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S1mUSBft !f II (S Pages} 5 (VtUmti — ïtóTWS WJSftTW—-5futinef 122 Paffes! Hari 31 JuUIpt E917 AteiniilMtwr- Bétë|sé -Cérsil O. RAN POL. ET &e&tetSa, Tmprnsfass if Aasascss, TÜ. 10.1? 46, Sue Fo.ittmallo, 36 Mm* Téléaraphlqao:EANEOLETSaws Petit Havre gmsz RÜDACTSUR km chip #.«J. CASPAR - JORDAN Töléphono t Saorétaira Sêaêral i TE. 7ALLÏ2 ttédactlon, 35, rue Fonfeneile - Tél. ?.®9 ANI¥OMCES AU HAVRB. Bürbatïdu Journal, 112,bA»t' deStrasbourg. 1 VAGENCE HAVAS, 8,place(ft,la Bourse,est < seulechargéede recevoirleaAnnoncespour ( le Journal. L» PETIT HATHE ist déslgnt ?ear lts Aansnel) Jnilclalrts it li gelét A PARIS... mm ORGAN E RÉPUBLICAIN DÉMOCRATIQUE Le plus fori Ti rage des Journaux de la Rêgion Trou Mois Six Uois A SO « Fr. so > » rr. aa so »© Fr Us la ABOiNliMEAffENTS I Le Havre, la Soine- Inférieure, I'Bure, l'Oise et la Soman ' | Autres Département».. .......... ........ Union Postale On s'abonni tgsttmsnt. SAMSFHA/S. guns tens lts Bureaus Se Posts ets Frats*) Kr. -«.«» i Lss Auteurs de IaGuerre La vérité est en marolie. Marquonssa nouvelle étape, car il n'y a pas d'actualilé plus biülante que cc débat rélrospectif. Legouvernementde Berliusoutientqu'il a subi la guerre malgré lui, et c'est comme victime Tutte agression qu'il réctanie au- jourd'iiiii des garanties — c'est a dire des annexions, des protectorats, des bases na- vales. Les Allies, au contraire, déclarent que le gouvernementde Berlin a voulula guerrc avecpréméditation,et c'est a cause de ce crime qu'ils sont résolus a détruire Semilitarismeprussien. Lescauses de la guerre doininentdoneles conditionsde la paix. La clefde l'avenir est dans le passé. Aux chargesqui pèsentsur l'Ailemagne, Ie Timesa ajoutéune importanteprécision. Le Tempsdu 21janvier-1916avait signaié Ie conseiiterm a Postdamle 5 juillet 1914, conseil dans lcquel, écrivait alors notre informateur, « l'empereur Guiliaumedéci- da de donnercarte blanche a i'Autriche- ilongrie vis-a-visde la Serine. » Au Reichstag,dans la séancedu 19juil¬ let dernier, ie socialiste miuoritaireHaase a fait a ce conseii uue allusion significa¬ tive, a laquclle ie ehanceiier s'est gardé de répondre et que presque tous lesjour¬ naux allemandsse sont gardés de repro¬ duce. Le Times\ient d'énumérermainte¬ nant les haules personualités politiqueset militaires,allemandeel austro-hongroises. qui auraient assisté a la délibéralion. Si cetteiisteestexacte.il est bien clairque les problèmesles plus graves ont élé dis- cutés ; et coinmeGuiliaumeII est parti le lendemainpour une croisièred'oü il n'est rentré qu'après la rupture austro-serbe, ces problèmessigravesont dö ètre résolus Ie jour même.Autrementdit, la guerre qui allait être déclaréea la Russi.e leleraoiit, et a la France le 3 aoüt, paraït avoir été décidéesous la présidence de l'empereur alleinanddès le 5 juillet, Voiléoü en sont — sur ce pointseulernent.et sans compter tant d'aulres enquêtes— les présomptions de cuipabilités qui s'accumulent conlre 1'Aliernagne. Cesprésomptionsse trouventsingulière- mentconfirméesquand on relit, dans les journaux mêmesde Berlin et de Vienne, Phistoiredes dix premiersjours de juillet 1914. On a l'impression que les événe- nements,pendantcelte période, ont passé par un tournant. Avantle conseil du 5, Francais-Joseph ne seniblepointdisposéè la guerre. 11fait faire a l'areliiduc héritier des obsèques étonnammentdiscrètes, peu appropriéesa un mort en l'honneur duquei on serait dé- cidé a jouer ia paix de l'Europe. Loin de meltre immédiatementla Serbie en cause, il pnblieun manifestea propos duquel la ZeU. cerit quelquesjours après : « Le fait que le manifesteimperialdu 4 juillet parle d'une petite bande d'égarés prouve qu'a cette date on ne croyait pas. én haut lieu, a une conspiration fomentée par l'étran- ger. » GuiliaumeII, de son cóté,ne lémoi- gne aucunc sympathiepour la modéralion, sincère ou alïeclée, de son allié. I! renonce a assisler aux obsèquesde FrancoisFerdi¬ nand ainsi qu'a se rcncontrer avec Fran¬ cois Joseph a Ischl. Lccorrespondantbien renseigné que la GazelledeFrancfortpossèdea Viennetélé- graphie,a proposde cette visite manquéö: «Le démenti trés net donné bier par le semi-olïloieuxBerliner Lokal-Anzeigera une dépêchede Vienne, qui annoncait Ia prochainc visite de l'empereur Guiflaume a Ischl, manquaitdediscrétionet de cordia- lité. » II y avait done, dans les premiers jours de juillet, ce que le même correspondant appelaitpoliment« de menuesfluctuations dans l'entente des cours de Vienne et de Berlin». En interprétons-nousexactement les causes? Si nous nous trompons, que les survivantss'expüquent.Nous ne clier- chonsque la vérité. Aprèsles « fluctuations », est venu le Conseilprésidépar GuiliaumeII. Après le Conseil,Frangois-Joseph, qui se trouvait a Vienne,a ajourné de vingt-quatre licures son depart pour Ischl. Avant de quitter la eapitale,il a conféré avec les principaux générauxainsi qu'avecle comteRerchtoid. Quelquesheuresaprèsson depart, a eu lieu une réunion des ministresauslro-hongrois, que présidait le comte Berchtold et a la- quelie assistait le comteTisza. On a an¬ noncé, a Fissue de ia réunion, que les mi- nistres s'étaient occupés de la situation créée par l'attentat de Sarajevo. Puis le comleTiszaest allé prononcera Budapest le discoursambigu dans iequel il pariait de « sauvegarderle prestige de la monar¬ chie» et de « défendreses inlérêtsvitaux». Enfin,le Lokal-AnzeigerdeBerlin,cejour¬ nal settii-offlcieux,tenaitbrusquement un langagebien différentdu démenti dépour- vu de cordialité que les Aulrichiens lui avaientreprocliéqueiquesjours plus lót. 11 écrivait: L'AlIemasire, qui a perda en 'Ia penonne de Parchdnc FcancoisFerdinandtinarmet un tidèiepartisande l'aliiance,sootiendrait moralement tonte demarche autricliienne lendanta chatierles coupables,et l'Aliema- gnei cfliciele no resterait certes point en arrière dans celte o cat on. Nous prouvo- rionsia fidóiilóde nossentimenisd'abiés. rion ? Et Ia pressc allemande supprime de ses comptes reruius l'allusion que le député Haase a faite au Conseii du 5 juillet ? S'imagine-t-on,en Allemagnc,quole si¬ lence n'est pas un aveu . (Le Temps). LE PARLEMENT Impressions ds Séance (DB HOTBÏ CÜRRBSPONDAKT PABTICULIEJt) Ccüe déclaration, qui se terminait par une diatribe contre la Serbie, a étc publiée a Berlin dans l'après-midi du 9 juillet. Celuiqui Farédigéeavaitcertainementen- tendu dire que l'Autriclie-Hongrieallait sévir contrela Serbie, et que l'Ailemagne soutiendrait1'AutricbeHongrie les armes a la main. La décisionde faire la guerrc. arrêtée sous la présidence de Guiliaumeli le o juillet, puis sanclionnéepar Francois- Joseph,et proclaméeen un langagevolon- tairement équivoque par le comteTisza, élait doneavouéedès le 9 dans les milieux bien informés de Berlin. On reconnaftra que !accusationsVnchainelogiquement. Et le chaaceiiei' allemand ue répoud Les missions desparlemeniaires et i' achat desnavires d l'etr anger Paris, 30 juiliet. La Chambr^idop'e (oat d'abord un projet éten- dant aux Bureaux d j bienfaisance et d assistance, ö: x hospices et aqx böpiiaux et aux Caisses d'épargne les dispositions de Partiele 32 de la lol du :3 décembre 1912 sur les habiiaiiuns a bon niarebé et de Partiele 13 Oe la loi du 14 juillet 1013 sur Psssislance aux fanmles notnbreuses. Li Chambre reprend ensuite la discussion de Pinterpellation de M. Bouisson, depuié de la Gio- t&t, sur les missions que M. Ie p esidont du Goq- seil a donnces ou qu'il se propose de donner en vee a'acbeter des navires a l'etranger. M. Bouisson a prononcé sstnedi un réquhiloire tiés vut cont les mobiles sont connus. Go député a failii a diverses reprises être sous-sgcrétsire d'Elat a la marine et ïte l'a pss été. Aucuue mis¬ sion ne lui a été conflée et ses intéréts électoraux l'ont toujours obPgó a combattre Pachai de ba¬ teaux au dehors. M. Bouisson connatt du reste bien son sujet et ne manque pas ü'uue certaine force d argumenta- Uon. de Monzie est aussiun oraleur habile. II était un üdversaire redoutable tians ('opposition ; mom- bre du gouvernement, il sait so défendre, même contre ü. Bouisson. I! montre !es difficullés que fait naltrc Ie pro- biéme des constructions na "ales, diüiauité de se procurer des maténaux, difflculté a'avoir de ia main-d'ceuvre. En ca qui concerne celte derniére, ii est nécessaire derendre aux constructions na- vales environ 3,000 out riers actueliement mobili¬ ses. Dès ie 13 jüiilet dernier, le ministère de la guerrc a ouveri les enquêtes próliminaires. It y a tout iicu d'espé.er qu'elles abouiiront duns un délai assez bref. M. de Monzio se defend de subir Ia conlrainte des aim&teurs. Ce qu it a vouiu, c'est faire appel aux compétences en leur demandant leur eon> cours. Lc sotis-cecrélaire d'Elat s'cxpiique sur Ie3 achats de navires au Japon. L'lndo Cbine, en raison des craintes do torpilla- ges en Módiler'ranêe, ne pouvant plus comoter sur la marine marchande britasnique pottr ex¬ porter en Europe ses dcnrée.s, force a élé au gouvernement de reeouiir a d s moyens de for¬ tune et en particulier aux armateurs japonais. M. de Monzie s'expiimeavec benucoup declartó e! est fort ccoulé par ia Gbambre. Au sujet de ia mission de Ghappedeieine. eelle-ei avait sembPs a ua moment fort utile. M. de Chap- pcdelaine s'étant fort oceuoé de cette question d<vait en être lc chef. Maïs les difflcultés dispu' raissant, on avait renonce a Penvoi de la mission qui n'était ptus nécessaire. M. dé Morzie termine son discours en disant qu'il est résolu a tippiiquer une politique de ré- suitats et en demandant a r.'être jugé que sur ses actes. Après des observations de MM.Bsllande et Hen- nessy, M. Bouisson paile da nouveau. Suivant lui, ('augmentation du tonnage est in¬ dispensable pour ia marine franpaise. II nc suliit pas do faire changer do pavilion aux navires, ii i'sut que de nouvelles unites marchandes sóient construites. L'orateur preconise une entente avec les Alliés pour quo nos forces commercisles soient portécs a leur maximum. Et M. Bouisson, s'adressant au gouvernement, ajoute : « Si votis n'êtes pas capable de mener a bien cctie entente pour ia marine marchande, aiors vous n'éies plus capable de mener la guerre. (Vifs appiandissements a i'txtrême gauche). M. Bouisson insiste pour la requisition totale de notre Hotte commerciale, comrne tl a été fait en Angleterre. M. R bot, intervenanl. dit que les armateurs sont déjs soumis a ia licence pour naviguer. II rend hommage aux députes qui. comme M. 'far- dicu prêtent leur concours au gouvernement. lis sont utiles a leur pays. M. Ribot donne de nouvrlles explications sur la mission de M. de Chappedetaine. Le président du Conseil conciut en couvrant Ie sous-secréta re d'Etat a la marine marchande. M. de Cbappt delaine, sur les suggestions de divers socialisles, entreprend le récu de la facon dont la mission du Japon lui fut donnée, puis 're- lirée par M. Ribot. La Gbambre donno des signes d'impatience. M. de Caappedelaine deseend de la tfibune au milieu d'une froideur significative. Après de rapides observations de M. Gondace, le débat est clos. M. Bouisson dépese un ordre du jour réprou- vant les missions données a des pariémentaires et invitant ie gouvernement è ne plus eifectuer d'nch' ts de navires de commerce saus avoir au- paiav.inl soumis le montant du crédit a Ia Com¬ mission du bueget. L'ordro du jour pur el simple est demands, a M. Riboi, au nom du gouvernement, s'y raliie. Le scrutin donne lieu a un poinlage. On discute, en attendant le résultat da scrutin, le projei relatif aux allocations de vie cbère pour h'S petits cüeminots. Le projet, critiqué dans cerlainos parlies par M. Augsgneur, est vote, après le rejet a'un amende¬ ment de eet ancien ministro. Lc président proclame lc résultat du poir.tage. L orare du jour pur et simple est adoptó par 200 voix coctre 157. Lo notnbre considerable d'abseniions eera évi- dèmntent trés discutê. Demain, interpellation sur l'aiimentation. Ta. ÜENEY. Communiqués Oificisls FRINGE H,0 1) O ■ Journée Paris, 30 juillet, 14 heures. La puit a été marquée par des actions d'ar- tillorie a-s ez violantes dans lo secteur do Braye-en-Laonnois, A l'ópino da Chevrigny, dans la region du Monument d'Hurtebise et sur les deux rives de la Mouse . Les coups de main tentés par l'ennemi sur divers points du front ont tous échoué sous nos feux. L'ÉPURSTION GRECQUE Athèr.es. — Lo gouvernement a soumis 4 Ia si¬ gnature du roi un dècrrt tendant épurer la cour do cassation et destituant huit coaseillers. 23 heures. L'aclivité de s dcx artilleries s'est maintenue trés vive au cours ds la journee sur tout lo front de l'Aisns, depuis l'Epino de Chevrigny jusqu'a l'Er-.t du plateau da Calirornie, en Champagne, dans la rêgion d'Auberive, et sar les deux rives de la Mouse. Rien a signaler sur le reste du front. GRANDE-BRETAQNE 30 juillet, 14 heures, Aucun événement important k signaler au cours de la nuii sur le front britanniq e. Quelques engagements de patrouilles ont eu lieu a Ballecourt et Acheville, 20 h, 45. Un de nos détachemenls a exécuté, la nuit dernière, un coup de main sur les tranchêes aliemandes vers Lombaertzyde. L'artillsrie a montré plus d'activitó que de coutume, au cours de la journée, vers Armen- tières. Nos pilotes ont bombardé, dans la nuit du 23 au 29, un aerodrome, deux gare s importantes, un clépöt da munitions, oil des incendies et des explosions ont été provoqués. lis ont poursuivi dans la journée ti'hier leurs opêrations de bom¬ bardement. L'activité aérienne est dsmeurée trés grande jusqu'a 10 heures et a été subitoment interrom- pue par un violent orage. Quatra d'entre eux ne sont pas rentré s. Quatre aóroplanes allemands ont été abattus en des combats aériens. Deux autres ont été contraints d'aitcrrir, désem pares. Six des nótres ne sont pas rentres, y compris les quatre surpris par forage. BELCSIQUE rencontre de 30 juillet. patrouilles au Pendant la nuit Sud de Dixmude. Au cours- del a journée, ac' ivitêfestreinte de l'artillerie en raison du manque rAv.isibilité. Nous avous pr is a pariie vingt-neuf batteries aliemandes. DANS LES BALKANS Ltsinquiétudas teoièresaltemandes Bale — La Gasrtle de Francfort du 30 juiilet, dit que ies directeurs do Ia Banque de i'Ernpire ont conféré ces jours dentiers nvec dfs person- nalités des milieux agrtcoies afin d'intensifier Ia propmando en faveur des emprunts d'Etat et d'augmenter la participation des caisses et bsn- ques sgricoles. L'Empsreur Charles surIsfront galicien BSle. — L'empereur d'Autriche esl psrli pour lo from ao Galicio orientate afin do suivre les ope¬ rations. ■■< ■«.T LflSITUATION POLITIQUE EHAUTRICHE Bale. — Dix députés du parti Tisza ont donnó leur üémission du groupo. D'autres demissions suivront et amèneront la création d'uu nouveau parti sous ia direction de M. Z'Chy, qui sera disposé a adop'er la rêforme électoralo promise par le comie Esteih-zy. Les Responsabilifés de la Guerre Dès1913, i'Aufrichs préparait l'agressiou FLANGE Saionique, 20 juiilet. Dans la rêgion de Huma, combits a la gre¬ nades a la suite desqueis i'ennemi a violemment bombardé nos tranchêes. Dans la. rêgion de la Staravina, un raid en- nemi a éié ari êté par nostirs de barrage. Vers le lac Presba, notre artillerie a sur¬ pris sous son feu des rassemblemsnts bul- gares. ROUf¥!APJ!E 28 juiilet. do l'artillerie Sur Ie front roumain, activité et fusillade dans divers secteurs. Dans la région montagneuse entre les val- léés de Casin et de la Putna, l'ennemi a tenté de contre attaquer nos roupes sur divers points oü elies oonsolidaient lss positions oc- ct ipées. II a été partout repoussé. Des combats sont en cours pour l'occupation des hauteurs Magura et Cas imulin. Sur la Putna et le Seretli, bombardement réciproque d'artillerie. emière Hnre TROIS IIEUIÏES SIAT1N Felicitationsal'ATméeroimiaine Paris. — M. Pêinievé a téiógraphié au ministro de la guerre de Roumanie ses felicitations sujet de t'avance de l'srmée roumaine. UIV NOUVEAU Dans une lettre au Times, au sujet de la fameuse conférence du 5 juillet 1914, Potsdam, fut décidée ia guerre, M. A-h- mead Bantett, le correspondant da guerre bien coonu, raconte une entrevue qu'il ene en 1913, è Vienna, avec le général autri- Chien Gonrad voe Iloetzendorf.qui lui révéla sans détours les desseius do FAutriche con¬ tre la Scrbte. Au début demai 1913, ëcrlt M. A. B.irlle't, au moment ou ia guerre enlra l'Antriche et la Serbie sembiait presque inévilabte, je fus envoyé a Vien¬ ne. Le 8 inai, après is crise, j'eus une longue en¬ trevue avec le général Conrad von Hoetzcndoifi et te ministre de )a guerre. Sachant que l'année préecdente j'avais assisté a la guerre dsns ies Batkans, il me questiorsna longuement sur la va- leur militaire, l'orgdcisation, etc., des diverses armées balk«niques. Tout a coup, il me posa cette question étrange • « Nous avons évalué a quatre lo nombre de corps d'armee nécessaires pour occuper la Serbie en cas de guerre. Combiea eslimez-vous qu'tl en fau- drait?» Bien que pris 4 l'improvisto, je rêpondis : « Je ne c-ois pas qu vou3 ayez la tnoiodre chance d'envahir la Serbie avec succes si vous n'em ploy- z pas au moins huit corps d'armée avec d'abonttasle» réserves ... « L'armée serbe, en cas de nécessitê, n'hêsile rad pas a abttndonner Belgrade et so rctirerai dans rintérieur oü les iigi.es de communicafions seraient d'fiicites pour une armée moderne. « Les Strbes auraieat tous les avantages, car Ds excellent aux guéfillas. lts peuvent vivre sur le pays et n'out pas besoin d'un service de trans¬ port considerable. » Le général me regarda avec quelque surprise, hésita un instant, et répondit : « Pent être avez-vous raison. C'est un msu- ctilcül que d'évaiuer trop bas les forces de l'ennemi. » Un moment après, il reprit d'un ton plein d'amertume : « Voila deux fois en deux ans que j'ai préparé les armées autricbiennes a la guerre contre la Serbie. Deux fois les plans ont éte frus- trés a la onzième heure par les poiiliciens Mais Ie corfiit est inevitable et ne s nuit être long- temps retardé. Oa ne peut pas déssppointer éter- nellement l'armée. » LESÉVÉEIMTS DEGBÊCE La Conférence batkanique B'cn que les décision de la conférence nc soient pas counties sur les autres points en di-cuision, l'impression générale dans ies milieux placés pour ètre bien renseignès est que satisfaction a été donnée aux desiderata de ia Grèce au point de vue matériel. Le Ministère de la Guerre On sail que M Venize'os avait eu au début l'in- tention de ne pas garder de porteuilie. II a pris ceiui de la guerre en vue de rétablir l'un'on de l'armée. It est possible actueltement que le portefeuille de la Ruerre passe a M. Griuas, qui fut le chef de mission militaire sous !e Triumyirat. La soumissiondu généra! Papou/as On annonce l'arrivée imminente, a Athènes. a ia fiiiie u'nn ordie rrqu, ou général Papoulas.chef fles districts du PelopoEcse, Le lieutenant tfalsamakisarrêté. Le lieutenant dc la légion hellcn'que de France, M. Valsamskis, a été arrêté. pour t.i part aclivé qu'il a prise aux journées de décembre. LaProgressionallemande seralentit sur ieFrontrusse Paris — Lfs derniers coramuDiQués msses in- aiqiieii?. un ralsntissemeiit de prosression des Aliötnands permeitsct d'espérer que l'armée russe trou vera une ligne de résistance sur ia riviére ZbrueZj a ia frontière de Galicie. Croiseur anglais conlé Londre s. — L'Amirauté communique que Ie croiseur anglais Ariadne, caDilaine Ilarry Smyth a éié lorpiilé et coulé. Tous' ies officiers e! les hommes dc l'équipage sont sauvés a l'exception de 38 hommes tuês par l'explosion. L'Acliviié de ['Aviation britanniqua Londres — On communique officieliemcnt : « Djs bombardements aériens ont été efl'ectués dans la nuit du 28 juillet sur les usines de Bru¬ ges ct ies regions de Theuront, Middelkerke et Ghistelles. « Ptusieurs tonnes d'explosifs ont été lanc^es avec de bons résullats. De nombreuses explo¬ sions ont été observées. « Les 8ppareils renlrèrent intacts. » ün sous-marinallemand seréfagiedansun port espagnol Madrid. — Le président du Conseii a annoncé qu'un sous-marin allemand mouillé a La Corogne a été amené au Ferro'. Le gouvernement fera slricteiacnt appiiquer les récentes dispositions sur i'internenseat des sous-marins belligéraats qui eatreraioat daas les .ports espagneia. Le BoffiMrflement des Flandres UKEDEPÊCHE DEGUILIÜliMEII Guiliaume l[ se trouve sclucli- inent en Galicie ou il a assisté a la prise de Tarnopol et a ia mar- che en avant de ses troupes, qui OBt atteint hier la frontière russe. De Galicie, l'empereur a en¬ voyé au rnaréchsl von Hindenburg un télégram- me oü se manifeste nettemert l'angoisse de ia prochaine bataille des Flandres : les victoires rempoitées sur les armées russes paraissenl au kuiser relativement peu de chose quand ii songe a ee que lui fait redouter le déchainement d'ar- lilterie frauro britannique entro la mer du Nord et la Lys Voici ie texte du tólégramme impérial : « Des champs de bataiüe de Galicie, sur les- quels nos iroupes se couvrent de lauriers et par nes assauls incessanis et vietorieux remportent succes sur succè3, je pense. d'un cceur recon- naissant, aux actes mémorables des armées da l'O iest, qui par leur belle töntici ó et par leur esprit de sacrifice, repoussent i'ennemi et dont Ie communiqué d'hier donno une preuve nou¬ velle de l'entrain pour l'attaque. Jo pense parli- culièrement aux vailisntes troupes des Flandres qui depuis des semaines déja sóat exposées a un bombardement des plus violenls et attendent pleines de corfisnee les assauts qui vont se pro¬ duce. Ma cotjfiatce est en elles. comme ceüe3 de toute la patrio dont vous défendez la frontière contre un monde d'encemis. üieu est avec nous. « GIIIM.4UXIE, » Guil'aume II a pasr-ó en revue ses Iroupes sur Ie front orients! vendredi. II leur a adressé une coude harangue il les a félicilées de ieurs succes sur l'armée russe, tnais oü il n'a pu s'em- pêcher d'exprimer a nouveau son apprébension des combats qu i les troupes aliemandes du front occidental auronl bieutöt a supporter, ajoutant qu'flles connaitraient prochsinement « des jour¬ nées trés diffieiles ». Ajoutons que le communiqué allemand du 2? juiliet après midi écrit, au sujet du bombardement dans les Flandres : « Dins les Flandres, Ia balaille d'arlillerie a fuit rage sans interruption depuis les premières heu¬ res de ia matinee du 28 juillet jusqu'a une teuia avancée de la nuit. G'cst le plus formidable dé- ploiement d'artillerie de eelte guerre. » Le communiqué allemand du 29, soir, note Ia recrudescence du bombardement pendant la jour¬ née de dimanche : « En Flandre, la lulte d'arlillerie a repris depuis midi une exttême violence.» Enfin les commenlaires miliia'res offieieux de l'agence Wolf signalent que des forces navales angiaises, composées d'unités légères, ont fait leur apparitiop ie 28 au large de ia cöte beige. Signalons encore la dépêche suivante de Lon¬ dres sur l'activité de l'artillerie dans les Flan¬ dres : « Les communiqués allemands monlrenf que Ia formidable activité de l'arliiierie au Nord d'Ar- mentières et prés de Lr-ns cause aux Allemands de fourdes pertes et de grandes inquietudes. Le vent a élé favorable pour l'emptoi des gaz et nous en avons iargement profilé. L'artillerie enncmie a êté trés active la semifine dernière, mais les batteries ennemies sónt obiigées de changer de place fréquemment a cause de notre feu de des¬ truction incessant. Nous avons contre batlu avec suc:ès Fartiilerie ecnemie, et nos admirable3 ca- nonniers ont, au cours de la semsine, dètruit plusieurs douzaines fl'abris de canons et provo- quê nn grand nombre d'mplosions dans des dé¬ pots de munitions. * Les teiegs leEissii Les Conditionsdes Cadets et du Commerce Le Goroité central du parti des cadets a adressé eu president du Conseil une lettre posant les conditions quo le parti entend meltre a sa ren- trée dans le gouvernement : <?£• La guerre jusqu'au bout en accord avec les alliés ; « .2» La confirmation de tous les accord3 et ententes avec ies puissances en guerre contre l'Ailemagne ; « Une formule claire et précise de Ia politique intérieure du gouvernemont. » Get accord parffit entre la Russle et les alliés pour ia continuation de la guerrc est égalemeat is condilion que posent les représentants du commerce et de i'industrie euxquels lo gouver¬ nement fait appel pour siéger dans ie minisiéro. Les pourparlers avec les Cadets Selon les derniers rensigKotnenis de la Gaxelle ae la Bourse, les Cadets insistsnt sur la démission de M.Tchernoff, et le gouvernement refusant d'ac- ceder a cette demande, les pourparlers ont été abaudonm's. La soumission de Cronstadt La soumission du Comité exöcutif de Cronstadt est compléte Acceptant, dans tous ses terraes, lültima um du gouvcrnemeRt provisoire, il a ac- Ctptêde livier les agitsteurs Raskohikof et Rom- ncf, qui ont été immédiatement conduits a Petro- grade, oü, eprés un courl interr„gatoire, i)s orfi eté écrouós. Le Parquet fait activementrechcrchcr lo troisiè- me agitateur désigsópar la noledu gouvernement provisoire, i'etudiant Rochsl, qui a disparu. Les équipages des euirassés Pel- opov/otk. liépu- bique, Siavj, se soumettent a l'ultimatum de Kt reiu-ki. Its expriment, avec leurs regrets, leur pleiae confiar.ee daas lo gouvernement provisoire, et demandent qu'uae c.mmission d'enqnöte fasse la lutnière sur ies évonemeats regreltabies qui se sont produits et iavent les équipages de ('accu¬ sation d'avoir participö au mouvement contre- révoiuiionnaire. Les militaires désarmés revenant de Cronstadt a Retrograde y furent accueillis par les huées et des sifHots. Lénine serait en Al'emagne La Gazelle de la Bourse croit quo Lóuino aurait fui en Aiieoiagne, vid Stockholm, q.i'fi a nu ga- gner par ia Finlande. cü il a été conanit de 'Crons¬ tadt par un bateau don! l'équipage était acquis aux idéés maximaiistes. En annonoant la fuite do Lénirte en Atletnagne, vid Helsingfors et Stockholm, la Gazette de Ia Bourse assure que c'est. le représentant de i'Alle- magne en Suóde qui a donaé au fugitif toutes les faciiités pour continuer son voyage., EN ALLEMAGNE Explosions dsfabpiques de munitions Deux lettres trouvées sur des soidats allemands captures sur le front anglais prouvent que da violeutes explosions, doat la presse n'a pas parlé. ont eu lieu récemment en ARcmagae dans dc3 fabriques ce munitions. La première, datés du 22 juin, contient le récu suivant: « Moa cher, « Un terrible désastre a eu lieu hier, de nou¬ veau, a Adlershof ; l'explosion a été a ce point violente qu'elJe a été entendue jusqu'ici. Vous la Iirez peu t-être dans ies journaux, muis ils no di- sent jamais combiea il y a de morts. Tout cola est 1oeuvre d'i'teeadiaircs. ..» L'autre lettre est d»lée du 0 juillet ; la voici : « Cher ami, « J'ai a t'écrire de Irisles nouvctics. Ua ierri- blo accident a ca lieu a Ditmold, une usinu ue muni ioas a sauté avee tous los ou?riers, hon,mes et fernuies. G'est horriblement triste Dimanche, 90 viclimes ont eté enterrées. Una f itnme qui avait eu sos qufire fii! lués au frent, vicnt do perdre ses trois filies. . . » EnBelgiqueocctipée régima allemand l'MiSlli ETUn Une déclaration de M. Ribot au peuple américain Dimanche soir, tous los journaux des Etats- Unis, a l'occasion de la quatriéme année de guerre, ont pnblié une déclaration faite par M. Ribot, président du Conseil, au correspondant psri-ien de l'Associated Press et une étude due au professeur Gide, sur la situation <-nFrance. La declaration de M. Ribot affirmant Ia catme confiance et la froide (iéiermination do Ia Franco, a produit une grande impression et est approu- véo par lüaanimité de I'opinion publique 'améri- caine. Le plus gros paquebot allemand transport de troupes américaines Le vapeur Vaterland, de 5i,28ï tonnes, do plus grand des paquebots alleraaads internes a New- York depuis l'ouvcrture des hostilités. a été ré- paré et est prêt a prendre la mer sous Ie pavil¬ ion des Elatr-Unis. II a' élé aménagé en trans¬ port et peut recevoir 10,009 hommes de troupes. Quinze autres vapeurs seront disposés pour lo mêmd objet. Sur ie Front Russe Les Rttsses évacuent Czernowilz O.i téiógraphié de Gopanhague è i'F.xchangs Telegram» qui , (i'ap és los correspondaats de guerrf» ailemands et aulrichiens en Galicie, les Russes ont commencé, samedi, a évacuer Czer¬ nowilz. Sur divers points de !a v'file, des incendies ont éclaté et ies Russes ont fait sauter leurs dépots do munitions. Le communiqué allemand s'exprime ainsi en ce qui concefno le front oriental : « En Galicie oriëntale, roas progressons sur ie Zbrucz, ie Dniester, Ie Prulh et le Gzeremos.» La resistance russe Les journaux autrichieas annoncent que Irs troupes russes accusent une recrudescence de vigueur et d'audace inconnues jusqu'ici. il faut s'aitendre a une grande resistance (le leur part sinon ii une grande offensive. La mansuétuda du L'autoritó allemande en Beigiquc cccupéc a fait. exécuter, le 25 juin dernier. les citovons bei¬ ges dont les norns suivent : Kuge. employé aux chrmins de fer ; Jules et Lucien Descamps, voyageurs de commerce: Ver¬ beven et Watteen, ouvriers asricoles. Oat été graciés : Van Mer'seh et Deblois, voysgeurs de commer¬ ce ; Dehoux, garde champöiro montois. L^s deportations D'après des informations dont il est difficile da douter, le systéme do la déporiaiion de civils beiges coaimue de sévir duns des condifions odinusas particuliérement a Mons et dsns les en¬ virons de cetie vitte. Les homines qui ont été déportés ie 17avril se trouvent en France oü its sont occupés a des travaux souvent a dix kilo¬ metres du front allemand. Depuis une quicz una de jours avant la date des informalions ci-dessus les deportations sont effectuóos sur une simple convocation, fsite souvent la nuit, avec depart fixé ie lendemain. lis font mourir de faim les prisonniers beTges Le correspondant du New Ruitculam Courant docrit de nouvelies a'rocités eomraises par les Allemands dans les camps de déportaiion des ei- vils beiges en ARetnagne. Les Ailemands fanï systémaiiquement mourir do faim les patriotes beiges. Mm M Morts au Champ d'Oonneur On annonce Ia mort glorieuse deM. Gèorges Giard, caporal au 274* d'infanterie, survcnue des suites de sos blessures tie guerre. Ce jeuGe brave qui travaillait avant la guerra comme voilier aux Docks Entrepots et habitait chez ses parents rue Tour vitte, 17, a fait l'objet de la cilalion suivante a l'ordre de la brigade : « Excelieü grade. A été biessé griévement Ie 2i juin 1917, pendant un violent bombardemeut par obus de gros calibre ; a nésnmoins conserve tout son sang-Uoid donnant a ses hornraes un bel exemple de courege. » M. Gabriel Chevrier, éludiant en pharmacte engage volontaire jclassc 1918»,est tombé sur ie champ do balaiile da Fieury V'aux-Ghapilre, le jum 1910et porlé disparu a'u corps. Depuis cette époque, sa mère, Mme veuve Chevrier, infirmière-major ' - -- Michel-Yvon, élait restée incerlilui'e, C'est seuiemont ie 27 raai do Pavanen do nos trouoos des recherches pureifi être notre concit yoa fut retrouvé el inhurno prés dü fort de Souviile. u i'höpital 108, rua dans une poignante dernier quo du fait au Nord de Verdun faites. I.e. corps da au soldat régiment Hrdaiila militaire La médaille militaire a été conférée René Gouiilatd, ergagé volonlaire au i d'infanterie, avcc la cilation suivanïe : c Vaillant so,'dat, trés dévoué, a (oujours eu au feu une énergique atiiiude. Trés griévement biessé te 15 décembro t9tfi au combat de Bezon- vaux. Enuciénion de l'ceit gauche. » M. Bené Couillard était employé avec son pcra aux D>cks du Ponl-Rouge. II esl le frère da Mm« Garpcntier, habiiant Notre-Damc-du-Boc. LA SÏÏ1EEEAÉRIE1TKE Zeebrugge sous les bombes Du Central News : Le part de Zeebrugge est l'objet d'un bombar¬ dement quotiaien de la part des aviateurs alliés. --e LAGUERRE SOUS-MARINE Gans le sous-marin capturé prés de Calais Da Petit Journal : Le général Ditte a pu faire retirer un canon de 88 intact ct les munitions que les Allemands avaient jetés sur Ie sable pour essayer de s'allé- ger. Les mines, désamorcées, ont été rendues inoffensives. Enfin cette prise, malgré quo le ba- Utnent soit a peu prés inutilisable, est heureuse a plusieurs litres. D'abord elle nous débarrasso d'un pirate dangereux, d'un équipage entraïné a Ia guerre sous-marine, puisqu'il déciare — n'ost- ce pas de la vantardise ? — nous avoir coulé dix- sept bateaux. Enfin, on a trouvé, a i'avanl du bd- timent, laissó intact par Pincenüie, un sysiéme curieux d'acoustiqae qui permet a l'équipage, même pendant ia marrhe, de percevoir tous ies bruits extérieurs dans un perimètre donnó. II y a li une invention doDt, il faut l'espörer. nous sau- rons faire notre profil. Bateaux pêcheurs holiandais coulés par ies Allemands D'après une dépêche d'Amsterdam, un sous- marin allemand a coulé sameili cioq bateaux pê¬ cheurs hoU&iiiUis eairo Vajuiilea ei Schevtt- Bingea, Nos Regiments normands Le 119' cité a l'ordre du jour du G. A. On nous communique ia cilation suivantacon- cc-rnant lo 419* d'infanterie. Gc boiu régiment compie dans ses rangs nombre de sotdats du Havre et de Ia région. ct l honnenr qui lui est fait rejaiiiit sur la Normandie lont entie e. Lo général commandant lo • corps d'arméa cite a l'ordre du corps d'arméo : ie 119*régiment a'infanterie « Régiment d'éliio qui s'ótait dója distingué ca Arto;s. a Verdun el ii Rezonvaux. Ayant éio flure- ment óprouvó en juin 49(7. a montre, moins d'ua mois après, sous le cummandement du lieutenant- colonel Malvy, un magnifique heroïsme ct ua splendirte esprit offensif en soulenant pendant sept jours consêcutifs des combats achirnés au cours desquels tl a repoussé toutes ies attaque» ennemies et rneaö avec un entrsia superbe, dans nn terrain partxnlièremeni fortitlc, deux attaques en terrain fibre qui lui ont ue mis de reprendra aux Allemands une grande partio du terrain qua ceux-ci nous avaient enlevé avant son entrée en secteur. » Au Q. G. Ie 25 juillet : le général commandant le corps d'armée : Lebrun. Ajoutons que le 119»a déja été cité une fois a l'armée L'uu de ses bataibons — le 2' —a eu une seconde cilalion a l'armée. Cifatieua & l'Ordce du Jour De la Division : M. Rcnê Dumouchel, brancardier de t" classa a la G.M. 3 du 129' régiment d'infanterie, a été cité en ces lermes a l'ordre de la division : « A fait p euve du plus grand dóvouement et du plus grand mépris du danger, en assurant. da jour et de nuit la relèvedes blessós do sa compi- gDie flans un secieur difficile et violemment bom¬ bardé, en particulier lo 10 juiilet 191/. » M. Dumouchel, qui vient d'etre eité pour Ia troisicme fois, est employé de commerce. II était en outre, musicien aux Foties-B8rgère et est do¬ micilie li, rue Louis-Philippe. Da Régiment : Le zouave Henri Fournier, du ?• bis régiment de zouaves, a été cité a l'ordre du régiment dans les tennes suivanls : « Brave et courageai, a été blassé en novera- bre 1916 en raontant a l'assaut des tranchics eiu oemies. » 41.Fograierestdomicilie 103, rue Ihie.t.

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ORGAN E RÉPUBLICAIN DÉMOCRATIQUE

Le plus fori Ti rage des Journaux de la Rêgion

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Us laABOiNliMEAffENTSI Le Havre, la Soine- Inférieure, I'Bure,l'Oise et la Soman '| Autres Département».. .......... ........Union PostaleOn s'abonni tgsttmsnt. SAMSFHA/S. guns tens lts Bureaus Se Posts etsFrats*)

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LssAuteursdeIaGuerreLavérité est en marolie. Marquonssanouvelleétape, car il n'y a pas d'actualiléplus biülantequecc débat rélrospectif.Legouvernementde Berliusoutientqu'ila subi la guerremalgrélui, et c'est commevictimeTutte agression qu'il réctanie au-jourd'iiiii desgaranties — c'est a dire desannexions, desprotectorats, desbasesna-vales. LesAllies, au contraire, déclarentque le gouvernementde Berlin a voulu laguerrc avecpréméditation,et c'est a causede ce crimequ'ils sont résolus a détruireSemilitarismeprussien. Lescauses de laguerre doininentdoneles conditionsde lapaix. Laclefdel'avenir est dans le passé.Aux chargesqui pèsentsur l'Ailemagne,Ie Timesa ajoutéune importanteprécision.Le Tempsdu 21janvier-1916avait signaiéIe conseiiterma Postdamle 5 juillet 1914,conseil dans lcquel, écrivait alors notreinformateur, « l'empereur Guiliaumedéci-da de donnercarte blanche a i'Autriche-ilongrie vis-a-visde la Serine. »AuReichstag,dans la séancedu 19juil¬let dernier, ie socialiste miuoritaireHaasea fait a ce conseii uue allusion significa¬tive, a laquclle ie ehanceiier s'est gardéde répondre et que presque tous lesjour¬naux allemandsse sont gardés de repro¬duce. Le Times\ ient d'énumérermainte¬nant les haules personualités politiquesetmilitaires,allemandeel austro-hongroises.qui auraient assisté a la délibéralion. Sicetteiisteestexacte.il est bien clairqueles problèmesles plus graves ont élé dis-cutés ; et coinmeGuiliaumeII est parti lelendemainpour une croisièred'oü il n'estrentré qu'après la rupture austro-serbe,ces problèmessi gravesont dö ètre résolusIe jour même.Autrementdit, la guerre quiallait être déclaréea la Russi.eleleraoiit,et a la Francele 3 aoüt, paraït avoir étédécidéesous la présidencede l'empereuralleinanddès le 5 juillet, Voiléoü en sont— sur ce pointseulernent.et sans comptertant d'aulres enquêtes— les présomptionsde cuipabilités qui s'accumulent conlre1'Aliernagne.Cesprésomptionsse trouventsingulière-ment confirméesquand on relit, dans lesjournaux mêmesde Berlin et de Vienne,Phistoiredesdix premiersjours de juillet1914. On a l'impression que les événe-nements,pendantcelte période, ont passépar un tournant.Avantle conseil du 5, Francais-Josephne seniblepointdisposéè la guerre. 11faitfaire a l'areliiduc héritier des obsèquesétonnammentdiscrètes, peu appropriéesaun mort en l'honneurduqueion serait dé-cidé a jouer ia paix de l'Europe. Loin demeltre immédiatementla Serbie en cause,il pnblieun manifestea propos duquel laZeU.cerit quelquesjours après : « Le faitque lemanifesteimperialdu 4 juillet parled'une petite bande d'égarés prouve qu'acettedate on ne croyait pas. én haut lieu,a une conspiration fomentée par l'étran-ger. » GuiliaumeII, de son cóté, ne lémoi-gne aucuncsympathiepour la modéralion,sincère ou alïeclée,de son allié. I! renoncea assisleraux obsèquesde FrancoisFerdi¬nand ainsi qu'a se rcncontrer avec Fran¬coisJosepha Ischl.Lc correspondantbien renseigné que laGazelledeFrancfortpossèdea Viennetélé-graphie,a proposdecette visite manquéö:«Le démenti trés net donné bier par lesemi-olïloieuxBerliner Lokal-Anzeigeraune dépêchedeVienne, qui annoncait Iaprochainc visite de l'empereur Guiflaumea Ischl, manquaitdediscrétionet decordia-lité. »II y avait done,dans les premiers joursde juillet, ce que le même correspondantappelaitpoliment«de menuesfluctuationsdans l'entente descours de Vienne et deBerlin». En interprétons-nousexactementles causes? Si nous nous trompons, queles survivantss'expüquent.Nous ne clier-chonsque la vérité.Aprèsles « fluctuations », est venu leConseilprésidéparGuiliaumeII. Après leConseil,Frangois-Joseph,qui se trouvait aVienne,a ajourné de vingt-quatre licuressondepart pour Ischl.Avant de quitter laeapitale,il a conféré avec les principauxgénérauxainsi qu'avecle comteRerchtoid.Quelquesheuresaprèssondepart, a eu lieuune réuniondesministresauslro-hongrois,que présidait lecomte Berchtold et a la-quelie assistait le comteTisza. On a an¬noncé,a Fissuede ia réunion, que les mi-nistres s'étaient occupés de la situationcréée par l'attentat de Sarajevo. Puis lecomleTiszaest alléprononcera Budapestle discoursambigudans iequel il pariaitde « sauvegarderle prestige de la monar¬chie» et de«défendreses inlérêtsvitaux».Enfin, le Lokal-Anzeigerde Berlin, cejour¬nal settii-offlcieux,tenait brusquement unlangagebien différentdu démenti dépour-vu de cordialité que les Aulrichiens luiavaient reprocliéqueiquesjours plus lót. 11écrivait:L'AlIemasire,quia perda en 'Ia penonnede Parchdnc FcancoisFerdinandtin armetun tidèiepartisande l'aliiance,sootiendraitmoralement tonte demarche autricliiennelendanta chatierlescoupables,et l'Aliema-gnei cfliciele no resterait certes point enarrière dans celte o cat on. Nous prouvo-rions ia fidóiilóde nos sentimenisd'abiés.

rion ? Et Ia pressc allemande supprimede ses comptes reruius l'allusion que ledéputé Haase a faite au Conseii du 5juillet ?S'imagine-t-on,en Allemagnc,quo le si¬lence n'est pas un aveu .

(Le Temps).

LE PARLEMENTImpressions ds Séance(DB HOTBÏ CÜRRBSPONDAKT PABTICULIEJt)

Ccüedéclaration,qui se terminait parune diatribecontrela Serbie, a étc publiéea Berlin dans l'après-midi du 9 juillet.Celuiqui Farédigéeavaitcertainementen-tendu dire que l'Autriclie-Hongrieallaitsévir contrela Serbie, et que l'Ailemagnesoutiendrait1'AutricbeHongrie les armesa la main. Ladécisionde faire la guerrc.arrêtée sous la présidencede Guiliaumelile o juillet, puis sanclionnéepar Francois-Joseph,et proclaméeen un langagevolon-tairement équivoque par le comteTisza,élait doneavouéedèsle 9 dans les milieuxbien informés de Berlin. On reconnaftraque !accusationsVnchainelogiquement.Et le chaaceiiei' allemand ue répoud

Les missions desparlemeniaireset i' achatdesnavires d l'etr anger

Paris, 30 juiliet.La Chambr^idop'e (oat d'abord un projet éten-dant aux Bureaux d j bienfaisance et d assistance,ö: x hospices et aqx böpiiaux et aux Caissesd'épargne les dispositions de Partiele 32 de la loldu :3 décembre 1912 sur les habiiaiiuns a bonniarebé et de Partiele 13 Oe la loi du 14 juillet1013sur Psssislance aux fanmles notnbreuses.Li Chambre reprend ensuite la discussion dePinterpellation de M. Bouisson, depuié de la Gio-t&t, sur les missions que M. Ie p esidont du Goq-seil a donnces ou qu'il se propose de donner envee a'acbeter des navires a l'etranger.M.Bouisson a prononcé sstnedi un réquhiloiretiés vut cont les mobiles sont connus. Go députéa failii a diverses reprises être sous-sgcrétsired'Elat a la marine et ïte l'a pss été. Aucuue mis¬sion ne lui a été conflée et ses intéréts électorauxl'ont toujours obPgó a combattre Pachai de ba¬teaux au dehors.M. Bouisson connatt du reste bien son sujet etne manque pas ü'uue certaine force d argumenta-Uon.de Monzie est aussiun oraleur habile. II était

un üdversaire redoutable tians ('opposition ; mom-bre du gouvernement, il sait so défendre, mêmecontre ü. Bouisson.I! montre !es difficullés que fait naltrc Ie pro-biéme des constructions na "ales, diüiauité de seprocurer des maténaux, difflculté a'avoir de iamain-d'ceuvre. En ca qui concerne celte derniére,ii est nécessaire derendre aux constructions na-vales environ 3,000out riers actueliement mobili¬ses. Dès ie 13jüiilet dernier, le ministère de laguerrc a ouveri les enquêtes próliminaires. It y atout iicu d'espé.er qu'elles abouiiront duns undélai assez bref.M. de Monzio se defend de subir Ia conlraintedes aim&teurs. Ce qu it a vouiu, c'est faire appelaux compétences en leur demandant leur eon>cours. Lc sotis-cecrélaire d'Elat s'cxpiique sur Ie3achats de navires au Japon.L'lndo Cbine, en raison des craintes do torpilla-ges en Módiler'ranêe, ne pouvant plus comotersur la marine marchande britasnique pottr ex¬porter en Europe ses dcnrée.s, force a élé augouvernement de reeouiir a d s moyens de for¬tune et en particulier aux armateurs japonais.M. de Monzie s'expiimeavec benucoup declartóe! est fort ccoulé par ia Gbambre.Au sujet de ia mission de Ghappedeieine. eelle-eiavait sembPs a ua moment fort utile. M. de Chap-pcdelaine s'étant fort oceuoé de cette questiond<vait en être lc chef. Maïs les difflcultés dispu'raissant, on avait renonce a Penvoi de la missionqui n'était ptus nécessaire.M. dé Morzie termine son discours en disantqu'il est résolu a tippiiquer une politique de ré-suitats et en demandant a r.'être jugé que sur sesactes.Après des observations de MM.Bsllande et Hen-nessy, M. Bouisson paile da nouveau.Suivant lui, ('augmentation du tonnage est in¬dispensable pour ia marine franpaise. II nc suliitpas do faire changer do pavilion aux navires, iii'sut que de nouvelles unites marchandes sóientconstruites. L'orateur preconise une entente avecles Alliés pour quo nos forces commercisles soientportécs a leur maximum.Et M. Bouisson, s'adressant au gouvernement,ajoute :« Si votis n'êtes pas capable de mener a biencctie entente pour ia marine marchande, aiorsvous n'éies plus capable de mener la guerre. (Vifsappiandissements a i'txtrême gauche).M. Bouisson insiste pour la requisition totale denotre Hotte commerciale, comrne tl a été fait enAngleterre.M. R bot, intervenanl. dit que les armateurssont déjs soumis a ia licence pour naviguer. IIrend hommage aux députes qui. comme M. 'far-dicu prêtent leur concours au gouvernement. lissont utiles a leur pays.M. Ribot donne de nouvrlles explications sur lamission de M. de Chappedetaine.Le président du Conseil conciut en couvrant Iesous-secréta re d'Etat a la marine marchande.M. de Cbappt delaine, sur les suggestions dedivers socialisles, entreprend le récu de la facondont la mission du Japon lui fut donnée, puis 're-lirée par M.Ribot.La Gbambre donno des signes d'impatience. M.de Caappedelaine deseend de la tfibune au milieud'une froideur significative.Après de rapides observations de M. Gondace,le débat est clos.M. Bouisson dépese un ordre du jour réprou-vant les missions données a des pariémentaireset invitant ie gouvernement è ne plus eifectuerd'nch' ts de navires de commerce saus avoir au-paiav.inl soumis le montant du crédit a Ia Com¬mission du bueget.L'ordro du jour pur el simple est demands, aM. Riboi, au nom du gouvernement, s'y raliie.Le scrutin donne lieu a un poinlage.On discute, en attendant le résultat da scrutin,le projei relatif aux allocations de vie cbère pourh'S petits cüeminots.Le projet, critiqué dans cerlainos parlies par M.Augsgneur, est vote, après le rejet a'un amende¬ment de eet ancien ministro.Lc président proclame lc résultat du poir.tage.L orare du jour pur et simple est adoptó par 200voix coctre 157.Lo notnbre considerable d'abseniions eera évi-dèmntent trés discutê.Demain, interpellation sur l'aiimentation.

Ta. ÜENEY.

CommuniquésOificislsFRINGE

H,0 1) O ■ Journée

Paris, 30 juillet, 14 heures.La puit a été marquée par des actions d'ar-tillorie a-s ez violantes dans lo secteur doBraye-en-Laonnois, A l'ópino da Chevrigny,dans la region du Monument d'Hurtebise etsur les deux rives de la Mouse .Les coups de main tentés par l'ennemi surdivers points du front ont tous échoué sousnos feux.

L'ÉPURSTIONGRECQUEAthèr.es. — Lo gouvernement a soumis 4 Ia si¬gnature du roi un dècrrt tendant épurer lacour do cassation et destituant huit coaseillers.

23 heures.L'aclivité de s dcx artilleries s'est maintenuetrés vive au cours ds la journee sur tout lofront de l'Aisns, depuis l'Epino de Chevrignyjusqu'a l'Er-.t du plateau da Calirornie, enChampagne, dans la rêgion d'Auberive, et sarles deux rives de la Mouse.Rien a signaler sur le reste du front.

GRANDE-BRETAQNE

30 juillet, 14 heures,Aucun événement important k signaler aucours de la nuii sur le front britanniq e.Quelques engagements de patrouilles ont eulieu a Ballecourt et Acheville,

20 h, 45.Un de nos détachemenls a exécuté, la nuitdernière, un coup de main sur les tranchêesaliemandes vers Lombaertzyde.L'artillsrie a montré plus d'activitó que decoutume, au cours de la journée, vers Armen-tières.Nos pilotes ont bombardé, dans la nuit du 23au 29, un aerodrome, deux gare s importantes,un clépöt da munitions, oil des incendies et desexplosions ont été provoqués. lis ont poursuividans la journée ti'hier leurs opêrations de bom¬bardement.L'activité aérienne est dsmeurée trés grandejusqu'a 10 heures et a été subitoment interrom-pue par un violent orage. Quatra d'entre euxne sont pas rentré s.Quatre aóroplanes allemands ont été abattusen des combats aériens. Deux autres ont étécontraints d'aitcrrir, désem pares.Six des nótres ne sont pas rentres, y comprisles quatre surpris par forage.

BELCSIQUE

rencontre de30 juillet.patrouilles auPendant la nuit

Sud de Dixmude.Au cours- del a journée, ac' ivitêfestreinte del'artillerie en raison du manque rAv.isibilité.Nous avous pr is a pariie vingt-neuf batteriesaliemandes.

DANS LES BALKANS

LtsinquiétudasteoièresaltemandesBale —La Gasrtle de Francfort du 30 juiilet,dit que ies directeurs do Ia Banque de i'Ernpireont conféré ces jours dentiers nvec dfs person-nalités des milieux agrtcoies afin d'intensifier Iapropmando en faveur des emprunts d'Etat etd'augmenter la participation des caisses et bsn-ques sgricoles.

L'EmpsreurCharlessurIsfrontgalicienBSle. —L'empereur d'Autriche esl psrli pour lofrom ao Galicio orientate afin do suivre les ope¬rations.

■■<■«.T

LflSITUATIONPOLITIQUEEHAUTRICHEBale. — Dix députés du parti Tisza ont donnóleur üémission du groupo.D'autres demissions suivront et amèneront lacréation d'uu nouveau parti sous ia direction deM. Z'Chy, qui sera disposé a adop'er la rêformeélectoralo promise par le comie Esteih-zy.

LesResponsabilifésde la Guerre

Dès1913,i'Aufrichspréparaitl'agressiou

FLANGESaionique, 20 juiilet.

Dans la rêgion de Huma, combits a la gre¬nades a la suite desqueis i'ennemi a violemmentbombardé nos tranchêes.Dans la. rêgion de la Staravina, un raid en-nemi a éié ari êté par nostirs de barrage.Vers le lac Presba, notre artillerie a sur¬pris sous son feu des rassemblemsnts bul-gares.

ROUf¥!APJ!E28 juiilet.do l'artillerieSur Ie front roumain, activité

et fusillade dans divers secteurs.Dans la région montagneuse entre les val-léés de Casin et de la Putna, l'ennemi a tentéde contre attaquer nos roupes sur diverspoints oü elies oonsolidaient lss positions oc-ct ipées.

II a été partout repoussé.Des combats sont en cours pour l'occupationdes hauteurs Magura et Casimulin.Sur la Putna et le Seretli, bombardementréciproque d'artillerie.

emièreHnreTROIS IIEUIÏES SIAT1N

Felicitationsa l'ATméeroimiaineParis. — M. Pêinievé a téiógraphié au ministrode la guerre de Roumanie ses felicitations sujetde t'avance de l'srmée roumaine.

UIV NOUVEAUDans une lettre au Times, au sujet de lafameuse conférence du 5 juillet 1914,Potsdam, oü fut décidée ia guerre, M. A-h-mead Bantett, le correspondant da guerrebien coonu, raconte une entrevue qu'ilene en 1913, è Vienna, avec le général autri-Chien Gonrad voe Iloetzendorf.qui lui révélasans détours les desseius do FAutriche con¬tre la Scrbte.Au début demai 1913, ëcrlt M. A. B.irlle't, aumoment ou ia guerre enlra l'Antriche et la Serbiesembiait presque inévilabte, je fus envoyé a Vien¬ne. Le 8 inai, après is crise, j'eus une longue en¬trevue avec le général Conrad von Hoetzcndoifiet te ministre de )a guerre. Sachant que l'annéepréecdente j'avais assisté a la guerre dsns iesBatkans, il me questiorsna longuement sur la va-leur militaire, l'orgdcisation, etc., des diversesarmées balk«niques.Tout a coup, il me posa cette question étrange •« Nous avons évalué a quatre lo nombre de corpsd'armee nécessaires pour occuper la Serbie encas de guerre. Combiea eslimez-vous qu'tl en fau-drait?»Bien que pris 4 l'improvisto, je rêpondis : « Jene c-ois pas qu vou3 ayez la tnoiodre chanced'envahir la Serbie avec succes si vous n'employ- z pas au moins huit corps d'armée avecd'abonttasle» réserves ...« L'armée serbe, en cas de nécessitê, n'hêsilerad pas a abttndonner Belgrade et so rctireraidans rintérieur oü les iigi.es de communicafionsseraient d'fiicites pour une armée moderne.« Les Strbes auraieat tous les avantages, carDs excellent aux guéfillas. lts peuvent vivre surle pays et n'out pas besoin d'un service de trans¬port considerable. »Le général me regarda avec quelque surprise,hésita un instant, et répondit :« Pent être avez-vous raison. C'est un msu-ctilcül que d'évaiuer trop bas les forces de

l'ennemi. »Un moment après, il reprit d'un ton pleind'amertume : « Voila deux fois en deux ans quej'ai préparé les armées autricbiennes a la guerrecontre la Serbie. Deux fois les plans ont éte frus-trés a la onzième heure par les poiiliciens MaisIe corfiit est inevitable et ne s nuit être long-temps retardé. Oa ne peut pas déssppointer éter-nellement l'armée. »

LESÉVÉEIMTSDEGBÊCELa Conférence batkanique

B'cn que les décision de la conférence nc soientpas counties sur les autres points en di-cuision,l'impression générale dans ies milieux placéspour ètre bien renseignès est que satisfaction aété donnée aux desiderata de ia Grèce au point devue matériel.

Le Ministère de la GuerreOn sail que M Venize'os avait eu au début l'in-tention de ne pas garder de porteuilie. II a prisceiui de la guerre en vue de rétablir l'un'on del'armée.It est possible actueltement que le portefeuillede la Ruerre passe a M. Griuas, qui fut le chef demission militaire sous !e Triumyirat.

La soumissiondu généra! Papou/asOn annonce l'arrivée imminente, a Athènes. aia fiiiie u'nn ordie rrqu, ou général Papoulas.cheffles districts du PelopoEcse,

Le lieutenant tfalsamakisarrêté.Le lieutenant dc la légion hellcn'que de France,M. Valsamskis, a été arrêté. pour t.i part aclivéqu'il a prise aux journées de décembre.

La Progressionallemandeseralentit sur ieFrontrusse

Paris — Lfs derniers coramuDiQués msses in-aiqiieii?. un ralsntissemeiit de prosression desAliötnands permeitsct d'espérer que l'armée russetrou vera une ligne de résistance sur ia riviéreZbrueZj a ia frontière de Galicie.

Croiseur anglais conléLondre s. — L'Amirauté communique que Iecroiseur anglais Ariadne, caDilaine Ilarry Smyth aéié lorpiilé et coulé.Tous' ies officiers e! les hommes dc l'équipagesont sauvés a l'exception de 38 hommes tuês parl'explosion.

L'Acliviiéde['AviationbritanniquaLondres — On communique officieliemcnt :« Djs bombardements aériens ont été efl'ectuésdans la nuit du 28 juillet sur les usines de Bru¬ges ct ies regions de Theuront, Middelkerke etGhistelles.« Ptusieurs tonnes d'explosifs ont été lanc^esavec de bons résullats. De nombreuses explo¬sions ont été observées.« Les 8ppareils renlrèrent intacts. »

ün sous-marinallemandseréfagiedansun port espagnolMadrid. — Le président du Conseii a annoncéqu'un sous-marin allemand mouillé a La Corognea été amené au Ferro'.Le gouvernement fera slricteiacnt appiiquerles récentes dispositions sur i'internenseat dessous-marins belligéraats qui eatreraioat daas les.ports espagneia.

LeBoffiMrflementdesFlandresUKEDEPÊCHEDEGUILIÜliMEII

Guiliaume l[ se trouve sclucli- inent en Galicieou il a assisté a la prise de Tarnopol et a ia mar-che en avant de ses troupes, qui OBt atteint hierla frontière russe. De Galicie, l'empereur a en¬voyé au rnaréchsl von Hindenburg un télégram-me oü se manifeste nettemert l'angoisse de iaprochaine bataille des Flandres : les victoiresrempoitées sur les armées russes paraissenl aukuiser relativement peu de chose quand ii songea ee que lui fait redouter le déchainement d'ar-lilterie frauro britannique entro la mer du Nord etla Lys Voici ie texte du tólégramme impérial :« Des champs de bataiüe de Galicie, sur les-quels nos iroupes se couvrent de lauriers et parnes assauls incessanis et vietorieux remportentsucces sur succè3, je pense. d'un cceur recon-naissant, aux actes mémorables des armées dal'O iest, qui par leur belle töntici ó et par leuresprit de sacrifice, repoussent i'ennemi et dontIe communiqué d'hier donno une preuve nou¬velle de l'entrain pour l'attaque. Jo pense parli-culièrement aux vailisntes troupes des Flandresqui depuis des semaines déja sóat exposées a unbombardement des plus violenls et attendentpleines de corfisnee les assauts qui vont se pro¬duce. Ma cotjfiatce est en elles. comme ceüe3de toute la patrio dont vous défendez la frontièrecontre un monde d'encemis. üieu est avec nous.

« GIIIM.4UXIE, »Guil'aume II a pasr-ó en revue ses Iroupes surIe front orients! vendredi. II leur a adressé unecoude harangue oü il les a félicilées de ieurssucces sur l'armée russe, tnais oü il n'a pu s'em-pêcher d'exprimer a nouveau son apprébensiondes combats qu i les troupes aliemandes du frontoccidental auronl bieutöt a supporter, ajoutantqu'flles connaitraient prochsinement « des jour¬nées trés diffieiles ».Ajoutons que le communiqué allemand du 2?juiliet après midi écrit, au sujet du bombardementdans les Flandres :« Dins les Flandres, Ia balaille d'arlillerie a fuitrage sans interruption depuis les premières heu¬res de ia matinee du 28 juillet jusqu'a une teuiaavancée de la nuit. G'cst le plus formidable dé-ploiement d'artillerie de eelte guerre. »Le communiqué allemand du 29, soir, note Iarecrudescence du bombardement pendant la jour¬née de dimanche :« En Flandre, la lulte d'arlillerie a repris depuismidi une exttême violence.»Enfin les commenlaires miliia'res offieieux del'agence Wolf signalent que des forces navalesangiaises, composées d'unités légères, ont faitleur apparitiop ie 28 au large de ia cöte beige.Signalons encore la dépêche suivante de Lon¬dres sur l'activité de l'artillerie dans les Flan¬dres :« Les communiqués allemands monlrenf que Iaformidable activité de l'arliiierie au Nord d'Ar-mentières et prés de Lr-ns cause aux Allemandsde fourdes pertes et de grandes inquietudes. Levent a élé favorable pour l'emptoi des gaz et nousen avons iargement profilé. L'artillerie enncmiea êté trés active la semifine dernière, mais lesbatteries ennemies sónt obiigées de changer deplace fréquemment a cause de notre feu de des¬truction incessant. Nous avons contre batlu avecsuc:ès Fartiilerie ecnemie, et nos admirable3 ca-nonniers ont, au cours de la semsine, dètruitplusieurs douzaines fl'abris de canons et provo-quê nn grand nombre d'mplosions dans des dé¬pots de munitions. *

LesteiegsleEissiiLes Conditionsdes Cadets

et du CommerceLe Goroité central du parti des cadets a adresséeu president du Conseil une lettre posant lesconditions quo le parti entend meltre a sa ren-trée dans le gouvernement :<?£• La guerre jusqu'au bout en accord avecles alliés ;« .2» La confirmation de tous les accord3 etententes avec ies puissances en guerre contrel'Ailemagne ;« Une formule claire et précise de Ia politiqueintérieure du gouvernemont. »Get accord parffit entre la Russle et les alliéspour ia continuation de la guerrc est égalemeatis condilion que posent les représentants ducommerce et de i'industrie euxquels lo gouver¬nement fait appel pour siéger dans ie minisiéro.

Les pourparlers avec les CadetsSelon les derniers rensigKotnenis de la Gaxelleae la Bourse, les Cadets insistsnt sur la démissionde M.Tchernoff, et le gouvernement refusant d'ac-ceder a cette demande, les pourparlers ont étéabaudonm's.

La soumission de CronstadtLa soumission du Comité exöcutif de Cronstadtest compléte Acceptant, dans tous ses terraes,lültima um du gouvcrnemeRt provisoire, il a ac-Ctptêde livier les agitsteurs Raskohikof et Rom-ncf, qui ont été immédiatement conduits a Petro-grade, oü, eprés un courl interr„gatoire, i)s orfieté écrouós.Le Parquet fait activementrechcrchcr lo troisiè-me agitateur désigsópar la noledu gouvernementprovisoire, i'etudiant Rochsl, qui a disparu.Les équipages des euirassés Pel- opov/otk. liépu-bique, Siavj, se soumettent a l'ultimatum deKt reiu-ki.Its expriment, avec leurs regrets, leur pleiaeconfiar.ee daas lo gouvernement provisoire, etdemandent qu'uae c.mmission d'enqnöte fasse lalutnière sur ies évonemeats regreltabies qui sesont produits et iavent les équipages de ('accu¬sation d'avoir participö au mouvement contre-révoiuiionnaire.Les militaires désarmés revenant de Cronstadta Retrograde y furent accueillis par les huées etdes sifHots.

Lénine serait en Al'emagneLa Gazelle de la Bourse croit quo Lóuino auraitfui en Aiieoiagne, vid Stockholm, q.i'fi a nu ga-gner par ia Finlande. cü il a été conanit de 'Crons¬tadt par un bateau don! l'équipage était acquisaux idéés maximaiistes.En annonoant la fuite do Lénirte en Atletnagne,vid Helsingfors et Stockholm, la Gazette de IaBourse assure que c'est. le représentant de i'Alle-magne en Suóde qui a donaé au fugitif toutes lesfaciiités pour continuer son voyage.,

ENALLEMAGNEExplosions dsfabpiques de munitionsDeux lettres trouvées sur des soidats allemandscaptures sur le front anglais prouvent que davioleutes explosions, doat la presse n'a pasparlé. ont eu lieu récemment en ARcmagae dansdc3 fabriques ce munitions. La première, datésdu 22 juin, contient le récu suivant:« Moa cher,

« Un terrible désastre a eu lieu hier, de nou¬veau, a Adlershof ; l'explosion a été a ce pointviolente qu'elJe a été entendue jusqu'ici. Vous laIirez peu t-être dans ies journaux, muis ils no di-sent jamais combiea il y a de morts. Tout cola est1oeuvre d'i'teeadiaircs. . . »L'autre lettre est d»lée du 0 juillet ; la voici :« Cher ami,

« J'ai a t'écrire de Irisles nouvctics. Ua ierri-blo accident a ca lieu a Ditmold, oü une usinuue muni ioas a sauté avee tous los ou?riers,hon,mes et fernuies. G'est horriblement tristeDimanche, 90 viclimes ont eté enterrées. Unaf itnme qui avait eu sos qufire fii! lués au frent,vicnt do perdre ses trois filies. . . »

EnBelgiqueocctipéerégima allemand

l'MiSlliETUnUne déclaration de M. Ribot

au peuple américainDimanche soir, tous los journaux des Etats-Unis, a l'occasion de la quatriéme année deguerre, ont pnblié une déclaration faite par M.Ribot, président du Conseil, au correspondantpsri-ien de l'Associated Press et une étude due auprofesseur Gide, sur la situation <-nFrance.La declaration de M. Ribot affirmant Ia catmeconfiance et la froide (iéiermination do Ia Franco,a produit une grande impression et est approu-véo par lüaanimité de I'opinion publique 'améri-caine.

Le plus gros paquebotallemandtransport de troupes américaines

Le vapeur Vaterland, de 5i,28ï tonnes, do plusgrand des paquebots alleraaads internes a New-York depuis l'ouvcrture des hostilités. a été ré-paré et est prêt a prendre la mer sous Ie pavil¬ion des Elatr-Unis. II a' élé aménagé en trans¬port et peut recevoir 10,009 hommes de troupes.Quinze autres vapeurs seront disposés pour lomêmd objet.

Sur ie Front RusseLes Rttsses évacuent CzernowilzO.i téiógraphié de Gopanhague è i'F.xchangsTelegram» qui , (i'ap és los correspondaats deguerrf» ailemands et aulrichiens en Galicie, lesRusses ont commencé, samedi, a évacuer Czer¬nowilz.Sur divers points de !a v'file, des incendies ontéclaté et ies Russes ont fait sauter leurs dépotsdo munitions.Le communiqué allemand s'exprime ainsi en cequi concefno le front oriental :« En Galicie oriëntale, roas progressons sur ieZbrucz, ie Dniester, Ie Prulh et le Gzeremos.»

La resistance russeLes journaux autrichieas annoncent que Irstroupes russes accusent une recrudescence devigueur et d'audace inconnues jusqu'ici. il fauts'aitendre a une grande resistance (le leur partsinon ii une grande offensive.

La mansuétuda duL'autoritó allemande en Beigiquc cccupéc afait. exécuter, le 25 juin dernier. les citovons bei¬ges dont les norns suivent :Kuge. employé aux chrmins de fer ; Jules etLucien Descamps, voyageurs de commerce: Ver¬beven et Watteen, ouvriers asricoles.Oat été graciés :Van Mer'seh et Deblois, voysgeurs de commer¬ce ; Dehoux, garde champöiro montois.

L^s deportationsD'après des informations dont il est difficile dadouter, le systéme do la déporiaiion de civilsbeiges coaimue de sévir duns des condifionsodinusas particuliérement a Mons et dsns les en¬virons de cetie vitte. Les homines qui ont étédéportés ie 17avril se trouvent en France oü itssont occupés a des travaux souvent a dix kilo¬metres du front allemand. Depuis une quicz unade jours avant la date des informalions ci-dessusles deportations sont effectuóos sur une simpleconvocation, fsite souvent la nuit, avec departfixé ie lendemain.

lis font mourir de faimles prisonniers beTges

Le correspondant du New Ruitculam Courantdocrit de nouvelies a'rocités eomraises par lesAllemands dans les camps de déportaiion des ei-vils beiges en ARetnagne.Les Ailemands fanï systémaiiquement mourirdo faim les patriotes beiges.

Mm MMorts au Champ d'OonneurOn annonce Ia mort glorieuse deM. GèorgesGiard, caporal au 274* d'infanterie, survcnue dessuites de sos blessures tie guerre.Ce jeuGe brave qui travaillait avant la guerracomme voilier aux Docks Entrepots et habitaitchez ses parents rue Tour vitte, 17, a fait l'objetde la cilalion suivante a l'ordre de la brigade :« Excelieü grade. A été biessé griévementIe 2i juin 1917, pendant un violent bombardemeutpar obus de gros calibre ; a nésnmoins conservetout son sang-Uoid donnant a ses hornraes un belexemple de courege. »

M. Gabriel Chevrier, éludiant en pharmacteengage volontaire jclassc 1918»,est tombé sur iechamp do balaiile da Fieury V'aux-Ghapilre, lejum 1910et porlé disparu a'u corps.Depuis cette époque, sa mère, Mme veuveChevrier, infirmière-major ' - - -Michel-Yvon, élait restéeincerlilui'e,C'est seuiemont ie 27 raaido Pavanen do nos trouoosdes recherches pureifi êtrenotre concit yoa fut retrouvé el inhurno prés düfort de Souviile.

u i'höpital 108, ruadans une poignante

dernier quo du faitau Nord de Verdunfaites. I.e. corps da

au soldatrégiment

Hrdaiila militaireLa médaille militaire a été conféréeRené Gouiilatd, ergagé volonlaire au id'infanterie, avcc la cilation suivanïe :c Vaillant so,'dat, trés dévoué, a (oujours eu aufeu une énergique atiiiude. Trés griévementbiessé te 15 décembro t9tfi au combat de Bezon-vaux. Enuciénion de l'ceit gauche. »M. Bené Couillard était employé avec son pcraaux D>cks du Ponl-Rouge. II esl le frère da Mm«Garpcntier, habiiant Notre-Damc-du-Boc.

LA SÏÏ1EEEAÉRIE1TKEZeebrugge sous les bombesDu Central News :Le part de Zeebrugge est l'objet d'un bombar¬dement quotiaien de la part des aviateurs alliés.

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LAGUERRESOUS-MARINEGans le sous-marin

capturé prés de CalaisDa Petit Journal :Le général Ditte a pu faire retirer un canon de88 intact ct les munitions que les Allemandsavaient jetés sur Ie sable pour essayer de s'allé-ger. Les mines, désamorcées, ont été renduesinoffensives. Enfin cette prise, malgré quo le ba-Utnent soit a peu prés inutilisable, est heureusea plusieurs litres. D'abord elle nous débarrassod'un pirate dangereux, d'un équipage entraïné aIa guerre sous-marine, puisqu'il déciare — n'ost-ce pas de la vantardise ? — nous avoir coulé dix-sept bateaux. Enfin, on a trouvé, a i'avanl du bd-timent, laissó intact par Pincenüie, un sysiémecurieux d'acoustiqae qui permet a l'équipage,même pendant ia marrhe, de percevoir tous iesbruits extérieurs dans un perimètre donnó. II y ali une invention doDt, il faut l'espörer. nous sau-rons faire notre profil.

Bateaux pêcheurs holiandaiscoulés par ies Allemands

D'après une dépêche d'Amsterdam, un sous-marin allemand a coulé sameili cioq bateaux pê¬cheurs hoU&iiiUis eairo Vajuiilea ei Schevtt-Bingea,

Nos Regiments normandsLe 119' cité a l'ordre du jour du G. A.On nous communique ia cilation suivantacon-cc-rnant lo 419* d'infanterie. Gc boiu régimentcompie dans ses rangs nombre de sotdats duHavre et de Ia région. ct l honnenr qui lui estfait rejaiiiit sur la Normandie lont entie e.Lo général commandant lo • corps d'arméacite a l'ordre du corps d'arméo : ie 119*régimenta'infanterie« Régiment d'éliio qui s'ótait dója distingué caArto;s. a Verdun el ii Rezonvaux. Ayant éio flure-ment óprouvó en juin 49(7. a montre, moins d'uamois après, sous le cummandement du lieutenant-colonel Malvy, un magnifique heroïsme ct uasplendirte esprit offensif en soulenant pendantsept jours consêcutifs des combats achirnés aucours desquels tl a repoussé toutes ies attaque»ennemies et rneaö avec un entrsia superbe, dansnn terrain partxnlièremeni fortitlc, deux attaquesen terrain fibre qui lui ont ue mis de reprendraaux Allemands une grande partio du terrain quaceux-ci nous avaient enlevé avant son entrée ensecteur. »Au Q. G. Ie 25 juillet : le général commandantle corps d'armée : Lebrun.Ajoutons que le 119»a déja été cité une fois al'armée L'uu de ses bataibons — le 2' — a euune seconde cilalion a l'armée.

Cifatieua & l'Ordce du JourDe la Division :

M. Rcnê Dumouchel, brancardier de t" classaa la G.M. 3 du 129' régiment d'infanterie, a étécité en ces lermes a l'ordre de la division :« A fait p euve du plus grand dóvouement etdu plus grand mépris du danger, en assurant. dajour et de nuit la relèvedes blessós do sa compi-gDie flans un secieur difficile et violemment bom¬bardé, en particulier lo 10 juiilet 191/. »M. Dumouchel, qui vient d'etre eité pour Iatroisicme fois, est employé de commerce. II étaiten outre, musicien aux Foties-B8rgère et est do¬micilie li, rue Louis-Philippe.

Da Régiment :Le zouave Henri Fournier, du ?• bis régimentde zouaves, a été cité a l'ordre du régiment dansles tennes suivanls :« Brave et courageai, a été blassé en novera-bre 1916 en raontant a l'assaut des tranchics eiuoemies. »41.Fograierestdomicilie103,rue Ihie.t.

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$ Le PM.it ffavre — Mavdi .Tnillet1011VBj0maseKsmBmKEmiKMBBmsKKaBMmM8Ka8iani^*B

Lc snldit AWmi «li< Gamier, du H9* régimentd'infPEitiTie. n tké cité s l'ordre du légimeni dansles lei mts suiva t» : .« Agent de lifison d'ono bravoure el d'on dó-vo'iinii iu a leute pr-uve. A montré a piusitursreprises lr plus giai d sang froid poor porter lesordn s sous de violents bombardeuitnis. notam-iai ni ie 6 juin 1917, 8u cours d'une attaque alle¬mande trós vive. »M. Alexandf). G»,pnier es! domicilié chez sesparents. 26, rue, Amiral-Couifcet.II étnit procédc-iuuif nt voilier chez M. ller-Ykux, ruc Victor-f!*:go.Le sol lel Fernand Biois, du 39« régiment d'in-fanfi rif, a été cité ga ets termes a l'ordre durégim- ut :« Excellent «gent do liaison ; au front depuiscovemiire I9i4.« A ton jo: -s fail briffamment son devoir. DrasVin secteur re igité, iéi pas bésiié a aiier por:erles oidres du oapitaine, malgró uu violent tir dopar/ age. »M. Bifois est domicilié au Havre, 38, rue Ba-tan.Le soldal Jules oésert, du 3-:9- rég'm/nl d'ra-Imtcrie, a ét- citê a l'ordre du régim at :« Solist leave et dévoué. A éló L-less-é sériën-temect lor» de la progression de la compagnie. »M. Jules O-'iert est eulHvaleur a Gonfrovilie-Criü- : et est l- fi s de M. Arlifie D sert, ex-conseiiler municipal a Aunouvibe-Vilrnénu.

M Dubos. du Havre, • soldat auxiliaire, interBrè e anglaisdan» ie poii up Fecamp, prenait un boin dans lebassin in Fr «y ei net, quand i! fatilit se noyer. i'en-droit «ü ii se naignait « (ail trés dsngereux. • li aété sauvé pa- dm x ma rins de 1Etst et un soldai,témoins de i'a.ciient I.><soldat Dubos a été admitji lhcpitai de la Straf dicline a la suite de son reftviuisaemeot, oü ii a rigu tous les soins nccès-saires.

jol hm':e havraise4. 5 et 12 Acüt

Le Comité d. s OEuvres de gui rre do Ia Vllle dulEvre. réuiti sous le présideaee do Mme ia ha-rocne Diticiot <t de M le maire du Havre a lixéie» néiaiis des trois jou nées de veitte.Le samedi 4 a. üt : venie s la Bourse s It h. 1/2 ;Tenic en vine le s»m« di après- midi ei le dimanche 5 ent. tou e la journée. Des objeis d'unegrande va; ur ar islique serout vendus; iels que:lii et-Iels, coHiers et porte-monir s « chiffon depspit r » pork-nt les armes des puissances Mgnalaircs de la neutrriilé de la B lgiq :e.La statue de lit L borlé, pavilions des Etais-üoisl'Aigle Américain sercrat égakroent mis en ven teet nous sommes certains que nos concitoy-nstieudront a te merer nos amis américains. 6 fê erleurarrivee au ilavrecten France, en acbetameienportant ces sigm s de la g unde llépnblique sceurqui a si voills mentpris place aux cótes denotrepays pour ('aider a vair.cre.Le 12 aoüt, luOp'Oi) billets de la loterie au profitties ceuvres seront offerls au public. Les lois secomposent de lots de 5,00), 3.000, 2,0 >0. l/0>l'rotics, deux de 500, quarante de 100 »t qnatn-vingts de Sn en bons de la D- fensc nationale,auxqueis \i nd, unt s'nj outer de nombreux tots ennature gé: é eu.u ment offerls par nos concboyens.Le Comilc adresse un ch -leurcux appel a lapopulation pour que Ie* J-urnée» d-s OEuvresllavraises soieat. coinme les précé lentes cou-rooBées de succès. 1 s'agit de venir en ai-Ie anos soldats et a leurs families A I égard de ceuxqui oot versé leur sang oour le pays, de ceuxqui combuitent pour iapiö'eclion do nos foyers,cc ceux enfin donl les soutiens sont mort», bies-sés on malades, aucua de nous ne saurait êtreindifféreot. La góoérosilé havraiso liendra. m.efois üe plus, a se manifester en ces jours oü iiser« f*it appei a noire esprit de solidariió el 4Eotre pairiolisme. 1' ne suffit pas d'admirer labravoure de nos soldats, il faut égaleraent leurfénioigner noire reconnaissance. L'occasion deleur donuer co lémoignage nous esl offerte : iouseos concilöytns la sais.ront avec empressement.

EcolcPrifiiaireSupérieuredeJeusesFillesLi distribution des prix a en lien diman"Abe sous la présidoLCe de M. Jennequin,adj int. *Yoici les résoHats obtenns anx examensqui out eté prociamès au cours de eeiteiêaiiee :brevet éi ÊMf.A'T-rire (Session d'oc'obre 1916).»- Lucie Bouia.it. Raymonde Marieal, J -anne M ir-c! el, Berroain. Merveiile, Marie Mouster, AndréPierre, lléiénc Villeneuve.CERTIFICAT B'ÉITIIDES PUIM HUES SUPÉRIEV-ees. iSe.-siun doctonre-. — Jeanne Felix, GtaireLem- rmiei', ltaymonde Muis.Éi ÈVES BEC.U.' S AUX ÏXHICVS DES BOUR¬SES. i" cói it-.— Louise Cot het, AndiCe 1Lmon,Suz.nne Mouten — 2» Série — Madeleine Alépóe,Antoineile S-.broni, A'iastasie Lav cc.3' serie. — J-dicuoe Gloagucn, Maiia Gulllon,M-'.rcelle Hèricbé, Jeanne Lemieux, Suzanne Moeii-ring.diplome de si ÉivocRAPBiE. - Examen pre-tique éiémoioaiie de vuesse (78 mols a la uii-autr) : Murihe Couppey.Examen tbéorique. — Andrée GonfreviHe.Clui e Lemon nierExamen préparatoire. — Marguerite Lonssouarn,Dora Bouibon, Marie-Madeleine Li moigne, LucieCspredon. G nevicve Longue!, Lucit one Le ei-gneur, Marie-L -uise Gi ëlorp, Simonne tirimaud.Rost- Hsvard, Muguerbe Alepée, Mareelle Garcin.CEHTirsCAi D ÉrtDEs PRiMrinfcs (session dejuiliei I9-7). — Madeleine Ai-ain, Marguerite Ale-pee, Emilienoe Au er, Jeanne Bernaid, Genevievelbeuarj. Rsymondo B^rmect, Rachel Bouersv,Dor# Bouill e. Margin ri e Catherine. R*ymondeChevalier. M ideleioe Golonibel. M.uthe Couppiy,Lucienne ü nel, Emiiienne Ociorme, Germainebéprit, M dek ine DeviLers, Laure Didit-r, RenéeBidier, Louise üuchateau Yvonne Dupré, LucienneFen z, Msdi 1-ioe Gallet. Mareelle Gaieie, FranceGendiop Marie-Louite Goëdorp S monut Guesdon.Maiii-Lou se Gnerin, Ai drée Gonfreville, HeléneG liEdguiliot Yronne Hanieury. Madeleine iiu-goci, Henrieile Huot Soudain. Lucienne I.anon.Marguerite Laioque. Marit-'fherése Langlois,lbar.cbe Langlois, Gabrielle Laurent, MadeleineLee ie. An-iree i eci q Céline Lebgstard, Rry-rnoudo Ltcourl is, Marie Lcgrin, Marie-MadeleineLertio giu', i,l..ire Lemomicr. Marie Lrpoiievin,Gent vieve Lelaüenr Gen- vieve Lengnel. Lucen-ne Lucas, Margin- il-- Lom-soumn Jeanne Morvan,luyoionde Marieal. Jeanne Morzeile, Renée Moiié,lit nriette P.iys-nt, Madekiue I'acaud, JeannePernio. Ro e P i-lain, Rrrengèi' Ropeit, Geor-K' Ite Ribei, S monr.c ce Saint Denis, MedeieineTouriilon, Kol ,nde Vi'-tte.EXAMEN li' i XTR'ÊE A LÉ/OEE NORMALE. —Amnio 19 t'i : Loui e B rlrand, n° 2; SimonneGutrard, n» : ; Midelrine G-andginiloi, Georgetteboivin, Lticii- G-fuiiiebaiilt Louise Lebrix GilberteLerebourg, I oui.<e Monlargiion, Mario Sévre.Sur 1:0 aspimnles e: 36 reques.Aneéc 1S17 : Marie Lemani eh, e» 6 ; EmilirnneB-r/dol. e* 9 ; Lucienne Lucas, Madeleine D vil¬ler--, Marguerite Lons oua-n, Marine Lep card.Blanche Langlois, Marguerite Hii-auk, SuzanneMorel : ir* suppb mefilaire : Marie Tbérése Lan¬glois. 8* supplementaire : Suzanne Patie.Sur 98 aspuasles, 36 de recues.f:REVET Él ÉMENTAI-E, — JUili *t 1917 —5" si r e : Margin rim A épée, Emiiienoo Bcrgdol,Rai-boëi Boui ssy, Marltis- Couppey, Louise O-u-bè-teau, Vvoano Dupre, Madeleine Devillrrs, Lucien-ne Fériz, Simonne Guesdon, Marie-Louise Guérin,Ma gueritc Hinaull, lb nrielie Huot Soudain, Mai ie-Thérésa Lai g ois, B.anche Langlois, Céiine ! e-bastard; Mai -be Lepicard, Marie-Madeleine Limoi-gae, Maigu» rile Loussousrn, Marie Le Mar,ach,Lucienne Lucas, Suzanne Patio, llenrielie ra s :nt,Suz nne More»i- serie : Blanche Barbs ray, Jeanne Bernard,Dura Bouillon, Marguerite Caih" r ne, Marc.-iloGormo.it, i.uciem e Danet, Renée D dier, RenéeBuinesni1, Mad leu-e Gill-it, Marie-L uise Goëlorp,Yvonuè ilametuy, Marie Heutté, Madeleine Hugo-Bi, Marguerite Laix-que, Madeleine Leclere, AndréeIrcoq, Genevieve Letnileur, Marie Ligiin, ClaireLemorinier, Fernando Mius, Jeanne Morvan, Jcan-De Pernio, Elisabeth Ravé. Bérengère Roperst.Le cours ue vacances c -mmeccera le vendredi17 aofl), a 9 heuresdu matin.La reuirée des classes est fixés au mardi 8 oe-tobre, a 7 h. 4S.l'r. fe&ioi ut dss Ee.oles nurmales et des Ecolesprimaires supérieures. — Uoe aocienne élève del'Ecole primaire supérieure du Havr«-, Mile Ga¬brielle Vasse, vieni de subir avec suceès l'exa-mea du professorat des Ecoles normaies et desEcolea priaiiiies supérieures Eile a étè reeue 27'sur 54 et s9i préseoiées.Nota. — Nous publierons dans le journalle Havre les noms des éièves ayant obtcnnje blusgraad nombrcdeBotuiaakoai.

JExj54i»«ïii«n tóe l'Jtot* C5i,«EStlfBSRtre» ÏSf-Ig®S

L'Exf orilioD de photographies militaire s, orga¬n-see, di-ns les Salons da l'Böiel de Vilie, au pro-lil des oeuvres franco-belgi s patronnées par laMairie uu Havre, eat ouvt-rle tous les jours aupublic.

Arrliient BSeirfteï

Un homme i/ oyé sous un tramwayHier soir. vers buit heures du soir. un employéde tiamway Dornmé Pierre Róguer. figé de 3t ans.dimr-urnnl su Hi-vre. 37. lue d'Iéna, deacendaitd'une bil deuse eu marche sur le quai de Marne,lorsquM lomba si nia-b- ureusemeul sur la voie,que les roues du vébicule lui passéren t sur lecorps.La mort fut inslaniauét?, Le corps du défimt dut,être transporie a la morgue, pendant que M.Laroze, commisssiro de police ouv rait une en¬quête.

G. CAILLARO, CEISBRGISH-SI8T1STB,17, mi) Estö TMili

FAITSJLOCAUXOn a pr.-èté place de rilöiel-de-ViUe, dans unt niiiway dt-s Crands-Bas ins. René PAroi, né auHavre le 10 L-v i -r 1893. chaudronnicr, demenrantchez sès pJicnls 12, lue Saint-Jacques, coupabiede dêsrrtion.Soldat nu 9* régiment de génie, Péro», qui élaitvenu avec une permission do sr-pt jours, o'avaitpas rejoint sou corp-, depi.is ie tBjuin dernierli acté mis a la disposition de l'autoritó mili¬taire.— Un Maroerin, Boucl aid ben Miloud. f i sns,journiiier, ! 4. rue du Grand-Croissant, a étó arrêieuimaiic.be prés du pont n° 4. pour vol de 8 kilosde sucie. En libetlé provi-.oire après procès-v. rbal.-» Le service de Ia Süreté a arrê'é Maria Marie.13 i-ns. habitant, 52. rue de Phal-bourg, pour volde trois corsages, d'une conabinaison a'uae va¬leer de 71 fr. 93, et d'une somme de 55 francs enbillets de b .nque, au préjudice de Mile AngcieL'-roy, 44 ans, denseuraU .-gelement, 52, rue UePhalsbourg. chez la grand'oiére de la coupabieAu parquet.— Eigéné Bel'n, maiclot r-n sursis d'sppei, abord "U navire Pomerol. au ilavre. élan! ivre etfurieux que.Mmo Lej-m, débiinnie 63 qusid'Orléans,rifus -it de lui servir a b ire, bi :sa line table demarbre 11a elé mis a la dlsposi.ioo de l'autorilémaritime.M. Maurice Ligot, 37 ans.marin. 4, rueSaint-

V nrent di -Paul avail déposè. dim»ncbe soir, sabicyciette dans Ia cour du debit Lt-monnier, f.ruaRonerl-Surcouf.Ui'-n qn'aysnt pris la precaution d'enchainer samach ne. quand bigot iev.-nt pour la prendre eileava-t d-spaiu.II n porie piainto au commisssire de police deia permanence.— Out étè ad i is en traitement, a l'llospiceGénéral :Ju-es Loroux. 49a*s jouroslier, li, rue Thiers,» Saovic, qui u eu la main droite ecrasée entredeux cobs en travsillant sur le quai des Traus-atlantiques.Mil» J anne Aubourg 22 ans, habitant rue d»sTréfileries, a GraviitY Ayant term ue sou travaiia l'usiu- Bandy, se dkposaita monter nans i'au-tnmob'.te de Purine, por dit Péquiiibre ei tomba.Eile fut reltvéo avec une eiHorse et le moiletdroit fr- ciurö.

OBSÉQUES DE RflSLSTAiRELe- oi>- e jut-s -in old : HippOlyte AmiableVarcotte. clu 129« ri'irriartierie, domicilie uuH vie, - ue üe FAtibaye (Cöte brnlée) aure-ntlieu le 31 juillet, a 13 heores 1/2. ai'IiotpiceGenêrai, rue Gustave-Fiauben, 33 bis.

AU RÉDACTEURIilHcendle üe< !a rne ö«* Pha^bonruJe viens, Mon»ieur Ie rédoctiur en chef, dé-mentir que mon enfsnt était un turbulent, a q/squ'ii ét»H au contraire bi. n caime. It n'y avaitni tsrupe r.i ailumittes, par conséquent il u'a pumettre Ie feu lui-n ême.Aussitöt t'sia-me donnée, les témoins qui o tvoulu se per-er a sob si cours ne Pont pu faire,psree q e c'etaienl dvs caisses so tros vart sousPt scalier qui Ctrient en feu, alors queies lenturesqui étaieijt er. hsut de l'escalier ne faisaient quecommeneer a l^uier.J demande ü ce qu'on ouvre une enquêie sê»rieuse pour etabur exaclconnl les causes.

vv' vr rivE,Rue de Fh3isbourg, 76, Ilavre.

TRI BUNA UXTribunalCorrectienneldn HavraAv.di'UCe du 30 liet 1917

rrêsidence cl M. Tassard vice-président

RRIKE NOH CGNFOfilBE

M. Gaillard, boulanger a Roueiles, avait, Ie 12juin. etc clincher de 1. farine au mouiin de M.Henri Lccourlois, 58 ans, rrn unier dans la mé mecommune. Le lendemaio.un officier d'ordonnancese présenta a la boul -ngcrie; Gaillard et fit unprélèvemcnt de quatre éihaniillons sur les sacs.La l'arine fut anaivsée et reroncuc non conformeaux prescriptions, do la loi du 8 avril 1917 qui veutque Is farine soit b ulé ii 85 »/0~'M. Lecouriois rcconnrii a Puudience que ia fs-rlne n'ótait pas conforme, ma-is il pittend que M.Gakt: rd • s'est servi lui-méme au mouiin et qu'ii ya eu erreur.M. Lee -urtois est condamné a cinquante francsd'.-mende.

IÜTRES RÉLITSLe 1" juin dernier, M Forterre. marcl)8rd defoïeiices et de polerie, boulevard d» 'Strasbourg,avi.it nmis a son emp oyê-livreur, Gu-.tavoLsiibé, 52 ar s, demeurant quai Kolro-Dsme unesomme de vingt francs pour rendre la inonnaleau cours de si-s livrsisons el psree qu'il a«ait desfac. ures a livrer. N'-n seulcmi nt Labbé ne repsrutpas au magasin, ma-s il abaudoflua Ia voilure deson patron.Ayant a répondro d'nbus üe coniisrce, car ilavait aussi touché deux fact ure.- s'é evant è29 francs, il racome qu'il ava.t placé soa vestonsur la voilure ei qu'on le lui vo a avtc i'aigentpendac-t qu'il livruit une commando.L<; Tribunal n'admet pas ce;!e ■xcuse ot la con-djiune a deux mois de prison. D- fenseur : li*Jean de Grandma. son.— Une perquisition faite dans la roulolie qu'hi-bitent rue de-' F -ssé-, J- hu Decring, 57 ans, ctllenrie ie E- keiticmer, 12 ans, tdiissitrs, ainenaia dr-couvei te do bi-Su s oe ssumons, de oorned-beef, de thé. puis nes bair.-s de savon. Lo toutfut reconnu p oveoant de 1'arm- e anglaiso.Les deux eoupsbtes reconnsissent avoir achetéce; marchanrf'rscs a d s soldats angttiis, ce quiest défendu. Ii's sont cond-imnés a irenle fra.--csd'ainende cbacun. Défenseur M*Jean de Grandmvi-son.— Peur couds et blessures a un niarin éirangernonimé Fox. le Marocain AU Sloussaoui, ï9 «us,journaber, rue du G -Bóral-Fanihm be, 59, est cou-damné a un mois ei prison par défaut.— Pour vol de cinq kilos de sucre, MiloudiMohsmed, 22 aas. journalir-r dim urant rue Che¬valier est condamué par défaut a buit jours depiiïOD,— Ma-sond Haïm. 33 sus. journslirr. sans domi¬cile fixe qui fui a ssi trouve ies poch-s pleinesdu sucre er, poudre, est condamnó a buit joursde prison par déi'aui,

GHRB91QDERE8I0I4LEGravilie-Salnte H.onorine

Allocations aux Réfugiés. — Le paicment desal b. canons aux iclugies. sera pr.yé par le Rece-vcuv Municipal, le vendredi 3 aoüt, ne iüheures amidi, et de 2 houres a 4 beu res, Mairie de Gra-ville, f alie des Sociélés. dans l'ordre suivant : duBumero 1 a 250, ie malin ; du numéio 250 a ia fin,ie -oir.Les réfugiés sont insiamment priés de venirIedil jour avecl'appoint nécessaire pour faciiiterle pai>-ment.La Recetie Municipale sera fermée ce jour.

HarfleuPCharbons. — Le ma ire d'Harfleur a !e regret d'in-foru.ei .-es concih-yens que par suite d'un cas deto- ce majeure, le bateau qui devait trausporterces jourf-ci »u Havre les i.uüO ionnes decbarbondestinées au ravitaillement de Paggloméraiionhurlleuraise ne pourra 'ie fsire, et que dans cesconditions, un retard te produiia dans la fourni-ture de combustible jtuqu'a la miséau point deEouveilfcS dispositions.

ÊTATCIVIL DD HAVEI

THEATRESi GOBGERTSFolies *•Bergère

Ou vloot a x Folies p ree qu on s -it qu'on'y amuse. Veinnrd de Bridache, avec Stora,c'cridu deiire.Piusqui trots représeuiuiions.■=>Thé&lre-Cirque OmniaCl-iicnêj|>*«È 4 &»M1èI v?*- n-jiê

Aujonrd'hcii mardi, soirée a 8 h. l/l.Di-but du beau piogratmoe 'Ornprenaot:pour la .première Lus au Havre, KMJKKTRKSSE, d'après lo roman oe M. J lesiMory, lui- , prété par M Lot i- Dei u >ay, dela CoiDédie F a; grise. ïl.% VES3I4A.4.ÊI (iroi-sième episi: e) : L Ince»du du Mjgic- PaU ce ;Buxton, cvmle ue De by. AüLleltrr8- Pleinair ; Le Prmce Piouff, seèoe coiriique j ,i,éepar Rivers ; Ah ! Q><u sate Gosse (des ins ani-ui»s. Dernièm Aciuatites de m guare et duPat-hé- Journal. Location ouvvrte comnidd'Uaage.

— -On-

Selecl-PaiaceAujonrd'hiii re'a lie, cternaia soirêe ü8 h . i/2 : ï>»jïisstó ï«>>»."i tï.'iïJstStrirw refïess-

; Les ,;e>mè< .< xclual tés d■ la Gun re,e-.r. ; Ai au io' : Rbiiuie Le Hoi au La* soet de la BiCyChlte, di.ns ses jevx améïicams.■"■1 <0>--■■■'■■»->-■.iiiiwi

0411M0NTJuauitalav<exicalneBf%r*aPfi«l 8* I r;,.,nrl Anntvia

«UX flflA NSGrand drame d'avenluresDU SiNgé, drame

IiE §0§IEGra: d drame poli«ïer euipai'liesune AÏ^EUTEa l'HOTE LATM51SJ4.i'uo£d.-Larue

nawr.gigrjii.7iidi:i'immis«nagiwi PATHÉ et HAftRY JOURNALAujuurd'hui, ftolrêo

ÜLIIFÜ(Communications§ivszsssVent.» uiuiiieipalc re Ei u<re. — II seraVt-udu a la criée (Poissonneric. rue des Viviersi,aujourd'hui mardi. a tl h, ures du malin, 10 cau-seiies de bi urre txlra d'éertmeuse, en prove¬nance de Breti-gce.

Tire a la mer. — Des lirs d'excercice anrontlieu aux batteries da ia Hóve et de D illemsrd dansla m-riiüoe, 1 jeudi ï e1 le vendu di 3 aoüt.Si i'état du temps empéch.rii l'exécution des lirsaux dates indiquees, ils seraient retnis aux jourssuivants.

bulletindesSportsPréparalieu militaire

Tous les éléves inscrits et non icscrits sontconvoqués mardi, a 14 heure.*, terrain du HAG,mede ia Cav6e-Vtr!e, n* SO. Présence indisp,*n-safcle.Jeudi : marche excursion. Rsssemblement 8 hterrain du UAC.Vmdredi : Ecoie de ia rue Moulesauieu, 14 b. .terrain du HAC.Natatioa : lous les jouri.

NA!SCAMCESDu 30 juillst. — Suz-nno VAN GHENT, coursde la République, 156 ; Merie et Louise MAHÉljumelles), a Gravilie, rue du Hoc ; Marcel BLON-l-EL. a Gravilie, rue de la Valine, 34; AiiyreFu NQOISE, me Louis-Pliilippa, 23 ; Joset-h PA-QUET, r e M» f -Tbérése, 5 ; Fernand* DEMEU-LlN.rne du Boe -ge, a Biéville ; Maurice IIEJI ENT,rue ïhieulent, iö.

DECÉSDn 30 juiVeJ. — Germ-firm 1ER0YEP., I ar, rue?u ffr--:i , 16 ; René VATINE, 8 ans. ruc de Phais-bourg, 76 ; E'igóae DEsfRËS.53 ans. cbsudroc-nier, rue Thiébaut, 17 ; Alb-, rtine MARTEL i'pou-eCO LEVILLE, ,'8 ans. couturiére, rue des Viviers.6 ; Josep.i WALTER, 6-i ans, ohandronnier, rueEnille-Ren -uf, 44 ; Gabrteil • P0NT1F, 1 an, rueDumont-d'ürville, 17 ; Jean DELAllAYE, 71 ans,s-ns profession, Ilospice Gi. óral ; Arsfiae Mli>RIOT 49 ans. sans profession, ilospice Général.Be irund FLOGH 70 ans, journslier, quai Vide-coq. 7 ; Philbert DELAUNE si ans. marin. rue deNeustrie, 3 ; Guslave TRÉMAUVILLE. 61 nr.s,charretier, ruc Amiral-C-Turbet. 24 ; Camille VIN¬CENT. 1 an. ruc Frédéric Sauvage, 26 ; Hy.icintheLAGa DEC 8 mois, ru-- Dauphine, 17 ; Pierre CLÉ-ROT, 73 ans chaudronnier, ru Begouen, imnasseFoutiine ; Gusiav ' LE VASSE UR, 31 ans. jouraa*lier, rue Lesueur, 20.

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Vous ótos prié de bien vouloir assister auxconvoi, service et inhumation de

Monsieur Gustave TRÉMAUV!LLEdécédé le 78 juillet 1917, duns sa 61* annép,et au service reiigieuxcélébre a la mémoiredo

Monsieur Maurice RÉMAUVIlLEMaréch <1des logis au Si' d' ut lil- er u tuurdeBèioré de lx (jr.- x de guerre -vcc paima

et étoi'-eEmployé d - la Maaon Georges Valentinau i-oinbat du M mastir, lö 19 mars i 917, aI age de 23 ans.Qui aurout lieu le mercredi 1«» aoüt, a septhe-ires trois quarts au matiu. eul'égiise Sairit-Nicoias, sa paroisseOn se réunira au domicile moiluaire, 24.ruo Aaiiral-Cournet.

'tutMeiïsurin-«tasn ssaiet.De Is pa-t de :

Nt.et IY-' SustaoeTRÉMAUVILLE;M. ei M ' E. CLOUET,nés TREiyAUV/LLE,etleurs Enfants;M. et M- RenéTRÉMAUVILLEet leurs Enfants;M. etM- EclouardREENIER,nèeTRÉMAUVILLE,et leur Enfant ;M. et M" Oscar TRÉMAUVILLE;M. et M-' SeoerinLEMESLEet leurs Enfants;M. GeorgesVALtNTtN;Du Personnel de la Matsen 0. Valentin ;De la Familie et des Amis.II ne sera pae envoyó de lettres d'in-vitation, le present avis en tenant lieu.

Veuoe DUBDURG et ses Enfants st laFamilie, romercieatles pei somies qui ont bienvoutu assister aux corivoi, service et inhu¬mation de

Monsieur Henri-Marie DUBOURGtöiSiZ)

Le silence des OrganesAinsi prui-0.1 dr-fioir i'état de santé 11 est in-discu abie que la machine humair.o est la p'uscomp iquée qui s.-it. E':e fournit ua Irayail d'unecompicxité ct d'une diversitê inimagihabk s etcepeniiant tout se passe en silence et sans qu'ous'en apere rive. Unt que nous sommes bien por-tants. bien enb-ndu. S -rvlenl-il le moindre dérè-gl, ment. iamédiatenu ut uu de nos organes dé-s<mpa'és crie sa délressé et ei mme tous dosorganes font piiss ou moics solidaires, q'n-indl'un vient a gripper, tous les autres nc taidentpts a grincer On peut dor e dire qu'on a surtoutlesentiment de ia vie du jour oü i'on vil mal.Ccci éiant établi, il roste a examiner pourquoiles ore «nes ne Ifavailient pius en silence et, s.a-chant le pourquoi, de Irouver Ie moyen üc réls-blir ee sit? nee.A la brse da tout le travail de l'orgaaisma,nous Irouvons toujours le sang. Est-i! pur. est-ilabondant, est-il ricbe. lous les organes Iravail-lert en silence. Le sang est-il viciê, peu abon¬dant el pauvre, immédiatement e'est de la partde tous les oigsnes, dotit ie sang doit assurer lanourriture ct t'entretien, un coccert de recrimi¬nations sous forme do migraines, névraigics.palpitaiioi s, oppre-sion, douleurs, mrtivaisesdigestions, sans purler des manifestations exté-rieures, pa!- ur, tnauvais b iet.Eh bien, les Pilules Pink ont élé prêparées jus-tement pour obtenir le silence des organes etelles roblieanent toujours. Elles ont ure puissanle sctk-n our ie str,g et ii- sysièiue nerveuxElles purifiept. e! errichif sent le'serg ct tous lesorganes se irouvant bien nourrls, bien traités, solaissent vivre et no réclament pius rién. Unepreuve indéniabie de 1'- fficacilé des Pilules PinkcVst leur grand succès : ies Poules I ink t.'auraienl f-as ii bien réussi, si elles n'avaieni pasteut guéri.On trouve ies Pilules Pink dans fou'es iespharmacies et au dénö'. Phmmacie Gsblin,23, rneBallu, Paris : 3 fr. 3d ia b- Pc, 17 fr. 50. les sixboiies, franco, pius 0 fr. 40 de limbre-iaxe parboite.

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Le Lundi <>Aoüt Jï»!7. s quatoiz, i heures etdemi»-, mix Ecuries de la Sociëté dss Cliantiers etScieries Ch. Humbert, houleoard Sadi-Carnot w 9,a Oruoitle, par 1-> inijiisiére de M*Guiilemeite,commissaire-priseur au Ilavre,

A' gent comptantRrqiiêle de M. l'admloistrateur délégué de laSociete Charles Humbert.

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iV!SDIVERSVISA DES ANNONCESTOUT ES les PETITES ANNONCESdoivent porter le visa d'un commissairedo police pour les villes, ou du maire,pour les communes.

Psr acte sous seir-g privé en dale du 28 juia2917. SI. Ainédée FnNTADE, débiianl. rueThiers, S4, au ilavie, a v» nd-i s m s aequéreursqui y sent désignés son Fonds de Café-DébitEltclioa ie domicile au touds vendu.

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FOKT.111\KflOIBMBpöi nquiocs *»LA.c;Jt£ dansuiême partie Li„re de suite.— S adresser au bure»u du journal. i54v8zj

rspiip? SI. I'ierre LE GEILLOV, navigaleurULllLd e, öebitant, demeurant au Havre, U, rucau Grand-Cioissant, prévient lo public qu'il nepaiera aucune des dettes qui pourraient être eou-traciées par sa femme née Elisa LE GLILMHV'.

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L'Administrateur-DéUtué-Gérant: O. RANDOLKT.««e-»"

Vu par Nous, Matrc de ia Ville du Havre. p*xrla legalisation de la stgmtwe O. HAM DG LP. ï,tstosee