les fabricants de diaussuces de oueiiec et leurs ouvriers

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Edition quotidienne Québec. Mercredi 18 Février 190? Vol 7No 44 Prix de l'Iltoiiceuu iK! 1 $3 i «.I J *i.( EDITION OCOTIMIES*** « K ^r7»%. OU peur 4 Uiu# EDITION . fi CO Mr année. HKUDOMàDAIUE J tCi p.ur * im4t ORGANE DU PARTI LIBERAL ADRESSE: LE SOLEIL GàXJElBIffiCJ La Cuni|>M).riiie d'Iuijtrimericdu Soleil, Lditeur TROIS EDITIONS PAU JOUR.MATIN, MIDI ET SOIR. BUREAUXs C 9f)-92, Oéèê Lament f ne. t ^>1 Ku« , Nw ti« Daiue. UNE GRANDE NOUVELLE QUEBEC ET SON PORT COMPRIS DANS LE PROJET DU GRAND-TRONC » Nous traiîulsons plu* ba> un ar- I cle du NIontreal Herald, gui représente le projet du Grand- Tronc transcontinental sous un jour tout nouveau, et arrive à point poux confirmer nos récents articles •ur la môme question. Nous n'en retranchons quun pa- ragraphe obscur mais peu impor- tant, les chiffre* du coût res- pectif de.s fondations et de la su- perstructure du Pont de Québec prêtent à quelque confusion. Ls tepiiiiuus oriental sur la côte de rAtlautique Projet dacquisition du Pont de Québec et de plusieurs chemins de fer de Quebec par le Grand- Tronc Pacifique. Il ne reste plus aucun doute que la ligne du Grand-Tronc Pacifique noit son terminus orientai sur la côte de lAtlantique. Lextrémité Est de ce tracé de transcoTîtinentol est l'objet d'uno étude aussi sérieuse que celle de h* section ouest dont on a déjà parlé. Une autre particularité du pro- jet est que, lorsquil sera un fait accompli, on constatera que le nouvenu pont de Québec à travers ie St-Laurent fait partie du sys- tème. Il se fait actuellement de* négociation* pour amener l'absorp- tion de la compagnie actuelle du pont d<* Québec dans Ur&nd- Irunc Pacifique. Le Pont de Québec Ce nest pas lopération la plu* nisôu que de financer uuo affaire de 4* millions et bien que la com- pagnie actuelle so sente parfaite- ment capable de mener laffaire à bonne fin, on estime que le projet tieut être accompli dans de meil- leures conditions par coopération avec le nouveau Grand-Tronc Pa- cifique. Lifnie au nord d3 Montréal # Un autre détail du projet con- fiât© à construire une ligne des Grands Lac* à Québec, traversant cette province un nord de la ville de Montréal, qui y «cru raccordée par un embranchement. Cette par- tie du chemin entre les Laos et Québec passera par Labelle et Sha- winigan. Jusquici on avait généralement rompris que la ligne actuelle du Grand-Tronc serait utilisés pour le servie? oriental du Grand Tronc Pacifique et quil ny aurait pas de tiouv< lie conatruetion de chemin de fer dans la province de Québec. Les. promoteurs de lentreprise croient cependant quil y a place pour une Ligne nouvelle au nord des ligne s existantes dans la par- tie orientale du Canada comme dans louest. On peut ajouterrquila sont loin | davoir le monopole d-e oete opi- nion. Us la •uartagsmt tout simple- nn ni avec MM. Mackenzie et NI a un et avec la comfpngnie du Trans- Oaivada. qui tous deux agitent ce projet depuis plusieurs mois. T>* grand avantage de oe ♦racé •era de fournir une route- beaucoup plus courte entro Québec et les Lacs quaucune dos lignes aujour- d'hui existantes. Les droits des compagnies La détermination du Grand Tronc Pacifique d# passer à travers le nord de cette province aveo pro- longement jusquà un port de lA- tlantique donne à penser que 1* compagnie se propose de construi- re ou d'acquérir diverses lignes entre lAtlantique et les Pacifique, entièrement distincte* des system's actuels du Grand Tronc et passant exclusivement sur le territoire canadien à travers le continent. Pour gagner la côte Atlantique R partir de Québec, on *e propose dacquérir le* droits de troi* com- pagnie*. La première est la “Qué- bec et Nouveau Bru^wiek*. ligne nropofféc de Québec à Uonnora sta- tion dans le Nouvcau-Bruneick ; la * Quebec et Oriental ligne pro- jetée de Connors Station à Méta- pédia aur ITntercolonial. et finale- ment LAtlantique et Lac Supé- rieur qui a été coiLstruit et est maintenant en opération de Méta* ptViia ù Pasbébiac *ur le Baie de* Chaleurs. Phases diverses CVs trois compagnies qui <lo.- vent fournir un cliemin jusqu à la mer «ont dan* trois phases diffe- rent es. La Québec et Nouveau- Brunswick a requ «a charte <*t (»b- tenu la garantie de «ubside. La Québec et Oriental demande ac- tuellement une charte provinciale. LAtlantique ctv l^i<- Supérieur a été construite et a failli, et est maintenant opér.% par les porteurs de dél>entures. La Québec et Nouvgau-Bruns- wick f^^rnir* onvirort 160 milles du tracé, la Québec et Oriental envi- ron 115 milles, et lAtlantique et Lac Supérieur, 110 milles. Il y a dans cet avant-projet de Québec à Puspébiae quelque^ avan- tagée et quelquos désavantages. Le tracé inverse un pays qui a de grandes ressources et qui un de ces jours fournira assez de trafic local pour faire du chemin de fer un pla- cement de premier ordre. Pour le moment, le district demande de la population et du développement, bien quune partie «oit déjà un bon territoire pour un chemin de fer. 11 donnera au Grand-Tronc un port Atlantique pendant dix mois de lannée, lui apurant le service des malles-postes canadienne*, car tou* les steamer* y feront escale pour déposer les malles au lit u de re- monter le fleuve dune couple do cent milles jusquau port postal ac* tue] de Rimou.ski. Le principal désavantage est que durant les mois de février et mart il y a trop de glaces dans !c lie du St-Laurcnt pour permettre aux steamers datteindre Paspébiac.» Cest surtout en hiver quon a be- soin dun port sur la Côte Atlanti- que. le trafic océanique devant - cessairement i*arfir des port* de Montréal ot de Québec. Cep< ndant, avec un tracé allant aussi loin à lest: one le tracé ac- tuel, il est impossible de croire pour un instant que le Grand- Tronc-Pacifique sarrêtera en route et ne pénétrera pa* dans les provin- ces maritimes, il y a un si grand nombre de bon* ports dhiver. Je section orientale du Grand- Tronc-Pacifique traversera un pays qui a devant lui un avenir bmsm brillant comme région mannfaet>i- rierc que la section ouest en a comme pays agricole. courage : il laifet** un champ fer- tile a dei enfants qui béniront sa mémoire. Avant tout, il vqut leur a»*urer une éducation chrélkanne. j Le père est le pretre de «a famille qu i! édifie pàr ses parole* et ses exemple a. La mère, .de son 45té. formera ^intelligence et le coeur Je ses enfants, auxquels elle saura inspirer .ci-s sentiment* de piété, qui sera la meilleure sauvegarde de leur avenir et la consolation de leur vie. Kt comme couronnement; vo > ferez du foyer patornVl comme le ««actuaire du bonheur le plus pur quon puisse goûter iei-has. Qui dira le* jou* pures du foyer chré- tien ! Et quand le*» hasards de la vie auront a-sombri Fame de vo* enfants, et les auront abreuvé* de ces chagrins dont lo monde e*t si féjond, ils viendront se con-sohv ù ce foyer toujours cher et y oublier le* amertumes de la vie. Voilà que von* avez fondé : un»' famille chrétienne. L'histoire consa \re mie iwtge aux exploits dit guerrier, aux sag** combinaison* de lhomme détat, aux grands écrivains qui illustrent h ur pays. Mai* si elle garde le si- Icnee en présente du colon qui a doté «on pay*» dun champ fertilisé par ses sueur* et dune famille hon- nête et ch *• v\ nous pouvons dire avec vérité quil n fair une grande oeuvre et qu'l a écrit, une nage de lhistoire de son pays que lira la postérité et que personne ne pourra jamaie effacer.LE COLON EXALTÉ PAR DN EVEQOE Mgr Labrecque, évêque de Chi- coutimi, a prononcé de fort belle* paroles lautre jour, ù l'occasion des noce* dor d un de se* vieux paroi&sien*, M. Pitre Blackburn. Elle* contiennent un si bel éloge du eoluu canadien que non* croyons devoir en reproduire le* principaux pa*suges ; La Providence vous avait - parti une im*autn : celle de louder une famille. Cette vou* lave* noblement remplie. Vous n'avez re uki devant au< un saenfi- ce. Il y a cinquante uns, vous vous juriez fidélité, aux pieds de* autel-, dans lantique et vénérable parois- se de la Maibaie. Puis disant ad-eu à ce pays do Charlevoix, peuplé «le familles patriarcale.* -c conser- vent avec thlélité h s tradition* de foi et de pur patriotisme léguée* par no* ancêtres, vous dirigiez » s pas vers ce lointain Saguenay, alors de *i difficile areés, et couvert de forêts séüulaire*. (' est ici que voua deviez élever, au prix de grands sacrifices, l'édi- fice d'une fatn île vraiment chré- tienne. A la base de cet édifi e est le travail. N'ayant dautre patri- moine que la force de vo* bras et le courage au coeur, voua avex. lut- vaillamment contre la forêt, et aujourdhui, vou* pouvez contem- pler avec un 'légitime orgueil ce champ arrosé de vos «ueurs et de- venu le patrimoine de vos enfants Au travail vou* avez uni l'éco- nomie et une sage prévoyance. Ah ! qui dira les privation* a*ns nom- bre. la lutte ioumalière contre la pémtrie oui sinstalle au foyer du colon et le suit romme l'insépara- ble cempagnon de sa vie et de son exil 1 Une ftcbîg pensé* «outient «on L'ELECTION RE DEUX-MONTAGNES La nomination des candidats Une belle assemblée Tout indique une double victoire liberale (Du eorraapoudant tu '* SolaU/) St*-Scholastique, 18. Quinze cent» personne* ont as- sisté à lappel nominal ici aujour- d'hui, pour le comté de Deux-Mon- tagnes. MM. Ethier, ministériel, et Beauchamp, oppositionniste, </it été mi* eu nomnation. Lassem- blê« puplique à la salle du marché a été présidée par M.Damien Pilon, préfet, et M. IL Fortier, maire de la paroisse. I^e* orateur* out été M. Ethier, appuyé par lhon. A. Bernier et M. Charles llarcil, - puté de Bonaventure. M. Beauchamp était appuyé par M. Bergeron et 'M. Charles Beau- b.cn. Les trois quarts de l'assem- blée étaient pour L* càndidat mi- nistériel. M. Ethier a reçut une ovation. M. Beauchamp s'est plaint du tarif et M. B: rgeron a prédit que la question de* école* du Manitoba reviendra sou* peu u Tordre du jour, par une dôjaration de* auto- rité religieuse*. I^i réélection de M. Ethier psr au moin* trois cimt, e>t assurée. I/'s conservateur* cor.ecntrrtit leur* effort* *ur Terrebonne, oiï iU seront certainement aussi vaincu*. L'élection de Terrebonne La gominaUoa des caaéidats Une belle assemblée à Saint-Jerôme (L>« eurrMpcoaifit do ** SoAU "J St-Jérôme, 1S fêt. Nous avons eu ici, hier, uuo très jolie assemblée datoa la grande salle du marché, *itôt après lo nomina- tion de* candidats. Les différents orateurs libéraux eut été applaudi.* à outrance et les caudiadt* libéraux ont été aeelu- méi à plusieurs reprist*». il faut vou* dire cependant que ! orateurs cocs< rvateur* ont été i bien écoutes. H y avait bien, qurl- : que* interruption* par-ci par-là, mai* i»as pour la peine, et It* chefs j libéraux, qui avaient préparé l'or- ganisation, ont tu à ce que le» ora- L urs conservateur* «oi*it bien écouté». Il y avait une foule considérable. Le premier orateur fut M. le doc- teur Samuel Desjardin*. le candi- dat de Terrebonne. M. Deajardins e*t un bou orateur, un homme de raisonnement qui s'exprime très clairement et qui semble compren- dre admirablement le» grandes questions politiques. Cest un fer- vent admirateur de V. Laurier, et en a fait un éloge très éloquent. Après lui, e-*t venu. Al. HenrÇ Ma**on, le candidat conservateur. Il «est convenablement exprimé et a été patiemment écouté du com- mencement à la fin. Puis Al. Côme ('herrier. AL PP., que vous con- naisaez bien et qui a comme tou- jours remporté un ftuocèâ Extraordi- naire. Lhon. Af. Leblanc a répondu à M. Clierrier, puis Thon. M. Pré- fontaine, ministre de la Marine, AL Préfontaine a fait un discourt trè.s énergique, a défini le» grandes ligne* de la politique libérale et a fait un chaleureux appel à tous *e» vieux «mis du comté. AI. Préfoutai- no a été lobjat dune ovation. Les bleus avaient lair tout dé- cou financé*. EnffW autre» choses, Préiontaine a déclaré aux élec- teur* quil ne faut pas. élire un iiomiMi* qui tour liera ensuite le dos à M. Laurier, cm rangera contre lui» comme certaines gen# lont fiait. H 1 ui faut de* amis loyaux. ( **tte phrase a été j nilignée par lauditoire. Puis vinrent AI Al. ,T. A. labflîe, ex-candidat dan* Mai -onneuve, Marc Kauvaîîe, AI. Chauvin, ex-t AI. P., lhonorablé Al. Gouin, ml- u str«\ AI. Alonk et . Jean Prévost, M. PP, ont pris la paroi'. M. Afonk a encore parlé de la question de» écoles dune manière vague. II na j a* encore répondu au défi de 1 honorable AI. Préfon- taine qui lui a demandé d*11- soulever la question à lu prochaine session du Parlemnt. Le chef conservateur aime mieux so tenir sur h * généra- lités. mais le peuple est phw intel- livuxit quil ne le ponrt. Las»< mblée etnue à Stc-Sohola*- t-que. le vieux château-fort libéra!, a été un grand succès, t Lassemblée tenue» à Stc-.Solu>la*- jointernent par M. IL Forth r, mai- re, et I>. Biluii, prfet du comté. La salle du marché était bondé de monde. Ont pris !b pa'oîc AI. Lthier, ex- puté. et candidat libéral. AI. lien- jamin Beauchamp, cuididat con-er- vateur. Th«mr.rab!e 11. Berner. M. l'has B^ubten, avocat, M. (Yha«. Marc il. député, AJ. Bergeron, ex* M. P. ; en réplique M. Ethier, M. Ethier a été lhaudeunut ne< !*i- mé. Nos ami* *e comptent *6rs d LE MEURTRE DE SAINT-EUSTACHE Pas encops d'arrestation Bien des personnes soupçonnées sont Puisquil y a six warrants d'émanôs (D* o©rr«4i>OLÛatt *ii - *4 XT 11 I KM i ^ 1 ' '' ' 1 t,,r- Nouvelles do Montreal ^r^'ï , La quatorzième banquet annuel de lAssociation | des bouchers. ! vous la preuve commencent dé, ruption. Le dés conservaieur* crier à 1h cor- #at dan* h'ur- Baptême dune nouvelle institution Démission d'un vieil employe de tramways (Du correspond a ut du " ffoicU ** Afont al, fév. Lassociation de» bouchera de Alonîréal u donné, au Queen, hier soir, son quatorzième banquet an- nuel. Il y avait 20U conviv** î»ré- «ciit*. M Alfred Leduc, président de IVs«<m iation, occupait le fau- teuil. Ce sont MM. F. D. Monk, Al. P., et Emile Léonard, M. P., (pii ont répondu à la santé du Parlement. M. M. J. Kimnedy. qui était le ruiialciidant gêrtéral du tramway électrique depuis 21 an*, a remis sa démission à AL Wanklyn, hier après-midi. Otte dénu (-ion a pris à linstant même. On a baptisé. hi#*r soir, le nou- vel hôpital anglais, pour la cure des nialadie* contagieuse* du nom d'*4 Alexandria Hospital , La question de Macédoine Plusieurs mandats darres- tations émanés [Service de la Fresno Associée.] Sofia, 17 février. Une assemblée « ii ma-se »le 10 - (H») Macéihiiifns a eu Hmi pour protester contre la dissolution de* comité* raacêdoni n* eu Bulgarie T»r le goirvernement bulgare. léa*- searblée a demaivlé le rétablissc- luent de» sociétés mncédonieiuie* et la poursuite judiciaire do^ coupa- ble* infivi duels. Ou dit que de mariat* dnrrêt ont été lancé» cotitr* Boris S«ra- Yankoe et p!u Leurs aurei chef* mflcédon.ier.s. St-Péter*botirg, 17 fév. M. de Piehwe, mitiiflrg d* lin- térieur. a envoyé aux journaux une circulaire leur ordonnant d? sah*- tenir de publier de» atticle* luwti- les à la Turquie, au tujet de la si- tuation en Alacédo:ne. St Eus tache, 18. A 7 heure* ce uialia, aucune ar- restation n'avait encore été faite eu rapport aved le meurtre de M. le maire Séguin. Lea «utorité* - ploient pourtant une très grande act ivité. Le détective- AfcGaékill e-»t allé | hier a St(f-S<3fplastique T»«»ur »e j mettre en coin muni cal ion aveo le i procureur général, lhon. M. Ar- I <lliuml>eaalt. Uuinme résultat d* cette consul- tation, le détective est arrivé ici à 9 h. RO hier soir avec six warrant* de r eh arche. Il était accompagné de Al. Leduc, a votât, qui est char- de conduire lenquête. (Vite en- quête sera reprise ce matin, et Af. MoCaskill dit quri n*y aura pa* darrestation avant une couple de jours. L'express de Quebec en bas de la voie Une panique, mais aueuo passa- ger tue ou même blesse (Du corrt09ODd«zu du " Sw)c4 " ' Trols-Ilivîèr**, 18 féV. Lexpres» du Pacifique, parti de Québec à II heure, hier après-midi, a déraillé à 3 milles dici, à 8 h. moins 10 minutes. Le train était déjà très en retard puisqu'il était du à Montréal à fi J heuroa. Ce re- tard provenait de la neige qui cou- vrait la voie. J/accident a été causé par tin rail déplacé, peut-étro par h* froid. Au moment de l'accident, le train allait à une vite-!;© de 3r> mille* à I heure, il y eut une véritable pa- nique à bord. Tou* h\s passager* sc jetèrent à genoux, et se mirent à se lamenter tout en priant. Fort heureusement, il ny eut aucun accident do per- sonne. Aucun passager na été tué ou i>îe»»é. Un convoi spécial venu cher- cher le,» passagers et le* a amené-; à Montréal à 1 heure ce matin, nous apprend une dépêche. La voie nest pa» encore - blayée. Quelques heure» auparavant, un convoi do mardhandiscM avait - raillé à peu près au même endroit, par *uite dune voie dévitement qui avait été laissée ouverte. Nouvelles de Weedon Le départ de notre curé La présentation d'une adresse et d'une bourse (Du correspondent <*u "8oi*U.) Jon .Station, 10 fév. I-e révérend Ji. Ekiiemou J>ro*- / (ion, quitta prooluNuemoin. celte paroi»h- pout celle de \V otton, ou *»on Ordinaire 1 appelle. iuutue de d re que cette nouvelle fut reçue avec regret ici par tou» ceux qui lurent a meme de connaî- tre le dévouement courage et abné- gation de ce Aîrgtie curt , »u persé- vérance et son esprit do sac ri (i e pour terminer et ornemenier cette | belle église .qui aujourd'hui lait no- tre orgueil. 11 u Hii prendant 20 an» guider nos pas dan* les Sentier» de lamitié et du devoir, réeonedier fou» le» esprits pour la glorification du Seigneur. Nous avion* tant appris à 1 aimer et le comprendre que non* aurions voulu le conserver oomme un |V*re. Hier, aprèf la mcaic, Af. Nap. P. Tanin»a*\ maîro de Weedon» Centre, a <*omprgné de im^ieur» Saul Delude» et Xavier Bridou, mu -re* de la parois*/- et du villa^o du l>ac. présent* au révérend Af. Brocard une adresse dadieu d la- quelle était jointe une bourse bien garnie, en témoignage destime coin me à titre de reconnaissance par la paroisse. Notsra bou (firé répondit eu ter- mes approprié» et avec toute l'élo- quence qu'un lui oonnati, noua laia- - .tu I eapérer (pie nous aurions le plaisir de le revoir do temp* à au- tre. Cétait le dernier dimanche que le révérend M. BroMrd passait parmi non* et lUnion Musicale de Weedon avait bien voulu prêter non conoour* pour rendre une trè» belle moace harmonisée. % Les fabricants de diaussuces de Oueiiec et leurs ouvriers Le tribunal darbitrage Les fabricants font le choix de leur arbitre M. Ludovic Brunet accepta cette charge Le» manufacturiers de chaussu- res de Québec sefforcent de don- ner pleine opération au tribunal darbitrage, fondé par la sentenoe arbitrale do Mgr lArchevêque do Québec, le 10 janvier 1901. Lue délégation, compouée de* în< vdeurs dont lo* nom» suivent, »<*-t nivdue, jours dcruLr*. «uprè* de Af. Ludovic Brunet, greffier de la Paix, de cette ville, et lui a demandé de vouloir bien les représenter dan» le Tribu- nal dArbitrage, ce à quoi M, Bru- net a consenti par la lettre sui- vante : Palais de J tu# tireBureau de la Paix. Québec, 17 janvier 1903. A MAL J, Uitchic, F. O. Schry- burt, J. S. Langlois, Alfred Ma- rois, manufacturier», Québec. M e**ieurs. Je »ui* trè* sensible à l'honneur que vou» me faite» en me domau* diuit de faire partie du Tribunal d'Arbitragr, destiné à régler les différend* <pii peuvent surgir au- tre le* fabriearit» de chaussure» de Québec et leur» ouvrier*. Il </t U*** fiat tour de »e voir mi* au nombre de» hoinmr» pru- dent* et intègre* appelé* à rem- plir cotte charge, d'après lencycli- i uu ** Kerum Novarum •I ai d abord In'-ité à aceef*t*rr î eett* fonction, en effet, pour être rempli* avec cdfieaeité, exige de* qualité* et certaine» counaiüiuuce» technique» que je ne »uf» pa» prêt à me reeoiinaître. Toutefoi*, je ine >uis demandé ai jélaih Lbre de re- Jtiser, et certaine,» considérât ion» «ont venues j* u «pn .* dissiper me» derniers doute». En premer lieu, dan» cette même Ei»cyHi(juc, dont je viens de par- h r, à la lumière de laquelle notre vénéré nrelievêque a pronomé .*mi admirable .céutenev* arbitrale du 10 janvier 1901, on lit »*e qui suit : L Eglise veut et dé»iro ardem* meet que toute* Je*» classe* met- tent en commun leur* lumière» ** f*t leur» force* pour Jorner à la 4 question ouvrière la meilleure so- lution po>oblc. y* (.V désir (jet um* invitation qu U faut tconaidérer comme un ordre impératif. D'autre part, je ne saurai» retfer indifférent à ce qui. tan* aucun doute, est d'un intérêt vital r/>ur la villo de Québec—]* con. orde entre le* patron»* et le» ouvrier». J accepte donc, tnc-^ieur», charge que vous voulez bien me confier, et je*.nierai de la remplir do m<.n mieux, convaincu d'avance que ** lea droit» et le» devoirs de» patron» peuvent, parfaitement »e concilier avec le» droit* et le» de- voir» de* ouvrier*. n Hecevez, messieurs, mes meilleu- re» salutation». * LUDOVIC BRUNET. tLîïnme lon sait, il existe, pour régler le» différend» entre patrons et ouvrier», un comité dît do a - clamation/représentant le* grief» des oqyritfra, et uu comité dit do Conciliation, repré** niant les in- térêt» de» patr.m». Lorsque du* difficulté» s'élèvent, le litige est soumis à ce* deux co- mité» siégeant eiisemblo ; si IVn» tento n «*>t pa* possible, lo litige est réiéré au I ri buna 1 dArbitrage, Ce tribunal est choisi de la façon suivante i 11 se compose de trois membre* : l'un, représentant le» patrons, < t choisi )>ar le comité do ( oneiliation, lautre, représentant b * ouvriers, est choisi par Comi- de Réclamation ; le» doux pre- micr* arbitre» font le choix dun troL erne. S il» ne sa (Hardent pas, il» doive nt tadresser à un jiig»*du la ( our Sup rii lire ou a lATchevéquC de Québec, qui devront désigner. ( oiunie nous venons lu dire, h ma nu facturier» ont choisi.M. Ludo- vic Brunet comme leur représen- tant au .Tribunal dA.rbitrug© ; nous ne conn* sgon# pas encore !• choix de» ouvriers. V oici de brève* note» biographi- qu< , sur le nouvel arbitre»} M Ludovic Brunet est fils de feu Wilfrid Etienne Brunet, en *ori vi- vant pharmacien, de Québec ; est magixîrat en matière «l'Extradi- tion, Uuinwiavaire de» Licence* et Greffier lu J'aix pour la cité et le district de Québec ; ù Qué- bec, Je avril JHfiô. Lit son éduca- tion com nier cj alu d abord chez le* 1 rires de la Dor triii© ChrétUmne, à la H ante-Ville, jmi* sou cour» clas- sique au petit Séminaire de Qué- bec, il prit «on d< gré bâche» lier ès lettrc». je 23 juin lb84. fit admettre à létude du Droit, la niciiu* année. Ucencié en Droit, en juin lbw7 ; remporta les prix Tes- sier et Lome, puis admis au Bar- reau dan* lu moi» suivant. % lratiqua le droit en société aveo M. Achille Carrie , maintenant magistrat de District et Af. Arthm tXdiste, ancien député de Port- neuf. Eut un de* fondateur* ©t un de* principaux collaborateurs de 44 LUnion Libéral* Nommé Grc£« fier la Paix, *ou» le gouverne- ment Mercier, en 1889, commissai- re d Extradition, par le gouverne- ment Laurier, en 1896, gt Commit* Sair© de» licences, par le gouver- nement Parent, en 1901. A été pré» aident de lInstitut Uau*<bi*n de Québec et bibliothécaire de cette même institution pendant un grand nombre d'année*. Soutint une thèse *ur l*4 habea» corpus , à la Faculté Drdit de l'Université I*va1. le 15 décembre lfaa>. i*t fui proclamé Docteur en Droit»

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Page 1: Les fabricants de diaussuces de Oueiiec et leurs ouvriers

Edition quotidienne Québec. Mercredi 18 Février 190? Vol 7—No 44

Prix de l'Iltoiiceuu iK!

1 $3 i ■ «.IJ *i.(

EDITION OCOTIMIES*** « K ‘̂r7»%.OU peur 4 Uiu#

EDITION . fi CO Mr année.HKUDOMàDAIUE J tCi p.ur * im4t

ORGANE DU PARTI LIBERAL

ADRESSE:

— LE —

“ SOLEIL ’GàXJElBIffiCJ

La Cuni|>M).riiie d'Iuijtrimericdu “Soleil’ , Lditeur TROIS EDITIONS PAU JOUR.—MATIN, MIDI ET SOIR. BUREAUXs C 9f)-92, Oéèê Lament f ne. t ^>1 Ku« , Nw ti« Daiue.

UNE GRANDENOUVELLE

QUEBEC ET SON PORT COMPRIS DANS LE PROJET DU GRAND-TRONC

»Nous traiîulsons plu* ba> un ar-

I cle du “ NIontreal Herald, ” gui représente le projet du Grand- Tronc transcontinental sous un jour tout nouveau, et arrive à point poux confirmer nos récents articles •ur la môme question.

Nous n'en retranchons qu’un pa­ragraphe obscur mais peu impor­tant, où les chiffre* du coût res­pectif de.s fondations et de la su­perstructure du Pont de Québec prêtent à quelque confusion.

Ls tepiiiiuus oriental sur la côte de rAtlautique

Projet d’acquisition du Pont de Québec et de plusieurs chemins de fer de Quebec par le Grand- Tronc Pacifique.

Il ne reste plus aucun doute que la ligne du Grand-Tronc Pacifique n’oit son terminus orientai sur la côte de l’Atlantique.

L’extrémité Est de ce tracé de transcoTîtinentol est l'objet d'uno étude aussi sérieuse que celle de h* section ouest dont on a déjà parlé.

Une autre particularité du pro­jet est que, lorsqu’il sera un fait accompli, on constatera que le nouvenu pont de Québec à travers ie St-Laurent fait partie du sys­tème. Il se fait actuellement de* négociation* pour amener l'absorp­tion de la compagnie actuelle du pont d<* Québec dans 1« Ur&nd- Irunc Pacifique.

Le Pont de QuébecCe n’est pas l’opération la plu*

nisôu que de financer uuo affaire de 4* millions et bien que la com­pagnie actuelle so sente parfaite­ment capable de mener l’affaire à bonne fin, on estime que le projet tieut être accompli dans de meil­leures conditions par coopération avec le nouveau Grand-Tronc Pa­cifique.

Lifnie au nord d3 Montréal

# Un autre détail du projet con­fiât© à construire une ligne des Grands Lac* à Québec, traversant cette province un nord de la ville de Montréal, qui y «cru raccordée par un embranchement. Cette par­tie du chemin entre les Laos et Québec passera par Labelle et Sha- winigan.

Jusqu’ici on avait généralement rompris que la ligne actuelle du Grand-Tronc serait utilisés pour le servie? oriental du Grand Tronc Pacifique et qu’il n’y aurait pas de tiouv< lie conatruetion de chemin de fer dans la province de Québec. Les. promoteurs de l’entreprise croient cependant qu’il y a place pour une Ligne nouvelle au nord des ligne s existantes dans la par­tie orientale du Canada comme dans l’ouest.

On peut ajouterrqu’ila sont loin | d’avoir le monopole d-e oete opi­nion. Us la •uartagsmt tout simple- nn ni avec MM. Mackenzie et NI a un et avec la comfpngnie du Trans- Oaivada. qui tous deux agitent ce projet depuis plusieurs mois.

T>* grand avantage de oe ♦racé •era de fournir une route- beaucoup plus courte entro Québec et les Lacs qu’aucune dos lignes aujour­d'hui existantes.

Les droits des compagniesLa détermination du Grand

Tronc Pacifique d# passer à travers le nord de cette province aveo pro­longement jusqu’à un port de l’A­tlantique donne à penser que 1* compagnie se propose de construi­re ou d'acquérir diverses lignes entre l’Atlantique et les Pacifique, entièrement distincte* des system's actuels du Grand Tronc et passant exclusivement sur le territoire canadien à travers le continent.

Pour gagner la côte Atlantique R partir de Québec, on *e propose d’acquérir le* droits de troi* com­pagnie*. La première est la “Qué­bec et Nouveau Bru^wiek*’. ligne nropofféc de Québec à Uonnor’a sta­tion dans le Nouvcau-Bruneick ; la* Quebec et Oriental ” ligne pro­jetée de Connors Station à Méta- pédia aur ITntercolonial. et finale­ment “ L’Atlantique et Lac Supé­

rieur ” qui a été coiLstruit et est maintenant en opération de Méta* ptViia ù Pasbébiac *ur le Baie de* Chaleurs.

Phases diverses

CVs trois compagnies qui <lo.- vent fournir un cliemin jusqu à la mer «ont dan* trois phases diffe­rent es. La Québec et Nouveau- Brunswick a requ «a charte <*t (»b- tenu la garantie de «ubside. La Québec et Oriental demande ac­tuellement une charte provinciale. L’Atlantique ctv l^i<- Supérieur a été construite et a failli, et est maintenant opér.% par les porteurs de dél>entures.

La Québec et Nouvgau-Bruns­wick f^^rnir* onvirort 160 milles du tracé, la Québec et Oriental envi­ron 115 milles, et l’Atlantique et Lac Supérieur, 110 milles.

Il y a dans cet avant-projet de Québec à Puspébiae quelque^ avan­tagée et quelquos désavantages. Le tracé inverse un pays qui a de grandes ressources et qui un de ces jours fournira assez de trafic local pour faire du chemin de fer un pla­cement de premier ordre. Pour le moment, le district demande de la population et du développement, bien qu’une partie «oit déjà un bon territoire pour un chemin de fer. 11 donnera au Grand-Tronc un port Atlantique pendant dix mois de l’année, lui apurant le service des malles-postes canadienne*, car tou* les steamer* y feront escale pour déposer les malles au lit u de re­monter le fleuve d’une couple do cent milles jusqu’au port postal ac* tue] de Rimou.ski.

Le principal désavantage est que durant les mois de février et mart il y a trop de glaces dans !c g» lie du St-Laurcnt pour permettre aux steamers d’atteindre Paspébiac.» C’est surtout en hiver qu’on a be­soin d’un port sur la Côte Atlanti­

que. le trafic océanique devant né­cessairement i*arfir des port* de Montréal ot de Québec.

Cep< ndant, avec un tracé allant aussi loin à l’est: one le tracé ac­tuel, il est impossible de croire pour un instant que le Grand- Tronc-Pacifique s’arrêtera en route et ne pénétrera pa* dans les provin­ces maritimes, où il y a un si grand nombre de bon* ports d’hiver.

Je section orientale du Grand- Tronc-Pacifique traversera un pays qui a devant lui un avenir bmsm brillant comme région mannfaet>i- rierc que la section ouest en a comme pays agricole.

courage : il laifet** un champ fer­tile a dei enfants qui béniront sa mémoire. Avant tout, il vqut leur a»*urer une éducation chrélkanne.

j Le père est le pretre de «a famille qu i! édifie pàr ses parole* et ses exemple a. La mère, .de son 45té. formera ^intelligence et le coeur Je ses enfants, auxquels elle saura inspirer .ci-s sentiment* de piété, qui sera la meilleure sauvegarde de leur avenir et la consolation de leur vie.

Kt comme couronnement; vo > ferez du foyer patornVl comme le ««actuaire du bonheur le plus pur qu’on puisse goûter iei-has. Qui dira le* jou* pures du foyer chré­tien ! Et quand le*» hasards de la vie auront a-sombri Fame de vo* enfants, et les auront abreuvé* de ces chagrins dont lo monde e*t si féjond, ils viendront se con-sohv ù ce foyer toujours cher et y oublier le* amertumes de la vie.

Voilà c© que von* avez fondé : un»' famille chrétienne.

L'histoire consa \re mie iwtge aux exploits dit guerrier, aux sag** combinaison* de l’homme d’état, aux grands écrivains qui illustrent h ur pays. Mai* si elle garde le si- Icnee en présente du colon qui a doté «on pay*» d’un champ fertilisé par ses sueur* et d’une famille hon­nête et ch *• v\ nous pouvons dire avec vérité qu’il n fair une grande oeuvre et qu’'l a écrit, une nage de l’histoire de son pays que lira la postérité et que personne ne pourra jamaie effacer.’’

LE COLON EXALTÉ PAR DN EVEQOE

Mgr Labrecque, évêque de Chi­coutimi, a prononcé de fort belle* paroles l’autre jour, ù l'occasion des noce* d’or d un de se* vieux paroi&sien*, M. Pitre Blackburn. Elle* contiennent un si bel éloge du eoluu canadien que non* croyons devoir en reproduire le* principaux pa*suges ;

“ La Providence vous avait dé­parti une im*autn : celle de louder une famille. Cette vou*l’ave* noblement remplie. Vous n'avez re uki devant au< un saenfi- ce. Il y a cinquante uns, vous vous juriez fidélité, aux pieds de* autel-, dans l’antique et vénérable parois- se de la Maibaie. Puis disant ad-eu à ce pays do Charlevoix, peuplé «le familles patriarcale.* où -c conser­vent avec thlélité h s tradition* de foi et de pur patriotisme léguée* par no* ancêtres, vous dirigiez » s pas vers ce lointain Saguenay, alors de *i difficile areés, et couvert de forêts séüulaire*.

(' est ici que voua deviez élever, au prix de grands sacrifices, l'édi­fice d'une fatn île vraiment chré­tienne. A la base de cet édifi e est le travail. N'ayant d’autre patri­moine que la force de vo* bras et le courage au coeur, voua avex. lut­té vaillamment contre la forêt, et aujourd’hui, vou* pouvez contem­pler avec un 'légitime orgueil ce champ arrosé de vos «ueurs et de­venu le patrimoine de vos enfants

Au travail vou* avez uni l'éco­nomie et une sage prévoyance. Ah ! qui dira les privation* a*ns nom­bre. la lutte ioumalière contre la pémtrie oui s’installe au foyer du colon et le suit romme l'insépara­ble cempagnon de sa vie et de son exil 1

Une ftcbîg pensé* «outient «on

L'ELECTION RE DEUX-MONTAGNES

La nomination des candidatsUne belle assemblée

Tout indique une double victoire liberale

(Du eorraapoudant tu '* SolaU/’)

St*-Scholastique, 18.Quinze cent» personne* ont as­

sisté à l’appel nominal ici aujour­d'hui, pour le comté de Deux-Mon­tagnes. MM. Ethier, ministériel, et Beauchamp, oppositionniste, </it été mi* eu nom’nation. Lassem- blê« puplique à la salle du marché a été présidée par M.Damien Pilon, préfet, et M. IL Fortier, maire de la paroisse. I^e* orateur* out été M. Ethier, appuyé par l’hon. A. Bernier et M. Charles llarcil, dé­puté de Bonaventure.

M. Beauchamp était appuyé par M. Bergeron et 'M. Charles Beau- b.cn. Les trois quarts de l'assem­blée étaient pour L* càndidat mi­nistériel.

M. Ethier a reçut une ovation.M. Beauchamp s'est plaint du

tarif et M. B: rgeron a prédit que la question de* école* du Manitoba reviendra sou* peu u Tordre du jour, par une dôjaration de* auto­rité religieuse*.

I^i réélection de M. Ethier psr au moin* trois cimt, e>t assurée. I/'s conservateur* cor.ecntrrtit leur* effort* *ur Terrebonne, oiï iU seront certainement aussi vaincu*.

L'élection de Terrebonne

La gominaUoa des caaéidatsUne belle assemblée

à Saint-Jerôme

(L>« eurrMpcoaifit do ** SoAU "J

St-Jérôme, 1S fêt.Nous avons eu ici, hier, uuo très

jolie assemblée datoa la grande salle du marché, *itôt après lo nomina­tion de* candidats.

Les différents orateurs libéraux eut été applaudi.* à outrance et les caudiadt* libéraux ont été aeelu- méi à plusieurs reprist*».

il faut vou* dire cependant que ! orateurs cocs< rvateur* ont été i bien écoutes. H y avait bien, qurl- : que* interruption* par-ci par-là,

mai* i»as pour la peine, et It* chefs j libéraux, qui avaient préparé l'or­ganisation, ont tu à ce que le» ora- L urs conservateur* «oi‘*it bien écouté».

Il y avait une foule considérable. Le premier orateur fut M. le doc­teur Samuel Desjardin*. le candi­dat de Terrebonne. M. Deajardins e*t un bou orateur, un homme de raisonnement qui s'exprime très clairement et qui semble compren­dre admirablement le» grandes questions politiques. C’est un fer­vent admirateur de V. Laurier, et en a fait un éloge très éloquent.

Après lui, e-*t venu. Al. HenrÇ Ma**on, le candidat conservateur.

Il «’est convenablement exprimé et a été patiemment écouté du com­mencement à la fin. Puis Al. Côme ('herrier. AL PP., que vous con- naisaez bien et qui a comme tou­jours remporté un ftuocèâ Extraordi­naire. L’hon. Af. Leblanc a répondu à M. Clierrier, puis Thon. M. Pré- fontaine, ministre de la Marine, AL Préfontaine a fait un discourt trè.s énergique, a défini le» grandes ligne* de la politique libérale et a fait un chaleureux appel à tous *e» vieux «mis du comté. AI. Préfoutai- no a été l’objat d’une ovation.

Les bleus avaient l’air tout dé- cou financé*. EnffW autre» choses,

Préiontaine a déclaré aux élec­teur* qu’il ne faut pas. élire un iiomiMi* qui tour liera ensuite le dos à M. Laurier, cm rangera contre

‘lui» comme certaines gen# l’ont fiait. H 1 ui faut de* amis loyaux.( **tte phrase a été j nilignée par l’auditoire.

Puis vinrent AI Al. ,T. A. labflîe, ex-candidat dan* Mai -on neuve, Marc Kauvaîîe, AI. Chauvin, ex-t AI. P., l’honorablé Al. Gouin, ml- u str«\ AI. Alonk et . Jean Prévost, M. PP, ont pris la paroi'’.

M. Afonk a encore parlé de la question de» écoles d’une manière vague. II n’a j a* encore répondu au défi de 1 honorable AI. Préfon­taine qui lui a demandé d*11- soulever la question à lu prochaine session du Parlemnt. Le chef conservateur aime mieux so tenir sur h * généra­lités. mais le peuple est phw intel- livuxit qu’il ne le ponrt.

L’as»< mblée etnue à Stc-Sohola*- t-que. le vieux château-fort libéra!, a été un grand succès, t L’assemblée tenue» à Stc-.Solu>la*- jointernent par M. IL Forth r, mai­re, et I>. Biluii, prfet du comté.

La salle du marché était bondé de monde.

Ont pris !b pa'oîc AI. Lthier, ex- d« puté. et candidat libéral. AI. lien- jamin Beauchamp, cuididat con-er- vateur. Th«mr.rab!e 11. Berner. M. l'has B^ubten, avocat, M. (Yha«. Marc il. député, AJ. Bergeron, ex* M. P. ; en réplique M. Ethier, M. Ethier a été l’haudeunut ne< !*i- mé. Nos ami* *e comptent *6rs d

LE MEURTRE DE SAINT-EUSTACHE

Pas encops d'arrestationBien des personnes

soupçonnéessont

Puisqu’il y a six warrants d'émanôs

(D* o©rr«4i>OLÛatt *ii - *4

XT 11 I KM i ^ 1 ' '' ' 1 t,,r-Nouvelles do Montreal ^r^'ï ,La quatorzième banquet

annuel de l’Association | des bouchers.

! vous la preuve commencent dé, ruption. Le dés

conservaieur* crier à 1h cor- #at dan* h'ur-

Baptême dune nouvelle institution

Démission d'un vieilemploye de tramways

(Du correspond a ut du " ffoicU **

Afont r« al, fév.L’association de» bouchera de

Alonîréal u donné, au Queen, hier soir, son quatorzième banquet an­nuel. Il y avait 20U conviv** î»ré- «ciit*. M Alfred Leduc, président de IVs«<m iation, occupait le fau­teuil.

Ce sont MM. F. D. Monk, Al. P., et Emile Léonard, M. P., (pii ont répondu à la santé du Parlement.

—M. M. J. Ki mnedy. qui était le ruiialciidant gêrtéral du tramway électrique depuis 21 an*, a remis sa démission à AL Wanklyn, hier

après-midi. Otte dénu (-ion a pris à l’instant même.

—On a baptisé. hi#*r soir, le nou­vel hôpital anglais, pour la cure des

nialadie* contagieuse* du nom d'*4 Alexandria Hospital ”,

La question de MacédoinePlusieurs mandats d’arres­

tations émanés

[Service de la Fresno Associée.]

Sofia, 17 février.Une assemblée « ii ma-se »le 10 -

(H») Macéihiiifns a eu Hmi pour protester contre la dissolution de* comité* raacêdoni n* eu Bulgarie T»r le goirvernement bulgare. léa*- searblée a demaivlé le rétablissc- luent de» sociétés mncédonieiuie* et la poursuite judiciaire do^ coupa­ble* infivi duels.

Ou dit que de mariat* d’nrrêt ont été lancé» cotitr* Boris S«ra-

Yankoe et p!u Leurs au’rei chef* mflcédon.ier.s.

St-Péter*botirg, 17 fév.M. de Piehwe, mitiiflrg d* l’in­

térieur. a envoyé aux journaux une circulaire leur ordonnant d? s’ah*- tenir de publier de» atticle* luwti- les à la Turquie, au tujet de la si­tuation en Alacédo:ne.

St Eus tache, 18.A 7 heure* ce uialia, aucune ar­

restation n'avait encore été faite eu rapport aved le meurtre de M. le maire Séguin. Lea «utorité* dé­ploient pourtant une très grande act ivité.

Le détective- AfcGaékill e-»t allé | hier a St(f-S<3fplastique T»«»ur »e j mettre en coin muni cal ion aveo le i procureur général, l’hon. M. Ar- I <lliuml>eaalt.

Uuinme résultat d* cette consul­tation, le détective est arrivé ici à 9 h. RO hier soir avec six warrant* de r eh arche. Il était accompagné de Al. Leduc, a votât, qui est char­gé de conduire l’enquête. (Vite en­quête sera reprise ce matin, et Af. MoCaskill dit qu’ri n*y aura pa* d’arrestation avant une couple de jours.

L'express de Quebec en bas de la voie

Une panique, mais aueuo passa­ger tue ou même blesse(Du corrt09ODd«zu du " Sw)c4 " '

Trols-Ilivîèr**, 18 féV.L’expres» du Pacifique, parti de

Québec à II heure, hier après-midi, a déraillé à 3 milles d’ici, à 8 h. moins 10 minutes. Le train était déjà très en retard puisqu'il était du à Montréal à fi J heuroa. Ce re­tard provenait de la neige qui cou­vrait la voie.

J/accident a été causé par tin rail déplacé, peut-étro par h* froid. Au moment de l'accident, le train allait à une vite-!;© de 3r> mille* à

I heure, il y eut une véritable pa­nique à bord.

Tou* h\s passager* sc jetèrent à genoux, et se mirent à se lamenter tout en priant. Fort heureusement, il n’y eut aucun accident do per­sonne. Aucun passager n’a été tué ou i>îe»»é.

Un convoi spécial venu cher­cher le,» passagers et le* a amené-; à Montréal à 1 heure ce matin, nous apprend une dépêche.

La voie n’est pa» encore dé­blayée.

Quelques heure» auparavant, un convoi do mardhandiscM avait dé­raillé à peu près au même endroit, par *uite d’une voie d’évitement qui avait été laissée ouverte.

Nouvelles de WeedonLe départ de notre curé La

présentation d'une adresse et d'une bourse

(Du correspondent <*u "8oi*U.”)

W» Jon .Station, 10 fév.I-e révérend Ji. Ekiiemou J>ro*-

/(ion, quitta prooluNuemoin. celte paroi»h- pout celle de \V otton, ou

*»on Ordinaire 1 appelle.iuutue de d re que cette nouvelle

fut reçue avec regret ici par tou» ceux qui lurent a meme de connaî­tre le dévouement courage et abné­gation de ce Aîrgtie curt , »u persé­vérance et son esprit do sac ri (i e pour terminer et orne me nier cette

| belle église .qui aujourd'hui lait no­tre orgueil.

11 u Hii prendant 20 an» guider nos pas dan* les Sentier» de l’amitié et du devoir, réeonedier fou» le» esprits pour la glorification du Seigneur. Nous avion* tant appris à 1 aimer et le comprendre que non* aurions voulu le conserver oomme un |V*re.

Hier, aprèf la mca’ic, Af. Nap. P. Tanin»a*\ maîro de Weedon» Centre, a <*omprgné de im^ieur» Saul Delude» et Xavier Bridou, mu -re* de la parois*/- et du villa^o du l>ac. présent* au révérend Af. Brocard une adresse d’adieu d la­quelle était jointe une bourse bien garnie, en témoignage d’estime coin me à titre de reconnaissance par la paroisse.

Notsra bou (firé répondit eu ter­mes approprié» et avec toute l'élo­quence qu'un lui oonnati, noua laia- - .tu I eapérer (pie nous aurions le plaisir de le revoir do temp* à au­tre.

C’était le dernier dimanche que le révérend M. BroMrd passait parmi non* et l’Union Musicale de Weedon avait bien voulu prêter non conoour* pour rendre une trè» belle moace harmonisée.

%

Les fabricants de diaussuces de Oueiiec et leurs ouvriers

Le tribunal darbitrage

Les fabricants font le choix de leur arbitreM. Ludovic Brunet accepta cette charge

Le» manufacturiers de chaussu­res de Québec s’efforcent de don­ner pleine opération au tribunal d’arbitrage, fondé par la sentenoe arbitrale do Mgr l’Archevêque do Québec, le 10 janvier 1901.

Lue délégation, compouée de* în< vdeurs dont lo* nom» suivent, »<*-t nivdue, jours dcruLr*.«uprè* de Af. Ludovic Brunet, greffier de la Paix, de cette ville, et lui a demandé de vouloir bien les représenter dan» le Tribu­nal d’Arbitrage, ce à quoi M, Bru­

net a consenti par la lettre sui­vante :

Palais de J tu# tire—Bureau de la Paix.

Québec, 17 janvier 1903.A MAL J, Uitchic, F. O. Schry-

burt, J. S. Langlois, Alfred Ma- rois, manufacturier», Québec.

M e**ieurs.Je »ui* trè* sensible à l'honneur

que vou» me faite» en me domau* diuit de faire partie du Tribunal d'Arbitragr, destiné à régler les différend* <pii peuvent surgir au­tre le* fabriearit» de chaussure» de Québec et leur» ouvrier*.

Il </t U*** fiat tour de »e voir mi* au nombre de» hoinmr» “ pru­dent* et intègre* appelé* à rem­plir cotte charge, d'après l’encycli- i uu ** Kerum Novarum

•I ai d abord In'-ité à aceef*t*rr î eett* fonction, en effet, pour être rempli* avec cdfieaeité, exige de* qualité* et certaine» counaiüiuuce» technique» que je ne »uf» pa» prêt

à me reeoiinaître. Toutefoi*, je ine >uis demandé ai j’élaih Lbre de re- Jtiser, et certaine,» considérât ion» «ont venues j* u «pn .* dissiper me» derniers doute».

En premer lieu, dan» cette même Ei»cyHi(juc, dont je viens de par-

h r, à la lumière de laquelle notre vénéré nrelievêque a pronomé .*mi admirable .céutenev* arbitrale du 10

janvier 1901, on lit »*e qui suit :L Eglise veut et dé»iro ardem*

“ meet que toute* Je*» classe* met- “ tent en commun leur* lumière» ** f*t leur» force* pour Jorner à la

4 question ouvrière la meilleure so­lution po>oblc. y* (.V désir (jet

um* invitation qu U faut tconaidérer comme un ordre impératif.

D'autre part, je ne saurai» retfer indifférent à ce qui. tan* aucun doute, est d'un intérêt vital r/>ur la villo de Québec—]* con. orde entre le* patron»* et le» ouvrier».

J accepte donc, tnc-^ieur», 1» charge que vous voulez bien me confier, et je*.nierai de la remplir

do m<.n mieux, convaincu d'avance que ** lea droit» et le» devoirs de» patron» peuvent, parfaitement »e concilier avec le» droit* et le» de­voir» de* ouvrier*. n Hecevez, messieurs, mes meilleu­

re» salutation». *LUDOVIC BRUNET.

tLîïnme l’on sait, il existe, pour régler le» différend» entre patrons et ouvrier», un comité dît do a Ré­clamation/’ représentant le* grief»

des oqyritfra, et uu comité dit do “Conciliation’’, repré** niant les in­térêt» de» patr.m».

Lorsque du* difficulté» s'élèvent, le litige est soumis à ce* deux co­mité» siégeant eiisemblo ; si IVn»

tento n «*>t pa* possible, lo litige est réiéré au I ri buna 1 d’Arbitrage,

Ce tribunal est choisi de la façon suivante i 11 se compose de trois membre* : l'un, représentant le» patrons, < t choisi )>ar le comité do

( oneiliation, l’autre, représentant b * ouvriers, est choisi par 1© Comi­té de Réclamation ; le» doux pre- mic’r* arbitre» font le choix d’un troL erne. S il» ne s’a (Hardent pas,il» doive nt t’adresser à un jiig»*du la ( our Sup rii lire ou a l’ATchevéquC de Québec, qui devront 1© désigner.( oiunie nous venons d© lu dire, h ■ ma nu facturier» ont choisi.M. Ludo­vic Brunet comme leur représen­tant au .Tribunal d’A.rbitrug© ; nous ne conn* sgon# pas encore !• choix de» ouvriers.

V oici de brève* note» biographi- qu< , sur le nouvel arbitre»}

M Ludovic Brunet est fils de feu Wilfrid Etienne Brunet, en *ori vi­vant pharmacien, de Québec ; est magixîrat en matière «l'Extradi­tion, Uuinwiavaire de» Licence* et Greffier d© lu J'aix pour la cité et le district de Québec ; né ù Qué­bec, Je avril JHfiô. Lit son éduca­tion com nier cj alu d abord chez le*1 rires de la Dor triii© ChrétUmne, à la H ante-Ville, jmi* sou cour» clas­sique au petit Séminaire de Qué­bec, où il prit «on d< gré d© bâche»

lier ès lettrc». je 23 juin lb84. S© fit admettre à l’étude du Droit, la niciiu* année. Ucencié en Droit, en juin lbw7 ; remporta les prix Tes­sier et Lome, puis admis au Bar­reau dan* lu moi» suivant. %

l’ratiqua le droit en société aveo M. Achille Carrie , maintenant magistrat de District et Af. Arthm

tXdiste, ancien député de Port- neuf. Eut un de* fondateur* ©t un de* principaux collaborateurs de

44 L’Union Libéral* Nommé Grc£« fier d© la Paix, *ou» le gouverne­ment Mercier, en 1889, commissai­re d Extradition, par le gouverne­ment Laurier, en 1896, gt Commit* Sair© de» licences, par le gouver­nement Parent, en 1901. A été pré»

aident de l’Institut Uau*<bi*n de Québec et bibliothécaire de cette même institution pendant un grand nombre d'année*.

Soutint une thèse *ur l*4 habea» corpus ”, à la Faculté d© Drdit de l'Université I*va1. le 15 décembre lfaa>. i*t fui proclamé Docteur en Droit»

Page 2: Les fabricants de diaussuces de Oueiiec et leurs ouvriers

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5 J1 2 3 48 9 10 11

f15 16 17 1822 23 24 25

i3*0 *

Iv® roi Edouard VU a luit une eveilente iapveMios, hier, en ou- %reut le p«rlciiA*nit.

li aveu 1 ni/ de jv»u^r d'une aenténxçeJlente.

U vtujl d eutent plue rcamrquéMue P:mprt**teiou gt?Aiigp.1 terre, que notre et

un homme trèe muiude.

raie enuveruin

Pour guérir un rhuma an un jaur

Prepiex les tablettes Pyativee BroiTiO-Quiuuie. loue lee pharrna- eieti*, rem tient rangont ei elle* manquent de guérit, Ia eignaturc E. W. Grove e est sur chaque botte. 26 cts.

—1 L.

12

6 7 113 1420 2 127 28c ©

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LE VIN DE QUININE DE CAMPBELL FORTIFIE

Andrew Carnegie offre au Véné- guéla de payer ce qu'il doit aui ditierento» pui^aix < j europf eüueü.

Pourquoi n’uffro-t-ii pa.s plutôt une gratification a un égal mon­tant aux mineurs de la Pennsylva­nie qui ont fait sa fortune i

1^ convoi du Grand Tronc atten­du à LevU à 7 heure-, hier matin, a eu toute une aventure eu pas­sant à St-Romuald.

Un des chars du centre a sou­dainement culbuté en bas de la voie.

Le train fut naturcHfement arreté aussitôt que pos^iblo.

Chose étrange cependant, c'e^t que tous les pacagera qui ee trou vaient dans le char renversé étaient saufs ; pas une blessure.

Comme on n'était pas loin des usines de Lévis. b> secours fut prompt et une heure après le train reprenait sa course.

Notes socialesMadame Belleau donnera ce soir

un bal poudré ù su aéeidcmce, G ramie-Allée.

•—Le euchre des daims donné luwdti H»ir au l'hiinoir do la Gran­de Allée a été un immense euooèa, et les organisa trices, madame Jules Tesaier et madame Coote, doivent

^ en ré\jouir pour 1< ur oeuvre qui ► devra en bénéficier si largement.

Environ ftoixante-quinae couple* étaient réunis autour 'ics tah1es et iu»qu'à minuit la plus franche naietè n'a de régner—Vor-clK*-tre Carhonneau mêlant *a* dé- licieuaea mélodies au charme de la conversation et à celui dee cartes.

—Vendredi prochain, 1j 20, ce fera le euchre dee jeunes gens et des jeunes filles. Co euchre ne du­rera qu’une heure <t demie envi­ron et se terminera par ;me saute­rie. Qu'on ]c dise. Jx-s bilk-ts ae vendent rapidement et tout fait prévoir une soirée agréable en rn<*n*o temps qu'une recette abon- iantc.

Mav<kmcs Bîan lu t et Pacaud ont aocopté do chmp< ronner cette brillante réunion donnée, comme elle de limd . èn faveur de l'église u Lac St-Joseph.—Mila Fitzpatrick retourne à

Ottawa aujourd’hui. Madcmoifello parent, tille de l'honorabU S. X. parent. I n *-(^pagne. Elle sci a hdte de nionornble ministre de la ustice <t assistera au grand bal ne donner >nt M. et madame Fitz- atriek vendredi prochain.

—M. L. P. B ilodeau. maire de Robe mil, et mademoiselle Tlilo- denu, sont en promenade à Québec. chez madame Dion, Cliff View ’la o.-“-Madame Albani e<»t arrivée au

hâteau Frontenac hier soir. o,n compagnie <1« n mari M. Gve. et

d*1 M. 1 rank T. Watkis, eou ac- (ompagnateur.

—Madame Ed^urd Sewt domoselle* §<’well «ont en mont a Jx>udres.

—I/O» demoiselles Durm ont don­né une très jolie réception hieç après-midi «u Château Frontenac. Il y avait 160 clames présentes.

—éV!«■*$:!emoisciîe^ (Stofla Beaur lieu-et.Georgette Hc*dfrson# de Sto­ll avie, sont en ville pour quelque* jour*.—Mademoiselle Marie-Paule \<r-

reuult, de St-Jean Port Joli, e^t en promenade à Québec, chez ouæ- demoiseHes Duquel.

MademoWîle Verreault <h.Tit par­tir pour Montréal, h la fin de la semaine.

tri k, de Halifax, e**t au Chateau Frontenac.

—M. Louis Allard* conférencier de ITniverëité Laval, part à midi pour Montréal.

—il J. p. B.rubé, mercxiunl, deSt P*» *1, et il L» latiellur de bi* Juet, cultivateur, de la Uivière- Ujeiie,*» -m a Québec, au Mouh:+an H. IL

CROSSES "'RECOLTES

UL OLL

L’ouest du Canada est le plus traçant pour ceux qui cherchent un placement stable.

Une chance de faire de 1 argent ! Creet ce que 1 ültest du Canada rup- porte, aujourd hui. La oonnai**anoe de sou principal attrait comme “le cimriip de blé du monde ” ©et ai té~ cvnte que le spéculateur n’a pas à chercher ee© chance*, maie elles *e présentent à lui. Manitoba ne bera plu* la limite oue^t du commerce, au Canada. Los }H*r»onnea qui * y connaissent disent que le aol fc*rt;l« dan» toute l’étendue de 300 mill<* à l’ouest de cette province, et 1 accce en est facile grâce aux efforts actifs des chemina do fer Pacifique Canadien, Urand-Trono et Canadian Northern. Pendant des année*, le^ plaine* do l’ouest du Canada ont été considérée* saurages. L'expérience de* récente* aimées a révélé de» faits réels au^ personnes qui k* ignoraient, ce­pendant, et la renommée de* gros­ses récoltée de blé dont la moyen- 'no fui de 25 à 36 minois par acre, et Le total, 68.000,000 do minots, ran-née dernière, a assuré eon ave­

nir dans le monde agricole. Les con­ditions les plu* favorable* pour ré- oolter le meilleur blé au monde, le bon climat et tout, ce qu’il faut Pour un rapide développemei t, ren­dent l'ouest du Canada trè* at­trayant pour l'homme qui veut pla­cer d© l'argent. Les grandes asso ciation* comme la “ British Caria dian Wheat Raising Oo. ” sont or­ganisées dan* le but de cultiver le blé sur une grande échelle. I>ps bé-

néficç» considérable» qu’ellr*» anti­cipent sont pratiquement certains».

à Own

BewareHOLA BEBë

Vcüi an enfant qui «ait bien q^aege autr* '-aTen «.© lai*^ la ViW*«' ■. tuée. *i ro*e, q ue e OA BT •ü^.üfu* U ^.Îaure qejjWJ»tuiaue vaut le/énlebU BaJ*V*UVNNBOAT

m iiBtST mui so»fMfn, MoatreaL

Journée «uperbe aujourd’hui, mais un froid excessif. Le thermo­mètre est à IV au-dessous de zéroà 6 h< urjîs.

Le soleil s’est levé ce matin à 6 h. 44 et se couchera à 5 h. 16.

On a l’air A se préparer, an Ca­nada. comme aux Etats-Unis â d© nouvelles grèves qui se. aient décla­rée* au moi» de mai prochain. Les patrons sc préparent naturellement d'avance à iaire face â la equa­tion.

A Montréal, ce sont surtout le» charpent er* que l'on enrôle d’a- vaiut. pour remplacer len gréviste*.

Une fumée épaisse s'éKwe encore ce matin des débri» du grand in­cendie d'hier. (Vtte fum?c s’échap­pe surtout entra la “ New-York lafe ” et le» mura de l’étsbli-se- ment Boileau.

Uar tuk* d’un ae l'.dent .«sur la voie du Pacifique, le* meîle* ne sont pas at tend ue« avant 11 heure* * matin.

Sou* le titre, la “France çt T\V- raérique. nécessité d’une action franco-américaine”, le marquis de Castellan» vient de publier dans ‘TEdair’’ un article qui fait quel­que bruit Le père du jeune député des Ba«*e»-Alp©* se fait l’avocat d'uuo alliance entre le* Etat*-Unis et la France en vue d'empêcher l'Allemagne de Rétablir dan» l’A­mérique du «uJ. Une telle alliance, dit M. d© Cas tell ane, placerait la doctrine Monroe à l'abri de toute attaque «an* qu'il en coûte uu© goutte d© sang.

La Cour Suprême ^ finalement rejeté hier la contestation de l'c-

tion de M. Carbouneau, député le 1 Islet, qui languissait depuis si longtemps.

Mgr Mathieu et î'honorable Charles Langelier ont perdu, dans l’incendie d'hier, des coUc?ct.ions- de livrc< pré leux qu'ils avaient char­gé M. La franc© de relier.

Au cours d’un entretien avec un journaliste de New-York, Mer, sir Wm Van Horne a admis que Compagnie du Pacifique avait acheté la flotte Eldcr-I >emp*ter, qui se compose de 18 steamers.

Un dernier receust mont munici­pal nous apprend que la popula­tion <le Winnipeg est aujourd'hui de 103,660.

Il n'y avait pas 25.000 habitant* en 1881.

11 ci les ce mo-

L'honoraUe M. Blair un discours lundi soir

a prononce â St Jean,

N.-B.. en faveur du gouvernement Tweed ie.

11 a demandé un ralliement gé­néral des libéraux de la province.

Nomination des candidats hi r dan* trois comté s pour la repré­sentation fédérale :

TERREBONNELibéral Dr Sam Desjardins.Conservateur, Henri Masson.

DEUX - MONTAGNESlibéra], J. A. C. Etluer.Conservateur, Ben Ikaiediamp.

NORTH-GREY

Lib*’rai, Mathew Kennedy.

MkrC • .at V iàJtmo

Rhiime l omment sera votre rhume ce soir ? Pire, probablement. D’abord, c’est un rhnme, ensuite une toux, puis une

bronchite. Les rhumes sont toujours sujets à augmenter.Avec le pectoral cenae d’Àyer arrêtes rapidomant îa progretstmi de ce rhu­me, » ote, 60et», 91. J. C. A » KK A Co.

Lowell, Mao*.

—Made ni o Wife Adi ne Fa fard, de ITalet, est en visite 'chez M. E. Cas- grain. .

— C est ©e matin qu’a Ueu le ré­gal musical hi Tmnsuel il© la La­ne's Musical Club.

—Il y aura cuehro, ce soir, chef madame Wwtb, rue St-l>enLs.

—Madame Parent a donné, hier soir, une réception charmante en l'honneur de mademoiselle Corinne Fitzpatrick, d’Ottawa. Un excellent o reheat r© n exécuté un programme ravissant durant toute la soirée.

Voici les noms tics heureux vain­queurs nu euchre party :

Madcmoisell Florence Ahern, Irr prix, une bourse ; Mad moiaelle Audet, second prix.

Monsieur P. Mercier, E. E. D., gagna le promit r do» prix offert» aux monsieur» ; et monsieur Harry O’Sullivan, F. E. D., le second.

Pour vous, mesdames%Si vous, avez besoin de jaquettes

eaehe-corsets jupons, pantalons, ne church* z pf.^ ailleurs, allez chez

F agit y. Lé pi n ay A; Frère.IG—jno

Notes personnelles—M. Hagues Fortier, avocat, de

Sto Mario, Beau e, rnu St-Lwijy. 11 plaid© de«i eau*©» importantes

en Cour Supér cure aujourd’hui. Notre ami retournera à la Beauce domain.

— M. E. P. Garnet u et M. Frank Carroll, partent aujourd’hui pour un voyage d»' quelque» somain*4» ©n Californie et à la Louisian©.

•—M. TalInTt, député de Tblle- qhaeso. * on h cr une longue cou* fiémrr© avec le gouverremewt d'' 1» Coîorab’o Arwlais©, don* l’hitérêt du chemin do for Trans-Canada.

— M. îüBhertt*. «N'r rent d’annos do V’Ar>omb1'> T/gidative, cat à î'hôfcl' Bt-Ioui*.

—M. C?iampoux, de DTsraeii.'Bet au St-Louis. t

—Le lieuteiwint-colonel Kirkpa-

demain soir

Four 1© bénéfice de nos lecteur*, noua croyons devoir fair© quelques fcuggi'ition* relatives au concert que donne demain soir, jeudi, au Miimfpf* mill ta i/o de la G ran. le* Al­lé, la céiè*>r<i cantatrice, canadienne Madame Albani. Les porte» du Ma­nège seront ouvertes à 7 h. 30 ; le concert commencera à 8 h. 15. L s porteurs do billet» de aiqge» reser­ve's entreront par la porte du cen­tre, ainsi que les port urs do bil­let» de galerie. La porte à l’ouest

du côté des Buttes à Neveu—sera utilisée exclusivement pour le» por- Wur* de billets d’adhnif&sian» I>s

sièges réservés seront numérotés et chaque rangée portera, on vedette, une lettre d’ordre, de sorte qu’au­

cune confusion n© sera à redouter si les porteurs de billets à eoupoi.s ont le bon esprit de permettre aux jduciers d© leur indiquer leurs siè­ges. A 1 extérieur, ckeî gardiens de­là pa.x seront chargé* de mainte­nir l'ordre et de prévenir toute 4?o- hue. Le gérant du MuiU'ge militai- r© noue assure que la températuro

;'v confort dés ira be, nous avonstoute confiance en sa parole. Le pian des sièges réservé» restera ouvert jusqu’à 5 heures p. m., jeu­di, chez l'éditeur Arthur La vigne. 68 rue Bt-Jean, et, de là. sera transporté au Munè^ro militaire. Nous conseillons à tous de se pro­curer leur» biliet» à Fa va ne© et de ne pas attendre à la dernière mi­nute jvqur le» obtenir à la porte de la salle afin <be ne pn* s'exposer à rester inutilement au froid, lors­qu il est si facile do les obtenir

duns le cours, do Ja journée chez l'éditeur À. ]vigne, 68 rue St- Jean, où Ion pourra se procurer lo programme de la soirée.

Noiltfdll-G OîlôtésEliza J obi ii, éiHïuie d"

Abxi- Barbeau, de Quebec, fer bU'Mcr plombier, fuit affaire seuleaous le nom <1« A. Barbeau.

té* è 51M J- O. Ga­gnon tie, mat chauds de nou­veautés, composée d' MM. Joseph Ovide Gagnon. man*hand, de 8t- Romuaîl, et Joseph Fluvicn I>e- mieux, comm fi -ant affaire» I St-Romuald, u été dis oute après expiration du temp*, et les mêmes a^o<*ié^ ont formé une nouvel!» so­ciété 8vus h- même nvm.

Pour guérir ur» rhumo sn un jour

PrciH-z la table tt vs laxative* Bromo Quinine. Cette signature l. W ( ROVI est •26 et*. ^ _____

Ed cour de PoliceL’enquête préliminaire dans F af­

faire do John Guard, accusé d a- voir voulu a^ussiner Shirley, com mencera à 10 heures ce matin-

On entendra d’abord M- Shirley; qui sortira pour la première foi» de l'hôpital Jcffcry Haie.

Un nommé Tremblay,arrêt© pour infraction aux condition* de soi élargissement conditionnel de pé­nitencier, va être renvoyé au jour’ d'hui même u pénitencier de St Vincent de Paul.

(Plus réeent.)Le méh in d.» l’hôpital vient d*

décider qtu Shirley était encor© trop malado pour être examinf

comme témoio. h’enqnête sera dono ajournée.

Dans les c i! »ir> du palais Pour bon.

—-Pourquoi ré rve r 1< s vendre­dis pour la dis *lésion des interp l- lations à la chambre f

—Par anticlér eali^me, parbleu 1 Tmisuu'on y parle gras un jour mai* «re.

-n* ©fer *?:

CHEMIN DE FBK

TRANS-CANADALe plus court

Fautr©d'un océan â

Une ligne canadienn e

Pour 1© peuple canadien

Elle traverse tout 1© terri­toire canadien.

Aux ports canadiens 4 fev 1 m

Grand succèsLa représentation du Masqyc

Rouge, hier aoir, a étô un succès ; elle en sera tn<*ore un o© «oir. Al- lez-y. Prix, 23 et 35 cts.

Une personne reconnaissanteLue grande faveur obtenue par

l’intercession de la Sainte Vierge et de saint Joseph, avec prompte de le publier. V. B.

(’adeaii royal a Madame Albani

Sa Majesté la reine Alexandra vient d’a lre©ser à Madame Albani un superbe portrait pria avec la

U dette royale qu elle portait lors du couronnement, comme souvenir de reconnaissance pour l’amabilité de la grande cantatrice qui a bien voulu chanter l’hymne national et le “ Homo sweet Home, ” à la ré- eepth'M donné© pir Sa Majesté, à Guildhall, à Londres.

“Le Lutin du Clocher’*, lundi et mardi, le 9 et 10 mars, à la salle J* la Garde Indépendante Cham­plain.

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Co,7’La11 Gieat West Life ftssuianceBureau principal : WINNIPEG, Man.

Succursale du district de Quebec, bâtisse Banque d'Hochelag»

Chambre No. 4, Québec, Qué.

(VU* f'O’np'g I» prêt* •»* fr>n<1a \ uo t4UH Di i» an» la rlaautres ^onopagLifaü’a^urance.aln^ peut offrir plaa d’avAuttga! ‘ #0a ^

Page 3: Les fabricants de diaussuces de Oueiiec et leurs ouvriers

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-

LE SOLEII__ 18 Février 1903

DemandezI’ABBEV'S

Epaississez votre sang pour l’hiverNos hivers ébranlent nos plus fortes constitutions à moins qu’elles ne soient forîihées par un laxatif reconstituant comme “ 1*Abbey’s” Sentez' .vous que tous les vents qui soufflent vous font frissonner jusqu'à la moelle ? Vous avez besoin de *• I* Abbey’s " pour épaissir votre sang-c’est un sel de fruits qui enr.iye les impuretés—provoque une ac­tion régulière des intestins— stimule la circulation— ren- forcit les nerfs —et donne aux joues cette couleur rose de santé durable—essay es-le

Demandez àvotre pharmacien

^Abbeys^ V. EffervescentSalt-

AVISEit par le prêtent donné qu’une

âemauae sera faite à U lég.tlature de la province de Québec, a ta prochaine ses­sion, par Frost, Wood, Gray et Maria Chapman, pour obtenir l'autonsatiou de faire un partage de la succession de feu Maria Marnn.et de vendre certaines pro­priétés appartenant à la dite succession-

R CAMPBELL, Procureur des réquérants.

11 fev 1 m

Demande a la Législature.Avis est par le présent donné qu’à fa

prochaine session de la Législature Paul d Aigneaux, de la cité de Québec, demandera l’adoption d'un bill autori­sant le Bureau de Direction des arpen teurs et des géomètres de la province de Québec, à lui accorder, après eva men, un certificat de capacité et d ad mission à la pratique ae la profesaioa d'arpenteur

Québec, 27 Janvier 1903.GIBSON .t DOBELL,

Procureurs des requérants.87 j % nv. —1m.

Nouvelles du district de Quelle;

Houveües du BtcNotes sociale'’

Notes diverses

U?a corre^poxitSant Aa M Soleil 'M

Die, Ifi février.La température est douce

et Fou commence à e.$p£r r qu’ou nauru plus de grants froids cet hiv r. Lon espère voir arriver le printemps bientôt. Les jours sont considérablement aïlomrés, le dolcil est devenu plus chaud et cela met de la joie dans b s âmes.

—La saison des fêtes du carna­val est plus gaie que jamais cette année à Bic. Déjà placeurs euctiro ’>arty, thés», ont etc* donnés depuis le comnu net nient de Vannée, et d’ici au carême on se promet de s'amuser encore davantage.

—Mardi dernJer, le 10 du cou­rant. a eu lieu à la rési 1 i ce de M. et madame Alielnl Pineau une brillante réunion d’amis à F occa­sion de la visité de Mlle Oloriam Picard, de N« vr-B<‘dford, eifdt vaut du Bic. i.a dignité av -• laquelle M. et madame Pineau prisid rent cete tf )ir«c, jointe aux amabilités des membres de la famille, <» imd- tirliant pour entre tenir l'e ntrain, a provoqué plus d’une gracieuse remarque parmi les heureux invi­

tés. Aus.«r le.j jeux, la musique, la dans? la conversation sont resté* au diapason des grandes récep­tions. Bref, c'est un succès, disait- on. Au-d< Ubde 60 person nés y pas­sèrent une soirée <L ^ plus agréa­bles "'nironnée par un réveillon qui n’était autre chose qu’un splendide banquet. Les vins et les gAt^nux. les fruits diifposés dans un goût exquis présentaient un coup d’oe 1 magnifique appropriés à la circons­tance. il était fort taril quand les dames et messieurs r igné rent leur d.meun* endir.utcs de la bon­ne hospitalité de AL et de madame Pineau.

—Mercredi dernier le 11 février, courant, 50 personnes environ étaient réunie* chez M. et madame Lazare Camraunuel, de St-Fabien, pour fêter leur *vingt*cinquièine an­niversaire de mariage. Ai. Ernest Bellavunce, tailleur. j>n'senta à AL et madame Cammuniiel. une «thar mante adrt'sse ainsi qu’un beau set de vaisselle de 97 morceaux. De la part d<\s aAiis de St-Fabien, un joli set à Peau. AI. et madame Oanumu- nueî remercièrent en termes bien gent id leurs amis du magn ifique cadeau, et invitèrent lis hôt< ^ à se mettre à table, pour faire lion-

LES FEMMES DE TOUS

LES ACEStrouvent que ces pilules sont d’une valeur incalculable. Quel­ques doses vous mettront àl’aise régulariseront Ws conditions,et effectivement feront disparaître les causes de souffrances parti- lières au sexe.

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ueur à un somptueux repas. Le rote de la soirée a été pa*sé à jouer aux .art»s, danses » t chant, en somme soirée d#s mieux réussies, li » tait jour quand les invité* re­gagnèrent leur-: demeures.

Al. et muiaine Caminuuuel ae sont inultiplié* pour amuser leurs eotivivi* et e^^érons que » »*tt<‘ Jt - rée ne sera pas la dernière de ce genre à St-Fabien.

—Af. A. ALirtin, d» St-Fabien, était en visite par ici dimanche dernier.

Funérailles de la. Dis h. unasse

Hier ma un» ont tu lieu a Saiul-Roch, au uuucu d un fil uud CoU-cour» de juirent» et am i*p !e» Iuik-raiücj» de notre ret imé •lacitoycn.M. T. N. Chasse, marchand dctieur.

Le uotubre de bouquêta apirituclset offrande» de iiie*$<?a. expoei*dans U »b«inbre i iort uuiire, t‘t lenombreux cortège aill iaux funérailles, pr»>uve•nt bieu tn

Une garantie de guerison

Pour toutes sortes de maladies as rognons

Ndu* AOulignée, pharroacicnA, Aomints prêts a donner la garan­tie avec chaque IxmteiHe de 50 cU d» s j.astilks do racine du Dr Pet- lingiU pour le» rognons, le seul re- mède an monde qui guérit poaiti- vement tou* les troubVa résultant de faible^ae ou de maladie des ro­gnons :

*< L’argent sera remis avec p!*!* sir au malade s'il n’est pas Soula­ge après avoir employe une bou­teille. Trois à six bouteille* aecom* plissent des guérison* permanen­tes et ( louantes. Si vous n etc*

|pillez aucun argent.”

A. Leclerc, pharmacies, 243, rua St-»1 oseph, Québec, 1*. Q.

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quelle e«11nu- on tenait le dotant.Lo deuil était */omiuit par ses

jeunes fil», Alphonse et Alexandre, son gendre Wilfrid Gagnon, aes beaux-frères Onésime Pouliot, Ar­thur Bunau, Joseph N. BoUluc et I»uU Beaubien ; se* neveux, Louis Bolduc, Joseph Pouli'ôt et Raoul Bureau ; son oncle, Cyrille Du­quel ; fies cousins, A. C. Duqu« t, J. X. Du q uct, L Ihiqtr t. Xap. Du- qin t, Arthur Duquel, G cor g» s Du­quel et Alph. Talbot.

porti-ur*' de«i coins du poêle étaient Al AL Charles E. Koy* Oy~ rille Kirouae. Alirtxt Lufimdrc et Octave Poitias.

1-e service a ét eliai»vé par Al. l'abbé Bureau, parent du défunt, assisté des abbés V’ézina et Bib- deau, vicaires à St-Roch, commit diacre et sous diacre. Af l'abbô Antoine Gauvreau, quré <lc Suint- Roch, a fait la lcv«V du • orps et présidé au libéra.

A l'orgue, plusieurs morceaux de circonstance ont été très bien rendus.

A l'Fpitre. “A la mort'*, par M. Jos. Turcotte.

A l’Offertoire, * Miserere mei f par AL D. F. Bert rand.

A,la Communion, “U Meritum”, par AI. Théodore Dnbuc.

A 1*Absoute, ‘Musqu» s à quand”, par M. Hubert Mois an.

Vu l’aftlueiice considérable de citoyens qui a>sistait à ces funé­railles, il nous serait impossible de mentionner les noms sans en omet­tre une grande parti»*, nous nous contenterona donc d»* dire qu'elles ont été de* ’plus imposantes ot étaient dirigé»* par M. Hubert Moi** n.

L'inhumation a eu lieu au cime­tière St-Charles.

A la famille en déni] nou#r of­frons l'expresssum <1<* notre plus vive sympntbi»* dans îe malheur qui vi» nt de la frapp T.

Réélu maireAf. Alfred Liir.»»*!)» lie. pilote, s

été réélu à Funanimité maire de S t - AI ifj)» 1 de Bell»*chasse pour la huitième foî«.

— —

S»>irée pour l»1* pauvres nous 1»' patronage d»* Mgr H. Têtu, au pro­fit de la conférence St-Joseph, lun­di et mardi, λï 9 et 10 de murs.

SKI LEMENT VH SOI LACEMENT i

CNK ODERIfON

L ASTHMEI n grmud noiubr* d’asthmati-

quea décourugéa qui dvHirrut uim» guériaou ou iiièma un MouUgement h oui pas la foi voulu* pour e» ■ayer, croyant qm» la guériaon «al inipoAtibl*. ** Hunrod’a Aathma Cui. eat véntableiuout un grand remède et il poa>èi© une vertu inciiiiitue à mut autre remède — non sfulsitu'iit d soulage instan­tanément mais il suent.

Feu Sir Dr Morrell McKenzie, le p u* 'elebre médecin d Angle terre, ae a< naît coiiataiumeni de F" Hinirod’a Asthma Cure ” dan* »a pratique privée. Si vous èt«* découragé, demandex un géné reux échautillon gratia. Il ne voua déaappoiutera pas.

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Eu vente chez tou* le* pharma ciena.

La legende févrierUne jolie Irgcudi- aiigUi*c pour

appnudro eux enfant» pourquoi le moi» do février n a que vingt’ bu A ou vingt imuf jour*.— Février éta t au <• tnriH nr ment

du inonde uu joueur eurugu et p»* veinard.

Un jour qu’il •'était ruiné il vou­lut, comme on dit un c«tcIo, courir anrè» s»m arg<ut. Al ai s ootnino il n’en avait plu», il no trouva rien do mieux à proposer à mm» part»*- mlie

ttê baldtuel», e« nume c uj« U, queleur ce (1er un dib »e» j»[)Ur».Eauvicr et Mar» qui. • •n «ipittlit Avoisin» 1» » plu» proebe iétaientp.irt» u aire» eu question. •ci'ep-L

tèront l’enicu.Février perdit la partie, comme

toujours.. .et paya...Et voilà pourquoi janvier et

mars ont chacun trente et uu jours tandis que le pauvre Février nVn u «pie vingt-huit aux année* ©rdi-

* nnires et vingt-neuf aux blaacxti-le*.

AVIS

Avis publicAvis e*i par les iiréaeuceB donna que

J<»fieph Geoigc* LiBue, bachelier en médecine, de la cité de Québec, * edrev sera à la Legislature, a aa prochaine ma- aion, pour Fadoptiou d une loi aulori- aaut le collège des méJ<*cins et clnrur- g ena de la province de Québec à F ad­mettre au nombre de ses membrts et à lui accorder, sur présentai ion de non diplôme de docteur «n médecine, la li­cence nécessaire p»»ur pratiquer la mé­decine, la chirurgie et i art obatitriquo duns la pro* ince de Québec, et pour autre* tint.

L A. CANNON, Procureur du requérant

Québec, 20 janvier 1903. 21 1m

Est par le pre*eiir donné que demande sera faite à la législature de la province de Qnél>ec, à ta prochaine a**Ai>»u, par Herbert MoIeaw«>rtli Price, de Muiitmo roucy, œasiobiiaire de* droit* et pnv- légcsdeG »‘urge Ben*on Hall jM.ur l a dnption d’uue bu connudaiit en »«a fa­veur pour une périodede trente an*, le- droit* et privilege* accordé* au de George Benson Hall, par uu acte de la législature de la province de Québec, passé dana la trente huitième année du règne de feue Sa Majeaté Victoria, cha phr** , i onsant «.. ..i -e IVm* n H..il, à faire certain* ouvrages sur la nvière- Oh.iudiere et à »vis.:*r oc* droit* <l»i péage do ceux qui en feront uaitge et

pour autre» fana.L. A. CANNON,

Procureur du Kequé ran Québec, 20 janvier 1903. 21 im

CHARBON

La ÜucktT pi la

T A CITE DK QUEBEC donne avia I J qu elle t'adressera à la législature

do la province de Québec, à aa procliAine actBioit, pour obtenir des ainenuemeuta a sa charte d’incorporation ; pour être au- toritiée à empruntée une aouime n excé­dant pat cent mille piastre* pour élar­gissement et pavage de ruea t>t placea puVdnpies, travaux d’aqueduo, et autre* travaux et améliorations permanentes ; pour modifier la procédure dana certai­ne* matières devant la cour du recorder; pour définir lus droit* de 1a cité (plant aux poteaux érigé* dans les ruee, et quant à l’enlèvement du la neige dan* les rues, et autres objets.

PELLETIER A CHOUINARD,Proc, de la cité de Québec

Québec, 31 janvier 1903, 2fév lin

WELSH ANTHRACITEEn £ios e( en petit [Mceaui

Le charbon Welsh Anthr.v de im­porté par moi K Raison dernière, ayant donné satiHfaction, j'ai fait de* arrauge- ments p»»ur plusieurs cargaisons prove­nant des meilleures mines de Nvransea en gros et en petits morceaux, pour la prochaine aetton, et qui aura vendu en gros seulement aux plus has prit du marché.

f. cur^,

PERFECTION DU BUSTE

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oomplètes envoyé •Vatls adi lit* *fe la % t« (l. rttonlrant la leiaie avanl ai apr,NM 1 Hniplui du ».v»>>vtna t'ortuna- litres M*. r^iwiu. ni confldeiii latlaa fcitwyaa UU lies* bi c dana « mra «ati ra al adrasac*.

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et qui imitent nos annonces.**root tous les marc.

AVIS

QUEBEC17 fév- 31*5

Avis public est par le présent donné Que MM- Joseph EugeneDouville, niar* clund, Joseph Trottier. manufacturier, M u hel Adolphe Grandboia, niaichaud de boit, Adheltna Paquet, entrepreneur •ueuuisier. et autres, tous de 1a paroisse de Kaint Casimir, dans le comté de Port* neuf, s a inciseront a U legislature de la province de Québec, a sa ptochame ses* ■ion, jMmr deman 1er de constituer en corjioration de ville avec tou* lu* pou- v» ir* de la lot de* ditca cor|H>rati«»ii* et certxiti* jK>uvoire spéciaux po*» R régis iuténuure, une evrtaina partit» «b* la muniuipxliié tuiale du Haiiit-Caaimir, dans le comté de Pornouf, aou* le nom delà ville de Grandlxnaville.

La dite ville de Graudboitville coin- mentira les étendues suivantes de 1er- raina.

1* Au nord de la Kivièro Hte-Anne, cette (tartie bornée a l’ouest j»*r la ligne séparant les numéros 12u et 12fi du ca­dastra ; à l’est, par la ligne ••'(Mirant lus numéro* 180 et 187 ducadaatie , au nord par uiio ligne aumiul le* sinuosités de la rivièr# Ste-Aue, de|>uia la ligne limita­tive ouest ju«qu au point d’intersection de la due rivieie avec la riviuru Blanche et del k les sinuosités de la rivière Blan* che juaqu’k la ligne limitative est, k dix *r|KHits de la nv» m>rd dea dites rtvioreo, • t au »u l par la dite rivière Ste Anne et» de la dite rivière BUnche.

9* La partie de File aux Huron*, qui *o trouve comprise dan* lu numéro 193 du cadautre.

5° Au «ui'l de la riviùio Sainte Anne, celte j urue bornée a Foueat par la pr«»* priété uu Phiiéoa /cul Tessier inclusive- meut étant partie du numéro 79 du cadastre; a l’est, par la ligue léparant le* numéros f>4 et 53 du »-uca»tre ; au sud. par une ligne suivant les sinuosités de la rivière S.unte-Aune, sur toute *a lt>uguuur k travers la ville, k cin»} ar- pcnia du la rive nud de la dite riviere, et au nord par la dite rtvior» Sainte-Ann*.

4 Lus ht* do la imèto Blanche et de la rivière Sainte-Anne sur tout leur par­cours k travers U ville.

Québec, 31 janvier 1903.

•Philéa . CVuri vr.u

Avocat des ié«p * rants.31 i 1 in

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Page 4: Les fabricants de diaussuces de Oueiiec et leurs ouvriers

LE SOLEIL—18 Février 10034

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de Boston, est arrivé à Ponia Del- gada, Axorcà, Lier, pour y prendre plusieur# passager#. Fin sortant du port il est venu en collision avec lis steamer Ixia. H a été passablement enidünimagé ; il sera réparé de sui­te.

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Par LEONARD MERRICK

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No. 14.

—Far p.tié—dit Mtiurioe—lais* •ons ce suj< t ! Voue pouvez encore vivre vingt an», et j’espère de tout

mou coeur qu.* vous lai vivrez. Vous

aussi près de devenir priiice-con- sort que <le me marier avec elle.

— Mais pourquoi ( pourquoi f— de maTidu sir Noël,—qui fâchait

m’avez donné tout ce dont j’ava s p<*u à peu. Attendez au moine qu on besoin ; le moindre de mes désira, vous ait refusé, pour ino <ié#ap*

vouls J'avez rempli. Votre mort ne * pointer aussi cruellement ! La pen- m*n que du M ‘‘ r{‘ mariage nie tient aupourrait ih apporter

chagrin ; et c’est un vrai chagrin que vous me faites, toutes les fo a que vou» m’en par ez. Mai» écou­tez moi î Vous me demandoz d’en­trer à la Chambre : eh bien, croyez- moi ;e le ferais de tout mon coeur si je n’avais pas la certitude d’en être incapable. Vous me demandez de me marier... je crains que ma réponse, tout à l’heure, ne vous en air dit plus que je ne .p«n*a.*, Je Youdais dire, seulement, que voici

•eiques mois à peine, que je auis rentré ; ma... lib rté, avec Ica moyens d’en jouir, tout cela est si nouveau pour moi !

—Mot TU liberté f C éta t bon qua mi vous étuz à Londres ! mais la liberté ne doit pas avoir beau-

eceur dapub, longtemps. J’ai espé*| ré p'*u de choses dans ma vie ; i mais j’ai espéré de vou* voir un i tiL. Vous me refuse z tout ce que i je vous demande î J’avais de l’am- i Liticn pour vous, je rêvais de tous

faire entrer dans une carrière pu- . 1 lique. Vous prêt ?ndez que vous

n’y êtes pas apte : soit, n’en par- li ns plus ! Mais vous venez de me dire vous-même que voua êtes prêt à tout faire pour moi ; et la seule

! chose que j<* voies demande encore, vous me !a refusez ! C’est une chose que rien ne vou b empêche de

i m'accorder î Est-ce donc uu sacri- i fcc si terrible de prendre pour | femme une personne comme Lady

Hélène f Vous aller sans cesse (Hier elle ; vous avez amené sa mère à

coup de n* pour un homme qui, vous supposer dos intentions : al­lons. vous déciderez-vous i

—Je ne le puis pas ! dit Mau­rice—de grâce, n’eti faites paa une question personnell2 ! C’est une those impossible.

—Vous êtes entêté, dit le vieil- iurd, vous êtes... vous êtfs cruel ! Et vous «tvez fort mal agi ! Lady

Wrens ford ley va trouver que vous vous êtes mal conduit, et elle aur£ raison ! Allons, noas^n’en parle­rons plus !

II inj ota plusieurs fois le brns de son fauteuil, très vite, et se leva.

—Vous m’avez fait 5eaueoup d® peine ! A demain I

Maurice était encore très pâle, il eiit un soulagement à pouvoir

Liilin la vieillard omnantU, du , reBk-r seul, malgré le tour désa­le plus simple : I giéabl# que ne pouvaient manquer

—i^t pourquoi i ; de prendre les pensées. Obéir, c’é-—-Fouiquoi î Four mille raisons, fajt ckoae -absolument impossible,

mais dont une. seule su fit : e ^ot Mais il songeait que, pour la pre- que jo ne suis neu pour .Lady Ile- mière foi», un désaccord s’était pro-

lit comme vous vivez à present. Fas une fois, depiiii- trois mois, vous ne m’avez parlé <ie vous eu al­ler ! 11 me seu ble que voua vous êtes, au contraire, ben vite fati­gué d''6 moyens de. jouijr de votre liberté ! Allons, «oyez franc avec moi * vous me rendrez trè*» heu­reux. Vous allez souvent à Which- coto ; puia-j * espérer qu’un jour je vous verrai marié avec cette ’cuue til!e 1

—Dieu du cie), non, certei ! s’é: cria MaufitH.

Toute couleur disparut de son visage, et son c gare trembla en­tre ses doigts. Le coup avait porté profondément. Et il y eut, entre les deux homme#, un long silence.

ieue 1l.c ton de voix de sir Noel trahit

un léger retour d'espoir.—Mait» si elle consentait à vous

prendre pour mari t demanda-t-il.—A quoi bon raisonner sur des

tihoses impossibles t Je vous dD que je ne suis rien pour elle, rien du tout î Si elle se soucie de quel­qu'un au monde, «.e sera plutôt de son cousin, qui est toujuors à tour­ner autou; d’elle. Mai*, au reste, qu’importe f

—Vou«» pouvez lui offrir une très belle position, Philippe, et elle n’est plus une enfant Mais, dites toujours : et si elle consentait à voua prendre pour mari J

—Jamais elle ne voudra se ven- (qu'il avait pu être ca~u4 d’un dé- ëre à personne 1 Vous ne la con- sapointement pour Lady Wrenft- naissez pas 1 | fordley encore que, aprè* réflexion,

—S# vendre f mais vous ii’étos ( il sentit que ni le» manière* de la pas un Barbe-bleue ! et puis elle a jeune fille, ni même les siennes, n’a-

iluit entre lui et sir Noël. Il son­geât que sa conduite devait, en effet, paraître insensée. Kt peut- être sVrnouvait-il plu» encore de tout cela qu’il ne l’aurait fait si c’était d’une autre personne qu il se fût agi. Il eut un instant l’idée de satisfaire au moins en partie le

vieillard, en faisant sa demande avec la certitude qu’elle serait re­jetée. Mais il honorait trop Hé­lène pour #»e livrer, vis-à-vis d’elle, a cette comédie. Et fl se disait, eu outre, que cet acte d’obéissance ne résoudrait pas la difficulté ; car on lui proposerait, après cela, une au­tre femme, et qui pourrait consen­tir.

Il .souffrait aussi à la pensée

une mèrtx pour la cfcnaeiUer il Vous... vous ne pouvez pas man­quer de l’admirer, n’e*t-i« pai ? E#t-ce qu aile vous plaît î

—Elle est ttès belle,—murmura Maurice, embarrass*.

—Alors, où e»t votre objection ? Vous me dites qu'il y a mille rni- aons. et vous ne m’en donnez qu’une, qui n’a pas do son*. Voua dites qu’elle ne vers aime pas î

Mais, d’abord, qu’en savez-vous ? Et puis, on ne se marie pas seu­

lement par amour. L’a vie n’e*t pas un conte ! D’ailleurs, je ne la crois pas femme à aimer jamais quelqu’un passionnément î

—Je <rois que. là-de*ms. Tout vous t rom Fez ! dit Maurice. .Te l'imagine, pour ma part, très ca­pable d’un profond amour si elle trouve quelqu’un à qui donner «on coFur. Ma U, encore une fois, tout cela ne nous importe pas. Je suit

MADAMEHIPPOLYTE TREMBLAY

du Saero-CcBur. SaguenayNou» écrit U lettre suivante :À ML Dr Ed. Morin, Québec,

Jo ne puis m,empêcher de tous témoigner mon étonnement et ma grande satisfaction du succès que j'ai obtenu en teignant avec les TEINTURES BLBCTTUQUEB.

Je dit étonnement.—En effet, je n'avait jamais pensé obtenir de, si hellos couleurs au moyen de ces Teinture* Et ma grande satisfac­tion, ne pouvant mieux réunir dans aucun travail de ce genre !

Je ne puis trop admirer la ri­chesse, le brillant et le fini parfait que donnent les TE1NTI RE8 ELECTRIQUES, employées stric­tement d’après les directions.

44 Un tout pdtit coneeiï. ” à mes amies qui ont quelque chose à tein­dre.

44 Essayes les Teintures Electri­ques/*

gné) ’ ^ ^ IMme Hiflpoîyte Tremblay.

valent pu donner à la mère une es pérance bien précise. N’importe, il n avait pax été sage, il le voyait à présent î Désormais, il irait moins souvent à Whiehote ! C' était heu­reux que sir Noël l’eût mi» sur ses garde*.

lendemain matin, le vieillard 1 ac, lioijit avec une réserve très marquée ; et la hrfcehe faite entre eux se serait encore élargie satis I humeur obstinément conciliante du jeune homme. (TYâoe à cette hu­meur ils purent causer, à table, avec une certaine apparence de li­berté ; mai#, ni ce jour-là ni les jours suivants, le vieillard n*offrit à Maurirje l’occasion de lui faire sa lecture quotidienne. Evidem­ment, la résistance de son fils lui avait ét>£ très ft coeur. Maurice fut tenté de repartir pour Londres. Comme l’avait dit sir Noël, rien ne le retenait ft Oakenhwrst. Quin­ze jours durant, il se propos» de partir le lendemain ; mais le f^it est qu’il ne partait pas.

Tl ne mit pas U* pieds à JVhî !h- cote, pendant cr^ quinze jours ! mais, du moins, il avait ohanee ds la rencontrer ft Croft Court ! Main­tenant «cub-ment il se rendit c<»mpte de l'influence prodigieuse qu’elle avait prise sur lui : main­tenant qu’il «’interdisait d’aller la voir, maintenant qu’il errait aux alentours de Croft Court, avec l’es­poir de la trouver, en rentrant, as­sise au salon : mainteflant que. in­vité à dîner dans une mni«on voi­sine. U s’agitait impatiemment sur *a chaise, et répondait à pc’ne, parce que oelle an’iî nvait espéré retrouver là n’était point venue î Au bout de eos quinze tours. »! eut l’impression que r^ois «’étaient écoulés depnU qtj'î] l’avait vue. Tl s’ennuyait dans «a <èiambre dans le nam, sur les routes ; il s*en- nnvait partout,

A table le» morceaux qu'il man­geait lui restaient dans la gorge. Il se représentait soudain la salle à manger de Whichecfte, et il avait envie d’y rJbnnr. jetant nn vent sa résolution. Tl aimait Hélène î Tl n'oubliait pas ce qu’elle était, et ce qu’il était lui-même : mais il l’aimait. Par instants, d’enfantins et farouche» déiin •‘emparaient

m\~’rHr. J. ARflAND VERnETTE,

M dre).and Général. S t-Just in t P.Q

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Le \înS'M^e\est le Roi des toniques.

B K certifie avoir fait usage du Vin St-fllchel, et que ce vin est bien supérieur aux autres Vins toniques annoncés, aussi mérite-t-il sa grande et vieille réputation et son titre de Roi des vins hygiéniques. J’ai eu occasion de

constater qu’il était incomparable pour relever les forces abattues par la maladie ou la fatigue. En faisant usage du Vin St-Hichel mon appétit est revenu et ma digestion se fait maintenant facilement. Je crois sincèrement que les personnes qui prennent ce vin régulièrement évitent une foule de maladies puisqu’elles se tiennent le sang pur et riche. Signé : J. ARH AND VERHETTE,

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5 SS

de Itii, de» désir» de lui prouver son amour par quoique service héroï­que, de s’imposer de force à son in­différence, de mourir pour elle, â la condition «eulemckt qu’elle lui en sût gré. De toutes les complica­tions qu’il avait imaginées, pen­dant sa traversée, comme pouvant résulter de son aventure, pas une seule ne gâtait produite ; mais voi­ci qu il était écrasé par une chose dont jamais il n’aurait même con­senti à admettre la possibilité ! Tl ne pouvait pas jouer plus long­temps avec les mots, uî «’aveugler davantage : il aimak Hélène au­tant qu’un homme peut aimer la femme qui incarne pour lui le monde tout entier ? Et. mainte­nant qu'il s’en rendait compte, son devoir était de séloiguer au plu» vite.

Ce n’eist point, non plu*, par un eonupromh» avii «oji devoir quq. la veille d* son dénart. il se rendit à W hieheote pour faire «es adieux. Omettre cette formalité, étant don­née* le* circonstances, eût été d’une impoli tea g* par trop flagran­te.

Mais quand le valet lui apprit que Lady Wrenforcfley était sortie et que Lady Hélène était seule au salon, «on coeur bondit de joie à la pensée de cet heureux hasard.

jeune fille était seule, en ef- f^t. Elle s'occupa*t à arranger des rteur« dan» un vase. Il s'«5«it près du feu, et regarda curieusement le» mains qui triaient et mêlaient le» fleurs.

—Ma mère est allée chez 1rs S», vile, dit-elle, mai*» elle ne va point tarder à rentrer. Je* me suis sentie trop pan - « use pour sortir nved elle. V\st-ce pas que ces fleurs sont jolies ?

—Trè^ jolies »! dit-il. Et j’aime la manière dont vous en tirez quel­ques-unes pour qu elle# «oient plu» hautes que le reste. Est-ce quelles touchent l’eau, comme les autres %

— Mais certainement, *0110» tou- chrnt lean ! Je laisse exprès les tiges plus longues. 11 fait froid, dehors i

— Oui, non,—dit*il,^non • î Et où allez-vous metttre ce vase, avec Isi fleurs ?

—Toi, dit-elle, aur la bibliothè­que î

Elle aouleva soigneusement îe boiiqiipf., e.nijra se. main, à son mouchoir, et s’assit.

— Eh î bien fEh ! bie'n î dît Maurice, dites-

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LE SOLEIL—18 Février 1903ELK PUBLIC CAPITALISTE CAKADIBN EST HESPECTUEUSEMFNTT PRIE DR LIR

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DES SOUSCRIPTIONS SERONT M AINTINT REÇUES POUR LE NOMBRE UAIITÊue ôo.ooo ptirrs de capital-actions de la

British " __'L Wheat Raising Co., n™A LA VALEUR AU PAIR DE $5.00 CHACUNE!

(Constitute en corporation sous les lois de la province dontario.)

SPORTCe soir, la jeule entre b

Crescent et le Québec IILes mascarades au patinoir

de la Q. A. A. A.

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Lynch accepte le défi de Dubé

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DIRECTEURSJ. RICHARD BROWNE. Ecr., Capitaliste Président, Montréal, Can.

FAITS DIVERS

HOCKEY"

H McHENRY. Ingénieur en chef du chemin de fer Pacifique Canadien ioi■ION. T. CHASE CASGRA1N. C. R. M. P........

HON. T. MAYNL DALY, C R.. Ex Ministre de V Intérieur. Dominion du Canada Win JOHNSTON, de Wm Johnston «V Co., marchands d’instruments AratoiresHUGH TL CAMERON, Agrent d’immeubles ................COM J. U. GREGOR1, Agent du departement de la Marine et des Pêcheries ..

Montréal, Can. Montréal. Can.

Winnipeg, Can. Winnipeg. Can Quebec Can.

Winnipeg, Can.A la fermeture de cette souscription, deux directeurs anglais seront choisis, comme représentants

pour les & -•HAS. F. LAKE, Trésorier, Montréal, Can.

K»pour les souscripteurs du stock en Angleterre

. H. JOLLY. Surintendant Winnipeg. CanWm.

BANQUIERSLA BANQUE DE MONTREAL, Montréal, Can»LA BANQUE PARR'S. Londres, Ang.

PROCUREURS'iJACDONELL & BOLAND, Toronto, Can. WILLIAMS & NEVILLE Londres, Ang»

AUDITEURSHARRY VIOEON, F C. A., Edifice de la Banque Impériale, Toronto, Ont.CHANTREY, CHAMTREY & CO . Londres, Ang-.

PROPRIÉTÉ DE LA COMPAGNIE

Cfc.te compagnie a acquit 10,000 acre# dt terre à blé les plus choisies de l’Assiniboine, Canada, ayant pavé aux pro­priétaires, en outre de l’argent comptant, t>Q,UOO parta de son capital-actions, en retour desquelles les propriétaires pour­voient complètement la propreté de toutoe lea constructions nécessaires, de charrues à vapeur, de machines à battre ie grain de aetuencbs, de chevaux, de voitures, d outils, de clôtures et de tout ce q^i est nécessaire à la culture de ces 10,000 acres de terre. De plus, la compagnie doit payer à la compagnie de chemin de fer du Pacihque Canadien et aux autres vendeurs des dites terris $50,000, <*n versements annuels de $10,000 chacun, telle étant la balance du coût d'achat.

Ces terres peuvent produire, en moyenne, 30 boisseaux par acre, du meilleur blé de l'univers, c’est à dire un total de 100,000 boisseaux par année. Vu la nature riche et féconde du sol canadien du Nord Ouest, ce produit peut être doublé thaque année mdétiuiuient. La propciété <W la compagnie sera toujours pourvue de tous les plus récents appareils per­fectionnés, tels qn© les charrûos ;l vapeur, le» semeuses, les machinée à lettre le gram et des machines nécessaires pour pro­duire ie blé au coût le plus bas. La compagnie a l’intention d'avoir ton pfopre élévateur, d’une capacité suffisante pour einnuopmiser tous ses produits, atin de pouvoir ainsi prendre avantage des plus hauts prix du marché. Le marché du blé est comme le marché de l’or~il est illimité.

La compagnie a aussi une option sur 10,000 acres additionnels de terre à blé du même genre que les 10,000 acres ci- drssus mentionnés de l'Assibcine, Canada, la propriété étant située k sept millet du chemin de fer du Pacihque Canadien, où de vastes élévateurs sont prêts a recevoir les produits.

C’est un placement qui augmentera en valeur avec le temps, non seulement en vertu de l’immense production du blé, tuais «usai grâce a U valeur des terres de U compagnie croissant d’année en année.

LES PROFITS APPROXIMATIFS DE LA COMPAGNIESont estimés comme suit :Le rendement moyen du blé dans l’Ouest Canadien varie peu sous toute» les conditions. Dans quelques années U

moyenne a excedée trente-cinq boisseaux par acre. En plusieurs cas particuliers le rendement s’est élevé a 45 et même 55 boisseaux par acre. Mais si l’on prend la plus basse moyenne, il n’y a pas d industrie produisant de meilleurs bénéfices. Grâse aux machines a vapeur et aux méthodes économiques modernes employées pour récolter, moissonner, battre et trans­porter le grain ; grâce aussi à la facilité jiarticulière avec laquelle se cultive le blé dans les prairies de l’Ouest canadien, on réalise toujours des profits splendides Le coût de la culture d’un acre de blé est évalué par les fermiers et par les experts à environ $5.00 par acre, et il y a eu dans les dernières années dos cas où l’on a réalisé $35.00, moins le coût de $5.00, ce qui formait un profit net de $30.00 par acre.

Ci»inclus une es*imation rigoureuse et plutôt poasimiste des bénéfices de la compaguie, d’après des donnés beaucoup au-dessous des chiffres déjà cités :

BILAN ANNUEL APPROXIMATIF10 000 ACRES A 30 BOISSEAUX DE BLÉ PAR ACRE - 300.000 BOISSEAUX, VALANT. RENDUS AU

CHEMIN DE FER PACIFIQUE CANADIEN, 60c. PAR BOISSEAU ............................................................ ff80.000Coût du labourage à la vapeur.................................10,000 acres à $1.00 par acre............. $10.000

“ du hersage............................................................... " “ ’20 “ 2,000“ de la culture ........................................................ “ " ’40 “ 4,000“ de la semence.......................................................... *# “ ’00 *• 6,000

des semailles..................... ...................................... " “ ’22 “ .............. 2.200“ du bottelage................ ........... .............................. M “ *33 " 3,300•« du battage ........................................................ . M ** 1.26 " ...••••• 12.600•• des accessoires, tels que la détérioration des machines, etc, 20 u ............... 2,000Salaire annuel du gérant général ................................................................................................ 3 000Commis, dépensés de bureau par année ................................................................................. 6,000

Paiements annuels différés sur la terre ....................... ................ ...........-s.............Dividende de 15 par cent par année à payer ........................................................Surplus estimé, apres paiement des divide do .......................................................

ESTIMATION DES PROFITS NETS ANNUELS

$50.00010.00037.60082,500

$180,000

On verra qu’aprè* avoir payé !©• dé|>enae* de la culture du blé sur 10,000 acrca, dépenses évaluées à $50,000 par année, et qu’après avoir payé $10,000 par année au chemin de fer du Pacifique Canadien (durant 5 ans) en paiement annuel de la proj on compte obtenir un profit de $120,000 par année, c est-à-dire 20 pour cent par année sur les actions émisea.

ACTIF du trésor

Après avoir payé las 60 000 p.arts aux propriétaires, pour les tarres et après avoir défrayé le coût des améliorations et de l'équipement, la compagnie a maintenant encore 140,000 parts dans son trésor, ces parts étant réservées comme Fonds du Trésor. Cinquante mille de ces tiarts sont actuellement nfterte* pour être touacritvs au Canada et en Angleterre, et elles vont être vendues en vue de profiter de l’obtion et d’aoquérir les 10,000 acres de nouveau territoire à blé, l'outillage requis pour les exploiter ot le capital nécesaure au soutien de l entrepnsc.

(ira e à 1 acquisition de 10,000 acres additionnels, ce qui permettra à la compagnie de posséder et d’exploiter 20,000 ~a» ep tout, le» pi fit» seront plus qne doublés, c est a dire qu’ils excéderont 40 p. c. sur les 110.000 parts du capital émis.

Li lu lance de 90,000 parts sera réservée a l’actif de la compagnie et elle pourra être vendue, au l>esoin. pour étendre“e U compagnie. DIVIDENDES

Des dividendes annuels de 15 p. c. par année, estime t*on, pourront être payés à tous les six mois, le 1er décembre et le 1er juin de chaque année. En outre du montant payé en dividendes, le surplus des bénéfices sera accumulé, et il sera soit partagé entre tes actionnaires comme dividendes extraordinaires, eoit employé à l’achat de nouvelles terres à blé, soit icstiné a quelque autre usage devant être plus tard déterminé.

L’OUEST CANADIEN

devient rapidement l’Eldorado de U Grande-Bretagne. Ses terres a blé produiront plus de richesses que toutes les mines d’or tt de diamant de l’Empire. Jamais une récolte n y fait défaut ( Voyex le rapport de l’hon. Clifford Sifton, Ministre de l'Inté­rieur du Canada, rapport dont on publie ici des extraits). Le blé de l'Ouest-Canadien est bien connn comme No 1 extrême­ment dur, ce qui est la meilleure qualité de blé du monde, et il pousse beaucoup plus abondamment que le blé des KtaU-Cnis. Lesous »"!. durant la chaleur intense de l’été, est maintenu humide par la fonte lente des profondes gelées d'hiver, l'humidité montant à la surface et rafraîchissant les racines du grain tandisqu’elle stimule la végétation et produit une récolte abondante.

ON DEMANDE DU BLE

L Angleterre seule demande plus de 160,000,000 de boisseaux de blé par année, et les autres psy* européens en exi­gent environ 260,000.000 de b asseaux. La plu» grande quantité de œ blé est fournis par les Etats Unis, mais il est d’une qualité inférieure à cc’le qne peut fournir et que fournira le Canada. Le chemin de fer du Pacifique Canadien passe à uns courte distance des terres et il fait tout son possible pour Lvorise. le développement de la culturs du blé.

UN BON PLACEMENT

Cette compagnie a an avantage sur d'autres entreprises Industrielles par le fait que tandis que les béné­fices de la compagnie nrovenant de son blé augmenteront constamment et feront monter les prix des parts de la compagnie, les terres de la compagnie acquerront du prix sans cesse, ce qui créé une double source de valeur.

Il n'#*st dans i© ni«mde commercial aucune nflaire aussi profiuble que U culture du blé, et le placement set aussi sûr que les obligations de chrinin de fer de premiere c asee. pour ù raison que les terres et les améliorations de l^coinpagiie sonttoujours une garantie p-mr ses parts, en outre du fait qu’elle peut récolter des moisson» très rémunératrices Le champd’opération de cette compagnie est illimité, vu que le surplus des recettes peut être employé à l’acquisition de terres à blé additionnelles, augmentant par là les ressources de la compagnie et diminuant la moyenne du coût de production.

(iiâec a la valeur intrinsèque de U propriété de cette compagnie, et à U perspective d'immenses revenus, le prix de cce parts augmentera tau» doute rapidement, et nous croyons avec confiance que 1a présente émission de 50,000 parte sera plus

-riment ..u^riu,. CONDITIONS D E LA SOUSCRIPTION•

Le plein montant de $5 00 par part doit accompagner l'application. On se réserve le droit d'allouer un nombre de parte plu» petit que celui souscrit ; dan» ce cas la balance de 1 argent sera remise avec les parts aUeuéea.

Une application sera faite pour établir ces paru aux Bourses de Londres, de Montréal et de Toronto d une façon régu-1 er€ L'ARGENT PEUT fit RK ENVOYE PAR MANDAT POSTE, PAR EXPRESS, PAR LETTRE ENREGISTRÉE

OU PAR CHEQUEAdressez toutas communications, y compris toute application pour part à la compagnie.

a. r. McDonald & co„Bâtisse Bauuue Hochelaga,

QUEBEC, QUE.LONG DISTANCE TEL. 1227.

CWt cc soir que lo Crc>cent et L* Québec II jouteront, un pati- noir Québec.

Comme d’huLitudc, la rencontre de ce* deux clubs sera intéressante. 1 ou» li*» joueurs xe sont préparés avec soin depuis plusieurs semai­nes.

Le Dr Henry', du club West- mount, a été nommé pour arbitrer cette joute. Elle suscite l’intérêt <J*-a amateurs particulièrement parce *ue le Crescent se trouvera sur un pied d’égalité avec le club Troi*-Rivières, s’il est vainqueur, ce soir.

• • •

Le tableau ci-dessous indique les position* des clubs de la ligue senior :

O. P. A jouerMontréal. • •••.41 8Ottawa. •••••52 1Victoria.......................4 2Québec.................... . 2 3Shamrock.................... 0 7 1

a * #On nous informe que la j«»ute

entre l’équipe de MM. Goulet & Garant et c'en© de la John Ritchie Co. aura lieu au patinoir Qu'l* c,le samedi soir, 28 du courant.

• « •

New-York, 18.Une équipe représentant I’tini-

Vorsité Queen, de Kingston, ft rencontrée av.'v l'Yale, hier soir, et elle a remporté la victoire, par nuScore de pi de.

Le jeu fut très ra-

BILLARD.New-York. 18 fér.

Wilson P. F os», de Haverstraw, N. Y., a gagné le riiamp^onnat de lu National Association of Ama­teur Billiard Players en battant K W. Gardner, de Pc - une, N. J., par un score de 300 à 140.

La pins longue série de Foss a été de 73 .points et moyenne de 15, tandis que la nïfiUeure série de Gardner ©tait Je 38 et ra moyenne de 7 16-JD. Le.» deux joueur.» étaient égaux vendredi eoir aprr» la demure partie du tour­noi qui a eu îlfu au Hanover Club.

PATINAGEEnviron deux cents personnes

CETTE PERIODE D’ACTIVITÉ

Provoque la course des dyspepti­ques Les tablettes de Dodd pour la dyspepsie viennent À leur i&de.Voici la période dVmpre-»ement

et de précipitation. Les homme» ont rarement le temps de manger dan» la précipitation après la con­quête du dollar évasif. Us avalent simplement leur nourriture. Il» n’ont pas le temps de la mâcher même. C’est à peine s’il» ont le temps d’annoncer les premières douleurs légères, et Je malaise qu’ils ressentent, que le» avants-woureurs de l’indigestion «ont là

C'est l’âge de la précipitation, et toute la grande famille humaine devient de plus en plus sous le «cup de la dyspepsie. 8ous lo« circons­tances, le corps humain née»**- sairenient détérioré. Les dent» dé­périssent et une cmifaine de den­tistes deviennent riche», et bien dew gens virent malheureusement pendant quelques jours, et la sali­ve va de plu» en plus s'amoindris­sant. L’e»t> mne doit avoir du ge- cours. ou bientôt il faiblira dan» se» fonction». Afin de donner cette aide à l'estomac, cV»t l'ouvrage vi­vifiant de la grande découverte de» Tablettes de Dodd pour la dyspep­sie.

Haver-vous ce qu’elle** peuvent faire If Demander à *eux qui le sa­vent.—A ceux qui en ont fait usa­ge. H-Hfitchsaon, d* Chatham,Ont.,

employée», et il dit :“ Je dois avom r que le plu»

grand bienfaiteur en fait de re mode, que j'aio jamais reçu et qui m'a soulagé, a été' le* Tablette^ de Stuart pour la dyspepsie. Je souf­frais depuis longtemps! «le dyspep­sie, quand un ami m’envoya une boit* de Tablette* de Dodd, pour la «lyspepsie, et dès que j'ai pris la première, je ressentis du soulage­ment. Je les garde toujours près de moi, et si toutefois, ma nourri­ture me rendait malade, je Serai» prêt à en prendre une ou deux de ce» Tablettes, et je serai certain de m’exempter de» effets malhen- renx de rindige«tion.

“ Tout ce que je pui» di e. cV»t qu'un homme e*t bien insensé, a’il résiste à souffrir de dvspepiie, quand il peut si facilement «e gué­rir en faisant usage des Tablettes de Dodd pour îs dy«pep•ie.,,

costumée» ont patiné au patinoir de lu Q. A. A. A., hier soir. Cette, maift arude a été très intéressante.

Un excellent programme musi­cal fut exécuté par la fanfare qui joue habituelleuu ut à «t* patinoir.

Le» costumes étaient riches, prnoipalemeut ceux de» dame*. Dix patineurs anuonçaût le» cigar*'» Polo donnèrent une belle ejtbibi-

i tion de patinage de fantaisie. Ce»' {aitiiieurs étaient ?ous la direction

de M. Ixmi'v Tru'dcî.Dan» la soirée de mardi pro­

chain. une autre* masi’arude aura lieu au patinoir d«* lu Q. A. A. A.

LES ECHECSDans la quatrième ronde du tour­

noi international d'échecs qui a lû*u aotuelhmeiit à Monte Carlo, h * joueurs ont éprouvé plus de sur­prises qu'il» ue s'y attendaient. Les réfultats de cqjje rondjft furent

ceux-cil ïAfiesea vain fuit Tauboîihflin en

44 coup» ; SoblccUu’ disposa égale­ment de Terra s', h en 2t> coup» ; Albin en fit amant do Moreau, api'è» quarante coup» ; I*iIIsbury triompha des Marvo, en 38 c<aio» ; et Ai,'irshall «lut baisser paxiHon devant la jtu supérieur de Wolf.

partie Mason-Reggio futajournée.

ITGIIJSM BLynch a*-cepte le défi que Dubé

lui a Juncé. il est prêt a taire ot »i sign* r h -» coiidMiulLs nét.e sain*» ]>our une exhibition.

Routhkr nV»t pas le socond d** Dii'l*', comme la rumeur a circulé, ces jour» derniers.

« * •La police a l’intention do s'assu­

rer jes bases légales de» chai*» «lo Boston qui ont récemment organi­sé d« s tournois d*i pugdat. Do nom­breux mandat.» ont été émané» contre les promoteur» do ce» batail­les. Côntso le» pugiliste* eux-mêmes

et contre les gens qui y ont pris part comme offh'ier et dim*teurf. Ces mandats *itit été signifiés et le* accus/» ei*mparaîtront en cour cette semaine.

Geo. (»ar*ln< r. do Lom<*1I, ef Al. Wciiiig, de Buffalo, qui æ sont battus vendredi soir, au Mftwerick Club, sont au nombre des mis en c&tis«\

• • •

Boaton, 1S fAv.Le.» clauses d'une CfUiveiition

pour uhe rfik'ontre de Ben Jordan avec Terry McGovern, le §oir du Derby, au National Sporting Club,

à Londres, ont été reçue* ici. <’r*< cIauscs ne sont pa» sigiuVs, et elle» mentionnent que l«v* g^siits «h vront peser six once» la paire. I>* gérant d* M«4 hA-ern «*xig qu’il» ;»oU4tt «l»i eiir<| onces, selon le»

# • *

15 avril prochain, au club ntl iétique International de Kojtt Erie, une exhibition limitée à vingt romles sera donnée par K id McCoy et Marvin Tlart.

TROT ET AMBLE.Ottawa, 18 fév.

Il n'y a pas eu de course* entre chevaux, hier après-midi, parce qu'il faisait trop froid. Ia> ther­momètre marquait 10 degrés au- dcssoti» de réro.

LingorioNV.tîc grand* vent*» de Ifûgeri*

blanclve commeneera demain. Rien n’igsle 1* quantité et le fini.

Faguy, Lèpinay A Frère.10—jno

Les catholiquesaux Etats-Unis

D’apn « le Cntbolio Directory «le l'année 1903, d y a aux Etat*- Unis 11JÎ89,710 j* r«onn« * apporte nant à la religion catholique, soit un septième «h* la population. Hi on ajoute à ce nombre «'cjui «le« ca tholique». sujet» américains, qui ee trouvait «lan* h*» différent#* co­lonie», on atteint le chiffre de 18,653.951.

La iKrpulstion cathoJiqne des co* lonies est la suivante : Philippine*. tî,5(#5t998 ; Hawaï, 33.0*10 ; Je» île» Namoa, 8.fJ00; l’îU» «h* («uam. $/)UU. et Porto-Kieo, 95934$.

I>a pop niât on «le» Etats-Unis et de ses colonie* étant de 84.231$,059, et le nombre «1«*<n <xth«diqnc« de 1$^853.951, il en résulte que prè» d’un quart ide cette pcrpiihition appar til* nt à la r«digion catholique

Il y a aux Etats-Uni» 1 cardinal, 13 arehev'qu*-» et 86 évêques, et le» chiffres ci df ^uu». au sujet de Js population catholique, ont été éta­bli* nar le* évéquea de ohm]us dio* cès#*

Une salle de réfréation aérienneCVst naturellement à New-York

qu’elle se trouve.Ou peut voir, en effet, dans D

( Mad ison Avenue, une maison dont I lo toit supporte une élégants cons­

truction en ter, boi» et verra, à peu ■ près analogue à un atelier d’ortiàts.

( *’tt<* pièc»* vitrée est dcatlués s servir «W pr. au ou de sails de jeux pour enfant».

Il paraît que cotte tentative in- i génieusc a été couronnée do aucoèa.

A mie telle haup ur. l’air «*st pur,; le lumière abonde, et la m^ourité

plu» grande que.Uau» le» rue* ; «m no saurait demander davantage.

Déjà, est c'sai original trouve «Je» adept#**.

A la Société américaine do po «liâtr.»*, un M I*. Northup propos* d'établir dam les grande» villes d*- pféaux de ce g. nro sur tous Ica

toit».S* cette Tm<ure *»• généralise,

combien seront à plaindre le* in­fortunes locataire* qui auront leur*

appartements au-d^sou» do c#*» préaux !

Au bal «h* l’Opéra.Deux messieura se disputent.

Un fioutiiot est donné.1 monsieur, irnppé -Voua m’e®

rendre/, raison. Voici ma carte.J/autra, très ennuyé de sa viva*

cité J« ms puis vous donne* U ai* ntt a.

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k:üara. Vau*a |<*r \onm lea pit**. «t%(4euN et «skiaia.A II MOI IC «V * OUi'AUXfK,

Oatrax»

Pages d’elbiiinLa joie, c’est la vie à travers un

rayon.Carmen Sylva.

et*En France, excepté Ica bas4>leu.%

toutes les f*mines ont d* TcHpiÎL Mme de éiirurdin. a * *

Tx‘f affligé» reçoivent qucl<p]*sculagcmicnt lorsqu'oii prtiioi part

à leurs affliction».• • e

JRv3/

Ordre de RégimentTA H LU

iti-Col, 1, [naniufel, 1,0, C,Comdt, 9e Régi, V. Q.

Québec, i; février Iffit.I e» So«i-»m. iera fteoMata du se K|.

HÏImIl fair* P*rt|# (lesL *«a iiililt aire* à ; a i aqtiett • «ioua ladir^-uoij i f i,. 0,>„1,,U|fl,|MI„Mrjl (t|l ^ uJ ° °- r * Pourront avstr

ura unlfoiiiiee et a • aaiiIremonte en a adressant 4 leurs « apltal... «. lanrcredl

v« !*iir«wll pru^ tmiue, a « heurse. su iiane^e. 'l’er ordre.

JOB. T. UUELLBT. Oapt. ut* A JJt, -i© itégt,, V. g,

u;.m; au couptast

qu’un*Un* ps-aséc de jeune l àg« mûr.

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148

Page 8: Les fabricants de diaussuces de Oueiiec et leurs ouvriers

8—TROISIEME EDITION LE SOLEIL—18 Février

NOUVELLESD’OTTAWA

LA COMMISSIOM INTERNA­TIONALE

IDc MmMeAduii du * MuDM

Ottawa, 18 fev.Sir Wilfrid Laurier • ui»c

lettra du a^uateur lairUaTik* lui fcngE»-r*nt de réuuir U Commiaiion internationale au couiiueiic^'in^ntde mart.

Le premier ministre • répliqué qu'on lie i>ourait pae reprendre le§ triTaiiTE de cette commission tant que la question de frontière d A- Lska ne serait pas ré*rl/e. De plu^» ie parlement fédéral est sur le point de «’assembler, et «omme la iession si*ra probi blenient longue, t s membres du gosiywnement ne rrout pî*s libres avsqt

Une belle fêteau Kenl House

Une glissade féerique à laquelle prennent part

cent vingt et uo couples

Cent vint et un couples ont prî* part hier soir A la gli %ade annuei- Ja, au Keivt Hou»?, organisée par les employés de la Qu eh* S Kailway Light àc Power Company, I/au- cionno résideive du Kent House n'avait jamais été décorée avec au­tant de goût auparavant. Tous les abords de cette habitation princiè- re étaient éclairés au moyen de lampes électrique» et de lanterne chinoise*, qui produisaient un ef­fet féerique et mettaient en pleine lumière les glissoires russes et les nombreux couples qui s'y étaient donné xendei-rous. '

Le président de U compagnie, Andrew Thomson, et sa «Lunilîe, M. E. À. Evans, gfrant général c*t sa famille, M. .1. A. Eve roll, surin- tenéant et sa famille, et tou* I#4* principaux officiers et leurs fa­milles assistaient A cette charman­te fête, ainsi que plusieurs con- duetears, garde-moteurs et autres employés.

Lia salle de bfcl avait été décorée 3e drapeaux et de bouquets par la maison Glover, Fry & Oie.

lies tables de la salle à dîner étaient nourertes de mirai ftias©- mf^nta alléchants.

Glissade.*, sauterie, rafraîchisse­ments délicieux, rien ne manqua pour assurer le succès des amuse­ment* do toute la nuit, et le gérant du Kent House, AL Baker, sut, comme d'habitude, par sa courtoisie et son xèle, s'attirer les

^félicitations les plus cordiales de t<uit ie parti.

Le comité chargé d?organi*er cette fête «e composait comme suit x

MM. J. A. Everell, président ; J. B. Blanohet, vice-président ; A. P. Doddridge, W. l^ongford et K. Jelly.

J.a fête s*< *t prolongée jusqu’à qe matin, et tous qeux qui y ont pria part n'ont eu que des félimta- tions A adres^^r nu président et aux autre» membre» du comité, pour lo succès éktlatant qui a col»’ rotmé leur travail.

UN REGAL MUSICAL

Les membres du Club Musical des Dame* ont eu un véritable ré­gal o* matin.

C’est peut-être le plug grand sue- cèt* de la ta «on.

Madame Pacaud et mademoiselle Dionne en étaient le* organisatri­ces. Mai* c'eet surtout mademoi­selle Dionne qui, par «on xêle in-tolligent, a contribué à pan il suc-c'a.

Void le programme qui a été exécuté tL Massenet.—Ouverture de Phèdre.

Duo de pianoMlle Dionne et M. Beaulieu.

2. Bemberg.—Croupir. .«Solo VocalMUe La berge

8. Bohin.—Host die ini<*i\ iieb ?... ■> ^ , V oual Solo

Mme Arthur Boulton.4. Duboia.—Scherxo et Choral. ••

Solo de piano. M. Beaulieu. •

§. Lalo.—Air de Margaret THoi d'Ya>. N. • • • .Solo Vocal

Mlle Bander.i. Vieux tempe.—A Romance. « «

W i«u.*iw«ki.—B Mazurka. . . . » Solo de violon

M. Gilbert.T Whitney Coomb*.—A Spirit of

the Summertime. •••... Ailitsen. — B Since we partes!.

i Vocal i/oloMme Arthur Boulton.

8. i iiomé.—A “Agitato”, m * ~/*odard.—B Le Bouet...................

Side de piano Mile Bender.

•. Cham n8«le.—Ecrin .Solo Vocal Mlle de Lorimier,

A )'AuditoriumOn a liane oé. hb r I chautfi-r

leuctdule de l'Auditorium. L épreu­ve des fournaÛKi à vai*eur instal­lées par les entrepreneurs Vaodrjr

. d Matte a parfaitement réussi, et en q-uclqut» D ure* une temfN'raUi- re très agréable s’est établie dans le vaste immeuble, ©à ]e frimas disparaît et les murs sèchent à vue d oeil. H faut espérer qu’on va maintenant pousser rondement la po-e des enduits. Loa ouvriers de Qu ♦'bec ont intérêt à démontrer qu 4» peuvent travailler aussi vite et aus«i bien qu'ailleurs. On nous cite A ce sujet deux faits qui prou­vent que la construction des théâ­tres est maintenant organisée pour i»! er très vite. Le nouveau théâtre du Russell, à Ottawa, élevé il y a une couple d'année» sur le# ruines incendiées du oremiar. a été com- niemv en avril et ouvert pour la première r« présentation le » sep- teinbre, en moins de cinq mois. M Painter, l’ar hitecte de notre Au­ditorium. a été appelé à Cleveland. Ohio, «-u septembre dernier, pour faire les plan* d'un théâtre un peu plus grand que le nôtre et sans co­lonne*. «y ,|„i nécessitait une struc­ture métallique plus compliquée. La première représentation y sera donnée le 16 du rard# prochain. En général, six mois suffisent pour construire un théâtre ordinaire en Amérique. Naturellement, fl faut ici compter avec les conditions par­ticulière* au climat. Le présent hiver est •sseptionnsUament ri* gnnreux, et fl est juste arnssi de dé­falquer la perte de temps qu’a né- ee.*vsitf«* Jo déblaiement du terrain, qui éta.'t depuis un grand nombre d année* un cloaque où s'étaient a^- e-mnidé» toutes sorte» de débris.

De vrais artistes

H nest pas étonnant que la salle Jaequesv’artier soit viveombrée tous les soirs. La oompagn.b i>tw'ra- tique, qui y joue avec une égale ai- s"i!H*e le grand opéra et l’opérette,

compte dans ms rangs des artistes erieux. Aille Carrington fait dans

t avalieria Rustieana une Suntuzza que j»- comparais hier soir très fa­vorablement de mémoire avec celle de la fameuse troupe de Mascagui elle-même, entendue l’automne der- niter A Montréal, Elle a tout© l'In­tensité de sentiment voulue pour donner une interprétation passion­née de cette musique à la foi» ma- irnéricnn© et italienne, dont le < •-

<‘hct particulier e^t la souffrance. 1»; douloureux et le navrant. Mlle

Glover est aussi Une artiste con­sommée dans »on "enre, chez la­quelle on ne sent nullement l'étude, et dont l'action est toujours fine­ment intelligente. M. Davies est un ténor admirablement doué et de

grande volée. M. Shelly était bien #n voix hier soir, et AI. Sylvain I>ariglo:s va de mieux en mieux. Il y a dan* les dur uns de fort belles voix, dans le» bit tes surtout. T»ès remarquée» aussi, la petite Butter­cup de Pinafore, et la Lueia de Ga­va lier-U. Ayaft lu partition de Maseagnî, sur mes genoux, je me suis amusé A constater la remar­quable beauté de diction commune à tous les principaux artistes. J'a­voue que je trembla s un peu pour eux A travers le» patte»* de mouche lu célèbre compositeur italien, sans orchestre T>our la peine, pour »up- porter 1<» voix ; mais le pianlfcta Reynolds *e lno|gy|g étonant dans ecs difticulté.s et Tait de# prodiges Ajoutons qu’à part quelques cou- pur*» dan» le» choeur», le» artiste» suivent très fidèlement la parti­tion ; dans de pareflle» condition d'accompagnement, c’est vraiment merveilleux. Pour le céb'bre mter- merzo, on e*t limité au violon de AL A. Véeina. qui **en tire très

bien. J'himerai* cepervlant plu* de mi mit e du doux au f*»rt dans la phrase répétée de la fin, comme Mascagni lui-même le fait exécu­ter par ion orchestre.

On nous promet maintenant le# Cloche» de Corueville, Oofié-Gi- rofla, le» Noce* d’Olivette. puis Carmen, autre chef-d'oeuvre pour laquelle Allie Carrington a prouvé qu’elle a toute Pétofe. A propoa, puisqu'on dit que vo\u avez étu­dié à Pari* et que vou» parlez no­tre langue comme une vraie Fran­çaise, pourquoi, mademoiselle Car­rington, ne (-lianteriez-vmis pas quelque <cho*e de français dans le» entr'actes f Savez von» que vou» feriez un gr, » plaisir A toute une,' population qui voué admire déjà «i f rancir ment 1

AVANT SCENE.

Un drameà Lebanon

Une jeune femme et un homme de police tués a coupe de revolver.

<S«rvic» d# la Pre-iae AmocU*.)

Lebanon, Peuu., 18.Un drame épouvantable s’est pas-

a© dana celte ville en présence U un grand nombre de person ne*. Mme ira Baker, âgée de ans, a été tuee par un nomme Dav^i Shaud, âgé de 2ô ans, qui, un peu plus laid, u également tué à coups de revolver l'iui des policemen char­gés de i’arreîor.

Aime Baker, à la tombée de la Uuit, se trouvait au torn d une rue, eu compagnie de «on mari et de pluxieur* amis, lorsque Shaud e’«»st approché dVil» et, aan« dire un rnot, lui a tiré une balle dans la tête. Lu'*assiti a’*vst ensuite enfui aan» être reconnu par les personne» présente#, mai» M. Baker soupçcm- na nu.ssitôt Shaud d'avoir commi* le crime. Oet individu, employé ehex ion beau-père, avait volé â ce dernier une somme de $:hr»0 et, mis en liberté sous caution, devait, pro­chainement être jugé. Afmo Baker était le principal témoin (laths cette affaire et il avait tout intérêt à se débarrasser d’elle.

Le.* soupçon* de AT Baker nV- faietif que trop justifiés, car lors­que la police »*e»t rendu© au do­micile de Shaud, ce dernier, <Dm- prenant qu'il était découvert, a f^it feu sur le policeman Cvru» ^(haffer, qui a été tué d’une balle au coeur, et a ensuite opposé une résistance déseapéréç nuk autre* polwmen qui ont réussi A l'arrê­ter.

Une belle preuve d’amitie

Quand la ayinputlno et l amifié règmnt entre putroiid ©t employé*, tl aes u-blo que lout va bien. Et s’il

4Ui‘h|ue chobe de beau, c tôt

xra fidèles cmpl de M. Pou-

Une émeuteau Theatre

Tout est mis en miettes

Les acteurs s’enfuient

<Btr?lc« de la Fi ms# Aaaoclè#.)

Elizab.th, New-Jersey, 18.Toute* ]«* réserve* de la indice

ont été appelée* au Jacob’» Tic a tre, où une Minute avait éclaté.

1 ne troupe quj paraissait «ur 1 affiche sou* Je nom de* “ Broad­way Burlesque# ” ayant été sifflée et huée par le» personne-* qui ae trouvaient uu théâtre, la direction jugva à propos de faine éteindre Ie» lumières, ce qui redoubla la fu­reur du public, qui envahit la scène et brisa tout ce qu'il trou­vait sur «on passage. Los décore, les ««lèges, eiç.. furent mi* en miet­tes, et ce n’est qu'à grsnd't-eine qu# Je# réserve» üe la poljoe, arri­vée» sur l-ea lieux, pu^-nt protéger h4* acte ci»» contre bi fureur de la foule et le» conduire à la gure* où il» ont pris le premier train en par­tance.

liot, de la maison Myrund & Pou- liot, «était donné le remlez-voua lundi dernier pour aller présenter leur* hommage* à Al. et madame Pou liot.

Al. Pouliot a rtçu avec beaucoup d’amabilité *e« employé#, et natu- relUment leur u offert la plu» largo ho'pilalité de sa .somptueuse demeure.

Ji y eut chant, musique, et la soirée fut des plu* agréable».

Madame Pouliot a fa’t le» hon* nuer» de ta mai*» n avec toute la grâce et le tact qu’on lui connut.

Af. et madam* O. Pouliot, dont un deuil récent le» empêchai* d v iitiustcif ont eu la gracieuseté d’envoyer une lettre ^le faire part à M. et madame Pouliot, regrettant l>eaucoup de ne pouvoir s’associer ce eoir-lâ A tous tes bravos em­ployés.

Somme toute, la soirée a été des plus charmantes, et le; nombreux am * .«.<» «tout retirés A une heure très avancée de la nuit enchantés de leur soirée.

Nous allions oublier qu'il y eut un magnifique goûter servi vers minuit, et force santés présentées aux aimable* dignitaires, M. et ma­dame Pouliot.

A SherbrookeAu concert donné ces jour» der­

niers à Sherbrooke, par madame AJbani, la grande et sympathique cantatrice a été l’objet d'aimables et flatteuses attentions, loi »<► iété St-J>ean-Bapti*te, durant le <i>n- ecrt, lui a présenté ^ne superbe corbeille de roses ; la Su fié té Cho­rale do Ste-f'eiile, une corbeille de fleur# artUtemcîit arrangées avec de* ruban» blancs, portant d’é- hgantes et symbolique.» broderies ; le Cercle Albani, un eolo-sai bou­quet de roses et d'oeilteta. outre plusieurs splendides bouquets of­ferts par quelques-uns des plus dis­tingué* citoyen* de Sherbrooke. Madame Albani était Ruéralenumt t xi verte de fleurs.

Tribunaux correctionnelsCOUR DE POUCE

Une enseigne de bric-à-bracLe défilé des femmes (b* mauvai­

se v e se continue devant la Cour de Police. Ve matin, Alphonsine Guérard, qui tient un bouge rue St-Dominique, eut venue plaider coupable à l'accusation de vente de boisions sans licence et a subi) le sort de# autres. Vêtue d'un costu­me de gala, les doigts < » les oreil­les disparaissant littéralement sous un monoeau ridicule de faux dia­mant*. ©île a fait s<in entrée ma­gistrale dan* le bureau des officier» du revenu. Elle ressemblait à une enseigne de brte-à-brac. Cette fem­me a la singuWre manie <b » gran­deurs et s’affuble de fragment* de vitre cassée dont elle s’orne le? doigis et te# ore’ll es et qu’elle fait miroiter aux yeux d^ tout le mon­

de. (Vite étalage de faux brillants ne peut suffire pour cacher la men­diante en habits noirs et a pour ré­sultat de faire resort t davantage son manque total de cœur et de ®en# moral. l>e plus, elle n'est pas toujours reopoiiHable de *?* acte*. I/» autorité» ‘rront cepen lant pas

eu pitié et ont mi* en ligne de compte le scandale quelle cause, dan* le popuî ut quartier Jaoque.»- Cart » r et lui font pay-r l’amende.

Elle» doivent en être félicitées.COUR DU RECORDER

P a.» un seul pri-on'er, ce matin, en <’our du Recorder.

PliHieua cause» concemont des propriétaire# aii' ôujet de l’enlève­ment de la neige du toit de leur propriété ont été entendues. Plu­sieurs propr.étair-a ont été con­damné» à l’amenda.

Notes sociales- ^îr Loin* A. Jettl Zêây

Jetté ont invité un certain nombre d«* personne* â lufteher pour ren- c(.ntrer Madame Albani, aujour­d'hui, à 1 h. ÛO.

—Grand dîner, ce soir, au Kt r.t House, donné par te# Knights of Columbus.

—La maison Z. Paquet demande 3 jeune# tilles expérimentée», pour «on départ ornant de papier-tenture.

(\>m&ai«*once de* deux langue» exi­gée.

ih—Jfj

Notes personnelles—-M. David ThibAUttean, repré­

sentant de la maison Ryle, Caoun- rouch Ar Go., de Montréal, est parti pour la Riviere-du-Loup.

—Nous apprenons avec regret que notre concitoyen, AI. Victor C’hâteauvert, est malade.

—Nous aj.prenons avec chagrin que l'épouse de Af. William Gun­ner. te beau-irère de Al. Thom Ijc- valléi». propriétaire du Neptune Imi. e*t gravemsnt malad*». Elle a reçu, ce matin, les dernier# sacre­ments de l’RgUte.

—T'ne lettre de faire part noua apprend le décès de M. Maetai G er­ra is. A Berthier. en haut ; tes funé­railles auront lieu demain.

—U docteur O. R Gauvreau. de §t-Ii<dcf* ' ^mté de Dorchester, e#t en cette ville.

—M. Alexandre Hardy, agent général de# passager* et du fret, aur te chemin de fer Québec et l^ic St-Jcan, en voyage depuis troi.» se­maine#, dana l’intérêt de ^tte c^m- Jagids, est d» retour /* oetts ville.

Chez nos pompiersNo» vaillants pompier# n’ont pa*

eu beaucoup de relâche, depuis hier. A peine il» étaient revenu#, glacé» de lu tête aux pied#, il* étaient ap­pelé», (v matin aux indicateurs 62. ver* lü heures, et A 114, pour feux de cheminée, Jx*» dommage» sont peu considérable#.

Ver* 1 heure, cet aprèe-midi, les pompier# ont été appelé* de nou­veau sur le théâtre de l'incendie de la Cote de la Montagne. I>a brigade, on te sait, a fait tout son possible, et elle est restée là jusqu’à ce que tout fut éteint. Cependant, ver» midi, une f unée intense s'échappa tout à coup en arrière de la bâ- tteac ci-devant (w*nrpée par Af. G. A. La fronce, relieur. On a lait de suite appel aux pompier», qui non! arrivé» aunsitét, et out dirigé de* jet» d’eau pour éteindre lo feu qui couvait dan* te» amas de papier. .

Iax* propriétaire» de* maisofis environnante» étaient sur le qui- vive, et craignaient que tout A coup le feu «e communiquât à leur» éta­bli*^ «mont». Avec leur puissant pou­voir d'eau, le* pompier* n’ont ps* tardé A éteindre le# flammes qui auraient pu #e communiquer.

—AI. P. llumcl, pomp i «t du poste Noô. en travaillant, hier aprèa-mi- di, dan* te» débris de l’incendie do la bâtisse de la Canadian F.xpreiN. a reçu aur l'épaule une poutre qui l'a blessé assez grièvement. 11 n été transporté ehe* lui et un médecin a été appelé pour panser scs bles­sures.

—Ce matin. AI. Jo*. Alereier, pro­priétaire de l'Imprimerie Commer­ciale, a pu, A l'aide de «e# employé*, pénétrer #ou* le* décombres de son atelier et retirer de sa voûte de sû­reté tou* #♦** livre* en bon état. C’est tout ce qu’il a pu atoîr du désastreux incendie.

A l'américaine.—Monsieur, vou# avez sauvé la

vie A ma fille ; elle e*t A voua, je vou# la donne I

—(> aérait avec bonheur, mon­sieur ; mais... je suis marié.

Qu’à o*iu ne tienne, vou# d»sor- 1 cores i

BOURSE DE MONTREALCoU04«mm («k ruWa par

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Nos broderiesVenez voir le choix que noua

avons reçu cette année. No# sets « u broderie surpassent tout ce que nous avons eu jusqu’à présent.

Faguy, Lépinay d; Frère.10~jno

Ods canadien ne qui pèse le poids

11 y a quelque# jour», une dépê­che nous annonçait qu'un© femme Allemande pesait 840 livres. On trouvât cela extraordinaire, et ©est vrai. Mais voilà qu'on nous apprend qu’une femme fie St-Roch, demeurant rue La berge, ptse 350 livre.*.

N'est-ce pa* que î# Canadienne surpasse l'Allemande f

— " - ....

Pour rireM. Prudhomme lit dans h *Vie

d'Fsope’’ que Ja langue est ce qu’il y a de plus prédtux.

( 'e.«t sans doute pour cela, ob- aorve-t-il. que le créateur l’a logé© dan# uu “pala’s” !

# # *Baptiste vient de porter une let­

tre chez un ami de son maître.—Eh bien ! as tu fait ma ‘om-

mî‘#ion î—Oh ! monsieur peut être tran-

qui-lle. Seutement, jamais de mon­sieur ne pourra lire la lettre ; il est devenu aveugle I

—Aveugle !... q.»e me ehante*- tu IA ?...

—Parfaitement. Quand je unît entré, il m’a dit ©mime ea : “Bap­tiste. que fai*-tu de ton chapeau Kt je l'avai# *ur la tête !...

CHEZ LE CORONERM. le Dr Belteau n’a p«« été ap­

pelé depuis quelques jour* pour cause de morts subite* ou autre*

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78,993 Knut Rd. Frykiyndlexakholm, Suède— Nféthode pour

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79,116 Heinrich Zoelly, Suisse— i uxome.

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québt'cquoi*.

Dans les chars électriques1æ ma ' *n /. Paquet aura doré­

navant, tout*» les semaines, deux annonce» différentes d© venu-» *pé- 4*ales dans tes chars («le ffriqin*^.

Ainsi, par exemple, elle annon­cera. samedi prochain,—dan# le» v trines de l’Electriqrie, bien en­tendu,—1a vente d'un lot de 20,000 verges de ruban, au prix extraor­dinaire DTXF CENT J A YKR- GE, et de 200 douzaine# (h* ba# noir» en cachemire de laine, vakint 40 cent» la paire, POUR 23 CTH.

Nous vous conseillons fortement de suivre ce^ annonce» d’une ma- nière toute particulière, ear, inu­tile d'ajouter que ^i voua profitez de» bon» marché.» de la maison Z l aeuet. vous aurez certainement r< lise au bout de l'an des écono­mie* considérables.

, Saviez-vous qu’il y avait de* épongé* en caoutchouc ? H paraît que la chose existe puisque la mai­son Livernols les offre en vente.

Uoion Coomierciale de QuéfcecL'assemblée générale anuuelle de

l’Union Commerciale de Québec, pour la réception de» rapport.» et I election de» officiera, aura lieu ce noir, Je 18 courant, à 8 h. 30 p. m.

N. K.—Une affa’re extrêmement importante y sera soumise et non» inviton» spécialement leg uiciuhri#^ d'y assis ter.

Par ordre.C. J. W. La berge,

17 2fs Soc.-arch.

ON DEMANDEInitnéiliAterr ent • n# cnl^inier* et uno

h »nno l *«nf*nt*. RAf4r«De**. S A'l-e#- #cr au No 15 rue U bar lev lx, i* no

TEMPEKATURH

Observatoire d« Toronto,•l'' février.

PRONOSTICS. — Temp> trè» froid, aujourd’hui et demain.

■ ---- X ^ ■Après avoir souffert du mal da

dos nendant 1,7 an», je fus guéri | par le LIN IM FJ* T MINAKD.

ROBERT ROSS.Two River», N. S.Je fus guéri de la diphtérie par

le LINIMENT M1 NARD, apnl* l’insuccès des médecins.

JOHN A. FOREY.Antigonish.Je fus guérie de contraction de#

musele», par le UNIMENT MI­N'ARD.

Aime RACHEL SAUNDERS.Dalhou sie.

NAISSANCESPAQI ET—Le 16 Février, Vépouae d# Xf,

Arthur Paquet, l>arbicr, un ftl*. qui a roçu au baptême le« noms de* .lo^ejih K-imond (iérard.

1 arrain et uierraino, NI. et Madame Edm. Pa#u«t.

<»Al THIEK Ia) 17 du courant. Mme Louis Gaullnrr. 85, ru© de L‘Kffh*e, une fille.

Ill DON - L© 15 Février. * -te Anne de la Poeatu-i©, Mme V E p Hudon, une fille.

i «train et marraine M. et Mute P. D Ad-fc-u.l^AMONDON.-A Québec, le 15 courant,

au jno. tq. rue StAuau-tin, l'épou-e de M. (*<o i^e p Platnonuon. pharmarb n, un© 111© Marie, Ana^taeie. Florett©, Joianda.

Parr.Onet marraine, M. Fehx St.vigny, de Valleyfleld ot Mile A Plamondou, üo »t itay- mond

HEHGEHOV M et Mme Tancréde Ber- ffcron. font i»a> t A leurs parentk et amis de la naiesrun e de leur fil--, <|ui a re<;u au baptême le* noms de* Eton, («eralde. Alivée. Tancrede.

Parrafu et uiuname, M.et 'Une Alivée lier- geron. I

DECESE A L AH P E A U.—I hc«dée îc Ifi du coaraat,

4 l'Ag© v© 52 an , damo A Dec i gin a Gienier, e;K)u<edo Ixxifs Falnnleau

Mon fer vice et ueputture auiont lieu jeudi matin, a 8 hr».

Ih parUdo la maison mortuaire. No454 rueSt- Valicr, a 7 45bi>. ponr 1 »-|flii»e “-t Sauveur cl delà au ctiuvttère de oette parolKse

Parents d amnt Mont prié» d y u->i»ter aauf autre invitation.

sIMo\EAl I^e 17 février. .( l'AtredcSl an*, a i’Hôtel-Dieu du Précieux Sansr. dama Vita lin» « nion. epoune de feu F. X. Slinoneau.

s« s funei«ui * > auront lieu jeu<i( malin, a fl heure-. A i t-jrlisc de St Sauveur et de la au cimetière de oettfe paroi^ae.

I’1' - P.UUI prm-i d'y assister aar.*autre invitation.

ii 4g« de 58 an*. Sieur Joseph Oct. Laurin, notaire «t employé civil.

l«e*funrraide* auront lieu. Vendrodl 4*) hre. D part de -a tx^idcnce chemin de ia Petit#

| Riviere, â 8,.Tt) brn .* pour l EtflUe d#. St Maloct do.la ♦» i'Eaîtai© de i Ancienne Lortiltc, où J sera inhume.

Vente de ^MeublesPar Ordre de la Cour.

Avisàccux qui ont besoin de men* blea neuf*, qui seront vendu» a l’en­can, le 20 Février, a 10 heurts a. m. au No 21 J, rue Ri hardson, set de s%lonv «et de Chambre à coucher, uu side- hoard. chasses de salle, airiEi qu'un bon poêle. L'acheteur pourra laisser les meubles jusqu au 1er mai, saus charge extra.

Les meubles pourront être visité». Is matin d© la vente. 18 2f«

Aux lionsomurani de gas

Fat/ex vos contâtes de uaz, le ou levant

; ecndreih, le XO du mois cou rant, et sau-

I vex Vescomute,18 fev.-Ms ^

A VENDREUo b Hard neuf, avrw' ctHublnals »n

tou* I»*# %ccê**oires, - ’aun»- ;or a No io me du Font, de li A 2 p. m.. 6 à 7 30 p. ip

18 fêv—jeu.

HOCKEYCbarcDionuat iotaimédialrè

QUEBEC IIV4

CRESCENTAU PATIMOIR QUEBEC

Ce soir, à 8.L> heuresAdmission : 2ôct# ; galeries ; 10 cti

CltlS.

PERDUSanc i «prê mhl , (jc[)ii]9 ]#

]*i« •ïbvtèr «h* S: Sîinvt itr ju«qu’à la 1 ravt' -* ur 1 • i-, un paquet üdrrasé uu R. vd. J. A Vézina, sé- iii.iiairo <lc Si-Hy.).* ntte*. te, per­sonne qui 1 a trouvé voudra bien Ig remettre soit au bureau du M So­leil *' ou au Presbytère de St-San*

Ifs

Salle Jacfjües-CartierL4. BEET IN iérant

. “. (l’Opra»

CE SOIR et DEMAINMATINÉE

H. M. S. PINAFORE CAVAILERU' ROSTICANA

JEUDI SOIRLIS CLOCHAS DE C01SETILLI

PRIX POPULAIRESSoirs 16, 26, 36. Mat neo 16. 2fi*

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