journal du ram 23 - janvier 2015 -...
TRANSCRIPT
Le Relais Assistantes MaternellesLa petite enfance est une compétence dont la Communauté de communes du Miey peut être fière ! 2014 laisse la place à 2015 durant laquelle les projets et le développement du RAM vont se poursuivre afin de mieux accueillir, écouter et accompagner les parents et les assistantes maternelles. Ainsi, nous menons une démarche en collaboration avec la Caisse d’Allocations Familiales pour la labellisation de l'espace parents-enfants, qui sera vraisemblablement actée en juin prochain.
Dans ce numéro d'informations, vous trouverez des articles divers et variés :- un article pédagogique sur l'approche psychologique de l'alimentation de
l'enfant,- une revue de livres en différentes langues régionales ou nationales,- une information importante sur une formation aux 1ers secours organisée
par la Croix blanche,- démarrage du projet "d'une langue à l'autre" avec Marie-Hélène
Cauhapé, conteuse,- le planning des activités du premier trimestre 2015,- des informations diverses ...
Bonne lecture à tous et bonnes fêtes de fin d'année
Eric Castet
Vice-président du Miey
N°23 BULLETIN D’INFORMATION DES ASSISTANTES MATERNELLES DU MIEY DE BEARN
Janvier àavril 2015
Dossier
Une cuillèrepour papa
Législation
Arrêt de travail
Photos
Festivalet cueillette
Planning de janvier
à avril
RAM ACTU
Service « Infos Modes d’Accueil 0/3ans » les lundi 17h/18h30, mardi 9h/12h, jeudi 9h/11h30 avec Catherine Sassus Bourda les mardi 14h/17h, mercredi et vendredi 9h30/12h30 avec Claire Richard et
Christelle Marie-AnnePossibilité de rendez-vous pendant et en dehors de ces créneaux.
Assistantes maternelles, futures agréées et gardes à domicileLes mardi 14h/17h, mercredi et vendredi 9h30/12h30 avec Claire Richard et Christelle Marie-AnnePossibilité de rendez-vous pendant et en dehors de ces créneaux.
Animations collectivesLes lundis, mardis et vendredi, de 9h30 à 11h30 sur Artiguelouve, Poey de Lescar et Uzein.
Espace Parents/enfantsLe jeudi de 9h30 à 11h30 à Poey de Lescar
Je ne mange pas à la maison mais chez nounou….mmmmm !
Pour les parents, voir leur enfant bien manger renvoie à l’idée qu’il va bien grandir, d’où un sentiment d’échec pour un père ou une mère qui voit son enfant refuser de s’alimenter. Certains enfants mangent «mieux» avec l'assistante maternelle, qui n’est pas prise dans cet affect.
L’enfant qui n’a pas encore de mots pour exprimer ses difficultés, ses émotions, utilise parfois l’alimentation pour se faire entendre, et utilisera ce dialogue principalement avec son entourage familial.
Moi j’aime pas les légumes !
Le rejet des légumes a une origine instinctive : rejet de l'amertume (chou fleur, endive, épinard, etc) et une origine nutritionnelle (attirance pour les aliments ayant un fort pouvoir rassasiant, or les légumes ont une faible densité calorique).
Une autre explication est que les légumes sont souvent présentés comme une obligation, jamais comme une friandise y compris dans la publicité qui valorise davantage les produits transformés plutôt que les aliments «bruts» (notamment les fruits et légumes). Une tomate cerise ou un bâtonnet de carotte peuvent ainsi être présentés comme friandises.
Dire «il a un bon goût», «c'est bon», «c'est croquant», « c'est fondant » donne plus envie de gouter que d’insister sur les principes nutritionnels comme «c'est bon pour la santé !» ou «c'est riche en vitamines».
Quelques pistes ….
Le tout-petit a besoin d'associer la représentation visuelle d'un aliment à son goût. Tous les sens interviennent dans l’alimentation : l’ouïe, l’odorat, la vue, le toucher, le goût.
L'exposition répétée et en petites quantités favorise la familiarisation, qui peut aider l'enfant à surmonter son rejet initial.
Un aliment présenté dans un contexte chaleureux aura tendance à être plus apprécié qu'un aliment présenté dans un contexte non social.
Déguster préalablement un aliment nouveau devant un enfant augmente les chances qu'il le goûte.
Un enfant goûtera plus facilement les aliments qu'il aura pris l'initiative de se servir, y compris ceux que les adultes mangent.
Les enfants seront plus disposés à goûter ce qu'ils auront préalablement touché, senti, préparé eux-mêmes ….
Et vous, vous faites comment ?
Depuis 2 mois, je fais les repas pour Lili ; avant, sa maman m'amenait les petits pots.
Je lui donne ses repas entre 11h30 et 12h00, dans la salle à manger (nous ne prenons que le petit dèjeuner dans la cuisine), avant les grands qui rentrent de l'école à midi.
lili étant intolérante au lait, je ne mets ni crème, ni beurre dans mes préparations, je ne lui achète que des yaourts au soja.
Le repas dure environ 1/2h, on attend que tout le monde ait fini pour passer au plat suivant, on mange le dessert tous ensemble. On mange tous (sauf Lili) la même chose (dans la mesure où les parents ne fournissent pas le repas) ; je ne fais pas de menu à la carte .
On ne peut pas savoir qu'on aime pas si on ne goûte pas ! et si on n'aime vraiment pas, tant pis, je ne refais plus ce plat.
Je n’ai jamais eu de difficultés particulières ; les parents sont étonnés de savoir que leur enfant mange ou au moins a gouté un petit peu à tout.
N.W.
RAM ACTU Une cuillère pour papaPédagogie
L’alimentation de l’enfant peut être abordée sur son aspect diététique, médical, culturel, mais dans cet article nous l’aborderons sur ces aspects psychologiques.
L'alimentation : un facteur de développement de l'enfant
L'alimentation est la toute première relation que l'enfant vit avec l'adulte. Dès sa conception, l'enfant ne peut satisfaire seul son besoin de s'alimenter : in utéro il est alimenté en permanence, mais après sa naissance la dépendance à l'adulte qui le nourrit est plus marquée, que cela passe par l’allaitement maternel ou le biberon.
Il est important qu’il y ait une stabilité de la personne qui nourrit le bébé afin qu’il soit sécurisé, au travers des regards et du contact échangés durant ces temps de repas.
La nourriture devient ce qui relie l’enfant à l'adulte qui le nourrit, puis aux autres (le groupe avec lequel il partage ses repas). Elle prend ainsi un fonction sociale, avec une ouverture sur le monde : des échanges très riches sont observés lors des repas des tout petits, et à l’âge adulte, les temps de repas demeurent des moments importants de convivialité.
Impact du contexte de vie de l'enfant sur son alimentation
Le lien que les adultes entretiennent eux-mêmes avec l’alimentation est également à prendre en compte. En effet, les habitudes alimentaires familiales influent sur ce que l’enfant mange ou pas. Si l’enfant a l’habitude de manger des aliments écrasés, il peut se trouver par exemple gêné par une présentation en morceaux qu’il ne connait pas. La diversification alimentaire et le rapport à la nourriture vont alors nécessiter un temps d'adaptation plus ou moins long selon les enfants et selon la stabilité du contexte dans lequel ils évoluent.
Lors de la période d’adaptation, prendre le temps de connaitre les habitudes alimentaires de l'enfant permet à l'assistante maternelle de lui proposer une certaine continuité, et ainsi de favoriser sa prise de repères et son sentiment de sécurité dans son nouvel environnement.
Exemples de moments difficiles liés à l'alimentation
Les problèmes d’alimentation sont le plus souvent des comportements de refus liés à l’âge ou des symptômes pour dire un mal être.
Je ne connais pas… j’en veux pas
Le rejet des aliments nouveaux. C’est une phase naturelle inscrite dans l'histoire de l'enfance (75% des enfants de 2 à 10 ans passent par cette phase). Chaque enfant a plus ou moins de difficultés à accepter les nouveaux aliments, car, comme toute nouveauté, il doit l’explorer à sa manière et à son rythme.
Si l’enfant est dans un environnement instable ou en plein changement il aura certainement plus de mal à accepter une modification supplémentaire même si elle n’est qu’alimentaire. Ainsi, la mise en place d'un accueil, une séparation des parents, un déménagement, l'arrivée d'un nouvel enfant dans la famille par exemple, peuvent avoir des conséquences sur l'alimentation de l'enfant.
Manger c’est donc accepter de nouvelles choses mais également accepter de grandir, ne plus être le petit de la maison.
Chez moi, les parents ont le libre choix d'amener ou non le repas. (personnellement dans les deux cas je m'adapte et c'est facile).
Pour l'organisation, c'est d'abord la plus jeune des enfants qui commence à manger car elle a plus vite faim que les autres. En ce moment, j’accueille 2 enfants sauf le mercredi où il y a mes enfants en plus ; maintenant qu’Amandine et Camille mangent de tout,ils mangent tous en même temps le même repas (bien sûr les doses sont adaptées selon l'âge).
Quand l'enfant commence à manger les premières cuillères de légumes, et la viande ensuite, ce sont les parents qui commencent à donner chez eux, chaque nouvel aliment (si l'enfant fait une réaction allergique ou non, il le fera en présence de ses parents, ils sont très compréhensifs et ça se passe très bien).
Pour mon organisation, quand les parents veulent que je fasse les repas, je m'organise des petits temps (le w.e ou pendant les siestes des petits) à cuisiner différents légumes natures à la vapeur. Si l'enfant mange mixé, je congèle les différentes purées de légumes dans des bacs à glaçons (une plaque par différent légume) le matin je sors du congélateur les cubes de purée que je veux, ce qui me permet d'avoir tous les jours des différentes purées variées sans cuisiner.... Quand il faut introduire la viande, poisson, j'achète viande et poisson frais, et je coupe des petits morceaux (crus) que je congèle ensuite individuellement dans des poches (congélation) notées, ce qui me permet d'avoir toujours une réserve chez moi. Et puis, c'est très pratique... Je le conseille à chaque Maman de tout petit que j’accueille.
Ayant un grand potager, donc beaucoup de légumes, je fais des conserves mais en petits pots de 350 g ... que je stérilise ensuite. Je fais la même chose avec pleins de fruits pour faire des compotes fraîches sympa (pomme/prune.. pomme/abricot/fraise etc..). C'est du boulot, mais j'adore faire ça, déjà pour mes propres enfants puis pour ceux que je garde, j'ai une grande "fierté" à leur donner quelque chose de bon et surtout de très sain !! Les Mamans apprécient beaucoup cette petite attention.
Pour moi, les repas sont des moments super importants et très conviviaux.. et pas du tout contraignants.
N .M.
Article issu d’une collaboration entre RAM du département 64
Je ne mange pas à la maison mais chez nounou….mmmmm !
Pour les parents, voir leur enfant bien manger renvoie à l’idée qu’il va bien grandir, d’où un sentiment d’échec pour un père ou une mère qui voit son enfant refuser de s’alimenter. Certains enfants mangent «mieux» avec l'assistante maternelle, qui n’est pas prise dans cet affect.
L’enfant qui n’a pas encore de mots pour exprimer ses difficultés, ses émotions, utilise parfois l’alimentation pour se faire entendre, et utilisera ce dialogue principalement avec son entourage familial.
Moi j’aime pas les légumes !
Le rejet des légumes a une origine instinctive : rejet de l'amertume (chou fleur, endive, épinard, etc) et une origine nutritionnelle (attirance pour les aliments ayant un fort pouvoir rassasiant, or les légumes ont une faible densité calorique).
Une autre explication est que les légumes sont souvent présentés comme une obligation, jamais comme une friandise y compris dans la publicité qui valorise davantage les produits transformés plutôt que les aliments «bruts» (notamment les fruits et légumes). Une tomate cerise ou un bâtonnet de carotte peuvent ainsi être présentés comme friandises.
Dire «il a un bon goût», «c'est bon», «c'est croquant», « c'est fondant » donne plus envie de gouter que d’insister sur les principes nutritionnels comme «c'est bon pour la santé !» ou «c'est riche en vitamines».
Quelques pistes ….
Le tout-petit a besoin d'associer la représentation visuelle d'un aliment à son goût. Tous les sens interviennent dans l’alimentation : l’ouïe, l’odorat, la vue, le toucher, le goût.
L'exposition répétée et en petites quantités favorise la familiarisation, qui peut aider l'enfant à surmonter son rejet initial.
Un aliment présenté dans un contexte chaleureux aura tendance à être plus apprécié qu'un aliment présenté dans un contexte non social.
Déguster préalablement un aliment nouveau devant un enfant augmente les chances qu'il le goûte.
Un enfant goûtera plus facilement les aliments qu'il aura pris l'initiative de se servir, y compris ceux que les adultes mangent.
Les enfants seront plus disposés à goûter ce qu'ils auront préalablement touché, senti, préparé eux-mêmes ….
Et vous, vous faites comment ?
Depuis 2 mois, je fais les repas pour Lili ; avant, sa maman m'amenait les petits pots.
Je lui donne ses repas entre 11h30 et 12h00, dans la salle à manger (nous ne prenons que le petit dèjeuner dans la cuisine), avant les grands qui rentrent de l'école à midi.
lili étant intolérante au lait, je ne mets ni crème, ni beurre dans mes préparations, je ne lui achète que des yaourts au soja.
Le repas dure environ 1/2h, on attend que tout le monde ait fini pour passer au plat suivant, on mange le dessert tous ensemble. On mange tous (sauf Lili) la même chose (dans la mesure où les parents ne fournissent pas le repas) ; je ne fais pas de menu à la carte .
On ne peut pas savoir qu'on aime pas si on ne goûte pas ! et si on n'aime vraiment pas, tant pis, je ne refais plus ce plat.
Je n’ai jamais eu de difficultés particulières ; les parents sont étonnés de savoir que leur enfant mange ou au moins a gouté un petit peu à tout.
N.W.
L’alimentation de l’enfant peut être abordée sur son aspect diététique, médical, culturel, mais dans cet article nous l’aborderons sur ces aspects psychologiques.
L'alimentation : un facteur de développement de l'enfant
L'alimentation est la toute première relation que l'enfant vit avec l'adulte. Dès sa conception, l'enfant ne peut satisfaire seul son besoin de s'alimenter : in utéro il est alimenté en permanence, mais après sa naissance la dépendance à l'adulte qui le nourrit est plus marquée, que cela passe par l’allaitement maternel ou le biberon.
Il est important qu’il y ait une stabilité de la personne qui nourrit le bébé afin qu’il soit sécurisé, au travers des regards et du contact échangés durant ces temps de repas.
La nourriture devient ce qui relie l’enfant à l'adulte qui le nourrit, puis aux autres (le groupe avec lequel il partage ses repas). Elle prend ainsi un fonction sociale, avec une ouverture sur le monde : des échanges très riches sont observés lors des repas des tout petits, et à l’âge adulte, les temps de repas demeurent des moments importants de convivialité.
Impact du contexte de vie de l'enfant sur son alimentation
Le lien que les adultes entretiennent eux-mêmes avec l’alimentation est également à prendre en compte. En effet, les habitudes alimentaires familiales influent sur ce que l’enfant mange ou pas. Si l’enfant a l’habitude de manger des aliments écrasés, il peut se trouver par exemple gêné par une présentation en morceaux qu’il ne connait pas. La diversification alimentaire et le rapport à la nourriture vont alors nécessiter un temps d'adaptation plus ou moins long selon les enfants et selon la stabilité du contexte dans lequel ils évoluent.
Lors de la période d’adaptation, prendre le temps de connaitre les habitudes alimentaires de l'enfant permet à l'assistante maternelle de lui proposer une certaine continuité, et ainsi de favoriser sa prise de repères et son sentiment de sécurité dans son nouvel environnement.
Exemples de moments difficiles liés à l'alimentation
Les problèmes d’alimentation sont le plus souvent des comportements de refus liés à l’âge ou des symptômes pour dire un mal être.
Je ne connais pas… j’en veux pas
Le rejet des aliments nouveaux. C’est une phase naturelle inscrite dans l'histoire de l'enfance (75% des enfants de 2 à 10 ans passent par cette phase). Chaque enfant a plus ou moins de difficultés à accepter les nouveaux aliments, car, comme toute nouveauté, il doit l’explorer à sa manière et à son rythme.
Si l’enfant est dans un environnement instable ou en plein changement il aura certainement plus de mal à accepter une modification supplémentaire même si elle n’est qu’alimentaire. Ainsi, la mise en place d'un accueil, une séparation des parents, un déménagement, l'arrivée d'un nouvel enfant dans la famille par exemple, peuvent avoir des conséquences sur l'alimentation de l'enfant.
Manger c’est donc accepter de nouvelles choses mais également accepter de grandir, ne plus être le petit de la maison.
2 témoignages d’assistantes maternelles(Les prénoms des enfants ont été modifiés)
Chez moi, les parents ont le libre choix d'amener ou non le repas. (personnellement dans les deux cas je m'adapte et c'est facile).
Pour l'organisation, c'est d'abord la plus jeune des enfants qui commence à manger car elle a plus vite faim que les autres. En ce moment, j’accueille 2 enfants sauf le mercredi où il y a mes enfants en plus ; maintenant qu’Amandine et Camille mangent de tout,ils mangent tous en même temps le même repas (bien sûr les doses sont adaptées selon l'âge).
Quand l'enfant commence à manger les premières cuillères de légumes, et la viande ensuite, ce sont les parents qui commencent à donner chez eux, chaque nouvel aliment (si l'enfant fait une réaction allergique ou non, il le fera en présence de ses parents, ils sont très compréhensifs et ça se passe très bien).
Pour mon organisation, quand les parents veulent que je fasse les repas, je m'organise des petits temps (le w.e ou pendant les siestes des petits) à cuisiner différents légumes natures à la vapeur. Si l'enfant mange mixé, je congèle les différentes purées de légumes dans des bacs à glaçons (une plaque par différent légume) le matin je sors du congélateur les cubes de purée que je veux, ce qui me permet d'avoir tous les jours des différentes purées variées sans cuisiner.... Quand il faut introduire la viande, poisson, j'achète viande et poisson frais, et je coupe des petits morceaux (crus) que je congèle ensuite individuellement dans des poches (congélation) notées, ce qui me permet d'avoir toujours une réserve chez moi. Et puis, c'est très pratique... Je le conseille à chaque Maman de tout petit que j’accueille.
Ayant un grand potager, donc beaucoup de légumes, je fais des conserves mais en petits pots de 350 g ... que je stérilise ensuite. Je fais la même chose avec pleins de fruits pour faire des compotes fraîches sympa (pomme/prune.. pomme/abricot/fraise etc..). C'est du boulot, mais j'adore faire ça, déjà pour mes propres enfants puis pour ceux que je garde, j'ai une grande "fierté" à leur donner quelque chose de bon et surtout de très sain !! Les Mamans apprécient beaucoup cette petite attention.
Pour moi, les repas sont des moments super importants et très conviviaux.. et pas du tout contraignants.
N .M.
Article issu d’une collaboration entre RAM du département 64
Je ne mange pas à la maison mais chez nounou….mmmmm !
Pour les parents, voir leur enfant bien manger renvoie à l’idée qu’il va bien grandir, d’où un sentiment d’échec pour un père ou une mère qui voit son enfant refuser de s’alimenter. Certains enfants mangent «mieux» avec l'assistante maternelle, qui n’est pas prise dans cet affect.
L’enfant qui n’a pas encore de mots pour exprimer ses difficultés, ses émotions, utilise parfois l’alimentation pour se faire entendre, et utilisera ce dialogue principalement avec son entourage familial.
Moi j’aime pas les légumes !
Le rejet des légumes a une origine instinctive : rejet de l'amertume (chou fleur, endive, épinard, etc) et une origine nutritionnelle (attirance pour les aliments ayant un fort pouvoir rassasiant, or les légumes ont une faible densité calorique).
Une autre explication est que les légumes sont souvent présentés comme une obligation, jamais comme une friandise y compris dans la publicité qui valorise davantage les produits transformés plutôt que les aliments «bruts» (notamment les fruits et légumes). Une tomate cerise ou un bâtonnet de carotte peuvent ainsi être présentés comme friandises.
Dire «il a un bon goût», «c'est bon», «c'est croquant», « c'est fondant » donne plus envie de gouter que d’insister sur les principes nutritionnels comme «c'est bon pour la santé !» ou «c'est riche en vitamines».
Quelques pistes ….
Le tout-petit a besoin d'associer la représentation visuelle d'un aliment à son goût. Tous les sens interviennent dans l’alimentation : l’ouïe, l’odorat, la vue, le toucher, le goût.
L'exposition répétée et en petites quantités favorise la familiarisation, qui peut aider l'enfant à surmonter son rejet initial.
Un aliment présenté dans un contexte chaleureux aura tendance à être plus apprécié qu'un aliment présenté dans un contexte non social.
Déguster préalablement un aliment nouveau devant un enfant augmente les chances qu'il le goûte.
Un enfant goûtera plus facilement les aliments qu'il aura pris l'initiative de se servir, y compris ceux que les adultes mangent.
Les enfants seront plus disposés à goûter ce qu'ils auront préalablement touché, senti, préparé eux-mêmes ….
Et vous, vous faites comment ?
Depuis 2 mois, je fais les repas pour Lili ; avant, sa maman m'amenait les petits pots.
Je lui donne ses repas entre 11h30 et 12h00, dans la salle à manger (nous ne prenons que le petit dèjeuner dans la cuisine), avant les grands qui rentrent de l'école à midi.
lili étant intolérante au lait, je ne mets ni crème, ni beurre dans mes préparations, je ne lui achète que des yaourts au soja.
Le repas dure environ 1/2h, on attend que tout le monde ait fini pour passer au plat suivant, on mange le dessert tous ensemble. On mange tous (sauf Lili) la même chose (dans la mesure où les parents ne fournissent pas le repas) ; je ne fais pas de menu à la carte .
On ne peut pas savoir qu'on aime pas si on ne goûte pas ! et si on n'aime vraiment pas, tant pis, je ne refais plus ce plat.
Je n’ai jamais eu de difficultés particulières ; les parents sont étonnés de savoir que leur enfant mange ou au moins a gouté un petit peu à tout.
N.W.
Législation
L’alimentation de l’enfant peut être abordée sur son aspect diététique, médical, culturel, mais dans cet article nous l’aborderons sur ces aspects psychologiques.
L'alimentation : un facteur de développement de l'enfant
L'alimentation est la toute première relation que l'enfant vit avec l'adulte. Dès sa conception, l'enfant ne peut satisfaire seul son besoin de s'alimenter : in utéro il est alimenté en permanence, mais après sa naissance la dépendance à l'adulte qui le nourrit est plus marquée, que cela passe par l’allaitement maternel ou le biberon.
Il est important qu’il y ait une stabilité de la personne qui nourrit le bébé afin qu’il soit sécurisé, au travers des regards et du contact échangés durant ces temps de repas.
La nourriture devient ce qui relie l’enfant à l'adulte qui le nourrit, puis aux autres (le groupe avec lequel il partage ses repas). Elle prend ainsi un fonction sociale, avec une ouverture sur le monde : des échanges très riches sont observés lors des repas des tout petits, et à l’âge adulte, les temps de repas demeurent des moments importants de convivialité.
Impact du contexte de vie de l'enfant sur son alimentation
Le lien que les adultes entretiennent eux-mêmes avec l’alimentation est également à prendre en compte. En effet, les habitudes alimentaires familiales influent sur ce que l’enfant mange ou pas. Si l’enfant a l’habitude de manger des aliments écrasés, il peut se trouver par exemple gêné par une présentation en morceaux qu’il ne connait pas. La diversification alimentaire et le rapport à la nourriture vont alors nécessiter un temps d'adaptation plus ou moins long selon les enfants et selon la stabilité du contexte dans lequel ils évoluent.
Lors de la période d’adaptation, prendre le temps de connaitre les habitudes alimentaires de l'enfant permet à l'assistante maternelle de lui proposer une certaine continuité, et ainsi de favoriser sa prise de repères et son sentiment de sécurité dans son nouvel environnement.
Exemples de moments difficiles liés à l'alimentation
Les problèmes d’alimentation sont le plus souvent des comportements de refus liés à l’âge ou des symptômes pour dire un mal être.
Je ne connais pas… j’en veux pas
Le rejet des aliments nouveaux. C’est une phase naturelle inscrite dans l'histoire de l'enfance (75% des enfants de 2 à 10 ans passent par cette phase). Chaque enfant a plus ou moins de difficultés à accepter les nouveaux aliments, car, comme toute nouveauté, il doit l’explorer à sa manière et à son rythme.
Si l’enfant est dans un environnement instable ou en plein changement il aura certainement plus de mal à accepter une modification supplémentaire même si elle n’est qu’alimentaire. Ainsi, la mise en place d'un accueil, une séparation des parents, un déménagement, l'arrivée d'un nouvel enfant dans la famille par exemple, peuvent avoir des conséquences sur l'alimentation de l'enfant.
Manger c’est donc accepter de nouvelles choses mais également accepter de grandir, ne plus être le petit de la maison.
Démarches en cas d’arrêt maladie
En cas d’arrêt maladie, l’assistante maternelle doit prévenir son ou ses employeurs sous 48 heures en leur faisant parvenir l’arrêt de travail transmis par son médecin. Elle doit aussi adresser à sa caisse primaire d’assurance maladie « une attestation de salaire » pour le paiement des indemnités journalières, remplie par son employeur.En cas de pluralité d’employeur, chacun d’eux doit remplir une attestation.
Indemnités journalières
Durant son arrêt maladie, l’assistante maternelle a droit aux indemnités journalières versées par l’assurance maladie à partir du 4ème jour d’arrêt, sous réserve de justifier d’une activité professionnelle ou d’un montant de cotisations suffisant.
Un complément de revenu
Depuis l’accord de prévoyance par la Convention Collective, une indemnité complémentaire d’incapacité de travail peut vous être versée par l’IRCEM après 7 jours d’arrêt maladie sous certaines réserves.
Pour plus d’informations : www.ircem.com et www.ameli.fr
Chez moi, les parents ont le libre choix d'amener ou non le repas. (personnellement dans les deux cas je m'adapte et c'est facile).
Pour l'organisation, c'est d'abord la plus jeune des enfants qui commence à manger car elle a plus vite faim que les autres. En ce moment, j’accueille 2 enfants sauf le mercredi où il y a mes enfants en plus ; maintenant qu’Amandine et Camille mangent de tout,ils mangent tous en même temps le même repas (bien sûr les doses sont adaptées selon l'âge).
Quand l'enfant commence à manger les premières cuillères de légumes, et la viande ensuite, ce sont les parents qui commencent à donner chez eux, chaque nouvel aliment (si l'enfant fait une réaction allergique ou non, il le fera en présence de ses parents, ils sont très compréhensifs et ça se passe très bien).
Pour mon organisation, quand les parents veulent que je fasse les repas, je m'organise des petits temps (le w.e ou pendant les siestes des petits) à cuisiner différents légumes natures à la vapeur. Si l'enfant mange mixé, je congèle les différentes purées de légumes dans des bacs à glaçons (une plaque par différent légume) le matin je sors du congélateur les cubes de purée que je veux, ce qui me permet d'avoir tous les jours des différentes purées variées sans cuisiner.... Quand il faut introduire la viande, poisson, j'achète viande et poisson frais, et je coupe des petits morceaux (crus) que je congèle ensuite individuellement dans des poches (congélation) notées, ce qui me permet d'avoir toujours une réserve chez moi. Et puis, c'est très pratique... Je le conseille à chaque Maman de tout petit que j’accueille.
Ayant un grand potager, donc beaucoup de légumes, je fais des conserves mais en petits pots de 350 g ... que je stérilise ensuite. Je fais la même chose avec pleins de fruits pour faire des compotes fraîches sympa (pomme/prune.. pomme/abricot/fraise etc..). C'est du boulot, mais j'adore faire ça, déjà pour mes propres enfants puis pour ceux que je garde, j'ai une grande "fierté" à leur donner quelque chose de bon et surtout de très sain !! Les Mamans apprécient beaucoup cette petite attention.
Pour moi, les repas sont des moments super importants et très conviviaux.. et pas du tout contraignants.
N .M.
Article issu d’une collaboration entre RAM du département 64
Une sélection à lire et à chanter
Pour les petits : les livres - chansons
« L'ABELHA E LO MOSQUIT », de Janina Tatrie et Sylvaine Abbadie
Une belle histoire en béarnais d’un moustique et d’une abeille à lire ou écouter avec le support du CD.
« MES COMPTINES D’AFRIQUE SOULEYMANE MBODJ » édition Milan jeunesse, collection Turbulette, livre CD
Un livre CD de 10 très jolies comptines d'Afrique à la mélodie douce et agréable aux sons du djembé et du balafon à chanter avec l’enfant.
« ABCX3 » Français - Anglais - Espagnol de Marthe Jocelyn
Des couleurs vives et contrastées pour un imagier tri-lingue et de nouvelles sonorités à découvrir pour partager le plaisir des mots .
Pour les adultes
« L’ABÉBÉC DE LA PETITE ENFANCE » de Laurence Rameau
A comme attachement, E comme éveil des sens, F comme frustration, L comme langage, P comme pleurs, U comme urgences... un Abécédaire de la petite enfance qui donne des informations ou des pistes de réflexions pour tout parent, grand-parent ou professionnel qui cherche à répondre de façon la plus juste possible aux besoins d’un enfant.
« L’ENFANT AUX DEUX LANGUES » de Claude Hagège, éditions Odile jacob
Un livre qui répond aux interrogations des parents sur le bilinguisme, les mécanismes d'acquisitions, à quel âge peut-on introduire une deuxième langue, régionale ou nationale, les facultés intellectuelles dont le bilinguisme facilite le développement...
Le coin des livres
Album photos et contines
Depuis 6 ans le RAM participe à la journée enfants du Festival de Siros.
Des bénévoles accueillent les enfants et les assistantes maternelles du RAM
Les enfants peuvent s’amuser aux jeux du lancer de quilles et du lancer de béret entres autres, ou danser au son de l’accordéon et des rondes béarnaises.
Festivalde Siros
2014
Album photos et contines
Cueillette de pommes àCaubios-Loos
Dans les vergers de Caubios-Loos, enfants, parents et assistantes maternelles ont pu cueillir des pommes rouges, vertes ou jaunes.
Ils ont ensuite dégusté du jus de pommes et goûter aux délicieux nashis, une varieté de pomme/poire exquise.
SEMAINE DÉPARTEMENTALE DES FAMILLES du 31 janvier au 8 février
Un programme des différentes animations proposées sur le département sera disponible au relais.
Le Samedi 31 janvier entre 9h30 et 12h30, les crèches du Miey et le RAM organisent une matinée de présentation des modes d’accueil sur le territoire.
Au programme : Ateliers pour les enfants, Diaporama et exposition photos des crèches et du RAM, visionnage et échanges autour du film « Bébé, parent : histoire d’une rencontre », espace convivial.
"L'enfant et le jeu" Jeudi 5 février 2015, de 20h à 22h salle du réunion du RAM de Pau, 36 rue Aristide Briand, (rdc du bâtiment en bois à l'intersection des rues Briand et Baradat) animée par Corinne SANCHEZ, responsable de la Maison du jeu des Animations Francas de Pau. L’inscription du 13/01 au 04/02 de 13h30 à 16h30 au RAM de Pau : 05 59 27 92 90
PRÉVENTION ET REMÈDES AUX ALLERGIES DANS VOTRE MAISON
Intervention « Justin Bon air » à Gan le mardi 24 mars et le mardi 2 juin à 20h15 à Assat
Organisé par le RAM d’Assat : 05 59 06 66 00
FORMATION AUX PREMIERS SECOURS
Le Comité départemental Pyrénées Atlantiques de la Fédération nationale des secouristes français Croix Blanche propose des groupes(1) de formation aux premiers secours qui se dérouleront dans les locaux de l'association au 20 avenue de la République à Gelos
2 sessions de formation de base : Prévention et Secours Civiques niveau 1 (PSC1)
Les samedis 14 et 21 mars 2015 de 8h à 12h OU les samedis 3 et 10 octobre 2015 de 8h à 12h
Formation destinée aux personnes n'ayant pas suivi de formation aux premiers secours.
Durée : 8h / Coût : 30€ par personne
2 sessions de mise à niveau : Prévention et Secours Civiques
Le samedi 7 mars 2015 de 8h à 12h OU le samedi 7 novembre 2015 de 8h à 12h
Mise à niveau destinée aux personnes ayant déjà suivi la formation PSC1.
Durée : 4h / Coût : 15€ par personne
Renseignements et inscriptions
auprès de Madame COSTES, Présidente de la Croix Blanche 64,
au 05 59 06 06 24 ou au 06 52 58 09 09.(1) 5 personnes minimum - 10 personnes maximum par groupe.
D'autres organismes proposent ces formations :
Par exemple IPERIA, GRETA, ou encore des associations agréées dont vous pouvez consulter la liste sur le site de la préfecture :
http://www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr/content/download/2077/13040/file/assoc_agreees.pdf
Ça peut vous intéresser
Pour les animations collectives, l’horaire de rencontre est à 9h30 sauf précisions particulières
JANVIER
FÉVRIER
PLANNING - janvier à avril 2015
ASSISTANTES MATERNELLES
LUNDI 5
Poey de Lescar - RAM G2
Artiguelouve - Accueil de loisirs G3
VENDREDI 9 Poey de Lescar - RAM G4 Toucher, vider, remplir
LUNDI 12 Poey de Lescar - RAM G1 d'Uzein Invitation au Château
Poey de Lescar - Miey de Béarn G6 Toucher, vider, remplir
Poey de Lescar - RAMG7
d'ArtiguelouveInvitation au Château
VENDREDI 16 Poey de Lescar - RAM G8 Invitation au Château
LUNDI 19 Poey de Lescar - RAM G5 d'Uzein Invitation au Château
Poey de Lescar - RAMG3
d'ArtiguelouveInvitation au Château
Poey de Lescar - RAM G2 Invitation au Château
VENDREDI 23 Poey de Lescar - RAM G4 Invitation au Château
Christelle en formation
Poey de Lescar - RAM à 20h30Tous les groupes
Soirée Echanges de pratiqueavec Mme Poumirau, psychologue
Artiguelouve - Accueil de loisirs G7 Jouer, chanter et danser comme au Moyen Âge
Christelle en formation
JEUDI 29 Poey de Lescar - RAM G6 Invitation au Château
VENDREDI 30 Poey de Lescar - RAM G8 Toucher, vider, remplir
LUNDI 26PAS D'ANIMATION À UZEIN
PAS D'ANIMATION À POEY DE LESCAR
MARDI 13
MARDI 20
MARDI 27
Toucher, vider, remplir
PAS D'ANIMATION NI D'ACCÉS LIBRE
MARDI 6
LUNDI 2 Uzein - Accueil de loisirs G1 Aux saveurs de la Bretagne
Artiguelouve - Accueil de loisirs G3
Poey de Lescar - RAM G2
VENDREDI 6 Poey de Lescar - RAM G4 Aux saveurs de la Bretagne
LUNDI 9 Uzein - Accueil de loisirs G5 Aux saveurs de la Bretagne
Artiguelouve - Accueil de loisirs G7
Poey de Lescar - RAM G2
JEUDI 12 Aussevielle - Salle des fêtes à 10hTous les groupes
CARNAVAL
VENDREDI 13 Poey de Lescar - RAM G8 Aux saveurs de la Bretagne
VACANCES SCOLAIRES DU 15 AVRIL AU 1er MARS
MARDI 10 Aux saveurs de la Bretagne
MARDI 3 Aux saveurs de la Bretagne
MARS
AVRIL
LUNDI 2 Uzein - Accueil de loisirs G1 Peinture à grumeaux
Artiguelouve - Accueil de loisirs G3 et G7Projet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé,
conteuse, et Véronique Nadeau, accordéoniste
Poey de Lescar - RAM G2 Peinture à grumeaux
VENDREDI 6 Poey de Lescar - RAM G4 Peinture à grumeaux
LUNDI 9Artiguelouve - Bibliothèque
9h30 et 10h30Tous les groupes
Animation en bibliothèquesur inscription
MARDI 10Denguin - Bibliothèque
9h30 et 10h30Tous les groupes
Animation en bibliothèquesur inscription
VENDREDI 13 Poey de Lescar - RAM G4 et G8Projet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé,
conteuse, et Véronique Nadeau, accordéoniste
LUNDI 16 Uzein - Accueil de loisirs G5 Peinture à grumeaux
Artiguelouve - Accueil de loisirs G3 Peinture à grumeaux
Poey de Lescar - RAM G2 et G6Projet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé,
conteuse, et Véronique Nadeau, accordéoniste
JEUDI 19 PAU - Ludothèque des Francas à 9h30Tous les groupes
Sortie à la LudothèqueSur inscription
Poey de Lescar - RAM G8 Peinture à grumeaux
Poey de Lescar - Miey de BéarnG1 et G5 d'Uzein
Projet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé, conteuse, et Véronique Nadeau, accordéoniste
LUNDI 23 Uzein - Accueil de loisirs G1 Nature en éveil
Poey de Lescar - RAM G6 Nature en éveil
Artiguelouve - Accueil de loisirs G3 et G7Projet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé,
conteuse, et Véronique Nadeau, accordéoniste
VENDREDI 27 Poey de Lescar - RAM G4 et G8Projet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé,
conteuse, et Véronique Nadeau, accordéoniste
LUNDI 30 Uzein - Accueil de loisirs G5 Nature en éveil
Uzein - Accueil de loisirs G5 Nature en éveil
Poey de Lescar - RAM G2 et G6Projet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé,
conteuse, et Véronique Nadeau, accordéoniste
Poey de Lescar - Miey de Béarn à 20h30Tous les groupes
Soirée sur le bilinguisme précoce avec le Cap'oc
MARDI 3
MARDI 17
VENDREDI 20
MARDI 24
MARDI 31
Poey de Lescar - RAM G4 Nature en éveil
Poey de Lescar - Miey de BéarnG1 et G5 d'Uzein
Projet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé, conteuse, et Véronique Nadeau, accordéoniste
LUNDI 6
Artiguelouve - Accueil de loisirs G3 et G7Projet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé,
conteuse, et Véronique Nadeau, accordéoniste
Poey de Lescar - RAM G2 Nature en éveil
VENDREDI 10 Poey de Lescar - RAM G4 et G8Projet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé,
conteuse, et Véronique Nadeau, accordéoniste
LUNDI 13 Uzein - Accueil de loisirs G1 Jouer… observer…
Poey de Lescar - RAM G2 et G6Projet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé,
conteuse, et Véronique Nadeau, accordéoniste
Artiguelouve - Accueil de loisirs G3 Nature en éveil
JEUDI 16Laroin - Salle de la cheminée
Séances : 9h30, 10h15 et 11hTous les groupes
Spectacle de Marie Hélène Cauhapé
Poey de Lescar - RAM G8 Nature en éveil
Poey de Lescar - Miey de BéarnG1 et G5 d'Uzein
Projet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé, conteuse, et Véronique Nadeau, accordéoniste
JOUR FÉRIÉ - LUNDI DE PÂQUES
VACANCES SCOLAIRES DU 19 AVRIL AU 3 MAI
MARDI 7
MARDI 7
VENDREDI 17
VENDREDI 3
Pour l’espace parents/enfants, l’horaire de rencontre est à 9h30 sauf précisions particulières
JANVIER
FÉVRIER
MARS
PLANNING - janvier à avril 2015
PARENTS
AVRIL
JEUDI 8 Poey de Lescar - RAM Temps de jeux et d'échanges
JEUDI 15 Poey de Lescar - RAM Temps de jeux et d'échanges
JEUDI 22 Poey de Lescar - RAM Temps de jeux et d'échanges
JEUDI 5 Poey de Lescar - RAM Temps de jeux et d'échanges
JEUDI 12 PAU - Ludothèque des Francas à 10h Sortie à la LudothèqueSur inscription
JEUDI 19 Poey de Lescar - RAMProjet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé, conteuse, et Véronique
Nadeau, accordéoniste
JEUDI 26 Poey de Lescar - RAMProjet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé, conteuse, et Véronique
Nadeau, accordéoniste
MARDI 31 Poey de Lescar - Miey de Béarn à 20h30 Soirée sur le bilinguisme précoce avec le Cap'oc
JEUDI 22 Poey de Lescar - RAM Temps de jeux et d'échanges
JEUDI 9 Poey de Lescar - RAMProjet "d'une langue à l'autre" avec Marie Hélène Cauhapé, conteuse, et Véronique
Nadeau, accordéoniste
JEUDI 16Laroin - Salle de la cheminée
Séances : 9h30, 10h15 et 11hSpectacle de Marie Hélène Cauhapé
VACANCES SCOLAIRES DU 19 AVRIL AU 3 MAI
JEUDI 5 Poey de Lescar - RAM Temps de jeux et d'échanges
JEUDI 12 Aussevielle - Salle des fêtes CARNAVAL
VACANCES SCOLAIRES DU 15 AVRIL AU 1er MARS
ParentsListe des assistantes maternellesDémarches à effectuerSoutien relations employeur/salariéEspace d'accueil hebdomadaire
Accueil individualisé
Échanges sur les vécus et expériences
Rencontres autour de diverses thématiques
Ressource documentaire
Animation petit enfance
RA
M
Assistantes maternellesStatut, droits et devoirsActivités d'éveilÉchanges avec des professionnelsMédiation parents/assistantes maternelles
Dates à ne pas manquer Les projets
Animations de janvier sur le thème de « l’invitation au château au RAM »pour tous les groupes
Du 3 mars au 17 avril : Projet « D’une langue à l’autre » avec Marie hélène Cauhapé, conteuse
Jeudi 16 avril : 3 séances spectacles avec Marie-Hélène Cauhapé à Laroin, à 9h30, 10h15 et 11h
Les sorties
Jeudi 12 février : Carnaval à la maison pour tous d’Aussevielle à 10h
Les soirées
Lundi 26 janvier : Soirée d’échange sur la pratique au quotidien avec Mme Poumirau, psychologue
Mardi 31 mars à 20h30, à la Communauté de communes du Miey de Béarn : Soirée débat sur : « le bilinguisme précoce, une chance pour l'enfant » pour développer ses capacités de compréhension, d’adaptation, d’apprentissages et favoriser les liens avec la famille, l'ancrage dans une culture dans la plaisir partagé.
Avec Hervé Couture, intervenant du Centre d'Animation Pédagogique en Occitan (CAPOC)
SEMAINE DÉPARTEMENTALE DES FAMILLES du 31 janvier au 8 février
Un programme des différentes animations proposées sur le département sera disponible au relais.
Le Samedi 31 janvier entre 9h30 et 12h30, les crèches du Miey et le RAM organisent une matinée de présentation des modes d’accueil sur le territoire.
Au programme : Ateliers pour les enfants, Diaporama et exposition photos des crèches et du RAM, visionnage et échanges autour du film « Bébé, parent : histoire d’une rencontre », espace convivial.
"L'enfant et le jeu" Jeudi 5 février 2015, de 20h à 22h salle du réunion du RAM de Pau, 36 rue Aristide Briand, (rdc du bâtiment en bois à l'intersection des rues Briand et Baradat) animée par Corinne SANCHEZ, responsable de la Maison du jeu des Animations Francas de Pau. L’inscription du 13/01 au 04/02 de 13h30 à 16h30 au RAM de Pau : 05 59 27 92 90
PRÉVENTION ET REMÈDES AUX ALLERGIES DANS VOTRE MAISON
Intervention « Justin Bon air » à Gan le mardi 24 mars et le mardi 2 juin à 20h15 à Assat
Organisé par le RAM d’Assat : 05 59 06 66 00
FORMATION AUX PREMIERS SECOURS
Le Comité départemental Pyrénées Atlantiques de la Fédération nationale des secouristes français Croix Blanche propose des groupes(1) de formation aux premiers secours qui se dérouleront dans les locaux de l'association au 20 avenue de la République à Gelos
2 sessions de formation de base : Prévention et Secours Civiques niveau 1 (PSC1)
Les samedis 14 et 21 mars 2015 de 8h à 12h OU les samedis 3 et 10 octobre 2015 de 8h à 12h
Formation destinée aux personnes n'ayant pas suivi de formation aux premiers secours.
Durée : 8h / Coût : 30€ par personne
2 sessions de mise à niveau : Prévention et Secours Civiques
Le samedi 7 mars 2015 de 8h à 12h OU le samedi 7 novembre 2015 de 8h à 12h
Mise à niveau destinée aux personnes ayant déjà suivi la formation PSC1.
Durée : 4h / Coût : 15€ par personne
Renseignements et inscriptions
auprès de Madame COSTES, Présidente de la Croix Blanche 64,
au 05 59 06 06 24 ou au 06 52 58 09 09.(1) 5 personnes minimum - 10 personnes maximum par groupe.
D'autres organismes proposent ces formations :
Par exemple IPERIA, GRETA, ou encore des associations agréées dont vous pouvez consulter la liste sur le site de la préfecture :
http://www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr/content/download/2077/13040/file/assoc_agreees.pdf
L’équipe du RAM
Claire Richard - Christelle Marie-Anne - Béatrice Rozès