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LB UTTUBAL LE LITTORAL SPORTIF "BULLETIN OFFICIEL DE l'ASSOClATION SPORTIVE DE CANNES Soirée Amicale Le Bureau de 1 A S C a\ ait decide d mviiter les jaueairs et rumplacant ayant participé aux matches de Cou pe S ôtaieuit fait e\cusei Comelli et Bentholetti Les joueur«; manfe avaient amené leuis dames qui rele raient du charme de leur presence cette réunion intime et cordiale Tvi lemment Duteil tt Denegn à leur g:rand regret ne po ivaiLnt j assis M Biet notie president cLait au centre de la taJble d'honneur ÎJ mt a sa droite Mme GiObbo et M Tau hert et à sa gauche W Joiian et M Grosso Mesdames Raffier Ri-^so Magnon Bardot Beiiudo Jean et Btiaud) Joseph Me^demoisellLS ReiTllej Raf tier Maurel jetaient des notes clai leii et chaimlmtes dans cet fnsem 1 Hotel bit Le Buiquet Oosmoßohtam le menu était signC \ '••lOsdorf et c e t tout dire des lan g :)ustes rubescenteb toutes bai boui' IcfS de tomates sauce exquise que i ont obhge^mraent qua jumedos paies de leg'umes prmtamer'i parfaiti caches dans des architoctuits gla ée présentés lumières été nies et dra pés de giésille doi Petits fours an«; tocrates Le tout irrosé de vms en rarafe rougp et blan^ d i m^'illeu'- cru et couronné d'un champagne tillant Bief en un mot dmer de Roi Aussi les con\nves fuient \ te dans la joie Cette belle joie eame "t ti anche bien fiançaise qu presidp au-^ agapes L heure des toasts sonna M Biet glorifiant notre équipe des derniers succès obtenus la félicita du bel Co prit d union de camaïaderie et d concoide qui 1 unit et qui est li LIU se imtiale et profonde des triomphe qui font notre joie Puis il eut \i délicate attention de faire hommage de ces victoires aux dîmes présen tes car dit il le Football est un Qieu exigeant et ibsoibant et c e t grace a votre bonne humeur ut vo tie permission que nos joueura peu permettant ainsi d acquérir leur foi me ict-uelle qui nous émerveille Puis U adiessa des félicitations émues à M Grosso notre vénéré pré sident d Honneur qui \enait dobte Physique Des paroles amiables a M Jouan et compliments pour sa nomi nation à la présidence du District soulignant <=ffort tccond de M Jouin et It SI famille pour le de •v eloppement du =^port a Cmnes La pt-iorai n évoqua Colombes bien entendu Sucessivement Mlï Grosso Jouai Nivièire prirent la parole puis ce fut le tour des chunsons Ordan le prégi dent de la Oomirnssion des Fetes Chartita a\ec un grand succès si derniôre composition en 1 honneur 1 ASC « C'est au Quart » Premier Couplet . Ma^ -iPillP c est un s gagni No^ ifoin Ont battu le C A F Un match jout saiis chiquc Les Pansiens, oh ' C est natK En so-rtt restés miàttsts C ett la faute a mon avTS 4 r s</-c ' so'ci' du Midi Pefia . 4SC LASC LASC Contribue a lehtiusber h ne Ltgue mise a, l'indey Gloiie au Suiî Est Deuxième Couplet Ce.st pfi'= nn^ r,ah)ndr A BF Sf Po E BtaisL raudo P ri m 'f= à sa ton ÎO)d dv n ban pom Troisième Coup Qrat i dKi En longeant ce mcux Piado Maims dit a Auguste Quest ce quiîs ont prus ten Pangots Et pom tant oeht un scandai^ QK CPS bougies du Midi Jo ifr lïènt la demi finale San n Chib du Giand Pana Pji }>01 l€S nôtres ont gagw "lit limage du Suquet Refrain LASC,14.SC C at It en qu on entendait ZîtiHs {6 h a m danji 'auto Dommage qiü m ist pas de M(t A Cannes tou-i les lopain^ Attemîaieiit I h<.n c du ttavi Etlo'squen jait Î' / ma Ce fut lin sîiiceie Hip ' Htp ' H i i applaudi ssements Olei ht EJitendre sa \oix euivree dim, des mélopées lingoureuses Fecch no lança sea chansonnette^ amusan les Baudry regretta que Lil mé dor me et cache ainsi ses yeux Et lorehestre vmt a-vec ses flons, flons et un bal simple et amical st déroula Chacun s en donrn. à coeui joie Eeiraudo A gagna le prix du plus beau tiiigo parfum offert pai 11 meilleure comlpagnie qui ne se quitte Mais chacun était heureux et joyeux d avoir participé à cette belle fete de famil^le Echos et Ris 8 heuies 30 Ptu a Peu des jeunes gens bien découplés tJiLjtAwsent ies tages ÙHZOJIS du Cosmopolitam Wais do f at déboidé et voudrait que Ion 4P hâte de p)eîf4re la table das'^aut Maus Ü faut organiseï la table gioupei iff présents stniant Zes sum aihie La t b entôt chacun •installe Deux rPta datai es Hilliei et Ait heen te deimei sais doute letenu par son cotffeu 3tan sans doiitf attetvdant le <•. coquet et se sohda)i Let. Hors d oeub) es dtvei s et SUCCH lents eviplissent les assiettes On ja casse on s'interpelle Emits joyeux et francs qui font bien augmei cette L animation est genéiale Bientôt du centte de la table ou abondent les fiais minois pait&nt des baiseis qui don mt fat'C le tnui C'est la meü It coutume f ançaisc le Bénédicit6> T ei s Zc bout il n ^ a plus que dps mule-, et la chaîne se brise iitkeen lui se révèle émule du Podolphe de la Vie d« Bohême qui offiait u Laure de lui baiseï lu rrain 'ni.r la personne de sa joue en embrassant sa cowpagne sui les le Pourtant ce oûne clan et poU ou se leflétatt les lumières sembUiit un inirotr damour attnant les baiseis Mats ce soir la jeuwesse nnp(tn Fecchino muni-iCiile Gai gantita ITTI nùobilise îa doniesticttC de l Hotel pom It stivir Quelle appciit C cst. magnifique Mais les appétits les plus vastes ne résistent pas a lu piodigaîltt d m Walsdo I et bi ntôt on boude au nm veau poisaqe des plats C est un pUndîdt ccn l ( l ictif de nofir sympathique Vatel local Longtempu dans la smree api les cliansons on danseja iboid les jeiüies àvohieiont au Puis les iieuj; peu a peu e is pa I exemple se déchaîne c STADE DES HESPÉRIDES Dimanche 22 Mars 1931 à 15 heures Championnat de Division d'Honneur 1" B de la Ligue du Sud-Est. OLYMPIQUE d'ALÈS Association Sportive de Cannes Henric Schmidt Montfaucon Tourniaire Béraudo J. Frenet Calecca Coles Roux H. Besson Arbitre : Alban de Ferry Pendant que notre première A se rendra à Aies pour ten- ter de consolider sa deuxième place dans le Championnat, matcli qui a un caractère très limportant pour notre Club, car étant données les positions très voisines des clubs dans le classement derrière l'O.M., chacun peut, en fait, être amené à disputer les Notre équipe s'y rendra néanmoins forte de ses dernières performances mais elle sait que le déplaeement d'Alès est tou- jours dangereux et que les Alésiens ont battu les meiUeures for- mations chez eux. Aux Hespérides, notre première B devra remporter un nou- veau succès ; son intérêt sera surtout dans la façon employée notre équipe pour l'obtenir et l'on sait l'élégance de nos Hespérides, l'équipe se présen- BASKET-BALL i Sous les paniers ! ! bat 4NTIBES OLYIVIPIQXJE (1) par 33 à, 12 Dans toutes les branches de sa sportive activité 1 Association spoi tive semble en grande forme A 1 ms tar des footballeurs les basketbal- leurs marchent de succès en succès Le titie de Champion de la Côte d Azur semble ne plus pouvoir échap per au i team -- de Charles Can- cellom Lia parbe de dimanche sur le coquet terrain du Ceicie Nautique a été dts plus intéressantes i suivre E est re grettable que le cinq antibois n'est pas été formé par les titulaires au complet c equi aurait certaine memt mieux, équilibré le»' pomtb des deux équipas Deux méthodes différentes fuient en quelque borte pratiquées Chez les visiteurs K fougue 1 em porta sur la technique II manque daas le team de Cornu cette cohésion et ce jeu de passes qui priment dans une équipe de premier plan Chez les louge et blanc au contraue la science acquise pai la grande pratiques put le dcssu'. Et le résultat ne se ht pas attendi e L mdividuallité fait place au je i d équipe et battrait spectaculaire s er Le jeu se déroule. Un la Commission de Basket passe sur la touche opposée. Chariot vient de itussii un < panter » superbe Ma lomne sussune Ah ' Bath ' Est ce le pamei ' Chailot f Su7 une descente lapide un jonein local ic^oit le ballon en pleine figure Mcni collègue me signale l oeil de Anbeut non Oh que Il ftait Coi Si i OUÏ dtstrez une belle nous vous lecommandons le pi bici Chdilot Les jaueuis Cannous ont l'inten^ doffni un supobe souvenu) au c géant le plus assidu aux rencom df baskftt Il est possible que ce piix ne fi te pas de si tôt de compétitein Un chionomCteur nototre récU sans cesse un double décamètre Est ce pour mesine^ les paniei MS I n Dans titiam de la paiite l'aibt- nticipo a une descente ' <nstein Varbihe Sifflei Raffit emmène conduite inteiieu t des fla/mmes df ' idle dtsttnet f pigeons cheicho m Colombes i iduaid Kipling itc de fées a du i )ti îa et c était un Matches du 15 Mars C'est une très belle petite équipe qui vint occuper notre di- manche. Le forfait des Pro Ver- ceHi avait jeté le trouble et la déception .dains l'âme de3 sup- porters, Je Soleil boudait quelque peu, aussi la Chambrée fuf moyenne. L'équipe ascéiste se présenta amputée de Duteil sélectionné de •la Là^e du Sud Est et de Dene- gri souffrant d'un gros r-hume. Elle fut 'accueillie par l'ovation enthousiaste des supporters pré- sents. Après avoir fait un tour d'honneur, M. Bret, notre pré- sident complimenta nos joueurs rassemblés devant la tribune centrale et donnant l'accolade à ïlillier lui remit une gerbe de fleurs magnifiques, puis serrant la matii des équipiers fut l'in- terprète de tous auprès de cha- M. Aitkeen, l'entraîneur du Chib, fut réclamé et ovationné. Puis l'équipe d'Arles pénétra sur le terrain, Aitkeen s'incor- porant au centre de la ligne d'avants. C'est une jeime équipe très adroite qui coiifectionna un jeu clair et plaisant, certains élé- ments sont d'une réoUe valeur, malheiu'eusement d'autres sont vraiment trop faibles, c'est ce qui explique le score. D'ailleurs dans sa forme ac- tuelle notre équipe peut infli- ger les scores les plus lourds aux olubs les plus vaülants. L'A.S.C. fit une superbe exhi- bition, le contrôle de la baile est rapide, la passe précise, les hommes bougent, se démar- quent et la triplette centrale de la ligne d'avants fut parti- ctihèreraent ea vedette. Chacun jouant pour celui le mieux placé et faisant preuve d'ime grande adresse et sponta- néité. Bardot au centre de la ligne y apporte des qualités de puissance, de vitesse, de déci- sion, plus grandes que jamais. Retracer la partie est inutUe. Arles malgré deux arrières soli- des, un goal expérimenté, un demi centre actif, ne put endi- guer la fougue de nos hommes. Le score s'aggrave avec une régularité mathématique- Et peu nous importe le score, mais ce qui est splendide et doit fai- re pJaisir à tous, c'est la maîtri- se avec laquelle le jeu fut con- duit. Monsieur Aitkeen eut sa part de succès, car se débattant au milieu d'éléments dominés, mal- gré de belles ouvertures aux , il ne pouvait être dange- . Mais la science des as est de profiter de la moindre occa- et à cet égard lorsqu'il deuxième mi-temps notre équi- ralentit sa cadence, Arles sur e attaque mieux conduite pu mettre Aitkeen dans la zone des buts de Roux, en possessioi du ballon. Blocage, demi toui pour masquer Vigoureux qui lui e bouchait l'oeU à Roux coup de pied du gauche en « re- tourné s shoot sec, qui lança le ballon à l'intérieur du poteau Un plongeon .desespéré de Rouxi mais un tantinet tardif car il n'avait pu voir le coup de pied de départ et le premier but pour Arles était marqué. Quelques instants plus tard sur un coup franc bien donné .par Arles, le même Aitkeen gril- •la notre défense mal placée et reprenant la balle de la tête battit Roux potir 'la deuxième fois. Ces deux performances fu- rent applaudies. Mais Cannes repartit à l'atta- que et l'écart au score fut ré- tabh. Signaler les performances particuhères ? Pourquoi ? Notons que notre défense quoique paraissant moins sûre n'en est pas moms impitoyable. Roux eut des interventions qui tiennent du prodige. Nos demis jouèrent conune d'habitude et c'est tout dire. En avant nous avonis dit notre admiration pour la triplette cen- trale. Aux aiJes Beraudo J. eut quelques phases habiles, il mar- qua un très joh goal. A gauche Cornelh fit de très beaux centres surtout en deu- xième mi-temps ; l'adaptation à cette place ne peut être obtenue en un match car le blocage de rarrière en particulier est bien différent de celui de l'avant. Son dribbling est long, mais néan- moins l'essai tenté peut prouver que Comelli en attendant mieux peut constituer notre meilleure et efficace réserve à l'aile gau- che. En lever de rideau notre pre- mière B battit Draguignan par 3 buts à 2, résultat surprenant après le résultat obtenu par cet- te même équipe à Draguignan. Le match fut suivi avec beau- coup d'attrait, le football con- fectionné étant de très belle facture. Dans les bois, Henric, à côté d'inter-ventions très belles et de style, eut quelques hésitations. l'atmosphère des Hespérides semble le paralyser. En arrière Schmidt et Cor- nell! en première mi temps, Schmidt fut très net et ses in- Smidt fut très net et ses in- terventions sont décisives. En demis Tourniaire opérant au centre fit un très bon match, parut à court d'entraînement mais on ne peut lui reprocher. C'est une réserve de classe sur- tout s'il s'entraîne du gauche et à faire ses passes plus droites et à ras de terre. Montfaucon fut un demi aile très adroit, ses passes sont un modèle. Sigaudo trop brouillon, pousse trop loin ses actions personnel- les, a encore beaucoup à ap- prendre et à écouter. En avant les buts marqués furent très bien amenés, CaJecca se mit en évidence. Ratfich est trop lent, mais exécute des choses très adroi- tes. Laissons lui un délai d'ac- climatation. Roux H. eut certaines percées très dangereuses. , Aux ailes Thimo a tendance aux dribblings en retrait sou- vent peu avantageux. ^ • Besson fit un match régulier, sans plus. A midi les Hespérides virent la querelle A.C. contre I.F.C. SP vider au profit des premiers. Le vieil ascéiste Pégliasco ne put empêcher son club de subir un Le matin, après un match orageux nos juniors furent dé cla es battus par l arb t e et par Nice Le temps regleme ita re ayant ete ecourte la Comm ss on d s '=tatuts et Regien ents aui a a stat er lilé, pourquoi ne reviens-t- •x-oviplir : Dresser et s'o Juniors de l'A-S-C. Tu r<. tea élèves les belles et > -sportives d'autrefois. Et r Club. La : vent avec passion ses êvohitionfi scientifiques. Schimét, Tourniaire, P-oux H. ont leurs chauds partisans. Quelle belle. réserve de joueurs qui donne à notre Club une assise solide Nos joueurs, un peu injustes pour os couleurs, voulaient jouer eii bleu t or, maillot qui les vit victorieux dans les deux derniers matches de Coupe. Heureusement Arles aimit lui- les couleurs désirées. nont dues ù votre valeur t iniei-venir l'influence d'an cotte et d'aucun féticlie. ? faîte. Echos du Stade I d D a c p Ce A be i o IFC te a sevible na o po o 0 a le A bo st tout de suite le grand jeu et score s'enfle. Pourtant le jeu de l'A.C.A. est loin 're primaire mms rien ne resists : attaque.s incisives de nos avants. L tout bien considéré, les 9 buts ont été marqués par des Cannois. , M. Aitkeen peut marquer néan- moins cette journée d'une pierre blanche. D'ailleurs, disaitAl au vestiaire, je ne rendrais pas cette journée pour 25 louis. C'est des tnies qu'on dit parce qu'on sait bien que personne ne peut faire une parque proposi- i dosait l'importanee des mat- suivre, il deviendrait rapide- arbitre égal aux meüleurs s rencont)-es imp<frtantes. Reminiscences De nombreux supporters se eont antre en Coupe de France les S.O. r. Voici toutes précisions à ce sujet : Un seule fois, depuis la création de i Coupe, Cannes a rencontré Mont- pellier pour la grande compétition F.F. A, avait délégué spécialement Paris- M. Balway. - Jotre équipe était comm'andée par Dominique et comprenait Bode', au- jourd'hui tous deux membres de la Commission de Football de l'A.S.C. Cannes gagna la partie par 3 buts la première mi-temps : Le premier but cannois fut niarqui ir la phase suivante : Dô sert Ti mothée qui passe à Eode ; ce der fait suivre ila balle à Bonivardc hoote très fort et marque . deuxien e bu ave i peu près Robn . ec Lard cen e à Bode eque '8.^ e à Bom a do Ce de n e éé Bon a do marqua enco e e tro en e but pa heacmg su one L dau b ts n a quBS Gnud on e fu en ojons nous pa >mp et Gu her Au ou preceden A S C a a J m ne O M à Ma -se e SOM Ouen J A O Ap es ce fu joué à Marseille d q e a f0 a o s du Red S a Vtrap q e Otte sa on a 19 0 21 Rede Sitair rempor a a Coupe En 21 2 e e 1922 23 e Red Sta enco e nqueu de a Coupe RADIO CLUB ET CLUB RADIOPHONIQUE RÉUNIS ^ BULLETIN OFFICIEL INITIATION A LA T.S.F. M. il. Jourdan, Ingénieur K.< (Suite) Le Problème de la Réception Après avoir' vu sommairement comment étaient produites les ondes comment elles étaient t enfin comment elles se ta. travers l'espace jug- ju'âu poste récepteur nous pouvons iborder maintenant le problème de Nous avons vu que si l'homme peut lercevoir directement lea ondes ä de l'c v^>. _- - S ondes calorifiques par son sens du toucher, il est imcapable de dcceler, par ses propres moyens, les ondes de la T.S.F. 11 est donc obligé de suppléer à ,:ette incapacité à l'aide d'appareils i^îcepteurs d'ondes hertziennes qui :iuront pour but de transformer ces lumière ou chaleur i qui lui sera per ceptible par les sens humains La plupart des appareils rCcep teurs utilisés à 1 heure actuelle réa lisent la transfoimation des ondes hertziennes en ondes sonores mais les récepteurs de television qui com mencent fi être en usage au\ Etats Unis réalisent la transformation des ondes hertziennes en ondes lumi Dailleuis Heit; imparfaite réah sait lui aussi cette dernitre tianstor mation puisque le passage des ondes hertziennes =;i. tiaduisait par une étincelle qui *:tait vue pai 1 opéra Dans ce qui '•a suivre nous nous bornerons a envisagei le cas gêné rai des appart-ila léabsant la trans des ondes hertziennes en heit analogue a 1 antenne d émission ou un cadre c est a dur un enioule ment de fil de glandes dimensions assimilable a une petite antenne II faudra ensuite s arranger de façon à ne recevoir que 1 onde que l on sue et celle seulement Pour cela on aura recours aux phénomènes de résonnance on réalisera un circuit oscillant toujouis compose d une self et dun condonsateui •lusi.tptibie d entrer en résonnance c est à dire de vibrei électiiquement sui la Ion gueur donde désirée et oi reliera ce circuit à l antenne de itception II se passeia alo s des phénomènes Sous 1 influence des ondes inciden tes 1 antenne seia le siège dun cou rant clectiique de haute Iiéquence qu elle conduira jusqu au c rcuit oscillant lequel s il est convenable ment calculé entrera en résonnance et deviendra lui même le siège d os dilations électiomagnétiqueg identi ques i celles que 1 on produit dans le circuit oscillant du poste émet La self du cucuit lécepteui sera donc parcourue pai un courant de haute frequenct, et lUX bornes du condenaateuL nous aurons une diffé lenct de potentiel alternative de hau te ftequence également Générale ment ce condensiteur sera variable c est à dire que la valeur de sa ca picitïu pourra prendre toutes les va leurs comprises entie un minimum et un maximum de tac on a pou\oli taire vauei dune façon longueui d onde de syitème self condensateui et par suite i réaliser 1 accord exact c est a due H concordince exacte entre cette longueur donde et celle des oscillatiois à recevoii condition essentielle de 1 Ces operations e seions donc en possession au poste rCccpteui dun cucuit oscillant pir couiu par un courant haute fréquen ce qui leproduira fidèlenie-it le cou 1 an t haute fréquence pai coui ant 1 antenne du poste démission mais qui sera incomparablement i-lus Dans le cas général ce courant sera tellement faible tellement in (ime quil sera presque impossible de songei \ lutlhser tel que poui la suite des transformations a lui faire subir II faudra donc a-vant toute chose le renforcer c est a dire I amplifier Pour cela on a re couis i des appareils appelés f am pllficateurs haute frequence ^ qu> utilisent les propriétfa des lampes à troi'! electrodes dont nous avons déjà Nous avons vu que ces lampes per mettent, à l'aide le l'électrode appe lée -r. grille •>, de contrôler l'énergie apportée dans le circuit plaque de la lampe pa"- la batterie de tension plaque. Il surf ira donc de relier le circuit oscillant d'entrée, sur lequel agit l'antenne, à ia grille d'une lam- pe Cl trois électrodes pour retrouver dans le circuit plaque de celle-ci des oscillations identiques à celles du cir- cuit d'entrée mais d'une énergie plus considérable. Nous aurons donc bien réalisé l'amplification des oscillations inci- dentes. Pour faire apparaître les oscilla- tions haute fréquence amplifiées qui se trouvent dans le circuit plaque de la .lampe on pourra intercaler dans celui-ci un deuxième circuit oscillant que l'on accordera sur la longueur d'onde à recevoir à l'aide de son condensateur variable. Ce circuit de- viendra le siege d'oscilations d'au- tant plus mtenses qu'il y aura ré- sonnance, d'où le nom d' ^v amphfi- cateur a ré'-onnance >• donné à ce type d'appareil Nous pourrons monter à la suite de la première lampe {ou premier étage de l'amplificateur H.F. > une deuxième lampe (ou deuxième éta- e n éd a e d un d spos t de coup a ^e appropr é au c eu os an p a ce dans a p aque de a i em è e mpe Le d spos f de coup a e sera soit un condensateur (couplage par capacité), soit une self (couplage par self). Nous aurons ainsi réalisé un am- plificateur haute fréquence à 2 éta- ges montés en cascade qui nous fournira, dans le circuit plaque de Il i l'on puisse par ce moyen réaliseï des condensateurs H.F. très puis- sants comprenant un grand nombre d'étages en cascade ; en réalité par suite de phénomènes secondaires (réaction entre lampes), à. moins d'utiliser des lampes spéciales et des dispositifs particuhers (lampes à écran et blindagesl on est obligé de se limiter à un ou deux étages d'am- plification H.F. Mais alors, pour suppléer au man- que d'amplification qui résulte de l'emploi d'ime ou deux lampes seu- lement au lieu de 4 ou 5 comme dans les appareils américains à résonnan- ce, on a recours au phénomène de la réaction qui permet d'augmenter AL POSTE DEMISSION 8 F I . Par uptio courant ^électrique i laRoubine aujourd'hui dimanche, les essais qui devaient avoir lieu ce ma- tin de 9 h. à 10 h. sont renvoyés dimanche prochain (longueur d'onde: 175 m.). Une importante réunion groupant les représentants des sans-filistes de Cannes, les électriciens et les repré- sentants de" la Société d'Eclairage Electrique aura heu lundi soir au siège du Radio Club, Brasserie de la Poste, en vue d'envisager les mesures à prendre pour, éliminer les parasites radloélectriques indus- triels. sue de cette réimion le Conseil listration de notre Société se pour examiner diverses ques- 1 suspens.

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Page 1: LE LITTORAL SPORTIFarchivesjournaux.ville-cannes.fr/dossiers/littoral/...Et lorehestre vm t a-vec ses flons, flons et un bal simple et amical st déroula Chacun s en donrn. à cœui

LB UTTUBAL

LE L I T T O R A L SPORTIF "BULLETIN OFFICIEL DE l'ASSOClATION SPORTIVE DE CANNES

Soirée Amicale Le Bureau de 1 A S C a\ ait decide

d mviiter les jaueairs et rumplacant ayant participé aux matches de Cou pe

S ôtaieuit fait e\cusei Comelli et Bentholetti Les joueur«; manfe avaient amené leuis dames qui rele raient du charme de leur presence cette réunion intime et cordiale Tvi lemment Duteil t t Denegn à leur g:rand regret ne po ivaiLnt j assis

M Biet notie president cLait au centre de la taJble d'honneur ÎJ mt a sa droite Mme GiObbo et M Tau hert et à sa gauche W Joiian et M Grosso

Mesdames Raffier Ri-̂ so Magnon Bardot Beiiudo Jean et Btiaud) Joseph Me^demoisellLS ReiTllej Raf tier Maurel jetaient des notes clai leii et chaimlmtes dans cet fnsem

1 Hotel bit

Le Buiquet Oosmoßohtam le menu était signC \ '••lOsdorf et c e t tout dire des lan g :)ustes rubescenteb toutes bai boui' IcfS de tomates sauce exquise que

i ont obhge^mraent qua jumedos paies

de leg'umes prmtamer'i parfaiti caches dans des architoctuits gla ée présentés lumières été nies et dra pés de giésille doi Petits fours an«; tocrates Le tout irrosé de vms en rarafe rougp et blan^ d i m^'illeu'-cru et couronné d'un champagne pé tillant

Bief en un mot dmer de Roi Aussi les con\nves fuient \ te dans

la joie Cette belle joie eame "t ti anche bien fiançaise q u presidp au-^ agapes

L heure des toasts sonna M Biet glorifiant notre équipe des derniers succès obtenus la félicita du bel Co prit d union de camaïaderie et d concoide qui 1 unit et qui est l i LIU se imtiale et profonde des triomphe qui font notre joie Puis il eut \i délicate attention de faire hommage de ces victoires aux dîmes présen tes car dit il le Football est un Qieu exigeant et ibsoibant et c e t grace a votre bonne humeur ut vo tie permission que nos joueura peu

permettant ainsi d acquérir leur foi me ict-uelle qui nous émerveille

Puis U adiessa des félicitations émues à M Grosso notre vénéré pré sident d Honneur qui \enait dobte

Physique Des paroles amiables a M Jouan et compliments pour sa nomi nation à la présidence du District soulignant <=ffort tccond de M Jouin et It SI famille pour le de •v eloppement du =^port a Cmnes

La pt-iorai n évoqua Colombes bien entendu

Sucessivement Mlï Grosso Jouai Nivièire prirent la parole puis ce fut le tour des chunsons Ordan le prégi dent de la Oomirnssion des Fetes Chartita a\ec un grand succès s i derniôre composition en 1 honneur

1 ASC

« C'est au Quart »

Premier Couplet . Ma^ -iPillP c est un

s gagni No^ ifoin Ont battu le C A F Un match jout saiis chiquc Les Pansiens, oh ' C est natK En so-rtt restés miàttsts C ett la faute a mon avTS 4 r s</-c ' so'ci' du Midi

Pefia . 4 S C

LASC LASC Contribue a lehtiusber h ne Ltgue mise a, l'indey Gloiie au Suiî Est

Deuxième Couplet Ce.st pfi'= nn^ r,ah)ndr

A

BF

Sf

Po

E

BtaisL raudo

P ri m 'f= à sa ton ÎO)d dv

n ban pom Troisième Coup

Qrat i dKi En longeant ce mcux Piado Maims dit a Auguste Quest ce quiîs ont prus ten Pangots Et pom tant oeht un scandai^ QK CPS bougies du Midi Jo ifr lïènt la demi finale San n Chib du Giand Pana Pji }> 01 l€S nôtres ont gagw "lit limage du Suquet

Refrain LASC,14.SC C at It en qu on entendait ZîtiHs {6 ham danji 'auto Dommage qiü m ist pas de M(t A Cannes tou-i les lopain^ Attemîaieiit I h<.n c du ttavi Etlo'squen jait Î' / ma Ce fut lin sîiiceie Hip ' Htp ' H i i

applaudi ssements Olei ht EJitendre sa \oix euivree dim, des mélopées lingoureuses Fecch no lança sea chansonnette^ amusan les Baudry regretta que Lil mé dor me et cache ainsi ses yeux

Et lorehestre vmt a-vec ses flons, flons et un bal simple et amical s t déroula Chacun s en donrn. à cœui joie Eeiraudo A gagna le prix du plus beau tiiigo parfum offert pai 11

meilleure comlpagnie qui ne se quitte Mais chacun était heureux et joyeux d avoir participé à cette belle fete de famil^le

Echos et Ris

8 heuies 30 Ptu a Peu des jeunes gens bien découplés tJiLjtAwsent ies tages ÙHZOJIS du Cosmopolitam Wais do f at déboidé et voudrait que Ion 4P hâte de p)eîf4re la table das'^aut

Maus Ü faut organiseï la table gioupei iff présents stniant Zes sum

aihie

La t b entôt chacun •installe

Deux rPta datai es Hilliei et Ait heen te deimei sais doute letenu par son cotffeu 3tan sans doiitf attetvdant le <•. coquet et se sohda)i

Let. Hors d œub) es dtvei s et SUCCH lents eviplissent les assiettes On ja casse on s'interpelle Emits joyeux et francs qui font bien augmei cette

L animation est genéiale Bientôt du centte de la table ou abondent les fiais minois pait&nt des baiseis qui don mt fat'C le tnui C'est la meü It coutume f ançaisc le Bénédicit6>

T ei s Zc bout il n ̂ a plus que dps mule-, et la chaîne se brise

iitkeen lui se révèle émule du Podolphe de la Vie d« Bohême qui offiait u Laure de lui baiseï lu rrain 'ni.r la personne de sa joue en embrassant sa cowpagne sui les le

Pourtant ce oûne clan et poU ou se leflétatt les lumières sembUiit un inirotr damour attnant les baiseis

Mats ce soir la jeuwesse nnp(tn

Fecchino muni-iCiile Gai gantita ITTI nùobilise îa doniesticttC de l Hotel pom It stivir Quelle appciit C cst. magnifique

Mais les appétits les plus vastes ne résistent pas a lu piodigaîltt d m Walsdo I et bi ntôt on boude au nm veau poisaqe des plats

C est un pUndîdt ccn l ( l ictif de nofir sympathique Vatel local

Longtempu dans la smree api les cliansons on danseja

iboid les jeiüies àvohieiont au Puis les iieuj; peu a peu e is pa I exemple se déchaîne c

STADE DES HESPÉRIDES

Dimanche 22 Mars 1931

à 15 heures

Championnat de Division d'Honneur 1" B

de la Ligue du Sud-Est.

OLYMPIQUE d'ALÈS

Association Sportive de Cannes

Henric

Schmidt Ré

Montfaucon Tourniaire Béraudo J.

Frenet Calecca Coles Roux H. Besson

Arbitre : Alban de Ferry

Pendant que notre première A se rendra à Aies pour ten­ter de consolider sa deuxième place dans le Championnat, matcli qui a un caractère très limportant pour notre Club, car étant données les positions très voisines des clubs dans le classement derrière l'O.M., chacun peut, en fait, être amené à disputer les

Notre équipe s'y rendra néanmoins forte de ses dernières performances mais elle sait que le déplaeement d'Alès est tou­jours dangereux et que les Alésiens ont battu les meiUeures for­mations chez eux.

Aux Hespérides, notre première B devra remporter un nou­veau succès ; son intérêt sera surtout dans la façon employée

notre équipe pour l'obtenir et l'on sait l'élégance de nos Hespérides, l'équipe se présen-

BASKET-BALL i Sous les paniers ! !

bat 4NTIBES OLYIVIPIQXJE (1)

par 33 à, 12

Dans toutes les branches de sa sportive activité 1 Association spoi tive semble en grande forme A 1 ms tar des footballeurs les basketbal-leurs marchent de succès en succès

Le titie de Champion de la Côte d Azur semble ne plus pouvoir échap per au i team -- de Charles Can-cellom

Lia parbe de dimanche sur le coquet terrain du Ceicie Nautique a été dts plus intéressantes i suivre E est re grettable que le cinq antibois n'est pas été formé par les titulaires au complet c equi aurait certaine memt mieux, équilibré le»' pomtb des deux équipas

Deux méthodes différentes fuient en quelque borte pratiquées

Chez les visiteurs K fougue 1 em porta sur la technique II manque daas le team de Cornu cette cohésion et ce jeu de passes qui priment dans une équipe de premier plan

Chez les louge et blanc au contraue la science acquise pai la grande pratiques put le dcssu'. Et le résultat ne se ht pas attendi e

L mdividuallité fait place au je i d équipe et battrait spectaculaire s er

Le jeu se déroule. Un la Commission de Basket passe sur la touche opposée. Chariot vient de itussii un < panter » superbe Ma lomne sussune Ah ' Bath '

Est ce le pamei ' Chailot f

Su7 une descente lapide un jonein local ic^oit le ballon en pleine figure Mcni collègue me signale l œil de

Anbeut non Oh que

Il ftait Coi

Si i OUÏ dtstrez une belle nous vous lecommandons le pi bici Chdilot

Les jaueuis Cannous ont l'inten^ doffni un supobe souvenu) au c géant le plus assidu aux rencom df baskftt

Il est possible que ce piix ne fi te pas de si tôt de compétitein

Un chionomCteur nototre récU sans cesse un double décamètre

Est ce pour mesine^ les paniei MS I n

Dans titiam de la paiite l'aibt-nticipo a une descente ' <nstein Varbihe Sifflei

Raffit emmène conduite inteiieu

t des fla/mmes df ' idle dtsttnet f

pigeons cheicho

m Colombes i

iduaid Kipling itc de fées a du i )ti îa et c était un

Matches du 15 Mars

C'est une très belle petite équipe qui vint occuper notre di­manche. Le forfait des Pro Ver-ceHi avait jeté le trouble et la déception .dains l'âme de3 sup­porters, Je Soleil boudait quelque peu, aussi la Chambrée fuf moyenne.

L'équipe ascéiste se présenta amputée de Duteil sélectionné de •la Là^e du Sud Est et de Dene-gri souffrant d'un gros r-hume. Elle fut 'accueillie par l'ovation enthousiaste des supporters pré­sents. Après avoir fait un tour d'honneur, M. Bret, notre pré­sident complimenta nos joueurs rassemblés devant la tribune centrale et donnant l'accolade à ïlillier lui remit une gerbe de fleurs magnifiques, puis serrant la matii des équipiers fut l'in­terprète de tous auprès de cha-

M. Aitkeen, l'entraîneur du Chib, fut réclamé et ovationné.

Puis l'équipe d'Arles pénétra sur le terrain, Aitkeen s'incor-porant au centre de la ligne d'avants.

C'est une jeime équipe très adroite qui coiifectionna un jeu clair et plaisant, certains élé­ments sont d'une réoUe valeur, malheiu'eusement d'autres sont vraiment trop faibles, c'est ce qui explique le score.

D'ailleurs dans sa forme ac­tuelle notre équipe peut infli­ger les scores les plus lourds aux olubs les plus vaülants.

L'A.S.C. fit une superbe exhi­bition, le contrôle de la baile est rapide, la passe précise, les hommes bougent, se démar­quent et la triplette centrale de la ligne d'avants fut parti-ctihèreraent ea vedette.

Chacun jouant pour celui le mieux placé et faisant preuve d'ime grande adresse et sponta­néité. Bardot au centre de la ligne y apporte des qualités de puissance, de vitesse, de déci­sion, plus grandes que jamais.

Retracer la partie est inutUe. Arles malgré deux arrières soli­des, un goal expérimenté, un demi centre actif, ne put endi­guer la fougue de nos hommes.

Le score s'aggrave avec une régularité mathématique- Et peu nous importe le score, mais ce qui est splendide et doit fai­re pJaisir à tous, c'est la maîtri­se avec laquelle le jeu fut con­duit.

Monsieur Aitkeen eut sa part de succès, car se débattant au milieu d'éléments dominés, mal­gré de belles ouvertures aux

, il ne pouvait être dange-. Mais la science des as est

de profiter de la moindre occa-et à cet égard lorsqu'il

deuxième mi-temps notre équi-

ralentit sa cadence, Arles sur e attaque mieux conduite pu

mettre Aitkeen dans la zone des buts de Roux, en possessioi du ballon. Blocage, demi toui pour masquer Vigoureux qui lui

e bouchait l'œU à Roux coup de pied du gauche en « re­tourné s shoot sec, qui lança le ballon à l'intérieur du poteau

Un plongeon .desespéré de Rouxi mais un tantinet tardif car il n'avait pu voir le coup de pied de départ et le premier but pour Arles était marqué.

Quelques instants plus tard sur un coup franc bien donné .par Arles, le même Aitkeen gril-•la notre défense mal placée et reprenant la balle de la tête battit Roux potir 'la deuxième fois.

Ces deux performances fu­rent applaudies.

Mais Cannes repartit à l'atta­que et l'écart au score fut ré-tabh. Signaler les performances

particuhères ? Pourquoi ? Notons que notre défense

quoique paraissant moins sûre n'en est pas moms impitoyable. Roux eut des interventions qui tiennent du prodige.

Nos demis jouèrent conune d'habitude et c'est tout dire.

En avant nous avonis dit notre admiration pour la triplette cen­trale. Aux aiJes Beraudo J. eut quelques phases habiles, il mar­qua un très joh goal.

A gauche Cornelh fit de très beaux centres surtout en deu­xième mi-temps ; l'adaptation à cette place ne peut être obtenue en un match car le blocage de rarrière en particulier est bien différent de celui de l'avant. Son dribbling est long, mais néan­moins l'essai tenté peut prouver que Comelli en attendant mieux peut constituer notre meilleure et efficace réserve à l'aile gau­che.

En lever de rideau notre pre­mière B battit Draguignan par 3 buts à 2, résultat surprenant après le résultat obtenu par cet­te même équipe à Draguignan. Le match fut suivi avec beau­coup d'attrait, le football con­fectionné étant de très belle facture.

Dans les bois, Henric, à côté d'inter-ventions très belles et de style, eut quelques hésitations. l'atmosphère des Hespérides semble le paralyser.

En arrière Schmidt et Cor­nell! en première mi temps, Schmidt fut très net et ses in-Smidt fut très net et ses in­terventions sont décisives.

En demis Tourniaire opérant au centre fit un très bon match, parut à court d'entraînement mais on ne peut lui reprocher. C'est une réserve de classe sur­tout s'il s'entraîne du gauche et à faire ses passes plus droites et à ras de terre.

Montfaucon fut un demi aile très adroit, ses passes sont un modèle.

Sigaudo trop brouillon, pousse trop loin ses actions personnel­les, a encore beaucoup à ap­prendre et à écouter.

En avant les buts marqués furent très bien amenés, CaJecca se mit en évidence.

Ratfich est trop lent, mais exécute des choses très adroi­tes. Laissons lui un délai d'ac­climatation.

Roux H. eut certaines percées très dangereuses. , Aux ailes Thimo a tendance

aux dribblings en retrait sou­vent peu avantageux. ^ •

Besson fit un match régulier, sans plus.

A midi les Hespérides virent la querelle A.C. contre I.F.C. SP vider au profit des premiers. Le vieil ascéiste Pégliasco ne put empêcher son club de subir un

Le matin, après un match orageux nos juniors furent dé cla es battus par l arb t e et par

Nice Le temps regleme ita re ayant

ete ecourte la Comm ss on d s '=tatuts et Regien ents aui a a stat er

lilé, pourquoi ne reviens-t-

•x-oviplir : Dresser et s'o Juniors de l'A-S-C. Tu r<. tea élèves les belles et

> -sportives d'autrefois. Et

r Club.

La :

vent avec passion ses êvohitionfi scientifiques. Schimét, Tourniaire, P-oux H. ont leurs chauds partisans. Quelle belle. réserve de joueurs qui donne à notre Club une assise solide

Nos joueurs, un peu injustes pour os couleurs, voulaient jouer eii bleu t or, maillot qui les vit victorieux

dans les deux derniers matches de Coupe. Heureusement Arles aimit lui-

les couleurs désirées.

nont dues ù votre valeur t iniei-venir l'influence d'an cotte et d'aucun féticlie.

? faîte.

Echos du Stade

I d D a c p Ce A be i o

IFC te a sevible na o po o 0 a le A bo

st tout de suite le grand jeu et score s'enfle. Pourtant le jeu de l'A.C.A. est loin 're primaire mms rien ne resists : attaque.s incisives de nos avants.

L tout bien considéré, les 9 buts ont été marqués par des Cannois. , M. Aitkeen peut marquer néan­moins cette journée d'une pierre blanche.

D'ailleurs, disaitAl au vestiaire, je ne rendrais pas cette journée pour 25 louis. C'est des tnies qu'on dit parce qu'on sait bien que personne ne peut faire une parque proposi-

i dosait l'importanee des mat-suivre, il deviendrait rapide-

:« arbitre égal aux meüleurs s rencont)-es imp<frtantes.

Reminiscences De nombreux supporters se eont

antre en Coupe de France les S.O.

r. Voici toutes précisions à ce sujet : Un seule fois, depuis la création de

i Coupe, Cannes a rencontré Mont­pellier pour la grande compétition

F.F. A, avait délégué spécialement Paris- M. Balway. -Jotre équipe était comm'andée par

Dominique et comprenait Bode', au­jourd'hui tous deux membres de la Commission de Football de l'A.S.C.

Cannes gagna la partie par 3 buts

la première mi-temps :

Le premier but cannois fut niarqui ir la phase suivante : Dô sert Ti

mothée qui passe à Eode ; ce der fait suivre ila balle à Bonivardc hoote très fort et marque . deuxien e bu ave i peu près

hé Robn

. ec Lard cen e à Bode eque '8.^ e à Bom a do Ce de n e éé

Bon a do marqua enco e e tro en e but pa heacmg su o n e

L dau b ts n a quBS Gnud on e fu en ojons nous pa

>mp et Gu her Au ou preceden A S C a a

J m ne O M à Ma -se e

S O M

Ouen J A O Ap es ce fu

joué à Marseille d q e a f0

a o s du Red S a Vtrap q e Otte sa on a 19 0 21 Rede Sitair rempor a a Coupe En

21 2 e e 1922 23 e Red Sta enco e nqueu de a Coupe

RADIO CLUB ET CLUB RADIOPHONIQUE RÉUNIS

^ BULLETIN OFFICIEL INITIATION A LA T.S.F.

• M. il. Jourdan, Ingénieur K.<

(Suite)

Le Problème de la Réception

Après avoir' vu sommairement comment étaient produites les ondes

comment elles étaient t enfin comment elles se t a . travers l'espace jug-

ju'âu poste récepteur nous pouvons iborder maintenant le problème de

Nous avons vu que si l'homme peut lercevoir directement lea ondes

ä de l'c

v̂ >. _- -S ondes calorifiques par son sens du toucher, il est imcapable de dcceler, par ses propres moyens, les ondes de la T.S.F.

11 est donc obligé de suppléer à ,:ette incapacité à l'aide d'appareils i^îcepteurs d'ondes hertziennes qui :iuront pour but de transformer ces

lumière ou chaleur i qui lui sera per ceptible par les sens humains

La plupart des appareils rCcep teurs utilisés à 1 heure actuelle réa lisent la transfoimation des ondes hertziennes en ondes sonores mais les récepteurs de television qui com mencent fi être en usage au\ Etats Unis réalisent la transformation des ondes hertziennes en ondes lumi

Dailleuis Heit;

imparfaite réah sait lui aussi cette dernitre tianstor mation puisque le passage des ondes hertziennes =;i. tiaduisait par une étincelle qui *:tait vue pai 1 opéra

Dans ce qui '•a suivre nous nous bornerons a envisagei le cas gêné rai des appart-ila léabsant la trans

des ondes hertziennes en

heit

analogue a 1 antenne d émission ou un cadre c est a dur un enioule ment de fil de glandes dimensions assimilable a une petite antenne II faudra ensuite s arranger de façon à ne recevoir que 1 onde que l on dé sue et celle là seulement Pour cela on aura recours aux phénomènes de résonnance on réalisera un circuit oscillant toujouis compose d une self et dun condonsateui •lusi.tptibie d entrer en résonnance c est à dire de vibrei électiiquement sui la Ion gueur donde désirée et o i reliera ce circuit à l antenne de itception II se passeia alo s des phénomènes

Sous 1 influence des ondes inciden tes 1 antenne seia le siège dun cou rant clectiique de haute Iiéquence qu elle conduira jusqu au c rcuit oscillant lequel s il est convenable ment calculé entrera en résonnance et deviendra lui même le siège d os dilations électiomagnétiqueg identi ques i celles que 1 on produit dans le circuit oscillant du poste émet

La self du cucuit lécepteui sera donc parcourue pai un courant de haute frequenct, et lUX bornes du condenaateuL nous aurons une diffé

lenct de potentiel alternative de hau te ftequence également Générale ment ce condensiteur sera variable c est à dire que la valeur de sa ca picitïu pourra prendre toutes les va leurs comprises entie un minimum et un maximum de tac on a pou\oli taire vauei dune façon longueui d onde de syitème self condensateui et par suite i réaliser 1 accord exact c est a due H concordince exacte entre cette longueur donde et celle des oscillatiois à recevoii condition essentielle de 1

Ces operations e seions donc en possession au poste rCccpteui dun cucuit oscillant p i r couiu par un courant haute fréquen ce qui leproduira fidèlenie-it le cou 1 an t haute fréquence pai coui ant 1 antenne du poste démission mais qui sera incomparablement i-lus

Dans le cas général ce courant sera tellement faible tellement in (ime quil sera presque impossible de songei \ lutlhser tel que poui la suite des transformations a lui faire subir II faudra donc a-vant toute chose le renforcer c est a dire I amplifier Pour cela on a re couis i des appareils appelés f am pllficateurs haute frequence ^ qu> utilisent les propriétfa des lampes à troi'! electrodes dont nous avons déjà

Nous avons vu que ces lampes per mettent, à l'aide le l'électrode appe lée -r. grille •>, de contrôler l'énergie apportée dans le circuit plaque de la lampe pa"- la batterie de tension plaque. Il surf ira donc de relier le circuit oscillant d'entrée, sur lequel agit l'antenne, à ia grille d'une lam­pe Cl trois électrodes pour retrouver dans le circuit plaque de celle-ci des oscillations identiques à celles du cir­cuit d'entrée mais d'une énergie plus considérable.

Nous aurons donc bien réalisé l'amplification des oscillations inci­dentes.

Pour faire apparaître les oscilla­tions haute fréquence amplifiées qui se trouvent dans le circuit plaque de la .lampe on pourra intercaler dans celui-ci un deuxième circuit oscillant que l'on accordera sur la longueur d'onde à recevoir à l'aide de son condensateur variable. Ce circuit de­viendra le siege d'oscilations d'au­tant plus mtenses qu'il y aura ré­sonnance, d'où le nom d' v̂ amphfi-cateur a ré'-onnance >•• donné à ce type d'appareil

Nous pourrons monter à la suite de la première lampe {ou premier étage de l'amplificateur H.F. > une deuxième lampe (ou deuxième éta-

e n éd a e d un d spos t de coup a ^e appropr é au c eu os an p a ce dans a p aque de a i em è e

mpe Le d spos f de coup a e sera soit un condensateur (couplage par capacité), soit une self (couplage par self).

Nous aurons ainsi réalisé un am­plificateur haute fréquence à 2 éta­ges montés en cascade qui nous fournira, dans le circuit plaque de

Il i l'on puisse par ce moyen réaliseï des condensateurs H.F. très puis­sants comprenant un grand nombre d'étages en cascade ; en réalité par suite de phénomènes secondaires (réaction entre lampes), à. moins d'utiliser des lampes spéciales et des dispositifs particuhers (lampes à écran et blindagesl on est obligé de se limiter à un ou deux étages d'am­plification H.F.

Mais alors, pour suppléer au man­que d'amplification qui résulte de l'emploi d'ime ou deux lampes seu­lement au lieu de 4 ou 5 comme dans les appareils américains à résonnan­ce, on a recours au phénomène de la réaction qui permet d'augmenter

AL POSTE DEMISSION 8 F I .

Par uptio courant ^électrique i laRoubine aujourd'hui dimanche, les essais qui devaient avoir lieu ce ma­tin de 9 h. à 10 h. sont renvoyés ,à dimanche prochain (longueur d'onde: 175 m.).

Une importante réunion groupant les représentants des sans-filistes de Cannes, les électriciens et les repré­sentants de" la Société d'Eclairage Electrique aura heu lundi soir au siège du Radio Club, Brasserie de la Poste, en vue d'envisager les mesures à prendre pour, éliminer les parasites radloélectriques indus­triels.

sue de cette réimion le Conseil listration de notre Société se pour examiner diverses ques-

1 suspens.