour ces murs de pierres sèches (sans mortier), pascal Grasso a choisi la pierre locale extraite des carrières de Bormes-les-Mimosas (à quelques kilomètres de là), dont les tonalités rappellent celles de la côte. Cette pierre est également utilisée à l’extérieur dans le jardin pour les rocailles, les chemins piétons, les gabions. l’utilisation des mêmes matériaux en continuité à l’intérieur et à l’extérieur (béton brut, pierre, verre, acier inox) contribue au sentiment d’une parfaite fluidité entre les différentes pièces de la maison, les circulations, les terrasses et les jardins. Ce vocabulaire épuré, réduit à l’essentiel, met l’accent sur l’harmonie des volumes, et ramène constamment au paysage.Afin que rien ne vienne perturber le regard, Pascal Grasso a intégré tous les éléments techniques, au profit d’une lecture claire des espaces. Un minimalisme qui s’exprime dans le détail et révèle toute la complexité du projet en termes de conception et de réalisation.
l’implantation et la diversité des volumes de chaque bâtiment offrent des espaces résiduels que les habitants adultes et enfants se sont immédiatement appropriés. Á l’extérieur, la vie s’organise autour de l’espace situé sous le porte-à-faux du volume principal. Ce point central ombragé a été aménagé pour que toute la famille se retrouve autour d’une longue table en sipo massif de quatre mètres dessinée par pascal Grasso, ou sur les banquettes de repos. la piscine à débordement en acier inox jouxte une terrasse, offrant une alternative aux bains de mer. l’aspect lisse et neutre de l’acier inox contraste avec la matérialité du béton et de la pierre, sa surface prend la couleur de son environnement. le jardin dont l’aménagement est partie intégrante du projet et pour lequel pascal Grasso a conçu cheminements et terrasses s’articule lui aussi sur la multiplicité des points de vue, et participe de l’inscription harmonieuse de la Maison le Cap dans le paysage.
HoUsele CapFrançoise Claire prodhon
CHanTieR Réalisation et coordination léon Grosse
Version 1
Regulière
Version 2
entreprise générale
LEON GROSSE Côte d’AzurBP 122, Route de la Baronne06703 saint laurent du Var cedexT. 04 93 14 80 80F. 04 93 31 85 [email protected]
eclairage
saMMoDe24 rue des amandiers75020 parisT. 01 43 14 84 [email protected]
ingénierie structure et façades
ARCORA 113 avenue aristide Briand 94110 ARCUEIL T. 01 41 98 66 [email protected]
Menuiseries extérieures
paCK-line sarl 2200 route de Genève Za les Granges 01150 leYMenT T. 04 74 34 99 45 F. 04 74 34 99 46 [email protected] www.weeeze.com
paCK-line sa7 route de Genève 1291 CoMMUGnY T. +41 (0) 22 776 17 31F. +41 (0) 22 776 10 70 [email protected] www.weeeze.com
piscine en inox
ZELLER254, Chemin de la Farlède83500 la seyne/ merT. 04 86 68 90 18F. 04 86 68 90 [email protected]
Revêtement pierre
AZUR CARRELAGE développement46 avenue Maurice Jeanpierre06400 CannesT. 04 93 432 [email protected] www.azurcarrelage.com
aménagement paysager
CHLORO TECH115, chemin du Val de Cagne 06800 Cagnes sur MerT. 04 93 20 76 81F. 04 93 73 98 [email protected]
Menuiserie
soloMasZI LA VALLIERE06730 St André de la RocheTél : +33 4 93 27 63 63Fax : +33 4 93 27 63 [email protected]
Cuisine et mobilier
INTER-FACES5, av François CuzinRond-point Bir-Hakeim83000 ToUlonT. 04 98 00 65 75F. 04 98 00 65 76 [email protected]
paRTenaiRes
Pascal Grasso remercie :
Sarah et Junie pour leur présence.
Christiane, Ginette, Guillaume,
Laurène, Nicolas, Philippe pour leur
confiance.
Jean-Christophe Alvado, Claude
Bansard, Patrick Barbier, Emma
Blanc, Juliano Bottari, Emmanuel
Bottero, Farid Boujemaa, Matthieu
Charon, Jean-Pierre Cœur, Damien
Descamps, M. et Mme Dumont,
Emilie Faline, Rémi Faucheux, David
Foessel, Patrick Garcin, François
Galléani, Romain Gervasoni, Ana
Jodar Reyes, Stéphane Manarini,
Laura Martin, Philippe Michel,
Philippe Monteil, Françoise-Claire
Prodhon, Gilles Pasquier, Lucien
Pistolesi, Jean-Guy Rivière, Patrick
Rossi, Nizar Slama, Nadine Solomas,
Christian Turpin, Stéphane Vabre,
Nicolas Vantalon, Emmanuel
Vicarini, Gérard Vigreux, Frédéric
Weeger, Cyrille Weiner pour leur
travail et leur aide.
Photographies : © Cyrille WeinerConception graphique : RVB BOOKS© RVB BOOKS ISBN : 979-10-90306-36-3Achevé d’imprimer en décembre 2014 Dépôt légal décembre 2014Imprimé en Espagne
