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Nous sommes totalement surpris de l'immobilisme de la justice Française concernant l'Affaire Hacène Rabah Bouguerra et Madame Françoise Martres magistrate à la cour d’appel et présidente du syndicat de la magistrature...

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France - Affaire Hacène Rabah Bouguerra, justice et connivence politique

"Agence presse, 17/05/2013 : Nous sommes totalement surpris de l'immobilisme de la justice Française concernant l'Affaire Hacène Rabah Bouguerra et Madame Françoise Martres magistrate à la cour d’appel et présidente du syndicat de la magistrature..."

Madame Françoise Martres Bafoue la justice?

Madame Martres, magistrate à la cour d’appel et présidente du syndicat de la magistrature n’a aucun respect pour le droit et la justice de la république. Elle donne le sentiment qu’elle est au-dessus des lois. Comment a-t-elle pu me classer, moi le directeur de l’organisme de formation ADC, à un niveau inférieur à celui de mon collaborateur ? Rien, absolument rien, ne lui permet de prendre une telle décision : une violation flagrante de la convention collective qui a force de loi. En dernière analyse, sa décision est discriminatoire et foncièrement raciste. Les preuves sont incontestables. Elle l’a fait en ayant le sentiment de n’avoir à rendre de compte à personne, même pas à sa conscience. L’histoire nous éclaire sur ce sentiment de toute-puissance qu’on retrouve seulement chez les dictateurs.

L'état Français complice de Françoise Martres?

Le syndicat de la magistrature dont Madame Martres est la présidente, est positionné à gauche. Cet ancrage n’est un secret pour personne. Mme Françoise Martres s’en réclame publiquement. S’attaquer à Madame Martres même quand elle commet des fautes aussi graves, ne laisserait pas son organisation syndicale dans l’indifférence. C’est pourquoi la responsabilité du gouvernement ne fait aucun doute. Toutes les institutions de la république observent un silence complice.

A qui profite le crime ?

Mon affaire a démarré par un véritable complot raciste qui avait pour objectif de me déposséder de mon outil de travail. Je le répète ; j’ai créé, financé et développé l’organisme de formation ADC. Ma spoliation a été initiée par Mme Martignac Monique, une militante locale de l’UMP et soutenue par un militant socialiste, M. Couchouron Yves. Voilà pourquoi le PS, de la base au sommet, observe un curieux silence. Comble de l’ironie, Mme Martres qui se dit de gauche a, en fait, permis à cette association UMP-PS, d’accomplir son forfait.

Mais le grand bénéficiaire de ce crime est le président de l’association ADC (Association pour le développement des compétences), M. Exiga Jean-Claude qui en moins de 3 ans, a saccagé les actions éducatives. Pouvait-il en être autrement ? Il n’a même pas le bac ! Et pire encore a conduit l’organisme à la cessation de paiement tout en déclarant l’inexistence de la somme de 200 000 € sur les différents comptes à la veille de ma spoliation. Une plainte a été déposée et rappelée, pour abus de bien sociaux mais Monsieur le procureur de la république ne semble pas vouloir engager les poursuites légales. Je rappelle que ce président de l’association, comme ses trois complices étaient

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dans l’illégalité absolue. Que lui, comme les services de l’état ou de la justice apportent ici un démenti en fournissant, ne serait-ce qu’une seule preuve.

Pourquoi ce silence laconique des institutions?

Les services de l’état, comme ceux de la justice se sont rangés aux côtés des hors-la-loi pour des raisons totalement incompréhensibles et en tout état de cause contraires au droit. Ils ont accordé au président, en situation d’illégalité, d’une modeste association des pouvoirs que le président de la république n’a pas. Ces mêmes services doivent s’expliquer. La faute la plus grave est celle de cette magistrate dont l’action fait de la justice de la république une justice raciste.

Toutes les institutions : Le défenseur des droits, le ministre de l’intérieur, la ministre de la justice, le premier ministre, le président de la république, observent un silence troublant. Quant au conseil supérieur de la magistrature qui ne conteste nullement le caractère fautif de la décision de Mme Françoise Martres me reproche de ne pas l’avoir citée nommément. Ce qui est absolument faux. La voix de la république doit s’exprimer.

Est-ce une affaire politique?

Au départ, c’était une banale affaire de droit commun, à laquelle étaient indirectement mêlés le PS et l’UMP. Aujourd’hui les responsables de ces 2 partis sont d’accord pour la spoliation d’un citoyen au seul motif que celui-ci est issu de la diversité. Le silence du président de la république est inquiétant, lui qui nous promis une justice exemplaire.

Contact Médias

• Hacène Rabah Bouguerra, Figeac, France• Courriel : h.r.bouguerra (arobase) gmail.com• Tél. : 05 65 34 71 92 ou 06 79 65 23 22

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