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Nouveaux produits Baromètre GfK Événement Interview Dossier Enquête 48 / Le Papetier de France – Juin-juillet 2014 Un marché spécifique qui se porte bien. L e marché de l’agenda a une temporalité bien à lui, ses périodes d’achats sont particulière- ment courtes. Muriel Vernois, Chef de produit des agendas année civile, chez Exacompta-Clairefontaine met en avant les particularités de ce produit, en dressant le bilan du mar- ché : « Le marché de l’agenda se répartit sur deux périodes de vente : la rentrée des classes, de mai à septembre, et l’année civile de septembre à janvier. Les ventes des agendas de la rentrée des classes sont en hausse chaque année, en raison du succès des nouveautés et des produits de licences. Globalement, le chiffre d’affaires est stable mais les volumes des catégories évoluent ». Le constat est identique pour Fré- déric Cical, Directeur commercial de Quo Vadis, qui note les risques de ces particularités, et précise un peu plus cette évolution constatée par les professionnels : « L’une des par- ticularités de ce marché est que l’agenda est un produit très saisonnier. Les ventes se font sur des périodes extrêmement marquées. La création se fait très en avance, avec certains risques commerciaux et industriels. Mais malgré ces facteurs, le marché de l’agenda se porte correctement. Il est mature sur les produits adultes et en croissance sur le segment sco- laire. Nous remarquons que nous vendons moins de produits basiques et plus de produits à valeur ajoutée ». Cette évolution du marché n’est donc pas le symptôme d’un recul de l’agenda dans nos vies quotidiennes, les fabri- cants ont toujours de bons résultats et s’adaptent à cette évolution en proposant des produits différents, à plus forte valeur ajoutée, comme l’illustre Jean-Louis Bardon, Respon- sable des grands comptes chez Paperblanks : « Nous avons commencé à nous positionner sur le marché des agendas en 2006. Nous avons une belle croissance chaque année, et nous touchons une population très large. Nous sommes sur un marché de niche qui est croissant. Ce qui est remar- quable, c’est que les consommateurs se tournent de plus en plus vers l’agenda fantaisie ». « Les consommateurs se tournent de plus en plus vers l’agenda fantaisie. » JEAN-LOUIS BARDON, Responsable des grands comptes chez Paperblanks Les professionnels s’accordent donc sur le mouvement qu’opèrent les consommateurs dans le choix de leur agenda, et c’est donc naturellement que les entreprises font évo- luer leurs offres, en utilisant leur analyse du marché et des besoins des utilisateurs. Cela ne les empêchent pas toute- fois, de chercher à comprendre encore mieux leur mar- ché, grâce, parfois, à l’expertise de sociétés spécialisées, pour avoir une meilleure vision d’ensemble, comme l’ex- plique Pascal Pouffier, Directeur commercial de Brepols : Les agendas plus que jamais à la page Dans la liste des outils de travail et d’organisation indis- pensables, l’agenda est toujours une priorité. Son rôle central et son utilité jamais remise en question, en font un objet incontournable à la gestion des rendez-vous, échéances et autres tâches quotidiennes. Même si ce marché très particulier de la papeterie n’est pas en dan- ger, pas même par l’expansion des outils numériques, les acteurs du secteur continuent de développer des produits esthétiques, qui s’adaptent de plus en plus aux goûts et aux usages des nombreux utilisateurs. Exacompta- Clairefontaine propose des produits d’excellente qualité, aux thèmes design et tendances.

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Page 1: Enquête Dossier Interview Événement Baromètre GfK … · Du coté de l’entreprise Cana-dienne Paperblanks, la confiance dans la qualité de leurs produits fournit une raison

Nouveaux produitsBaromètre GfKÉvénementInterviewDossierEnquête

48 / Le Papetier de France – Juin-juillet 2014

Un marché spécifique qui se porte bien.

Le marché de l’agenda a une temporalité bien à lui, ses périodes d’achats sont particulière-

ment courtes. Muriel Vernois, Chef de produit des agendas année civile, chez Exacompta-Clairefontaine met en avant les particularités de ce produit, en dressant le bilan du mar-ché : « Le marché de l’agenda se répartit sur deux périodes de vente : la rentrée des classes, de mai à septembre, et l’année civile de septembre à janvier. Les ventes des agendas de la rentrée des classes sont en hausse chaque année, en raison du succès des nouveautés et des produits de licences. Globalement, le chiffre d’affaires est stable mais les volumes des catégories évoluent ». Le constat est identique pour Fré-déric Cical, Directeur commercial de Quo Vadis, qui note les risques de ces particularités, et précise un peu plus cette évolution constatée par les professionnels : « L’une des par-ticularités de ce marché est que l’agenda est un produit très saisonnier. Les ventes se font sur des périodes extrêmement marquées. La création se fait très en avance, avec certains risques commerciaux et industriels. Mais malgré ces facteurs, le marché de l’agenda se porte correctement. Il est mature sur les produits adultes et en croissance sur le segment sco-laire. Nous remarquons que nous vendons moins de produits basiques et plus de produits à valeur ajoutée ».Cette évolution du marché n’est donc pas le symptôme d’un recul de l’agenda dans nos vies quotidiennes, les fabri-cants ont toujours de bons résultats et s’adaptent à cette évolution en proposant des produits différents, à plus forte valeur ajoutée, comme l’illustre Jean-Louis Bardon, Respon-sable des grands comptes chez Paperblanks : « Nous avons commencé à nous positionner sur le marché des agendas en 2006. Nous avons une belle croissance chaque année,

et nous touchons une population très large. Nous sommes sur un marché de niche qui est croissant. Ce qui est remar-quable, c’est que les consommateurs se tournent de plus en plus vers l’agenda fantaisie ».

« Les consommateurs se tournent de plus en plus vers l’agenda fantaisie. » Jean-Louis Bardon, Responsable des grands comptes chez Paperblanks

Les professionnels s’accordent donc sur le mouvement qu’opèrent les consommateurs dans le choix de leur agenda, et c’est donc naturellement que les entreprises font évo-luer leurs offres, en utilisant leur analyse du marché et des besoins des utilisateurs. Cela ne les empêchent pas toute-fois, de chercher à comprendre encore mieux leur mar-ché, grâce, parfois, à l’expertise de sociétés spécialisées, pour avoir une meilleure vision d’ensemble, comme l’ex-plique Pascal Pouffier, Directeur commercial de Brepols :

Les agendas plus que jamais à la pageDans la liste des outils de travail et d’organisation indis-pensables, l’agenda est toujours une priorité. Son rôle central et son utilité jamais remise en question, en font un objet incontournable à la gestion des rendez-vous, échéances et autres tâches quotidiennes. Même si ce marché très particulier de la papeterie n’est pas en dan-ger, pas même par l’expansion des outils numériques, les acteurs du secteur continuent de développer des produits esthétiques, qui s’adaptent de plus en plus aux goûts et aux usages des nombreux utilisateurs.

Exacompta-Clairefontaine propose des

produits d’excellente qualité, aux

thèmes design et tendances.

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Le Papetier de France – Juin-juillet 2014 / 49

« Nous avons commandé une étude sur le marché de l’agenda, et cela s’est avéré révélateur. La synthèse des résultats de cette étude consommateur est que 70 % des personnes de plus de dix-huit ans ont un agenda papier, et 68 % l’utilisent réguliè-rement. C’est un chiffre très élevé qui nous autorise à penser que l’avenir de l’agenda papier est assez prometteur ». Pas d’inquiétude donc sur l’avenir du marché qui ne montre pas de signe de déclin. L’une des raisons de cette bonne tenue, repose sur une des particularités du marché de l’agenda : l’utilisation massive de cet outil par les scolaires. De l’école primaire à l’université, l’agenda est une nécessité dans l’or-ganisation du travail scolaire et des études en général, alors qu’il ne l’est pas toujours à l’échelle professionnelle. Mais qu’en est-il de l’influence des outils numériques et de leurs fonctions planning ? Comment cela se répercute-t-il sur le marché de l’agenda ?

Les outils et supports numériques ne remplacent pas le papier.

L’une des satisfactions des professionnels du secteur de l’agenda est l’influence relativement faible de l’apparition et de la diffusion des outils numériques, qui offrent pourtant souvent des solutions pour se substituer à l’agenda papier. Pascal Pouffier résume cela très simplement : « L’arrivée des smartphones, il y a trois ou quatre ans a eu une influence relative sur notre marché ». Du coté de l’entreprise Cana-dienne Paperblanks, la confiance dans la qualité de leurs produits fournit une raison de plus de ne pas s’inquiéter outre mesure de ce phénomène comme l’explique Jean-Louis Bardon : « Le numérique ne change pas grand-chose, nous sommes en pleine observation de ses effets qui sont à rela-tiviser. Nous pensons que notre marché sera touché un jour ou l’autre, mais pour le moment nous avons une croissance chaque année. De plus, au-delà de l’aspect fonctionnel, les agendas Paperblanks sont un produit cadeau, ils s’offrent, se collectionnent. Notre audience très large recherche un produit beau et culturel, nous sommes dans l’univers de l’histoire de l’art. La nature de cette reconnaissance du public n’est pas transposable sur un support technologique ».

L’agenda papier n’est pas que la somme des informations qui y sont accumulées pour une meilleure gestion de son temps. Le rapport entre l’utilisateur et son agenda est particulier, pas de ceux qui peuvent être remplacés si facilement par

un outil aussi moderne soit-il, c’est l’avis de Frédéric Cical : « L’agenda est un outil de lien social, il représente ce que l’uti-lisateur fait de sa vie. Beaucoup de gens gardent un agenda papier car au delà de la stricte gestion des rendez vous, c’est un objet person nel, le prolongement du look et une sorte de journal intime, il y a un lien affectif. Le coté personnel est beaucoup plus fort que sur un smartphone. Le petit agenda papier reste complètement d’actualité ».

Le numérique influence tout de même le contenu des agendas.

Cependant même si la fonction agenda d’un smartphone ne rivalise finalement pas avec le rôle d’un agenda dans la vie de son utilisateur, l’explosion du numérique entraine tout de même des modifications sur les produits. Frédéric Cical

explique comment les agendas Quo Vadis exploitent la techno-logie : « Nous développons de plus en plus les QR codes (code barre en deux dimension lisible par un smartphone et renvoyant à un contenu numérique). Nos agendas sont remplis de pages d’informations mais on ne peut pas tout mettre, alors de nombreuses informations sont accessibles par ce biais.

Les thèmes des couvertures des agendas cousus Paperblanks viennent des bibliothèques et des musées. Près de 90 % des presque 80 modèles viennent de l’histoire de l’art. Le papier ivoire, doux à la lecture

colle parfaitement à cette identité.

Les salons professionnels

Des salons différentsLes salons autrement

LYON - 14 et 15 septembre 2014Eurexpo - Hall 6.1

RENNES - 12 et 13 octobre 2014Parc Expo - Hall 7

BIARRITZ - 1er et 2 février 2015Halle d’Iraty

RENNES - 22 et 23 février 2015Parc Expo - Hall 5

cadeaux, souvenirs, décoration,senteurs, bijouterie fantaisie,

cadeaux gourmands, fleuristerie

articles régionauxprêt-à-porter articles tabac/presse

Ouverture : le dimanche de 9h30 à 19h et le lundi de 9h30 à 18h

Organisation : SOMEXPOTél. : 04 92 09 18 69 - [email protected]

www.hexagone.frsalons hexagone

Visuel 100x135_Le Papetier_H14H15_SALONS HEXAGONE 16/05/2014 14:20 Page 1

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50 / Le Papetier de France – Juin-juillet 2014

Ce système permet de réactualiser et de compléter, et c’est cette véritable passerelle numérique qui permet d’alimenter nos agendas en informations ».

Ce lien créé entre l’agenda et les nouvelles technologies peut être très utile et contenir de nombreuses informations précieuses dans toutes sortes de situation, sans surcharger l’agenda. Cependant, certaines entreprises font bien plus que cela dans la connexion entre outils numériques et papier, et cherchent à tendre vers une passerelle plus directe, qui ferait fonc-tionner l’agenda papier et le smartphone ensemble.Sur ce point précis, la posi-tion de Pascal Pouffier et de son entreprise est très claire : « Chez Brepols, nous ne cherchons pas de corrélation directe entre

l’agenda papier et le numérique. Nous ne cherchons pas à travailler dans cette direction, nous restons focalisés sur notre métier, le travail de l’outil papier. Nous avons développé des produits périphériques, nous anticipons et nous adaptons nos produits, mais jamais nous n’avons travaillé sur un agenda qui a un lien direct avec un outil informatique ».

L’agenda ne change pas de nature, il se transforme pour répondre aux attentes des utilisateurs.

L’agenda papier n’est pour l’instant pas en danger face aux nouvelles technologies, et les professionnels prouvent qu’ils savent incorporer efficacement et intelligemment les tech-nologies pour compléter l’agenda sans le dénaturer. Cette résistance face au numérique n’est pas étrangère au renou-vellement de gamme, et a cette tendance à devenir de plus en plus un produit plaisir.Muriel Vernois d’Exacompta-Clairefontaine insiste sur la nécessité du glissement d’un outil qui était purement fonc-tionnel, à un outil qui apporte de la satisfaction à son uti-lisateur, en soulignant l’importance du travail sur le design et la beauté de l’objet : « Malgré les agendas électroniques, les utilisateurs d’agendas papier ne renoncent pas à cette habitude. D’achat utile, l’agenda est devenu un achat plai-sir. La couverture doit être attrayante : la tendance est à la couleur, au toucher des matières ». La couverture, première vitrine de l’agenda est d’une importance primordiale dans le choix de l’utilisateur, en ce sens, les entreprises de fabri-cation d’agendas mobilisent leur créativité pour proposer de nombreux choix esthétiques.

Les agendas Quo Vadis sont pratiques, élégants et robustes, ils s’adaptent au style de l’utilisateur grâce à leur large palette

de couleurs et de modèles.

Les agendas Exacompta-Clairefontaine offrent un très large choix de matières, de couleurs,

de modèles et de fonctionnalités : de quoi ravir tous les types d’utilisateurs.

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Le Papetier de France – Juin-juillet 2014 / 51

L’agenda devient un objet plaisir. Sa couverture et son apparence prennent de plus en plus d’importance.

L’agenda accompagne son utilisateur dans tous ses déplacements, il le sort plusieurs fois par jour, en public, et le manipule régulièrement. L’importance de la beauté de l’agenda est primor-diale, d’autant plus dans la création d’un lien affectif. Muriel Vernois décrit le phénomène de glissement vers une offre de plus en plus tendance : « Il y a quelques années les agendas se décli-naient exclusivement en cinq coloris “classiques”. Aujourd’hui, notre gamme de coloris propose selon les collections des teintes plus éclatantes et féminines ; des matières métallisées, des touchers doux, des associations de matières et de coloris, des fonctionnalités comme la fermeture élastique ou la poche zip-pée au dos ».L’apparence et le toucher de la couverture sont donc très importants, et ne doivent pas être sous-estimés. C’est ainsi que de nouvelles matières et de nouveaux coloris viennent compléter les offres, et alimenter et soutenir efficacement

la tendance que prend le marché. Frédé-ric Cical explique le positionnement de son entreprise :

« Le look extérieur est extrêmement important. Chez Quo Vadis, nous avons travaillé nos couleurs par rapport aux cahiers de tendance de la mode. Nous utilisons aussi la maroqui-nerie pour nous inspirer. De plus, dans un registre différent, nous avons de nombreuses licences. Notre licence numéro une est l’artiste Ben. Nous en avons d’autres très connues, entre autres la licence Stones, Chi ou encore Le Routard. Nous avons des licences, qui marchent aussi bien pour les scolaires que pour

les adultes ».

Quo Vadis dispose de nombreuses licences connues dans son offre d’agendas, à l’attention aussi bien

des scolaires que des adultes.

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Quo Vadis alimente donc de plus en plus ses gammes grâce aux tendances maroquinerie, et à des licences très diverses en plus du travail sur les coloris. Un travail important est fait sur la recherche de la beauté de l’agenda et sur la présen-tation de sa couverture.

Les fabricants travaillent toujours plus la beauté, sans jamais négliger la praticité.

Pour Pascal Pouffier, ce travail est nécessaire, mais il ne doit pas faire oublier l’aspect pratique de l’agenda pour ses très nombreux utilisateurs : « Il est important de faire de l’inno-vation même si l’agenda reste majoritai- rement un produit fonctionnel. Pour tirer ce marché vers le haut il faut proposer des nou-veautés, chez Brepols nous nous

servons de l’expertise des cabinets de ten-dance. Cette année, nous déclinons notre modèle “Palermo”, qui est l’un de nos best-sellers disposant d’une couverture d’excellente qualité, en turquoise, orange et violet, des cou-leurs très tendance ».

La visibilité aux marques qu’offre l’agenda est un atout qui n’est pas sous-estimé par les professionnels du secteur. Chez Paperblanks, la beauté des couvertures artistiques est dans les gènes de la marque. Sans faire l’impasse sur d’autres facteurs de diffusion, Jean-Louis Bardon explique comment l’agenda en lui-même est la première des vitrines de la beauté et des qualités de l’outil : « Le public est en demande d’originalité, il recherche quelque chose de fan-taisiste. Les couvertures de nos agendas sont traitées avec beaucoup de soins, elles sont très sophistiquées, il y a des dorures, des reliefs. L’utilisateur d’un agenda l’a toujours sur

lui, il le transporte chaque jour. Les gens sortent leur agenda et les personnes autours d’eux le voient et peuvent se dire qu’ils aimeraient avoir un bel objet de ce type. De plus nos agendas sont très présents dans les commerces car nous reprenons 100 % de nos invendus ».

Dans un contexte qui n’est pas défavorable, les fabricants d’agendas savent quels sont leurs atouts, et continuent de proposer des offres larges et complémentaires aux utili-sateurs. Loin de se reposer sur leurs consommateurs tra-ditionnels, les acteurs du secteur proposent des produits originaux, plaisants, et de bonne qualité ; avec comme certitude que l’agenda papier n’est pas près de se démo-der et de laisser sa place à un agenda numérique qui ne

remplit pas le même rôle, et n’a pas la même place dans le cœur des utilisateurs.

Le palermo de Brepols a des couleurs

très actuelles, qui collent à la mode.

Les modèles classiques « Palermo » et Treviso » de Brepols font partie

des best-sellers de la société.