le système ouest-africain d'accréditation, clef d'accès aux marchés
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Le système ouest-africain d’accréditationClef d’accès aux marchés mondiaux
pour une meilleure intégration au commerce internationalpour une meilleure intégration au commerce international
initiative pour le renforcement Programme qualité UEMOAdes capacités commerciales
Printed in AustriaV.05-86990—August 2005
Vienne, 2005
Le système ouest-africain d’accréditation
Clef d’accès aux marchés mondiaux
Les appellations employées dans cette publication et la présentation des données qui yfigurent n’impliquent aucune prise de position de la part du secrétariat de l’Organisationdes Nations Unies pour le développement industriel quant au statut juridique des pays,territoires, villes ou zones, ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières oulimites. La mention dans le texte de la raison sociale ou des produits d’une société n’im-plique aucune prise de position en leur faveur de la part de l’ONUDI. De même, lesopinions exprimées dans cette publication ne sont pas celles de l’ONUDI, ni del’UEMOA, ni de l’Union européenne.
PUBLICATION DES NATIONS UNIES
Cette publication n’a pas fait l’objet d’une mise au point rédactionnelle.
Copyright © Organisation des Nations Unies pour le développement industriel(ONUDI), 2005
Tous droits réservés
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L’expert tient à remercier la Commission de l’UEMOAet tout particulièrement M. Ibrahim Tampone, commis-saire de l’UEMOA chargé du Département de l’énergie,des mines, de l’industrie, de l’artisanat et du tourisme(DEMIAT), ainsi que le Dr M. Lamine Dhaoui, respon-sable de projets à l’ONUDI dont le Programme qualitéUEMOA.
L’expert remercie également M. Beer Budoo, respon-sable de la Cellule technique de coordination (CTC)près la Commission de l’UEMOA à Ouagadougou(Burkina Faso), ainsi que ses collègues de la CTC, MM. Aka Kouassi, Jean-Michel Lacaze, Bernard Bau etOdile Kindé.
Ses remerciements vont aussi à M. Daniel Pierre, direc-teur général du COFRAC et président de l’ILAC, pourlui avoir fait confiance, à M. Patrick Reposeur, adjoint
au directeur général du COFRAC, pour avoir partagétoute sa connaissance dans le domaine de l’accréditationet à M. Jean-Marie Reiff, de l’OLAS, pour sa contribu-tion au développement d’un système de fonctionne-ment d’un organisme d’accréditation basé sur ladémarche processus.
Sa reconnaissance va aussi à Mme Roselyne Goubet quia mis en forme l’ensemble des documents décrivant lefonctionnement du SOAC.
Ses remerciements s’adressent également aux coordina-teurs techniques nationaux (CTN) du ProgrammeQualité UEMOA, Georges Ayivi-Houedo (Bénin),Moustapha Gnankambary (Burkina Faso), RaphaëlKossa (Côte d’Ivoire), Suleimane Jalo (Guinée-Bissau),Mahamadou Maïga (Mali), Hamidou Lazoumar(Niger), Fatou Thiam (Sénégal) et Francis Negue (Togo).
Remerciements
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Ce document présente la démarche et la méthodologiequi ont été suivies pour mettre en place le Systèmeouest-africain d’accréditation (SOAC). Il est destiné,d’une part, aux acteurs du développement économiquepour ce qui est des objectifs qui ont présidé à la créationdu SOAC et de la réponse qui a été donnée et, d’autrepart, à des responsables de pays en développement oud’organisations régionales désireux de mettre en placeun système d’accréditation et qui y trouveront le fonc-tionnement détaillé d’un tel système conforme auxexigences internationales.
L’auteur ne garantit en aucune manière l’universalité dusystème présenté dans ce document. Même s’il estprésumé conforme aux exigences internationales, toute
mise en pratique des processus et documents décrivantle fonctionnement d’un organisme d’accréditation devraêtre précédée d’une réflexion sur les objectifs et le péri-mètre d’intervention de cet organisme.
Dans le même ordre d’idée, l’auteur ne peut être tenupour responsable de toute situation résultant de l’utili-sation du contenu de l’ouvrage ou de la confianceaccordée aux informations ou considérations présen-tées.
Toute mention d’institution, d’entreprise ou organisa-tion n’est donnée qu’à titre indicatif et ne peut en aucuncas être considérée comme une recommandation taciteou expresse pour ces dernières.
Avertissement
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Table des matières
REMERCIEMENTS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . iii
AVERTISSEMENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . v
ABRÉVIATIONS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ix
INTRODUCTION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xi
I. L’ACCRÉDITATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
Historique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1Organismes concernés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1Fonctionnement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3Organisations internationales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3Tendances . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
II. LA PROBLÉMATIQUE DES PAYS EN DÉVELOPPEMENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
L’accès au commerce mondial . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5Les infrastructures techniques nécessaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5Les difficultés de mise en place . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
III. LA RÉPONSE DE L’ONUDI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
La promotion de l’accréditation dans les pays en développement . . . . . . . . . . . . 7Les actions régionales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7Le programme qualité UE-UEMOA-ONUDI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8La mise en place du SOAC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
IV. LE COMITÉ FRANÇAIS D’ACCRÉDITATION (COFRAC) : UNE RÉFÉRENCE . . . . . . . . . . . . 11
V. L’OFFICE LUXEMBOURGEOIS D’ACCRÉDITATION ET DE SURVEILLANCE (OLAS) : UN MODÈLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
VI. LES PRINCIPES D’ÉTABLISSEMENT DU SOAC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
Les besoins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15Des réponses adaptées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15La norme internationale ISO/CEI 17011 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16Un système de management de la qualité simple et robuste . . . . . . . . . . . . . . . . 16
VII. LE FONCTIONNEMENT DE L’ACCRÉDITATION DU SOAC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
La démarche processus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19Le processus général de fonctionnement de l’accréditation . . . . . . . . . . . . . . . . . 20Les processus détaillés de fonctionnement de l’accréditation . . . . . . . . . . . . . . . . 20Les documents d’information supportant l’accréditation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21Les formulaires utilisés par le processus d’accréditation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
PERSPECTIVES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
RÉFÉRENCES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
ANNEXES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
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APLAC Asia Pacific Laboratory Accreditation Cooperation
BIPM Bureau international des poids et mesures
BNM Bureau national de métrologieCEN Comité européen de
normalisationCOFRAC Comité français d’accréditationCOMAC Comité d’accréditationEA European Cooperation for
AccreditationIAAC InterAmerican Accreditation
CooperationIAF International Accreditation
ForumILAC International Laboratory
Accreditation CooperationISO Organisation internationale
de normalisationMLA Multilateral Recognition
Arrangement
MRA Mutual Recognition ArrangementOEC Organisme d’évaluation de la
conformitéOMC Organisation mondiale du
commerceONUDI Organisation des Nations Unies
pour le développement industrielOLAS Office luxembourgeois
d’accréditation et de surveillancePFNA Point focal national
d’accréditationRNE Réseau national d’essaisSADCA SADC Cooperation for
AccreditationSMQ Système de management de
la qualitéSOAC Système ouest-africain
d’accréditationUE Union européenneUEMOA Union économique et monétaire
ouest-africaine
Abréviations
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Les entraves techniques aux échanges constituent unobstacle majeur pour l’accès au commerce internationaldes pays en développement. Dans ce cadre, l’incapacitéde produire des rapports d’analyses ou des certificats deconformité reconnus au niveau international demeureun premier handicap à lever.
C’est l’objectif de l’accréditation des laboratoires et desorganismes de certification et d’inspection, appelésorganismes d’évaluation de la conformité (OEC), degarantir la qualité et l’acceptation internationale desrésultats d’analyse et des certificats de conformité qu’ilsémettent.
Afin d’assister les pays de l’Union économique et moné-taire ouest-africaine (UEMOA) dans ce domaine,l’Organisation des Nations unies pour le développementindustriel (ONUDI) a mis en œuvre, grâce au finance-ment de l’Union européenne, un Programme qualitédestiné à améliorer les capacités de l’UEMOA dans lesdomaines de l’accréditation, de la normalisation et de lapromotion de la qualité. L’une des composantes de ceprojet est la création d’un Système ouest-africain d’ac-créditation (SOAC) devant permettre à terme la déli-vrance de certificats d’accréditation aux laboratoires,organismes de certification et d’inspection, reconnus auniveau international.
L’objectif de la présente brochure est, d’une part, deprésenter la démarche qui a été suivie par le projet et,d’autre part, de donner le détail des processus régissantle fonctionnement de l’accréditation du SOAC à l’usaged’autres organismes régionaux ou nationaux qui souhai-teraient mettre en place un organisme d’accréditationéquivalent.
Pour définir le mode de fonctionnement de l’accrédita-tion et de la structure permanente du SOAC, nousavons appliqué les exigences de la norme internationaleISO/CEI 17011 relative aux organismes d’accréditation.
Le système ainsi défini est conforme aux critères inter-nationaux en vigueur.
Nous avons bénéficié des conseils et de l’appui duComité français d’accréditation (COFRAC) dont lacompétence est largement reconnue au niveau interna-tional. Nous avons aussi pris comme modèle l’Officeluxembourgeois d’accréditation et de surveillance(OLAS), de création récente, car, d’une part, lenombre d’accréditations qu’il doit potentiellementdélivrer et le large éventail qu’il doit couvrir sontcomparables à ceux du SOAC et que, d’autre part, laréponse qui a été adoptée, quant à la taille de la struc-ture permanente et le système de fonctionnement,nous a paru applicable aux moyens disponibles au seinde l’UEMOA.
Une structure légère, composée au départ d’un cadre etd’une assistante, a ainsi été proposée pour constituer leSOAC qui sera un service de la Commission del’UEMOA et qui s’appuiera sur un conseil et un comitéd’accréditation de taille adaptée (8 à 12 membres)composés de personnalités qualifiées de chaque Étatmembre, ce qui garantira son indépendance et son effi-cacité.
Le système de management de la qualité du SOAC,conforme aux exigences de la norme internationaleISO/CEI 17011, a été complètement décrit et estexpliqué dans la présente brochure.
Le fonctionnement de l’accréditation a été basé sur uneapproche processus et sur tous les documents qui ledécrivent : processus, formulaires et documents d’infor-mation figurent en annexe de cette brochure.
À l’heure où nous écrivons, le Conseil des ministres del’UEMOA a décidé de créer le SOAC et le règlementd’exécution de la Commission de l’UEMOA portantattributions, organisation et fonctionnement du SOAC
Introduction
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est rédigé et devrait être signé avant la fin de l’année2005. Un directeur compétent a été recruté et est enposte à Ouagadougou avec l’équipement bureautiquenécessaire à son fonctionnement.
Les pays membres ont nommé les relais nationaux quisont les points focaux nationaux d’accréditation et lesmembres du Comité d’accréditation. Tous ont étéformés à leurs futures tâches.
Tout est donc prêt pour le démarrage de l’activité duSOAC qui pourrait organiser, conjointement avec leCOFRAC, les premières évaluations de laboratoirescandidats à l’accréditation au cours de l’année 2006 etdemander son adhésion en tant que membre corres-pondant à l’International Laboratory Accreditation
Cooperation (ILAC) et à l’International AccreditationForum (IAF).
D’ici peu, des évaluateurs issus des pays de l’UEMOApourront remplacer les évaluateurs des autres orga-nismes d’accréditation, comme le COFRAC, lors desévaluations des OEC des pays de l’UEMOA, ce quidiminuera fortement les coûts des évaluations et doncde l’accréditation, encourageant ainsi son développe-ment.
Ce cercle vertueux peut et doit se mettre en place pourque les pays de l’UEMOA disposent d’un outil collectifà même d’apporter la preuve irréfutable de la qualité deleurs productions et d’accéder ainsi, sans entraves tech-niques, aux marchés mondiaux.
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
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Historique
Le développement des productions industrielles demasse a conduit les États des pays industrialisés à mettreen place, dès la fin du XIXe siècle, des organismeschargés de vérifier la conformité des produits, fabriquéslocalement ou importés, à des réglementations natio-nales destinées à protéger la sécurité des citoyens et àgarantir un commerce équitable.
Le développement accéléré des échanges internationaux,après la fin de la seconde guerre mondiale, a fragilisé lerôle de ces premières institutions, et ce pour deuxraisons essentielles :
• Les résultats de leurs évaluations n’étaient pasreconnus hors de leurs frontières nationales lesrendant ainsi sans valeur pour les exportateurs ; et
• La mise en place des organisations internationales dedéveloppement du commerce comme L’Union euro-péenne (UE) ou l’Organisation mondiale ducommerce (OMC), désireuses de supprimer lesentraves techniques aux échanges, basées sur desréglementations techniques nationales, les obli-geaient à revoir leur mode d’intervention sur lesproduits importés.
Il est alors progressivement apparu que la vérification dela conformité des produits à des exigences techniquesdestinées principalement à assurer la sécurité du consom-mateur nécessitait la mise en place, d’une part, de corpusnormatifs internationaux définissant ces exigences et lesmodalités de leur vérification et, d’autre part, d’unereconnaissance des compétences des organismes chargésd’évaluer la conformité des produits, appelés OEC (orga-nismes d’évaluation de la conformité).
C’est cette reconnaissance de la compétence que l’onappelle accréditation.
Définition
La norme ISO/CEI 17011, qui a été publiée en 2004,définit l’accréditation comme « l’attestation délivrée parune tierce partie, ayant rapport à un organisme d’éva-luation de la conformité, constituant une reconnais-sance formelle de la compétence de ce dernier à réaliserdes activités spécifiques d’évaluation de la conformité ».
Il s’agit donc, à travers l’accréditation, de faire recon-naître par un organisme indépendant, la compétenced’un OEC à évaluer la conformité de certains types deproduits, de services ou de personnes à des spécificationstechniques définies dans des normes ou des règlements.
Organismes concernés
On voit donc que les OEC concernés ne sont plus seule-ment acteurs dans le domaine des produits mais aussidans celui des services et des personnes.
On trouvera donc dans les OEC susceptibles d’être accré-dités : les laboratoires d’essais et les laboratoires d’étalon-nages, les organismes d’inspection, les organismescertificateurs de produits et de services et également lesorganismes qui certifient les systèmes de management etles personnes.
Les premiers organismes intéressés par l’accréditationont été les laboratoires d’essais (qui comprennent les labo-ratoires d’analyses). Ils ont vu le jour dans les années 80,suite à une forte demande des industriels exportateurs.Leur mission est d’attester de la conformité d’un produità des spécifications techniques de sécurité (par exemple :appareils électriques, jouets) ou à des règlements relatifsà la santé du consommateur (par exemple : analysesbactériologiques des aliments ou de l’eau).
Progressivement, l’accréditation a concerné d’autrestypes de laboratoires même si leurs analyses ne concer-
I. L’accréditation
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nent pas directement la sécurité ou les qualités substan-tielles des produits ; ce sont par exemple les laboratoiresde biologie médicale qui constituent probablement unchamp prometteur de développement de l’accréditation.
Les laboratoires d’essais constituent la majorité des certi-ficats d’accréditation délivrés. À titre d’exemple, ilsreprésentent 55 % des 14 319 accréditations délivréesen 2004 par les membres de l’European Cooperation forAccreditation (EA).
L’autre catégorie de laboratoires concernés par l’accrédi-tation sont les laboratoires d’étalonnages dont la missionest de raccorder les étalons de référence des laboratoiresd’essais ou des industriels au système internationald’unités permettant ainsi la comparaison de toutes lesmesures au niveau international (par exemple : étalon-nages des masses étalons d’un laboratoire). Ces labora-toires qui étaient déjà structurés dans la plupart des paysindustrialisés autour du concept de chaîne d’étalonnageet de la comparaison aux étalons internationaux détenuspar le Bureau international des poids et mesures (BIPM)ont rejoint dans les années 90 les systèmes nationauxd’accréditation. Ils représentent 14 % des accréditationsdélivrées par les membres de l’EA.
Les organismes d’inspection constituent la troisièmecatégorie d’organismes concernés par l’accréditation.Leur rôle consiste principalement à vérifier la confor-mité des produits ou des installations sur site (parexemple les appareils à pression, les ascenseurs ou lesinstallations électriques). Existant depuis longtempspour une bonne partie d’entre eux, notamment pourles contrôles industriels, ils ont trouvé dans l’accrédita-tion le moyen de faire reconnaître leur compétence. Ils
représentent 17 % des accréditations délivrées par lesmembres de l’EA.
Viennent ensuite les organismes certificateurs qui se décom-posent en deux principales catégories et représentent 10 %des accréditations délivrées par les membres de l’EA :
• Les organismes certificateurs de produits et de servicesqui ont été créés dans les années 80 sous la formesouvent de marques nationales intervenant dans ledomaine de la sécurité (NF en France, GS enAllemagne par exemple). Leur champ d’activité s’estétendu, au-delà de la sécurité, à la certification desqualités d’un produit ou d’un service définies dansun cahier des charges approuvé par les parties inté-ressées : producteurs, consommateurs et pouvoirspublics (les exemples sont nombreux : du sacpoubelle au site Internet).
• Les organismes certificateurs d’entreprises et de person-nels sont probablement les plus connus du grandpublic et des industriels, puisqu’ils délivrent les certi-ficats de conformité des systèmes de managementdes entreprises aux normes ISO 9001, relative à l’ef-ficacité de l’entreprise, et ISO 14001, concernantson système de management environnemental ainsique des certifications de personnels : soudeurs, audi-teurs, opérateurs de contrôles non destructifs etc.
Chaque type d’OEC, de même que l’organisme d’accré-ditation, dispose d’une norme internationale qui décritles exigences organisationnelles et techniques qu’il doitrespecter pour pouvoir être accrédité. Cette norme estcommunément appelée le référentiel. La figure 1reprend ces différents types d’OEC en précisant pourchacun d’eux la norme internationale correspondante.
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
Figure I. Les différents types d’OEC et les normes internationales correspondantes
InspectionISO/CEI 17020
Essais et étalonnagesISO/CEI 17025
Biologie médicaleISO 15189
Système de management
Guides ISO/CEI 62 et 66
PersonnelsISO/CEI 17024
Certification de produitsGuide ISO/CEI 65
Organisme accréditeurISO/CEI 17011
LaboratoiresCertification d’entre-
prises et de personnels
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Fonctionnement
Précisons avant tout que l’accréditation n’est pas délivréepour un organisme dans son intégralité ni pour unedurée indéterminée. Elle est obtenue pour un domainetechnique et une entité géographique précis, que l’onappelle portée, et pour une durée limitée pendantlaquelle des visites de surveillance ont lieu.
Le processus qui aboutit à l’accréditation comprendquatre phases principales décrites dans la normeISO/CEI 17011 :
• L’analyse de la demande qui permet à l’organismed’accréditation de valider la demande de l’OECcandidat, notamment quant à la portée d’accrédita-tion ;
• L’évaluation sur site de l’organisme par une équiped’évaluateurs expérimentés composée toujours d’unévaluateur qualité, responsable d’équipe, et d’un ouplusieurs évaluateurs techniques en fonction de l’im-portance de la portée d’accréditation souhaitée parl’organisme ;
• L’examen du rapport d’évaluation par la commissioncompétente et la proposition d’une décision auresponsable de l’organisme d’accréditation ;
• La notification de la décision à l’organisme et l’éta-blissement d’un certificat d’accréditation accom-pagné d’une annexe technique mentionnant avecprécision la portée d’accréditation retenue. Cesinformations sont généralement disponibles sur lessites Internet des organismes d’accréditation.
L’accréditation est délivrée pour une durée donnée,généralement de cinq ans, et donne lieu à une rééva-luation complète à l’issue de cette période équiva-lente à l’évaluation initiale. Périodiquement, unesurveillance de l’accréditation est réalisée et doitassurer que le délai entre deux visites d’évaluateursdans l’organisme d’accréditation ne dépasse pas deuxannées.
Lorsqu’ils sont accrédités, les OEC peuvent utiliser lelogo de l’accréditeur sur les certificats qu’ils émettentafin d’attester de leur compétence à réaliser l’activitécorrespondante d’évaluation de la conformité. Cescertificats sont notamment : les rapports d’essais etd’analyse, les certificats d’étalonnage, les rapportsd’inspection, les certificats de conformité d’un produitou d’un service, les certificats de conformité d’unsystème de management de la qualité ou de manage-ment environnemental.
Organisations internationales
Nous avons vu plus haut que l’un des objectifs princi-paux de l’accréditation était de favoriser la libre circula-tion des produits et des services. Il fallait pour cela queles accréditations délivrées par un organisme soientreconnues au niveau international, afin de pouvoiratteindre ce qui est communément décrit par « tested orcertified once, accepted everywhere ». C’est le rôle desorganisations internationales de permettre cette recon-naissance à travers la mise en place d’accords de recon-naissance mutuelle appelés communément MRA(Mutual Recognition Arrangement) ou MLA(Multilateral Recognition Arrangement) selon les orga-nismes qui les gèrent.
On distingue deux types d’organisations internatio-nales : celles à vocation régionale et celles à vocationinternationale. Les objectifs fondamentaux de ces deuxtypes d’organisation sont les mêmes : permettre lareconnaissance des accréditations délivrées par un orga-nisme dans la région ou dans le monde après avoirvérifié la conformité du fonctionnement de cet orga-nisme aux normes internationales le concernant, désor-mais la norme ISO/CEI 17011.
Lorsque l’évaluation est positive, l’organisme peut alorssigner le MLA ou le MRA correspondant qui l’engage àreconnaître les accréditations émises par les autres orga-nismes signataires en échange de la reconnaissance parces derniers de ses propres accréditations.
On notera la spécificité de cette reconnaissance interna-tionale qui ne repose pas sur l’autorité d’un organismesupérieur chargé d’une reconnaissance des organismesd’accréditation, mais sur une évaluation par les autresorganismes d’accréditation. Ce mode de fonctionne-ment illustre le fait que l’accréditation constitue lacouche supérieure de l’édifice international d’évaluationde la conformité puisqu’il n’y a pas d’entité au jugementde laquelle elle est soumise.
Les deux organisations internationales œuvrant dans ledomaine de l’accréditation sont l’InternationalAccreditation Forum (IAF), qui s’adresse aux orga-nismes accréditant des organismes certificateurs, etl’ILAC (International Laboratory AccreditationCooperation), qui concerne les laboratoires et les orga-nismes d’inspection. Chacun de ces organismes gère unMLA ou un MRA qui ont été signés respectivement par34 et 47 organismes d’accréditation. On trouvera sur lessites Internet de ces organisations les listes des orga-nismes signataires.
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I. L’ACCRÉDITATION
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Au niveau régional, on peut relever la présence deplusieurs organisations : European Cooperation forAccreditation (EA) pour l’Europe ; Asia PacificLaboratory Accreditation Cooperation (APLAC) pourla zone Asie Pacifique ; SADC Cooperation forAccreditation (SADCA) pour les pays du sud del’Afrique et InterAmerican Accreditation Cooperation(IAAC) pour l’Amérique du Sud.
Tendances
Le développement de l’accréditation est durablementinscrit car il repose sur quelques « tendances lourdes » denos sociétés :
La mondialisation du commerce
Le commerce mondial se développe à un rythme soutenuet le travail de l’Organisation mondiale du commerce(OMC) et des autres organisations multilatérales concer-nées, afin de supprimer les entraves techniques auxéchanges, va encore s’amplifier. Dans ce cadre, l’accrédi-tation est l’outil idéal pour reconnaître la compétenced’un OEC d’un pays exportateur qui sera amené à inter-venir pour vérifier la conformité d’une marchandise etdonc pour éviter la multiplication des contrôles.
Le principe de précaution
Apparu il y a maintenant quelques années dans les paysindustrialisés et particulièrement européens à l’occasionde la crise de la vache folle, ce principe veut que les auto-rités prennent le maximum de précautions avant d’auto-riser la commercialisation d’un produit pouvant présenterdes risques. De même, il entraîne des prises de décisionstrès rapides dans le cadre d’un retrait de produit suspect.Toutes ces décisions reposent sur des essais ou analysesréalisés par des laboratoires dont le jugement ne doit paspouvoir être mis en doute, y compris par d’autres pays.Seule l’accréditation de ces entités le permet.
Le désengagement des États
Ce phénomène est très visible dans les pays de l’Unioneuropéenne à des degrés divers. Il se traduit par unabandon par l’État de ses capacités de contrôle techniqueau profit d’intervenants du secteur privé. L’évolution desactivités de métrologie légale en Europe ces vingt dernièresannées en est une illustration évidente. Mais l’État ne peutdéléguer son contrôle que s’il s’appuie sur des entitéscompétentes, au jugement indépendant. Il soumet doncl’attribution des agréments permettant d’intervenir dansles domaines réglementaires à une accréditation dont l’ob-jectif est justement d’attester de la compétence et de l’in-dépendance des organismes de contrôle.
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L’accès au commerce mondial
Les entraves techniques qui s’ajoutent souvent à desinégalités tarifaires constituent un obstacle majeur pourles pays en développement. Si les problèmes tarifaires nesont pas de notre ressort, les entraves techniques nepeuvent être levées qu’avec des outils d’un niveau simi-laire à ceux utilisés par les pays du Nord. Ces entravestechniques ne sont pas appliquées spécifiquement auxpays du Sud. Elles sont déjà imposées aux producteursdes pays importateurs et leur origine est le plus souventliée à la protection du consommateur contre les risquessanitaires, en particulier pour les produits agroalimen-taires qui constituent le premier potentiel d’exportationdes pays en développement.
À titre d’illustration, une mission sanitaire de l’UE, fin2002 dans les pays de l’UEMOA, a entraîné la suspen-sion de l’importation dans l’Union des produits de lapêche en provenance du Togo et du Bénin en raisond’insuffisances relevées par rapport aux exigences de ladirective 91/493/CEE, notamment en matière decontrôle qualité. Grâce à l’action des experts internatio-naux et à la livraison de matériel de laboratoire pour cesecteur dans le cadre du Programme qualité UEMOA, le Bénin a pu reprendre ses exportations depuis le 1er février 2005 et le Togo pourra le faire incessamment.
Cependant, la menace est toujours présente, car l’Unioneuropéenne exige qu’à compter du 1er janvier 2006 leslaboratoires analysant les produits de la pêche destinésaux exportations vers l’Union disposent d’une accrédita-tion internationalement reconnue.
Cet exemple prouve l’importance stratégique des OECdestinés à vérifier la conformité des produits destinés àl’exportation. Or, ces organismes sont très largementaccrédités dans les pays du Nord ; le même niveau d’exi-gence est ou sera imposé aux pays en développementdans la mesure où les contrôles sont prévus au départ de
la marchandise par souci d’efficacité. L’accréditationinternationalement reconnue de leurs laboratoires decontrôle est donc un objectif vital pour le commerce despays en développement.
Bien entendu, l’exportation n’est pas le seul argumentqui plaide en faveur de la mise en place d’OEC dans lespays en développement. On citera le niveau élevé deprotection des populations que procure un contrôlesanitaire efficace de l’eau et des denrées alimentaires ; lenécessaire contrôle des matériaux de construction ; lesinspections relatives à l’hygiène agroalimentaire ; et à lasécurité des installations électriques, etc.
De fait, si la promotion des exportations est l’argumentstratégique principal pour le développement de l’accré-ditation dans les pays du Sud, celle-ci aura bien d’autresretombées positives sur la qualité de vie des citoyens deces pays.
Les infrastructures techniques nécessaires
Un organisme d’accréditation n’est pas assurément leseul outil institutionnel nécessaire dans un pays. Il nepeut d’ailleurs pas exister sans moyens disponibles dansles domaines suivants :
La normalisation
La normalisation est l’outil de base de maîtrise de laqualité, car elle définit le cadre organisationnel et tech-nique de la quasi-totalité des activités dans ce domaine.
Le fort développement récent de la normalisation inter-nationale (ISO) et l’accès par Internet à toutes lesnormes des instituts nationaux ou régionaux ou encoreinternationaux rendent heureusement disponible à tous
II. La problématique des pays en développement
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les pays une grande partie du corpus normatif néces-saire. Les organismes nationaux de normalisation enplace ou en création dans les pays en développement sevoient attribuer la double tâche d’élaborer les normesspécifiques aux productions de ces pays : produits de lapêche, matériaux de construction, fruits et légumes parexemple ; et de promouvoir l’utilisation des normes etde faciliter leur mise à disposition pour les acteurséconomiques locaux.
Les laboratoires d’essais et d’analyses
Comme indiqué plus haut, les laboratoires sont lesoutils essentiels d’évaluation de la conformité pour lespays en développement. Par exemple, les pays del’UEMOA disposent déjà d’une infrastructure évaluée à150 laboratoires lors d’une mission du Programmequalité. Ces laboratoires sont principalement des struc-tures étatiques et leur niveau de développement organi-sationnel et technique est globalement très faible. À titred’illustration, un seul laboratoire est accrédité pour l’en-semble des huit pays de l’UEMOA.
Les laboratoires d’étalonnages
Les laboratoires d’étalonnages, appelés communémentlaboratoires de métrologie, sont les fondations surlesquelles repose l’accréditation en général car ilspermettent de valider toutes les mesures faites par lesOEC. En clair, l’OEC accrédité doit envoyer périodi-quement ses étalons à un laboratoire d’étalonnages accré-dité qui les raccorde au système international d’unités.
À titre d’illustration, comme il n’y a pas de laboratoiresd’étalonnages accrédités dans les pays de l’UEMOA, lesOEC accrédités, ou candidats à l’accréditation, doiventenvoyer leurs étalons dans un pays du Nord, parexemple en France, avec des suppléments de coûts et dedélais conséquents.
Les systèmes d’accréditation
Les pays en développement ont actuellement peu d’or-ganismes d’accréditation. Une dizaine d’entre eux ontcréé un institut d’accréditation et participent par
exemple, en tant que membres associés aux travaux del’ILAC. Les accréditations qu’ils délivrent ne sont pasactuellement reconnues internationalement.
Les difficultés de mise en place
En fait, il est très difficile pour un pays en développe-ment de créer un organisme d’accréditation pour deuxraisons essentielles : le manque d’expertise et le coût del’accréditation.
L’accréditation nécessite l’utilisation d’évaluateurscompétents dans un domaine technique ou dans celuidu management de la qualité pour procéder aux évalua-tions. Force est de constater que les pays en développe-ment, et notamment ceux de l’UEMOA, ne disposentpas ou très peu de cette expertise. Il faut donc avoirrecours à des évaluateurs provenant des pays du Nord, cequi rend l’accréditation très chère, car aux coûts d’ex-pertise des pays développés se rajoutent les frais devoyage et de séjour des évaluateurs.
Ainsi, les laboratoires ne peuvent pas accéder facilement,notamment au vu du coût, à l’accréditation et lademande est inexistante. Seuls quelques laboratoires degrands groupes demandent une accréditation à un orga-nisme d’un pays du Nord ; c’est, dans les pays del’UEMOA, le cas du COFRAC, grâce à la pratiquecommune du français.
Un laboratoire d’Abidjan accrédité nous disait que sonaccréditation lui coûtait environ 8 000 euros par ancontre 4 000 approximativement pour un laboratoire deportée équivalente localisé en France. Il faut donc casserce cercle vicieux en ayant comme objectif de disposerrapidement d’un potentiel d’évaluateurs régionaux dontla présence fera chuter le coût de l’accréditation et doncpermettra son développement.
C’est l’un des objectifs du Programme pour la mise enplace d’un Système d’accréditation, de normalisation etde promotion de la qualité au sein de l’UEMOA quel’ONUDI met en œuvre grâce à un financement del’Union européenne.
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La promotion de l’accréditation dans les pays en développement
Depuis sa création en 1967, l’Organisation des NationsUnies pour le développement industriel (ONUDI) afourni de l’assistance technique dans plus de 80 paysdans les domaines de la métrologie, de la normalisation,des essais et de la qualité.
Cette composante de l’activité de l’ONUDI s’inscritdans le programme de développement des capacités liéesau commerce. Ce programme tente de répondre auxproblèmes posés aux pays en développement à traversdeux accords majeurs de l’OMC sur les entraves tech-niques aux échanges et les mesures sanitaires et phytosa-nitaires.
Cette activité s’appuie sur le fait que la réponse auxenjeux de ces deux accords suppose l’existence d’unorganisme de normalisation fonctionnel appuyé sur descapacités d’étalonnage et d’essais. Un organismenational de métrologie et des laboratoires d’analyseschimiques et bactériologiques sont un minimum absolu,y compris pour l’exportation de produits agroalimen-taires transformés. De plus, des laboratoires d’essaissectoriels pour des secteurs importants comme le textileet le travail du cuir sont de plus en plus indispensablesdans les pays en développement. Mais pour que les certi-ficats émis par ces laboratoires soient utilisables, il fautqu’ils soient fiables et indiscutables. Cela nécessite lamise en place d’organismes nationaux d’accréditation.
L’ONUDI assiste donc les pays en développement pourcréer ou développer des organismes nationaux denormalisation, des organismes nationaux de métrologieet des laboratoires d’analyses et d’essais ainsi que desorganismes nationaux d’accréditation.
Pour ces derniers, l’action de l’ONUDI s’inscrit dansl’objectif de reconnaissance internationale décrit plus
haut et l’organisation aide les organismes établis à inté-grer les accords de reconnaissance mutuelle de l’ILACou de l’IAF grâce à un programme de préparation auxévaluations réalisées par ces organismes (pre-peer evalua-tion mechanism).
Les actions régionales
Depuis les années 90, l’ONUDI a développé uneapproche régionale pour l’assistance technique dans lesdomaines de la normalisation, de la métrologie et deslaboratoires d’essais. Cette approche résulte du doubleconstat de l’existence de faibles ressources dans chacundes pays et de préoccupations communes dans la sous-région. Il paraît par exemple inutile de construire uninstitut national de métrologie dans chaque pays del’UEMOA, ce qui constituerait un investissement maté-riel et humain énorme pour un marché limité, alorsqu’un seul institut peut offrir des services d’étalonnagesà tous les laboratoires et entreprises de la sous-région.De même, les instituts de normalisation peuventcoopérer pour émettre des normes communes pour desproduits intéressant la sous-région comme la pêche ou lecoton dans l’espace UEMOA. Enfin, si chaque pays abesoin de laboratoires d’analyses, l’organisme d’accrédi-tation peut opérer au niveau régional pour atteindre unetaille critique suffisante susceptible de lui permettre desurvivre et d’obtenir une reconnaissance internationale.
Plusieurs actions relatives à la mise en place d’outilsrégionaux d’accréditation ont été soutenues parl’ONUDI en Amérique centrale (Costa Rica, ElSalvador, Guatemala, Honduras, Nicaragua et Panama),dans le delta du Mékong (Cambodge, Laos, Myanmaret Viet Nam) et dans les pays les moins développés del’Asie du Sud (Bangladesh, Bhoutan, Maldives et Népal)
Mais le programme le plus important dans ce domaineest celui relatif à la création du Système ouest-africain
III. La réponse de l’ONUDI
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d’accréditation (SOAC) au sein de l’UEMOA : Bénin,Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali,Niger, Sénégal et Togo dans le cadre du Programmerégional qualité UE-UEOMA-ONUDI.
Le Programme qualitéUE–UEMOA–ONUDI
S’inscrivant dans la stratégie de développement descapacités liées au commerce mise en place parl’ONUDI, l’objectif du Programme est de renforcer laparticipation des pays de l’UEMOA au commercerégional et international, à travers l’amélioration de leurs capacités dans le domaine de l’accréditation, lanormalisation et la promotion de la qualité. Ces efforts devraient permettre non seulement unehomogénéisation au niveau régional des normes et desréglementations techniques, mais aussi la reconnaissanceinternationale des laboratoires des pays de l’UEMOA.
D’une manière générale, le Programme assistel’UEMOA et ses États membres dans l’établissementet/ou le renforcement des institutions et capacitéshumaines des pays de l’UEMOA en matière de labora-toires et d’accréditation, de développement de la qualitéet de la certification des produits ainsi que dans lesdomaines des entreprises et de l’amélioration des capa-cités de normalisation.
Le budget initial du Programme, lancé en septembre2001, était de 8,2 millions d’euros. Depuis l’adoptionde la phase II, en août 2004, le budget total, financé parl’Union européenne, s’élève à 14 millions d’euros, dont12 millions gérés par l’ONUDI.
Les principaux résultats déjà obtenus par le Programme,qui doit s’achever en décembre 2005, peuvent êtreclassés selon les différents bénéficiaires de ses activités :
Les agents économiques
• Environ 70 entreprises se sont dotées de systèmesqualité et obtiendront la certification ISO 9001avant la fin du Programme ;
• 40 consultants privés et 20 auditeurs ont été formésà ISO 9001 et assistent les entreprises de la région ;
• Des séminaires et voyages d’études ont été organiséspour former plus de 150 directeurs d’entreprises ;
• Les secteurs de la pêche, du coton et de l’agroali-mentaire seront les principaux bénéficiaires de laconsolidation de leurs apports grâce au Programme ;
• Des prix nationaux de la qualité ont été mis en placepour promouvoir et développer le management de laqualité dans les entreprises.
Les laboratoires
• Les analyses et capacités d’essais de 50 laboratoiresseront harmonisées et renforcées et leur fiabilitéaméliorée, notamment dans le domaine de la pêcheet de l’agroalimentaire ;
• 24 laboratoires se préparent en ce moment à l’accré-ditation et seront en mesure de fournir des analysesen conformité avec les normes internationales,notamment dans le domaine de la pêche, de l’agroa-limentaire et du coton.
Les services d’inspection
• Ils bénéficient du renforcement et de l’harmonisa-tion de leurs infrastructures de contrôle et de laformation de leur personnel, notamment dans ledomaine de la pêche, des produits phytosanitaires etdes pesticides.
Les consommateurs
• 20 responsables des principales associations deconsommateurs ont été formés et plus de 70 associa-tions reçoivent une assistance dans le domaine de lanormalisation et de la promotion de la qualité ;
• 32 journalistes en consommation et qualité desproduits ont aussi été formés ;
• Les consommateurs bénéficient des campagnesnationales et régionales pour l’information et laprotection des consommateurs.
La mise en place du SOAC
Parmi toutes ces activités, la mise en place du SOACa constitué un temps fort de ce programme. En effet,le SOAC sera l’un des premiers modèles mondiauxqui vise à délivrer des accréditations couvrant touteune région.
Un expert international, ayant participé à la réflexionqui a donné lieu à la création du COFRAC en France, atravaillé sur la conception du SOAC. Il a débuté samission en juin 2003 et son rapport a été présenté à ladeuxième réunion du Comité régional de pilotage enjuillet 2003. Sur la base de cette première étude, le
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COFRAC a mis à la disposition du Programme unconsultant qui a préparé l’ensemble des processus régis-sant l’accréditation du SOAC et les procédures etmanuels relatifs au fonctionnement de la structure. Cesdocuments ont été validés, en présence du consultant,par les experts nationaux des huit pays membres del’UEMOA en novembre 2004 (ils sont intégrés dans laprésente brochure).
À la demande du Programme, l’expert est revenu en juin2005 à Ouagadougou pour former les responsables despoints focaux nationaux d’accréditation (PFNA) et lesmembres pressentis du Comité d’accréditation(COMAC) à l’accréditation et au fonctionnement duSOAC au cours d’un stage de cinq jours.
Par ailleurs, deux experts juridiques (international etnational) ont proposé un texte décrivant le fonctionne-ment du SOAC au sein de la Commission del’UEMOA. Ce texte devrait être bientôt approuvé par laCommission sous le titre « Règlement d’exécution
portant attributions, organisation et fonctionnement duSystème ouest-africain d’accréditation ».
De plus, un cadre chargé de l’accréditation a été recrutéet a pris ses fonctions en mai 2005 suite à un appel àcandidatures lancé en décembre 2004 dans les huit Étatsmembres. Un cabinet de recrutement privé a étémandaté par le Programme, suite à un appel d’offrerestreint, pour conduire l’évaluation des candidats etproposer la liste des cinq meilleurs profils.
Enfin, le Programme a permis de former à l’évaluationdes laboratoires deux représentants de chaque pays quiont pu améliorer leurs connaissances de la normeISO/CEI 17025 et apprendre les techniques d’évalua-tion. Ceux qui ont été évalués positivement vont pouvoiraccompagner une équipe d’évaluation du COFRACdans la sous-région ou en France avec l’objectif d’êtreconfirmés comme évaluateurs. Le premier évaluateur aeffectué son stage d’observateur en juin 2005 en Franceavec une équipe d’évaluation du COFRAC.
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III. LA RÉPONSE DE L’ONUDI
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En 1994, Le COFRAC était créé sous la forme d’uneassociation à but non lucratif sur la base de la fusion duBureau national de métrologie (BNM), qui reconnaissaitla compétence des laboratoires d’étalonnages, et duRéseau national d’essais (RNE), qui accréditait les labo-ratoires d’analyses et d’essais. Ce faisant, les pouvoirspublics français avaient pour objectif de créer un système« euro-compatible », conforme aux pratiques euro-péennes et internationales en matière d’accréditation desOEC, destiné à favoriser la reconnaissance mutuelle desprestations réalisées par les entités accréditées. LeCOFRAC, qui est l’unique organisme d’accréditationfrançais, se situe donc au sommet de l’édifice souhaitépar les pouvoirs publics dans la pyramide de la confiance.
Tous les intérêts liés à l’accréditation sont représentés ausein de l’assemblée générale et du conseil d’administrationet de toutes les instances de décisions. Ces intérêts sontrépartis en cinq collèges : entités accréditées, fédérations etgroupements professionnels, organisations de consomma-teurs, acheteurs publics et grands donneurs d’ordres,pouvoirs publics. Soixante personnes (environ 25 à sa créa-tion en 1994), toutes basées à Paris près de la gare de Lyondans le 12e arrondissement, constituent la structurepermanente du COFRAC. Quatre sections gèrent lesaccréditations : laboratoires, inspection, certification d’en-treprises, personnels et environnement, certification deproduits industriels et services. Environ 200 évaluateursqualiticiens et plus de 700 évaluateurs techniques exté-rieurs sont missionnés régulièrement par le COFRAC.
La structure permanente s’appuie sur :
• Une commission d’audit interne chargée d’évaluerrégulièrement le bon fonctionnement de l’accrédita-tion et le respect par le COFRAC des exigencesapplicables aux organismes d’accréditation ;
• Quatre comités de section, correspondant aux quatresections d’accréditation ;
• Sept commissions d’accréditation qui sont rattachéesau comité de section Laboratoires : santé, agroali-mentaire, chimie — environnement, comparaisonsinter-laboratoires, mécanique — thermique, bâti-ment — génie civil et électricité — rayonnements— technologies de l’information.
À la fin de l’année 2004, le COFRAC avait délivré1583 certificats d’accréditation répartis en 333 labora-toires d’étalonnages, 1064 laboratoires d’analyses etd’essais, 116 organismes d’inspection et 70 organismescertificateurs.
Le COFRAC est un accréditeur particulièrementreconnu et actif au niveau international au sein de l’EA,l’IAF, l’ILAC, du CEN et d’ISO. Cet engagement a étéreconnu par la communauté internationale de l’accrédi-tation qui a élu le directeur général du COFRAC, M. Daniel Pierre, président de l’ILAC, à l’issue de laprésidence de l’EA qu’il assurait. Par ailleurs, leCOFRAC a constamment maintenu des activités d’as-sistance technique vers les pays en développement dansle domaine de l’accréditation.
Le programme qualité UE-UEMOA-ONUDI asouhaité bénéficier de l’expérience et de la compétencedu COFRAC pour appuyer ses activités relatives à l’ac-créditation et à la création du SOAC. Un accord-cadrede coopération a été signé dans ce sens en novembre2003 par le COFRAC et la Commission de l’UEMOA.Il prévoit l’appui du COFRAC à la création du SOAC,la formation d’évaluateurs des pays membres à traversdes stages, la participation à des évaluations duCOFRAC en Afrique ou en France et la réalisationd’évaluations conjointes SOAC-COFRAC pourpermettre d’accorder une accréditation reconnue inter-nationalement à des laboratoires de l’UEMOA enattendant que le SOAC soit admis aux accords dereconnaissance de l’ILAC et de l’IAF.
IV. Le Comité français d’accréditation(COFRAC) : une référence
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En 1996, une première analyse était effectuée sur lanécessité d’instaurer au Luxembourg une autorité d’ac-créditation. Jusqu’à cette date tout organisme désireux dese faire accréditer devait faire appel à une autorité d’ac-créditation étrangère. Soucieux de promouvoir laconfiance des acteurs économiques vis-à-vis des labora-toires, organismes de contrôle et organismes de certifica-tion luxembourgeois, le gouvernement luxembourgeoisintégrait un projet de loi relatif à l’accréditation dans laprocédure législative de 1998. La loi entrait en vigueur le22 mars 2000 et l’Office luxembourgeois d’accréditationet de surveillance (OLAS) a démarré ses activités endécembre 2001. L’OLAS est un service du Ministère del’économie et du commerce extérieur.
Bien que l’OLAS soit une petite structure de troispersonnes, il ne sous-traite aucune de ses activités.L’OLAS offre des services d’accréditation aux labora-toires d’essais et d’analyses (y compris de biologieclinique) et d’étalonnages, aux organismes d’inspection,aux organismes de certification de produits, de services etde personnes, ainsi qu’aux prestataires de services decertification délivrant et gérant des certificats ou fournis-sant d’autres services liés à une signature électronique.
Désirant avoir une collaboration étroite avec ses clientset ses auditeurs qualité et techniques, l’équipe del’OLAS publia dès sa création l’intégralité de sonsystème qualité sur le site Internet : http://www.olas.public.lu. Le système qualité est en évolution constanteet cela dans le cadre des exigences de la norme interna-tionale ISO/IEC 17011 et des documents de l’EA, del’IAF et de l’ILAC.
Une année après le démarrage de ses activités d’accrédi-tation l’OLAS devint membre de l’EA et, en 2005,demanda son adhésion à l’IAF ainsi qu’à l’ILAC.L’évaluation des activités de l’OLAS par l’EA permettantla reconnaissance internationale des accréditations qu’ildélivre aura lieu au dernier trimestre 2005.
Au Luxembourg, l’accréditation n’est pas seulement unfacteur de promotion à l’exportation mais se révèle êtreégalement un instrument au service des autoritéspubliques. On peut citer comme exemple l’Inspectiondu travail et des mines qui a rendu l’accréditation obli-gatoire pour tout organisme d’inspection souhaitantrecevoir un agrément. À ce jour l’OLAS a accréditéquatre organismes d’inspection.
Les nouvelles dispositions réglementaires, prises essen-tiellement sur l’initiative de la Communauté euro-péenne, mettent l’accent sur les mesures de contrôlepréalables à la mise des produits sur le marché. Cesmesures prévoient l’intervention d’organismes spéciale-ment désignés (organismes notifiés) dont la compétencetechnique est reconnue par l’autorité publique et quiagissent pour son compte, dans le cadre du contrôle dela mise sur le marché. Dans ce domaine également, l’ac-créditation des organismes chargés d’intervenir enmatière d’attestation de la conformité constitue, auLuxembourg, un instrument de choix pour l’autoritéqui doit veiller à l’application des réglementations natio-nales et internationales. À moyen terme l’accréditationsera, au Luxembourg, indispensable à tout organismedésireux d’être notifié.
En tout cas, le succès de l’OLAS au niveau national etinternational est prouvé, puisque trois années après ledébut de ses activités plus de 20 organismes et labora-toires ont été accrédités.
L’OLAS nous a servi de modèle car le nombre d’accré-ditations qu’il doit potentiellement délivrer et le largespectre qu’il doit couvrir sont comparables à ceux duSOAC et que, par ailleurs, la réponse qui a été adoptée,aussi bien en ce qui concerne la structure permanenteque le système de fonctionnement, nous a paru appli-cable avec les moyens disponibles au sein del’UEMOA.
V. L’Office luxembourgeois d’accréditation et de surveillance (OLAS) : un modèle
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Les besoins
Comme nous l’avons vu plus haut, les besoins des paysde l’UEMOA dans le domaine de l’accréditation concer-nent prioritairement les laboratoires d’analyses et d’éta-lonnages. Si 150 laboratoires ont été recensés dans lespays de l’UEMOA et 50 sont déjà aidés par leProgramme grâce à la fourniture d’équipements, onestime à une vingtaine le nombre de laboratoires capa-bles de prétendre à moyen terme (cinq ans) à une accré-ditation. Ce qui fait un nombre d’accréditations à gérerde quelques unités dans les deux premières années decréation du SOAC.
Par ailleurs, il faut prendre en compte la spécificitérégionale du SOAC, notamment à travers la composi-tion des comités orientant son fonctionnement : leConseil et le Comité d’accréditation (COMAC), sonpositionnement au sein de la Commission de l’UEMOAet la création d’un réseau de points focaux nationauxd’accréditation (PFNA) qui relaieront son action au seindes pays de la sous-région.
Enfin, il est indispensable que le SOAC soit le seul orga-nisme d’accréditation dans les pays de l’UEMOA etqu’il ait vocation à accréditer tous les types d’OEC :laboratoires, organismes d’inspection et organismes decertification.
Des réponses adaptées
Par la suite, la structure permanente du SOAC devraêtre très légère et assurer aussi des missions de promo-tion de l’accréditation. Un cadre a déjà été recruté etdevrait pouvoir faire face aux missions du SOAC avecune assistante durant les deux premières années de sacréation. Il a déjà reçu l’équipement informatique néces-saire à son fonctionnement.
Afin d’assurer la compétence technique de cette struc-ture permanente très réduite, le directeur du SOACs’appuie sur les responsables d’évaluation pour définir ladurée des audits en fonction de la portée d’accréditationsouhaitée par l’organisme, constituer l’équipe d’évalua-tion et préparer cette évaluation. D’où la nécessité d’êtretrès exigeant sur les compétences des responsables d’éva-luation.
Son positionnement comme étant un service de laCommission de l’UEMOA est assuré et la signature du« règlement d’exécution portant attributions, organisa-tion et fonctionnement du Système ouest-africain d’ac-créditation » devrait intervenir avant la fin de l’année2005. Ce règlement prévoit la création d’un Conseil duSOAC composé d’un représentant par État membre etd’un représentant de la Commission disposant d’unecompétence reconnue en matière de qualité ou d’éva-luation de la conformité. Ce Conseil aura les attribu-tions classiques d’orientation et de contrôle dufonctionnement du SOAC à travers notamment la définition des orientations et l’approbation desprogrammes et des rapports annuels d’activité. Il auraaussi à statuer sur les appels émis par les OEC candidatsà l’accréditation.
Le Conseil met en place, sur proposition du directeurdu SOAC, le Comité consultatif d’accréditationcomposé de 8 à 12 personnalités compétentes et chargéprincipalement d’émettre un avis sur les résultats desévaluations. Les membres pressentis du COMAC ontété formés à l’examen de dossiers d’évaluation d’OEC enjuin 2005.
Le règlement prévoit aussi la possibilité de mettre enplace des comités techniques sectoriels pour assister leCOMAC dans des domaines particuliers. Il donne audirecteur du SOAC les responsabilités opérationnellesnécessaires au bon fonctionnement du service : auto-rité hiérarchique et administrative et décisions relatives
VI. Les principes d’établissement du SOAC
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à l’accréditation. Notons que le règlement stipule quele financement du SOAC est assuré par le budgetgénéral des organes de l’UEMOA, ce qui assure sapérennité.
Enfin, la spécificité régionale du SOAC se traduit par lacréation officielle des PFNA, qui sont hébergés dans desinstitutions nationales et qui ont déjà été nommés parleur pays. Ces PFNA ont été formés en juin 2005 à l’ac-créditation et leur mission a été précisée. Ils devrontassurer la promotion de l’accréditation au sein de leurpays et informer et sensibiliser les OEC potentiellementintéressés sur le fonctionnement de l’accréditation duSOAC. Ils auront par ailleurs un rôle de relais dans latransmission des demandes d’accréditation et desdemandes de qualification en tant qu’évaluateurs quiseront émises à partir de leurs pays. Ces dispositionspermettront d’apporter une assistance de proximité auxOEC ou aux personnes intéressées et d’informer leSOAC sur la réalité du terrain. Elles rendront enfindavantage légitimes les décisions prises par une instancesupranationale.
La norme internationale ISO/CEI 17011
La norme ISO/CEI 17011 fixe les « exigences généralespour les organismes d’accréditation procédant à l’accré-ditation d’organismes d’évaluation de la conformité ».Sa structure en deux parties est conforme à la structured’une norme de la série 17000 réservée à l’accréditation ;elle définit les exigences relatives à l’organisation de l’or-ganisme d’accréditation et des exigences techniques rela-tives au fonctionnement de l’accréditation.
Les exigences relatives au fonctionnement de l’accrédi-tation ont servi de références à l’élaboration desprocessus décrivant le fonctionnement de l’accrédita-tion du SOAC qui sont inclus dans la présente publica-tion. Les exigences relatives à l’organisation del’organisme d’accréditation sont relatives à l’indépen-dance et à l’impartialité de l’organisme, à son systèmede management de la qualité et à la gestion desressources humaines tant internes à l’organisme qu’ex-ternes à l’organisme (évaluateurs). L’indépendance etl’impartialité du SOAC sont la conséquence directe deson positionnement en tant que service de laCommission et de la composition du Conseil du SOACet du COMAC.
La gestion des évaluateurs est décrite dans le processusde « qualification et de suivi de la compétence desévaluateurs » inclus dans la présente publication.
Un système de management de laqualité simple et robuste
Le système de management de la qualité (SMQ) duSOAC doit répondre aux exigences de la normeISO/CEI 17011 et être compatible avec la petite taillede la structure permanente de l’organisme.
Il a donc été prévu de le décrire tout entier dans unmanuel qualité qui présente l’organisation du SOAC ausein de la Commission et les diverses instances quiconcourent à son fonctionnement ainsi que leursmissions (Conseil, COMAC, PFNA, Directeur), lesystème de management de la qualité proprement dit etla gestion des ressources humaines de la structurepermanente du SOAC. Le processus général P00 décri-vant l’accréditation du SOAC est joint à ce manuel pourle rendre complet et permettre à un lecteur extérieur decomprendre l’ensemble du système sans avoir recours àd’autres documents.
En fait, le SMQ est conforme aux règles désormais clas-siques de management de la qualité décrites dans lanorme ISO 9001 et comprend une partie relative aumanagement par objectifs de la structure évalué lors dela revue annuelle de direction, une partie sur l’améliora-tion continue organisée autour du traitement desanomalies incluant les réclamations, des actions correc-tives et préventives et de l’audit interne et les règles degestion documentaire.
Une possibilité de dérogation permettant au directeurdu SOAC de s’écarter temporairement d’une règle fixéedans le SMQ a été introduite pour assurer un fonction-nement plus souple de la structure surtout en période dedémarrage.
Le traitement des anomalies s’appuie sur l’utilisationd’une fiche d’anomalie qui enregistre le dysfonctionne-ment, l’action immédiate qui est apportée pour y remé-dier et l’analyse des causes du dysfonctionnement pouren trouver l’origine. Si l’analyse des causes permetd’imaginer une action corrective qui empêchera ledysfonctionnement de se représenter, cette action estdéfinie, mise en œuvre et son efficacité est vérifiée.Toutes ces opérations sont enregistrées sur la mêmefiche.
La gestion documentaire repose sur l’utilisation du siteInternet du SOAC qui contiendra en lecture seule l’en-semble des documents du SMQ. Seule une collectionpapier de référence approuvée par le directeur du SOACsera conservée par le responsable qualité, et les docu-ments ne seront pas diffusés en version papier. La
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version sur le site Internet sera la seule qui fera foi. Uneliste des documents : manuel qualité, descriptions deprocessus, documents d’information et formulaires indi-quant la version en cours est tenue à jour par le respon-sable qualité et postée aussi sur le site. Chaquedocument est identifié par un code simple, porte sonnuméro de version et sa date et le numéro de chaquepage est indiqué avec mention du nombre total depages. Une page de garde permet d’identifier le docu-ment et d’indiquer l’historique des modifications desversions. Lors de la modification d’un document, lenouveau document est posté sur le site Internet aprèsapprobation par le directeur du SOAC et voit sonnuméro de version évoluer. L’ancien document estconservé à des fins documentaires par le responsablequalité du SOAC revêtu de la mention « périmé ». Lesenregistrements : formulaires, rapports, décisions, cour-riers, produits lors du fonctionnement de l’accréditationet de la structure permanente du SOAC sont décritsdans une liste qui indique le lieu où ils sont conservés etla durée de conservation.
Enfin, la gestion du personnel permanent du SOAC reposesur la définition de fonctions : directeur, chargé d’affaires,responsable qualité, assistante et sur l’élaboration d’unefiche de poste par personne indiquant la ou les fonctionsqu’elle remplit et les éventuelles missions complémentairesdont elle est chargée. Chaque fiche de poste mentionne lescompétences nécessaires pour tenir le poste. Lors d’unrecrutement, le directeur évalue avec l’intéressé le contenudes formations complémentaires à suivre pour atteindre leniveau requis et élabore un programme de formation. Parailleurs, le directeur établit tous les ans le plan de forma-tion des personnels de la structure permanente.
On a donc affaire à un système qualité simple, parfaite-ment gérable à temps partiel par le responsable qualitéet qui devrait assurer un fonctionnement efficace de lastructure permanente du SOAC.
Afin de ne pas alourdir la présente publication et de seconcentrer sur la description du fonctionnement de l’ac-créditation, il a été décidé de ne pas y inclure le manuelqualité. Il peut être demandé au responsable du SOAC.
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VI. LES PRINCIPES D’ÉTABLISSEMENT DU SOAC
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La démarche processus
Pour décrire le fonctionnement de l’accréditation duSOAC, il a été décidé d’utiliser la démarche processusqui est le fondement de la norme ISO 9001 et ainfluencé les rédacteurs de la norme ISO/CEI 17011.Cette méthode consiste à modéliser le fonctionnementd’une structure en décrivant le chemin suivi par lesinformations qu’elle transforme lors de son fonctionne-ment. On trouvera en annexe de cette brochure lesdescriptions des processus relatifs au fonctionnement del’accréditation du SOAC. On peut y remarquer que,autour des colonnes centrales qui indiquent les actionsmenées par les opérateurs du processus, des colonnesindiquent l’origine de l’information, la nature de cetteinformation appelée donnée d’entrée, le document dusystème qualité appliqué pour la traiter, la nature de l’in-formation produite appelée donnée de sortie et la desti-nation de cette donnée de sortie.
Pour réaliser cette description, il faut respecter quelquesrègles simples :
• Les données d’entrée et de sortie ne sont pas des informations générales mais des documents bien identifiés : formulaires, courriers, attestations,etc. ;
• Toute donnée d’entrée provient soit d’une origineextérieure à la structure qui met en œuvre leprocessus, par exemple un OEC candidat à l’accré-ditation, soit d’un autre processus, par exemple unrapport d’évaluation ;
• De même, toute donnée de sortie va soit vers unorganisme extérieur, soit vers un autre processus ;
• L’enchaînement des actions suppose toujours quel’action précédente ait été correctement accomplie. Iln’y a pas de losange de décision « oui/non » commedans une description classique d’ordinogramme afinde ne pas alourdir la lecture. Les différents cas de
figure (décision positive ou négative du Comité, parexemple) sont décrits séparément.
Ce mode de description, outre qu’il permet une visuali-sation très lisible du déroulement d’un processus, offrel’avantage, lorsqu’il est lu en colonnes, de :
• Définir les enregistrements à conserver parprocessus, en sélectionnant dans les données d’entréeet de sortie celles qu’il faut gardées pour apporter lapreuve que l’ensemble des activités prévues ont bienété mises en œuvre. Ces enregistrements sont listésdans la dernière page de la description du processus ;
• Lister les documents nécessaires à la réalisation desactions et les indiquer dans la dernière page de ladescription du processus ;
• Élaborer les fiches de fonction des opérateurs duprocessus en listant en colonne les activités mises enœuvre par ces opérateurs.
Enfin, les descriptions des processus sont « auto-porteuses » car elles contiennent les définitions impor-tantes, détaillent sous forme de renvoi le déroulementdes actions intégrant ainsi les modes opératoires,donnent les définitions des principaux termes employésdans le processus et listent les documents utilisés pourmettre en œuvre le processus et les enregistrements qu’ilproduit.
Le fonctionnement de l’accréditation du SOAC estdécrit dans neuf processus, quatre documents d’infor-mation sont nécessaires pour informer les OEC desparticularités de l’accréditation du SOAC et six formu-laires recueillent les échanges d’informations entre leSOAC et les OEC. Tous ces documents sont intégrés enannexe à cette brochure dans leur intégralité, lescommentaires qui suivent ne font que les introduire eten souligner les spécificités principales.
VII. Le fonctionnement de l’accréditation du SOAC
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Le processus général de fonctionnementde l’accréditation : P00
Le processus d’accréditation est décrit par le processusP00 : « Processus d’accréditation — Description géné-rale» qui a pour objet de décrire le fonctionnementgénéral de l’accréditation incluant les points focauxnationaux d’accréditation (PFNA) et le Comité consul-tatif d’accréditation (COMAC). Ce processus introduittoute la documentation opérationnelle. Il est intégrédans le manuel qualité du SOAC afin de présenter demanière générale l’organisation des activités d’accrédita-tion pour une première information. Il pourra être repro-duit lors de campagnes d’information sur l’accréditation.
On remarquera dans ce processus le rôle attribué auxPFNA qui constituent le relais national du SOACauprès des OEC candidats à l’accréditation, ce quipermet une réponse de proximité pour l’OEC mais quiaussi implique le PFNA dans le développement de l’ac-créditation. Bien entendu le PFNA n’intervient pas dansle processus décisionnel afin d’en assurer une impartia-lité maximale.
Les processus détaillés de fonctionnement de l’accréditation
Traitement de la demande d’octroi, d’extension ou dereprise d’accréditation : P01Ce processus décrit comment la structure permanentedu SOAC gère les demandes d’accréditation qui lui sonttransmises par les PFNA. On constate en effet que lesseuls acteurs sont le directeur et le chargé d’affaires duSOAC qui seront probablement une seule et mêmepersonne dans les deux premières années de fonctionne-ment de la structure.
Ce processus introduit la notion de reprise par le SOACd’une accréditation déjà délivrée par un autre accrédi-teur, ce qui sera un cas de figure qui se présenteralorsque le SOAC sera en mesure de reprendre l’accrédi-tation accordée à un OEC de l’UEMOA par leCOFRAC, par exemple.
Organisation des évaluations : P02Ce processus est le processus central de l’accréditationdu SOAC. Il définit en effet le fonctionnement desévaluations, le cycle d’accréditation avec les évaluationsde surveillance et les réévaluations à l’issue du cycle d’ac-créditation de cinq ans. Il introduit les évaluations d’ex-tension suite à une demande d’extension d’un OEC etles évaluations complémentaires suite à une décision duCOMAC.
On rappellera que le responsable d’évaluation est consi-déré comme venant épauler la structure permanente duSOAC qui, au départ, n’aura pas toutes les compétencesrequises. Il est donc acteur du processus et participenotamment à la définition de l’équipe et de la durée del’audit, grâce à son expérience dans ce domaine.
Ce processus décrit enfin la composition de l’équiped’évaluation emmenée par le responsable d’évaluationen fonction de la nature de l’évaluation concernée.
Décisions relatives à l’accréditation : P03Ce processus gère les suites à donner aux décisions duCOMAC par l’équipe permanente du SOAC. Les diffé-rentes propositions du COMAC — avis défavorable,demande d’évaluation complémentaire, avis favorable— sont traitées successivement afin de préserver la clartéde la présentation.
À noter l’information systématique au PFNA desréponses données aux organismes demandeurs.
Organisation des réunions du COMAC : P04Le directeur du SOAC est le seul interlocuteur duCOMAC, dont il organise les travaux directement avecle président ; il n’y a donc qu’un acteur dans ceprocessus.
Le COMAC est considéré comme une entité extérieureà la structure permanente du SOAC, ce qui dans l’espritest une garantie d’indépendance et renforce la valeur desdécisions.
Qualification et suivi des compétences des évaluateurs :P05 La gestion des auditeurs est explicitée dans ce processusqui prévoit la qualification systématique par le SOACd’auditeurs déjà qualifiés par des organismes d’accrédi-tation reconnus afin de pouvoir bénéficier rapidementdes compétences prouvées.
Comme la compétence du SOAC va reposer, pendantses premières années d’existence, sur celle des responsa-bles d’évaluation, le suivi des compétences de cesderniers est vital et l’exploitation des fiches d’apprécia-tion de l’évaluation est indispensable.
Réduction, suspension ou retrait de l’accréditation :P06Ce processus prévoit les modalités de réduction, suspen-sion ou retrait de l’accréditation, soit sur demande del’OEC accrédité, soit suite à une évaluation négative ouà des plaintes graves et prouvées d’un client de l’OEC.
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Traitement d’une plainte : P07Le traitement d’une plainte d’un client d’un OEC peutconduire à la suspension voire au retrait de l’accrédita-tion de l’organisme par le SOAC. La suspension estsoumise à l’avis du COMAC.
Traitement d’un appel : P08Un appel contre une décision du directeur du SOAC, leplus souvent prise après avis du COMAC, nécessite lerecours à une instance supérieure, ici le président duConseil du SOAC.
Les documents d’information supportant l’accréditation
Définition du périmètre d’accréditation : D01Ce document est fondamental car il guide la rédactiondes périmètres d’accréditation qui seront mentionnésdans les annexes techniques au certificat d’accréditation.Il intègre les trois différents types d’accréditation pourles laboratoires d’essais prévus par la norme ISO 17025 :méthodes fixes, adaptation de méthodes ou de techno-logies et principes de mesure définis.
Code de déontologie de l’évaluateur : D02Ce code doit être signé et retourné par le candidat à laqualification d’auditeur du SOAC. Il a pour vocationprincipale d’attirer l’attention des évaluateurs sur leurnécessaire indépendance vis-à-vis de l’OEC évalué.
Droits et obligations d’un organisme accrédité : D03Ce document, qui est transmis à l’organisme candidat àl’accréditation, avec la décision positive du directeur duSOAC, détaille les conditions de maintien de l’accrédi-tation et les obligations de l’organisme accrédité.
Règles d’utilisation du logo du SOAC : D04Dès que le logo du SOAC sera défini, ses caractéris-tiques techniques seront introduites dans ce document àl’usage des organismes accrédités.
Les formulaires utilisés par le processusd’accréditation
Les formulaires sont les supports de l’information entre leSOAC et ses contacts extérieurs : OEC candidats à l’ac-créditation et évaluateurs. Leur gestion documentaire estconforme à la gestion générale des documents du systèmequalité et ils disposent d’une page de garde qui indique lenuméro de version et l’historique des modifications.Cependant, ils sont utilisés sans cette page de garde.
Demande d’accréditation : F01Ce formulaire permet d’obtenir l’ensemble des informa-
tions nécessaires à l’introduction d’une demande d’oc-troi, de reprise ou d’extension d’une accréditation. Il esttransmis par l’organisme au PFNA qui assure le premierexamen de la demande.
Rapport d’évaluation : F02Document de base du fonctionnement de l’accrédita-tion, le rapport d’audit doit permettre au COMAC dese faire une opinion fondée sur le respect par les orga-nismes des critères d’accréditation.
On remarquera la mise à disposition de plusieurs grillesd’analyse des écarts en fonction du référentiel d’accrédi-tation s’appliquant à l’OEC évalué.
Fiche d’appréciation de l’évaluation : F03Il s’agit ici de recueillir les impressions de l’organismeaudité. Ce formulaire est joint au rapport lors de laréunion du COMAC. Il permet aux membres duComité d’être informé de la perception par l’audité dudéroulement de l’évaluation et du comportement desévaluateurs. Ces éléments peuvent apporter des éclai-rages précieux bien que partiels dans le cas de l’examend’une évaluation difficile.
Par ailleurs, ce formulaire est utilisé pour le suivi desperformances des évaluateurs.
Fiche de remarque ou de non-conformité : F04La fiche est très classique et permet l’enregistrement del’échange entre les évaluateurs et les évalués autour d’unécart aux critères d’accréditation relevé lors de l’audit.
Il est à noter l’importance donnée au responsable d’éva-luation qui signe systématiquement l’écart d’audit quelque soit l’auditeur qui l’a relevé, afin d’assurer l’homo-généité de l’évaluation et de mettre à la disposition desévaluateurs techniques ses connaissances en techniqued’évaluation généralement supérieures aux leurs.
Fiche d’appréciation des prestations des évaluateurs :F05L’évaluation des auditeurs techniques est réalisée par leresponsable d’évaluation à l’issue de celle-ci. Cette fichesert aussi à l’évaluation des évaluateurs juniors qualitéou techniques.
Demande de qualification comme évaluateur qualitéou technique : F06Ce formulaire permet d’obtenir l’ensemble des informa-tions permettant la qualification d’un évaluateur. Il esttransmis par le candidat au PFNA qui s’assure que ledossier est complet.
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VII. LE FONCTIONNEMENT DE L’ACCRÉDITATION DU SOAC
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Le SOAC dispose désormais d’une documentationcomplète définissant son organisation et le fonctionne-ment de son accréditation conforme aux exigences de lanorme ISO/CEI 17011.
Le règlement d’exécution de la Commission del’UEMOA portant attributions, organisation et fonc-tionnement du SOAC est écrit et devrait être signé avantla fin de l’année 2005. Il créera officiellement le SOACen tant que service de la Commission et installera leConseil du SOAC et le Comité consultatif d’accrédita-tion. Il prévoit aussi que le fonctionnement du SOACsera couvert par le budget général de l’accréditation. Dèssa signature, le SOAC pourra demander son adhésioncomme membre associé à l’ILAC et à l’IAF.
Un directeur compétent a été recruté pour le SOAC etest en poste à Ouagadougou. Il est pourvu de l’équipe-ment informatique nécessaire au fonctionnement dusystème. Les pays membres ont nommé les membres duCOMAC et les PFNA qui ont été formés au fonction-nement du SOAC et à l’examen des dossiers d’évalua-tion. Les PFNA ont été équipés du matérielinformatique nécessaire à leur fonctionnement. Desévaluateurs qualité sont en cours de formation pratiqueavec l’aide du COFRAC.
Tout est donc prêt pour le démarrage de l’activité duSOAC qui pourrait organiser conjointement avec leCOFRAC les premières évaluations de laboratoirescandidats à l’accréditation au cours de l’année 2006.Mais il reste à sélectionner le plus rapidement possible leou les premiers évaluateurs qualité issus des pays del’UEMOA qui pourront diriger des évaluations pourque les coûts de celles-ci diminuent.
En parallèle, les coopérations multilatérales ou bilaté-rales pourront accompagner deux laboratoires par payset couvrir les frais d’accréditation pour amorcer leprocessus. Dans les années à venir, ces laboratoiresaccrédités généreront une population d’évaluateurstechniques compétents, ce qui diminuera encore lescoûts des évaluations. Nous avons vu ce phénomène seréaliser au Luxembourg, certes dans des conditionséconomiques différentes, mais avec le même méca-nisme de substitution d’évaluateurs étrangers par desévaluateurs nationaux. Ce cercle vertueux peut et doitse mettre en place pour que les pays de l’UEMOAdisposent d’un outil collectif leur permettant d’ap-porter la preuve irréfutable de la qualité de leursproductions et ainsi d’accéder sans entraves techniquesaux marchés mondiaux.
Perspectives
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Bibliographie
Guide ISO/CEI 62 : Exigences générales relatives auxorganismes gérant l’évaluation et la certification/enregistrement des systèmes qualité
Guide ISO/CEI 65 : Exigences générales relatives auxorganismes procédant à la certification de produits
Guide ISO/CEI 66 : Exigences générales relatives auxorganismes gérant l’évaluation et la certification/enregistrement des systèmes de management envi-ronnemental (SME)
Norme ISO 9001 : Systèmes de management de laqualité — Exigences
Norme ISO 15189 : Laboratoires d’analyses de biologiemédicale — Exigences particulières concernant laqualité et la compétence
Norme ISO/CEI 17011 : Évaluation de la conformité— Exigences générales pour les organismes d’accré-ditation procédant à l’accréditation d’organismesd’évaluation de la conformité
Norme ISO/CEI 17020 : Critères généraux pour lefonctionnement de différents types d’organismesprocédant à l’inspection
Norme ISO/CEI 17024 : Évaluation de la conformité— Exigences générales pour les organismes decertification procédant à la certification depersonnes
Norme ISO/CEI 17025 : Exigences générales concer-nant la compétence des laboratoires d’étalonnageset d’essais
Norme ISO 19011 : Lignes directrices pour l’audit dessystèmes de management de la qualité et/ou demanagement environnemental
Sites Web
IAF : www.iaf.nu
ILAC : www.ilac.org
EA : www.european-accreditation.org
COFRAC : www.cofrac.fr
OLAS : www.olas.public.lu
ISO : www.iso.ch
ONUDI : www.unido.org
UEMOA : www.uemoa.int
Références
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Descriptions de processus
P00 : Processus général de fonctionnement de l’accréditation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .29
P01 : Traitement de la demande d’octroi, d’extension ou de reprise d’accréditation . . . . . .35
P02 : Organisation des évaluations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .41
P03 : Décisions relatives à l’accréditation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .51
P04 : Organisation des réunions du COMAC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .59
P05 : Qualification et suivi des compétences des évaluateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .65
P06 : Réduction, suspension ou retrait de l’accréditation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .71
P07 : Traitement d’une plainte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .75
P08 : Traitement d’un appel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .79
Documents d’information
D01 : Définition du périmètre d’accréditation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .83
D02 : Code de déontologie de l’évaluateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .89
D03 : Droits et obligations d’un organisme accrédité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .93
D04 : Règles d’utilisation du logo SOAC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .97
Formulaires
F01 : Demande d’accréditation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .101
F02 : Rapport d’évaluation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .105
F03 : Fiche d’appréciation de l’évaluation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .117
F04 : Fiche de remarque ou de non-conformité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .121
F05 : Fiche d’appréciation des prestations des évaluateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .123
F06 : Demande de qualification comme évaluateur qualité ou technique . . . . . . . . . . . . . .125
Annexes
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ANNEXES
D01 14/07/05 Page 1 sur 6
N° : D01
TITRE : PÉRIMÈTRE D’ACCRÉDITATION
VERSION : 01
DATE : 14/07/05
Principales modifications : version projet
Approbateur :
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
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1. Objet
Le périmètre d’accréditation décrit toutes les tâches spécifiques d’un organismepour lesquelles l’accréditation est accordée.
Le présent document définit le contenu du périmètre d’accréditation tel qu’il doit êtreprésenté sur le formulaire F01 par l’organisme demandeur et tel qu’il doit figurer dansl’annexe technique du certificat d’accréditation.
2. Laboratoires d’essais
Selon le type d’activité d’un laboratoire d’essais et selon le document EA-2/05, ladéfinition du périmètre d’accréditation se fait d’après les 3 types suivants :
2.1 Type A : Méthodes d’essais définies et fixes
Dans le cas du type A, le périmètre d’accréditation est constitué par une listed’essais ou d’analyses mentionnant leur référence normative ou interne et leur étatde révision.
La modification du périmètre est possible lors d’évaluations de surveillance, deréévaluation ou d’extension de l’accréditation.
L’utilisation correcte de ces méthodes est vérifiée au cours des évaluationsd’accréditation.
2.2 Type B : Méthodes d’essais définies pouvant être modifiées
Dans le cas du type B, les laboratoires d’essais sont autorisés à adapter lesméthodes accréditées à des besoins spécifiques (par exemple les clients) à brèveéchéance selon la situation, sans discussion préalable avec le SOAC.
Ces adaptations doivent être mineures et ne peuvent en aucun cas conduire àl’introduction de nouveaux principes de mesure ou à une modification fondamentalede la méthode d’essais.
La condition d’obtention de ce type d’accréditation est l’existence prouvée de lacompétence nécessaire pour l’évaluation des risques liés aux modificationseffectuées, notamment en ce qui concerne la caractérisation et la validation desméthodes.
Dans ce cas, toutes les méthodes sont reprises dans l’annexe technique du certificatd’accréditation, sans indiquer l’état de la révision.Il appartient au laboratoire de tenir un registre à jour de ses méthodes.
L’évaluation des méthodes d’essais révisées constitue un point important de lasurveillance régulière des laboratoires de type B accrédités.
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ANNEXES
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2.3 Type C : Technologies et principes de mesures définies
Pour ce type le périmètre de l’accréditation est défini par les technologies et desprincipes de mesure pour lesquels les laboratoires d’essais ont prouvé leurcompétence.
L’annexe technique du certificat d’accréditation mentionne ces technologies etprincipes de mesure.
Par contre, les méthodes d’essais pour chaque technologie sont indiquées sous uneforme résumée.
La condition pour obtenir ce type d’accréditation est l’existence prouvée de lacompétence nécessaire à introduire ou à développer de nouvelles méthodes d’essaisy compris les processus de validation des méthodes.
Les laboratoires d’essais de type C tiennent une liste de toutes les méthodesd’essais introduites avec leur état d’actualité.
L’évaluation des méthodes d’essais révisées ou nouvelles constitue un pointimportant lors de la surveillance régulière des laboratoires accrédités de type C.
Le périmètre d’accréditation est à introduire auprès du SOAC sous la formesuivante :
Objet des méthodes d’essais
Méthode d’essai Domaines techniquesd’application
Référentiels(réglementaires,normatifs…)
Méthodesinternes
3. Laboratoires d’étalonnages
Le périmètre d’accréditation pour les laboratoires d’étalonnages reprend la liste desétalonnages concernés mentionnant leur nature, leur domaine de validité, leséventuelles limitations et les incertitudes correspondantes.
Modèle du périmètre d’accréditation souhaitée pour un laboratoire d’étalonnages :
Étalonnage et type demesure
Domaine Limitations Incertitudes de mesure
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
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4. Organismes d’inspection
Les organismes d’inspection peuvent demander leur accréditation dans un ouplusieurs des domaines suivants :
N° 1 - Installations électriques et matérielsN° 2 - Équipements de travail - MachinesN° 3 - Équipements de travail - Appareils et accessoires de levageN° 4 - Appareils et accessoires sous pressionN° 5 - SoudageN° 6 - Énergie, fluides et pureté de l’airN° 7 - Sécurité des personnes et des biensN° 8 - Inspection des produits agricoles et alimentairesN° 9 - Rayonnements ionisants et non ionisantsN° 10 - Inspections industriellesN° 11 - Systèmes informatiquesN° 12 - Matériaux et produits diversN° 13 - EnvironnementN° 14 - HygièneN° 15 - Contrôle technique - ConstructionN° 16 - Constructions de bâtiments et génie civil
Dans chacun de ces domaines, ils indiqueront :
- l’objet des inspections (installations, immeubles, appareils, dispositifs ;composants, etc.) ;
- la phase et le type d’inspection (inspection avant mise en exploitation,inspection finale, inspection périodique, inspection préalable, inspection avantlivraison, inspection de conformité, etc.) ;
- les référentiels d’inspection (réglementaires, normatifs, cahier des charges,etc.).
Modèle du périmètre d’accréditation souhaitée pour un organisme d’inspection :
Objet des inspections : (installations, immeubles, appareils, dispositifs, composants…)__________________________________________________________________________________
Phase d’inspection(inspection avant mise enexploitation, inspectionfinale, inspectionpériodique, inspectionpréalable, inspection avantlivraison, inspection deconformité)
Domaines techniquesd’application
Référentiels d’inspection (réglementaires,
normatifs…)
Procédurestechniques
Par ailleurs, l’annexe technique à la décision d’accréditation mentionnera le typed’organisme tel que défini au paragraphe 4.2. de la norme ISO/CEI 17020.
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ANNEXES
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5 . Organismes certificateurs de systèmes de management
Le périmètre d’accréditation définit avec précision les secteurs d’activité économiquedans lesquels il propose la certification de systèmes de management.
Les organismes doivent énumérer les secteurs d’activité économique (pour lesquelsils interviennent), selon la nomenclature publiée par l’IAF (IAF — Guidance on theapplication of ISO/IEC, guide 62 : 1996 - Issue 2, Annex 1) basée sur NACE Rev. 1(statistical nomenclature for economic activities) publié par la Commission desCommunautés européennes (Journal officiel L 083 1993)
N° Description NACE Code1 Agriculture, chasse, sylviculture, pêche, aquaculture A, B2 Industries extractives C3 Industries agricoles et alimentaires DA4 Industrie textile et habillement DB5 Industrie du cuir et de la chaussure DC6 Travail du bois et fabrication d'articles en bois DD7 Industrie du papier et du carton DE 218 Édition DE 22.19 Imprimerie DE 22.2,310 Cokéfaction et raffinage de pétrole DF 23.1,211 Élaboration et transformation de matières nucléaires DF 23.312 Industrie chimique, fabrication de produits chimiques et de fibres synthétiques DG minus 24.413 Fabrication de produits pharmaceutiques DG 24.414 Industrie du caoutchouc et des plastiques DH15 Fabrication d'autres produits minéraux non métalliques DI minus 26.5,616 Fabrication de béton, ciment, chaux, plâtre, etc. DI 26.5,617 Métallurgie et travail des métaux DJ18 Fabrication de machines et équipements DK19 Fabrication d'équipements électriques et électroniques DL20 Construction et réparation de navires DM 35.121 Construction aéronautique et spatiale DM 35.322 Fabrication d'autres matériels de transport DM 34,35.2,4,523 Autres industries manufacturières DN 3624 Récupération DN 3725 Production et distribution d'électricité E 40.126 Production et distribution de combustibles gazeux E 40.227 Captage, traitement et distribution d'eau E 41,40.328 Construction F29 Commerce de gros et de détail, réparation de véhicules automobiles et
d'articles domestiquesG
30 Hôtels et restaurants H31 Transports, entreposage et communications I32 Activités financières, immobilier, location J,K 70, K 7133 Activités informatiques K 7234 Recherche et développement, activités d'architecture et d'ingénierie K 73, 74.235 Services fournis principalement aux entreprises K 74 minus K 74.236 Administration publique L37 Éducation M38 Santé et action sociale N39 Services collectifs, sociaux et personnels O
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
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6 . Organismes certificateurs de produits ou services
Le périmètre d’accréditation mentionne la liste des produits ou services pour lesquelsl’organisme certificateur demande son accréditation.
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ANNEXES
D02 14/07/05 Page 1 sur 3
N° : D02
TITRE : CODE DE DÉONTOLOGIE DE L’ÉVALUATEUR
VERSION : 01
DATE : 14/07/05
Principales modifications : version projet
Approbateur :
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
D02 14/07/05 Page 2 sur 3
Dans le cadre de ses activités effectuées pour le SOAC, l'évaluateur s'engage à :
a) informer le SOAC, avant d'accepter une mission qui lui est proposée, de touterelation (en particulier, activités de conseil, liens familiaux ou professionnels) qu'ilpourrait avoir ou avoir eue avec l'organisme à évaluer, à titre personnel ou du fait deson employeur et qui pourrait faire douter de son indépendance de jugement ;
b) n'accepter aucun paiement, cadeau, commission ou autre avantage même nonmatériel, pour lui-même ou ses proches, de la part des organismes évalués, de leursreprésentants ou de n'importe quelle partie concernée qui pourrait faire douter deson indépendance au moment de l'évaluation ;
c) mettre en évidence les faits en toute objectivité, honnêteté et équité, avecexactitude et précision ;
d) maintenir en permanence une attitude de dialogue et éviter toute attitude arbitraireet autoritaire ;
e) prendre toutes précautions pour éviter que ne soient divulgués directement ouindirectement, de son fait ou des personnes dont il est responsable, des documentsou informations dont il pourrait avoir connaissance dans le cadre de ses activitésd'évaluation ainsi que des documents ou informations dont il pourrait avoirconnaissance lors de ses visites dans les locaux du SOAC ;
Remarque : en quittant les locaux de l’organisme évalué, l’évaluateur s’oblige àrendre tout document appartenant à l’évalué.
f) agir de façon à préserver une image positive du client, du SOAC et de l'évaluationtierce partie ;
g) faire profiter de son expérience le corps des évaluateurs du SOAC auquel ilappartient ;
h) ne pas tirer profit de la mission pour établir dans les deux années qui suivent la finde la dernière évaluation effectuée des liens commerciaux avec l'entreprise évaluée ;
i) s'efforcer d'améliorer ses compétences, l'efficacité et la qualité de ses prestations ;
j) tenir un état des évaluations effectuées et des formations suivies ;
k) respecter les principes de l’évaluation énoncés dans la norme ISO EN 19011 ;
l) mener les évaluations en conformité avec les exigences du SOAC ;
m) coopérer à toute demande d'information ou procédure formelle d'instruction, encas de manquement ou d’infraction supposée à ce code.
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ANNEXES
D02 14/07/05 Page 3 sur 3
En cas de non-respect du code de déontologie, le SOAC signifiera à l'intéressé le faitou les faits reproché(s) susceptible(s) d'entraîner une suspension ou une annulationde sa qualification.
Après avoir entendu ses arguments, et après avis du Comité consultatifd’accréditation, le SOAC se prononcera et lui signifiera sa décision par courrier.Cette décision ne sera susceptible d'aucun dédommagement.
L’évaluateur est informé que le SOAC n’assure pas les risques professionnels aucours des missions d’évaluation.
Date :………….……………………………
Nom :……………………………………….
Signature :…………..………………………
(Faire précéder de la mention "lu et approuvé".)
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ANNEXES
D03 14/07/05 Page 1 sur 4
N° : D03
TITRE : DROITS ET OBLIGATIONS D’UN ORGANISME ACCRÉDITÉ
VERSION : 01
DATE : 14/07/05
Principales modifications : version projet
Approbateur :
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
D03 14/07/05 Page 2 sur 4
1.Communication sur l’accréditation
L’organisme accrédité :- est autorisé à se référer à son statut d’accrédité et à utiliser le logo du SOAC
moyennant le respect des conditions spécifiées au document d’informations D04 ;
- ne peut déclarer qu’il est accrédité que pour les activités pour lesquellesl’accréditation a été délivrée et qui sont exécutées en conformité aux critèresd’accréditation ;
- est tenu de fournir sur simple demande copie du certificat d’accréditationaccompagné obligatoirement de son annexe technique ;
- ne peut fournir copie ou faire mention du certificat non accompagné de sonannexe technique qu’à des fins d’information générale ;
- ne peut utiliser son accréditation d’une manière à porter préjudice à la réputationde l’organisme d’accréditation et ne peut faire de déclaration se rapportant àl’accréditation que l’organisme d’accréditation pourrait raisonnablementconsidérer comme trompeuse, ou qui pourrait induire un tiers en erreur ;
- doit se conformer, au-delà des directives reprises dans le présent document, auxrègles déontologiques éventuellement applicables dans son secteur d’activitésparticulier ;
- doit cesser immédiatement d’utiliser son certificat d’accréditation ou sonaccréditation dès son échéance et cesser tout type de publicité qui, d’unemanière ou d’une autre, s’y réfère ;
- est tenu d’indiquer clairement, dans tous les contrats avec ses clients, que sonaccréditation ou un quelconque rapport d’essai ou de contrôle, ne constituentjamais une approbation du produit par le SOAC.
2. Information des laboratoires ou organismes accrédités
Le SOAC assure aux laboratoires ou aux organismes accrédités l’accès auxdocuments relatifs à l’accréditation sur son site internet.
3. Maintien de l’accréditation
Pour maintenir leur accréditation, les organismes accrédités doivent remplir lesconditions suivantes :
- satisfaire à tout moment aux critères d’accréditation ;
- respecter le programme de surveillance spécifié dans la décision d’accréditation ;
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ANNEXES
D03 14/07/05 Page 3 sur 4
- autoriser les visites de surveillance hors programme du SOAC, dans le cadre desévaluations EA (European Cooperation for Accreditation), IAF (InternationalAccreditation Forum et ILAC (International Laboratory Accreditation Cooperation) ;
- collaborer avec le SOAC et ses représentants pour examiner toute plainte ouobservation émise par un tiers et relative aux activités du laboratoire ou del’organisme accrédité ;
- autoriser les visites de surveillance hors programme du SOAC dans le cadre del'examen d'une plainte. Le délai de visite ne peut être inférieur à 5 joursouvrables, à compter de la date à laquelle le laboratoire ou l’organisme a étéinformé par le SOAC ;
- offrir au SOAC et à ses représentants la coopération nécessaire pour contrôler lerespect des conditions d’accréditation.
Cette coopération doit comprendre :
� l’autorisation pour le représentant d’assister aux essais et/ou contrôles ;
� l’exécution de tout contrôle raisonnable permettant à l’organismed’accréditation de vérifier la capacité du laboratoire ou de l’organisme àréaliser des essais et/ou contrôles ;
� dans le cas des laboratoires, la participation à tout programme appropriéd’essais d’aptitude et de comparaison que l’organisme d’accréditationpourrait raisonnablement juger nécessaire ;
� l’autorisation pour le SOAC d’examiner les résultats des évaluationsinternes ou des essais d’aptitude ;
� la mise à disposition, sur demande, des enregistrements de toutes lesplaintes, appels et contestations, ainsi que des mesures subséquentes ;
- communiquer immédiatement par écrit au SOAC tout changement de natureorganisationnelle susceptible de modifier le respect des conditions d’accréditationou le domaine d’accréditation. Cette disposition vise en particulier lesmodifications concernant le statut légal du laboratoire ou de l’organisme, le sited’exploitation et les titulaires des fonctions de direction, responsable technique etresponsable qualité ;
- s’acquitter des redevances fixées par le SOAC ;
- avertir par écrit toute annulation de la réalisation d’une évaluation. En casd’annulation à moins de 10 jours ouvrables avant la date de début de l’évaluation,25 % des frais de prestation des évaluateurs, acceptés dans le devis du SOAC,devront être pris en charge par le laboratoire ou l’organisme.
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
D03 14/07/05 Page 4 sur 4
4. Extension du domaine d’accréditation
Un organisme accrédité peut, à tout moment, introduire auprès du SOAC unedemande d’extension du domaine d’accréditation initial.
Les modalités d’examen d’un dossier d’extension sont énoncées dans le processusP01.
5. Suspension volontaire ou renoncement à l’accréditation
Un laboratoire ou organisme accrédité peut, à tout moment, demander la réduction,la suspension ou le retrait définitif de son accréditation au SOAC par lettrerecommandée.
En cas de suspension volontaire de l’accréditation, le SOAC s’assure par tous lesmoyens à sa convenance que l’organisme accrédité remplit de nouveau lesconditions d’accréditation en vigueur au terme de la suspension.
Les modalités de suspension d’une accréditation sont énoncées dans le processusP06.
6. Suspension ou retrait de l’accréditation
Lorsque les conditions d’accréditation ne sont plus remplies, le SOAC peutsuspendre ou retirer l’accréditation d’un organisme.
Les modalités de suspension ou de retrait de l’accréditation sont prévues dans leprocessus P06.
En cas de suspension d’une accréditation, le SOAC s’assure, par tous moyens et àsa convenance, qu’au terme de la suspension l’organisme accrédité remplit ànouveau les conditions de l’accréditation.
7. Confidentialité
Toute information transmise au SOAC ou à un de ses représentants dans le cadredu traitement d’un dossier d’accréditation est soumise à la stricte confidentialité.
8. Recours
Dans le cas d’une décision défavorable prise à son encontre par le SOAC,l’organisme accrédité ou candidat à l’accréditation peut faire appel selon lesmodalités exposées dans le processus P08.
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ANNEXES
D04 14/07/05 Page 1 sur 3
N° : D04
TITRE : RÈGLES D’UTILISATION DU LOGO DU SOAC
VERSION : 01
DATE : 14/07/05
Principales modifications : version projet
Approbateur :
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
D04 14/07/05 Page 2 sur 3
1. Conditions d’utilisation du logo par les organismes accrédités
1.1 Le logo du SOAC peut être utilisé par les organismes accrédités.
1.2 En cas de suspension et par dérogation aux dispositions ci-dessous, le SOACpeut autoriser une entité suspendue à continuer à utiliser du papier à en-tête ou toutdocument promotionnel portant le logo ou faisant référence à l’accréditation, dansdes conditions et pour une durée formellement précisées par le SOAC.
1.3 Le logo peut figurer sur :
- les certificats ou rapports émis par le laboratoire ou l’organisme accrédité.Les analyses, étalonnages, inspections ou certifications non couverts parl’accréditation doivent être clairement identifiés, de même pour lesanalyses, étalonnages, inspections ou certifications couverts parl’accréditation ;
- les documents informatifs, commerciaux ou publicitaires qui sont, au moinspartiellement, en relation avec le domaine couvert par l’accréditation. Lesdomaines couverts par l’accréditation doivent être clairement identifiés ;
- le papier à en-tête utilisé par un organisme accrédité.
Si un papier à en-tête, sur lequel est apposé le logo du SOAC, est utilisé,par exemple pour un devis reprenant uniquement des services noncouverts par l’accréditation, le texte doit le mentionner clairement. La mêmerègle s’applique aux lettres qui accompagnent les rapports ou certificatsdont les essais, inspections ou certifications ne sont pas couverts parl’accréditation ; une mention du type : « les essais repris dans le rapport ci-joint ne sont pas couverts par l’accréditation », doit y figurer.
Si le logo est utilisé sur du papier à en-tête, il doit obligatoirement figurer enbas de page.
1.4 Le logo ne peut être utilisé par un organisme accrédité que si :
- le logo de l’organisme et/ou leur dénomination figure(nt) sur le document ;
- le numéro d’accréditation de l’organisme figure en dessous ou à côté dulogo du SOAC, suivi de la référence à la norme support de l’accréditation.
L’utilisation du logo du SOAC ne signifie pas que le SOAC atteste de l’exactitudedes essais, des étalonnages ou des décisions relatives aux inspections oucertifications réalisés.
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ANNEXES
D04 14/07/05 Page 3 sur 3
1.5 Le logo ne peut être apposé sur :
- les documents généraux à en-tête de l’institution, du laboratoire ou del’organisme dont dépend, le cas échéant, le laboratoire ou l’organismeaccrédité proprement dit ;
- les documents émis à la suite d’activités incompatibles avec cellescouvertes par le certificat d’accréditation ;
- un rapport ou certificat ne mentionnant aucune activité couverte parl’annexe technique (aucune référence sur l’accréditation ne doit apparaîtresur ces rapports ou certificats) ;
- les cartes de visite du personnel des entités accréditées.
2. Présentation du logo
(à définir)
3. Sanctions en cas de non-respect des modalités d’utilisation du logo SOACpar un laboratoire ou organisme accrédité
3.1 Le SOAC notifie immédiatement à l’organisme accrédité l’obligation de seconformer aux dispositions du présent document.
3.2 Le SOAC peut, sur avis motivé, décider de mettre en œuvre le processus P06 :réduction, suspension ou retrait de l’accréditation.
3.3 Nonobstant les dispositions reprises sous 3.1 et 3.2, le SOAC peut engager lesdémarches nécessaires auprès des tribunaux pour tout abus d’usage qui nerespecterait pas les principes du présent document ou provoquerait une confusion.
4. Fin de l’accréditation
Dans le cas d’un retrait de l’accréditation, l’organisme concerné doit prendre lesdispositions qui s’imposent pour faire disparaître de tout support, dans un délaimaximal d’un mois, le logo du SOAC, de même que toute référence textuelle àl’accréditation.
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ANNEXES
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DEMANDE D’ACCRÉDITATION
Note : les informations suivantes doivent être fournies sur papier à en-tête de l’organisme et envoyées
au point focal national d’accréditation (PFNA) du pays où réside l’organisme accompagnées de deux
exemplaires du manuel qualité.
A – INFORMATIONS SUR L’ORGANISME DEMANDEUR :
Raison sociale :
Adresse :
Tél. : Fax : Courriel :
Statut juridique :
N° registre de commerce :
B – INFORMATIONS SUR LES RESPONSABLES DE L’ORGANISME
B –1 Responsable de l’organisme
Nom :
Prénom :
Fonction :
Tél. : Fax : Courriel :
B – 2 Correspondant du SOAC
Nom :
Prénom :
Fonction :
Tél. : Fax : Courriel :
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102
LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
C – INFORMATION SUR LES ACTIVITÉS DE L’ORGANISME
Activité principale de l’organisme :
Personnel employé (nombre) :
Activité concernée par la demande d’accréditation :
Nombre de personnes concernées par cette activité :
Identification de l’entreprise ou l’institution à laquelle l’organisme est rattaché (le caséchéant)
Raison sociale :
Adresse :
Tél. : Fax : Courriel :
Statut juridique :
Activités principales :
D – OBJET DE LA DEMANDE D’ACCRÉDITATION
D – 1 Demande initiale d’accréditation
Périmètre d’accréditation souhaité (voir document D01)
D – 2 Demande d’extension d’accréditation
Extension du périmètre d’accréditation souhaitée (voir document D01)
D – 3 Reprise d’accréditation
Nom de l’organisme accréditeur :
N° d’accréditation :
Date d’expiration :
Joindre une copie du certificat d’accréditation et de l’annexe technique.
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103
ANNEXES
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E – DÉCLARATION
Le demandeur soussigné, autorisé à engager la responsabilité de l’organisme :
- s’engage à fournir tous les documents et renseignements nécessaires àl’examen de sa demande ;
- déclare avoir pris connaissance du fonctionnement de l’accréditation duSOAC ;
- accepte de respecter la procédure d’accréditation définie dans les processusdu SOAC relatifs à l’accréditation ;
- accepte de recevoir l’équipe d’évaluation, de s’acquitter des droits dont estredevable un organisme candidat à l’accréditation quels que soient lesrésultats de l’examen de l’évaluation par le SOAC et de régler les fraisrésultant de la surveillance ultérieure de son accréditation par le SOAC ;
- autorise les visites de surveillance hors programme du SOAC dans le cadredes évaluations des organisations internationales de reconnaissancemutuelle : EA, IAF ou ILAC.
NOM :
Prénom :
Date :
Signature :
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ANNEXES
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RAPPORT D’ÉVALUATION
ORGANISME ÉVALUÉ : ………………………………………………………….
N° identification SOAC : …………………………………………………………..
Date(s) de l’évaluation : …………………………………………………………………..
Type d’évaluation : - INITIALE………………….- EXTENSION……………..- REPRISE………………..- SURVEILLANCE……….- RÉÉVALUATION…….….- COMPLÉMENTAIRE…..
Référentiel d’évaluation : ……………………………………………………………….
Champ de l’évaluation : (sites et périmètre : joindre l’annexe technique validée)………………………………………………………………………………………………
Responsable d’évaluation : ……………………………………………………………..
Date : ……………………………………………………………………………………….
Signature :
Ce rapport comporte ……. pages et . ……annexes
Page/Nbre pages du rapport /
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
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COMPOSITION DE L’ÉQUIPE D’ÉVALUATION
Nom et prénom Qualification * Domaine de compétence
technique
*EQ : Évaluateur qualiticien – ET : évaluateur technique – Ob :observateur –
EJQ : évaluateur qualiticien junior – EJT : évaluateur technique junior
PERSONNES RENCONTRÉES
Nom et prénom Fonction Service
Page/Nbre pages du rapport /
Organisme évalué……………………………………………………………………………….
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ANNEXES
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SYNTHÈSE DU RESPONSABLE D’ÉVALUATION
En particulier l’accent sera mis sur :1) Points forts de l’organisme2) Points sensibles de l’organisme3) Informations complémentaires éventuelles sur les non-conformités ou les remarques4) Appréciation générale quant à la confiance dans la compétence organisationnelle et technique de l’organismepour réaliser les prestations mentionnées sur le périmètre d’accréditation.
Le responsable d’évaluation :Date :Signature :
Page/Nbre pages du rapport /
Organisme évalué……………………………………………………………………………………….
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
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CONCLUSIONS TECHNIQUES
Domaine de compétence technique évalué :
En particulier l’accent sera mis sur :1) Points forts de l’organisme au plan technique2) Points sensibles de l’organisme au plan technique3) Informations complémentaires éventuelles sur les non-conformités ou les remarques techniques4) Appréciation quant à la confiance dans la compétence technique de l’organisme pour réaliser les prestationsmentionnées sur le périmètre d’accréditation.
L’évaluateur technique :Date :Signature :
Page/Nbre pages du rapport /
Organisme évalué…………………………………………………………………………………….
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ANNEXES
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RELEVÉ DES ÉCARTS AUX EXIGENCES DE L’ACCRÉDITATIONRÉFÉRENTIEL 17025
Chapitres concernés NC RNANE
No(s) fiche(s) Commentaires (le cas échéant)
4 - Prescriptions relatives au management
4.1 Organisation
4.2 Système qualité
4.3 Maîtrise de la documentation
4.4Revue des demandes, appels d'offres etcontrats
4.5Sous-traitance des essais et desétalonnages
4.6 Achats de services et de fournitures
4.7 Services à la clientèle
4.8 Réclamations
4.9Maîtrise des travaux d'essai et/oud'étalonnage non conformes
4.10 Actions correctives
4.11 Actions préventives
4.12 Maîtrise des enregistrements
4.13 Évaluations internes
4.14 Revues de direction
5 - Prescriptions techniques
5.1 Généralités
5.2 Personnel
5.3 Installations et conditions ambiantes
5.4Méthodes d'essai et d'étalonnage etvalidation des méthodes
5.5 Équipement
5.6 Traçabilité du mesurage
5.7 Échantillonnage
5.8Manutention des objets d'essai etd'étalonnage
5.9Assurer la qualité des résultats d'essai etd'étalonnage
5.10 Rapport sur les résultats
TOTAL
NC : Non-Conformité NA : Non Applicable Page/Nbre pages du rapport /R : Remarque NE : Non Examiné
Organisme évalué …………………………………………………………………………………………..
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
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RELEVÉ DES ÉCARTS AUX EXIGENCES DE L’ACCRÉDITATIONRÉFÉRENTIEL : GUIDE ISO/CEI 65
Chapitres concernés NC RNANE
No(s) fiche(s) Commentaires (le cas échéant)
4 - Organisme de certification
4.1 Dispositions générales
4.2 Organisation
4.3 Fonctionnement
4.4 Sous-traitance
4.5 Système qualité
4.6Conditions et procédures pour l’octroi, le maintien,l’extension, la suspension et le retrait de lacertification
4.7 Évaluations internes et revues de direction
4.8 Documentation
4.9 Enregistrements
4.10 Confidentialité
5 - Personnel de l’organisme de certification
5.1 Généralités
5.2 Critères de qualification
6 - Modification des exigences pour la certification
7 - Appels, plaintes et contestations
8 - Demande de certification
8.1 Information sur la procédure
8.2 La demande
9 - Préparation de l’évaluation
10 - Évaluation
11 - Rapport d’évaluation
12 - Décision de certification
13 - Surveillance
14 - Utilisation des licences, certificats et marques
de conformités
15 - Plaintes auprès du fournisseur
TOTAL
NC : Non-Conformité NA : Non Applicable Page/Nbre pages du rapport /R : Remarque NE : Non Examiné
Organisme évalué ………………………………………………………………………………………. …
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ANNEXES
RELEVÉ DES ÉCARTS AUX EXIGENCES DE L’ACCRÉDITATIONRÉFÉRENTIEL : GUIDE ISO/CEI 62
Première page
Chapitres concernés NC RNANE
No(s) fiche(s)Commentaires (le cas échéant)
Section 2 - Exigences relatives aux organismes de certification
2.1 Organisme de certification
2.1.1 Dispositions générales
2.1.2 Organisation
2.1.3 Sous-traitance
2.1.4 Système qualité
2.1.5
Conditions pour l’octroi, le maintien, l’extension,la réduction, la suspension et le retrait de lacertification
2.1.6 Évaluations internes et revues de direction
2.1.7 Documentation
2.1.8 Enregistrements
2.1.9 Confidentialité
2.2 - Personnel de l’organisme de certification
2.2.1 Conditions générales
2.2.2Critères de compétence des évaluateurs et desexperts techniques
2.2.3 Procédure de sélection
2.2.4 Personnel sous contrat
2.2.5 Enregistrement relatif au personnel d’évaluation
2.2.6Procédures à la disposition des équipesd’évaluation
2.3Modifications apportées aux exigences de
certification
2.4 Appels, plaintes et contestations
NC : Non-Conformité NA : Non Applicable Page/Nbre pages du rapport /R : Remarque NE : Non Examiné
Organisme évalué ……………………………………………………………………………………….
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
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RÉFÉRENTIEL : GUIDE ISO/CEI 62
Deuxième page
Section 3 - Exigences en matière de certification
3.1 Demande en matière de certification
3.1.1 Information sur la procédure
3.1.2 La candidature
3.2 Préparation pour l’évaluation
3.3 Évaluation
3.4 Rapport d’évaluation
3.5 Décision en matière de certification
3.6 Procédures de surveillance et de réévaluation
3.7 Utilisation de certificats et de logos
3.8Accès aux enregistrements des plaintes àl’encontre des fournisseurs
TOTAL
NC : Non-Conformité NA : Non ApplicableR : Remarque NE : Non Examiné
Page/Nbre pages du rapport /
Organisme évalué ……………………………………………………………………………………….
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ANNEXES
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RELEVÉ DES ÉCARTS AUX EXIGENCES DE L’ACCRÉDITATION
RÉFÉRENTIEL : ISO 17020
Chapitres concernés NC RNANE
No(s) fiche(s) Commentaires (le cas échéant)
2 Exigences administratives
4 Indépendance, impartialité et intégrité
5 Confidentialité
6 Organisation et management
7 Système qualité
8 Personnel
9 Installations et équipements
10 Méthodes et procédures d’inspection
11Manipulation des échantillons et objets présentésà l’inspection
12 Enregistrements
13 Rapports d’inspection et certificats d’inspection
14 Sous-traitance
15 Réclamations et recours
16 Coopération
TOTAL
NC : Non-Conformité NA : Non ApplicableR : Remarque NE : Non Examiné
Page/Nbre pages du rapport /
Organisme évalué ……………………………………………………………………………………….
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
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PROCÈS VERBAL DE CLÔTURE
Lieu : …………………………… Date : ……………………………
PERSONNEL DE L’ORGANISME ET ÉVALUATEURS
NOM PRÉNOM FONCTION
Bilan du solde des fiches d’écart de l’évaluation précédente :
Non-conformités demeurant non soldées
Remarques demeurant non soldées
Nombre de fiches d’écart remises à l’organisme : (toutes activités confondues)
Non-conformité(s) Remarque(s)
Le représentant de l’organisme reconnaît avoir pris connaissance du contenu desfiches d’écart et exprimé son désaccord éventuel. Il est rappelé que seul le directeurdu SOAC est habilité pour prononcer la décision d’accréditation.
Signature du représentant de l’organisme Signature du responsable d’évaluation
Page/Nbre pages du rapport /
Organisme évalué ……………………………………………………………………………………….
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ANNEXES
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ANNEXES
N°annexe
Intitulé de l’annexeNbre depages
1 Écart(s) de l’évaluation précédente NON SOLDÉ(S)
2 Périmètre d’accréditation validé formellement par le responsable d’évaluation
3
4
5
6
7
8
9
10
Page/Nbre pages du rapport /
Organisme évalué ……………………………………………………………………………………….
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ANNEXES
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FICHE D’APPRÉCIATION DE L’ÉVALUATIONÀ remplir par l’organisme évalué
ORGANISME ÉVALUÉ : ………………………………………………………………Date de l’évaluation …………………………………………………………………………
Évaluation Initiale Extension SurveillanceReprise Réévaluation Complémentaire
1) Préparation de l’évaluation OUI NON
Avez-vous reçu le programme d’évaluation suffisamment àl’avance ?
Avez-vous le sentiment que l’évaluation ait été convenablementpréparée ?
2) Déroulement de l’évaluation OUI NON
Les évaluateurs ont-ils bien appréhendé le fonctionnement de votreentité ?Commentaires éventuels :
Estimez-vous le temps passé par les évaluateurs « en salle » et« sur le terrain » équilibré ?Commentaires éventuels :
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
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Indiquez quels chapitres vous paraissent avoir été peu ou tropexaminés et commentez :
PEU TROP
3) Appréciation sur le responsabled’évaluationNOM :
Trèsbien
Bien À améliorer Insuffisant
Compréhension en technique d’évaluation
Compréhension de votre métier
Niveau de détail de l’évaluation
Rigueur
Objectivité, compréhension
Ouverture au dialogue, qualité des relations
Commentaire éventuel :
4) Appréciation sur l’évaluateur techniqueNOM :Domaine :
Trèsbien
Bien À améliorer Insuffisant
Compréhension de votre métier
Niveau de détail de l’évaluation
Rigueur
Objectivité, compréhension
Ouverture au dialogue, qualité des relations
Connaissance technique, expertise
Commentaire éventuel
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ANNEXES
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5) Appréciation sur l’évaluateur techniqueNOM :Domaine :
Trèsbien
Bien À améliorer Insuffisant
Compréhension de votre métier
Niveau de détail de l’évaluation
Rigueur
Objectivité, compréhension
Ouverture au dialogue, qualité des relations
Connaissance technique, expertise
Commentaire éventuel :
6) Appréciation sur l’évaluateur techniqueNOM :Domaine :
Trèsbien
Bien À améliorer Insuffisant
Compréhension de votre métier
Niveau de détail de l’évaluation
Rigueur
Objectivité, compréhension
Ouverture au dialogue, qualité des relations
Connaissance technique, expertise
Commentaire éventuel :
7) Rapport d’évaluation OUI NON
Le rapport d’évaluation vous a-t-il apporté toute l’information quevous souhaitiez ?
Les conclusions du responsable d’évaluation vous paraissent-ellesfondées et pertinentes ?Commentaire éventuel :
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
F03 10/11/04 Page 4 sur 4
8) Conclusions généralesVeuillez indiquer ci-dessous vos impressions générales ainsi que les pistes deprogrès que vous suggérez dans l’organisation des évaluations du SOAC.
Formulaire à envoyer dès réception du rapport d’évaluation au SOAC :
Adresse :Fax :
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ANNEXES
SOAC Organisme évalué :
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FICHE DE REMARQUE OU DE NON-CONFORMITÉ
Remarque : Non-conformité :
Référentiel : (norme, procédure, réglementation…) Paragraphe de la norme : Lieu du constat (si évaluation multisites)
Situation constatée lors del’évaluation :
concerne l’application : concerne la documentation :
Description :
ÉV
AL
UA
TE
UR
Date :Évaluateur
Signature du RA :
Accord de l’organisme évalué : Oui : Non :Commentaires, justificatifs éventuels :
Date :Représentant del'organisme évalué :
Signature :
Action corrective proposée : Délai d’application :
Responsable de l'application :
OR
GA
NIS
ME
ÉV
AL
UÉ
Date :Représentant del'organisme évalué :
Signature :
Pertinence de l’action proposée : Oui : Non :Commentaires :
ÉV
AL
UA
TE
UR
Date : Signature du RA :
1re
vérification de l’efficacité de l’action prévue
Vérification documentaire Évaluation de surveillance Évaluation complémentaire RéévaluationL'écart est soldé pour : l'application la documentation l'applic. et la documentationCommentaires :
ÉV
AL
UA
TE
UR
Date : Évaluateur Signature du RA :
N°
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ANNEXES
F05 14/07/05 Page 1 sur 1
FICHE D’APPRÉCIATION DES PRESTATIONS DES ÉVALUATEURSÀ remplir par le responsable d’évaluation
ORGANISME ÉVALUÉ : ………………………………………………………………Date de l’évaluation ………………………………………………………………………..
Évaluation Initiale Extension SurveillanceReprise Réévaluation Complémentaire
Appréciation sur l’évaluateur techniqueou l’évaluateur juniorNOM :Domaine :
Trèsbien
Bien À améliorer Insuffisant
Préparation de l’évaluation
Compréhension en technique d’évaluation
Compréhension du métier de l’entité évaluée
Connaissance technique, expertise
Niveau de détail de l’évaluation
Attention portée à l’application desprocédures
Attention portée à la compétence dupersonnel
Rigueur
Objectivité, compréhension
Ouverture au dialogue, qualité des relations
Justification des écarts par rapport auxcritères d’évaluation
Confiance en soi
Commentaires éventuels :
Responsable d’évaluation :Date :Signature :
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ANNEXES
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DEMANDE DE QUALIFICATION COMME ÉVALUATEUR
A – INFORMATIONS PERSONNELLES
NOM :
Prénom :
Adresse personnelle :
Tél. : Fax : Courriel :
B – FORMATIONS (joindre les copies des diplômes et les justificatifs de formation)
B –1 Formation initiale
Diplômes :
B – 2 Formation continue (n’indiquer que trois formations complémentairesprincipales)
Formation 1 :
Formation 2 :
Formation 3 :
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
F06 14/07/05 Page 2 sur 4
B – 3 Langues
Langues Écrit Oralbon courant bon courant
C – EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES (indiquer les quatre dernières activitésprofessionnelles)
Dates Du auOrganismeFonctionPoste occupéDescriptif
Nom et téléphone d’unresponsable
Dates Du auOrganismeFonctionPoste occupéDescriptif
Nom et téléphone d’unresponsable
Dates Du auOrganismeFonctionPoste occupéDescriptif
Nom et téléphone d’unresponsable
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ANNEXES
F06 14/07/05 Page 3 sur 4
Dates Du auOrganismeFonctionPoste occupéDescriptif
Nom et téléphone d’unresponsableSi vous êtes qualifié par un organisme d’accréditation membre ou reconnu par l’EAou l’IAF ou l’ILAC, allez directement à la section G.
D – DOMAINE D’INTERVENTION SOUHAITÉE AU SOAC
Évaluateur qualité * ISO 17025ISO 17020ISO 15189GUIDE ISO/CEI 65GUIDE ISO/CEI 62GUIDE ISO/CEI 66
Évaluateur technique * Domaine technique concerné 1 :
* Cocher la mention souhaitée1 À renseigner
E – FORMATION DANS LE DOMAINE DE L’ÉVALUATION (joindre le certificat)
Organisme de formation :
Intitulé du stage :
Dates :
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LE SYSTÈME OUEST-AFRICAIN D’ACCRÉDITATION
F06 14/07/05 Page 4 sur 4
F – EXPÉRIENCE D’ÉVALUATION (remplir le tableau ci-dessous et joindre copiede la première page des rapports)
Organisme évalué Référentield’évaluation
Dates Durée del’évaluation(avec préparation)
Rôle :évaluateur qualitéévaluateur techniqueévaluateur junior
G – VOUS ÊTES QUALIFIÉ PAR UN AUTRE ORGANISME D’ACCRÉDITATION(joindre les justificatifs de votre qualification)
NOM DE L’ORGANISME :
Adresse :
Domaine de qualification :
Date d’obtention de la qualification :
Date d’expiration de la qualification :
H – DÉCLARATION
Le demandeur déclare connaître le fonctionnement du SOAC et s’engage à fournirtous les compléments d’information qui lui seront demandés.
Fait à :
Le :
Signature :
Le formulaire doit être accompagné du code de déontologie de l’évaluateur (D02)signé.
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ain
e intégration au commerce internationalp tégration au commerce international
initiative pour le renforcement Programme qualité UEMOAac t
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