•II. Mobilité des hommes et mise en valeur des territoires.

• a. La migration des hommes et des eaux entre les trois territoires.

• b. Les “bédouinisations médiévale” et le nomadisme.

• c. Urbanisation et maîtrise de l’eau : barrages et nouvelles mobilités.

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•III. Des paysages qui structurent la culture et les sociétés iraniennes.

• a. Le yeylâq (sardsir) : refuges, vallées et pâturages.

• b. Le qeshlâq (garmsir) : désert et rareté.

• c. Le piémont (kuh pâyeh) : abadi : villes et villages.

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•III. Des paysages qui structurent la culture et les sociétés iraniennes.

• a. Le yeylâq (sardsir) : refuges, vallées et pâturages.

• b. Le qeshlâq (garmsir) : désert et rareté.

• c. Le piémont (kuh pâyeh) : abadi : villes et villages.

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•III. Des paysages qui structurent la culture et les sociétés iraniennes.

• a. Le yeylâq (sardsir) : refuges, vallées et pâturages.

• b. Le qeshlâq (garmsir) : désert et rareté.

• c. Le piémont (kuh pâyeh) : abadi : villes et villages.

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•Conclusion.

•Aujourd’hui, les grandes villes du piémont considèrent les montagnes comme un espace de loisir et le désert comme une marge sans contraintes (déchets, eaux usées, pollution).

•Les trois territoires n’ont pas encore trouvé leur nouvelle complémentarité.

Prochain cours :

5.

L’État iranien et 70 millions d’habitants. Un pays centralisé et vieillissant ?.