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1. Brief summary of Derrida’s essay a. One dwells within language i. D13: “Je suis monolingue. Mon monolinguisme demeure, et je l’appelle ma demeure, et je le ressens comme tel, j’y reste et je l’habite. Il m’habite. Le monolinguisme dans lequel je respire, même, c’est pour moi l’élément.” b. “I only have but one language, and that language is not my own” i. Further: We only ever speak one idiom; there is no pure idiom ii. 14 “Or jamais cette langue, la seule que je sois ainsi voué à parler, tant que parler me sera possible, à la vie à la mort, cette seule langue, vois-tu, jamais ce ne sera la mienne. Jamais elle ne le fut en vérité. » c. This monolingualism is, therefore, of the other, “of” in the sense of a provenance i. Not a foreign language : 18 « En disant que la seule langue que je parle n’est pas la mienne, je n’ai pas dit qu’elle me fût étrangère. Nuance. Ce n’est pas tout à fait la même chose… » ii. D47 : « je n’ai qu’une langue et ce n’est pas la mienne, ma langue « propre » m’est une langue inassimilable. Ma langue, la seule que je m’entende parler et m’entende à parler, c’est la langue de l’autre. » iii. D127 : « Il ne peut être question de sortir de cette unicité sans unité. Elle n’a pas à être opposée à l’autre, ni même distinguée de l’autre. Elle est la monolangue de l’autre. Le de ne signifie pas tant la propriété que la provenance : la langue est à l’autre, venue de l’autre, la venue de l’autre. » 2. Critique on the basis of its failure to include feminism a. Derrida fails to upset the deeper foundations of discourse i. ESD 109/113: “Et plus l’homme s’acharnerait à analyser le monde, le univers, lui-même, plus il résisterait à ébranler les assises du discours. Il l’analyserait pour redouble et confirmer son immutabilité… Le discours qui aurait été son instrument de défrichement, de culture, du monde serait devenu son horizon intangible, sacré. Son plus propre et son plus étranger ? Sa maison dans l’univers.”

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1. Brief summary of Derrida’s essaya. One dwells within language

i. D13: “Je suis monolingue. Mon monolinguisme demeure, et je l’appelle ma demeure, et je le ressens comme tel, j’y reste et je l’habite. Il m’habite. Le monolinguisme dans lequel je respire, même, c’est pour moi l’élément.”

b. “I only have but one language, and that language is not my own”i. Further: We only ever speak one idiom; there is no pure idiom

ii. 14 “Or jamais cette langue, la seule que je sois ainsi voué à parler, tant que parler me sera possible, à la vie à la mort, cette seule langue, vois-tu, jamais ce ne sera la mienne. Jamais elle ne le fut en vérité. »

c. This monolingualism is, therefore, of the other, “of” in the sense of a provenancei. Not a foreign language : 18 « En disant que la seule langue que je parle n’est

pas la mienne, je n’ai pas dit qu’elle me fût étrangère. Nuance. Ce n’est pas tout à fait la même chose… »

ii. D47 : « je n’ai qu’une langue et ce n’est pas la mienne, ma langue « propre » m’est une langue inassimilable. Ma langue, la seule que je m’entende parler et m’entende à parler, c’est la langue de l’autre. »

iii. D127 : « Il ne peut être question de sortir de cette unicité sans unité. Elle n’a pas à être opposée à l’autre, ni même distinguée de l’autre. Elle est la monolangue de l’autre. Le de ne signifie pas tant la propriété que la provenance : la langue est à l’autre, venue de l’autre, la venue de l’autre. »

2. Critique on the basis of its failure to include feminisma. Derrida fails to upset the deeper foundations of discourse

i. ESD 109/113: “Et plus l’homme s’acharnerait à analyser le monde, le univers, lui-même, plus il résisterait à ébranler les assises du discours. Il l’analyserait pour redouble et confirmer son immutabilité… Le discours qui aurait été son instrument de défrichement, de culture, du monde serait devenu son horizon intangible, sacré. Son plus propre et son plus étranger ? Sa maison dans l’univers.”

ii. D48 : La « structure d’aliénation sans aliénation, » une qui « n’aliène aucune ipséité, aucune propriété, aucun soi qui ait jamais pu représenter sa veille » est considérée comme une vraie aliénation chez la femme, parce qu’elle n’a été jamais au place de donner au langue sa même, son moi, sa infinitude. Cette structure qui « n’est pas seulement l’origine de notre responsabilité, [mais qui] structure le propre a la propriété de la langue » a chargé cette responsabilité avec la tache de nier la propre subjectivité de la femme chez la langue, et plus particulier mais aussi plus universel, la parole, la Lois, les lois du monde, et donc la subjectivité de la femme a devenue cette espace exacte qui a été réduite au silence, annulé, afin de construire une espace dont l’homme peut réaliser, exercer, son identité, son moi.

b. Historical basis for the silencing of womeni. ESD 7 : « En effet, notre Histoire a replié les généalogies féminines et

masculines dans un ou deux triangles familiaux de filiation masculine. La problématique œdipienne de Freud en est un exemple. Mais son modèle date au moins de l’Antiquité grecque où ce dispositif généalogique se met en place. »

ii. Founded on the basis of a God as Father : ESD7 : « Quand il apparaît, avec l’attention et le recueillement que mérite cette question, que Dieu sert à l’oppression des unes au bénéfice des autres, ce Dieu doit être interrogé, et non seulement mis au neutre selon la mode pseudo-libérale actuelle. »

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3. Feminist psychoanalysis offers a deeper analysis of the monolingualism of the othera. Why? Because she has been historically situated to the lesser position; in Irigaray,

she reads the half-fishi. Irigaray lit dans Melusine et autres la faute d’avoir déchiffré la demeure des

fables et monstres, « révélant et cachant quelque chose de notre identité, de nos difficultés à nous situer vis-à-vis de nous et entre nous, quelque chose des drames et charmes qui nous captivent, nous capturent, nous lient et nous séparent. » (69)

ii. « Résister à la hiérarchie homme-femme, Etat-femme, un certain Dieu-femme, machine-femme, pour retomber sous le pouvoir nature-femme, animal-femme, voire matriarches-femmes, femmes-femmes, ne présente pas grand intérêt… nous avons à en devenir plus femmes, et non plus étrangères encore à nous-mêmes que nous ne l’étions, plus en exil que nous ne l’étions. »

iii. « Après l’enveloppe pleine d’eau de notre séjour prénatal, nous avons à construire, peu à peu, l’enveloppe d’air de notre séjour terrestre, air encore libre à respirer et à chanter, air où se déploient nos apparences, nos mouvements. Nous avons été poissons. Nous aurions à devenir oiseaux. Cela ne peut se faire sans ouverture et mobilité dans l’air. » FD 78

iv. « Nous ne sommes pas encore nées femmes. Nous sommes encore et toujours… entre différentes incarnations, et vouées à l’assistance de l’incarnation de l’homme… » FD78

b. D69-70. « C’est en faisant fond sur ce fond qu’opère la monolinguisme imposé par l’autre… qui tend, répressiblement et irrépressiblement, à réduire les langues à l’Un, c’est-à-dire à l’hégémonie de l’homogène… cette homo-hégémonie reste à l’œuvre, effaçant les plis et mettant le texte à plat. »

c. In her reading of the Fort-Da game, : « Parle-t-elle ? Si elle parle, c’est plutôt sur un mode ludique… Les filles n’entrent pas dans la langue de la même manière que les garçons… Elles décrivent un lieu autour d’elles [à travers d’une danse, un rythme, un chant] et ne déplacent pas un objet substitutif d’un lieu à l’autre ou en plusieurs lieux… » GP113

d. « Elles ne peuvent lui trouver comme suppléances que la nature entière, l’appel au divin, ou le faire-pareil. La femme parle toujour avec la mère, l’homme parle en son absence. »

4.5. Language is an inherently masculine figure

i. « Définies comme substance-mère, souvent obscure, voire occulte, du verbe des hommes, il nous manque notre sujet, notre substantif, notre verbe, nos prédicats : notre phrase élémentaire, notre rythme de base, notre identité morphologique, notre incarnation générique, notre généalogie. » FD 83

ii. « Bien de femmes ont fait ou font beaucoup d’efforts pour retomber sous l’influence du monopole des valeurs phallocratiques et patriarcales. Il leur manque, il nous manque encore, l’affirmation et la définition de valeurs pour nous, valeurs souvent condamnées par les femmes elles-mêmes, et entre elles. Cela nous laisse en enfance, en esclavage, soumises aux paradigmes masculins et aux pouvoirs et peurs archaïques de luttes élémentaires pour la vie, partagées entre la soumission à un impérialisme technique qui nous reste étranger et la régression à la pensée magique. » FD84

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iii. « La lange est l’outil de l’universel. Elle n’est pas l’universel pour autant… L’outil universel veut des citoyens neutres au regard de la singularité familiale, des ses lois, de sa nécessaire différence sexuelle. »GF 126

iv. « [Le genre] constitue la différenciation irréductible qui passe à l’intérieur du « genre humain ». Le figure le lieu de position insubstituable du je et du tu et de leurs modalités d’expression. Avec la différence entre je et tu disparaissent la demande, le merci, l’appel, la question… »TG 170

b. In grammarsi. « Ne pas dire je suppose de laisser la parole, la voix, à ce qui est supposé plus

digne d’articuler notre véritéii. La différence sexuelle ne créa que la division des rôles et des fonctions qui

ne permet pas aux deux sexes d’être sujets... « Elle y est recouverte par différents masques et il existe une très grande résistance… parce que le langage est considéré comme un idéal étranger au corps qui le produit, soit parce qu’il est affirmé se réduire à la superstructure d’une économie restreinte. » TG 186

iii. « Ce sexe s’est d’ailleurs approprié les vérités les plus valeureuses : Dieu est masculin dans la plupart des langues, sinon toutes, aujourd’hui ; le soleil aussi… » TG 186

iv. « Tout ce qui lui semble valable doit appartenir à son genre. Le féminin est un marque secondaire, toujours subordonnée au genre principal… les lois sont alors édictées par les seuls hommes. Le il faut signifie un devoir ou un ordre établis par un seul sexe, un seul genre. Il n’est qu’apparemment neutre et, encore une fois, en français du moins, il se dit avec le même genre que le masculin. » TG187-8

v. « Même quand elles sont ensemble, elles savent rarement vivre et dire ce passage d’un état à un autre. Elles s’en tiennent à la critique des situations existantes, à la rivalité, à leurs plaintes et soucis. Elles s’initient peu ensemble à leur devenir femmes… Elles échangent des bribes de jeux déjà joués. Elles inventent rarement de nouveaux jeux, leurs jeux. »

vi. « Le symbole le plus oublié de l’univers et de nos cultures est le symbole sexuel, symbole vivant. Dans la méconnaissance de ce symbole vivant, les hommes — seulement les hommes — échangent femmes, enfants, produits du travail, consignes, monnaies (soucent frappées à l’image du féminin ?). Ils échangent quelque chose au lieu d’échanger l’amour, le(s) dieu(x), l’art, la pensée, le langage. »

c. In vocabularies (la maison du langage)d. L’académie française

i. Irony of Derrida’s opening statements6. The masculinity of language denies women participation, and with it her proper subjectivity

a. If language is a promise, it is a promise to maintain the patriarchal hegemonyi. D42 : « Une structure immanente de promesse ou de désir, une attente sans

horizon d’attente informe toute parole. Dès que je parle, avant même de formuler une promesse, une attente ou un désir comme tels, ….je suis dans cette promesse ou dans cette menace — qui rassemble dès lors la langue, la langue promise ou menacée, prometteuse jusque dans la menace et vice versa, ainsi rassemblée dans sa dissémination même… On ne peut parler d’une langue que dans cette langue. Fût-ce à la mettre hors d’elle-même. »

ii. D44-5 : « Bien loin de dissoudre la spécificité, toujours relative, si cruelle soit-elle, des situations d’oppression linguistique ou d’expropriation

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coloniale, cette universalisation prudente et différenciée doit rendre compte, je dirais même qu’elle est la seule à pouvoir le faire, de la possibilité déterminable d’un asservissement et d’une hégémonie. Et même d’une terreur dans les langues (il y a, douce, discrète ou criante, une terreur dans les langues, c’est notre sujet). »

b. The two tricks playedi. The master of language wants to force others to use his language to

reconcile his not having any language himself1. D45 : « Parce que le maître ne possède pas en propre, naturellement,

ce qu’il appelle pourtant sa langue ; pace que, quoi qu’il veuille ou fasse, il ne peut entretenir avec elle des rapports de propriété ou d’identité naturels, nationaux, congénitaux, ontologiques (et on doit aussi dire ici sexuels) ; parce qu’il ne peut accréditer et dire cette appropriation qu’au cours d’un procès non naturel de constructions politico-phantasmatiques ; parce que la langue n’est pas son bien naturel, par cela même il peut historiquement, à travers le viol d’une usurpation culturelle, c’est-à-dire toujours d’essence coloniale, feindre de se l’apprprier pour l’imposer comme « la sienne ». C’est là sa croyance, il veut la faire partager par la force ou par la ruse, il veut y faire croire, comme au miracle… »

c. The God of language/discoursei. ESD 110: “Le langage, en tous ses avatars, représenterait obscurément, pour

[l’homme], la mere toute-puissante, toujours inconnue, et le Dieu transcendant. Les deux. Cette dualité de ses production techniques, l’homme ne voudrait, ou ne pourrait, la reconnaître ni la réinterpréter dans ses symboles.”

ii. D69 : « Le monolinguisme de l’autre, ce serait d’abord cette souveraineté, cette loi venu d’ailleurs, sans doute, mais aussi et d’abord la langue même de la Loi. Et la Loi comme Langue. »

iii. FD73 : « Pour poser un genre, il faut un Dieu : caution de l’infini. »iv. « Devenir parties ou multiples sans futur propre aboutit à s’en remettre à

l’autre ou l’Autre de l’autre pour son rassemblement » « Pour vouloir, il est indispensable d’avoir un but. Celui qui vaut le plus est de devenir, infiniment…  l’homme, sans doute, ne peut accomplir son essence sans s’affirmer comme séparé en genre. S’il nest pas existant en son genre, il manque son rapport à l’infini et, d’ailleurs, à la finitude. » (73-4)

v. « Si les femmes manquent de Dieu, elles ne peuvent communiquer ni communier entre elles. Il faut, il leur faut, l’infini pour partager un peu. » Mais « La femme devient divine pour son fils. Il n’y a pas de Dieu femme, ni de trinité féminine : mère, fille, esprit. Cela paralyse l’infini du devenir femme dans la maternité et la tâche de l’incarnation du fils de Dieu. »

vi. « Notre tradition… nous oblige à des alternatives meurtrières : ou mère (l’enfant garçon étant ce qui nous rend véritablement mère) ou femme (prostituée et bien de l’homme). La trinité féminine nous manque. Mais, sans divin qui lui convienne, la femme ne peut accomplir sa subjectivité selon un objectif qui lui correspond. Elle manque d’idéal qui lui soit un but et un chemin pour devenir. Elle(s) se disperse(nt) et devien(nen)t agent(s) de destruction et d’anéantissement faute d’une autre d’elle(s) qu’ell(s) devien(nen)t. »76

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vii. « Les femmes n’ont de diabolique que leur absence de Dieu et le fait que, privées de Dieus, elles se trouvent pliées à des modèles qui ne leur conviennent pas, les exilent, les doublent, les masquent, les coupent d’elles et en elles, leur ôtant leurs progrès dans l’amour, l’art, la pensée, l’accomplissement idéal et divin d’elle(s). » 76

viii. « Tout homme (selon Feurbach) et toute femme, à moins de rester soumise à la logique de l’essence de l’homme, doivent s’imaginer un Dieu, un lieu ou chemin objectif et subjectif de possible rassemblement de soi dans l’espace et le temps… » FD80

d. Love of same/love of otheri. « Je ne me suis pas encore dévoilée, démasquée, ni voilée pour moi, voilée

pour me recueillir, par exemple, me retoucher de mon regard comme limite à l’exposition à l’autre, mais aussi de mes gestes, de mes vêtements, me renider de et dans ma vision et contemplation de moi. » FD77

ii. « L’amour de l’autre sans amour de soi, sans amour de Dieu, est assujettissement de l’une, l’autre, et de l’ensemble du corps social. » FD80

e. Ultimate alienationi. D56 :  « Sur la terre des hommes aujourd’hui, certains doivent céder à

l’homo-hégémonie des langues dominantes, ils doivent apprendre la langue des maîtres, du capital et des machines, ils doivent perdre leur idiome pour survivre ou pour vivre mieux. Économie tragique, conseil impossible. »

ii. D68 « Tout culture est originairement coloniale… Toute culture s’institue par l’imposition unilatérale de quelque « politique » de la langue. La maîtrise commence par le pouvoir de nommer, d’imposer et de légitimer les appellations. »

7. Though Derrida’s monolingualism is an objective subjectivity, and so he must speak from his experience as a Franco-Algerian, his silence on the negative other of the gender binary cannot be justified by his subjectivity (in some ways, it’s made worse; re: two of his notes to the writing); in many ways, the woman, speaking most wholly in a language not her own, one in battle with her inherent human power to create, could, hopefully, or at least, if only still, provide a more informed voice to his questions at the start of the book

a. Silence on feminismb. Ways in which this silence is made more dangerousc. How the woman better fits into his model of monolingualism

i. « Comment déterminer [cette unique fois], un ceci singulier dont l’unicité justement tient au seul témoignage, au fait que certains individus, dans certaines situations, attestent les traits d’une structure néanmoins universelle, la révèlent, l’indiquent, la donnent à lire « plus à vif », plus à vif comme on le dit et parce qu’on le di »t surtout d’une blessure, plus à vif et mieux que d’autres, et parfois seuls dans leur genre ? » La femme est encore, comme toujours, seul dans sa genre !

ii. D117 : « Le monolingue dont je parle, il parle une langue dont il est privé. Ce n’est pas la sienne, le français. Parce qu’il est donc privé de toute langue, et qu’il n’a plus d’autre recours… il est jeté dans la traduction absolue, une traduction sans pôle de référence, sans langue originaire, sans langue de départ. »

iii. La langue que parle le monolingue « ne peut être qu’une langue d’arrivée ou plutôt d’avenir, une phrase promise, une langue de l’autre, encore, mais tout autre que la langue de l’autre comme langue de maître ou du colon… » Il y a une sorte de convergence ici de la colonisation en termes usuels avec la

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colonisation du corps qui a été réalisé à travers le grands temps historique. (119)

8. Derrida offers no solution to his monolingualism, for it is not as if he’s speaking about a foreign language (language is inherently faulty); in many ways, there is not anything that can be done immediately in the ways of ridding language of its sexualizing subversion, but to take a hint from Derrida’s essay on différance: we could perhaps start with minute changes in orthography, subverting language itself to a more pronounced neutrality; by taking these steps toward language, to affirming more of its play than the rigid structure it is normally held to, we might ultimately conceive of a less patriarchal tongue; by rooting these new pronominal forms in the feminine, we might even retrace a new history (for as does gender, as it is constructed by and for language, it operates on two axioms: that as we understand today, and that of its history)

i. Not a foreign language : 18 « En disant que la seule langue que je parle n’est pas la mienne, je n’ai pas dit qu’elle me fût étrangère. Nuance. Ce n’est pas tout à fait la même chose… »

ii. D95 : « Où se trouve-t-on alors ? Où se trouver ? À qui peut-on encore s’identifier pour affirmer sa propre identité et se raconter sa propre histoire ? À qui la raconter, d’abord ? »

iii. «b. Irigaray: find a new Godc. Orthography?d. We shall say no longer, ecce homo, behold the man, behold the same the man which

is the same, yet : « Ecce homo, car il s’agirait bien d’une « passion », il ne faut pas sourire, le martyre franco-maghrébin qui dès la naissance, depuis la naissance mais aussi de la naissance, sur l’autre côte, la sienne, n’a rien choisi et rien compris, au fond, et qui souffre encore et témoigne. »

9. Académie Française10. « Car toujours, je l’avoue, je me rends à la langue »