magazine clean sfax fr
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Clean Sfax Project
Projet présenté par les élèves de collège pilote Sfax
Nous les élèves de collège pilote Sfax nous avons l’honneur
de vous présenter notre projet « Clean Sfax ». Comme nous le savons tous, Sfax souffre de graves problèmes de pollution.
C'est pourquoi nous devons rechercher les causes de ces problèmes, nous allons
trouver des solutions pratiques afin de nous sauver avant qu'il ne soit trop tard.
Donc, nous allons réfléchir à un avenir meilleur pour nous tous!
Bonjour mes amis !
Notre objectif général
les objectifs du projet
Clean Sfax:
Favoriser le recyclage et retrouver les
meilleures solutions
possibles afin de réduire les déchets et la
pollution
Faire du collège pilote Sfax un
exemple pilote en matière de
solutions écologiques.
Couvrir le toit du collège pilote de
Sfax de panneaux solaires
(photovoltaïque)
Développer des compétences en techniques
de communication et de l’esprit de collaboration et de l’esprit critique chez
les élèves
Développer le leadership,
l’esprit entrepreneurial et la créativité
des élèves
Développer les aptitudes et
compétences des élèves dans la conduite de
projet en utilisant l’outil informatique
Créer une génération de leaders capables de prendre des décisions écologiques en faveur du développement durable de la Tunisie.
Nos sous objectifs : Allons-y
L'implémentation des panneaux photovoltaïques sur le toit du collège, les obstacles et les solutions
La Pollution industrielles dans la ville de Sfax, les problèmes
Les problèmes de santé reliés à la pollution dans la ville de Sfax, les problèmes et les solutions
Les problèmes de traitement des eaux usées dans la ville de Sfax
La pollution marine dans la ville de Sfax, les problèmes
Les problèmes reliés aux ressources en eau douce en Tunisie, les attitudes et solutions pour la collecte, la conservation et le développement de ces ressources.
Les effets des plantes sur la santé physique et mentale. Les plantes aromatiques et médicinales peuventelles devenir une mine d’emploi pour l’avenir et un levier de développement ?
L'Intégration les projets de toutes les équipes et mettre en place une stratégie de développement durable accès sur la « Green Economy »
Nos préparations : des séances de brainstorming
Introduction
D’après les dernières discussions et les travaux de recherche et d'investigation que nous avons mené, nous sommes sortis avec certaines solutions que nous pourrions qualifier d’intéressantes! 1- la commune de Sfax est en face à un grand problème de pollution biologique source d’épidémies, de pollution de l'air, suite la mise à feu de ces déchets par les gens devant leurs maisons.
Nous avons aussi, réalisé que la mise en place de panneaux solaires sur les toits des écoles, des lycées et des institutions universitaires avec la création de centres de Valorisation des déchets est la meilleure solution à ce problème et à d'autres problèmes d'ordre écologique mais économique également .
en effet, la mise en place de panneaux solaires sur les toits des institutions éducatives et création d'un centre de valorisation des déchets pourrait rependre à un besoin de plus en plus accrue à l'électricité notamment durant les pics de consommation au cours de la saison estivale.
Ce ci contribuera à la préservation des ressources naturelles de la planète en augmentant la production d’énergie à partir d’une source renouvelable qui est très respectueuse de l'environnement et qui participera au développement durable du pays.
Ces solutions nous éviterons de recourir aux énergies fossiles(le gaz, le pétrole,...) et donc ce ci aura une répercussion positive sur la balance commerciale notamment sur la caisse de compensation.
La facture de la consommation d’électricité dans notre collège a aussi augmenté de 10523,763 DT en 2009, à 13533,626 DT en 2010. Cette valeur va augmenter en 2015 vers 28582 DT.
En effet La consommation de l’électricité a augmenté en Sfax, dans toutes les institutions éducatives de 5011671 Kwh en 2009, à 5116951 en 2010 selon des statistiques officielles en réalisant un pourcentage d’évolution de 2%. Ainsi, cette valeur peut atteindre 5643350 Kwh en 2015.
la consommation des écoles préparatoires et lycées au gouvernera de Sfax pour l'année 2010 est de l'ordre de 5116951,184 Kwh facturé à 607568,761 dinars.
Bien sure, la facture est un peu plus salée aujourd'hui après les plusieurs augmentations dans le prix du Kwh.
La production de 5 117 MWh par an d’électricité depuis l’énergie renouvelable nous permettrait d'économiser l’équivalent de 1.280 Million de tonnes de pétrole soit un gain de 853 milles dinars par an comme dépense de l'Etat dans la caisse de compensation.
A part le fait qu' on doit avoir environ 3454 Kwc pour produire cette quantité d’énergie qu'on ne consommera pas durant les vacances et que la collectivité pourrait en bénéficier en l’occurrence en été qui est la période de pic de consommation de l’énergie électrique en Tunisie !!! ce qui permettrait de fournir de l’électricité à environ 7000 familles tunisiennes et donc diminuer la consommation d’énergies fossiles et dépenser moins dans la caisse de compensation.
un investissement de 100 million de dinars en énergie photovoltaïque a permit une économie de 450 millions de dinars comme dépense de l'Etat dans la caisse de compensation et a permit d’éviter d'importer 750 millions de dinars de combustibles (énergies fossiles) la production de 600 GWH par an d’électricité depuis l’énergie
Essayons d’imaginer ce qui se passerait si tous les établissements scolaires et universitaires utilisent l’énergie photovoltaïque et quels serait les répercutions sur l’Economie Tunisienne.
Photovoltaïque
Pour que ce projet soit bénéfique sur plus de Tunisiens possibles, il faut que les panneaux photovoltaïques ou les éoliennes utilisées soient fabriquées par des sociétés tunisiennes et par une main d’œuvre tunisienne, ainsi on aurait créée propulsé un créneau à forte employabilité.
1. La mentalité des gens : les gens trouvent ce qu’on fait « mignon » mais ils n’y croient pas !!!
2. Législations inadéquates pour promouvoir l’adoption des énergies renouvelables comme le photovoltaïque et l’éolienne dans les institutions éducatives et établissements publiques.
3. Centralisation des décisions 4. Bureaucratie et procédures administratives difficiles5. Beaucoup d’intervenants et personne ne peut prendre une décision !6. Manque d’autonomie des établissements éducatifs7. Conjoncture politique.
Le plan de financement qu’on propose:
Problèmes Solutions possibles L’autofinancement Exonération/ Crédit STEG/ Le montant restant du à
payer
Si on contractera un prêt, Durant les vacances et les jours de congés, les institutions éducatives vont tout de même payer leurs annuités sans avoir consommé de l’électricité, ce qui représente une charge de plus et ce là pèsera lourd sur leur budgets.
Prêt bancaire à un taux de crédit préférentiel/conventions entre l’Etat et les banques pour ce projet…
L’annuité à payer ne doit pas dépasser le montant payé pour la facture régulière de l’électricité(STEG) de l’école.
Il faut qu’il y ait un décret qui fait que la STEG achète l’électricité produite en surplus à des prix attractifs pour promouvoir l’utilisation des énergies renouvelables Ainsi, les écoles et universités n’y trouverons
aucun inconvénient financier.
Ou tout simplement la STEG se reconverti aux énergies renouvelables.
Il faut encourager encore plus les investisseurs en l’occurrence jeunes tunisiens comme
« Les frères Bargaoui (Nidhal et Noomen), hommes d’affaires tunisiens, ont eu l’initiative d’installer une plateforme complète de fabrication des panneaux solaires photovoltaïques en Tunisie. Implantée dans la zone industrielle d’Ennadhour (gouvernorat de Zaghouane)… qui permettra de faire gagner au moins 50% des dépenses en énergie électrique…NR-SOL va créer près de 4000 emplois directs et indirects (production, installation, … »
Le photovoltaïque peut révolutionner l'énergie en Tunisie (http://www.turess.com/fr/tapfr/105365)
La production du photovoltaïque serait-elle la prochaine grande révolution
en Tunisie?, telle est la conviction défendue par M. Anthony Mcharek, directeur de développement MENA à Air liquide Electronique Europe, avec qui nous avons eu l’honneur d’avoir une vidéo conférence via Skye.
Créer une industrie High-tech… la Tunisie a une occasion en or de créer une industrie "High-tech" à très forte valeur ajoutée et fortement génératrice d'emploi, notamment, pour les jeunes diplômés". "Le transfert de cette technologie peut être, d'après ce responsable, garanti et permettre, ainsi, la fabrication à grande échelle de panneaux photovoltaïques en Tunisie. Outre l'alimentation du marché intérieur, le pays sera à même de viser l'exportation, avec une qualité répondant aux standards internationaux"… "Il est important aujourd'hui de se positionner rapidement à l'heure où la demande locale et mondiale en énergie solaire, explose", a souligné M. Mcharek, évoquant à ce sujet, les projets DESERTEC et les plans solaires régionaux et nationaux (Méditerranée, Tunisie, Algérie...).Le photovoltaïque à partir du SiliciumUn deuxième type de technologie photovoltaïque "cristalline", existe depuis 30 ans et représente 80% du marché mondial. Il n'a cependant, pas montré son efficacité surtout dans les pays très chauds.Cette technologie utilise comme matière première; le silicium, dont le kilo
négocié sur le marché international peut passer de 40 dollars à 350 dollars, ce qui rend son coût de fabrication difficile à prévoir pour les investisseurs, contrairement à la technologie à couche mince qui utilise simplement un substrat de verre.Cette fluctuation a été à l'origine de la naissance depuis 6 ans, de la technologie dite à "couche mince" qui compte actuellement, des capacités de production dans le monde, évaluées à plus de 2 mille
1) Qu'est ce qu'un photovoltaïque :
Le soleil apporte chaque jour de l'énergie gratuite en installant des panneaux solaires photovoltaïques sur votre toit, vous utiliser cette énergie pour produire de l’électricité vous pouvez ainsi générer des revenus en revendant cette électricité propre
2) Comment ca fonctionne ?
Dans une centrale solaire, un système photovoltaïque (PVI, est un système qui utilise des cellules solaires pour convertir la lumière en électricité ces cellules absorbent le rayonnement solaire et le transforment directement en courant électrique continu ce courant continue est ensuite transformé en courant alternatif 220 volt (identique a celui du réseau grâce a un onduleur l'électricité dans public électricité T 2 vidéo dans la
3) Avantages d'utilisation :
Avantages économiques :
Réduction jusqu'à 80% sur facture d'électricité de la STEG.
Une très bonne rentabilité et un amortissement rapide.
La valeur d'une maison augmentée grâce à la mise en place d'une installation photovoltaïque.
Avantages techniques :
Des systèmes de panneaux solaires photovoltaïques simples et rapides à installer
Des installations photovoltaïques robustes et nécessitant très peu de maintenance.
Garantie de 25 ans sur rendement. Garantie de 10 ans sur matériel et
équipement. Pas de combustion : peu d'usure
thermique des composants. Des systèmes fiables et stables :
résistance aux intempéries, aux rayonnements UV et aux variations de température.
Risque de panne quasiment nul.
Avantages écologiques :
Une énergie 100% naturelle, propre et inépuisable.
Le photovoltaïque contribue à la réduction des émissions de CO2, à la réduction des rejets polluants et à la préservation des ressources naturelles.
Le photovoltaïque contribue à l'évolution des consciences vers la préservation de la nature.
Photovoltaïque
Le projet DESRETEC
en effet, la mise en place de panneaux solaires sur les toits des institutions éducatives et création d’un centre de valorisation des déchets pourrait rependre à un besoin de plus en plus accrue à l'électricité notamment durant les pics de consommation au cours de la saison estivale.
Ce ci contribuera à la préservation des ressources naturelles de la planète en augmentant la production d’énergie à partir d’une source renouvelable qui est très respectueuse de l'environnement et qui participera au développement durable du pays.
Ces solutions nous éviterons de recourir aux énergies fossiles(le gaz, le pétrole,...)
et donc ce ci aura une répercussion positive sur la balance commerciale notamment sur
la caisse de compensation.
Il s’agit d’une économie qui, à long terme, utilise moins ou mieux les ressources naturelles, énergétiques et les matières premières non renouvelables et qui émet beaucoup moins de gaz à effet de serre ; qui pratique la production et la consommation responsables, pense la production en termes de cycle de vie ; où les transports sont raisonnés, les villes durables, les territoires pensés et gérés
Notre visite au projet
TAPARURA
globalement selon un mode de développement durable ; qui évalue les effets des décisions sur les générations futures.
Adoption des inventions de PHD Hayet Omri reliées à l’exploitation du
Le chômage augmente de 14.2% en 2008 à 18.3% en 2011. Alors , grâce à ces centres de valorisation on va créer des postes de travail. Alors , l’Etat va réduire le chômage.
Dans l’hypothèse qu’on va mettre en place, un centre de tri, recyclage et valorisation énergétique des déchets.
L’état, les citoyens et les industries auront une relation gagnant-gagnant.
Sur un autre plan, Taparura vise la réalisation exemplaire d’une conception environnementale. La durabilité doit être intégrée dans le projet dès sa phase de conception urbanistique et architecturale.
- See more at: http://www.taparura.com/?p=391#sthash.CXuRotcA.dpuf
Le projet TAPARURA vise la dépollution des côtes nord de la ville de Sfax, la réhabilitation de ses plages et la création de 420ha de terrains à gagner sur la mer pour l’extension de l’agglomération urbaine, et ce dans la zone allant du port de commerce de la ville jusqu’au théâtre estival de Sfax sis à la route de Sidi
Les déchets
Fines < 20 mm17%
Dechets ménagers
1%Incombustibles (
Non Classés ) 1%
Métaux/aluminium
1%Verres
1%Combustibles ( Non Classés )
2%Plastiques - Bouteilles
3%Plastiques - Sacs et emballages
10%Textiles Sani-
taires4%
Textiles Ves-timentaires
6%Tetra packs
2%
Cartons5%Papiers
3%
Putrescibles44%
Source : www.anged.nat.tn
2010 20190
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Déchéts produits à Sfax Année/Tonnes
Déchéts produits à Sfax Année/Tonnes
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1Déchéts produits à Sfax hab/jour/kg
Déchéts produits à Sfax hab/jour/kg
En effet, un centre de valorisation des déchets ne consomme que 20% de l‘énergie qu'il produit et les 80% restantes pourraient être vendus à la STEG d'ou un besoin moindre pour les énergies fossiles).
ces centres sauront des entreprises à valeur ajoutée et qu'ils produiront et vendrons des produits rémunérés comme l’électricité, chaleur, la cogénération: Une valorisation mixte chaleur/électricité.
Création de centre de valorisation des déchets
Les problèmes de santé
« Les sédiments analysés autour du site de Gabès ont enregistré une forte pollution par le phosphore et la matière organique, outre des valeurs de métaux lourds qui dépassent considérablement les seuils admis… S'agissant de la faune, l'étude précise que le site de Gabès est dépourvu de toute présence floristique et la diversité de la macro-flore reste réduite… »
http://www.webmanagercenter.com/actualite/economie/2012/10/04/125624/les-rejets-de-phosphogypse-du-groupe-chimique-tunisien-polluent-gabes
http://nawaat.org/portail/2010/08/31/tunisie-pollution-alarmante-dans-la-region-de-sfax-et-de-kerkennah/
… C’est ainsi que les unités de traitement de phosphate (la NPK et la SIAPE) ont fortement contribué à la dégradation de l’environnement. La zone située au sud des ports, fait l’objet de rejets des eaux traitées par la station d’épuration de l’ONAS, et des rejets de la SIAPE,
constitués de phosphogypse, reliquat de la fabrication des engrais et de l’acide phosphorique par
utilisation des phosphates. Les deux usines de traitement de phosphate précitées, par le biais de
leurs ateliers de production d’acide sulfurique, d’acide phosphorique et de superphosphate, entraînent une dégradation sensible de l’environnement…
Arbre à problèmes
Pollution marine
Arbre à objectifs
Des maladies liées à la pollution tuent chaque année des millions d'enfants
Chaque jour, 5 500 enfants meurent de maladies imputables à la consommation d'eau ou d'aliments pollués, selon une nouvelle étude publiée par trois institutions des Nations Unies.
Ce chiffre alarmant, qui apparaît dans Les enfants du nouveau millénaire : Impact de l'environnement sur la santé, montre que, dans le monde entier, les
40 % des maladies liées à l'environnement touchent les enfants de moins de cinq ans.D'après l'OMS, près du tiers du total des maladies dans le monde peut être imputé à des facteurs de risque environnementaux. Plus de 40 % de ce total frappe les enfants de moins de cinq ans, qui constituent 10 % de la population mondiale. La malnutrition y contribue largement, car elle touche environ 150 millions d'enfants et mine leur système immunitaire. Malnutrition et diarrhée forment un cercle vicieux
Le rapport met également en évidence les problèmes écologiques qui touchent directement les enfants, comme les niveaux élevés de produits chimiques
toxiques et la dégradation ou l'épuisement progressif des ressources naturelles. La présence du plomb dans l'environnement, qui provient essentiellement de l'essence avec plomb, provoque des problèmes neurologiques permanents et des troubles du développement chez l'enfant. Des millions de jeunes font des travaux agricoles, ce qui les expose aux pesticides. Ils sont également les premières victimes de problèmes écologiques mondiaux tels que les changements climatiques, l'épuisement de la couche d'ozone ou la perte de diversité biologique de la planète.
Quelles maladies sont provoquées par la pollution ?
Les maladies provoquées par la pollution peuvent être multiples. On peut ressentir un effet immédiat ou plus sournoisement être touché par des "dérèglements" de notre organisme ou souffrir d'une maladie qui sera indirectement liée à la pollution.
Les plus fréquentes sont les maladies respiratoires, asthme, allergie, les problèmes dermatologique, les irritations des yeux... Et nous ne parlons là que des pollutions "minimes" celles auxquelles nous sommes exposées quotidiennement.
Une pollution "involontaire" (un accident avec des produits toxiques par exemple), ou une pollution due à une exploitation mal contrôlée peut entraîner des maladies
biens plus graves encore. (Cancers, leucémies, problèmes cardiaques)... Une commission Européenne indique que 400.000 Européens meurent prématurément chaque année du seul fait de la pollution atmosphérique. Les maladies provoquées par la concentration actuelle de particules en suspension dans l'air entraînent plus de 100.000 hospitalisations supplémentaires chaque année.
La communauté scientifique est aujourd’hui à peu près unanime : la pollution de l’air a
des impacts négatifs importants sur notre santé. Elle est, entre autres, à l’origine de nombreux décès prématurés, de séjours à l’hôpital, de l’apparition de plusieurs maladies respiratoires e cardiovasculaires, et de cancers.
Le lien entre la pollution de l’air et la santé est un sujet scruté à la loupe depuis de nombreuses années. En 2002, une étude approfondie, publiée dans la prestigieuse revue The Lancet, a systématiquement passé en revue les recherches sur le sujet
publiées sur une période de 20 ans1.
Jusqu’en 2002, on dénombrait plus de 500 études par année à ce sujet sur le site PubMed qui répertorie les recherches publiées dans les revues médicales scientifiques à l’échelle planétaire. En 2005, ce nombre a frôlé les 1 500! Beaucoup de ces études ont été réalisées sur plusieurs années avec des cohortes allant jusqu’à plusieurs millions de personnes.
Plus de pollution, plus de maladies?
Les chercheurs de l’étude du Lancet ont conclu qu’une augmentation des polluants dans l’air entraîne directement une augmentation des maladies cardiorespiratoires et de la mortalité qui y est associée, ainsi qu’une réduction de l’espérance de vie pouvant atteindre un ou deux ans.
« TUNISIE: DES ÉQUIPEMENTS DE BASE FONT DÉFAUT DANS NOS ÉCOLES(http://caposud.wordpress.com/2012/05/15/tunisie-des-equipements-de-base-font-defaut-dans-nos-ecoles/)
Un récent document publié par le ministère de l’Education sur les statistiques 2010/2011 concernant les équipements des écoles de l’enseignement de base révèlent que…Pour ce qui est de l’approvisionnement en eau potable, on relève les chiffres suivants: à Bizerte, sur 207 école, 181 seulement jouissent de ce service ; à
Béja 134 établissements scolaires ont de l’eau sur un total de 151 ; à Jendouba 150 sur 231 ; à Siliana, 141 sur 192 ; au Kef, 145 sur 193 ; à Kasserine, 213 sur 301 ; à Sidi Bouzid242 sur 316 ; à Gabès, 171 sur 187 ; à Sfax 343 sur 367 ; à Kairouan qui compte 311 écoles primaires 286 seulement sont équipées d’eau courante. Bref sur un total de 4518 écoles réparties sur tout le territoire, on relève seulement 4047 écoles où l’eau potable est disponible, soit 471 écoles demeurent sans eau. L’accès à l’eau potable reste un luxe pour la plupart des écoles en zones rurales qui manquent aussi d’installations sanitaires. Côté électricité, les statistiques montrent que, à quelques exceptions près, la quasi-totalité des écoles disposent de courant électrique. Hechmi KHALLADI »
Mais nous avons découvert qu’il ya une dizaine d’écoles qui sont dépourvues d’électricité !!
« Tunisie - Écoles primaires dans les régions: Le parcours du combattant
http://www.huffpostmaghreb.com/2013/09/02/ecoles-primaires-tunisie_n_3482357.html
Un corps enseignant impliqué
Outre ces routes meurtrières, Samira
Raies institutrice à Salah El Bahri
s’inquiète, elle, de la santé des enfants:
“Il y a un grand problème d’humidité, on
se retrouve avec des élèves ayant des
problèmes d’asthme et respiratoires dès
le plus jeune âge”. Le rôle de
l’enseignant est central dans
l’appréhension de ces difficultés. Dans
la petite école de Salah El Bahri
(gouvernorat du Kef), l’équipe
pédagogique achète les fournitures et
comble les carences de la cantine.
Mourad Lassidi nous en donne un
exemple concret: ”Nous avons une
coupure d’eau depuis plusieurs
jours, ce sont mes collègues qui
apportent l’eau pour l’école”. »
« Tunisie-Mécénat: Une journée chez les écoliers d'Ouled Dhifallahhttp://www.kapitalis.com/societe/18488-tunisie-mecenat-une-journee-chez-les-ecoliers-d-ouled-dhifallah.html
Samir Arfaoui, directeur de l'école, se
plaint du problème de l'eau dans une
région qui est le chateau d'eau du
pays; ….Mais ce qui pose encore
problème à Samir Arfaoui, c'est
l'eau.«Nous avons ici un puits, mais une
vraie eau potable, il n'y en a plus depuis
que la citerne d'eau dans la zone a été
cassée par des manifestants et que
l'Union des agriculteurs a refusé de la
réparer. Il faut que je me démène pour
leur apporter de l'eau à partir de la
source, c'est à la montagne, à 2 km de
l'école», dit-il. En plus du climat très dur
en hiver, ils vivent dans la misère… »
http://directinfo.webmanagercenter.com/2013/09/30/tunisie-la-gale-se-propage-encore-dans-le-milieu-scolaire/
« Tunisie :
La gale se propage, encore,
dans le milieu scolairePar : Rédaction | 30 sept 2013 | 20
h 10 min | Mots-clefs : école, la
gale, la
tunisie, maladie, Santé, thala, Tunis
ie, 0
La gale continue à se propager dans
quelques lycées. Le ministère de
l’Education semble dormir sur ses
lauriers et fait la sourde oreille.
En effet, 40 élèves de l’école Bir
Chaabane à Thala ont été atteints par la
gale. Par conséquent, l’école a été
fermée pour son assainissement. »
http://www.businessnews.com.tn/tunisie-de-la-gale-a-lhepatite-des-epidemies-font-leur-grand-retour,519,41382,3
Tunisie - De la gale à l’hépatite, des épidémies font leur grand retour
Ces derniers temps, les maladies
contagieuses semblent faire leur
grand retour en Tunisie. De l’Hépatite
à la rage en passant par la gale et la
malaria, les tristes exemples
enregistrés dans certaines régions
du pays ne manquent pas.
Plusieurs régions de la Tunisie ont été
touchées, en effet. Des établissements
publics, notamment, des écoles, à Thala
et à Mateur ont dû fermer leurs portes
pour limiter la propagation de ces
maladies, la gale dans le cas d’espèce,
dans les rangs des élèves. Les
conditions d’hygiène, de propreté et
d’ordre environnemental, en général,
sont tenues pour être responsables
de ces épidémies. L’entassement,
durant plusieurs jours, des ordures
causé par le laisser-aller des services
municipaux ainsi que par le manque de
civisme chez bon nombre de citoyens
est un des premiers responsables de
cette situation lamentable….
L’hépatite A est la maladie la plus en
hausse avec 396 cas révélés jusqu’à
présent. Rien qu’aujourd’hui, la direction
régionale de la santé publique de la ville
de Kasserine a enregistré quatre
nouveaux cas d’hépatite A dans
l’école Brahim Zaher dans la
délégation de Sbiba…La maladie est
étroitement associée au manque
d’eau potable, à l’insuffisance de
l’assainissement et à une mauvaise
hygiène personnelle…Ceci dit, la
direction régionale de la santé publique
de la ville de Kasserine a décidé de
fermer une école primaire, celle de Bir
Chaâbane à Thala après la découverte
d’une quarantaine de cas d’élèves
atteints de la gale. Cinq jours plus tard,
le ministère de la Santé a également
décidé la fermeture, pour trois jours,
d’un collège à Mateur suite à la
découverte de quarante cas avérés de
gale chez les élèves internes au foyer
du collège…
Sarra HLAOUI »
…La maladie est étroitement associée au manque d’eau potable, à l’insuffisance de l’assainissement et à une mauvaise hygiène personnelle…
Faskia/ MajelLa Faskia est un bassin d’eau destiné à l’approvisionnement des populations urbaines et/ou rurales en eau potable. Nous citons comme exemple les Faskia ou bassins des aghlabides (IXe siècle) qui servaient à l’approvisionnement de toute la ville de Kairouan en eaux potable.
Utilisées à l’échelle de l’Habitation, la Faskia (appelée aussi Majel) est un bassin couvert, collectant les eaux des terrasses pour l’alimentation de l'habitat en eau potable.
Cet ouvrage est très répandu dans les zones arides du Centre et du Sud Tunisien. Le Majel est un ouvrage identique aux citernes des maisons des cités puniques à l'époque de Carthage. Ces citernes sont alimentées par l’impluvium que constituaient les terrasses de l’habitation.
Il faut utiliser les Faskia ou Mejil équipé d’un moteur électrique alimenté par un panneau photovoltaïque.
Arbre à problèmes
Arbre à objectifs
stockage d'eau
Traitement des eau usées.
Dessalement de l'eau de mer
Sfax, a tout compris. Depuis de
siècles lointains, la récolte de le d’eau de pluie dans les maisons Sfaxiennes est très
fréquente en utilisant la « Faskia ou le Majel ». Donc, pourquoi ne pas appliquer cette méthode dans tout le pays surtout dans les régions l’ouest Tunisien?
Même la Belgique nous imite ! Un pays Européen qui a un climat humide, a fait des lois où chaque nouvelle maison doit être construite avec un moyen de stockage d’eau sinon elle sera détruite.
Et puisqu’on fait maintenant nos lois, on doit envoyer un message à l’Assemblée constituante pour que la construction
d’une maison ne soit qu’avec un « Majil ou Faskia ».
PRINCIPES DE LA RÉCUPÉRATION D'EAU DE PLUIELa récupération de l’eau de pluie a des implications multiples dans la gestion de l’eau à l’échelle d’un projet.
Préservation de la ressource en eauL’utilisation l’eau de pluie contribue à la préservation des ressources en eau dans la mesure où elle permet de maîtriser les prélèvements dans les nappes phréatiques et les eaux de surface pour la production d’eau potable.
Contribution à l’atténuation du ruissellement urbain
Une citerne d’eau de pluie équipée d’un réservoir tampon permet de limiter les débits et les apports d'eau dirigés vers les réseaux d'assainissement et de diminuer le risque de saturation de celui-ci, entraînant des inondations (voir recommandation EAU01). Il faut cependant garder à l’esprit que la fonction d’un réservoir d’eau pour son utilisation domestique et un réservoir tampon d’orage ne répondent pas aux mêmes objectifs et ils ne fonctionnent donc pas de la même manière
Utilisation rationnelle de l’eau
L’eau de pluie est certes gratuite mais n’est disponible qu’en quantité limitée. Dès lors pour assurer l’efficacité du système de récupération d’eau de pluie on veillera à le concevoir conjointement avec un usage rationnel de l’eau (voir recommandation EAU02). Incidence sur la qualité de l’eauL’eau de pluie étant souvent moins polluée que la plupart des eaux de surface, le système de récupération doit être conçu de manière à ne pas en dégrader la qualité, par un choix approprié des surfaces de collecte, canalisations, conditions de stockage.Par ailleurs, l’eau de pluie étant plus douce que l’eau de distribution, l’utiliser pour l’entretien et la lessive permet de limiter la pollution de l’eau par la réduction des quantités de savon nécessaire.
Eco-efficienceGestion de l’eau à l’échelle la plus appropriée : Entre une gestion individuelle locale et une gestion publique centralisée, se pose la question de l’échelle la plus pertinente pour l’approvisionnement en eau de qualité appropriée à son usage. Divers paramètres environnementaux, sociaux, économiques, mais aussi pratiques et juridiques entrent en jeu.Ainsi récupérer l’eau de pluie à l’échelle locale aura du sens : Si c’est plus efficace au niveau de la réduction effective des quantités d’eau de distribution utilisées, de l’entretien et de la maintenance de l’installation, de l’énergie grise du système, de l’énergie d’utilisation ;
La valorisation intégrale de l'eau de pluie est donc une option qu'il convient d'examiner avec attention.
Mettre en place un système de récolte, de stockage et de distribution de l’eau de pluie pour la construction de bâtiments durables.
Outre une économie sur la facture d’eau deville, la récupération de l'eau de pluie présente divers avantages environnementaux.
Le stockage de l’Eau
L’Or bleu L’Eau de pluie une solution Durable !
Si le système permet d’assurer parallèlement d’autres fonctions telles que la gestion des eaux de pluie sur la parcelle.
Systèmes de récupérationUne installation de récupération des eaux pluviales est composée d’un ensemble de dispositifs combinés entre eux. Ceux-ci forment un système de récupération des eaux pluviales pouvant aller de la simple citerne extérieure à écoulement libre pour l’arrosage du jardin à une installation complexe alimentant plusieurs points de puisage.
http://www.eautarcie.org/
…La valorisation intégrale de l'eau de pluie est
donc une option qu'il convient d'examiner avec
attention. Il est regrettable que la législation de
plusieurs pays européens se cantonne à une
utilisation très limitée de cette ressource
pourtant des plus intéressantes. Réduire
l'utilisation de l'eau de pluie aux W.-C. et au
jardin contribue à retarder la prise de
conscience du public et des décideurs politiques
à propos de la gestion réellement durable de
l'eau.
D'un autre côté, nous devons dire qu'en dépit
du fait que même l'écrasante majorité des
spécialistes n'en ont pas encore conscience :
l'état de nos réserves d'eau est directement liée
à la gestion correcte de la biomasse sur la terre
(voir les chapitres sur l'assainissement
écologique). La récupération de l'eau de pluie
n'est qu'un des aspects de la gestion durable de
l'eau dans le monde.
La collecte de l'eau de pluie
Il est intéressant de noter que la Région
Bruxelles-Capitale, par l'intermédiaire d'une
ASBL, fait la promotion de la valorisation de
l'eau de pluie. Le site internet de l'association
«Le Centre Urbain asbl» expose trois options
pour l'eau de pluie:
Option minimale qui restreint l'utilisation
de l'eau de pluie à l'arrosage, aux nettoyages,
les lessives et pour la chasse d'eau des W-C.
Cette option suppose le dédoublement de la
tuyauterie dans l'habitation ; l'IBDE
(Intercommunale Bruxelloise de Distribution
d'Eau) exige des conduits de distribution
séparés pour l'eau de ville et l'eau de pluie.
Option intermédiaire qui étend son
usage à la vaisselle et à l'hygiène personnelle,
en réservant toutefois quelques robinets d'eau
de ville pour la boisson et la cuisine. Dans ce
cas, afin de réserver l'eau de pluie de haute
qualité aux usages plus nobles, on conseille le
raccordement des W-C à l'eau de ville à titre
permanent.
Dans l'option intégrale, l'eau de pluie sert
aussi pour la boisson et la cuisine. Dans les
faits, c'est le système PLUVALOR décrit ici. Dans
ce cas, vous devenez votre propre fournisseur
d'eau potable, avec toute la responsabilité que
cela comporte.
Il faut aussi savoir qu'en Belgique, plus de 750
000 personnes utilisent l'eau de pluie depuis
des années pour l'hygiène personnelle, dont
plus de 100 000 pour l'alimentation.
Le système PLUVALOR
PLUVALOR est l'abréviation de VALORisation
de l'eau de PLUie. Le mot PLUVALeur suggère
une augmentation de la valeur de l'habitation
où ce système est installé, l'eau de pluie étant
de l'OR bleu.
La production d'eau potable
Dans les hôtels les plus luxueux du monde, vous pouvez désormaisTasmaniede 12 bouteilles de 750 ml ne coûte que 60 dollars US. Cette eau est considérée comme le «nec le plus ultra» en matière de qualité. (publicité gratuite !). Or, transporter son eau potable en avion du côté opposé de la terre... Vous avez dit: «réduction des rejets de CODéveloppement durable» ?
En contrepartie, en adoptant le système
PLUVALOR, vous pouvez avoir de l'eau de même
qualité au départ de votre citerne,
microfiltration
préconisé ci-dessous élimine également tous les
éléments de la pollution atmosphérique.
Lorsqu'on utilise le système PLUVALOR, il n'y a
qu'un ou deux robinets d'eau potable dans la
maison.
Le traitement des eaux usées
Cette solution est très nécessaire, car avec on peut conserver l’équilibre du cycle de l’eau. Elle consiste a enlever les substances polluantes (chimique, organique..) puis traiter les bactéries pour donner de l’eau pur qu’on peut réutiliser dans l’irrigation.
Pologne - Veolia Eau inaugure la nouvelle station d'épuration de Varsovie29 MARS 2013
Après quatre années de travaux de construction, de modernisation et d'extension réalisés par Veolia Eau Solutions & Technologies, la ville de Varsovie vient d'inaugurer sa nouvelle station d'épuration. Forte d'une capacité de 2,1 millions d'équivalent-habitants, pouvant atteindre jusqu'à 515 000 mètres cube d'eaux usées traitées par jour, elle met en conformité le traitement des eaux urbaines de la capitale de la Pologne avec les normes européennes.
https://www.facebook.com/sos.environnement.gabes/photos_stream
http://www.tuniscope.com/index.php/article/31878/actualites/tunisie/alias-161710#.U2ebN_l5NTQ
Enquête sur un désastre écologique et sanitaire
Cet été, le traitement des eaux usées a atteint les le seuil maximal de la capacité journalière de la station. Ainsi, des milliers et des milliers de mètres cubes d’eaux polluées sont rejetées quotidiennement dans la mer.
La mer est devenue, au fil d’une vingtaine d’années, un véritable dépotoir toxique où se déversent résidus et produits chimiques non traités. C’est un véritable désastre écologique, mais aussi sanitaire, avec une explosion du nombre de maladies,
Une pollution affectant non seulement la mer,
mais également l’atmosphère et les nappes
phréatiques avoisinantes.
« On est en train d’être empoisonnés, nous et
notre mer ! Regardez ces tas de poissons
morts ! Plusieurs de nos habitants souffrent
d’affections de la peau, d’asthme, et on a le
nombre de cancéreux le plus important de la
région ! » s’emporte un pêcheur du coin, qui
nous parle de sa jambe, qu’il a failli perdre
suite à une infection due à l’eau de mer. « On
vit dans un triangle de la mort », répond en
écho un jeune habitant dont le commerce est
situé en bord de mer, « Plus personne n’ose
nager dans la mer ici depuis 15 ans. Il suffit d’y
plonger la main pour se retrouver avec une
éruption de boutons ! Et certains jours, l’air est
si irrespirable que je dois fermer boutique. »
Crabes morts échoués sur la plage
“Tunisie, Environnement : Que se passe-t-il dans nos eaux territoriales ?”Tunisie : la plage de Ras Jebel investie par des milliers de méduses
Après la découverte de poissons morts sur la plage de
Soliman, l’échouage d’une baleine à Sidi Bou Saïd, la
neige sur Mahdia, un nouveau phénomène est venu jeter
le désarroi dans certains esprits. Hier, dimanche 9 mars
2014, les habitants de la plage Aïn Charchara de Ras
Jebel ont été très surpris par un échouage massif de
méduses sur leurs rivages.
Des milliers de ces animaux couvraient les immenses
étendues sablonneuses. Le phénomène aussi inédit que
rare dans nos contrées a amusé les tout-petits mais
vaguement inquiété les grands. Pour certains de ces
derniers, bigots invétérés, profitant du moindre
événement exceptionnel, la simultanéité des
événements sus indiqués est un signe qui ne trompe pas
de « l’approche de l’Apocalypse ».
Pour les experts à l’esprit plus rationaliste, ce
phénomène, devenu courant depuis la fin du siècle,
s’explique par une surpopulation des méduses, favorisée
par la disparition des animaux prédateurs comme les
tortues marines ou le thon. L’échouage pouvant se faire
à la faveur de conditions climatiques extrêmes, comme
les tempêtes qui ont frappé les côtes nord du pays.
D’autre part, explique-t-on, l’action humaine n’est pas
étrangère à la production de tels manifestations, car
surpêche, pollution et réchauffement des eaux sont
autant de facteurs qui favorisent de tels phénomènes.
« ECOSAN » = assainissement écologique ?
L'assainissement écologique est souvent
assimilé à son abréviation du terme anglais
ECOSAN (ecological sanitation)
«Le principal objectif d'un système d'assainissement est de protéger et de promouvoir la santé humaine en favorisant les conditions pour créer un environnement sain et pour interrompre le cycle des maladies. Pour qu'un système d'assainissement soit durable, il doit être non seulement économiquement viable, socialement acceptable, techniquement et institutionnellement approprié, mais il doit aussi protéger l'environnement et les ressources naturelles.»
Station d'épuration jardin :ORGANICA
Sfax comme toutes les autres
régions de la Tunisie
affrontent un grand problème Concernant les
eaux usées . Les Responsables
doivent en être conscients et
tenter de résoudre ces
problèmes par des méthodes modernes et écologiques
pour éviter la catastrophe!
“Tunisie, Environnement : Que se passe-t-il dans nos eaux territoriales ?”Tunisie : la plage de Ras Jebel investie par des milliers de méduses
Après la découverte de poissons morts sur la plage de
Soliman, l’échouage d’une baleine à Sidi Bou Saïd, la
neige sur Mahdia, un nouveau phénomène est venu jeter
le désarroi dans certains esprits. Hier, dimanche 9 mars
2014, les habitants de la plage Aïn Charchara de Ras
Jebel ont été très surpris par un échouage massif de
méduses sur leurs rivages.
Des milliers de ces animaux couvraient les immenses
étendues sablonneuses. Le phénomène aussi inédit que
rare dans nos contrées a amusé les tout-petits mais
vaguement inquiété les grands. Pour certains de ces
derniers, bigots invétérés, profitant du moindre
événement exceptionnel, la simultanéité des
événements sus indiqués est un signe qui ne trompe pas
de « l’approche de l’Apocalypse ».
Pour les experts à l’esprit plus rationaliste, ce
phénomène, devenu courant depuis la fin du siècle,
s’explique par une surpopulation des méduses, favorisée
par la disparition des animaux prédateurs comme les
tortues marines ou le thon. L’échouage pouvant se faire
à la faveur de conditions climatiques extrêmes, comme
les tempêtes qui ont frappé les côtes nord du pays.
D’autre part, explique-t-on, l’action humaine n’est pas
étrangère à la production de tels manifestations, car
surpêche, pollution et réchauffement des eaux sont
autant de facteurs qui favorisent de tels phénomènes.
Le système Organica a été développé en Hongrie, où il compte de nombreuses références dans des municipalités hongroises, de même qu'en Autriche, Pologne et deux en Chine.
Ce système innovant et performant de traitement des eaux usées, associe les derniers développements en matière d'ingénierie écologique et les technologies de traitement conventionnelles. Organica FBRTM s'appuie ainsi sur des traitements par boues activées dans différents bassins placés en dessous de la serre.MSE, filiale de Veolia Eau Solutions & Technologies s'est immédiatement intéressé au potentiel d'une technologie utilisant le végétal de façon intelligente et offrant une qualité d'eau rejetée conforme aux exigences réglementaires et qui permet une économie d'énergie intéressante par rapport à une station classique.
Fonctionnement général d'Organica FBRTM
Fixées dans un lit de billes d'argile de 30 cm d'épaisseur, différentes espèces de plantes possédant des systèmes de racines très développées sont installées dans des casiers métalliques, sous le niveau d'eau des bassins d'aération et servent de support à une culture fixée sur leurs racines : le système racinaire traverse cette couche pour trouver sa nourriture dans les effluents à dépolluer.
Le principe est d'améliorer les phénomènes naturels mis en œuvre dans l'épuration de l'eau en faisant interagir des organismes vivants capables de digérer une partie de la pollution organique. Les racines des plantes, en baignant dans les bassins biologiques, vont y créer un milieu récepteur idéal pour les bactéries et autres organismes vivants (protozoaires, zooplanctons, vers, escargots, coquillages ....). Ces êtres vivants s'y développent spontanément pour certains ou proviennent de boues de zones humides, apportés dans les ouvrages de traitement lors de la mise en route de la station d'épuration.
Organica FBRTM reconstitue ainsi un écosystème de plusieurs centaines d'espèces (plantes, animaux, bactéries...) capables de s'autogérer et de capter leur énergie en présence d'air et à partir du soleil, ce qui permet de maximiser la dégradation biologique des contaminants.L'écosystème développé va évoluer au fur et à mesure du traitement de l'eau et de sa teneur en matière organique disponible. Cette série de milieux écologiques en cascade, s'auto régulant, permet de créer un excellent système de traitement, robuste et nécessitant peu d'entretien. Sous les conditions climatiques européennes, une serre permet d'assurer une température ambiante d'au moins 6 à 8°C, nécessaire pour conserver les végétaux.
L'espace, clos mais ventilé, bénéficie d'une brumisation pour la bonne santé des végétaux qui filtrent les effluents et les gaz produits par la décomposition des polluants organiques.
La PHYTOEPURATION des eaux usées c’est la bonne réponse aux problèmes d’assainissement en l’occurrence dans les communes, les maisons et établissements ruraux qui ne sont pas reliés au réseau de l’ONAS «Office National de l'Assainissement »C’est une solution efficace, économique et durable !
Ainsi on aurait pu éviter aux plus de 400 cas D’Hépatite A contractés pour la plus part des élèves « associée au manque d’eau potable, à l’insuffisance de l’assainissement » dans des zones rurales comme Sbiba, Tahla, Gasserine, Gafsa, etc.
La phytoépuration pour assainir les eaux
http://www.encycloecolo.com/Phyto%C3%A9puration
C'est la vocation de la phytoépuration, génie écologique relativement bien connu, que de traiter les eaux usées et les eaux saumâtres pour les recycler et, en faire de l'eau potable
phytoépuration fait partie des nouveaux
modes écologiques de traitement des eaux
respectueux de l'environnement.
La phytoépuration fait partie des procédés
naturels agrémentés de plantes aquatiques
et de biomasses adaptées au processus de
régénération des eaux usées.
La phytoremédiation consiste à dépolluer les sols
contaminés par les pesticides, les métaux et
métalloïdes, les explositfs, les solvants, du pétrole
ou du plastique, voire les radionucléides. Si on
utilise des champignons, on parle de
mycoremédiation.
A quoi sert la phytoépuration ?
La phytoépuration, la solution pour un
assainissement autonome et écologique des eaux
usées.
ll est possible d'installer des systèmes d'un genre
nouveau, appelé phytoépuration. La
phytoépuration permet de traiter les eaux usées
en les dirigeant vers des filtres plantés d'espèces
végétales soigneusement sélectionnées.
Découvrons leur mise en œuvre
Pour un projet de construction ou si vous devez
réhabiliter un assainissement défectueux,
l'assainissement avec les plantes est écologique,
autonome, esthétique, efficace et innovant.
Conceptions paysagées en lagunes, îlots, bassins
agrémentés de parcs ou simplement en roseraies
dans les domaines ruraux, éloignés des zones
urbaines.
Phytoépuration : le filtrage de l'eau
Le recyclage de l'eau est favorisé en arrosage des
jardins, des golfs et, dans le domaine agricole.
A quoi sert l'assainissement par la phytoépuration
Que ce soit dans la cuisine, la salle de bain ou les
toilettes, nous produisons des eaux usées qu'il se
doit de retraiter avant de les rejeter dans le milieu
naturel.
Il existe différents types d'eaux usées :
• les eaux graisseuses sont produites dans la
cuisine • les eaux grises dans la salle de bain et
les lessives • les eaux vannes sont issues des
toilettes à chasse d'eau
On parle d'eaux ménagères (cuisine + salle de
bain) et d'eaux vannes, constituant l'ensemble des
eaux domestiques.
Rappelons qu'avant d'assainir nos effluents, il est
plus important de réduire les pollutions à la
source : utiliser des produits lessiviels respectueux
de l'environnement, passer aux toilettes sèches…
(cf le livre de Christophe Elain aux Editions
Eauphilane "Un petit coin pour soulager la
planète").
L'assainissement a deux fonctions principales :
améliorer la salubrité d'une part et protéger le
milieu naturel d'autre part. L'impact de la pollution
des eaux dépend de son importance et du milieu
récepteur.
Or effectuer des travaux a également un impact
sur l'environnement, on parle d'écobilan. Les
éléments qui contribuent à limiter l'impact des
travaux sur l'écobilan sont
• La pérennité de l'installation • La provenance
des matériaux • La nature de ceux-ci (chimie
pollution à la fabrication etc) • L'énergie grise
(énergie consommée pour la fabrication des
matériaux et pour la réalisation des travaux)
Il n'est évidement pas facile, voire impossible de
faire le calcul pour évaluer avec précision
l'ensemble des paramètres en jeu. Il s'agit de les
avoir à l'esprit pour en garder les grandes lignes
Le vocabulaire de la phytoépuration
Assainir : rendre sain
Assainissement : technique qui permet de
rendre sain
Cultures libres : bactéries vivant "librement"
dans une masse d'eau
Cultures fixées : bactéries vivant fixées sur
un substrat de granulats
Filtres plantés de macrophytes : technique
de phytoépuration utilisant des cultures
fixées
microphytes : plantes microscopiques
macrophytes : grandes plantes visibles à
l'oeil nu
Phytoépuration : technique d'épuration
utilisant des plantes
Phyto assainissement : synonyme de
phytoépuration
roseau : nom latin Phragmite australis, la
plus célèbre des plantes aquatiques
rustiques utilisées en phytoépuration
rhizome : tige souterraine
rhizosphère : écosystème constitué par
l'ensemble des rhizomes et des racines
associé aux micro-organismes.
http://www.db-chanvre.com/energies-et-environnement-exterieur_p-344
http://terimakashi.canalblog.com/albums/phytoepuration/photos/38785916-img_0586.html
Plantes filtrant l'eau pour le traitement en phytoépuration
Le traitement par phytoépuration des eaux usées ou simplement des piscines écologiques devient de plus en plus répandu. Ce type de traitement nécessite des plantes macrophytes originaires des zones humides naturelles : des plantes vasculaires (plantes supérieures) et non-vasculaires (algues), végétation émergente (non-ligneux, plantes qui poussent avec leurs racines dans le substrat et leurs tiges et les feuilles qui sortent de l'eau de surface). La photosynthèse produite par les algues augmente la teneur en oxygène de l'eau qui affecte à leur tour les éléments nutritifs et les réactions. Les plantes vasculaires contribuent au traitement de l'eau par un certain nombre de moyens: elles stabilisent les substrats, tout en améliorant leur perméabilité et limite la vitesse des flux d'eau, ce qui permet à la matière en suspension, le carbone, les éléments nutritifs et les oligo-éléments d'intégrer les tissus végétaux. Elles aèrent le substrat en apportant de l'oxygène entre leur tige et les racines, celles-ci sont des points de fixation pour les micro-organismes et fournissent des nids pour le développement et l'alimentation des microorganismes. Elles produisent de l'humus au moment de leur décomposition. Enfin elles améliorent aussi considérablement la valeur esthétique du site.Les plantes qui sont les plus souvent utilisés dans les filtres sont des plantes persistantes émergentes, telles que les scirpes (Scirpus), laîches (Eleocharis), carex (Cyperus), joncs (Juncus), roseaux communs (Phragrnites), et massettes (Typha). Toutes les espèces des zones humides ne sont pas appropriées pour le traitement de l'eau. Les espèces doivent être choisies localement parmi les plantes des zones humides qui poussent dans le même climat et même contexte naturel.
Pour le lagunage, piscine écologique et filtre avec eaux en surface ayant une teneur élevée en matière organique, on utilise généralement les scirpes car ils sont tolérants de haut niveau des éléments nutritifs, ils se cultivent facilement mais ne sont pas envahissants. Les iris peuvent être plantés en bordure et fournir des couleurs. Les massettes, quenouilles ou les roseaux ont été utilisés fréquemment en raison de leur grande tolérance pour de nombreux types d'eaux usées, mais ils ont des inconvénients. Les massettes, les roseaux et les quenouilles sont envahissants, leurs tubercules sont un des aliments préférés des rats musqués et des vers. Un mélange de diverses plantes renforce le fonctionnement des filtres, de plus une végétation diversifiée est esthétiquement agréable et est plus susceptibles de résister à des espèces envahissantes, aux perturbations, et aux nuisances.
Concernant les filtres à flux enterré ou flux souterrain, on utilise des scirpes, des roseaux, des quenouilles, ou une combinaison des trois. Le roseau et le phragmite commun sont largement utilisés, bien que très envahissants. Certains systèmes ont été plantés avec une diversité de végétation semblable à celle d'un marais naturel.
Cette végétation peut provenir de semences, de plants, de plantes entières ou de parties de plantes (greffes, les rhizomes, les tubercules, ou de boutures). La semence de graines est la solution la plus économique, mais aussi la plus incertaine et imprévisible. L'eau peut empêcher leur germination ou leur croissance, de plus les graines peuvent être emportée par les précipitations…Les terres extraites des marais proches du site regorgent de graine, de rhizome, de pousse, de racines de plantes indigènes bien adaptées aux conditions locales et prêtes à envahir une nouvelle zone humide. Extraire des terres ou des plantes des marais est parfois interdit, dans le cas contraire, un échantillon de 8 à 10 cm de diamètre emprunté dans une zone proche peut être greffé sur le filtre.Une fois en place, le sol doit être gardé humide, mais pas inondées, jusqu'à ce que les graines germent.
La période de plantation commence en général après l'automne et se termine après le premier tiers de l'été. L'automne est recommandé pour les tubercules et de racines et donne de très bons résultats pour les scirpes, et les joncs. Carex et quenouilles préfèrent attendre le printemps.La plantation se fait généralement à la main sur un sol décompacté, souple et humide. Auparavant il aura été superficiellement inondé afin de régler la hauteur du sol et le niveau du lit. Les propagules dormantes, comme les tubercules et les rhizomes, doivent être plantés dans le substrat à une profondeur suffisante (à 2 - 5 cm de profondeur) pour les empêcher de flotter. Les tiges doivent être laissés sur les tubercules de sorte que les plantes peuvent obtenir l'oxygène à travers la tige lorsque la zone humide est inondée. Les plants sont généralement espacés de 0,3 - 1 m d'intervalle. Le niveau d'eau peut suivre la croissance des plantes, mais jamais les submerger pendant de longues périodes.Souvent, l'excès d'eau provoque plus de problèmes au cours de la première saison de croissance que l'insuffisance, car l'eau limite l'oxygénation des racines. Malgré une tolérance relativement large du niveau d'eau, de plantes d'eau douce se sélectionnent souvent en fonction des petites variations de profondeur de l'eau, ce qui produit le zoning apparent de la végétation sur les rives du marais. La plupart des espèces des zones humides sont adaptés aux fluctuations saisonnières des niveaux d'eau, mais la plupart des plantes peuvent tolérer ni de longues périodes d'inondation ni la déshydratation de leurs racines. Par ailleurs, une protection (comme du grillage) peut être nécessaires pour empêcher les animaux d'endommager les jeunes pousses, par les merles, les rats musqués et autres animaux des campagnes.
Espèces recommandées :
> Arum de virginie (Peltandra virginica)Niveau d'eau : 30cmExposition en plein soleil ou à l'ombre partielle. Haute valeur naturelle. Feuillage et greffes ne sont pas consommés par les oies ou des rats musqués. Croissance faible. pH: 5.0-6.5.
> Saule blanc (Salix Alba) traite les pollutions aux métaux lourd, l'azote, le phosphore et les germes pathogènes
> Jacinthe d'eau (Eichhornia crassipes) nettoie les excès de phosphore et de nitrate, les métaux lourd et les polluant organiques.
> Peuplier blanc (Poplus alba) S'adapte aux eaux et aux sols pollués en particulier au pétrole et au chlore
> Bambou ( Phyllostachys) absorbe les polluant durant sa croissance
>Sagittaire (Saggitaria latifolia)Niveau d'eau : 30cm Grand colonisateur. Colverts et rats musqués peuvent consommer leurs tubercules. Forte évapotranspiration
>Scirpe piquant (Scirpus pungens)Niveau d'eau : 15cmColonisateur rapide. Peut tolérer des périodes de sécheresse. Efficace pour la purge de métal. Abrite sauvagine et oiseaux chanteurs.
>Scirpe valide (Scirpus validus)Niveau d'eau : 30cm Grand colonisateur. Exposition plein soleil. Capacité de purge de forte teneur en polluant. Fournit nourriture et abri pour de nombreuses espèces d'oiseaux. pH: 6.5-8.5.
>Glaïeul bleu (Iris versicolor)Niveau d'eau : 5 à 15cm Fleurs ornementales. Peut tolérer partiellement à l'ombre mais exige le plein soleil en floraison. Préfère les sols acides et est tolérant de haut niveau des éléments nutritifs. Elle est aussi utilisée en homéopathie
> Iris Jaune (Iris pseudacorus) traite les métaux lourd
> Papyrus (cyperus payrus)Traite les eaux usées
> Palétuvier (Rhizophora mucronata)Purge les polluants de côtes maritimes ( en particulier dans les mangroves) avant qu'ils n'arrivent à la mer.
> Massette ou quenouilles (Typha latifolia)Niveau d'eau : 30à 45cm Grand colonisateur. Tubercules mangés par des rats musqués et les castors. Fort traitement de polluant, riche en sel et en hydrocarbure. pH: 3.0-8.5.
> Massette à feuilles étroites (Typha angustifolio)Niveau d'eau : 30cm Grand colonisateur. Tubercules mangés par des rats musqués et les castors.Tolère l'eau saumâtre. pH: 3.7-8.5.
> Baldingère faux-roseau (Phalaris arundinocea)Niveau d'eau : 15cmPousse sur des zones exposées et dans les eaux profondes. Bon couvre-sol pour talus.
> Saurure penchée ou Queue de Renard ou Queue de Lézard (Saururus cernuus)Niveau d'eau : 15cmCroissance rapide. Tolérant l'ombre. Faible valeur pour la faune sauf pour les canards des bois.
>Pontédérie à feuilles en cœur (Pontedaria cordata)Niveau d'eau : 30cmExposition en plein soleil ou à l'ombre partielle. Valeur modérée pour la faune. Nectar pour les papillons. pH: 6.0-8.0.
> Roseau commun (Phragmites australis)Niveau d'eau : 7 à 10cm Plantes très envahissantes; à très faible valeur pour la faune. pH: 3.7-8.0. Transforme tout type de boue pollué en terreau
> Jonc épars, Jonc spiralé (Juncus effusus)Niveau d'eau : 7 à 10cmTolérant dans des condition humide ou seche. Alimente les oiseaux. Pousse généralement en touffes.
> Souchet des marais (Eleocharis palustris)Niveau d'eau : 7 à 10cm Tolère partiellement l'ombre. Pousse en petites touffes et forme souvent de larges groupes.
> Carex ou laîches (Carex)Niveau d'eau : 7 à 10cm Plante des zones humides et mais aussi des plaines et des montagnes. Haute valeur pour les sauvagines et les oiseaux chanteurs. Elimine les germes pathogènes
> Le nénuphar jaune (Nuphar luteum )Niveau d'eau : 1,5m avec un minimum de 60cmTolérant de la fluctuation des niveaux d'eau. Valeur modérée pour nourrir la faune, mais fort potentiel de couverture. Bonne tolérance des eaux acides (jusqu'à un pH 5,0).
> Nymphea et Villarsia nymphoidesApporte des l'air dans l'eau
> Myriophylle (Myriophylum aquaticum)Oxygène de l'eau
> Acore Calame (Acorus calamus)Niveau d'eau : 7 à 10cm Produit des fleurs séparées. Ce n'est pas un colonisateur rapide. Bonne tolérance des eaux acides, il tolère aussi les périodes sèches et partiellement à l'ombre. Faible valeur pour la faune.
> Riz sauvage (Zizania aquatica)Niveau d'eau : 30cmExige une exposition en plein soleil. Haute valeur naturelle (graines, parties de plantes, et greffes alimentent les oiseaux et les rats musqués.) Plante annuelle, non persistante, elle ne se reproduit pas naturellement.
De nombreuses autres espèces peuvent être
plantées à la fois pour leur capacité
d'épuration et leur qualité ornementale,
comme l'ache inondée (Apium inudatum), le
glycérie aquatique (Glyceria maxima et cv.
Variegata), la pesse d'eau (Hippuris vulgaris'),
la jussie (Jussiaea grandiflora), la menthe
aquatique (Mentha aquatica et Mentha
aquatica rubra), le trèfle d'eau (Menyanthes
trifoliata), l'oenanthe (Oenanthe aquatica et
fistulosa) , la renoncule (Ranunculus
flammula, Ranunculus lingua), le rubannier
rameux (Sparganium ramosum), l'épiaire des
marais (Stachys palustris), le cornifle
(Ceratophyllum, chara. elodea, tillea,
potamogeton, stratiotes), la fougère
aquatique (Azolla, hydrocharis, lemna, trapa),
le jonc fleuri (Butomus umbellatus), la menthe
des cerfs (Preslia cervina) et la véronique des
ruisseaux (Veronica beccabunga)
La Tunisie, un des pays les plus dépressifs au monde(http://www.businessnews.com.tn/la-tunisie-un-des-pays-les-plus-depressifs-au-monde,520,42082,3)
Selon une étude australienne de l’université de Queensland, parue le 6 novembre dans PLOS Medicine, la Tunisie figure dans le classement des pays les plus affectés par la dépression dans le monde avec plus de 7% de population dépressive.
Maladies psychiatriques et mentales en Tunisie : Dépression et schizophrénie en tête de liste…(http://www.tunisia-today.com/archives/24999)
Tantôt associées à un mode de vie moderne et stressant, tantôt imputées à des chocs psychologiques déstabilisateurs, les maladies psychiatriques et mentales gagnent du terrain dans nos murs...
Tunisie : Mais quelles sont les causes
de la dépression?(http://directinfo.webmanagercenter.com/2013/11/04/tunisie-mais-quelles-sont-les-causes-de-la-depression/)
Le 37ème congrès national de médecine s’est ouvert, vendredi 25 octobre à Tunis, à l’initiative de la société tunisienne des sciences médicales, avec pour thème principal « la dépression » La dépression est un problème grave de santé publique qui peut diminuer l’espérance de vie et aboutir au suicide,…
Les Tunisiens traversent une phase de dépression postrévolutionnaire(http://www.kapitalis.com/politique/national/11326-les-tunisiens-traversent-une-phase-de-depression-postrevolutionnaire.html)
«La Tunisie est comme une mère qui a eu beaucoup de bonheur à la naissance de son enfant et qui vit sa phase de dépression après l’accouchement», note Vincent Geisser dans un entretien à Afrik.com.
Le chercheur français (Institut français du Proche-Orient de Beyrouth) estime que les Tunisiens sont dans une phase de dépression postrévolutionnaire et que la transition en cours dans le pays souffre d’un grave manque de communication dont le gouvernement et toutes les autres parties assument la responsabilité. Extraits…
La transition n’a pas produit l’effet escompté«Il y a un très grand pessimisme chez les Tunisiens, même s’ils sont heureux d’avoir chassé Ben Ali du pouvoir. Certains se demandent si la révolution a servi à quelque chose. L’inégalité régionale est l’une des grandes impasses des questions économiques du pays. Et la révolution a été motivée par cette situation de fracture économique entre les populations des différentes régions. Pour ceux qui sont originaires des régions qui avaient été abandonnées par le régime, rien n’a changé. La transition n’a pas produit l’effet escompté. La Tunisie est comme une mère qui a eu beaucoup de bonheur à la naissance de son enfant et qui vit sa phase de dépression après l’accouchement. Cette métaphore décrit bien ce que le pays vit actuellement. A sa naissance, le soulèvement a procuré une joie immense au peuple. Mais désormais la Tunisie vit une dépression après la révolution…
Deux tunisiens sur trois souffrent de dépression nerveuse
‘((http://www.africanmanager.com/157159.html)Plus des deux-tiers de la population tunisienne souffrent de dépression nerveuse, selon les spécialistes et les psychiatres en conclave dans le cadre du congrès national de la société tunisienne des sciences médicales…
Comment rendre les Tunisiens plus heureux ?
Mentale
Ces dix dernières années, de nombreuses recherches en psychologie ont porté sur la psychologie de l’écologie et de l’environnement durable Cet ouvrage retrace, de manière ludique et vivante, 100 expériences menées en laboratoire ou sur le terrain, qui démontrent l’influence qu’exercent l’environnement physique et les composantes de cet environnement sur l’être humain. On trouve par exemple des études : sur les effets des allées boisées sur les passants dans des villes ; sur la présence de mini-parcs boisés et fleuris sur le sentiment de sécurité et le respect de l’environnement, la délinquance et les incivilités ; sur l’impact de fleurs et de plantes sur les lieux de travail, dans les salles de cours à l’école, dans les chambres d’hôpitaux... L'architecture et l'urbanisme. L'impact des fleurs et des plantes. Les effets physiologiques de la nature. Les effets psychologiques de la nature. Les éco-citoyens. Exemples de questions : Pourquoi les arbres et plantes situés au bord des routes nous rendent-ils plus prudents au volant ? Pourquoi des grands arbres plantés dans les villes diminuent-ils la délinquance, la violence et l'insécurité ? Pourquoi vaut-il mieux draguer devant un fleuriste que devant une boulangerie ? Pourquoi y a-t-il moins de chahut dans une salle de classe où il y a une plante verte ? Pourquoi y a-t-il moins de complications post-opératoires dans un hôpital entouré de verdure ? Pourquoi le chant des oiseaux endort-il votre bébé ? Pourquoi les personnes dépressives doivent-elles jardiner ?« Prenez-vous de la vitamine G ? Non ? Eh bien c’est dommage, vous devriez, car cela est bon pour la santé physique et mentale, pour la planète et pour les
générations futures. Bref la vitamine G, c’est la vitamine de la vie !Lorsqu’ils parlent de vitamine G (Green Vitamine, ou vitamine verte pour nous en référence au rôle essentiel que jouent les plantes, les arbres, les fleurs qui nous entourent, et aux bienfaits que ces derniers nous procurent.La nature et les éléments naturels ont un impact sur notre comportement et notre bien-être physique et mental.La magie de la végétation est telle que notre cerveau, notre corps puisent dans leur interaction avec elle des bienfaits insoupçonnés.Voir, de la fenêtre de sa classe, de sa maison, de son bureau ou même de sa cellule de prison un peu de verdure peut exercer des bienfaits considérables. La nature peut améliorer certaines performances cognitives et scolaires, notamment chez les enfants. Tous ces travaux vous montreront que notre environnement de tous les jours, indéniablement urbain, doit laisser une place aux arbres, aux plantes et aux fleurs. Leur présence stimule nos relations sociales, certaines de nos aptitudes mentales et le bien-être que nous ressentons au quotidien. L’effet de ces plantes n’est pas qu’intérieur et le vert est un stimulant de relations sociales positives. Il favorise la rencontre de l’autre, l’altruisme et même l’amour. En outre, voir n’est que la première étape et interagir, accompagner l’œuvre de création de la nature peut s’avérer extrêmement positif. Dans certaines écoles, on voit « fleurir » des petits jardins où les enfants sont conduits à semer, planter, désherber, arroser, voir la vie se développer et cueillir les fruits de ce travail. 100 petites expériences de psychologie démontrent que le jardinage est une chose à encourager car il améliore les performances scolaires des enfants et les conduit à avoir, à l’âge adulte, une plus grande considération pour l’environnement et la nature. Cette activité est également bénéfique à nos seniors, notamment à des stades où la maladie ne leur laisse, hélas, que la capacité de ressentir par le toucher les éléments de la nature. Notre
environnement, ce n’est pas seulement ce que l’on voit ou ce que l’on touche. Nous sommes entourés de bruits et d’odeurs : celles
provenant de la nature sauvage comme celles provenant de nos objets ou de nos villes. Or bruits et odeurs, selon leur nature, peuvent avoir des effets bénéfiques ou négatifs.Certains sons peuvent altérer les capacités d’apprentissage de nos enfants tandis que d’autres, notamment ceux de la nature, peuvent servir à rassurer et à apaiser celui ou celle qui a subi une opération chirurgicale… »
Les plantes dépolluantes,
vous connaissez?On ne le répètera jamais assez, l’air de notre maison est plus pollué que celui de l’extérieur. Vous avez beau être la reine du ménage, acariens et champignons ne cessent tout de même de proliférer. Et c’est là que les plantes dépolluantes nous sont très utiles!
Les plantes dépolluantes les plus connues et les
plus utilisées sont les suivantes. Petite revue
d’effectif :
Le chlorophytum
Les dragonniers
La fleur de lune
L’aglaonema
L’anthurium
Le gerbera
Plante dépolluante : Le chlorophytumEfficace contre le monoxyde de carbone échappé
de la gazinière ou du chauffe-eau, le toluène et
le benzène, cette plante dépolluante araignée
est une des plantes vertes les plus fréquentes.
Plante dépolluante : les dragonniersAbsorbant le trichloréthylène, le xylène,
le toluène et le monoxyde de carbone, hé oui
rien que ça, cette plante dépolluante à feuillage
décoratif qui nécessite peu d’eau et de lumière,
lutte contre la plupart des composés organiques
volatils, fumée de cigarette, peinture, l’encre, le
chauffe-eau, les parfums d’ambiance, les
matériaux de construction…A disposer dans les
pièces où l’on fume et dans les chambres!
Plante dépolluante : La fleur de luneCette plante dépolluante au feuillage persistant et vert brillant, grâce à sa grande capacité àfiltrer l’air, absorbe le trichloréthylène, le benzène, l’ammoniac, le xylène et le formaldéhydequi émanent
des peintures et des colles. Véritable épurateur d’air, la fleur de lune nécessite une lumière tamisée et beaucoup d’humidité. A placer partout dans la maison…Plante dépolluante :L’aglaonemaLes aglaonémas sont une plante dépolluante dont la croissance est lente, filtrent les COV toxiques provenant de la peinture, des produits parfumés.Outre son besoin en lumière relativement faible, cette plante dépolluante lutte contre leformaldéhyde et le benzène. Par ailleurs, cultivés pour leur superbe feuillage, les aglaonémas n’apprécient guère les grosses chaleurs et les courants d’air. Vous pouvez les placer dans le bureau, le salon ou encore la salle de bain.Plantes Dépolluantes : Ondes électromagnétiques Le cactus ( cerus purivianus), de la famille des cactacées, et surtout le bel arbre de Jade (crassula ovata), de la famille des crassulacées, placez le a côté de votre ordinateur, il absorbera les ondes magnétiques.
La filière des plantes médicinales et aromatiques peut-elle devenir un levier de développement pour la Tunisie ?Les plantes, une mine d’emploi pour l’avenir.
Ne devrait-on pas encourager les phytobiotechnologies, et la
recherche sur la biotechnologie végétale ?
Le tourisme peut jouer en tant que secteur moteur de développement économique et social des pays; mais ne devrait-on pas encourager plus le Tourisme durable en Tunisie ?
Ne devrions-nous pas changer notre culture? La culture de masse, la consommation de masse, la production de masse, tourisme de masse, agriculture de masse, etc.
Nous devons changer notre culture !
Nos comportements et les techniques de production doivent aller dans le sens de la réduction de la pollution de l’environnement. Par exemple, en réduisant notre consommation de combustibles fossiles, en utilisant les transports en commun, en consommant des produits issus de l’agriculture biologique, en privilégiant les énergies renouvelables pour chauffer nos logements et produire de l’eau chaude, en essayant dans nos gestes de tous les jours d’être de bons éco-citoyens.
Conclusion
En Tunisie, toutes les écoles et établissements scolaires et universitaires doivent êtres équipées de panneaux solaires pour créer leurs propres énergies électriques et thermiques, en l’occurrence dans les zones rurales, mais aussi des Majels et des Faskia pour la récupération des eaux de pluie et des stations de phytoépuration des eaux usées.
Ces panneaux solaires doivent êtres 100% Made in Tunisia, créer une industrie "High-tech" à très forte valeur ajoutée et fortement génératrice d'emploi, notamment, pour les jeunes diplômés. Le transfert de cette technologie peut être garanti et permettre, ainsi, la fabrication à grande échelle de panneaux photovoltaïques en Tunisie. En utilisant la technologie à couche mince qui utilise simplement un substrat de verre.
Il faut créer des stations de valorisation des déchets.
Il faut encourager la R&D et appliquer les inventions qui permettent de réduire la pollution comme celle de Phd. Hayet Omri.
Nous devons changer notre culture !
Nos comportements et les techniques de production doivent aller dans le sens de la réduction de la pollution de l’environnement. Par exemple, en réduisant notre consommation de combustibles fossiles, en utilisant les transports en commun, en consommant des produits issus de l’agriculture biologique, en privilégiant les énergies renouvelables pour chauffer nos logements et produire de l’eau chaude, en essayant dans nos gestes de tous les jours d’être de bons éco-citoyens.
Panneaux photovoltaïques
Oumaima ltayef
Neila Damak:
Shirine Zghidi:
Farah Fakhfakh
Ahmed Bellaaj
Yesmin Abid:
Nourhen Jarboui :
Hsan Jmal
Pollution industrielles dans la ville de Sfax,
Les problèmes et les solutions
Maissa ben Slima,
Nessrine Masmoudi,
Malek Maalej,
Yassmine kammoun
Marwa Gontara,
Wiem Belouer,
Mariem Marzougui,
Mahdi Abdelkefi,
Youssef Kammoun,
Nadhem Ben amer,
Les déchets domestiques dans la ville de Sfax, les problèmes et les solutionsBalkiss Jbir
Rayhane Garbout
Tarek Laamouri
Ali Gasmi
Mahmoud Taktak
Kais Bilhadj
Mariem Mnif
Firas Boujemaa
Les problèmes de santé reliés à la pollution dans la ville de Sfax, les problèmes et les solutions
Ahmed Ktat
Achwek Ben Massoud
AmanAllah Hani
Amna Hentati
Rami Mâamri
Rahma Derbel
Sirine Ayedi
Chama Mallek
Les problèmes de traitement des eaux usées
TABLEAU DE BOARD DU PROJET CLEAN SFAXTABLEAU DE BOARD DU PROJET CLEAN SFAX
dans la ville de Sfax et les solutions
Yasmine Mansouri
Chédy Hbaieb
Mariem Rebai
Ahmed Kharrat
Khalil Jammeli
Firas Masmoudi
Achraf Bahloul
La pollution marine dans la ville de Sfax, les problèmes et les solutions
Ahmed Dhouib
Eya Hriz
Mohamed Maâtoug
Ons Rekik
Oussama Belhadj
Yosr Chaaben
Eya Aydi
Ressources en eau douce en Tunisie, les attitudes et solutions pour la collecte, la conservation et le développement de ces ressources.
Melek Elloumi
Mohamed Amine Affes
Mohamed Ali Jardak
Mohamed Makni
Omayma Zouari
Les effets des plantes sur la santé physique et mentale. Les plantes source d‘emploi
Ahmed Hmani
Iskander Chaabouni
Asma Gondoch
Ons Ayedi
Rami Affes
Intégrer les projets de toutes les équipes et mettre en place une stratégie de développement durable accès sur la « Green Economy »
Mohamed Mahdi Bilhoul
Mariem Lâamouri
Nesrine Foued
Youssef Khmekhim
Nour Chaâben
Equipe de communication
Bilel Ghorbel
Samer Bahri
Chaîma Arguez
Oumeima Gormazi
Sous la supervision de : Mme Imen Tekaya Bouaziz
Ons Mechti