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JEU de RIMESde Smaïl Grim
LES POETES MAUDITS
VerlaineRimbaudBaudelaire
Des Vers à la Santé
« La poésie, c’est beaucoup plus qu’une forme littéraire, c’est la traduction ennoblie de nos émotions, de nos rêves, de nos peines, de
nos désirs. » Jeanne Bourin
L’objectif de « Jeu de rimes » est de revisiter les plus belles pages de la poésie française de manière ludique et de réveiller le poète qui sommeille en chacun de nous.
Les poètes mauditsPaul Verlaine: ( 1844-1896)
Poète rebelle, il est le chef de file de l’école décadente qui fait connaître les Poètes Maudits.Œuvres principales:- Poèmes saturniens.- Fêtes galantes.- Sagesse.
Arthur Rimbaud: ( 1854-1891)A l’imitation de Hugo et de Baudelaire, il se passionne dès l’âge de 16 ans à la poésie.
Il fait la rencontre de Verlaine qui voit en lui la révélation du siècle. Amateur de grands voyages, on l’a surnommé « le poète aux semelles de vent ».
Œuvres principales:- Le bateau ivre.- Les illuminations.- Une saison en enfer.
Charles Baudelaire: ( 1821-1867)Poète et écrivain, héritier du romantisme, il exprime à la fois le tragique de la destinée humaine et une vision mystique de l’univers.Œuvres principales:- Les fleurs du mal.- Les petits poèmes en prose.
Arthur Rimbaud : ( 1854-1891)
A l’imitation de Hugo et de Baudelaire, il se passionne dès l’âge de 16 ans à la
poésie.Il fait la rencontre de Verlaine qui voit en lui la révélation du siècle. Amateur de grands voyages, on l’a surnommé « le
poète aux semelles de vent. »
Œuvres principales:
-Le bateau ivre.-Les illuminations.
-Une saison en enfer.
Charles Baudelaire ( 1821-1867)
Poète et écrivain, héritier du romantisme, il exprime à la fois le tragique de la destinée
humaine et une vision mystique de l’univers.
Œuvres principales:
-Les Fleurs du Mal.
-Les petits poèmes en prose.
De la grande horde des poètes maudits: Edgar Poe, Lord Byron, Jean Genet, Baudelaire, Verlaine, Rimbaud, les uns et les autres sont des exemples frappants de poètes au destin
tragique.Leur plus grand délit est d’avoir acquis malheureusement la
renommée souvent dans une atmosphère de folie furieuse, de maladies atypiques, de problèmes économiques, d’alcoolisme
ou de drogues persistants et de dépression majeure n’échappant pas à la barbarie de l’homme.
Les « Poètes Maudits », c’est aussi l’avénement du symbolisme avec des auteurs de talent tels que Baudelaire, Verlaine,
Rimbaud … dont le génie est reconnu mais qui mènent des vies pour le moins chaotiques.
Paul Verlaine
MON REVE FAMILIER
Je fais souvent ce rêve ét . . . . . et pén . . . . . .
D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime
Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre, et m’aime et me com . . . . .
Car elle me comprend, et mon cœur, tran . . . . . .
Pour elle seule, hélas! cesse d’être un problème
Pour elle seule, et les moiteurs de mon front bl . . . ,
Elle seule les sait rafraîchir, en pl . . . . . . .
Est-elle brune, blonde ou rousse? – Je l’ignore .Son nom ? Je me so . . . . . . qu’il est doux et sonore
Comme ceux des aimés que la vie ex . . . .
Son regard est pa . . . . au regard des statues,Et, pour sa voix, lointaine et calme, et grave, elle a
L’ inf . . . . . . des voix chères qui se sont tues.
Poèmes saturniens
Les mots manquants:
Ét . . . . . : Bizarre ; Pén . . . . . . : perçant ; Com . . . . .: sait;
Tran . . . . . . . : on y voit à travers ; Bl . . . : livide ; Pleurant: sanglotant; So . . . . . . : je me rappelle; Ex . . . : chassa;
Pa . . . . : semblable; L’ inf . . . . . . : le ton ou le timbre de voix.
SAGESSE
Gaspard Hauser chante:
SAGESSE
Gaspard Hauser chante :
Je suis venu, calme orp . . . . . Ri . . . de mes seuls yeux tranquilles,
Vers les hommes des grandes villes : Ils ne m’ont pas trouvé ma . . . .
A vingt ans un trouble nou . . . . Sous le nom d’amoureuses flammes
M’ a fait trouver be . . . . les femmes: Elles ne m’ont pas trouvé beau.
Bien que sans pa . . . . et sans roi Et très br . . . ne l’étant guère,
J’ai voulu mo . . . . à la guerre: La mort n’a pas voulu de moi.
Suis-je né trop tôt ou trop ta . . ? Qu’est-ce que je fais en ce monde?
O vous tous, ma pe . . . est profonde: Priez pour le pauvre Gaspard !
SAGESSE
SOLEILS COUCHANTS
Une a . . . af . . . . . . .
Verse par les champs
La mé . . . . . . . .
Des soleils couchants.
La mélancolie
Berce de do . . chants
Mon cœur qui s’oublie
Aux soleils couchants.
Et d’ét . . . . . . rêves
Comme des soleils
Couchants sur les gr . . . . ,
Fa . . . . . . vermeils,
Dé . . . . . . sans trêves,
Défilent, pa . . . . .
A des grands soleils
Couchant sur les grèves.
CHANSON D’ AUTOMNELes san . . . . . longs
Des vi . . . . .
De l’automne
Bl . . . . . . mon cœur
D’ une la . . . . . .
Monotone.
Tout suf . . . . . .
Et bl . . . , quand
Sonne l’heure,
Je me so . . . . . .
Des jours an . . . . .
Et je pl . . . .
Et je m’en vais
Au vent ma . . . . .
Qui m’emporte
Deçà, delà
Pareil à la
Feuille m . . . .
CLAIR DE LUNE
Votre âme est un pay . . . . choisi
Que vont char . . . . masques et bergamasques
Jouant du lu . . et dansant et quasi
Tri . . . . sous leurs déguisements fantasques.
Tout en chantant sur le mode mineur
L’amour vai . . . . . . et la vie opportune,
Ils n’ont pas l’air de croire à leur bo . . . . .
Et leur chanson se mêle au clair de lune,
Au calme clair de lune triste et beau,
Qui fait rê . . . les oiseaux dans les arbres
Et sang . . . . . d‘extase les jets d’eau,
Les grands jets d’eau sveltes parmi les marbres.
Arthur RIMBAUD
Je suis né à Charleville, dans les Ardennes, en 1854.A l’imitation de Hugo et de Baudelaire, je me passionne dès l’âge de 16 ans à la poésie. Je fais la rencontre de Paul Verlaine qui voit en moi la
révélation du siècle. Amateur de grands voyages, on m’a surnommé « le Poète aux semelles de vent »
MA BOHEME Je m’en allais, les poings dans mes poches cre . . . . ;
Mon paletot aussi devenait id . . . ;
J’ allais sous le ciel, Mu . . ! Et j’étais ton féal;
Oh! là! là! que d’amours sp . . . . . . . . j’ai rêvées!
Mon unique culotte avait un large tr . . .
Petit-Poucet rêveur, j’égr . . . . . dans ma course
Des rimes. Mon aub . . . . était à la Grande- Ourse.
Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou
Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vi . . . . . ;
Où rimant au milieu des ombres fan . . . . . . . . . ,
Comme des lyres, je tirais les éla . . . . . . .
De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur!
LE DORMEUR DU VAL
C’est un trou de ve . . . . . où chante une ri . . . . .
Accrochant follement aux herbes des ha . . . . . .
D’ argent; où le soleil, de la montagne fi . . . ,
Lu . . : c’est un petit val qui mousse de ra . . . . .
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête n . . ,
Et la nu . . . baignant dans le frais cresson b . . . ,
Dort; il est ét . . . . dans l’herbe, sous la n . . ,
P . . . dans son lit vert où la lumière pl . . . .
Les pieds dans les gla . . . . . , il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un so . . . :
Nature, berce-le cha . . . . . . . : il a froid.
Les pa . . . . . ne font pas frissonner sa na . . . . ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa po . . . . . .
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté d . . . . ;
CHANSON DE LA PLUS HAUTE TOUR
Oisive jeu . . . . .
A tout asservie,
Par délic . . . . . .
J’ai perdu ma vie.
Ah! Que le temps vienne
Où les cœurs s’épre . . . . . .
Je me suis dit: laisse,
Et qu’on ne te voie:
Et sans la promesse
De plus hautes joies.
Que rien ne t’arrête,
Auguste retraite .
CHANSON DE LA PLUS HAUTE TOUR
J’ai tant fait patience
J’ai tant fait patience Qu’ à jamais j’oublie ;
Cra . . . . . et sou . . . . . . . . Aux cieux sont parties.
Et la soif malsaine Obs . . . . . . mes veines.
Ainsi la pra . . . . A l’ou . . . livrée ,
Grandie, et fleurie D’ encens et d’ivraies Au bourdon farouche
De cent sales mouches. Ah! Mille veuvages
De la si pa . . . . Âme Qui n’a que l’image De la Notre-Dame!
Est-ce que l’on pr . . La Vierge Marie ?
LARME Loin des oiseaux, des trou . . . . . ,des villageoises,
LARME
Loin des oiseaux, des trou . . . . ., des villageoises,Je buvais, accroupi dans quelque bruyère
Entourée de tendres bois de noisetiers,Par un brou . . . . . . d’après-midi ti . . . et vert.
Que pouvais-je boire dans cette je . . . Oise,Ormeaux sans voix, ga . . . sans fleurs, ciel couvert.
Que tirais-je à la gourde de colocase?Quelque liq . . . . d’or, fade et qui fait suer.
Tel, j’eusse été mau . . . . . enseigne d’auberge.Puis l’orage changea le ciel, jusqu’au soir.
Ce furent des pays noirs, des la . ., des perches,Des colonnades sous la nuit bleue, des gares.
L’eau des b . . . se perdait sur des sables vierges,Le vent, du ciel, jetait des glaçons aux ma . . . .Or! Tel qu’un pêcheur d’or ou de coquillages,
Dire que je n’ai pas eu souci de boire!
LES CORBEAUX
LES CORBEAUX
Seigneur, quand froide est la pra . . . . ,Quand dans les hameaux abattus,Les longs angélus se sont tus …
Sur la nature déf . . . . . .Faites s’abattre des grands ci . . .
Les chers corbeaux dél . . . . . . .Armée étrange aux cris sévères,
Les vents froids attaquent vos nids!Vous, le long des fl . . . . . Jaunis,
Sur les routes aux vieux calvaires,Sur les fossés et sur les trous,
Disp . . . . .- vous, ralliez-vous!
O notre fun . . . . oiseau noir!Mais, saints du ciel, en haut du chêne,
Mât perdu dans le ciel charmé,Laissez les fauv . . . . . de mai
Pour ceux qu’au fond du bois enchaîne,Dans l’herbe d’où l’on ne peut fuir,
La déf . . . . sans avenir.
Pour que chaque passant repense !Sois donc le crieur du devoir,
Par milliers, sur les champs de France,Où dorment les morts d’avant-hier,Tour . . . . . , n’est-ce pas, l’hiver,Pour que chaque passant repense!
Sois donc le crieur du devoir,O notre fun . . . . oiseau noir!
Mais, saints du ciel, en haut du chêne,Mât perdu dans le soir charmé,Laissez les fauv . . . . . de mai
Pour ceux qu’au fond du bois enchaîne,Dans l’herbe d’où l’on ne peut fuir,
La déf . . . . sans avenir .
Charles BAUDELAIRE( 1821- 1867)
Poète maudit, comme on le surnommait, Baudelaire voulait que sa poésie l’arrache au malheur de sa condition.D’un voyage en bateau qui dura dix mois, le conduisant de l’île Maurice à l’île de la Réunion, il composa « sur le pont du navire en pleine mer » l’ébauche de ce magnifique
poème.
L’ ALBATROS Souvent, pour s’am . . . . , les hommes d’éq . . . . . Prennent des albatros, va . . . . oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents co . . . . . . . . de voyage,Le navire glissant sur les go . . . . . . amers.
A peine les ont-ils dé . . . . . sur les planches, Que ces rois de l’a . . . , maladroits et honteux,
Laissent pit . . . . . . . . leurs grandes ailes blanchesComme des av . . . . . traîner à côté d’eux.
Ce voyageur ailé, comme il est ga . . . . et veule! Lui, na . . . . . si beau, qu’il est comique et l . . . !
L’un ag . . . son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime, en boitant, l’in . . . . . qui volait!
Le Poète est se . . . . . . . au prince des nuéesQui hante la te . . . . . et se rit de l’archer;Ex . . . sur le sol au milieu des hu . . . ,
Ses ailes de gé . . . l’empêchent de marcher.
SPLEEN
Quand le ciel bas et lo . . . pèse comme un cou . . . . . Sur l’esprit gé . . . . . . . en proie aux
longs en . . . .Et que de l’h . . . . . . embrassant tout le cercle
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits.
Quand la terre est changée en un c . . . . . humide, Où l’e . . . . . . . . comme une cha . . .- so . . . .,
S’en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris;
Quand la pluie étalant ses immenses traînéesD’une vaste prison imite les barreaux,
Et qu’un peuple m . . . d’infâmes ar . . . . . . . Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux.
Des cloches tout à coup sautent avec fu . . .
Des cloches tout à coup sautent avec fu . . . Et lancent vers le ciel un af . . . . . hu . . . . . . . Ainsi que des esprits er . . . . . , et sans patrie,
Qui se mettent à ge . . . . . opiniâtrement.
Et de longs cor . . . . . . . . sans tambours ni musique
Défilent lentement dans mon âme; l’Espoir, Vaincu, pleure, et l’Angoisse at . . . ., de . . . . . . . . ,
Sur mon crâne in . . . . . plante son dr . . . . . noir.
LES FLEURS DU MAL
L’ HOMME ET LA MER
Homme li . . . , toujours tu chériras la mer La mer est ton miroir; tu con . . . . . . . ton â . .
Dans le déroulement infini de sa la . . Et ton esprit n’est pas un go . . . . . moins amer.
Tu te pl . . . à plonger au sein de ton im . . . ; Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton cœur
Se dis . . . . . quelquefois de sa propre ru . . . . Au bruit de cette plainte ind . . . . . . . . et sa . . . . .
Vous êtes tous les deux tén . . . . . . et dis . . . . . Homme, nul n’a sondé le fond de tes ab . . . . ;O mer, nul ne connaît tes richesses in . . . . . ,
Tant vous êtes jaloux de garder vos se . . . . . !
Et cependant voilà des siècles in . . . . . . . . . . Que vous vous com . . . . . . sans pitié ni remords,
Tellement vous aimez le car . . . . et la mort,O lutteurs éternels, ô frères imp . . . . . . . . . !
LES FLEURS DU MAL
RECUEILLEMENT
Sois sage, ô ma Do . . . . ., et tiens-toi plus tranquille.Tu réclamais le Soir; il descend; le voici :
Une at . . . . . . . . obscure enveloppe la ville, Aux uns portant la paix, aux autres le souci.
Pendant que des mortels la multitude v . . . ,Sous le fouet du Plaisir, ce bo . . . . . . sans merci,
Va cueillir des re . . . . . dans la fête servile,Ma Douleur, donne-moi la main; viens par ici,
Loin d’eux. Vois se pencher les dé . . . . . . Années,Sur les balcons du ciel, en robes sur . . . . . . ;
Surgir du fond des eaux le Regret souriant;
Le Soleil mo . . . . . . s’endormir sous une ar . . . ,Et, comme un long li . . . . . traînant à l’ Orient,
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.
LES FLEURS DU MAL
JE N’AI PAS POUR MAITRESSE …
Si vous la rencontrez, biz . . . . . . . . parée,Se fau . . . . . . , au coin d’une rue égarée,
Et la tête et l’œil b . . comme un pigeon blessé,Traînant dans les rui . . . . . . un talon déchaussé,Messieurs, ne crachez pas de ju . . . . ni d’ordure
Au visage fa . . . de cette pauvre impureQue déesse Famine a par un soir d’hi . . . ,
Contrainte à rel . . . . ses jupons en plein air.
Cette bohème-là, c’est mon tout, ma ric . . . . . ,Ma perle, mon bijou, ma re . . . , ma duchesse,Celle qui m’a bercé sur son giron vainqueur,
Et qui dans ses deux mains a réchauffé mon cœur.
Quizz: QUI SUIS- JE ?
1- Quelle est la ville natale d’Arthur Rimbaud?
1- Marseille2- Limoges
3- Charleville
2- Dans quel poème Rimbaud a-t-il écrit que « Je est un autre »?
1- Le dormeur du val 2- La lettre du voyant
3- Le bateau ivre
3- Quel poème se termine par ces mots: « Il a deux trous rouges au côté droit »?
1- Voyelles 2-Les étrennes des orphelins
3- Le dormeur du val
4- Quel surnom Verlaine donna-t-il à Rimbaud?
1- La grande âme 2- l’homme aux semelles de vent
3- La bohème
5- Comment s’appelle l’un des plus célèbres poèmes de Baudelaire?
1- Les oiseaux de passage 2- Aimons toujours!
3- L’albatros
6- Quel synonyme de mélancolie est largement utilisé par Baudelaire dans les
Fleurs du Mal? 1- Le spleen2- Le blues
3- Le dégoûtage
7- On sait que Rimbaud et Verlaine étaient amants. Qui tenta de tuer l’autre lors
d’un voyage à Bruxelles ?
1- Rimbaud2- Verlaine
8- Le premier recueil de Verlaine en 1866 s’appelle « Les poèmes… »:
1- Neptuniens2- Marsiens
3- Saturniens
9- Qui a écrit : « On n’est pas sérieux quand on a 17 ans. » ?
1- Verlaine 2- Baudelaire
3- Rimbaud
10- Lequel de ces vers n’est pas de Verlaine?
1- J’allais par des chemins perfides, douloureusement incertain. 2- Mon cœur craintif, mon sombre cœur pleurait, seul, sur la triste
voie.3- Mon père, ce héros au sourire si doux…
Lequel de ces trois poètes a écrit les vers suivants?
1- « Les sanglots longs des violons de l’automne bercent mon cœur d’une langueur monotone. »
1- Baudelaire 2- Verlaine 3- Rimbaud 2- « Homme libre, toujours tu chériras la mer. » 1- Baudelaire 2- Rimbaud 3- Verlaine 3- « Il pleure dans mon cœur, comme il pleut dans la ville. » 1- Rimbaud 2- Baudelaire 3- Verlaine 4- « C’est un trou de verdure où chante une rivière. » 1- Verlaine 2- Rimbaud 3- Baudelaire 5- « Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées. » 1- Baudelaire 2- Verlaine 3- Rimbaud