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MAG SANS NOM le N° 0 NOS ÉTUDIANTS EN ENTREPRISE RAHMA « J’aime être en totale autonomie et que les fondateurs me fassent entièrement confiance…» À LA DÉCOUVERTE DE NOS ÉTUDIANTS CHLOÉ « Le hockey sur gazon demande du temps et de l’investissement comme chaque sport…» VINCENT « Je travaille 22 heures par semaine du samedi au mardi soir, de 18 h à 23 h…» RENCONTRE AVEC… Mathieu Billon « Mes ambitions ? Je souhaite faire de SUP’ DE COM une école de référence sans le paysage aquitain de la communication… » Marie-Laure Hubert Nasser « J’aime le fait que la communication soit capable de porter haut et fort de belles réalisations. Que nous soyons des passeurs, des amplificateurs… » Les titres auxquels vous avez échappé (pour le moment…) LE NÔTRE - LE BORDEAUX TIMES - YOUR MAG - BREAK CAMPUS - NOUS - PRENDS UNE PAUSE - BREAKING NEWS - LES MOMENTS DU MAG - LE PTIT’MAG - L’ENTRACTE - CAMPUS TIMES - WIISE - LES GAZOUILLIS - LE MAG DES ETUDIANTS - CAMPUS - STUDENTS MAG - YOUR - LA GAZETTE - LE GROS ROBERT - LE PTIT JACK - LE CANARD DU MAG

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Première édition de votre magazine étudiants du Campus des Bassins à Flots !! Bonne Lecture !!

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Page 1: LE MAG SANS NOM

MAGSANS NOM

leN° 0

NOS ÉTUDIANTS EN ENTREPRISE

RAHMA « J’aime être en totale autonomie et que les fondateurs me fassent entièrement confiance…»

À LA DÉCOUVERTE DE NOS ÉTUDIANTS

CHLOÉ « Le hockey sur gazon demande du temps et de l’investissement comme chaque sport…»

VINCENT « Je travaille 22 heures par semaine du samedi au mardi soir, de 18 h à 23 h…»

RENCONTRE AVEC…

Mathieu Billon « Mes ambitions ? Je souhaite faire de SUP’ DE COM une école de référence sans le paysage aquitain de la communication… »

Marie-Laure Hubert Nasser «J ’aime le fait que la communication soit capable de porter haut et fort de belles réalisations. Que nous soyons des passeurs, des amplificateurs… »

Les titres auxquels vous avez échappé (pour le moment…)LE NÔTRE - LE BORDEAUX TIMES - YOUR MAG - BREAK CAMPUS - NOUS - PRENDS UNE PAUSE - BREAKING NEWS -

LES MOMENTS DU MAG - LE PTIT’MAG - L’ENTRACTE - CAMPUS TIMES - WIISE - LES GAZOUILLIS - LE MAG DES ETUDIANTS - CAMPUS - STUDENTS MAG - YOUR - LA GAZETTE - LE GROS ROBERT - LE PTIT JACK - LE CANARD DU MAG

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ÉDITO

SOMMAIRE

Chers Etudiants du Campus IDRAC, IFAG et SUP’ de COM Bordeaux,J’ai grand plaisir à inaugurer la première page du numéro Zéro de ce magazine collaboratif qui est le vôtre.J’en suis également honoré car ce magazine et vous tous représentez ce pourquoi l’équipe qui m’accompagne travaille ardemment depuis maintenant 3 rentrées scolaires : un vrai campus homogène quelle que soit l’école que vous y fréquentez, où vous tous pourrez vivre en harmonie, tournés vers un avenir professionnel plein d’épanouissement personnel, reflet de nos trois valeurs essentielles :Humanisme, Entrepreuneuriat et ProfessionalismeJe cite Roger Serre, Président du Groupe Compétences & Développement qui chapeaute nos trois écoles :« Humanisme, c’est se fixer le devoir de dépasser, pour chaque personne, le « strictement utile ». C’est mettre la femme, l’homme et les valeurs humaines au centre de ce que nous faisons.Entrepreuneuriat, c’est pousser chaque personne à « se prendre en main ». C’est croire à la vitalité de la société si chaque individu est en confiance et dispose des connaissances suffisantes pour prendre son avenir économique en main ;Professionnalisme, c’est l’amour de la chose bien faite et le compagnonnage d’apprentissage. C’est exercer un métier, qu’il soit manuel ou intellectuel, de façon professionnelle, en dominant d’expérience son sujet, et en accompagnant les gestes avec maitrise, naturel et justesse. »Il est vrai que nos locaux actuels ne se prêtaient plus guère aux exigences liées à la mise en pratique de ces trois valeurs et de l’innovation pédagogique que notre époque, à juste titre, impose ! Nous avons donc travaillé d’arrache-pied, depuis 18 mois, pour pouvoir mettre à votre disposition des locaux flambant neufs, au cœur d’un quartier réinventé, les Bassins à flot, futur ancrage de l’économie numérique de la métropole bordelaise. Ce campus est fondé sur l’interactivité et la créativité, dans le but de favoriser le développement de pédagogies alternatives.D’une surface de plus de 2000 m², il disposera d’infrastructures qui vous permettront à vous, nos 300 étudiants, auxquels vont s’ajouter les 200 de l’EPSI et de WIS, d’évoluer dans l’environnement le plus propice possible à développer les valeurs nommées ci-dessus. Je cite, pêle-mêle : des salles de cours modulables, un incubateur d’entreprises, des « Learning Labs » interactifs, des espaces de co-working, des salles informatiques hyper-connectées, des espaces partagés de travail et de vie, le tout dans une atmosphère gaie et lumineuse.Je vous dis donc à très, très bientôt dans votre nouveau campus. Votre magazine pourra y devenir un véritable élément de collaboration et de communication divertissante mais néanmoins utile des cinq écoles qui y seront réunies.

Jacques Kremer

Bonjour à tous ! Je m’appelle Marion Guidard et suis étudiante en 4ème année à SUP’ DE COM et en stage au sein du service communication et admission de notre campus. Ce magazine est mon projet de l’année : apprendre aux étudiants à se connaître, approfondir leurs connaissances sur les différentes formations dispensées au sein du campus et les carrières qui peuvent en découler. Ce magazine vous est adressé, il est conçu pour et par vous ! Vous êtes l’esprit et l’âme de ce projet qui n’aurait pas pu voir le jour sans la participation de chacun. Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont accordé de leur temps pour que ce numéro 0 puisse voir le jour : Rahma KEDDAD et Maxime MENANTEAU pour leur expérience en entreprise ; Alexandre DIVET et Chloé LAPADU pour leur vision sportive ; Vincent SARRAILHA pour son expérience professionnelle extra-scolaire ; les Pingouins du Désert pour leurs nombreuses explications concernant leur participation au 4L Trophy et le BDE Explo’jeune pour les photos de la soirée « Under the Spotlights ». Je tiens également à remercier M. KREMER, Mme DESBONNETS, Mlle PIERROT et l’ensemble de l’équipe pédagogique et administrative qui ont chacun, à leurs façons, participé à la création de ce projet. Je souhaite tout particulièrement remercier Mme HUBERT NASSER et M. BILLON pour le temps accordé et pour la pertinence de leurs interviews.N’oubliez-pas, c’est à vous de déterminer le nom de votre magazine N°1, parution prévu au mois de juin, en participant au concours qui se trouve en page 10 !!C’est avec beaucoup de plaisir, d’excitation et d’attente de vos retours, que je vous souhaite une excellente lecture de votre magazine et vous donne rendez-vous au mois de juin pour un tout nouveau numéro !!!!

À très bientôt !

NOS ÉTUDIANTS EN ENTREPRISE

Rahma KEDDAD : JESTOCK.COM P.2

Maxime MENANTEAU : GETRAG P.3

À LA DECOUVERTE DE NOS ÉTUDIANTS

Alexandre DIVET : L‘Athlétisme P.4

Chloé LAPADU : Le Hockey sur Gazon P.5

Vincent SARRAILHA : SUSHI SHOP P.5

LES PINGOUINS DU DESERT : Le 4L Trophy P.6

RENCONTRE AVEC…

Marie-Laure HUBERT NASSER :

Directrice communication à la Mairie de Bordeaux P.7-8

PRESENTATION

Mathieu BILLON : Coordinateur Pédagogique Sup’ de COM P.9

CONCOURS : Trouvez le nom du prochain numéro P.9

À VOS AGENDAS P.10

La page d’EXPLO’JEUNE P.11

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RAHMA KEDDADPORTRAIT

Rencontre avec notre étudiante BAC+4 IDRAC, Rahma, Responsable Web Marketing, actuellement en stage chez « Jestocke.com » .

Bonjour rahma, peux-tu te présenter ? Je m’appelle Rahma, je suis en 4 ème année à l’école

IDRAC en majeure International Business. Je suis depuis plus d’un an stagiaire dans la start-up « Jestocke.com » qui a été un véritable challenge ! Ne connaissant pas le monde du web ni le fonctionnement d’une start-up, j’ai dû apprendre à être polyvalente ce qui m’enrichit énormément.

Quel est ton parcours ? J’ai commencé par faire mon DUT à Tech de Co Bordeaux, où j’ai pu faire des stages chez « M. Poulet » et chez

« Kenzo », donc dans deux secteurs d’activités bien différents ; puis j’ai intégré la 3ème année du Bachelor IFAG, où j’ai réalisé 6 mois de stage chez « Jestocke.com ». Ils ont ensuite souhaité me garder cette année et nous avons pour projet de continuer à travailler ensemble encore un petit moment… J’ai trouvé ce stage par hasard, en postulant dans une autre entreprise de la cité numérique de Bègles et finalement mon CV a circulé entre les différentes entreprises pour s’arrêter chez « Jestocke.com ».

peux-tu nous parler de ton entreprise d’accueil ? C’est la première plateforme de stockage collaboratif. Les particuliers qui ont de l’espace à disposition peuvent

le louer à d’autres particuliers qui souhaiteraient stocker des affaires personnelles pour une certaine période. Cela permet au loueur « d’arrondir » ses fins de mois et pour les locataires de trouver une solution simple et beaucoup moins coûteuse qu’un garde-meuble. Nous avons su nous adapter aux nouveaux modes de consommation, et être le premier site à proposer cette offre ; depuis, 2 concurrents nous ont rejoints sur le marché. « Jestocke.com » est en pleine expansion car nous venons de passer la barre des 90 000 m3 de stockage disponibles et nous avons pu lever des fonds à hauteur de 300 000 € pour recruter et lancer des campagnes adwords, des campagnes sur les réseaux sociaux…

Quel est ton rôle dans l’entreprise et Quelles sont tes missions ? Mon titre est « Responsable WebMarketing », mais je touche vraiment à tous les domaines de l’entreprise : Les

ressources humaines, les chiffres prévisionnels, la comptabilité, l’allocation de nouvelles ressources, les campagnes web, l’acquisition de trafic via Google et les réseaux sociaux, l’élaboration de partenariats. J’ai été formé par des géants du web, ce qui m’a ouvert de nombreuses portes et m’a permis d’ê tre crédible face aux investisseurs.

Qu’aimes-tu le plus dans ce travail et Qu’est- ce Qui te déplais ? J’aime être en total autonomie et que les fondateurs me fassent entièrement confiance : j’ai simplement besoin

de leur faire un « ROI » (Return on investment) pour valider le tout. Ce qui me déplait un peu plus, c’est qu’étant dans une start-up, on n’a pas l’impression de voir le bout d’un projet : on relance sans cesse des campagnes, on réétudie les chiffres… Les actions ne sont jamais réellement finies car on les relance en permanence.

Quels sont tes futurs projets en terme d’orientation et de carrière professionnelle ? Je souhaite intégrer le BAC+5 IDRAC avec pour dominante « Management International » car on souhaite

prochainement lancer le site à l’étranger. « Jestocke.com » souhaite me garder en alternance l’année prochaine (grâce à la levée des fonds), me faire signer le CDI à la fin de ma formation et me permettre d’accéder au capital de l’entreprise.

NOS ÉTUDIANTS EN ENTREPRISE

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MAXIME MENANTEAU

PORTRAIT

Rencontre avec notre étudiant MECP1 IFAG, Maxime, Assistant Acheteur de Matériaux Hors Production, actuellement en alternance chez « GETRAG ».

maxime, peux-tu te présenter ? Je m’appelle Maxime, j’ai 27 ans et je suis

actuellement en MECP1 (BAC +4) à l’école IFAG.

Quel est ton parcours ? J’ai repris mes études après avoir été déscolarisé

pendant 5 ans. Après le Bac, j’ai, comme beaucoup, tenté la Fac, ce qui ne m’a pas du tout convenu. Je travaillais également à Mc Donald à côté de mes études mais comme beaucoup d’étudiants, j’ai abandonné les bancs de la Fac et me suis pleinement consacré à mon travail chez Mc Do. Au bout de quelques temps, j’ai réalisé que je préférerais avoir une formation plus approfondie et un travail qui me permettrait d’avoir une certaine évolution de carrière dans des secteurs qui me plairaient. J’ai alors commencé ma reprise d’études par un BTS MUC, puis une licence « Négociation d’affaires en B to B », et pour finir ma 4ème année à l’IFAG avec le parcours « Manager d’Entreprise ».

peux-tu nous en dire plus sur ton entreprise ? Je travaille pour l’entreprise GETRAG, qui est une

entreprise familiale allemande qui s’est développée sur le marché des boîtes de vitesse. C’est un groupe international, avec 13 000 employés dans le monde, dans 23 usines, au travers de 9 pays. GETRAG est aujourd’hui le leader de la transmission manuelle avec un chiffre d’affaires de 3 milliards d’euros. Ses principaux clients sont Audi, Ford, Ferrari, BMW… Pour ma part, je travaille dans une partie de l’entreprise, dans l’usine de Blanquefort (800 employés) où les boîtes de vitesse ne sont qu’à destination des véhi- cules Ford.

Quel est ton rôle et Quelles sont tes missions ? Mon titre exact est « Assistant Acheteur de

matériaux Hors Production ». J’ai signé un contrat de professionnalisation pour 2 ans. Mes missions sont très axées « paperasse » : rédaction d’appels d’offres pour nos fournisseurs, négociation des prix, évaluation des fournisseurs, montage de partenariats avec les entreprises… Mon rôle est d’acheter des produits, tout le matériel qui se trouve hors production, ça peut être énormément de choses : outils, produits de bureautique…

pourQuoi avoir choisi le secteur de l’automoBile ? C’est un milieu qui m’intéressait beaucoup

depuis de nombreuses années et je souhaitais travailler dans une grande entreprise (mon stage dans une Start-Up m’a conforté dans cette idée). De nombreux copains étaient dans le milieu de l’industriel, ce qui m’a donné envie d’essayer,

plus particulièrement dans un groupe international. Et puis l’industrie est quand même un secteur fort de l’économie, c’est une opportunité enrichissante professionnellement, mais qui sera aussi très vendeuse sur mon CV.

comment as-tu trouvé ce contrat de professionnalisation ?

Honnêtement par « Piston », où j’avais une connaissance dans ce milieu qui m’intéressait beaucoup. Je me suis rendu compte que c’était le cas pour 90 % des apprentis présents dans l’entreprise. Beaucoup d’employés ont des membres de leur famille qui ont déjà travaillé dans cette entreprise.

Quels sont tes projets d’orientation ? Je souhaite finir ma 4ème et 5ème année en

alternance chez GETRAG, jusqu’en 2016. À la suite, j’espère bien évidemment être embauché. De plus, l’entreprise va prochainement faire face à une masse importante de travail, donc j’espère que ce sera l’occasion pour moi d’être employé. Si ce n’est pas le cas, je pense que je postulerai toujours dans le secteur de l’industrie, dans des grosses entreprises tel que Dassault, Thalès ou encore Safran.

c’est une opportunité enrichissante

professionnellement, mais qui sera aussi très vendeuse

sur mon CV

NOS ÉTUDIANTS EN ENTREPRISE

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ALEXANDRE DIVETPORTRAIT

Rencontre avec Alexandre, étudiant et sportif de haut niveau : Champion de France du 200 m en salle, catégorie Espoir.

Bonjour alexandre, peux-tu te présenter ? Je m’appelle Alexandre, j’ai 22 ans, je suis

originaire de la Rochelle et j’ai déménagé à Bordeaux il y a deux ans maintenant.

depuis Quand pratiQues-tu l’athlétisme ? Je pratique l’athlétisme depuis l’âge de 9 ans

quand je voyais tous mes copains en faire. J’ai essayé différents sports avant mais j’avais vraiment besoin de plus me défouler. Donc j’ai commencé l’athlétisme. J’ai dû arrêter 4 ans à cause de problèmes de santé et puis j’ai repris à l’âge de 16 ans sur un rythme très régulier. C’est la première année que je suis un entrainement de haut niveau.

À Quel moment as-tu compris Que c’était un sport fait pour toi ?

Sûrement en primaire, lorsque j’ai changé d’école, j’avais de nouveaux copains qui en pratiquaient

donc j’ai essayé et ça m’a beaucoup plu… Je me suis rendu compte que c’était un sport dans lequel j’étais doué et donc ça m’a donné l’envie d’y arriver et de m’améliorer constamment.

peux-tu nous parler de tes compétitions et de tes titres ? Les compétitions se font par périodes. Les

compétitions hivernales sont plus centrées sur la préparation, pour évaluer notre niveau, se mesurer à la concurrence. En revanche la saison estivale est la plus importante avec des compétitions quasiment tous les weekends d’avril à juillet. Mais on sait que ça peut vite s’arrêter : ne pas faire trop d’excès pour éviter une blessure, un mauvais résultat et les compétitions s’arrêtent. Mais un bon résultat pourrait me permettre de participer aux Championnats de France, donc je reste concentré sur cet objectif.

J’ai eu plusieurs titres lors de mes compétitions mais dans des catégories différentes : Champion départemental, régional et inter-régional… Mon précédent titre date

de janvier 2015 où je suis arrivé en 3ème position sur le podium pour le Championnat de France Universitaire, où je courrais sous les couleurs de l’IDRAC. Et le 8 mars dernier, j’ai surpassé mon record personnel en franchissant la ligne

des 200 en 21’59, ce qui me donne le titre de Champion de France dans ma catégorie.

Qu’aimes-tu le plus lorsQue tu cours ? J’aime le fait de me surpasser, d’être à la recherche

de mes limites et de pouvoir les dépasser. J’aime voir ma progression, trouver mes défauts et comprendre comment les améliorer, il faut être énormément concentré, ce qui me permet de me vider la tête. Quand je cours, je maîtrise ce que je fais, j’ai un peu l’impression de voler, comme s’il y avait que ça qui existait. C’est un vide total dans ma tête.

est-ce difficile de concilier sport de haut niveau et vie scolaire ?

Il faut trouver un certain équilibre. Je m’entraîne tous les jours de 17 h à 20 h sauf le jeudi et le samedi. Il faut une certaine organisation de son emploi du temps, connaître ses priorités, et trouver du temps pour tout. J’ai eu mon semestre donc je pense avoir su m’adapter. En revanche, le sport de haut niveau implique automatiquement moins de sorties pour se préserver physiquement. Il faut faire attention aux excès pour éviter

les blessures, mais ce n’est pas une contrainte importante. Il faut être extrêmement motivé pour ne pas « subir » ce rythme de vie, le mien me convient très bien.

le sport de haut niveau implique automatiquement

moins de sorties pour se préserver physiquement…

À LA DECOUVERTE DE NOS ÉTUDIANTS

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À LA DECOUVERTE DE NOS ÉTUDIANTS

CHLOÉ LAPADU

VINCENT SARRAILHA

Joueuse de Hockey sur Gazon, BAC + 4 SUP’ DE COMpeux-tu nous présenter le hockey sur gazon ?

Le hockey sur gazon est un sport collectif : ce sont des équipes de 11 personnes avec 10 joueurs de champs et un gardien de but. C’est un sport dit « intime » en France, mais qui tend à se développer de jours en jours. En France le hockey sur gazon reste un sport amateur.

depuis Quand pratiQues-tu ce sport ? À Quelle fréQuence le pratiQues-tu ? J’ai commencé assez tard le hockey sur gazon, vers 15 ans. Avant, j’ai pratiqué d’autres sports comme le

tennis et le handball. Mais plusieurs membres de ma famille ont joué au hockey sur gazon, alors un jour je me suis dit « pourquoi ne pas essayer » ? J’ai tout arrêté pour me consacrer au hockey sur gazon. Je pratique le hockey trois fois par semaine avec matchs tous les weekends, partout en France.

À Quel niveau joues-tu ? avec Quelle éQuipe ? Je joue actuellement au club de la Villa Primerose Bordeaux, nous sommes en Nationale

1 (deuxième division nationale). Cette année nous visons la montée en élite, c’est-à-dire le meilleur niveau Français.

n’est-il pas trop difficile de concilier sport de haut niveau et vie étudiante ? Le hockey sur gazon demande du temps et de l’investissement comme chaque sport. Le

hockey sur gazon est plus développé dans le nord de la France, comme Paris et surtout Lille. Nous sommes donc amenées à nous déplacer régulièrement dans ces régions. Mais le secret pour concilier le sport et la vie étudiante c’est d’être organisée.

Livreur chez SUSHI SHOPvincent pourrais-tu, s’il te plait, te présenter ?

Je m’appelle Vincent, j’ai 22 ans et je suis en seconde année du Bachelor Sup’ de Com. J’ai pour projet de m’orienter vers le graphisme

depuis Quand travailles-tu chez sushi shop et Quelles sont tes missions ?

Je travaille chez Sushi Shop depuis août 2013 et je suis livreur. Je peux réaliser entre 15 et 20 livraisons par service mais il m’arrive cependant d’aider mes collègues en salle, de prendre des commandes, de débarrasser… Nous sommes une quarantaine de salariés dans cette entreprise, qui fonctionne par des roulements d’équipes, et dont la majorité sont des contrats étudiants afin que chacun puisse gérer son emploi du temps à sa convenance. J’aime beaucoup ce que je fais, malgré le fait que nombreux de mes collègues et amis soient partis et donc que l’ambiance ait beaucoup changé.

Quel est ton rythme de travail ? cela te pose-t-il des proBlèmes pour gérer tes contraintes scolaires ?

Je travaille 22h/semaine, du samedi soir au mardi soir, de 18h à 23h ainsi que les dimanches midi. Mon rythme est invariable. C’est assez contraignant dans la vie de tous les jours car je ne peux pas avoir le même rythme de vie que mes amis puis je n’ai pas de j ours de repos donc c’est assez fatigant. Ce n’est pas insurmontable,

mais c’est un peu contraignant. L’avantage c’est que j’ai choisi mon emploi du temps et donc de me garder 3 soirs par semaines pour travailler mes cours.

Qu’aimes-tu dans ton travail et Que détestes-tu ?

Ce que j’aime particulièrement c’est cette liberté que j’ai, à être seul sur mon scooter, sans personne sur mon dos et où je passe du bon temps avec les amis que je me suis fait. En revanche, comme dans tous les commerces, il arrive que certains clients soient ir respectueux et malpolis ; c’est vraiment un aspect de mon travail que je déteste.

Quel est ton meilleur souvenir ? J’en ai plein : lorsqu’on fait les idiots sur nos

scooters, entre livreurs, on rigole bien.

Jusqu’à quand vas-tu travailler dans cette entreprise ? Y restes-tu pendant ces vacances d’été ?

Je compte y rester tout l’été. Jusqu’en juin en contrat de 22 h, puis juillet/août en 35 h. J’espère trouver un contrat pro pour la rentrée prochaine et ne plus à avoir à compiler cours/job/stage.

le secret pour concilier le sport et la vie étudiante c’est d’être organisée…

J’espère trouver un contrat pro pour la rentrée prochaine et ne plus à avoir à compiler cours/job/stage…

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À LA DECOUVERTE DE NOS ÉTUDIANTS

NOS PINGOUINS DU DÉSERTPrésentation de nos deux étudiants IDRAC qui participent cette année à la célèbre course du 4L Trophy sous les couleurs de l’Idrac ! Rencontre avec deux voyageurs qui n’ont pas froid aux yeux…

pouvez-vous vous présenter ? Clément : Je m’appelle

Clément, j’ai 24 ans, en 2ème année du Bachelor Idrac, ancien voyageur australien.

Arthur : Je m’appelle Arthur, j’ai 19 ans, en 2ème année du Bachelor Idrac et j’aime le sport et l’action.

Quand et comment est venu l’idée d’un tel projet ?

À la suite d’un reportage télé sur le 4L Trophy, j’ai su qu’un jour je participerai à cette aventure mais je ne savais pas quand.

L’accompagnement de l’école m’a permis de réaliser ce projet plus rapidement.

J’ai toujours eu envie de participer à une aventure telle que le 4L Trophy. Il ne me manquait que l’occasion qui s’est présentée lorsque j’ai rencontré Arthur.

Quelles ont été les étapes pour participer À ce projet ?

Nous nous sommes inscrits à l’aventure en septembre, mais depuis plus d’un an nous travaillons sur le projet. il a d’abord fallu trouver une voiture. Nous en avons loué une puis nous l’avons correctement équipée (ce qui a permis de réduire les coûts). En suite nous avons créé l’association « Les Pingouins du Désert » pour les actions de mécénat d’entreprises. Il a ensuite fallu monter notre dossier et trouver les sponsors. Une véritable

galère !

Nous avons trouvé 13 sponsors, allant d’une participation entre 100 €

et 1 400 €. Cette étape a vraiment été la plus délicate car elle demandait beaucoup de temps, de sacrifice et de patience. De plus, avec la conjoncture économique actuelle, les entreprises ont beaucoup de difficultés à allouer un budget à leur communication. Puis il fallait surtout bien s’occuper d’eux.

pouvez-vous nous en dire plus sur ce périple ?

Convocation le 18 février, pour vérification véhicule. Puis départ le lendemain à 12 h 30 de Biarritz avec un parcours libre jusqu’à Algeciras. Le 22/02 Traversée de la Méditerranée vers le port de Tanger Med, où on déchargera nos dons (matériel de premiers soins, fournitures scolaires…) avec un bivouac dans la région de Boulajoul (Atlas). Le 23/02, bivouac organisé dans la région de Merzouga (désert) pendant 3 jours. Le 26/02 début du Marathon dans le désert puis fin le 27/02 avec une arrivée à Marrakech.

Puis à partir du 01/03, accompagnement pour le retour jusqu’au Port de Tanger Med, puis retour libre avec des petits arrêts pour rencontrer nos sponsors locaux.

Quel est votre état d’esprit À QuelQues jours du départ ? anxieux ? excités ?

« Au fond du sac » !

Il nous tarde d’y être ! C’était vraiment une préparation longue et très fatigante mais on est vraiment excité et impatient !

Qu’avez-vous hâte de découvrir ? Tout !!! De découvrir et de vivre le concept,

de partager ces moments d’entraide avec les autres étudiants, de rencontrer les villageois et surtout les galères !

On a tout les deux déjà vécu ce type d’expérience au Maroc avec nos familles respectives, donc on est surtout excité à l’id ée de découvrir tout ça et de revivre ces moments de notre enfance.

Qu’appréhendez-vous le plus ? Les quelques jours avant le départ… la

communication, mettre à jour le site internet, les réseaux sociaux, nos dossiers scolaires qu’on doit rendre en avance pour pas être pénalisés à notre retour…

Il nous tarde vraiment d’être sur place, donc même si ces prochains jours vont être compliqués à gérer, on sait qu’après ce ne sera que du bonheur. Et puis on se connait bien, tout se passera super bien !

suivez leurs aventures sur leur site internet : http://lespingouinsdudesert.com/EDIT DE DERNIERE MINUTE : Les pingouins du désert sont rentrés ! Rendez vous au prochain numéro pour le récit de leurs aventures.

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MARIE-LAURE HUBERT NASSER Directrice Communication de la Mairie de Bordeaux

Aujourd’hui, rencontre avec Marie-Laure Hubert Nasser, Directrice Communication au Cabinet d’Alain Juppé, qui nous parle de son rôle au sein de la ville, de son expérience en tant que communicante et de son dernier roman, Spleen Machine. Une autre corde à son arc.

pourriez-vous nous présenter votre parcours ?

J’ai commencé à faire mes premiers pas dans le monde grâce à Air France, où j’ai été navigante, un moyen original de comprendre les civilisations. S’en suit des études littéraires, de droit, puis le CELSA. J’ai commencé par travailler dans la communication publique. J’ai été Directrice Adjointe de la SEM Issy Média, première SEM de communication de France. J’ai ensuite choisi le privé. Je suis devenue Directrice de la Communication de Congrès et Expositions de Bordeaux. Une très belle entreprise qui gère le Parc des Expositions, le Palais des congrès, le H14, un véritable challenger de l’évènementiel, sur tous les sujets. Un apprentissage en accéléré du marketing, des marchés, des publics… En parallèle, une réelle passion pour les médias locaux et donc des tribunes dans la presse et plusieurs émissions à TV7, notre chaine locale pendant 10 ans ou j’y ai notamment défendu, avec humour, la cause des femmes via une émission décalée « Ce qu’en pensent les filles ». Depuis cinq ans, retour dans le secteur public, ou j’ai été nommée Directrice Communication de la Ville de Bordeaux. Comme j’aime à le confier, « le sens public a cette capacité de vous rentrer sous la peau à vie ».

en Quoi consiste votre rôle au sein de la mairie de Bordeaux ?

Il y a deux axes dans mon quotidien. Le management (je dirige une équipe de 23 personnes) et la communication dûe aux habitants. C’est en premier lieu une obligation de service publique que d’informer les habitants. Nous avons par ailleurs la volonté de partager avec les bordelais les actions et stratégies de l’équipe municipale et de son maire, Alain Juppé.

Quels sont vos principaux champs d’actions ? Nous mettons en œuvre tous les

outils de communication : l’évènementiel, le Web, le print, la publicité… en fonction des stratégies de communication. Nous traitons

tous les sujets d’une ville : social, culture, sports et loisirs, développement durable, citoyenneté, proximité et vie des quartiers (huit à Bordeaux), projet urbain, enfance, séniors…

Quelle a été votre stratégie en intégrant un tel poste dans une ville en plein développement ? Quelles envies aviez-vous ?

Il était important de développer une communication participative avec les habitants, une communication qui leur ressemble et leur parle, mais aussi d’informer sur le plan local et national, sur les actions menées par Bordeaux et tout ce que la ville a d’extraordinaire… Il semblait également porteur de développer l’image du bien vivre à Bordeaux, d’une ville apaisée et dynamique. Nous souhaitions que les habitants développent cette fierté d’être Bordelais, qu’ils ressentent et adoptent cette intelligence sociale et humaine qui a permis de construire la politique de cette ville. Alain Juppé a porté trois immenses chantiers pour Bordeaux : la ville belle, la ville sociale, la ville durable et donc la ville pour tous.

Nous avions également la volonté de mettre en avant les talents des bordelais, au-delà de sa beauté, la ville dispose de nombreux talents dans des secteurs variés mais aussi

d’une économie innovante. Par ailleurs, lancer la marque territoriale : OSEZ BORDEAUX a été un véritable défi : adoptée par beaucoup, elle évoluera au fil du temps. Mais elle porte dans ses gênes une volonté puissante de transformer, bâtir, développer…

Avoir réussi à positionner Bordeaux dans les premières villes en France sur les réseaux sociaux. C’était à la fois la preuve de notre capacité d’innovation mais aussi le moyen de nous exprimer dans une communauté massive alors que nos moyens en communication étaient plutôt faibles. Avoir créé une réelle identité à la ville de Bordeaux, adoptée et co-construite avec les bordelais. Ils sont les acteurs de nos campagnes, ils sont nos ambassadeurs, ils construisent avec nous l’image de leur cité. Avoir réussi à lancer une marque territoriale dans un contexte poli- tique complexe et dans une belle énergie partagée par de nombreux chefs d’entreprise, commerçants et acteurs économiques. Récemment, un éditeur d’ouvrages scolaires de classe de 1ère nous demandait l’autorisation de présenter notre marque…Rentrer dans les livres de classe, c’est un peu d’immortalité !

Qu’est-ce Que vous préférez dans votre métier ?

J’aime la variété des missions et des domaines d’activités, les différents publics avec lesquels nous rentrons en communication. J’aime le fait que la communication soit capable de porter haut et fort de belles réalisations. Que nous soyons des passeurs, des amplificateurs.

Quels sont les futurs projets de la ville de Bordeaux ?

Des dizaines ! Euratlantique, le nouveau quartier en construction, la Cité des Civilisations, l’ouverture du nouveau stade (prévu en mai) véritable œuvre architecturale, le Top 14, l’Euro 2016, la construction des Archives Municipales rive droite dans un quartier en pleine expansion, le Pacte Social

RENCONTRE AVEC…

Photo : © Nathalie Caïd

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et son ambition pour tous et les plus démunis, pour une ville juste et co-élaborée… Tous ces projets nous promettent de grands moments de communication !

Quelles sont, selon vous, les Qualités pour devenir un(e) Bon(ne) directeur (trice) de communication ?

Il faut avoir une solide formation, être à l’écoute, ouvert & créatif, avoir une certaine résistance face à l’adversité et une bonne résistance physique ! Il faut aimer travailler intensément et savoir s’adapter aux différentes situations, savoir traduire les demandes, prendre du recul pour pouvoir s’effacer devant la cause ou le produit. Il faut sans cesse savoir innover, attirer l’attention sur nos projets dans un monde aux très nombreuses sollicitations. Autre qualité, être souriant et abordable. Il est toujours plus facile de faire passer un message en étant positif !

QUESTIONS BONUS

Quels seraient les conseils Que vous-pourriez donner À nos étudiants en communication ?

Il est important d’obtenir des diplômes de qualité, reconnus et incontestables : tout le monde pense que notre métier est « fastoche ». Vous le savez bien, on ne discutera jamais des arbitrages d’un directeur financier mais d’un « dircom »

c’est autre chose ! Nous avons une liberté de penser et d’agir qui dérange, il faut donc savoir se défendre, être puissant et soutenu et suffisamment armé ! Apporter la preuve de nos résultats et toujours expliquer nos choix. Ne jamais oublier que la communication est un poste de « dépense » mais qu’il a un rôle stratégique! Lorsqu’on définit son projet, il faut savoir s’y tenir, ne plus trop s’arrêter aux avis extérieurs, ne pas accepter un consensus mou qui donne forcément de mauvais résultats!

Il faut croire en soi, écouter son intuition. Etre ouvert, à l’écoute, caméléon, capteur de tendances. Il ne faut jamais laisser tomber et toujours se surpasser. Ce seront ces caractéristiques qui feront de vous des communicants efficients. C’est un métier de conviction.

Quels sont vos petits plaisirs À Bordeaux ou dans la région ?

Malheureusement, je ne dispose pas d’assez de temps pour pouvoir profiter de tous les plaisirs que propose notre région. Mais j’aime prendre un café place Pey-Berland, me perdre une heure dans les rayons de Mollat, immense librairie bordelaise, déjeuner place de la Comédie en admirant le Grand Théâtre, aller voir un concert au Rocher de Palmer, me plonger dans les entrailles de la base sous-marine, marcher pieds nus sur la plage du Porge en regardant l’infini…

SON ŒUVRE

SPLEEN MACHINE, Marie-Laure Hubert Nasser, Éditions Passiflore.

Une famille où tout en surface semble parfait. Mais où finalement on apprend sur des airs mélodieux que la popularité et les différents enjeux du pouvoir peuvent vous entrainer sur des rivages sombres et périlleux.

Alix est une ado aimée et populaire. Son quotidien est celui d’une lycéenne au parcours allégé par une intelligence supérieure, un parcours sans encombre.

Anna, sa mère grimpe à la vitesse de l’éclair les marches de son ambitieuse carrière, parfois brutale. À ses côtés, son mari l’accompagne avec une certaine réserve toutefois vis-à-vis des enjeux du pouvoir. Tous deux se réjouissent de voir grandir leur fille, inconscients de ce qui se joue réellement dans sa vie. Se connaissent-ils vraiment ? Qu’en est-il de ses échecs et de ses secrets ? Ce roman se laisse guider par le destin des personnages. Leurs vies tranquilles vont sombrer dans l’impudeur, par des révélations dérangeantes, envenimées par les réseaux sociaux et les médias.

Un roman contemporain, de génération, avec un répertoire musical à suivre, un peu comme en 3 D.

Ce roman nous rappelle le terrible destin d’Amanda Todd, lycéenne canadienne, harcelée sur les réseaux sociaux et qui a décidé de mettre fin à ses jours le 11 octobre 2012. Elle avait 15 ans…

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MATHIEU BILLON Coordinateur pédagogique de l’école SUP’ DE COM

Bonjour m. Billon, pouvez vous vous présenter ?

Je m’appelle Mathieu BILLON, j’ai 28 ans et j’ai été nommé coordinateur pédagogique de l’école SUP’ DE COM sur le Campus de Bordeaux. Je suis également le fondateur du groupe « On Air », spécialisé dans le design sonore et de « App You Need », créateur d’applications mobiles.

pouvez-vous nous en dire plus sur votre parcours ?

Après mon BAC, j’ai intégré Tech de Co Bordeaux, puis l’école RISE pour un DESMA (BAC +3 enregistré à la FEDE). J’ai ensuite réalisé un Master Spécialisé « Marketing, Communication et Stratégie Commerciale » à

l’INSEEC. Grâce à ces formations, j’ai pu faire de nombreux stages : restauration, hôtellerie, Thalasso, vente sur Salons et Foires mais aussi dans le Web avec des patrons jeunes qui m’ont transmis le goût de l’entreprenariat. J’ai donc consacré mon stage de fin d’études à la création du groupe On Air qui a aujourd’hui cinq années d’existence.

Quelles sont vos motivations et vos amBitions pour ce poste ?

Ce sont principalement des motivations individuelles et collectives : s’inscrire dans un groupe implanté et un campus, faire de l’école une valeur ajoutée à l’enseignement supérieur de Bordeaux. Je sais que l’équipe déjà en place est une équipe de qualité, or je pense pouvoir apporter beaucoup à l’image du Campus en général mais plus particulièrement pour SUP’ DE COM, grâce à mon important réseau dans ce secteur et dans la région. Je pense que d’un point de vue pédagogique ce réseau pourrait apporter beaucoup à l’école tel que l’employabilité de nos étudiants… Mes ambitions ? Je souhaite

faire de SUP’ DE COM, une école de référence dans le paysage aquitain de la Communication.

Quelles sont pour vous, les Qualités Que doit avoir un étudiant en école de commerce ?

Mon expérience m’amène à penser qu’un étudiant en école de commerce doit avoir une grande ouverture d’esprit qui va favoriser trois choses :

La Curiosité : sur un métier, un secteur, la microéconomie de ce secteur, l’environnement professionnel d’un marché ou d’une entreprise…

La Culture Générale : c’est une qualité et une valeur ajoutée énorme pour un étudiant. Il sort chaque année plus de 2 000 étudiants spécialisés… Il faut savoir se démarquer et la culture générale peut faire la différence.

La Capacité à réseauter : dans le milieu de la communication, il est très important de savoir utiliser et travailler son réseau, que ce soit auprès de ses connaissances, de sa famille, de ses camarades… Il faut sans cesse rencontrer de nouvelles personnes qui pourraient, à un moment ou un autre nous ouvrir des portes. Le plus important, c’est d’enrichir ce réseau et de s’en servir tout au long de son cursus et de sa carrière.

RENCONTRE AVEC…

Je souhaite faire de SUP’ DE COM, une école

de référence dans le paysage aquitain de la

Communication

trouvez le nom de votre magazine !!!

n’ayant pas réussi À déterminer un intitulé Qui conviendrait À chacun de nos lecteurs, nous vous proposons, À vous étudiants, de choisir un nom pour votre magazine.

je vous rappelle Que le magazine est commun À nos trois écoles (ifag, idrac et sup’ de com) pour le numéro 0, mais il sera commun À nos cinQ écoles présentes sur le nouveau campus (Wis et epsi nous rejoignant) pour le numéro de juin. ce nom ou intitulé ne peut

donc pas reprendre une école ou une formation.

pour participer : remplissez la page de garde de ce numéro avec votre idée, photographiez la page et envoyez la photo À

[email protected]

les photos seront diffusées sur les pages faceBook des différentes écoles et seront soumises aux votes des étudiants. la photo ayant reçu le plus de « like » sera choisie pour définir le nom de notre magazine.

soyez originaux et inventifs !

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AGENDA

PRINTEMPS

01 au 30 avril Itinéraires des Photographes Voyageurs, lieux cultes de Bordeaux

18 avril Le Marathon de la Lune

Jusqu’au 31 mai « La Libération de Bordeaux » au centre Jean Moulin

08 au 10 mai Dirty Dancing, à la Patinoire de Bordeaux

08 au 17 mai Foire de Bordeaux

22 au 30 mai Bordeaux Fête le Fleuve

23 mai Match de FOOT Bordeaux-Montpellier dans le nouveau stade

30 mai Fête de l’Alose à Lormont

31 mai Traversée de Bordeaux à la nage

05 au 07 juin Fête de la Morue à Bègles

06 juin Demi-finales du TOP 14 dans le nouveau stade

11 au 28 juin Les Epicuriales

26 juin au 05 juillet Le Lac des Cygnes par l’Opéra national de Bordeaux,

Grand Théâtre de Bordeaux

31 juin 2015 Départ Solitaire du Figaro, Quai Richelieu à Bordeaux

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EXPLO’JEUNEBDE

La soirée Under The Spotlights de notre BDE Explo’Jeune a été un succès. À très bientôt pour de nouveaux évènements !!!