le suicide chez les jeunes : parlons-en

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LE SUICIDE CHEZ LES JEUNES PARLONS-EN!

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Le suicide chez les jeunes : parlons-en

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LE SUICIDE CHEZ LES JE

UNES

PARLONS-EN!

INVERSELA TENDANCE

« On estime que près de huit personnes sur

dix qui ont tenté de se suicider ou qui se

sont suicidées en avaient déjà parlé précé-

demment à un copain ou une copine. »

8 personnes sur 10

I.

Aujourd’hui, le suicide reste un des sujets les plus tabous dans notre société. Qui de la victime, de la famille ou des amis peut réellement briser le silence? En réalité, peu de personnes osent librement en parler de peur d’effrayer, de perturber voire d’importuner son entourage. Et puis, le suicide reste fortement lié à un sentiment de culpabilité et de honte…

Et pourtant, la situation en Belgique devient préoc-cupante : les chiffres sont en constante augmentation ces dernières années si bien qu’on a compté, en 2007, plus de morts par suicide que de victimes de la route .

Plus interpellant, le suicide abouti est devenu la deuxième cause de mortalité chez les jeunes de 15 à 34 ans, après les accidents de la circulation. Quant aux tentatives de suicide - que les initiés appellent « TS » -, elles sont trente fois plus nombreuses…Alors pour tenter d’inverser la don-ne, les Jeunes MR veulent t’ouvrir les yeux sur ce phénomène pour que tu en parles autour de toi et pour que tu puisses aider un jour un copain ou une amie dans le besoin…

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JEUNES MR

INVERSELA TENDANCE

« On estime que près de huit personnes sur

dix qui ont tenté de se suicider ou qui se

sont suicidées en avaient déjà parlé précé-

demment à un copain ou une copine. »

8 personnes sur 10

I.

Aujourd’hui, le suicide reste un des sujets les plus tabous dans notre société. Qui de la victime, de la famille ou des amis peut réellement briser le silence? En réalité, peu de personnes osent librement en parler de peur d’effrayer, de perturber voire d’importuner son entourage. Et puis, le suicide reste fortement lié à un sentiment de culpabilité et de honte…

Et pourtant, la situation en Belgique devient préoc-cupante : les chiffres sont en constante augmentation ces dernières années si bien qu’on a compté, en 2007, plus de morts par suicide que de victimes de la route .

Plus interpellant, le suicide abouti est devenu la deuxième cause de mortalité chez les jeunes de 15 à 34 ans, après les accidents de la circulation. Quant aux tentatives de suicide - que les initiés appellent « TS » -, elles sont trente fois plus nombreuses…Alors pour tenter d’inverser la don-ne, les Jeunes MR veulent t’ouvrir les yeux sur ce phénomène pour que tu en parles autour de toi et pour que tu puisses aider un jour un copain ou une amie dans le besoin…

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JEUNES MR

ADOLESCENCE“Je veux en

finir”. [n.f.] : Etre mal

dans sa peau.

Les signes avant-coure

urs.

« Le suicide est un geste violent posé

contre soi-même lorsque l’on ne voit plus

d’autres solutions à ses problèmes. »

La SEULE ALTERNATIVE

?

II.III.

Il n’existe pas de portrait-type de la personne sui-cidaire, car le geste qui peut amener au suicide dépend de trop de facteurs : le vécu, les relations af-fectives ou encore l’environnement scolaire, familial et socio-professionnel. Et pourtant, l’adolescence reste encore et toujours une période «dangereuse». En effet, c’est à l’adolescence que bon nombre de changements marquants se manifestent.

Alors que ton corps se modifie, tu dois aussi te construire une identité personnelle et te trouver un moyen de t’affirmer. Et ces transformations sont souvent liées à une pression associée à ta réus-site à l’école, à la maison et dans la société - en te faisant accepter au sein de différents groupes de jeunes par exemple.

Pour certains, ce passage de l’enfance à l’âge adulte peut parfois s’avérer compliqué, pénible, intimidant et angois-sant… Et comme tu n’as pas forcément suffisamment d’expériences pour savoir que les situations difficiles ont toujours une fin, certains sont amenés à penser au suicide pour mettre un terme à une souffrance insupportable.

En réalité, la plupart des jeunes qui pensent au suicide ne sont pas décidés à mourir. Ils ne savent pas s’ils préfèrent vivre ou mourir, alors ils prennent des risques plus ou moins grands dans l’espoir que quelqu’un leur sauvera la vie. Et même si le suicide est souvent un acte soudain et imprévisible, on peut dans la majorité des cas repérer des signaux d’alarme plus ou moins évidents chez eux. En quelque sorte, c’est leur façon de demander de l’aide ou de révéler l’importance de leurs problèmes.

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JEUNES MR

ADOLESCENCE“Je veux en

finir”. [n.f.] : Etre mal

dans sa peau.

Les signes avant-coure

urs.

« Le suicide est un geste violent posé

contre soi-même lorsque l’on ne voit plus

d’autres solutions à ses problèmes. »

La SEULE ALTERNATIVE

?

II.III.

Il n’existe pas de portrait-type de la personne sui-cidaire, car le geste qui peut amener au suicide dépend de trop de facteurs : le vécu, les relations af-fectives ou encore l’environnement scolaire, familial et socio-professionnel. Et pourtant, l’adolescence reste encore et toujours une période «dangereuse». En effet, c’est à l’adolescence que bon nombre de changements marquants se manifestent.

Alors que ton corps se modifie, tu dois aussi te construire une identité personnelle et te trouver un moyen de t’affirmer. Et ces transformations sont souvent liées à une pression associée à ta réus-site à l’école, à la maison et dans la société - en te faisant accepter au sein de différents groupes de jeunes par exemple.

Pour certains, ce passage de l’enfance à l’âge adulte peut parfois s’avérer compliqué, pénible, intimidant et angois-sant… Et comme tu n’as pas forcément suffisamment d’expériences pour savoir que les situations difficiles ont toujours une fin, certains sont amenés à penser au suicide pour mettre un terme à une souffrance insupportable.

En réalité, la plupart des jeunes qui pensent au suicide ne sont pas décidés à mourir. Ils ne savent pas s’ils préfèrent vivre ou mourir, alors ils prennent des risques plus ou moins grands dans l’espoir que quelqu’un leur sauvera la vie. Et même si le suicide est souvent un acte soudain et imprévisible, on peut dans la majorité des cas repérer des signaux d’alarme plus ou moins évidents chez eux. En quelque sorte, c’est leur façon de demander de l’aide ou de révéler l’importance de leurs problèmes.

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JEUNES MR

« Il n’existe pas de liste complète de

signes avant-coureurs. Se soucier de

quelqu’un uniquement parce qu’il agit

de manière inhabituelle est un bon dé-

part. Le fait de se comporter ou d’agir

soudainement d’une manière différente

peut alerter copains et amies qu’un

problème réel existe. »

Comportement inhabit

uel

x

xxx

xx

xx

xxx

Pour t’aider à détecter les signaux d’alerte, voici pêle-mêle quelques signes avertisseurs fréquents:

Changer soudain de comportement, de caractère, d’humeur, être irritable ou agressif.

S’isoler.

Manquer d’intérêt dans de nombreux domaines.

Se négliger.

Décrocher brutalement au niveau scolaire ou professionnel.

Consommer abusivement de l’alcool, des drogues ou des médicaments.

Avoir des sentiments contradictoires et de désespoir.

Parler du suicide via des messages directs du type: « Je n’ai plus le goût de vivre », « Je vais me tuer », « Je veux mourir », « Parfois, j’aimerais mieux être mort » ou via des messages indirects du type « Je vais faire un long voyage », « Vous seriez bien mieux sans moi », « Bientôt vous n’aurez plus à vous préoccuper de mes résultats scolaires », « Personne ne m’aime ».

Ecrire à propos du suicide ou le représenter sur une feuille.

Donner un objet personnel auquel on est attaché.

Idolâtrer des personnes ou des stars qui se sont suicidées.

6 7

JEUNES MR

« Il n’existe pas de liste complète de

signes avant-coureurs. Se soucier de

quelqu’un uniquement parce qu’il agit

de manière inhabituelle est un bon dé-

part. Le fait de se comporter ou d’agir

soudainement d’une manière différente

peut alerter copains et amies qu’un

problème réel existe. »

Comportement inhabit

uel

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Pour t’aider à détecter les signaux d’alerte, voici pêle-mêle quelques signes avertisseurs fréquents:

Changer soudain de comportement, de caractère, d’humeur, être irritable ou agressif.

S’isoler.

Manquer d’intérêt dans de nombreux domaines.

Se négliger.

Décrocher brutalement au niveau scolaire ou professionnel.

Consommer abusivement de l’alcool, des drogues ou des médicaments.

Avoir des sentiments contradictoires et de désespoir.

Parler du suicide via des messages directs du type: « Je n’ai plus le goût de vivre », « Je vais me tuer », « Je veux mourir », « Parfois, j’aimerais mieux être mort » ou via des messages indirects du type « Je vais faire un long voyage », « Vous seriez bien mieux sans moi », « Bientôt vous n’aurez plus à vous préoccuper de mes résultats scolaires », « Personne ne m’aime ».

Ecrire à propos du suicide ou le représenter sur une feuille.

Donner un objet personnel auquel on est attaché.

Idolâtrer des personnes ou des stars qui se sont suicidées.

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JEUNES MR

IV.“Tu veux te suicider?Parlons-en!

”.QUE PEUX-TU

FAIRE?

“L’essentiel est d’écouter ce qu’il dit

mais surtout de repérer ce qu’il ne dit

pas ! L’aider à mettre des mots sur ce

qu’il vit, tâcher d’en comprendre la

signification et lui refléter ce que tu a

entendu.”

ECOUTER!

Pour être honnête, tu ne pourras pas résoudre toi tout(e)seul(e) les problèmes d’une autre personne. Evidemment, tu dois réagir : ta sympathie et ton soutien peuvent être très efficaces, mais tu dois surtout t’efforcer de détecter les signaux d’alerte (v. ci-dessus) et d’adopter le bon com-portement.

Pour aider un jeune suicidaire, les conseils suivants peu-vent s’avérer précieux :

Prends toujours au sérieux les signes liés au suicide.

Prends le temps de l’écouter vraiment sans le juger ni le mépriser, l’écoute est la chose la plus importante.

Trouve un moyen de rompre le silence et le secret. Aborde toi-même le sujet du suicide avec lui. Parler du suicide n’en augmente pas les risques !

Prends le temps de parler. Savoir que quelqu’un d’autre a déjà affronté de telles périodes difficiles peut l’aider à voir le bout du tunnel …

Aide-le à trouver des moyens pour soulager sa souffrance et fais-lui

découvrir les possibilités qui s’offrent à lui dans l’avenir.

Essaie de sensibiliser son entourage pour créer autour de lui un réseau de solidarité. Ne reste pas seul(e) à intervenir et à réfléchir !

Oriente-le et accompagne-le vers un médecin ou toute autre per-sonne compétente pour qu’il obtienne l’aide nécessaire le plus tôt possible (v. ci-dessous).

xx

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IV.“Tu veux te suicider?Parlons-en!

”.QUE PEUX-TU

FAIRE?

“L’essentiel est d’écouter ce qu’il dit

mais surtout de repérer ce qu’il ne dit

pas ! L’aider à mettre des mots sur ce

qu’il vit, tâcher d’en comprendre la

signification et lui refléter ce que tu a

entendu.”

ECOUTER!

Pour être honnête, tu ne pourras pas résoudre toi tout(e)seul(e) les problèmes d’une autre personne. Evidemment, tu dois réagir : ta sympathie et ton soutien peuvent être très efficaces, mais tu dois surtout t’efforcer de détecter les signaux d’alerte (v. ci-dessus) et d’adopter le bon com-portement.

Pour aider un jeune suicidaire, les conseils suivants peu-vent s’avérer précieux :

Prends toujours au sérieux les signes liés au suicide.

Prends le temps de l’écouter vraiment sans le juger ni le mépriser, l’écoute est la chose la plus importante.

Trouve un moyen de rompre le silence et le secret. Aborde toi-même le sujet du suicide avec lui. Parler du suicide n’en augmente pas les risques !

Prends le temps de parler. Savoir que quelqu’un d’autre a déjà affronté de telles périodes difficiles peut l’aider à voir le bout du tunnel …

Aide-le à trouver des moyens pour soulager sa souffrance et fais-lui

découvrir les possibilités qui s’offrent à lui dans l’avenir.

Essaie de sensibiliser son entourage pour créer autour de lui un réseau de solidarité. Ne reste pas seul(e) à intervenir et à réfléchir !

Oriente-le et accompagne-le vers un médecin ou toute autre per-sonne compétente pour qu’il obtienne l’aide nécessaire le plus tôt possible (v. ci-dessous).

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V. Trop d’idEes fausseS...

Ne dis pas à un jeune : « Ne te suicide

pas… », mais plutôt : « Tu veux te sui-

cider ? Parlons-en ! ».LE BONMOT

Trop souvent, de nombreuses idées fausses circulent au-tour du suicide. Elles doivent être toutes combattues car tu seras, un jour ou l’autre, peut-être amené(e) à rencontrer une personne qui décide de mettre fin à ses jours.

Il vaut mieux éviter de parler de suicide à un jeune à risque, car cela peut déclencher un passage à l’acte.

FAUX! Discuter du suicide sans aucune crainte et sans porter de jugements avec lui peut le réconforter et peut l’aider à se sentir moins isolé et mieux compris. Encourager un jeune à parler de ses pensées suicidaires peut réduire le risque d’une tentative.

Les jeunes qui menacent de se suicider ne passent jamais à l’acte.

FAUX! Toute menace de suicide d’un jeune doit être prise au sérieux, car il s’agit d’un signe d’appel important. Il est difficile de juger si un jeune est susceptible de commettre l’irréparable. D’ailleurs, des études démontrent que sur dix personnes qui ten-tent de se suicider, huit ont donné l’un ou l’autre signal aupara-vant.

Les jeunes qui ratent leur suicide ne veulent pas vraiment mourir : leurs tentatives de suicide répétées sont de la comédie pour attirer l’attention des autres.

FAUX! Répétons-le ! Toutes les tentatives de suicide doivent être absolument prises au sérieux. D’ailleurs, le risque de récidive et de décès par suicide est non négligeable après une première tenta-tive.

Tout jeune qui a eu un jour des idées suicidaires continuera à en avoir toute sa vie et sera toujours vulnérable.

FAUX! Qui de nous n’a jamais eu des pensées suicidaires à un certain moment de sa vie ? Cette vulnérabilité peut s’apaiser en remédiant au problème ou en soulageant la pression. De nom-breuses études scientifiques démontrent ainsi qu’une grande par-tie des jeunes qui suivent une psychothérapie après leur tentative de suicide se débarrassent définitivement de leur envie de mourir.

Les jeunes suicidaires sont résolus à mourir tellement leur souf-france est importante.

FAUX! Les jeunes suicidaires sont souffrants et ne veulent pas nécessairement mourir. Ils veulent simplement mettre fin à leurs difficultés de vivre. Il faut les aider à surmonter ces épreuves en les écoutant et en parlant avec eux.

Il faut convaincre le jeune suicidaire que son intention de se don-ner la mort n’est pas une bonne idée et qu’il a tout pour être heureux.

FAUX! La souffrance du jeune est tellement importante qu’il n’est pas sensible à ces arguments et le culpabiliser ne lui apportera aucune aide.

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V. Trop d’idEes fausseS...

Ne dis pas à un jeune : « Ne te suicide

pas… », mais plutôt : « Tu veux te sui-

cider ? Parlons-en ! ».LE BONMOT

Trop souvent, de nombreuses idées fausses circulent au-tour du suicide. Elles doivent être toutes combattues car tu seras, un jour ou l’autre, peut-être amené(e) à rencontrer une personne qui décide de mettre fin à ses jours.

Il vaut mieux éviter de parler de suicide à un jeune à risque, car cela peut déclencher un passage à l’acte.

FAUX! Discuter du suicide sans aucune crainte et sans porter de jugements avec lui peut le réconforter et peut l’aider à se sentir moins isolé et mieux compris. Encourager un jeune à parler de ses pensées suicidaires peut réduire le risque d’une tentative.

Les jeunes qui menacent de se suicider ne passent jamais à l’acte.

FAUX! Toute menace de suicide d’un jeune doit être prise au sérieux, car il s’agit d’un signe d’appel important. Il est difficile de juger si un jeune est susceptible de commettre l’irréparable. D’ailleurs, des études démontrent que sur dix personnes qui ten-tent de se suicider, huit ont donné l’un ou l’autre signal aupara-vant.

Les jeunes qui ratent leur suicide ne veulent pas vraiment mourir : leurs tentatives de suicide répétées sont de la comédie pour attirer l’attention des autres.

FAUX! Répétons-le ! Toutes les tentatives de suicide doivent être absolument prises au sérieux. D’ailleurs, le risque de récidive et de décès par suicide est non négligeable après une première tenta-tive.

Tout jeune qui a eu un jour des idées suicidaires continuera à en avoir toute sa vie et sera toujours vulnérable.

FAUX! Qui de nous n’a jamais eu des pensées suicidaires à un certain moment de sa vie ? Cette vulnérabilité peut s’apaiser en remédiant au problème ou en soulageant la pression. De nom-breuses études scientifiques démontrent ainsi qu’une grande par-tie des jeunes qui suivent une psychothérapie après leur tentative de suicide se débarrassent définitivement de leur envie de mourir.

Les jeunes suicidaires sont résolus à mourir tellement leur souf-france est importante.

FAUX! Les jeunes suicidaires sont souffrants et ne veulent pas nécessairement mourir. Ils veulent simplement mettre fin à leurs difficultés de vivre. Il faut les aider à surmonter ces épreuves en les écoutant et en parlant avec eux.

Il faut convaincre le jeune suicidaire que son intention de se don-ner la mort n’est pas une bonne idée et qu’il a tout pour être heureux.

FAUX! La souffrance du jeune est tellement importante qu’il n’est pas sensible à ces arguments et le culpabiliser ne lui apportera aucune aide.

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JEUNES MR

S.O.S. Suicide

Adresses utiles

Si, malgré toutes ces informations capitales, tu ne te sens pas capable de surmonter ces épreuves et si, malgré ton aide, ton copain ou ton amie continue de broyer du noir, il faut faire appel à temps à l’aide de professionnels de la santé.

Pour en parler gratuitement et anonymement 24h sur 24 :

Telefonhilfe (Communauté germanophone) : 108http://www.telefonhilfedg.org/ Centre de Prévention du suicide : 0800/32.123www.preventionsuicide.be

Pour une prise en charge ou pour accueillir un jeune en difficulté 24h sur 24 :

Centre Provincial Patrick DEWAERE : 080/29.23.54Rue du Doyard, 15 – 4990 Lierneuxwww.chsa.be

Pour s’informer, écouter, s’orienter et se documenter :

Maison du Social de la Province de Liège (Commission provinciale de Prévention du Suicide) : 04/237.27.45http://social.prov-liege.be Boulevard d’Avroy, 28-30 – 4000 Liège

Pour un soutien de l’entourage de personnes suicidées ou de personnes ayant tenté de se suicider :

Centre de Prévention du suicide – « L’Autre Temps » : 02/650.08.69Place du Châtelain, 46 – 1050 Bruxelleshttp://www.preventionsuicide.be

ASBL D’Clic. Prévention Suicide et Deuil : 061/22.44.15Avenue Herbofin, 14c – 6800 Libramonthttp://www.asblux.org/dclic/

Editeur responsable : Gautier CALOMNE | Président des Jeunes MR | Ave. de la Toison d’Or, 84-86, 1060 Bruxelles - Ne pas jeter sur la voie publique

Télé-Accueil : 107www.tele-accueil.be

SOS Jeunes : 02/512.90.69Rue Mercelis, 27 – 1050 Bruxelleswww.sosjeunes.be

« La Porte ouverte » : 04/222.47.93Rue Saint-Denis, 8 – 4000 Liègehttp://www.laporteouverte.be

3 Vivre sous les Oliviers » : 087/26.61.13Rue de Liège, 37/001 – 4800 Verviers

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