Download - Ra 2013 ok bassedef
Rapport d’activité 2013
présentation 4
politique qualité 5 CA, adhérents et équipe 6-7 zonages 8 surveillance régionale permanente 9 polluants 10 seuils réglementaires 11 typologie des stations et lexique 12 programmes d’études 13
bilan général de la qualité de l’air 2013 par polluant 14-39 zoom études 40-47 air intérieur 48-49 odeurs 50 laboratoire de métrologie 51 bilan des indices 52-53 bilan des procédures 54 bilan des actions 55-57
Sommaire
Édito
Yves PiétrasantaPrésident
Depuis sa création en 1973, les missions d’AIR LR ont évolué au fil des attentes et des enjeux de la société : de la mise en place du suivi des appareils de mesure placés à proximité des industries et des grands axes routiers dans les années 1970-80, à l’utilisation croissante des outils de simulation et d’analyse depuis quelques années, AIR LR a toujours su s’adapter aux évolutions requises par ses différents partenaires, qu’ils soient services de l’État, collectivités, industriels ou associations. Cette année encore, AIR LR a su mettre son expertise au service de ses 130 adhérents.
Bien que l’année 2013 ait été caractérisée par une augmentation des épisodes de pollution due aux particules en suspension d’origine variée (transports, chauffage, épandages agricoles, sables sahariens…), le Languedoc-Roussillon continue à être relativement épargné par ce type de pollution par rapport à d’autres régions françaises.
Au-delà de ces « pics » de pollution qui retiennent l’attention des médias, AIR LR continue à travailler au quotidien pour améliorer la connaissance de la qualité de l’air, diffuser plus largement l’information auprès des citoyens, et favoriser une meilleure prise en compte des aspects « qualité de l’air » dans les prises de décisions, que ce soit dans le secteur public ou privé (élus, urbanistes, aménageurs, industriels…).
Dans une période charnière en termes de transition énergétique et de modifications des compétences de certaines collectivités, AIR LR s’emploie à apporter sa contribution dans les domaines « air / climat / énergie / santé ». Le projet Parten’air, initié en 2013, va permettre de sensibiliser davantage les collectivités sur ces différents aspects : le facteur « qualité de l’air » contribue à caractériser l’attractivité d’un territoire.
Je vous souhaite une bonne lecture de ce rapport annuel.
40 ANS
D’EXPERTISE
AIRAQ
ATMOMIDI-PYRÉNÉES
AIR NORMAND
AIRLORRAINE
ASPA
ATMOFRANCHE-COMTÉ
AIRPACA
AIRLANGUEDOC-ROUSSILLON
AIRPARIF
LIMAIR
LIG'AIR
AIRBREIZH
MADININAIR
GWAD'AIR
ATMO NORDPAS-DE-CALAIS
ATMO RÉUNION
ORA DE GUYANE
ATMOPOITOU
CHARENTES
QUALITAIRCORSE
ATMOAUVERGNE
ATMOCHAMPAGNE-
ARDENNE
ATMOPICARDIE
AIR C.O.M.
AIRPAYS DE LA LOIRE
Guadeloupe
Martinique
Réunion
ATMOSF'AIRBOURGOGNE
Nouvelle-Calédonie
SCAL’AIR
AIRRHÔNE-ALPES
35%
18%
11%
36%
Etat
Industriels
Collectivités
Autres
Qui sommes-nous ? En France, l’État a confié la surveillance de la qualité de l’air à des associations loi 1901, agréées par le Ministère en charge de l’Écologie. Le dispositif repose sur l’adhésion et la contribution volontaire des acteurs concernés, répartis en 4 collèges : Services de l’État, Collectivités locales et territoriales, Entreprises (industriels, transporteurs…), Associations et Personnalités.
Créé en 1973, AIR Languedoc-Roussillon est l’organisme agréé par l’État pour la mise en œuvre de la surveillance de la qualité de l’air et la diffusion de l’information sur les cinq départements de la région Languedoc-Roussillon. Cette mission d’intérêt général s’inscrit dans le cadre de la loi sur l’air et l’utilisation rationnelle de l’énergie du 30 décembre 1996, intégrée depuis au Code de l’environnement, qui fixe comme objectif « le droit à chacun de respirer un air qui ne nuise pas à sa santé » et fonde les conditions de la surveillance de la qualité de l’air et de l’information du public en France.
En 2013, le budget de fonctionnement d’AIR LR s’élevait à 1 846 748 €.
www.air-lr.org
www.atmo-france.org
Répartition du financement d'AIR LR en 2013
(budget de fonctionnement)
ATMO FranceAIR LR est membre de la fédération ATMO France, réseau national regroupant les associations françaises agréées pour la surveillance de la qualité de l’air sur tout le territoire. Elle assure leur représentation dans les instances nationales et européennes, organise la solidarité, coordonne, mutualise et valorise leur travail tout en participant aux débats stratégiques, nationaux et internationaux, pour l’amélioration de la qualité de l’air et de l’atmosphère.
4 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
(1) Représentants de l’Etat et de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, des collectivités territoriales, des représentants des diverses activités contribuant à l’émission des substances surveillées, des associations agréées de protection de l’environnement, des associations agréées de consommateurs et, le cas échéant, faisant partie du même collège que les associations, des personnalités qualifiées.
(2) Constitue une pollution atmosphérique l’introduction par l’homme, directement ou indirectement, dans l’atmosphère et les espaces clos, de substances ayant des conséquences préjudiciables de nature à mettre en danger la santé humaine, à nuire aux ressources biologiques et aux écosystèmes, à influer sur les changements climatiques, à détériorer les biens matériels, à provoquer des nuisances olfactives excessives.
Politique qualité Pour garantir à nos concitoyens une amélioration constante du service apporté dans le domaine de la mise en œuvre de la surveillance de la qualité de l’air et de l’information qui s’y rapporte, l’association a placé les trois composantes de son activité sous assurance qualité :
s’exprime essentiellement au sein du Conseil d’Administration et dans les Comités Locaux de Concertation créés et animés par AIR LR. La concertation permet aux représentants des quatre Collèges(1) de recenser leurs besoins de surveillance et d’information, et de convenir ensemble des moyens qu’ils se donnent pour les satisfaire. Elle assure une écoute permanente, au plus près des principaux intéressés et permet de répondre aux besoins des collectivités locales inscrits dans les thématiques du Programme de Surveillance de la Qualité de l’Air (PSQA). La concertation garantit l’indépendance de la structure et conduit au partage équitable du financement. Le taux de participation et de représentativité des quatre collèges aux différentes réunions traduit la qualité de la concertation.
LA CONCERTATION1
l’animation et l’évolution du système qualité sont confiées au Responsable Assurance Qualité, Corinne Cabero. Elle bénéficie pour cette tâche, non seulement d’un soutien sans réserve de la direction, mais aussi du professionnalisme de l’ensemble du personnel.
L’ensemble de cette politique qualité est mis en œuvre dans le cadre du Programme de Surveillance de la Qualité de l’Air (PSQA) d’AIR LR, adopté en décembre 2010. Le renouvellement de la certification en décembre 2012 et le respect des différents objectifs mis en place témoignent de la bonne organisation de l’association au service de tous.
Y. PIETRASANTA PrésidentA. FROMAGE-MARIETTE Directrice
L’ORGANISATION,
consiste à mettre en œuvre les techniques et protocoles imposés par les autorités, à défaut ceux reconnus par la profession ou validés par l’association. Elle vise à mesurer, estimer, comparer et prévoir les niveaux de pollution (2) en tout point du territoire. La qualité de la surveillance s’exprime par le juste dimensionnement des outils mis en œuvre pour satisfaire les besoins exprimés lors de la concertation, dans le respect des moyens accordés. Elle s’exprime également par la confiance qui peut être accordée aux informations produites et la fiabilité des équipements de mesure et des données.
LA SURVEILLANCE2
est égale pour tous et assure la transparence dans le fonctionnement de l’association et les résultats produits. L’information offre à chaque citoyen des éléments de connaissance nécessaires, notamment sur les effets sur la santé et l’environnement, pour conduire l’effort collectif d’amélioration et de préservation de la qualité de l’air de la région. La qualité de l’information repose sur sa disponibilité, sa fiabilité, sa facilité d’accès et de compréhension. Elle se traduit par un temps de mise en œuvre des procédures de recommandation et d’alerte inférieur à une heure, par l’extension progressive de la surveillance à tout le territoire régional et par le suivi permanent d’indicateurs de satisfaction.
L’INFORMATION3
5AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
AIR LRConseil d’administration et adhérents
1er COLLÈGE - ÉTAT
• Le Directeur Régional de l’ADEME
• Le Directeur de l’Agence Régionale de la Santé – ARS
• Le Directeur Régional de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt - DRAAF
• Le Directeur Régional de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement – DREAL
• Le Secrétaire Général aux Affaires Régionales - SGAR
2e COLLÈGE : COLLECTIVITÉS LOCALES
• Pour le CG DE L’HÉRAULT (34) PETARD Monique
• Pour MONTPELLIER AGGLO. (34) JANNIN Stéphanie
• Pour NÎMES MÉTROPOLE (30) ALLIER Vincent
• Pour PERPIGNAN MÉDITERRANÉE (66) IRLES Jacqueline
• Pour la CCNBT (34) PIETRASANTA Yves
3e COLLÈGE : Représentants des activités contribuant à l'émission de substances surveillées
• Pour AREVA Malvési (11) DELAUNAY Eric
• Pour AXENS (30) PLANQUART Pierre
• Pour l’UIC (Union des Ind. Chimiques L.R.) (34) COLLET Michel
• Pour l’UNICEM (Union des Carriers) (34) MAESTRI Bruno
• Pour l’UNOSTRA (Union des Transporteurs) (34) KARAM Francis
4e COLLÈGE : Représentants des Asso. et Personnalités
• Pour l’ECOLE DES MINES D’ALÈS (30) FANLO Jean-Louis
• Pour MÉTÉO FRANCE (34) MAZURIE Roland
• Pour le SPN LR (34) Prof. RIOUX Jean-Antoine
• Pour le CHU de MPL (34) Prof. DEMOLY Pascal
• Pour le CPIE APIEU Montpellier (34) FRANC Bruno
Ont participé également aux travaux de ce rapport d’activité : Sébastien CAIX : Assistant d’études, Romain DERAIN : Chargé d’études, Annabelle COMTE : Chargée de communication, Inadone FALL : Stagiaire, Carlos RUBIO : Stagiaire
Président : Yves PIÉTRASANTA (2e collège) Vice Présidente : Stéphanie JANNIN (2e collège) Vice Président : Jean-Louis FANLO (4e collège) Trésorier : Bruno MAESTRI (3e collège) Secrétaire Général : Didier KRUGER (1er collège)
Président d’Honneur : M. Louis BLANCHIN
L’équipe au 1er juin 2014
le CA
DIRECTRICE
Anne FROMAGE-MARIETTE
SERVICE ÉTUDES
Anne FROMAGE-MARIETTE
SERVICE DONNÉES
Fabien BOUTONNET
PÔLE QUALITÉ-SÉCURITÉ
Corinne CABEROAssistante : Corinne MARZOLF
TECHNICIEN DE MAINTENANCE
« Mesures indicatives »
Lucas ALLEGRUCCI
CHARGÉ D’ÉTUDES
Julien MOUNICOU
INGÉNIEUR D’ÉTUDES
Antoine THIBERVILLE
TECHNICIENS DE MAINTENANCE
Fabrice MOUTTETFabrice PERRARD
Lucas ALLEGRUCCI
SECRÉTAIRE DE DIRECTION/ACCUEIL
Béatrice MARTIN
SECRÉTAIRE - COMPTABLE
Patricia PROTTI
SECRÉTAIRE
Marylène GILLET
PÔLE « Mesures
automatiques »
Patrick VIALA
TECHNICIENS D’EXPLOITATION
Corinne MARZOLFKamel MOUELLEF
OUTILS DE COMMUNICATION
Julien MOUNICOU
LABORANTINE
Lise CIAN
ASSISTANT D’ÉTUDES
Joël BRAUCOURT
MÉTROLOGUE
Corinne MARZOLF
assistée de K. MOUELLEF
CHARGÉ D’ÉTUDES Inventaire
Bertrand MATHIEU-DAUDE
PÔLE « Bilans, études, air intérieur, odeurs »
Fabien BOUTONNET
PÔLE «Informatique »
Julien MOUNICOUassisté
de K. MOUELLEF
ASSISTANT Modélisation
Joël BRAUCOURT
PÔLE « Outils numériques »
Corinne CABERO
PÔLE ADMINISTRATIF
6 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
au 1er juin 2014Conseil d’administration et adhérents1er COLLÈGE - ÉTAT- ADEME- ARS- CHSCT des Douanes du Port de Sète- DRAAF- DREAL- PREFECTURE 11- PREFECTURE 30- PREFECTURE 34 / SGAR- PREFECTURE 48- PREFECTURE 66
2e COLLÈGE - COLLECTIVITÉS LOCALESAUDE- COMMUNAUTE D’AGGLOMERATION LE GRAND
NARBONNE- COMMUNAUTE D’AGGLOMERATION CARCASSONNE
AGGLOMERATION- SYNDICAT LAURAGAIS AUDOIS- VENTENAC EN MINERVOISGARD- CONSEIL GÉNÉRAL DU GARD- COMMUNAUTE D’AGGLOMERATION ALÈS
AGGLOMERATION- COMMUNAUTÉ D’AGGLOMÉRATION NÎMES
MÉTROPOLE- SOMMIÈRESHÉRAULT- CONSEIL GÉNÉRAL DE L’HÉRAULT - COMMUNAUTÉS D’AGGLOMÉRATIONS
OU DE COMMUNES : • THAU AGGLOMERATION • BÉZIERS MÉDITERRANÉE • HERAULT MÉDITERRANÉE • MONTAGNE DU HAUT-LANGUEDOC • MONTPELLIER AGGLOMÉRATION • NORD BASSIN DE THAU • PAYS DE L’OR
- CAZOULS LES BÉZIERS- LAMALOU-LES-BAINS- LESPIGNAN- MONTBLANC- TOURBES- VENDRESPYRÉNÉES-ORIENTALES- COMMUNAUTÉ D’AGGLOMÉRATION PERPIGNAN
MEDITERRANÉE- ARGELÈS S/MER- ELNE- OSSEJA- ST-CYPRIEN
3e COLLÈGE - CARRIERSAUDE- AUDE AGREGATS - Carrières de la Caunette et Moussoulens
- CARRIÈRES CALCAIRES CORBIÈRES - Carrière de Roquefort des Corbières
- CAZAL - Carrière de Labécède Lauragais- DOMITIA GRANULATS - Carrières de Montredon,
Campagne sur Aude et Quillan
- IMERYS CERAMICS France - Carrières de Salvezines et Treilles, (St-Arnac et Lansac, usines de St-Paul de Fenouillet et de Caudiès de Fenouillèdes - 66)
- LAVOYE - Carrière de La Palme- PATEBEX - Carrière Dominique (Alzonne)- SC 113 - Carrière de Narbonne- TERREAL - Carrières de St-Papoul, Bordeneuve- VALORIDEC BTP - Dépôt de Castelnau d’AudeGARD- CARMEUSE FRANCE - Carrière de Verfeuil- JOFFRE DE TRAVAUX PUBLICS - Carrière de
Vallérargues- LAFARGE GRANULATS SUD - Carrière de Bieudon- HENRI LEYGUE - Carrière de Thoiras (et sablière de
Pouzols (34))- ROBERT CARRIERES ET MATERIAUX - Carrières de
Connaux et Pouzilhac- TERRISSE - Carrière de LioucHÉRAULT- BIOCAMA INDUSTRIES - Carrières d’Aniane et du Mas
de Cournon- CARAYON - Carrière de Saint-Pons- CARRIERE CALCAIRE DU BITERROIS – Carrière de
Bayssan Vendres - CARRIÈRE DU PIC ST LOUP - Carrière de Viols le Fort- CARRIÈRE DES ROCHES BLEUES - Carrière de
St-Thibéry- CASTILLE S.A. - Carrière de la Galiberte et sablière de
Thézan-les-Béziers- CEMEX BÉTON DE FRANCE - Centrale à béton de
Montpellier (et Elne - 66)- GSM - Carrières de Poussan et Castries- LAFARGE GRANULATS – Carrières de Combaillaux et
La Madeleine (carrières de La Calmette (30), Baïxas et l’Agly (66))
- LANGUEDOC GRANULATS - Carrière de Murles- LRM - Carrière des Garrigues à Lunel- SERVANT ET FILS - Carrière de Lamalou- SOLAG - Sablières de Gignac et Saint André de
Sangonis- STPC - Carrière de Brissac- UNICEM (Syndicat Carriers) - MontpellierPYRÉNÉES-ORIENTALES- CAMINAL - Dépôt de Perpignan- COLAS/ROUSSILLON AGRÉGATS - Carrières de Thuir
et Latour de Carol- LA SALANQUE - Carrière de Salses-le-Château et
Sablière de Bompas- OMYA S.A. - Carrière de Vingrau et Usine de Salses-le-
Château- PROVENÇALE S.A. - Usine de Cases de Pène, Carrières
de Montpins, La Narède, La Feyche (et Pouzilhac - 30)
3e COLLÈGE - AUTRES QUE CARRIERSAUDE- AREVA MALVESI - Narbonne- LAFARGE CIMENTS - Port-la-NouvelleGARD- AXENS - Salindres- CALCIA ITALCEMENTI GROUP - Beaucaire- CEA VALRHO - Bagnols-sur-Cèze- CTI - Salindres- DALKIA - Nîmes
- EDF - Centre de Production Thermique - Aramon- FERROPEM - Laudun, St-Hippolyte de Montaigu- OWENS CORNING - l’Ardoise- OWENS ILLINOIS - Vergèze- SANOFI AVENTIS - Aramon- SITA Sud/NEOVAL- RODHIA Opérations - Salindres - UNION GRAP’SUD - Cruviers Lascours - VEOLIA EAU - CGE - Salindres (anc. SOUREIL)HÉRAULT- AÉROPORT MONTPELLIER MÉDITERRANÉE - Mauguio
- AUTOROUTES DU SUD DE LA FRANCE- PORT SUD DE FRANCE - Sète- OCREAL - Lunel-Viel- OC’VIA Construction – Montpellier- OWENS ILLINOIS MANUFACTURING - Béziers- SAIPOL - Sète- SCORI - Frontignan- SERM - Montpellier- SETOM - Sète- SOCIETE D’EXPLOITATION GENERALE (SEG) - Poussan- SYNDICAT ENTRE PIC ET ETANG - Lunel-Viel- TAM - Montpellier- TIMAC AGRO - Séte - UNION DES INDUSTRIES CHIMIQUES L.R.- UNOSTRA (Syndicat Transporteurs) - FrontignanPYRÉNÉES-ORIENTALES- CYDEL - Calce- SYDETOM - Saint-Feliu-d’Avall- SVLR-ISDND - Espira de l’Agly
4e COLLÈGE - ASSOCIATIONS ET PERSONNALITÉSRÉGION- AUTOMOBILE CLUB 30 / 48 / 07- CREAI - ORS LR - Montpellier- E.I.D. MÉDITERRANÉE - Montpellier- ONF - Montpellier- SPN LR - Montpellier- UFC QUE CHOISIR - MontpellierAUDE- FRAPNE LR (Fédération Régionale Associative de
Protection de la Nature et de l’Environnement) - Narbonne GARD- Comité de Quartier des Marronniers - Nîmes- MNLE 30 - Nîmes- SOREVE (Environnement et Patrimoine en Uzège) - Uzès- M. FANLO Jean-Louis - EMA - AlèsHÉRAULT- AGENCE LOCALE DE L’ENERGIE - Montpellier- BIVAP - Puisserguier- CPIE APIEU - Montpellier- FACULTÉ DE PHARMACIE - Montpellier- Prof. BAYLET - Faculté de Médecine - Montpellier- Prof. DEMOLY Pascal - Pneumologue - CHU de MPL- M. MAZURIE Roland - Météo France Montpellier- M. MOREAU Joël - ENSCM Montpellier - Dr TERRAL Claude LOZÈRE- PARC NATIONAL DES CÉVENNES - Florac
les adhérents
7AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
(1) Art. L220-1. - L'État et ses établissements publics, les collectivités territoriales et leurs établissements publics ainsi que les personnes privées concourent, chacun dans le domaine de sa compétence et dans les limites de sa responsabilité, à une politique dont l'objectif est la mise en œuvre du droit reconnu à chacun à respirer un air qui ne nuise pas à sa santé…Art. L220-2. - Constitue une pollution atmosphérique au sens du présent titre l’introduction par l’homme, directement ou indirectement ou la présence, dans
l’atmosphère et les espaces clos, d’agents chimiques, biologiques ou physiques ayant des conséquences préjudiciables de nature à mettre en danger la santé humaine, à nuire aux ressources biologiques et aux écosystèmes, à influer sur les changements climatiques, à détériorer les biens matériels, à provoquer des nuisances olfactives excessives.
Extraits du code de l’environnement
Pour orienter ses actions et établir les bilans de qualité de l’air, AIR LR s’appuie sur différents découpages géographiques :
Les « Zones Administratives de Surveillance » (ZAS), utilisées essentiellement pour les besoins du « reporting » européen par le niveau national et dont le découpage a été révisé en 2010. La région se trouve actuellement divisée en 3 ZAS :
• une zone agglomération (ZAG) correspondant au périmètre du 1er plan de protection de l’atmosphère de Montpellier,
• une zone urbaine régionale (ZUR) prenant en compte les unités urbaines entre 50 000 et 250 000 habitants (Alès, Béziers, Narbonne, Nîmes, Perpignan, et Sète) étendues aux périmètres des communautés d’agglomération de 2009,
• une zone régionale (ZR) couvrant le reste du territoire.
Les Unités Territoriales d’Évaluation (UTE), au nombre de 33, et dont les contours apparaissent en filigrane sur les cartes de ce rapport. Le nombre et le périmètre de ces aires élémentaires ont été modifiés en 2010 dans le 2nd Programme de Surveillance de la Qualité de l’Air (PSQA) d’AIR LR, en lien avec le bilan du 1er PSQA portant sur la période 2005-2009, d’une part, et l’évolution du zonage en ZAS, d’autre part.
Les départements. Le découpage « départemental » reste, pour les Préfets, la base territoriale des procédures d’information et d’alerte, et de gestion des mesures d’urgence en cas d’épisodes de pollution importants.
Limites des informations produitesLes informations et bilans sur l’air produits ici répondent aux demandes qui ont été exprimées et financées par les partenaires d’AIR LR lors des phases de concertation. De ce fait, certaines problématiques – non sollicitées à ce jour – en sont absentes, d’autres ne sont encore que partiellement abordées.
Ces informations représentent néanmoins une partie des données nécessaires pour établir le droit reconnu à chacun de respirer un air qui ne nuise pas à sa santé, au sens très général où l’entend le code de l’Environnement (1).
Albères et Vallespir
Biterrois
Centre Lozère
Cerdagne
Corbières
Côte rocheuse
Côte sablonneuse
nord
Côte sablonneuse sud
Haute valléede l'Aude
Lauragais
Minervois et Piémont Biterrois
Montagne noire
Nord Hérault
Nord Ouest Bassin de Thau
Petite Camargue
Régionde Carcassonne
Région de Montpellier
Région de Perpignan
Région de Sète
Région de Nîmes
Sommièreset
Lunellois
Uzégeois
Vallée du Rhône
Zone d'Alès
AspresCapcir
Cévennes
Conflent
Fenouillèdes
Haut-Languedoc Espinouse
Narbonnais
Nord Lozère
Piémont Cévenol
Zonage en ZAS et UTE
Zone Régionale (ZR)
Unités Territoriales d’Évaluation (UTE)
Zone Urbaine Régionale (ZUR)
Zone Agglomération (ZAG)
Les différents zonages de la région
8 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
PYRÉNÉES-ORIENTALES
AUDE
HÉRAULT
GARD
LOZÈRE
dispositif de mesure(hors mesure des PSED)
NO2
SO2
O3
PM10PM 2,5BenzèneMétauxDioxines
* Géré par AIR PACA** Géré par ORAMIP*** Géré par la Generalitat de Catalogne
L'Ardoise
*
Surveillance permanente
**
***
Aspres
Minervoiset Piémont Biterrois
Zone d'Alès
Régionde Montpellier
Biterrois
Lauragais
Montagne Noire
Régionde Nîmes
Nord OuestBassin de Thau
Fenouillèdes
Narbonnais
Côte
Sommières
Valléedu Rhône
et Lunellois
sablonneuse nord
Région
Haut-Languedoc Espinouse
de Perpignan
Région de Sète
PetiteCamargue
Cerdagne
Régionde Carcassonne
PYRÉNÉES-ORIENTALES
AUDE
HÉRAULT
LOZÈRE
modélisation
Région de Montpellier
Région de Nîmes
Vallée du Rhône
Région de Perpignan
GARD
modélisation locale : panaches industriels ou modélisation urbaine haute résolution
modélisation régionale : plateforme AIRES Méditerranée
PYRÉNÉES-ORIENTALES
GARD
HÉRAULT
LOZÈRE
AUDE
inventaired’émissions
inventaire spatialisé (année de référence 2007) : 35 polluants
inventaire spatialisé- année de référence 2004 : 35 polluants- année de référence 2007 : 35 polluants
actualisation en cours pour l'année de référence 2010
Le dispositifrégionalpermanentde surveillance
au 1er juin 2014
9AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Le benzène (C6H6), composé de la famille des COV, est principalement émis par les véhicules essence (gaz d’échappement et évaporation).
Le dioxyde d’azote (NO2) est émis par les véhicules (surtout diesel) et les installations de combustion (centrales thermiques, chauffage…). Il constitue le principal traceur de la pollution urbaine, en particulier automobile.
Le dioxyde de soufre (SO2) est émis principalement lors de la combustion de charbon et de fioul (centrales thermiques, installations de combustion industrielles et chauffage).
Les Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) regroupent plusieurs centaines de composés et sont générés par la combustion des matières fossiles, notamment par le chauffage au bois et les moteurs diesels, sous forme gazeuse ou particulaire. Seul le benzo(a)pyrène en phase particulaire est réglementé.
Les métaux toxiques proviennent de la combustion des charbons, pétroles, ordures ménagères… et de certains procédés industriels et se retrouvent généralement au niveau des particules. Le plomb, l’arsenic, le cadmium et le nickel sont réglementés.
Le monoxyde de carbone (CO), gaz inodore, incolore et inflammable, se forme lors de la combustion incomplète (gaz, charbon, fioul, bois, carburants). La source principale dans l’air ambiant est le trafic automobile.
L’ozone (O3) résulte de la transformation de polluants émis par les activités humaines (industries, trafic routier…) sous l’effet d’un fort ensoleillement. L’ozone peut être transporté sur de grandes distances.
Les particules en suspension (Ps) ont de nombreuses origines, tant naturelles qu’humaines (trafic routier, industries…) et ont une grande variété de tailles, de formes et de compositions (elles peuvent véhiculer de nombreuses substances comme les métaux). Les particules mesurées ont un diamètre inférieur à 10 µm (PM10) ou à 2,5 µm (PM2,5).
Les aldéhydes, composés pour la plupart odorants, de la famille des COV. Ils sont présents principalement dans les logements, avec des concentrations parfois importantes car ils sont utilisés dans un certain nombre de matériaux (panneaux de particules agglomérées, colles, mousses…) et contenus dans la fumée de tabac. Dans l’air ambiant, ils sont aussi émis par le trafic routier. Aucun aldéhyde n’est réglementé dans l’air ambiant mais il existe des valeurs guides pour le formaldéhyde en air intérieur.
L’ammoniac (NH3) est un polluant essentiellement d’origine agricole émis lors de l’épandage de lisier et lors de la fabrication des engrais ammoniaqués. Il est également émis par certains procédés industriels.
Le sulfure d’hydrogène (H2S) est facilement reconnaissable, à très faible concentration, à son odeur « d’œuf pourri », qui disparaît à plus forte teneur. Il se forme par fermentation anaérobie des substances organiques.
Les Composés Organiques Volatils (COV) entrent dans la composition des carburants et de nombreux produits courants : peintures, encres, colles, détachants, cosmétiques, solvants… Des COV sont émis également par le milieu naturel et les surfaces agricoles.
Les dioxines forment une famille de 210 composés. Elles sont issues de combustions en présence de chlore (incinération de déchets, brûlage des gaz de décharge, blanchiment chloré du papier, feux de bois, incendies, fabrication d’herbicides…).
Les fluorures sont émis par l’activité volcanique ou proviennent des fumées rejetées par les industries d’engrais phosphatés, d’aluminium et de produits chimiques.
Les pesticides regroupent l’ensemble des herbicides, fongicides, insecticides, etc. La France occupe la 2ème place mondiale dans le volume de pesticides utilisés. Les mesures de pesticides dans l’air ambiant se multiplient depuis quelques années et concernent plusieurs dizaines de composés.
Les poussières sédimentables (PSED) se différencient des particules en suspension par leur taille, de l’ordre de la centaine de microns contre quelques microns pour les particules en suspension. D’origine naturelle (volcans…) ou humaine (carrières, cimenteries…), les poussières sédimentables sont émises essentiellement par des actions mécaniques et tombent sous l’effet de leur poids.
POLLUANTS RÉGLEMENTÉSDANS L’AIR AMBIANT
POLLUANTS NON RÉGLEMENTÉS DANS L’AIR AMBIANT
Les polluants
10 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
RÉSUMÉ DES SEUILS RÉGLEMENTAIRES FIXÉS DANS LE CODE DE L’ENVIRONNEMENT (ARTICLE R 221-1)
* Valeurs spécifiques à l’année 2013 issues des dispositions transitoires ** Pendant 2 jours consécutifs et prévision de dépassement pour le lendemain
Polluants Expressions seuilsObjectif
dequalité
Niveau critique
protection végétation
Valeur cibleValeur limiteprotection
santé
Seuil d’information
et de recomman-
dation
Seuil d’alerte
SO2
Moyenne annuelle 50 µg/m3 20 µg/m3
Moyenne1/10 au 31/03
20 µg/m3
Moyenne journalière125 µg/m3
à ne pas dépasser plus de 3 fois par an
Moyenne horaire350 µg/m3
à ne pas dépasser plus de 24 fois par an
300 µg/m3 500 µg/m3 pendant 3 heures consécutives
PM10
Moyenne annuelle 30 µg/m3 40 µg/m3
Moyenne journalière50 µg/m3
à ne pas dépasser plus de 35 fois par an
PM 2,5 Moyenne annuelle 10 µg/m3 20 µg/m3 26* µg/m3
NOx Moyenne annuelle 30 µg/m3
NO2
Moyenne annuelle 40 µg/m3 40 µg/m3
Moyenne horaire200 µg/m3
à ne pas dépasser plus de 18 fois par an
200 µg/m3
400 µg/m3 pendant 3 heures
consécutives
200** µg/m3
CO Moyenne sur 8 heures 10 000 µg/m3
O3
AOT 40
6000 µg/m3.h (protection
végétation)
18 000 µg/m3.h en moyenne sur 5 ans (protection végétation)
Moyenne sur 8 heures120 µg/m3 (protection
santé)
120 µg/m3 à ne pas dépasser plus de 25 jours par an en moyenne sur 3 ans
(protection santé)
Moyenne horaire 180 µg/m3
Protection sanitaire population : 240 µg/m3
Mise en œuvre progressive des
mesures d’urgence :
- 1er seuil : 240 µg/m3 pendant
3 heures consécutives
- 2e seuil : 300 µg/m3 pendant
3 heures consécutives
- 3e seuil : 360 µg/m3
Pb Moyenne annuelle 0,25 µg/m3 0,5 µg/m3
MétauxMoyenne annuelle dans la fraction PM 10
Arsenic : 6 ng/m3
Cadmium : 5 ng/m3
Nickel : 20 ng/m3
Benzo(a)pyrène
Moyenne annuelle dans la fraction PM 10
1 ng/m3
Benzène Moyenne annuelle 2 µg/m3 5 µg/m3
Seuils réglementaires
11AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Typologiedes stations et terminologie
Placée en proximité immédiate d’une voie de circulation importante, la station trafic est représentative du niveau maximum d’exposition à la pollution automobile et urbaine.
Située dans un pôle urbain, la station urbaine est représentative de la pollution de fond et donc d’une exposition moyenne de la population à la pollution urbaine. Les résultats de ces stations sont utilisés pour calculer l’indice ATMO dans les villes de plus de 100 000 habitants.
Placée à la périphérie des centres urbains, la station périurbaine est représentative des niveaux maxima de pollution photochimique. Les résultats de ces stations sont utilisés pour calculer l’indice ATMO dans les villes de plus de 100 000 habitants.
Placée soit dans l’environnement immédiat, soit sous le panache d’une source industrielle, la station industrielle est représentative du niveau maximum de polluants induit par cette source.
Placée en milieu rural, elle est représentative de la pollution de fond et de l’exposition des écosystèmes et de la population à cette pollution.
Placée en milieu rural, elle est représentative de la pollution de fond et des transferts de masses d’air sur de longues distances.
Les stations sont qualifiées selon l’environnement dans lequel elles sont implantées. Conformément aux recommandations nationales, les principaux types de stations sont les suivants :
Trafic
Urbaine
Périurbaine
Industrielle
Rurale régionale
Rurale nationale
LEXIQUE DES PRINCIPAUX TERMES UTILISÉS DANS LE RAPPORT :
Air ambiant : air extérieur de la troposphère, à l’exclusion des lieux de travail et auxquels le public n’a normalement pas accès.
AOT 40 : somme des différences entre les concentrations horaires supérieures à 80 µg/m3 et 80 µg/m3 mesurées quotidiennement de 8 heures à 20 heures (heures locales) sur la période allant du 1er mai au 31 juillet.
Dépassement de norme de qualité de l’air : niveau supérieur à une norme de qualité de l’air.
Mesures fixes : mesures effectuées, afin de déterminer les niveaux de concentration des polluants, en des endroits fixes, soit en continu, soit par échantillonnage aléatoire et respectant des objectifs de qualité des données élevés (annexe 1 de la directive 2008/50/CE). Ces mesures sont réalisées à l’aide d’appareils conformes aux méthodes de référence ou aux méthodes équivalentes.
Mesures indicatives : mesures respectant des objectifs de qualité des données moins stricts que ceux requis pour les mesures fixes (voir annexe 1 de la directive 2008/50/CE). Par opposition aux mesures fixes, on peut considérer qu’il s’agit de mesures moins contraignantes, soit au niveau de la méthode, soit au niveau du temps de mesures.
Modélisation : technique de représentation mathématique des phénomènes de nature physique, chimique ou biologique, qui permet d’obtenir une information sur la qualité de l’air en dehors des points et des périodes où sont réalisées les mesures et qui respecte les objectifs de qualité des données fixés à l’annexe 1 de la directive 2008/50/CE.
Niveau critique : niveau fixé sur la base des connaissances scientifiques, au-delà duquel des effets nocifs directs peuvent se produire sur certains récepteurs, tels que les arbres, les autres plantes ou écosystèmes naturels, à l’exclusion des êtres humains.
Niveau de polluant atmosphérique : concentration d’un polluant dans l’air ambiant ou la masse de son dépôt sur les surfaces en un temps donné.
Objectif de qualité : niveau à atteindre à long terme et à maintenir, sauf lorsque cela n’est pas réalisable par des mesures proportionnées, afin d’assurer une protection efficace de la santé humaine et de l’environnement dans son ensemble.
Polluant : toute substance présente dans l’air ambiant et pouvant avoir des effets nocifs sur la santé humaine ou sur l’environnement dans son ensemble.
Seuil d’alerte : niveau au-delà duquel une exposition de courte durée présente un risque pour la santé de l’ensemble de la population ou de dégradation de l’environnement, justifiant l’intervention de mesures d’urgence.
Seuil d’information et de recommandation : niveau au-delà duquel une exposition de courte durée présente un risque pour la santé humaine de groupes particulièrement sensibles au sein de la population et qui rend nécessaires l’émission d’informations immédiates et adéquates à destination de ces groupes et des recommandations pour réduire certaines émissions.
Valeur cible : niveau à atteindre, dans la mesure du possible, dans un délai donné, et fixé afin d’éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs sur la santé humaine ou l’environnement dans son ensemble.
Valeur limite : niveau à atteindre dans un délai donné et à ne pas dépasser, et fixé sur la base des connaissances scientifiques afin d’éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs sur la santé humaine ou sur l’environnement dans son ensemble.
12 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Zone d'Alès
PYRÉNÉES-ORIENTALES
AUDE
HÉRAULT
GARD
LOZÈRE
Régionde Montpellier
Régionde Nîmes
Biterrois
Région de Sète
• Campagnes de mesures du dioxyde d’azote
• PPA - Unité Urbaine de Montpellier - Evaluation d’actions à l’horizon 2015
• Délimitation des zones sensibles PRSE 2 - action 1
• Crèche de Parignargues
• RD 68 LIEN - Aménagement du tronçon entre l’A750 et la RD986 au Nord de Saint-Gély-du-Fesc - Etat initial de la qualité de l’air - Emissions (20 polluants) et consommations énergétiques - Simulations et exposition de la population aux polluants réglementés
• Aéroport de Montpellier-Méditerranée Bilan 2013 et évolution depuis 2008
• Groupe scolaire des Arceaux (Montpellier) Etude de la qualité de l’air intérieur
• Qualité de l’air autour du poste de douane de Sète Bilan 2013 et évolution depuis 2007
• Etude de Modélisation Zone industrielle de Salindres
• Projet TRAM’BUS d’extension Nord de la ligne 1 - Nîmes Etude de la qualité de l’air et simulations
• SCORI - Centre de Frontignan Surveillance de la qualité de l’air
• Mèze - Mesures à proximité du trafic routier
• Bâtiments performants en énergie : qualité de l’air intérieur et confort (9 logements étudiés dans la région)
Aldéhydes
HAP
Aldéhydes
Métaux
NH3Particules
COV
SO2
Perchloroéthylène
2
COV
H2S
C6H6 PM10 PM2,5 CONO2
C6H6 PM10 PM2,5NO2
C6H6 PM10 PM2,5NO2
C6H6 PM10 PM2,5NO2
C6H6
C6H6
C6H6
NO2
NO2
PM10 PM2,5NO2
NO2
CO2
CO2
CO2
Métaux
Station mobile
Tube passif
Modélisation
Canister
Enquête Odeurs
Inventaire d’émissions
Préleveur
Moyens mis en œuvre :
Les programmesd’études AIR ambiantdans la région
études 2013
13AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
PYRÉNÉES-ORIENTALES
AUDE
HÉRAULT
GARD
LOZÈRE
Minervoiset Piémont Biterrois
Régionde Perpignan
Valléedu Rhône
Sommièreset Lunellois
Zone d'Alès
Régionde Montpellier
Biterrois
Région de Sète
Régionde Nîmes
Nord OuestBassin de Thau
Narbonnais
Surveillance permanente
2009 - 2013
Surveillance ponctuelle
Surveillance permanente et ponctuelle
Régionde Carcassonne
7% 3% 4% 4%
66%
17%
Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)
Agriculture, sylviculture et nature Industrie et traitement des déchets Production et distribution d'énergie Résidentiel et tertiaire Transports non routiers Transports routiers
Origine des émissions de dioxyde d'azote en Languedoc-Roussillon
14 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
NO2
Dispositif de surveillance pour le dioxyde d’azote (2009-2013)
dioxyde d’azote
Comparaison aux normes en 2013
ZONE MOYENSMIS EN ŒUVRE
TYPEDE SITE
OBJECTIF DE QUALITÉ NO2
VALEURS LIMITESNO2
Région de MontpellierMesures fixes,
mesures indicativeset modélisations
Urbain Respecté Respectées
Proximité trafic routier Non respecté Valeurs limite annuelle et horaire (1) non respectées
Sommières et Lunellois (Environnement de l’incinérateur de Lunel-Viel)
Mesures fixes Périurbain Respecté Respectées
Région de Nîmes Mesures fixes et modélisations
Urbain Respecté Respectées
Proximité trafic routier Non respecté Valeurs limite annuelle et horaire(1) non respectées
Région de PerpignanMesures fixes,
mesures indicativeset modélisations
Urbain Respecté Respectées
Proximité trafic routier Non respecté (1) Valeurs limite annuelle et horaire non respectées (1)
Biterrois Mesures indicativesUrbain Respecté Respectées
Proximité trafic routier Respecté Respectées
Narbonnais Mesures indicativesUrbain Respecté Respectées
Proximité trafic routier Respecté Respectées
Nord-Ouest bassin de Thau Mesures fixes et mesures indicatives
Périurbain Respecté Respectées
Proximité trafic routier Respecté Respectées
Vallée du Rhône Mesures fixes et modélisations Industriel Respecté Respectées
Région d’Alès Mesures indicativesUrbain Respecté Respectées
Proximité trafic routier Non respecté(1) Valeur limite annuelle non respectée(1)
(1) dépassement constaté par le dispositif de mesures indicatives ou la modélisation haute résolution
Historique depuis 2009En milieu urbain et périurbain, chaque année, les seuils réglementaires sont respectés.A proximité du trafic routier, l’objectif de qualité et les valeurs limites annuelle et horaire peuvent ne pas être respectés.Dans l’environnement du Centre de Production Thermique EDF d’Aramon, les concentrations sont nettement inférieures aux seuils réglementaires.
NO2 - Région de Montpellier NO2 - Région de Nîmes
Montpellier Nîmes
Perpignan
Sommières
Vallée du Rhône
Alès
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
2012 2012
(*)
2012 2012
2012 2013 2012
2013 2013
2013 2013
2013
Montpellier Nîmes
Perpignan
Sommières
Vallée du Rhône
Alès
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
2012 2012
(*)
2012 2012
2012 2013 2012
2013 2013
2013 2013
2013
NO2 - Région de Perpignan NO2 - Vallée du Rhône (environnement d’EDF Aramon)
Montpellier Nîmes
Perpignan
Sommières
Vallée du Rhône
Alès
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
2012 2012
(*)
2012 2012
2012 2013 2012
2013 2013
2013 2013
2013
Montpellier Nîmes
Perpignan
Sommières
Vallée du Rhône
Alès
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
2012 2012
(*)
2012 2012
2012 2013 2012
2013 2013
2013 2013
2013
NO2 - Sommières et Lunellois (environnement de Lunel-Viel) NO2 - Région d’Alès
Montpellier Nîmes
Perpignan
Sommières
Vallée du Rhône
Alès
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
2012 2012
(*)
2012 2012
2012 2013 2012
2013 2013
2013 2013
2013
Montpellier Nîmes
Perpignan
Sommières
Vallée du Rhône
Alès
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
NO
2 en
µg/
m3
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
0
20
40
60
80
2009 2010 20110
20
40
60
80
2009 2010 2011
2012 2012
(*)
2012 2012
2012 2013 2012
2013 2013
2013 2013
2013
(*) problème technique
légendemoyenne annuelle NO2 MAX Objectif de qualitéValeur limite
Proximitésite industriel
Milieu urbainou périurbain
Proximitétrafic routier
15AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
surveillance permanente - résultats 2013
ZONECADRE DE LA
SURVEILLANCE PONCTUELLE
MOYENS MIS EN ŒUVRECOMMENTAIRES
N02
Région de
Montpellier
RD 68 LIEN - Aménagement
du tronçon entre l’A750 à Bel Air et la RD 986 au
Nord de Saint-Gély-
du-Fesc
Etat initial de la qualité de l’air et
simulations
- Mesures : tubes passifs sur 18 sites pendant 2 mois en hiver 2013
- Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les
conditions météorologiques les plus défavorables pour 4 scénarii
Etat initial 2013
Sur le domaine d’étude, respect de la valeur limite sauf localement dans des zones non habitées à proximité des
axes routiers les plus empruntés (A750, RD 986 et LIEN au Sud-Est de Saint-Gély-du-Fesc)
Etat futur 2020 et 2040
Emissions de NOx : Diminution de 18% en 2020 compte tenu du renouvellement du parc automobile et malgré la hausse attendue du
trafic routier
Concentrations de NO2 :- augmentation logique des concentrations le long des
aménagements et sur le LIEN déjà existant
- diminution des concentrations sur la route de Bel Air (RD 102), dans les traversées de Grabels et de Saint-Gély-du-Fesc du fait de la
baisse attendue du trafic routier
Aéroport de Montpellier-
Méditerranée
Etude de la qualité de l’air
Mesures : tubes passifs sur 15 sites (5 sites en air intérieur,
8 sites en air ambiant et 2 sites références) pendant 2 mois en hiver
2013 puis 2 mois en été 2013
Valeurs réglementaires respectées
Les niveaux de NO2 ont globalement légèrement diminué entre 2008 et 2013
Région de
Nîmes
Projet d’extension
Nord de la ligne 1 du TRAM’BUS
Etude de la qualité de l’air et
simulations
- Mesures : tubes passifs sur 72 sites pendant 2 mois en hiver 2013
puis 2 mois en été 2013
- Station mobile pendant 4 mois Bd Victor-Hugo et 2 mois rue Faïta
- Modélisation annuelle et heure de pointe du soir pour les
conditions météorologiques les plus défavorables pour 5 scénarii
Etat initial 2012-2013
Objectif de qualité et valeur limite non respectés aux abords des axes routiers les plus empruntés et/ou de type canyon
Les concentrations de NO2 diminuent rapidement dans les 50 premiers mètres avec la distance à la chaussée
Etat futur 2025
Conséquence de la baisse des émissions entre 2012 et 2025 (tous scénarii confondus), une diminution des concentrations
est attendue en 2025 dans le domaine d’étude
BiterroisCampagne de mesures du
dioxyde d’azote
Mesures : tubes passifs sur 54 sites pendant 2 mois en hiver 2013
puis 2 mois en été 2013
Constat 2013
Valeurs réglementaires respectées à l’exception de quelques axes (A9, boulevard Maréchal de Lattres de Tassigny à
Béziers et le long des axes routiers reliant le centre-ville aux échangeurs autoroutiers)
Dès que l’on s’éloigne des axes routiers principaux, les concentrations diminuent fortement, et respectent nettement la
valeur limite annuelle
Evolution 1999-2013
Diminution des concentrations principalement en raison de la baisse des émissions d’oxyde d’azote en lien avec l’amélioration
technique des véhicules
Région de
Sète
Qualité de l’air autour du poste de douane de
Sète
Bilan 2013 et évolution depuis
2007
- Mesures : tubes passifs sur 13 sites pendant 2 mois en été 2013 puis 2
mois en hiver 2013-2014
- Station mobile pendant 1 mois en été 2013 puis 2 mois en hiver
2013-2014 entre le poste de douane et le poste de police de l’air et des
frontières
Valeurs réglementaires respectées
Les débarquements de ferries et le passage des véhicules au poste de douanes n’ont pas d’impact sur les concentrations
moyennes de NO2, mais peuvent générer des pics de NO2 de courte durée relativement importants
Mèze
Mesures à proximité du trafic
routier
- Mesures : tubes passifs sur 20 sites pendant 2 mois en été 2013 puis 2
mois en hiver 2013-2014
- Station mobile durant toute l’année 2013
Valeurs réglementaires respectées sauf au plus près de la route de Montpellier, dans des zones confinées et/ou à
proximité de feux tricolores
Zone d’Alès
Etude de modélisation
Zone industrielle de Salindres
Modélisations des émissions industrielles et du trafic routier
Valeurs réglementaires respectées sur l’ensemble du domaine modélisé
Le trafic routier est à l’origine des plus fortes concentrations de NO2
Dans la zone industrielle, dès que l’on s’éloigne des sources émettrices, la contribution des industries sur les concentrations devient très faible
16 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
surveillance ponctuelle - résultats 2013
dioxyde d’azoteNO2
Aspres
Minervoiset Piémont Biterrois
Nord Hérault
Région
Vallée
Zone d'Alès
Régionde Montpellier
Biterrois
Lauragais
Cerdagne
Régionde Nîmes
Nord OuestBassin de Thau
Capcir
Fenouillèdes
Narbonnais
Conflent
PYRÉNÉES-ORIENTALES
AUDE
HÉRAULT
GARD
LOZÈRE
Ozone2009-2013
Région de Sète
Montagne Noire
de Perpignan
Sommièreset Lunellois
Haut-Languedoc Espinouse
du Rhône
Haute vallée de l’Audesablonneuse nord
Côte
PetiteCamargue
Mesure permanente
2009 - 2013
Mesure ponctuelle
Mesure permanente et ponctuelle
Plate forme de modélisation AIRES Méditerranée
Prévision des maxima d’ozone en µg/m3 le 13/07/13 pour le jour J
Quotidiennement, prévisions sur les régions LR et PACA des concentrations d’ozone pour le
jour même, le lendemain et le surlendemain
Dispositif de surveillance pour l’ozone (2009-2013)
17AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
ozoneO3
Comparaison aux normes en 2013En 2013, comme les années précédentes et comme sur la majorité du territoire français, plusieurs seuils réglementaires concernant l’ozone n’ont pas été respectés, principalement lors la période estivale pendant laquelle les conditions météorologiques (fort ensoleillement, température élevée, vent faible) sont favorables à la formation et à l’accumulation d’ozone.
L’objectif de qualité pour la protection de la végétation n’était pas respecté (AOT 40 supérieur à 6000 µg/m3.h).
L’objectif de qualité pour la protection de la santé humaine (fixé à 120 µg/m3 en moyenne sur 8 heures) n’était respecté ni en milieu urbain, ni en milieu périurbain. La fréquence de non-respect est généralement plus importante en milieu rural ou périurbain qu’en milieu urbain.
Le seuil d’information et de recommandation (180 µg/m3 en moyenne horaire) a été dépassé entre 1 et 2 heures en fonction des zones. Ces dépassements ont eu pour conséquence le déclenchement de procédures d’information et de recommandations.
Aucune concentration horaire supérieure au seuil d’alerte (240 µg/m3) n’a été observée sur la région.
ZONEMOYENS
MIS EN ŒUVRE
SITE
AOT 40 en µg/m3.h
(objectif de qualité :
6000 µg/m3.h)
NOMBRE DE JOURS DE NON
RESPECT DE L’OBJECTIF DE QUALITÉ POUR
LA PROTECTION DE LA SANTÉ
HUMAINE
(120 µg/m3 en moyenne sur 8 heures)
NOMBRE DE DÉPASSEMENTS
DU SEUIL D’INFORMATION
(seuil horaire de 180 µg/m3)
NOMBRE DE DÉPASSEMENTS
DU SEUIL D’ALERTE POUR UNE
PROTECTION SANITAIRE
DE LA POPULATION
(seuil horaire de 240 µg/m3)
Région de Nîmes Station fixe
Urbain (b) 35 0 0
Périurbain 19 439 37 0 0
Vallée du Rhône Station fixe Périurbain 24 097 42 2 0
Petite Camargue Station fixe Rural régional 17 244 22 1 0
Région de Montpellier Sète
Station fixe
Urbain (b) 17 0 0
Périurbain 22 946 34 2 0
Nord Ouest Bassin de Thau
Station fixe Périurbain 20 190 21 1 0
Biterrois et Narbonnais
Station fixe Rural régional 19 540 23 1 0
Haut-LanguedocMontagne Noire
Station fixe (a) Rural régional 17 524 22 0 0
Lauragais Station fixe Rural régional 12 259 16 0 0
Région de Perpignan et littoral Sud
de l’AudeStation fixe
Urbain (b) 22 0 0
Périurbain 20 207 26 0 0
Alésien Station fixe Périurbain 20 563 31 0 0
Ouest Pyrénées-Orientales
Station fixe Rural régional 26 688 37 2 0
Lorsqu’il y a plusieurs stations sur la zone (par exemple, la zone « Vallée du Rhône »), la station présentant le nombre de jours maximum de dépassements est prise en compte.(a) fonctionnement uniquement pendant la période estivale (1er avril au 30 septembre). (b) l’AOT 40 n’est pas calculé en milieu urbain.
18 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
O3ozone
Historique des dépassements des seuils réglementaires pour l’ozone
Pyrénées-Orientales
Aude
Lozère
Hérault
Gard
Pyrénées-Orientales
Aude
Lozère
Hérault
Gard
Montpellier-Sète
0 10 20 30
Région de Nîmes
0 10 20 30
Vallée du Rhône
0 10 20 30
Région de PerpignanSud de l'Aude
0 10 20 30
Petite Camargue
0 10 20 30
Lauragais
0 10 20 30
Nord OuestBassin de Thau
0 10 20 30
Biterrois-Narbonnais
0 10 20 30
Haut-LanguedocMontagne Noire
0 10 20 30
Alésien-Uzégeois
0 10 20 30
0
0
1
0
2
3
0
3
4
21
0
0
0
2
0
1
4
2
5
15
3
1
0
0
0
8
0
0
0
0
0
1
0
4
2
0
00
0
2
1
0
0
0
0
0
0
0
0
0
0 20 40 60 80 100120
0 20 40 60 80 100120
0 20 40 60 80 100120
0 20 40 60 80 100120
0 20 40 60 80 100120
0 20 40 60 80 100120
0 20 40 60 80 100120
0 20 40 60 80 100120
0 20 40 60 80 100120
0 20 40 60 80 100120
14
14
Montpellier-Sète
Région de Nîmes
Vallée du Rhône
Région de PerpignanSud de l'Aude
Petite Camargue
Lauragais
Nord OuestBassin de Thau
Biterrois-Narbonnais
Haut-Languedoc
Alésien-Uzégeois
47
21
34
68
43
45
49
48
32
37
45
51
61
21
26
55
54
43
66
42
67
65
39
16
22
4312
16
12
20
33 52
21
21
27
36
39
19
23
35
43
22
32
40
32
28
53
31
20092010201120122013
Légende
Commentaires :
Episodes de pollution : peu fréquents. Le nombre total de dépassements du seuil horaire de 180 µg/m3 enregistré en 2013 est en légère diminution par rapport à celui de 2012. Avec 2011, il est le plus faible depuis le début des mesures.
Commentaires :
Pollution de fond : en légère augmentation sur l’ensemble de la région mais parmi les plus faibles observées. Par rapport à 2012, le nombre de jours de non-respect de l’objectif de qualité pour la protection de la santé humaine a légèrement augmenté sur la majorité des zones surveillées. Il reste néanmoins parmi les plus faibles depuis le début des mesures.
POLLUTION DE FONDNombre de jours de non-respect de l’objectif de qualité pour la protection de la santé humaine
POLLUTION DE POINTENombre d’heures avec des teneurs en ozone supérieures à 180 µg/m3
19AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
surveillance permanente - résultats 2013
* Valeur cible pour la protection de la santé humaine: 120 µg/m3 sur 8h, moins de 25 jours par an, en moyenne sur trois ans
Source : AIR LR, 2014 - Modélisation interrégionale, AIRES Méditerranée
Nombre de jours de dépassement de la valeur cible*
20 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
ozoneO3
Dépassement pour l’ozone (2011-2013) en Languedoc-Roussillon de la valeur cible* pour la protection de la santé humaine en moyenne sur 3 ans
PYRÉNÉES-ORIENTALES
AUDE
HÉRAULT
GARD
LOZÈRE
Minervoiset Piémont Biterrois
Régionde Perpignan
Valléedu Rhône
Sommièreset Lunellois
Zone d'Alès
Régionde Montpellier
Haute vallée de l’Aude
Région de Sète
Régionde Nîmes
Nord OuestBassin de Thau
Narbonnais
Conflent
PM10 / PM2,52008-2012
Régionde Carcassonne
2009-2013
Surveillance ponctuelle
Surveillance permanente et ponctuelle
28% 26%
1%
19% 1%
25%
Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)
19%
23% 1%
28%
1% 28%
Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)
Agriculture, sylviculture et nature Industrie et traitement des déchets Production et distribution d'énergie Résidentiel et tertiaire Transports non routiers Transports routiers
Origine des émissions de PM10 en Languedoc-Roussillon
Agriculture, sylviculture et nature Industrie et traitement des déchets Production et distribution d'énergie Résidentiel et tertiaire Transports non routiers Transports routiers
Origine des émissions de PM 2,5 en Languedoc-Roussillon
21AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
particules en suspension
PM10
Dispositif de surveillance des particules en suspension PM10 (2009-2013)
Comparaison aux normes en 2013
ZONE MOYENSMIS EN ŒUVRE
TYPEDE SITE
OBJECTIF DE QUALITÉPM10
VALEURS LIMITESPM10
Région de MontpellierMesures fixes et
modélisations
Urbain et périurbain
Respecté Respectées
Trafic Non respecté (1) Non respectées (1)
Sommières et Lunellois Mesures fixes Périurbain Respecté Respectées
Région de NîmesMesures fixes et
modélisations
Urbain Respecté Respectées
Trafic Non respecté (1) Non respectées (1)
Région de PerpignanMesures fixes et
modélisations
Urbain Respecté Respectées
Trafic Non respecté (1) Non respectées (1)
Vallée du Rhône Mesures fixes Industriel Respecté Respectées
(1) dépassement constaté par modélisation
Historique des mesures depuis 2009En milieu urbain, les seuils réglementaires sont respectés chaque année. En 2013, les concentrations moyennes sont légèrement inférieures à celles de 2012.A proximité du trafic routier, les concentrations sont plus élevées mais les seuils réglementaires sont respectés sur les sites fixes de mesures (les modélisations ont toutefois montré que les seuils réglementaires pouvaient ne pas être respectés à proximité de certains axes routiers importants).
PM10 - Région de Montpellier PM10 - Sommières et Lunellois (environnement de l’incinérateur de Lunel-Viel)
Montpellier
Vallée du Rhône
Perpignan
Nîmes
Lunel
PM
10 e
n µ
g/m
3P
M10
en
µg/
m3
PM
10 e
n µ
g/m
3P
M10
en
µg/
m3
PM
10 e
n µ
g/m
3
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011 0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011 2012
2012 2012
2012
2012 2013
2013 2013
2013
2013
Montpellier
Vallée du Rhône
Perpignan
Nîmes
Lunel
PM
10 e
n µ
g/m
3P
M10
en
µg/
m3
PM
10 e
n µ
g/m
3P
M10
en
µg/
m3
PM
10 e
n µ
g/m
3
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011 0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011 2012
2012 2012
2012
2012 2013
2013 2013
2013
2013
PM10 - Région de Nîmes PM10 - Région de PerpignanMontpellier
Vallée du Rhône
Perpignan
Nîmes
Lunel
PM
10 e
n µ
g/m
3P
M10
en
µg/
m3
PM
10 e
n µ
g/m
3P
M10
en
µg/
m3
PM
10 e
n µ
g/m
3
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011 0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011 2012
2012 2012
2012
2012 2013
2013 2013
2013
2013
Montpellier
Vallée du Rhône
Perpignan
Nîmes
Lunel
PM
10 e
n µ
g/m
3P
M10
en
µg/
m3
PM
10 e
n µ
g/m
3P
M10
en
µg/
m3
PM
10 e
n µ
g/m
3
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011 0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011 2012
2012 2012
2012
2012 2013
2013 2013
2013
2013
PM10 - Vallée du Rhône (environnement de l’Ardoise)
Montpellier
Vallée du Rhône
Perpignan
Nîmes
Lunel
PM
10 e
n µ
g/m
3P
M10
en
µg/
m3
PM
10 e
n µ
g/m
3P
M10
en
µg/
m3
PM
10 e
n µ
g/m
3
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011 0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011
0
10
20
30
40
50
2009 2010 2011 2012
2012 2012
2012
2012 2013
2013 2013
2013
2013
légendemoyenne annuelle PM10 MAX
Milieu urbain ou périurbain
Proximité trafic routier
Objectif de qualité
Proximité site industriel
Valeur limite
22 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
NO2dioxyde d’azote
surveillance permanente - résultats 2013
particules en suspension
PM10
ZONECADRE
DE LA SURVEILLANCE PONCTUELLE
MOYENS MIS EN ŒUVRE COMMENTAIRESPM10
Région de Montpellier
RD 68 LIEN Aménagement du tronçon
entre l’A750 à Bel Air et la RD 986 au Nord
de Saint-Gély-du-Fesc
Etat initial de la qualité de l’air
et simulations
Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les
conditions météorologiques les plus défavorables pour 4 scénarii
Etat initial 2012
Sur le domaine d’étude, les valeurs réglementaires sont respectées
Simulations 2020 et 2040
Pas de dépassement des seuils réglementaires
- augmentation logique des concentrations le long des aménagements et sur le LIEN déjà existant
- diminution des concentrations sur la route de Bel Air (RD 102) et, moins significativement, dans les traversées de Grabels et de Saint-Gély-du-Fesc du fait de la baisse
attendue du trafic routier
Région de Nîmes
Projet d’extension Nord de la ligne 1
du TRAM’BUS
Etat initial de la qualité de l’air
et simulations
- Station mobile pendant 4 mois Boulevard Victor-Hugo
et 2 mois rue Faïta
- Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les
conditions météorologiques les plus défavorables pour 5 scénarii
Etat initial 2012-2013
Valeur limite non respectée avenue de la Liberté au niveau du rond-point au-dessus de l’autoroute A9
Simulations 2025
Conséquence de la baisse des émissions entre 2012 et 2025 (tous scénarii confondus), une diminution des concentrations est attendue en 2025 dans le domaine
d’étude
La valeur limite devrait être respectée sur tout le domaine d’étude
Région de Sète
Qualité de l’air autour du poste de douane de Sète
Bilan 2013 et évolution depuis 2007
- Station mobile pendant 1 mois en été 2013 puis 2 mois en hiver
2013-2014 entre le poste de douane et le poste de police de l’air et des
frontières
- Mesure complémentaire de l’exposition des agents pendant un
débarquement de ferry
Valeurs réglementaires respectées
Hausse ponctuelle des concentrations de PM 10 liées aux émissions des véhicules lors des embarquements
et débarquements de ferries
Mèze
Mesures à proximité du trafic routier
Station mobile durant toute l’année 2013
Valeurs réglementaires respectées
Zone d’AlèsEtude de modélisation
Zone industrielle de Salindres
Modélisations des émissions industrielles et du trafic routier
Valeurs réglementaires respectées sur l’ensemble du domaine modélisé
Le trafic routier est à l’origine des plus fortes concentrations de PM 10
Au niveau de la zone industrielle, dès que l’on s’éloigne des sources émettrices, la contribution des industries
sur les concentrations devient très faible
23AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
surveillance ponctuelle - résultats 2013
PYRÉNÉES-ORIENTALES
AUDE
HÉRAULT
GARD
LOZÈRE
Régionde Perpignan
Valléedu Rhône
Sommièreset Lunellois
Zone d'Alès
Régionde Montpellier
Régionde Nîmes
Narbonnais
PM2,52008-2012
Régionde Carcassonne
Régionde Sète
Surveillance ponctuelle
Surveillance permanente et ponctuelle
2009-2013
Surveillance permanente
28% 26%
1%
19% 1%
25%
Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)
19%
23% 1%
28%
1% 28%
Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)
Agriculture, sylviculture et nature Industrie et traitement des déchets Production et distribution d'énergie Résidentiel et tertiaire Transports non routiers Transports routiers
Origine des émissions de PM10 en Languedoc-Roussillon
Agriculture, sylviculture et nature Industrie et traitement des déchets Production et distribution d'énergie Résidentiel et tertiaire Transports non routiers Transports routiers
Origine des émissions de PM 2,5 en Languedoc-Roussillon
24 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Dispositif de surveillance des particules en suspension PM2,5 (2009-2013)
PM2,5particules en suspension
Comparaison aux normes en 2013
ZONE MOYENSMIS EN ŒUVRE
TYPEDE SITE
OBJECTIF DE QUALITÉ PM2,5
VALEUR CIBLE PM2,5
VALEUR LIMITE PM2,5
Région de MontpellierMesures fixes et
modélisations
Urbain Non respecté Respectée Respectée
Proximité trafic routier Non respecté (1) Non respectée (1) Non respectée (1)
Région de NîmesMesures fixes et
modélisations
Urbain Non respecté Respectée Respectée
Proximité trafic routier Non respecté (1) Non respectée (1) Non respectée (1)
Région de PerpignanMesures fixes et
modélisations
Urbain Non respecté Respectée Respectée
Proximité trafic routier Non respecté (1) Non respectée (1) Respectée
(1) dépassement constaté par modélisation
Historique des mesures depuis 2009En milieu urbain, comme à proximité du trafic routier, l’objectif de qualité n’est pas respecté. En revanche, sur les sites de mesures, la valeur cible et la valeur limite ne sont pas dépassées (les modélisations ont toutefois montré que la valeur cible et la valeur limite pouvaient ne pas être respectées à proximité de certains axes routiers importants).
PM 2,5 - Région de Montpellier PM 2,5 - Région de NîmesMontpellier
Vallée du Rhône
Perpignan
Nîmes
Lunel
PM
2,5
en
µg/
m3
PM
2,5
en
µg/
m3
PM
2,5
en
µg/
m3
PM
2,5
en
µg/
m3
PM
2,5
en
µg/
m3
0
10
20
30
40
2009 2010 2011 2012 2013
0
10
20
30
40
2009 2010 2011 2012 2013
0
10
20
30
40
2009 2010 2011 2012 2013
Montpellier
Vallée du Rhône
Perpignan
Nîmes
Lunel
PM
2,5
en
µg/
m3
PM
2,5
en
µg/
m3
PM
2,5
en
µg/
m3
PM
2,5
en
µg/
m3
PM
2,5
en
µg/
m3
0
10
20
30
40
2009 2010 2011 2012 2013
0
10
20
30
40
2009 2010 2011 2012 2013
0
10
20
30
40
2009 2010 2011 2012 2013
PM 2,5 - Région de Perpignan
Montpellier
Vallée du Rhône
Perpignan
Nîmes
Lunel
PM
2,5
en
µg/
m3
PM
2,5
en
µg/
m3
PM
2,5
en
µg/
m3
PM
2,5
en
µg/
m3
PM
2,5
en
µg/
m3
0
10
20
30
40
2009 2010 2011 2012 2013
0
10
20
30
40
2009 2010 2011 2012 2013
0
10
20
30
40
2009 2010 2011 2012 2013
Milieu urbain ou périurbain
Proximité trafic routier
Objectif de qualité
Valeur cible
Proximité site industriel
Valeur limite
légendemoyenne annuelle PM2,5
25AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
surveillance permanente - résultats 2013
ZONECADRE
DE LA SURVEILLANCE PONCTUELLE
MOYENS MIS EN ŒUVRE COMMENTAIRES PM 2,5
Région de Montpellier
RD 68 LIEN - Aménagement du tronçon entre l’A750 à
Bel Air et la RD 986 au Nord de Saint-Gély-du-Fesc
Etat initial de la qualité de l’air et simulations
Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les conditions météorologiques
les plus défavorables pour 4 scénarii
Etat initial 2012
Sur le domaine d’étude, les valeurs réglementaires sont respectées
Simulations 2020 et 2040
- augmentation logique des concentrations le long des aménagements et sur le LIEN déjà existant
- diminution des concentrations sur la route de Bel Air (RD 102) et, moins significativement, dans les traversées de
Grabels et de Saint-Gély-du-Fesc du fait de la baisse attendue du trafic routier
Région de Nîmes
Projet d’extension Nord de la ligne 1 du TRAM’BUS
Etude de la qualité de l’air et simulations
- Station mobile pendant 4 mois le long du
Boulevard Victor-Hugo et 2 mois rue Faïta
- Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les conditions météorologiques les plus
défavorables pour 5 scénarii
Etat initial 2012-2013
Valeur limite non respectée avenue de la Liberté à hauteur du rond-point au-dessus de l’autoroute A9
Simulations 2025
Conséquence de la baisse des émissions entre 2012 et 2025 (tous scénarii confondus),
une diminution des concentrations est attendue en 2025 dans le domaine d’étude
Région de Sète
Qualité de l’air autour du poste de douane de Sète
Bilan 2013 et évolution depuis 2007
- Station mobile pendant 1 mois en été 2013 puis 2 mois en hiver
2013-2014 entre le poste de douane et le poste de police de
l’air et des frontières
- Mesures complémentaires lors du temps de présence
des agents sur 2 sites pendant 2 semaines
Objectif de qualité probablement non respecté, comme sur l’ensemble des sites de mesures pérennes
de la région
Pas de risque de dépassement de la valeur cible ni de la valeur limite
Lors du temps de présence des agents des douanes, les concentrations de PM2,5 à l’extérieur peuvent être
influencées par une ou des sources d’émissions proches, très probablement les véhicules circulant lors des rotations
des ferries
Mèze
Mesures à proximité du trafic routier
Station mobile durant toute l’année 2013
Objectif de qualité non respecté
Valeur cible et valeur limite respectées
26 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
PM2,5particules en suspension
Minervoiset Piémont Biterrois
Régionde Perpignan
Zone d'Alès
Régionde Montpellier
Biterrois
Région de Sète
Régionde Nîmes
Nord OuestBassin de Thau
Narbonnais
Benzène2009-2013
Régionde Carcassonne
PYRÉNÉES-ORIENTALES
AUDE
HÉRAULT
GARD
LOZÈRE
Surveillance permanente
2009-2013
Surveillance ponctuelle
Surveillance permanente et ponctuelle
21%
4% 2% 2% 4%
67%
Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)
Origine des émissions de benzène en Languedoc-Roussillon
Agriculture, sylviculture et nature Industrie et traitement des déchets Production et distribution d'énergie Résidentiel et tertiaire Transports non routiers Transports routiers
27AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Dispositif de surveillance pour le benzène (2009-2013)
C6 H6benzène
Comparaison aux normes en 2013
ZONE MOYENSMIS EN ŒUVRE
TYPEDE SITE
OBJECTIF DE QUALITÉ C6H6
VALEUR LIMITE C6H6
Région de MontpellierMesures fixes
et mesures indicativesUrbain Respecté Respectée
Trafic Non respecté Respectée
Région de Perpignan Mesures indicatives Urbain Respecté Respectée
Trafic Respecté Respectée
Nord-Ouest Bassin de Thau
Mesures indicatives Urbain Respecté Respectée
Trafic Respecté Respectée
Biterrois Mesures indicatives Urbain Respecté Respectée
Trafic Respecté Respectée
Narbonnais Mesures indicatives Urbain Respecté Respectée
Trafic Respecté Respectée
Zone d’Alès Mesures indicatives Urbain Respecté Respectée
Trafic Non respecté Respectée
Historique depuis 2009Les concentrations de benzène les plus élevées sont enregistrées à proximité du trafic routier avec, parfois, pour conséquence le non-respect de l’objectif de qualité. Néanmoins, la valeur limite n’est dépassée nulle part. Tant en milieu urbain qu’à proximité du trafic routier, entre 2009 et 2013, on observe globalement une diminution des concentrations de benzène sur la majeure partie des sites de mesures.
Benzène - Région de Montpellier Benzène - Région de PerpignanMontpellier Perpignan
Nord-Ouest du Bassin de Thau
Biterrois
Narbonnais
Alésien
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/
m3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
2009 2010 2011 2012 2009 2010 2011 2012
2009 2010 2011
2009 2010 2011 2012
2009 2010 2011 2012 2012
2009 2010 2011 2012
2013 2013
2013
2013 2013
2013
Montpellier Perpignan
Nord-Ouest du Bassin de Thau
Biterrois
Narbonnais
Alésien
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/
m3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
2009 2010 2011 2012 2009 2010 2011 2012
2009 2010 2011
2009 2010 2011 2012
2009 2010 2011 2012 2012
2009 2010 2011 2012
2013 2013
2013
2013 2013
2013
Benzène - Narbonnais Benzène - Nord-Ouest du Bassin de Thau
Montpellier Perpignan
Nord-Ouest du Bassin de Thau
Biterrois
Narbonnais
Alésien
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/
m3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
2009 2010 2011 2012 2009 2010 2011 2012
2009 2010 2011
2009 2010 2011 2012
2009 2010 2011 2012 2012
2009 2010 2011 2012
2013 2013
2013
2013 2013
2013
Montpellier Perpignan
Nord-Ouest du Bassin de Thau
Biterrois
Narbonnais
Alésien
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/
m3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
2009 2010 2011 2012 2009 2010 2011 2012
2009 2010 2011
2009 2010 2011 2012
2009 2010 2011 2012 2012
2009 2010 2011 2012
2013 2013
2013
2013 2013
2013
Benzène - Biterrois Benzène - Région d’Alès
Montpellier Perpignan
Nord-Ouest du Bassin de Thau
Biterrois
Narbonnais
Alésien
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/
m3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
2009 2010 2011 2012 2009 2010 2011 2012
2009 2010 2011
2009 2010 2011 2012
2009 2010 2011 2012 2012
2009 2010 2011 2012
2013 2013
2013
2013 2013
2013
Montpellier Perpignan
Nord-Ouest du Bassin de Thau
Biterrois
Narbonnais
Alésien
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/
m3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
0
2
4
6
8
Ben
zène
en
g/m
3
2009 2010 2011 2012 2009 2010 2011 2012
2009 2010 2011
2009 2010 2011 2012
2009 2010 2011 2012 2012
2009 2010 2011 2012
2013 2013
2013
2013 2013
2013
légendemoyenne annuelle C6H6 MAX
Objectif de qualitéMilieu urbainou périurbain
Proximitétrafic routier
Valeur limite
28 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
dioxyde d’azote
surveillance permanente - résultats 2013
benzèneC6 H6
ZONECADRE
DE LA SURVEILLANCE PONCTUELLE
MOYENS MIS EN ŒUVRE COMMENTAIRESC6H6
Région de
Montpellier
RD 68 LIEN - Aménagement du tronçon entre l’A750 à
Bel Air et la RD 986 au Nord de Saint-Gély-du-Fesc
Etat initial de la qualité de l’air et simulations
Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les conditions
météorologiques les plus défavorables pour 4 scénarii
Etat initial 2012 et futur
Quels que soient le scénario et l’année considérés, les valeurs réglementaires sont
respectées sur l’ensemble de la bande d’étude
Aéroport de Montpellier-Méditerranée
Etude de la qualité de l’air
Mesures : tubes passifs sur 9 sites (5 sites en air intérieur, 2 sites en air ambiant
et 2 sites référence) pendant 2 mois en hiver 2013
puis 2 mois en été 2013
Objectif de qualité et valeur limite respectés
Région de Nîmes
Projet d’extension Nord de la ligne 1 du TRAM’BUS
Etude de la qualité de l’air et simulations
- Mesures : tubes passifs sur 33 sites pendant 1 mois en hiver 2013 puis 1 mois en été 2013
- Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les conditions
météorologiques les plus défavorables pour 5 scénarii
Etat initial 2012-2013
L’objectif de qualité pourrait ne pas être respecté rue Dhuoda, rond-point du Colisée et
avenue du Président S.Allende
Valeur limite annuelle respectée
Simulations 2025
Quel que soit le scénario considéré, les concentrations de benzène sont similaires et
respectent les valeurs réglementaires
Région de
Sète
Qualité de l’air autour du poste de douane de Sète
Bilan 2013 et évolution depuis 2007
Mesures : tubes passifs sur 13 sites pendant 1 mois en été 2013
puis 1 mois en hiver 2013-2014
Objectif de qualité et valeur limite respectés
Entre 2007 et 2013, diminution des concentrations de benzène en lien avec la diminution des émissions
des véhicules
Usine Scori
Etat des lieux de la qualité de l’air
Mesures : tubes passifs sur 11 sites pendant 1 mois en été 2013
puis 1 mois en hiver 2013-2014
A l’intérieur du site
Mise en évidence d’une ou plusieurs sources de benzène liées à l’activité de SCORI
A l’extérieur du site
Objectif de qualité et valeur limite respectés
Il n’a pas été mis en évidence d’impact significatif de l’activité de SCORI sur les concentrations de
benzène dans son environnement
Mèze
Mesures à proximité du trafic routier
Station mobile durant toute l’année 2013 Objectif de qualité et valeur limite respectés
29AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
surveillance ponctuelle - résultats 2013
SO22008-2012
Zone d'Alès
Régionde Montpellier
Région de Sète
Régionde Nîmes
PYRÉNÉES-ORIENTALES
AUDE
HÉRAULT
GARD
LOZÈRE
Valléedu Rhône
Surveillance ponctuelle
Surveillance permanente et ponctuelle
2009-2013
Surveillance permanente
22%
4%
17%
19%
16% 22%
Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)
Agriculture, sylviculture et nature
Industrie et traitement des déchets
Production et distribution d'énergie
Résidentiel et tertiaire
Transports non routiers
Transports routiers
Origine des émissions de dioxyde de soufreen Languedoc-Roussillon
30 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
dioxyde de soufre
Dispositif de surveillance pour le dioxyde de soufre (2009-2013)
SO2
Comparaison aux normes en 2013
ZONE MOYENS MIS EN ŒUVRE TYPE DE SITE OBJECTIF DE QUALITÉ
SO2
VALEURS LIMITES SO2
Vallée du Rhône
- Mesures fixes - Simulation de la dispersion
atmosphérique- Inventaire des émissions
Industriel Respecté Respectées
Historique depuis 2009Autour du centre de production thermique EDF d’Aramon, les concentrations de SO2 sont, chaque année, faibles et nettement inférieures aux seuils réglementaires.
SO2 - Vallée du Rhône (Environnement d’Aramon)Surveillance imposée par arrêté préfectoral
0
10
20
30
40
50
60
2009 2010 2011 2012 2013
Objectif de qualité
SO
2 en
µg/
m3
ZONECADRE DE LA
SURVEILLANCE PONCTUELLE
MOYENS MIS EN ŒUVRE COMMENTAIRES
Région de Sète
Qualité de l’air autour du poste de douane
de Sète
Bilan 2013 et évolution depuis 2007
- Station mobile pendant 1 mois en été 2013 puis
2 mois en hiver 2013-2014 entre le poste de douane et le poste de police de l’air et
des frontières
Constat 2013
Valeurs réglementaires très largement respectées
Evolution 2007-2013
Diminution des concentrations de SO2 en lien avec la baisse de l’activité du poste de douane (moins de rotation de ferries) et la diminution de la teneur en
soufre dans le carburant
Max site industriel
Objectif de qualitélégende
moyenne annuelle SO2
31AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
surveillance permanente - résultats 2013
surveillance ponctuelle - résultats 2013
Surveillance permanente
2009-2013
Surveillance ponctuelle
Surveillance permanente et ponctuelle
Régionde Perpignan
Valléedu Rhône
Zone d'Alès
Région de Sète
Fenouillèdes
Métaux2009-2013
Sommièreset Lunellois
Régionde Montpellier
PYRÉNÉES-ORIENTALES
AUDE
HÉRAULT
GARD
LOZÈRE
0 %
20 %
40 %
60 %
80 %
100 %
As Cd Ni Pb
Agriculture, sylviculture et nature
Industrie et traitement des déchets
Production et distribution d'énergie
Résidentiel et tertiaire
Transports non routiers
Transports routiers
Origine des émissions d’arsenic, cadmium, nickel et plomb
en Languedoc-Roussillon
32 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Dispositif de surveillance pour les métaux (2009-2013)
métaux
33AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
surveillance permanente - résultats 2013
Sommières et Lunellois environnement de l’UVED (incinérateur) de Lunel-VielSurveillance des métaux : Arsenic (As), Cadmium (Cd), Chrome (Cr), Mercure (Hg), Nickel (Ni), Thallium (Tl), Zinc (Zn)
Air ambiant (site de Lunel-Viel)Sols
Autoroute
SAINT-JUST
LANSARGUES
VALERGUES
UVED
1 km
LUNEL-VIEL
lichens
retombées atmosphériques
Compartiment de mesures des métaux
air ambiant
sols
Station fixe de mesures implantée au stade de Lunel-Viel
CONCENTRATION DE MÉTAUX DANS LES SOLS en mg par kg de matière sèche
Environnement de l’UVED de Lunel-Viel
Concentration moyenne*Seuils de référence
2012 2013 1er seuil 2e seuil
Arsenic 13 9 19 37
Cadmium 0,28 0,22 10 20
Chrome 28 26 65 130
Mercure 0,07 0,07 3,5 7
Nickel 20 18 70 140
Thallium <LQ** <LQ** 5 10
Zinc 70 56 4500 9000
* moyenne déterminée à partir de 7 points de mesures** limite de quantification
CONCENTRATION MOYENNE ANNUELLE DANS L’AIR AMBIANT en ng/m3
Lunel-VielValeurs de référence
2011 2012 2013
Arsenic 0,5 0,4 0,7 6
Cadmium 0,2 0,2 0,6 5
Chrome 0,9 0,2 1,2 -
Mercure 0,2 0,2 0,6 -
Nickel 0,9 0,6 0,8 20
Thallium 0,2 0,2 0,6 -
Zinc 13,6 3,6 8,7 -
Retombées atmosphériques totales
Présentation du dispositif permanent de surveillance des métaux autour de l’Unité de Valorisation Énergétique des Déchets (UVED) de Lunel-Viel
Moyens mis en œuvreDébut
du suiviFréquence
de la mesure
Air ambiant 1 station fixe à Lunel-Viel 2000 Continu
Sols 7 sites autour de l'UVED 1998 1 prélèvement annuel
Retombées atmosphériques totales
Collecteurs de précipitations sur 6 sites au Sud de l’UVED
20051 campagne annuelle
de 2 mois
Lichens* 7 sites autour de l’UVED 2007 1 prélèvement annuel
*prélèvement réalisé par la société AAIR Lichens
CONCENTRATIONS DE MÉTAUX DANS LES RETOMBÉES ATMOSPHÉRIQUES TOTALES EN en µg/m2/jour
Sud de l’UVED de Lunel-Viel - Année 2013
Référence INERIS
Valeurs limites
suisses ou allemandes
Proximité UVED
2200 m au Sud
de l’UVED
Arsenic 1,9 1,2 Milieu urbain : 6,7Bruit de fond rural : 0,4 à 6 4
Cadmium <0,3 <0,25 Milieu urbain : 4Bruit de fond rural : < 0,06 à 0,3 2
Chrome 10,0 7,4 Milieu urbain : 3,6Bruit de fond rural : 1,6 à 5,4 -
Mercure <1,1 <0,27 Milieu urbain : 0,01Bruit de fond rural : 0,01 à 0,03 1
Nickel 5,0 6,2 Milieu urbain : 5Bruit de fond rural : 1,8 à 5 15
Thallium <0,3 <0,25 Pas de données 2
Zinc 22 319* Pas de données 400
* valeur sans lien avec le fonctionnement de l’UVED
Commentaires 2013 : autour de l’UVED de Lunel-Viel, les concentrations de métaux dans l’air ambiant, les sols, les retombées atmosphériques et les lichens sont inférieures aux valeurs de référence existantes. Comme pour les années précédentes, le fonctionnement de l’UVED n’a pas eu d’influence significative sur ces éléments.
Périphérie de Perpignan environnement de l’UTVE (incinérateur) de CalceDepuis janvier 2005, un dispositif permanent de surveillance des métaux dans l’air ambiant est en place dans l’environnement de l’incinérateur de Calce.
Sommières et Lunellois environnement de la Verrerie de Vergèze
Montpellier mesures en milieu urbain
CONCENTRATION MOYENNE ANNUELLE en ng/m3
ENVIRONNEMENT DE LA VERRERIE DE VERGÈZEValeurs de référence (moyenne annuelle)
11 semaines en 2009
44 semaines en 2010
51 semaines en 2011
51 semaines en 2012
52 semaines en 2013
Arsenic 4,9 3,1 2,5 1,1 3,3 6
Nickel 1,9 1,9 1,5 1,4 1,2 20
Plomb 30 24 17 non mesurée 33* 250
* moyenne du 2 septembre au 31 décembre 2013 (11 semaines)
CONCENTRATION MOYENNE ANNUELLE DE MÉTAUX DANS L’AIR AMBIANT
en ng/m3
MILIEU URBAIN – RÉGION DE MONTPELLIER
Valeurs de référence (moyenne annuelle)
Arsenic 0,33 6
Cadmium < 0,2 5
Nickel 1,25 20
Plomb 4,12 250
CONCENTRATION MOYENNE ANNUELLE DE MÉTAUX DANS L’AIR AMBIANT en ng/m3
SUR LE SITE DE SAINT-ESTÈVE
2011 2012 2013 Valeurs de référence
Arsenic 0,3 0,2 0,2 6
Cadmium 0,2 0,2 0,2 5
Chrome 1,5 2,2 1,4 -
Manganèse 3,7 3,7 2,9 150
Nickel 2,2 2,0 1,1 20
Plomb 3,2 3,0 2,3 250
Thallium 0,8 0,8 0,8 -
Zinc 10,2 9,1 8,3 -
Chaque année, concentrations moyennes annuelles de métaux nettement inférieures aux valeurs de référence.
Des mesures d’arsenic et de nickel sont réalisées depuis 2009 dans l’environnement de la verrerie de Vergèze.
Arsenic, nickel et plomb : valeurs réglementaires respectées
Eléments « émis par la verrerie » :
Arsenic : les concentrations ont été multipliées par 3 entre 2012 et 2013, après une baisse régulière entre 2010 et 2012. Le fonctionnement de la verrerie en conditions dégradées (filtre à fumée de la verrerie arrêté) pendant plus de la moitié de l’année est la principale cause de cette nette augmentation.
Conformément aux recommandations nationales, une surveillance urbaine régionale a été mise en place à Montpellier en janvier 2013.
Commentaires 2013 : Les concentrations moyennes de métaux en milieu urbain montpelliérain sont largement inférieures aux valeurs de référence existantes.
Baho
Peyrestortes
Saint-Estève
Le Soler
PerpignanPerpignan
Valergues
Lansargues
Lunel-Viel
Saint-Just
Lunel
Station de mesure
Sols
Station de mesure(air ambiant)
Eléments surveillés : As, Cd, Cr, Mn, Ni, Pb, Tl, Zn
Retombées atmosphériques
Dispositif de surveillance dans l'environnement de l'incinérateur de Calce (Périphérie de Perpignan)
Dispositif de surveillance dans l'environnement de l'UIOM de Lunel-Viel
2ème partie/bilan Polluants/Métaux/Reseaux Calce et LunelViel v2008.ai
Routes
Compartiment de mesures des métaux
1 km
2 km
Lichens
Incinérateur
Incinérateur
Plomb : la concentration moyenne en 2013 est en augmentation par rapport à 2010 et 2011 (non mesurée en 2012). Elle est en revanche de l’ordre de grandeur de la moyenne sur 11 semaines enregistrée en 2009, qui correspond également à une période pendant laquelle le filtre était majoritairement à l’arrêt.
Elément « témoin » :
Nickel : les teneurs dans l’air ambiant ne sont pas impactées par le fonctionnement de la verrerie en mode dégradé ; elles ont légèrement diminué (-18%) entre 2012 et 2013. La moyenne 2013 est la plus faible depuis le début des mesures.
34 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
surveillance permanente - résultats 2013
métaux
PYRÉNÉES-ORIENTALES
AUDE
HÉRAULT
GARD
LOZÈRE
HAP
HAP
HAP
HAP
HAP
Dioxines
COV
COV
COV
NH3
NH3
NH3
NH3
H2S
H2S
H2S
Minervoiset Piémont Biterrois
Sommièreset Lunellois
Zone d'Alès
Régionde Montpellier
Biterrois
Région de Sète
Narbonnais
HAP, COV,NH3, H2S2008-2012
Régionde Perpignan
Régionde Nîmes
Surveillance permanente
2009-2013
Surveillance ponctuelle
Surveillance permanente et ponctuelle
35AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Dispositif de surveillance pour les dioxines, NH3, COV, HAP, H2S (2009-2013)
autrespolluants
Narbonnais
250 5000
M ètres
Mo u s s a n
250 5000
M ètres
Tube passif NH3
LégendeSite industriel d’Aréva Malvési
Implantation des échantillonneurs passifs ammoniacEnvironnement de la zone industrielle de Malvézy (Narbonne)
NH3 dans l’air ambiant
Concentration moyenne annuelle d’ammoniac en µg/m3
45
66
Année 2012
Année 2013
Référence
Livière HauteFlorès
Audecoop
SLMC
50
9
14
66
1
22
4467
1
12
Moussan
Environnement de la zone industrielle de Malvézy (Narbonne)
Résultats
Les concentrations annuelles de NH3 dans l’air ambiant :
- sont inférieures à la valeur recommandée par l’agence de protection de l’environnement des Etats-Unis (100 µg/m3 pendant une vie entière),
- diminuent rapidement lorsqu’on s’éloigne de l’usine d’AREVA Malvési,
- ont peu évolué entre 2012 et 2013.
NH3ammoniac
dioxines Sommières et LunelloisValeurs de référence (Source : INERIS)
SOLSen ng I-TEQ par kg de matière sèche
Zones rurales : 0,02 à 1Zones urbaines : 0,2 à 17
Zones industrielles : 20 à 60
RETOMBÉES ATMOSPHÉRIQUES TOTALESen pg I-TEQ/m²/jour
Zone rurale : 5 à 20Zone urbaine : 10 à 85
Proche d’une source : jusqu’à 1000
AIR AMBIANTen pg I-TEQ/m3
Rurale éloignée : <0,01Rurale : 0,02 à 0,05
Urbain ou industriel : 0,1 à 0,4
Remarque sur la présentation des résultats de mesure des dioxines et furanes :Les résultats des analyses d’un mélange de dioxines et furannes sont exprimés en utilisant le calcul d’une quantité toxique équivalente (I-TEQ pour International-Toxic Equivalent Quantity) dont le mode de calcul est défini par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Dispositif de surveillance(environnement de l’incinérateur de Lunel-Viel)
Résultats mesures dioxines
1 km
Autoroute
SAINT-JUST
LANSARGUES
LUNEL-VIELLUNEL-VIELUVED
2012 - prélèvement le 28 mars 2013 - prélèvement le 30 avril
0,74 ng I-TEQ par kg de matière sèche 0,40 ng I-TEQ par kg de matière sèche
SOLS
2012 - du 6 juillet au 17 septembre 2013 - du 12 au 20 septembre
0,018 pg I-TEQ par m3 0,024 pg I-TEQ par m3
AIR AMBIANT
2012 - du 25 juillet au 28 septembre 2013 - du 21 octobre au 18 décembre
0,038 à 2,4 pg I-TEQ par m²/jour 0,12 à 2,2 pg I-TEQ par m2/jour
RETOMBÉES ATMOSPHÉRIQUES TOTALES
2012 - prélèvement le 28 mars 2013 - prélèvement le 30 avril
0,60 ng I-TEQ par kg de matière sèche 0,53 ng I-TEQ par kg de matière sèche
SOLS
2012 - du 25 juillet au 28 septembre 2013 - du 21 octobre au 18 décembre
0,03 à 2 pg I-TEQ par m²/jour 5,8 à 7,3 pg I-TEQ par m2/jour
RETOMBÉES ATMOSPHÉRIQUES TOTALES
Commentaires : d’après les références fournies par l’INERIS, les niveaux de dioxines dans les sols, les retombées atmosphériques et l’air ambiant sont représentatifs d’une zone rurale.
36 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
surveillance permanente - résultats 2013
autrespolluants
ZONECADRE DE LA
SURVEILLANCE PONCTUELLE
MOYENS MIS EN ŒUVRE COMMENTAIRES
Région de
Montpellier
Aéroport de Montpellier-
Méditerranée
Etude de la qualité de l’air
COV
Canisters : prélèvement d’air pendant 3 heures en été et en
hiver sur 3 sites (2 en air intérieur et 1 en air ambiant)
Globalement, on trouve davantage de COV à l’intérieur des bâtiments qu’à l’extérieur, ce qui confirme la prédominance
des « sources » de COV en air intérieur
RD 68 LIEN - Aménagement du
tronçon entre l'A750 à Bel Air et la RD 986 au Nord de
Saint-Gély-du-Fesc
Etat initial de la qualité de l’air et
simulations
HAP - benzo(a)pyrène
Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les conditions météorologiques
les plus défavorables pour 4 scénarii
Valeur cible largement respectée sur l’ensemble de la bande d’étude quel que soit le scénario considéré
Région de
Nîmes
Mesures temporaires du benzo(a)pyrène
à Nîmes
(Gard)
HAP - benzo(a)pyrène
64 prélèvements de 24 heures répartis sur l’ensemble de l’année
2013
Valeur cible largement respectée
Vis-à-vis des exigences des directives européennes et compte tenu des concentrations enregistrées, la mesure
permanente du benzo(a)pyrène dans l’air ambiant à Nîmes n’apparaît pas obligatoire
Zone d’Alès
Etude de modélisation
Zone industrielle de Salindres
NH3
Modélisations des émissions industrielles et du trafic routier
Les concentrations relativement les plus élevées se trouvent à proximité immédiate des sources émettrices de la zone
industrielle. Dès que l’on s’éloigne de ces sources, la contribution des industries sur les concentrations devient
très faible.
L’influence du trafic routier est négligeable
Région de
Sète
Usine Scori
Etat des lieux de la qualité de l’air
H2S
Mesures : tubes passifs sur 11 sites pendant 1 mois
en été 2013
A l’intérieur du site
Concentrations de H2S faibles et à peine supérieures aux valeurs mesurées en milieu rural
A l’extérieur du site
Aucun impact significatif de l’activité de SCORI sur les concentrations d’H2S dans son environnement.
Mise en évidence, dans la zone industrielle de Sète, de sources significatives de H2S sans lien avec l’activité de SCORI
37AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
surveillance ponctuelle - résultats 2013
Théorie sur la mesureLe protocole de mesure des poussières sédimentables mis en œuvre par AIR LR se réfère à la norme AFNOR NF X 43-007 de décembre 2009 qui remplace celle de 1973 :
- Les poussières sédimentables se déposent sur une plaquette métallique de surface connue, enduite d’un fixateur.
- Pour les réseaux gérés par AIR LR, la durée d’exposition des plaquettes a été fixée à un mois.
- Les plaquettes sont ensuite analysées en laboratoire.
- Les résultats sont exprimés en milligrammes de poussières déposées par mètre carré et par jour (mg/m²/jour).
Remarque : Cette méthode de mesure concerne uniquement les poussières sédimentables. Elle ne rend pas compte des éventuels problèmes liés aux particules en suspension, beaucoup plus fines (diamètre moyen inférieur à 10 microns), dont la mesure et les effets sont complètement différents.
En l’absence de seuil réglementaire, AIR Languedoc-Roussillon, s’appuyant sur son expérience, a établi des ordres de grandeur qualifiant l’empoussièrement de la région.
Moyenne annuelle Qualificatif du réseau
< 150 mg/m2/jour Empoussièrement faible
150 à 250 mg/m2/jour Empoussièrement moyen
> 250 mg/m2/jour Empoussièrement fort
Empoussièrement annuel
Carrière de Bieudon (30)
Empoussièrement Qualificatif ponctuel
> 350 mg/m2/jour Gêne potentielle importante
> 1 000 mg/m2/jour Exceptionnels, ils se rencontrent dans l’environnement immédiat de certaines carrières ou de certains centres industriels particulièrement empoussiérés, généralement au cours de mois secs et/ou ventés.
Empoussièrement mensuel
38 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
surveillance permanente - résultats 2013
poussières sédimentables
PSED
Fin 2013, les retombées de poussières sédimentables étaient surveillées par AIR LR autour de 69 exploitations, principalement des carrières.
NîMES
MENDE
CARCASSONNE
MONTPELLIER
Beaucairecarrières
Beaucairecimenterie
LunelCombaillaux
Labécèdedu Lauragais
Port-la-Nouvelle carrières
Port-la-Nouvelle cimenterie
121
50
St-Thibery92
105
Vingrau 48
Baixas 159 116
Latour-de-Carol
76Thuir 90
Salses-le-Château128La Narède62
Espira-de-l'Agly112
Usine d’Espira-de-l'Agly83
Elne92
Salvezines 49
Moussoulens 49
Alzonne 41
*La Caunette
35
66
Treilles 45
St-Pons-de-Thomières67
Verfeuil64
l'Ardoise73
Connaux*
Pouzilhac96
La Calmette128
Vallérargues 78
113
144
Castries54
Poussan118
Port vraquier de Sète121
Lamalou137
Bordeneuve*
St Papoul *
VendresNarbonne
68
Vic la Gardiole126
121
Brissac41
Viols-le-Fort40
157Murles
64Aniane
Roquefort-les-Corbières 40
La Palme 39
moyenne annuelle en mg/m2/j en 2012
moyenne annuelle en mg/m2/j en 2013
31
LansacSt-Arnac
St-Paul-de-Fenouillet 34
Caudiès-de-Fenouillèdes 34
Montpins 107
67Montredon
des Corbières
128
BeaucaireBieudon
93
105 Gignac
111Thézan les Béziers
Béziers
Argelliers
Centrale à béton*
Espira-de-l'Agly ISDND113
Thoiras 71
* *
93
74
25
82
8353
54
35
56
36
82 44
61
Caminal* 204
79
30
3336
52
5534
51
39
7829
32
29
41
34Campagne-sur-Aude 45
Quillan 37
60
44
39 47
87
33
5429
82
63
79
47
123
9770
151
53
91
388869
46
59
69
65
6048
43
42
St-Hyppolytede-Montaigu72130
La Galiberte5454
Castelnau d'Aude
*
La Garostière87 97
La Feyche53 46
184
Liouc115 60
* pas assez de mesures pour avoir une moyenne représentative de l'année
54 46Saint-André-de-Sangonis
Pouzols 68 55
Usine de Salses-le-Château68 53
Empoussièrement de fond moyen régional
0
25
50
75
100
20002001
20022003
20042005
20062007
20082009
20102011
2012
6560
39 3843
61
95
67
54 52 54
42
43
52
mg/
m2 /
jour
moyenne 2000 - 2011 : 56 mg/m2/jour
2013
Commentaires :En 2013, l’empoussièrement de fond moyen sur la région est en diminution par rapport à 2012.La moyenne 2013 est ainsi la plus faible depuis 2000.
Empoussièrement de fond
Commentaires :En 2013, comme les années précédentes, l’empoussièrement est FAIBLE autour de la majorité des sites surveillés par AIR LR.
Part (en %) des réseaux présentant
un empoussièrement2010 2011 2012 2013
Faible 97% 97% 97% 96%
Moyen 3% 3% 3% 4%
Fort 0% 0% 0% 0%
Résultats des mesures autour des sites surveillés
39AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
NO2 en µg/m3
1999
20
13
Co
nce
ntr
atio
ns
ann
uel
les
en N
O2
auto
ur
de
l'Au
toro
ute
A9
en B
iter
rois
- 1
999/
2013
0
20
40
60 -4
00
-300
-2
00
-100
0
100
200
300
Dis
tan
ce e
n m
ètre
s à
l'au
toro
ute
A9
Sud
-Est
N
ord-
Oue
st
Val
eur
limit
e an
nu
elle
40
g/m
3
Car
tog
rap
hie
de
la c
on
cen
trat
ion
mo
yen
ne
de
NO
2 à
Béz
iers
en
201
3
Pe
rsp
ec
tive
s : U
ne c
arto
grap
hie
étab
lie p
ar m
odél
isat
ion
à ha
ute
réso
lutio
n pe
rmet
trai
t d’
affi n
er le
s co
ncen
trat
ions
de
NO
2 et
d’a
utre
s po
lluan
ts e
t d’e
stim
er l’
expo
sitio
n de
s po
pula
tions
étu
des
résu
mé
télé
char
geab
le
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
Etu
de
2013
Un
par
ten
aria
t C
om
mu
nau
té d
’Ag
glo
mér
atio
n d
e B
ézie
rs M
édit
erra
née
(C
AB
M)
et A
IR L
R
Pri
nci
pau
x o
bje
ctif
s É
valu
er l’
évol
utio
n de
la p
ollu
tion
au d
ioxy
de
d’az
ote
(NO
2) d
epui
s la
der
nièr
e ét
ude
effe
ctué
e en
199
9 É
tabl
ir un
e ca
rtog
raph
ie d
es c
once
ntra
tions
de
NO
2 su
r la
vill
e de
Béz
iers
Eva
luer
l’im
pact
de
l’aug
men
tatio
n de
la
circ
ulat
ion
rout
ière
en
pério
de e
stiv
ale
Com
pare
r le
s co
ncen
trat
ions
mes
urée
s au
x va
leur
s ré
glem
enta
ires
Opt
imis
er le
rés
eau
de m
esur
es p
erm
anen
t F
ourn
ir à
la C
AB
M d
es é
lém
ents
util
es a
u di
agno
stic
du
Pla
n de
Dép
lace
men
ts U
rbai
ns
(PD
U)
Mo
yen
s m
is e
n œ
uvr
e M
esur
e du
NO
2, é
mis
aux
¾ p
ar
le tr
afic
rou
tier
en B
iterr
ois
54
site
s de
mes
ure
(éch
antil
lonn
eurs
pas
sifs
) -
Béz
iers
et c
omm
unes
ale
ntou
rs
Mes
ures
effe
ctué
es p
enda
nt
2 pé
riode
s co
ntra
stée
s :
été
2013
pui
s hi
ver
2013
/201
4
Éch
anti
llon
neu
r
pas
sif
sur
la p
lace
de
la v
icto
ire
Béz
iers
Rés
ult
ats
: V
aleu
r ré
gle
men
tair
e an
nu
elle
(40
µg
/m3 )
res
pec
tée
à l’e
xcep
tio
n d
es a
xes
rou
tier
s im
po
rtan
ts :
à pr
oxim
ité
de l’
A9,
le lo
ng d
u B
oule
vard
Mar
écha
l de
Lattr
e de
Ta
ssig
ny, l
e lo
ng d
es a
xes
rout
iers
rel
iant
le c
entr
e-vi
lle
aux
écha
ngeu
rs a
utor
outie
rs P
ollu
tion
de fo
nd (
20 µ
g/m
3 en
moy
enne
) lé
gèr
emen
t p
lus
élev
ée e
n c
entr
e-vi
lle d
e B
ézie
rs q
ue
dan
s le
s co
mm
un
es p
érip
hér
iqu
es, p
rinci
pale
men
t en
rais
on
d’un
rés
eau
rout
ier
plus
den
se e
t d’u
n m
ilieu
moi
ns o
uver
t
Où
la p
ollu
tio
n e
st-e
lle la
plu
s im
po
rtan
te ?
Le
lon
g d
es p
rin
cip
aux
axes
à l’
Est
/Sud
-Est
de
la v
ille
Qu
and
la p
ollu
tio
n e
st-e
lle la
plu
s im
po
rtan
te ?
C
once
ntra
tions
de
NO
2 p
lus
élev
ées
en h
iver
(ém
issi
ons
dues
au
chau
ffage
s’a
jout
ant à
cel
les
liées
au
traf
ic r
outie
r, co
nditi
ons
mét
éoro
logi
ques
moi
ns fa
vora
bles
à u
ne
bonn
e di
sper
sion
des
pol
luan
ts)
sau
f à
pro
xim
ité
des
lie
ux
tou
rist
iqu
es (
litto
ral)
où la
pol
lutio
n au
NO
2 es
t plu
s im
port
ante
l’ét
é en
rai
son
de l’
augm
enta
tion
du tr
afic
rou
tier
Qu
elle
s év
olu
tio
ns
dep
uis
199
9 ?
D
imin
utio
n d’
envi
ron
40%
des
ém
issi
ons
d’ox
yde
d’az
ote
(NO
x) e
n F
ranc
e m
étro
polit
aine
dep
uis
2009
(am
élio
ratio
n te
chni
que
des
véhi
cule
s) D
imin
uti
on
des
co
nce
ntr
atio
ns
de
NO
2 d
e 24
% e
n m
oyen
ne s
ur la
com
mun
e de
Béz
iers
Ret
rou
vez
l’en
sem
ble
des
rés
ult
ats
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
HÉ
RA
ULT
C
AM
PA
GN
ES
DE
ME
SU
RE
S
DU
DIO
XY
DE
D’A
ZO
TE
EN
BIT
ER
RO
ISÉ
tat
des
lieu
x 20
13 e
t év
olu
tio
n d
epu
is 1
999
BÉ
ZIE
RS
40 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
NO2 en µg/m3
1999
20
13
Co
nce
ntr
atio
ns
ann
uel
les
en N
O2
auto
ur
de
l'Au
toro
ute
A9
en B
iter
rois
- 1
999/
2013
0
20
40
60 -4
00
-300
-2
00
-100
0
100
200
300
Dis
tan
ce e
n m
ètre
s à
l'au
toro
ute
A9
Sud
-Est
N
ord-
Oue
st
Val
eur
limit
e an
nu
elle
40
g/m
3
Car
tog
rap
hie
de
la c
on
cen
trat
ion
mo
yen
ne
de
NO
2 à
Béz
iers
en
201
3
Pe
rsp
ec
tive
s : U
ne c
arto
grap
hie
étab
lie p
ar m
odél
isat
ion
à ha
ute
réso
lutio
n pe
rmet
trai
t d’
affi n
er le
s co
ncen
trat
ions
de
NO
2 et
d’a
utre
s po
lluan
ts e
t d’e
stim
er l’
expo
sitio
n de
s po
pula
tions
étu
des
résu
mé
télé
char
geab
le
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
Etu
de
2013
Un
par
ten
aria
t C
om
mu
nau
té d
’Ag
glo
mér
atio
n d
e B
ézie
rs M
édit
erra
née
(C
AB
M)
et A
IR L
R
Pri
nci
pau
x o
bje
ctif
s É
valu
er l’
évol
utio
n de
la p
ollu
tion
au d
ioxy
de
d’az
ote
(NO
2) d
epui
s la
der
nièr
e ét
ude
effe
ctué
e en
199
9 É
tabl
ir un
e ca
rtog
raph
ie d
es c
once
ntra
tions
de
NO
2 su
r la
vill
e de
Béz
iers
Eva
luer
l’im
pact
de
l’aug
men
tatio
n de
la
circ
ulat
ion
rout
ière
en
pério
de e
stiv
ale
Com
pare
r le
s co
ncen
trat
ions
mes
urée
s au
x va
leur
s ré
glem
enta
ires
Opt
imis
er le
rés
eau
de m
esur
es p
erm
anen
t F
ourn
ir à
la C
AB
M d
es é
lém
ents
util
es a
u di
agno
stic
du
Pla
n de
Dép
lace
men
ts U
rbai
ns
(PD
U)
Mo
yen
s m
is e
n œ
uvr
e M
esur
e du
NO
2, é
mis
aux
¾ p
ar
le tr
afic
rou
tier
en B
iterr
ois
54
site
s de
mes
ure
(éch
antil
lonn
eurs
pas
sifs
) -
Béz
iers
et c
omm
unes
ale
ntou
rs
Mes
ures
effe
ctué
es p
enda
nt
2 pé
riode
s co
ntra
stée
s :
été
2013
pui
s hi
ver
2013
/201
4
Éch
anti
llon
neu
r
pas
sif
sur
la p
lace
de
la v
icto
ire
Béz
iers
Rés
ult
ats
: V
aleu
r ré
gle
men
tair
e an
nu
elle
(40
µg
/m3 )
res
pec
tée
à l’e
xcep
tio
n d
es a
xes
rou
tier
s im
po
rtan
ts :
à pr
oxim
ité
de l’
A9,
le lo
ng d
u B
oule
vard
Mar
écha
l de
Lattr
e de
Ta
ssig
ny, l
e lo
ng d
es a
xes
rout
iers
rel
iant
le c
entr
e-vi
lle
aux
écha
ngeu
rs a
utor
outie
rs P
ollu
tion
de fo
nd (
20 µ
g/m
3 en
moy
enne
) lé
gèr
emen
t p
lus
élev
ée e
n c
entr
e-vi
lle d
e B
ézie
rs q
ue
dan
s le
s co
mm
un
es p
érip
hér
iqu
es, p
rinci
pale
men
t en
rais
on
d’un
rés
eau
rout
ier
plus
den
se e
t d’u
n m
ilieu
moi
ns o
uver
t
Où
la p
ollu
tio
n e
st-e
lle la
plu
s im
po
rtan
te ?
Le
lon
g d
es p
rin
cip
aux
axes
à l’
Est
/Sud
-Est
de
la v
ille
Qu
and
la p
ollu
tio
n e
st-e
lle la
plu
s im
po
rtan
te ?
C
once
ntra
tions
de
NO
2 p
lus
élev
ées
en h
iver
(ém
issi
ons
dues
au
chau
ffage
s’a
jout
ant à
cel
les
liées
au
traf
ic r
outie
r, co
nditi
ons
mét
éoro
logi
ques
moi
ns fa
vora
bles
à u
ne
bonn
e di
sper
sion
des
pol
luan
ts)
sau
f à
pro
xim
ité
des
lie
ux
tou
rist
iqu
es (
litto
ral)
où la
pol
lutio
n au
NO
2 es
t plu
s im
port
ante
l’ét
é en
rai
son
de l’
augm
enta
tion
du tr
afic
rou
tier
Qu
elle
s év
olu
tio
ns
dep
uis
199
9 ?
D
imin
utio
n d’
envi
ron
40%
des
ém
issi
ons
d’ox
yde
d’az
ote
(NO
x) e
n F
ranc
e m
étro
polit
aine
dep
uis
2009
(am
élio
ratio
n te
chni
que
des
véhi
cule
s) D
imin
uti
on
des
co
nce
ntr
atio
ns
de
NO
2 d
e 24
% e
n m
oyen
ne s
ur la
com
mun
e de
Béz
iers
Ret
rou
vez
l’en
sem
ble
des
rés
ult
ats
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
HÉ
RA
ULT
C
AM
PA
GN
ES
DE
ME
SU
RE
S
DU
DIO
XY
DE
D’A
ZO
TE
EN
BIT
ER
RO
ISÉ
tat
des
lieu
x 20
13 e
t év
olu
tio
n d
epu
is 1
999
BÉ
ZIE
RS
41AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Un
par
ten
aria
t R
égio
n L
ang
ued
oc-
Ro
uss
illo
n e
t A
IR L
R
0 5
10
15
20
25
30
35
40
Eta
ng d
e l'O
r
Ext
rém
ité d
e la
pi
ste
prin
cipa
le
Côt
é de
la
pist
e pr
inci
pale
Par
king
aér
ien
Rou
te d
'acc
ès à
la
zone
aér
opor
tuai
re
Prè
s d'
Arè
nes
Pré
-pas
sere
lle N
ord
Dép
ose
min
ute
Zon
e de
par
king
Par
king
sou
terr
ain
P2
Val
eur
limit
e an
nu
elle
(4
0 µ
g/m
3 )
Ince
rtit
ud
esu
r la
mes
ure
(20%
)
park
ing
pist
e ou
site
urb
ain
site
traf
ic
site
rur
al
0,8
1,3
0,6
1,0
0,7
1,5
0,7
0,9
0 1 2 3 4 5
Rou
te d
'acc
ès
Par
king
sou
terr
ain
P2
Réf
éren
ce
rura
leR
éfér
ence
ur
bain
e
2008
20
13
Obj
ectif
de
qual
ité a
nnue
l : 2
µg/
m3
Val
eur
limite
ann
uelle
: 5
µg/
m3
0 5
10
15
20
25
Pos
te d
e C
ontr
ôle
Exp
loita
tion
Sal
le d
'em
barq
uem
ent
Pas
sere
lle in
térie
ure
Zon
e d'
enre
gist
rem
ent
Hal
l d'a
rriv
ée
VGAI long-terme
Mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e N
O2 (µ
g/m
3 ) en
air
am
bia
nt
Aér
op
ort
Mo
ntp
ellie
r M
édit
erra
née
- A
nn
ée 2
013
Mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e N
O2 (µ
g/m
3 ) en
air
am
bia
nt
Aér
op
ort
Mo
ntp
ellie
r M
édit
erra
née
- A
nn
ée 2
013
Mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e N
O2 (µ
g/m
3 ) en
air
inté
rieu
rA
éro
po
rt M
on
tpel
lier
Méd
iter
ran
ée -
An
née
201
3
0 5
10
15
20
25
30
35
40
Eta
ng d
e l'O
r
Ext
rém
ité d
e la
pi
ste
prin
cipa
le
Côt
é de
la
pist
e pr
inci
pale
Par
king
aér
ien
Rou
te d
'acc
ès à
la
zone
aér
opor
tuai
re
Prè
s d'
Arè
nes
Pré
-pas
sere
lle N
ord
Dép
ose
min
ute
Zon
e de
par
king
Par
king
sou
terr
ain
P2
Val
eur
limit
e an
nu
elle
(4
0 µ
g/m
3 )
Ince
rtit
ud
esu
r la
mes
ure
(20%
)
park
ing
pist
e ou
site
urb
ain
site
traf
ic
site
rur
al
0,8
1,3
0,6
1,0
0,7
1,5
0,7
0,9
0 1 2 3 4 5
Rou
te d
'acc
ès
Par
king
sou
terr
ain
P2
Réf
éren
ce
rura
leR
éfér
ence
ur
bain
e
2008
20
13
Obj
ectif
de
qual
ité a
nnue
l : 2
µg/
m3
Val
eur
limite
ann
uelle
: 5
µg/
m3
0 5
10
15
20
25
Pos
te d
e C
ontr
ôle
Exp
loita
tion
Sal
le d
'em
barq
uem
ent
Pas
sere
lle in
térie
ure
Zon
e d'
enre
gist
rem
ent
Hal
l d'a
rriv
ée
VGAI long-terme
Mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e N
O2 (µ
g/m
3 ) en
air
am
bia
nt
Aér
op
ort
Mo
ntp
ellie
r M
édit
erra
née
- A
nn
ée 2
013
Mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e N
O2 (µ
g/m
3 ) en
air
am
bia
nt
Aér
op
ort
Mo
ntp
ellie
r M
édit
erra
née
- A
nn
ée 2
013
Mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e N
O2 (µ
g/m
3 ) en
air
inté
rieu
rA
éro
po
rt M
on
tpel
lier
Méd
iter
ran
ée -
An
née
201
3
Pe
rsp
ec
tive
s : U
ne n
ouve
lle é
tude
pou
rrai
t avo
ir lie
u en
201
8, e
n lie
n av
ec le
pro
chai
n P
rogr
amm
e de
Sur
veill
ance
de
la Q
ualit
é de
l’ai
r (P
SQ
A)
d’A
IR L
R e
t la
dém
arch
e en
viro
nnem
enta
le d
e l’a
érop
ort d
e M
ontp
ellie
r.
Ret
rou
vez
l’en
sem
ble
des
rés
ult
ats
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
étu
des
résu
mé
télé
char
geab
le
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
Etu
de
2013
Un
Par
ten
aria
t S
oci
été
Aér
op
ort
de
Mo
ntp
ellie
r-M
édit
erra
née
et
AIR
LR
Pri
nci
pau
x o
bje
ctif
s
Étu
de d
e la
qua
lité
de l’
air
exté
rieu
r et
de
l’air
inté
rieu
r É
valu
er le
s te
neur
s da
ns l’
air
ambi
ant d
e p
ollu
ants
ém
is p
ar le
s aé
ron
efs
et le
s au
tres
act
ivit
és li
ées
à la
p
rése
nce
de
l’aér
op
ort
Com
pare
r le
s ré
sulta
ts a
vec
les
vale
urs
régl
emen
taire
s et
les
tene
urs
habi
tuel
lem
ent r
enco
ntré
es, n
otam
men
t en
vue
d’un
e év
alua
tion
ulté
rieur
e de
s ef
fets
sur
la s
anté
C
ompa
rer
les
résu
ltats
ave
c ce
ux o
bten
us e
n 20
03 e
t 200
8 U
tilis
er c
es r
ésul
tats
pou
r am
élio
rer
la c
onna
issa
nce
de la
qua
lité
de l’
air
dans
la r
égio
n de
Mon
tpel
lier
et
quan
tifie
r l’e
xpos
ition
de
la p
opul
atio
n à
la p
ollu
tion
atm
osph
ériq
ue*
*
Dan
s le
cad
re d
u P
rogr
amm
e de
Sur
veill
ance
de
la Q
ualit
é de
l’A
ir (P
SQ
A)
Mo
yen
s m
is e
n œ
uvr
e P
ollu
ants
mes
uré
s :
diox
yde
d’az
ote
(NO
2), b
enzè
ne,
tolu
ène,
éth
ylbe
nzèn
e, x
ylèn
es (
BT
EX
), c
ompo
sés
orga
niqu
es v
olat
ils (
CO
V),
dio
xyde
de
carb
one
(CO
2) e
n ta
nt q
u’in
dica
teur
du
conf
inem
ent e
n ai
r in
térie
ur 1
5 si
tes
de m
esur
e (1
0 en
ext
érie
ur e
t 5 e
n in
térie
ur)
Mes
ures
effe
ctué
es p
enda
nt 2
pér
iod
es c
on
tras
tées
(é
té e
t hiv
er 2
013)
Rés
ult
ats
: V
aleu
rs r
égle
men
tair
es r
esp
ecté
es a
ussi
bie
n à
l’ext
érie
ur d
e l’a
érop
ort q
u’à
l’int
érie
ur, à
l’ex
cept
ion
d’un
site
(ha
ll d’
arriv
ée)
en c
e qu
i con
cern
e la
co
ncen
trat
ion
en N
O2
(non
res
pect
de
la v
aleu
r gu
ide
à lo
ng te
rme
en a
ir in
térie
ur)
Imp
act
min
eur
sur
la q
ual
ité
de
l’air
loca
l L
es n
ivea
ux
de
NO
2 et
de
Ben
zèn
e o
nt
glo
bal
emen
t lé
gèr
emen
t d
imin
ué
à l’e
xtér
ieur
de
l’aér
ogar
e en
tre
2008
et 2
013
Au
plus
prè
s de
s av
ions
, les
co
nce
ntr
atio
ns
en p
ollu
ants
(N
O2
et C
OV
) n
e so
nt
pas
plu
s él
evée
s q
u’e
n m
ilieu
urb
ain
, du
fait
nota
mm
ent d
u m
ilieu
très
« o
uver
t », f
avor
able
à la
dis
pers
ion
des
pollu
ants
Les
con
cent
ratio
ns le
s p
lus
élev
ées
(qui
res
tent
cep
enda
nt
faib
les
et la
rgem
ent e
n de
ssou
s de
s va
leur
s ré
glem
enta
ires)
ont
ét
é m
esur
ées
à l’i
nté
rieu
r d
e l’u
n d
es p
arki
ng
s so
ute
rrai
ns
(P2)
, mili
eu c
onfin
é fa
voris
ant l
’acc
umul
atio
n de
s po
lluan
tsC
on
cen
trat
ion
s en
CO
V p
lus
élev
ées
en a
ir in
téri
eur
Indi
ce d
e co
nfin
emen
t de
0* (
calc
ulé
à pa
rtir
des
conc
entr
atio
ns
en C
O2)
, ce
qui m
ontr
e un
e tr
ès b
on
ne
aéra
tio
n d
es b
âtim
ents
C
on
cen
trat
ion
s en
CO
V p
lus
élev
ées
à l’i
nté
rieu
r d
es
bât
imen
ts q
u’à
l’ex
téri
eur,
du
fait
des
trav
aux
de r
énov
atio
n ay
ant e
u lie
u pe
ndan
t les
cam
pagn
es d
e m
esur
e C
once
ntra
tions
de
cert
ains
CO
V p
lus
élev
ées
qu’e
n 20
03 e
t 200
8 m
ais
infé
rieu
res
aux
vale
urs
rég
lem
enta
ires
* S
ur u
ne é
chel
le a
llant
de
0 (p
as d
e co
nfi n
emen
t) à
5 (
confi
nem
ent i
mpo
rtan
t)
Éch
antil
lonn
eurs
pas
sifs
dan
s
le P
arki
ng s
oute
rrai
n P
2É
chan
tillo
nneu
r pa
ssif
près
de
la p
asse
relle
ext
érie
ure
Sud
MO
NT
PE
LL
IER
HÉ
RA
ULT Q
UA
LIT
É D
E L
’AIR
SU
R L
’AÉ
RO
PO
RT
DE
M
ON
TP
EL
LIE
R-M
ÉD
ITE
RR
AN
ÉE
Éta
t d
es li
eux
2013
et
évo
luti
on
dep
uis
200
3 et
200
8
42 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Un
par
ten
aria
t R
égio
n L
ang
ued
oc-
Ro
uss
illo
n e
t A
IR L
R
0 5
10
15
20
25
30
35
40
Eta
ng d
e l'O
r
Ext
rém
ité d
e la
pi
ste
prin
cipa
le
Côt
é de
la
pist
e pr
inci
pale
Par
king
aér
ien
Rou
te d
'acc
ès à
la
zone
aér
opor
tuai
re
Prè
s d'
Arè
nes
Pré
-pas
sere
lle N
ord
Dép
ose
min
ute
Zon
e de
par
king
Par
king
sou
terr
ain
P2
Val
eur
limit
e an
nu
elle
(4
0 µ
g/m
3 )
Ince
rtit
ud
esu
r la
mes
ure
(20%
)
park
ing
pist
e ou
site
urb
ain
site
traf
ic
site
rur
al
0,8
1,3
0,6
1,0
0,7
1,5
0,7
0,9
0 1 2 3 4 5
Rou
te d
'acc
ès
Par
king
sou
terr
ain
P2
Réf
éren
ce
rura
leR
éfér
ence
ur
bain
e
2008
20
13
Obj
ectif
de
qual
ité a
nnue
l : 2
µg/
m3
Val
eur
limite
ann
uelle
: 5
µg/
m3
0 5
10
15
20
25
Pos
te d
e C
ontr
ôle
Exp
loita
tion
Sal
le d
'em
barq
uem
ent
Pas
sere
lle in
térie
ure
Zon
e d'
enre
gist
rem
ent
Hal
l d'a
rriv
ée
VGAI long-terme
Mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e N
O2 (µ
g/m
3 ) en
air
am
bia
nt
Aér
op
ort
Mo
ntp
ellie
r M
édit
erra
née
- A
nn
ée 2
013
Mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e N
O2 (µ
g/m
3 ) en
air
am
bia
nt
Aér
op
ort
Mo
ntp
ellie
r M
édit
erra
née
- A
nn
ée 2
013
Mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e N
O2 (µ
g/m
3 ) en
air
inté
rieu
rA
éro
po
rt M
on
tpel
lier
Méd
iter
ran
ée -
An
née
201
3
0 5
10
15
20
25
30
35
40
Eta
ng d
e l'O
r
Ext
rém
ité d
e la
pi
ste
prin
cipa
le
Côt
é de
la
pist
e pr
inci
pale
Par
king
aér
ien
Rou
te d
'acc
ès à
la
zone
aér
opor
tuai
re
Prè
s d'
Arè
nes
Pré
-pas
sere
lle N
ord
Dép
ose
min
ute
Zon
e de
par
king
Par
king
sou
terr
ain
P2
Val
eur
limit
e an
nu
elle
(4
0 µ
g/m
3 )
Ince
rtit
ud
esu
r la
mes
ure
(20%
)
park
ing
pist
e ou
site
urb
ain
site
traf
ic
site
rur
al
0,8
1,3
0,6
1,0
0,7
1,5
0,7
0,9
0 1 2 3 4 5
Rou
te d
'acc
ès
Par
king
sou
terr
ain
P2
Réf
éren
ce
rura
leR
éfér
ence
ur
bain
e
2008
20
13
Obj
ectif
de
qual
ité a
nnue
l : 2
µg/
m3
Val
eur
limite
ann
uelle
: 5
µg/
m3
0 5
10
15
20
25
Pos
te d
e C
ontr
ôle
Exp
loita
tion
Sal
le d
'em
barq
uem
ent
Pas
sere
lle in
térie
ure
Zon
e d'
enre
gist
rem
ent
Hal
l d'a
rriv
ée
VGAI long-terme
Mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e N
O2 (µ
g/m
3 ) en
air
am
bia
nt
Aér
op
ort
Mo
ntp
ellie
r M
édit
erra
née
- A
nn
ée 2
013
Mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e N
O2 (µ
g/m
3 ) en
air
am
bia
nt
Aér
op
ort
Mo
ntp
ellie
r M
édit
erra
née
- A
nn
ée 2
013
Mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e N
O2 (µ
g/m
3 ) en
air
inté
rieu
rA
éro
po
rt M
on
tpel
lier
Méd
iter
ran
ée -
An
née
201
3
Pe
rsp
ec
tive
s : U
ne n
ouve
lle é
tude
pou
rrai
t avo
ir lie
u en
201
8, e
n lie
n av
ec le
pro
chai
n P
rogr
amm
e de
Sur
veill
ance
de
la Q
ualit
é de
l’ai
r (P
SQ
A)
d’A
IR L
R e
t la
dém
arch
e en
viro
nnem
enta
le d
e l’a
érop
ort d
e M
ontp
ellie
r.
Ret
rou
vez
l’en
sem
ble
des
rés
ult
ats
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
étu
des
résu
mé
télé
char
geab
le
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
Etu
de
2013
Un
Par
ten
aria
t S
oci
été
Aér
op
ort
de
Mo
ntp
ellie
r-M
édit
erra
née
et
AIR
LR
Pri
nci
pau
x o
bje
ctif
s
Étu
de d
e la
qua
lité
de l’
air
exté
rieu
r et
de
l’air
inté
rieu
r É
valu
er le
s te
neur
s da
ns l’
air
ambi
ant d
e p
ollu
ants
ém
is p
ar le
s aé
ron
efs
et le
s au
tres
act
ivit
és li
ées
à la
p
rése
nce
de
l’aér
op
ort
Com
pare
r le
s ré
sulta
ts a
vec
les
vale
urs
régl
emen
taire
s et
les
tene
urs
habi
tuel
lem
ent r
enco
ntré
es, n
otam
men
t en
vue
d’un
e év
alua
tion
ulté
rieur
e de
s ef
fets
sur
la s
anté
C
ompa
rer
les
résu
ltats
ave
c ce
ux o
bten
us e
n 20
03 e
t 200
8 U
tilis
er c
es r
ésul
tats
pou
r am
élio
rer
la c
onna
issa
nce
de la
qua
lité
de l’
air
dans
la r
égio
n de
Mon
tpel
lier
et
quan
tifie
r l’e
xpos
ition
de
la p
opul
atio
n à
la p
ollu
tion
atm
osph
ériq
ue*
*
Dan
s le
cad
re d
u P
rogr
amm
e de
Sur
veill
ance
de
la Q
ualit
é de
l’A
ir (P
SQ
A)
Mo
yen
s m
is e
n œ
uvr
e P
ollu
ants
mes
uré
s :
diox
yde
d’az
ote
(NO
2), b
enzè
ne,
tolu
ène,
éth
ylbe
nzèn
e, x
ylèn
es (
BT
EX
), c
ompo
sés
orga
niqu
es v
olat
ils (
CO
V),
dio
xyde
de
carb
one
(CO
2) e
n ta
nt q
u’in
dica
teur
du
conf
inem
ent e
n ai
r in
térie
ur 1
5 si
tes
de m
esur
e (1
0 en
ext
érie
ur e
t 5 e
n in
térie
ur)
Mes
ures
effe
ctué
es p
enda
nt 2
pér
iod
es c
on
tras
tées
(é
té e
t hiv
er 2
013)
Rés
ult
ats
: V
aleu
rs r
égle
men
tair
es r
esp
ecté
es a
ussi
bie
n à
l’ext
érie
ur d
e l’a
érop
ort q
u’à
l’int
érie
ur, à
l’ex
cept
ion
d’un
site
(ha
ll d’
arriv
ée)
en c
e qu
i con
cern
e la
co
ncen
trat
ion
en N
O2
(non
res
pect
de
la v
aleu
r gu
ide
à lo
ng te
rme
en a
ir in
térie
ur)
Imp
act
min
eur
sur
la q
ual
ité
de
l’air
loca
l L
es n
ivea
ux
de
NO
2 et
de
Ben
zèn
e o
nt
glo
bal
emen
t lé
gèr
emen
t d
imin
ué
à l’e
xtér
ieur
de
l’aér
ogar
e en
tre
2008
et 2
013
Au
plus
prè
s de
s av
ions
, les
co
nce
ntr
atio
ns
en p
ollu
ants
(N
O2
et C
OV
) n
e so
nt
pas
plu
s él
evée
s q
u’e
n m
ilieu
urb
ain
, du
fait
nota
mm
ent d
u m
ilieu
très
« o
uver
t », f
avor
able
à la
dis
pers
ion
des
pollu
ants
Les
con
cent
ratio
ns le
s p
lus
élev
ées
(qui
res
tent
cep
enda
nt
faib
les
et la
rgem
ent e
n de
ssou
s de
s va
leur
s ré
glem
enta
ires)
ont
ét
é m
esur
ées
à l’i
nté
rieu
r d
e l’u
n d
es p
arki
ng
s so
ute
rrai
ns
(P2)
, mili
eu c
onfin
é fa
voris
ant l
’acc
umul
atio
n de
s po
lluan
tsC
on
cen
trat
ion
s en
CO
V p
lus
élev
ées
en a
ir in
téri
eur
Indi
ce d
e co
nfin
emen
t de
0* (
calc
ulé
à pa
rtir
des
conc
entr
atio
ns
en C
O2)
, ce
qui m
ontr
e un
e tr
ès b
on
ne
aéra
tio
n d
es b
âtim
ents
C
on
cen
trat
ion
s en
CO
V p
lus
élev
ées
à l’i
nté
rieu
r d
es
bât
imen
ts q
u’à
l’ex
téri
eur,
du
fait
des
trav
aux
de r
énov
atio
n ay
ant e
u lie
u pe
ndan
t les
cam
pagn
es d
e m
esur
e C
once
ntra
tions
de
cert
ains
CO
V p
lus
élev
ées
qu’e
n 20
03 e
t 200
8 m
ais
infé
rieu
res
aux
vale
urs
rég
lem
enta
ires
* S
ur u
ne é
chel
le a
llant
de
0 (p
as d
e co
nfi n
emen
t) à
5 (
confi
nem
ent i
mpo
rtan
t)
Éch
antil
lonn
eurs
pas
sifs
dan
s
le P
arki
ng s
oute
rrai
n P
2É
chan
tillo
nneu
r pa
ssif
près
de
la p
asse
relle
ext
érie
ure
Sud
MO
NT
PE
LL
IER
HÉ
RA
ULT Q
UA
LIT
É D
E L
’AIR
SU
R L
’AÉ
RO
PO
RT
DE
M
ON
TP
EL
LIE
R-M
ÉD
ITE
RR
AN
ÉE
Éta
t d
es li
eux
2013
et
évo
luti
on
dep
uis
200
3 et
200
8
43AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Co
nce
ntr
atio
ns
mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e p
arti
cule
s P
M10
2012
2025
– P
roje
t pha
se d
éfi n
itive
Un
par
ten
aria
t D
RE
AL
LR
et
AIR
LR
Pe
rsp
ec
tive
s : U
ne n
ouve
lle é
tude
de
qual
ité d
e l’a
ir po
urra
it êt
re r
éalis
ée a
près
la m
ise
en
serv
ice
inté
gral
e de
la li
gne
1 du
Tra
m’B
us d
e N
îmes
afi n
de
vérifi
er
que
les
conc
entr
atio
ns e
n po
lluan
ts d
’orig
ine
auto
mob
ile r
espe
cten
t les
val
eurs
rég
lem
enta
ires
en v
igue
ur.
Sta
tion
mob
ile le
long
du
boul
evar
d V
icto
r H
ugo
~ 1
0 00
0 vé
hicu
les/
jour
Éch
antil
lonn
eur
pass
if
rue
Vin
cent
Faï
ta
~16
000
véh
icul
es/jo
ur
Ret
rou
vez
l’en
sem
ble
des
rés
ult
ats
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
NO2 en µg/m3
NO2 en µg/m3
0
1020304050
- 100
- 75
- 50
- 25
025
5075
100
Dis
tan
ce e
n m
ètre
s au
pro
jet
d'e
xten
sio
n d
e lig
ne
T1
Val
eur
limit
e an
nu
elle
40
g/m
3
Cen
tre
del'E
cuss
onH
ors
del'E
cuss
on
Co
nce
ntr
atio
ns
ann
uel
les
en N
O2
- T
CS
P N
îmes
201
3E
xem
ple
s d
'axe
s p
erp
end
icu
lair
es a
u t
raje
t d
u T
ram
'bu
s
Pro
fils
jou
rnal
iers
mo
yen
s N
O2
- N
îmes
201
3B
ou
leva
rd V
icto
r H
ug
o
Aut
our
du
bd G
ambe
tta
Aut
our
du
bd V
icto
r H
ugo
0 20
40
60
80 1h
3h
5h
7h
9h
11
h 13
h 15
h 17
h 19
h 21
h 23
h N
îmes
traf
ic
Bou
leva
rd V
icto
r H
ugo
Nîm
es S
ud
Cam
pagn
e hi
vern
ale
Cam
pagn
e es
tival
e
NO2 en µg/m3
NO2 en µg/m3
0
1020304050
- 100
- 75
- 50
- 25
025
5075
100
Dis
tan
ce e
n m
ètre
s au
pro
jet
d'e
xten
sio
n d
e lig
ne
T1
Val
eur
limit
e an
nu
elle
40
g/m
3
Cen
tre
del'E
cuss
onH
ors
del'E
cuss
on
Co
nce
ntr
atio
ns
ann
uel
les
en N
O2
- T
CS
P N
îmes
201
3E
xem
ple
s d
'axe
s p
erp
end
icu
lair
es a
u t
raje
t d
u T
ram
'bu
s
Pro
fils
jou
rnal
iers
mo
yen
s N
O2
- N
îmes
201
3B
ou
leva
rd V
icto
r H
ug
o
Aut
our
du
bd G
ambe
tta
Aut
our
du
bd V
icto
r H
ugo
0 20
40
60
80 1h
3h
5h
7h
9h
11
h 13
h 15
h 17
h 19
h 21
h 23
h N
îmes
traf
ic
Bou
leva
rd V
icto
r H
ugo
Nîm
es S
ud
Cam
pagn
e hi
vern
ale
Cam
pagn
e es
tival
e
étu
des
résu
mé
télé
char
geab
le
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
Etu
de
2013
Un
Par
ten
aria
t N
îmes
Mét
rop
ole
et
AIR
LR
Pri
nci
pau
x o
bje
ctif
s É
tabl
ir un
éta
t in
itia
l de
la p
ollu
tion
de l’
air
auto
ur d
e l’e
xten
sion
N
ord
de la
lign
e T
1 po
ur le
s pr
inci
paux
pol
luan
ts d
’orig
ine
auto
mob
ile :
diox
yde
d’az
ote
(NO
2) e
t ben
zène
Q
uant
ifier
l’im
pac
t d
e ce
tte
exte
nsi
on
su
r la
qu
alit
é d
e l’a
ir
en fo
nctio
n de
s m
odifi
catio
ns d
e ci
rcul
atio
n au
tom
obile
atte
ndue
s C
ompa
rer
les
résu
ltats
aux
val
eurs
rég
lem
enta
ires
Car
acté
riser
les
effe
ts d
e ce
tte e
xten
sion
sur
la
qual
ité d
e l’a
ir (p
ics
de p
ollu
tion
éven
tuel
set
pol
lutio
n ch
roni
que)
Mo
yen
s m
is e
n œ
uvr
e 7
2 si
tes
de m
esur
e pa
r éc
hant
illon
neur
pas
sif
Sta
tio
n m
ob
ile le
long
de
deux
axe
s em
prun
tés
par
la fu
ture
lign
e S
imu
lati
on
s et
mo
dél
isat
ion
s (2
011,
201
2, 2
025)
Rés
ult
ats
: L
a q
ual
ité
de
l’air
act
uel
le
Dim
inu
tio
n d
es c
on
cen
trat
ion
s de
NO
2 et
de
benz
ène
depu
is 2
009
Val
eurs
rég
lem
enta
ires
no
n r
esp
ecté
es a
ux
abo
rds
des
axe
s ro
uti
ers
les
plu
s em
pru
nté
s et
/ou
dans
les
rues
étr
oite
s bo
rdée
s pa
r de
s bâ
timen
ts r
elat
ivem
ent
haut
s (d
e ty
pe «
can
yon
») C
once
ntra
tions
plu
s él
evée
s l’h
iver
et a
ux
heu
res
de
po
inte
Qu
el im
pac
t en
202
5 ?
Dim
inu
tio
n d
e la
co
nso
mm
atio
n d
e ca
rbu
ran
t et
des
ém
issi
on
s d
e to
us
les
po
lluan
ts p
ar r
appo
rt à
201
2 (a
mél
iora
tion
des
mot
eurs
, car
bura
nts
moi
ns p
ollu
ants
…)
Pas
d’im
pac
t du
pro
jet d
’ext
ensi
on s
ur la
pol
lutio
n de
l’ai
r
GA
RD
PR
OJE
T D
’EX
TE
NS
ION
NO
RD
DE
LA
LIG
NE
1
DU
TR
AM
’BU
S D
E N
ÎME
SÉ
tat
init
ial d
e la
qu
alit
é d
e l’a
ir e
t si
mu
lati
on
s
NÎM
ES
44 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Co
nce
ntr
atio
ns
mo
yen
nes
an
nu
elle
s d
e p
arti
cule
s P
M10
2012
2025
– P
roje
t pha
se d
éfi n
itive
Un
par
ten
aria
t D
RE
AL
LR
et
AIR
LR
Pe
rsp
ec
tive
s : U
ne n
ouve
lle é
tude
de
qual
ité d
e l’a
ir po
urra
it êt
re r
éalis
ée a
près
la m
ise
en
serv
ice
inté
gral
e de
la li
gne
1 du
Tra
m’B
us d
e N
îmes
afi n
de
vérifi
er
que
les
conc
entr
atio
ns e
n po
lluan
ts d
’orig
ine
auto
mob
ile r
espe
cten
t les
val
eurs
rég
lem
enta
ires
en v
igue
ur.
Sta
tion
mob
ile le
long
du
boul
evar
d V
icto
r H
ugo
~ 1
0 00
0 vé
hicu
les/
jour
Éch
antil
lonn
eur
pass
if
rue
Vin
cent
Faï
ta
~16
000
véh
icul
es/jo
ur
Ret
rou
vez
l’en
sem
ble
des
rés
ult
ats
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
NO2 en µg/m3
NO2 en µg/m3
0
1020304050
- 100
- 75
- 50
- 25
025
5075
100
Dis
tan
ce e
n m
ètre
s au
pro
jet
d'e
xten
sio
n d
e lig
ne
T1
Val
eur
limit
e an
nu
elle
40
g/m
3
Cen
tre
del'E
cuss
onH
ors
del'E
cuss
on
Co
nce
ntr
atio
ns
ann
uel
les
en N
O2
- T
CS
P N
îmes
201
3E
xem
ple
s d
'axe
s p
erp
end
icu
lair
es a
u t
raje
t d
u T
ram
'bu
s
Pro
fils
jou
rnal
iers
mo
yen
s N
O2
- N
îmes
201
3B
ou
leva
rd V
icto
r H
ug
o
Aut
our
du
bd G
ambe
tta
Aut
our
du
bd V
icto
r H
ugo
0 20
40
60
80 1h
3h
5h
7h
9h
11
h 13
h 15
h 17
h 19
h 21
h 23
h N
îmes
traf
ic
Bou
leva
rd V
icto
r H
ugo
Nîm
es S
ud
Cam
pagn
e hi
vern
ale
Cam
pagn
e es
tival
e
NO2 en µg/m3
NO2 en µg/m3
0
1020304050
- 100
- 75
- 50
- 25
025
5075
100
Dis
tan
ce e
n m
ètre
s au
pro
jet
d'e
xten
sio
n d
e lig
ne
T1
Val
eur
limit
e an
nu
elle
40
g/m
3
Cen
tre
del'E
cuss
onH
ors
del'E
cuss
on
Co
nce
ntr
atio
ns
ann
uel
les
en N
O2
- T
CS
P N
îmes
201
3E
xem
ple
s d
'axe
s p
erp
end
icu
lair
es a
u t
raje
t d
u T
ram
'bu
s
Pro
fils
jou
rnal
iers
mo
yen
s N
O2
- N
îmes
201
3B
ou
leva
rd V
icto
r H
ug
o
Aut
our
du
bd G
ambe
tta
Aut
our
du
bd V
icto
r H
ugo
0 20
40
60
80 1h
3h
5h
7h
9h
11
h 13
h 15
h 17
h 19
h 21
h 23
h N
îmes
traf
ic
Bou
leva
rd V
icto
r H
ugo
Nîm
es S
ud
Cam
pagn
e hi
vern
ale
Cam
pagn
e es
tival
e
étu
des
résu
mé
télé
char
geab
le
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
Etu
de
2013
Un
Par
ten
aria
t N
îmes
Mét
rop
ole
et
AIR
LR
Pri
nci
pau
x o
bje
ctif
s É
tabl
ir un
éta
t in
itia
l de
la p
ollu
tion
de l’
air
auto
ur d
e l’e
xten
sion
N
ord
de la
lign
e T
1 po
ur le
s pr
inci
paux
pol
luan
ts d
’orig
ine
auto
mob
ile :
diox
yde
d’az
ote
(NO
2) e
t ben
zène
Q
uant
ifier
l’im
pac
t d
e ce
tte
exte
nsi
on
su
r la
qu
alit
é d
e l’a
ir
en fo
nctio
n de
s m
odifi
catio
ns d
e ci
rcul
atio
n au
tom
obile
atte
ndue
s C
ompa
rer
les
résu
ltats
aux
val
eurs
rég
lem
enta
ires
Car
acté
riser
les
effe
ts d
e ce
tte e
xten
sion
sur
la
qual
ité d
e l’a
ir (p
ics
de p
ollu
tion
éven
tuel
set
pol
lutio
n ch
roni
que)
Mo
yen
s m
is e
n œ
uvr
e 7
2 si
tes
de m
esur
e pa
r éc
hant
illon
neur
pas
sif
Sta
tio
n m
ob
ile le
long
de
deux
axe
s em
prun
tés
par
la fu
ture
lign
e S
imu
lati
on
s et
mo
dél
isat
ion
s (2
011,
201
2, 2
025)
Rés
ult
ats
: L
a q
ual
ité
de
l’air
act
uel
le
Dim
inu
tio
n d
es c
on
cen
trat
ion
s de
NO
2 et
de
benz
ène
depu
is 2
009
Val
eurs
rég
lem
enta
ires
no
n r
esp
ecté
es a
ux
abo
rds
des
axe
s ro
uti
ers
les
plu
s em
pru
nté
s et
/ou
dans
les
rues
étr
oite
s bo
rdée
s pa
r de
s bâ
timen
ts r
elat
ivem
ent
haut
s (d
e ty
pe «
can
yon
») C
once
ntra
tions
plu
s él
evée
s l’h
iver
et a
ux
heu
res
de
po
inte
Qu
el im
pac
t en
202
5 ?
Dim
inu
tio
n d
e la
co
nso
mm
atio
n d
e ca
rbu
ran
t et
des
ém
issi
on
s d
e to
us
les
po
lluan
ts p
ar r
appo
rt à
201
2 (a
mél
iora
tion
des
mot
eurs
, car
bura
nts
moi
ns p
ollu
ants
…)
Pas
d’im
pac
t du
pro
jet d
’ext
ensi
on s
ur la
pol
lutio
n de
l’ai
r
GA
RD
PR
OJE
T D
’EX
TE
NS
ION
NO
RD
DE
LA
LIG
NE
1
DU
TR
AM
’BU
S D
E N
ÎME
SÉ
tat
init
ial d
e la
qu
alit
é d
e l’a
ir e
t si
mu
lati
on
s
NÎM
ES
45AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Rem
orqu
e la
bora
toire
à pr
oxim
ité
du
post
e de
dou
ane
Sac
à d
os c
onte
nant
le
com
pteu
r de
par
ticul
es P
M10
po
ur m
esur
er
l’exp
ositi
on in
divi
duel
le
Ret
rou
vez
l’en
sem
ble
des
rés
ult
ats
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
étu
des
résu
mé
télé
char
geab
le
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
Etu
de
2013
Un
Par
ten
aria
t C
om
ité
Hyg
ièn
e S
écu
rité
et
Co
nd
itio
ns
de
Trav
ail (
CH
SC
T)
des
do
uan
es d
e l’H
érau
lt e
t A
IR L
R
Pri
nci
pau
x o
bje
ctif
s E
stim
er la
po
lluti
on
mo
yen
ne
ann
uel
le a
utou
r du
po
ste
de d
ouan
e et
com
pare
r le
s ré
sulta
ts a
ux v
aleu
rs
régl
emen
taire
s É
valu
er le
s va
riat
ion
s d
e p
ollu
tio
n a
u co
urs
de la
jo
urné
e po
ur le
dio
xyde
d’a
zote
(N
O2)
, les
par
ticul
es e
n su
spen
sion
(PM
10 e
t PM
2,5)
et l
e di
oxyd
e de
sou
fre (S
O2)
Étu
dier
l’év
olut
ion
des
nive
aux
de p
ollu
ants
dep
uis
la
préc
éden
te é
tude
réa
lisée
en
2007
Com
pare
r le
s ré
sulta
ts a
ux te
neur
s en
pol
luan
ts
renc
ontr
ées
sim
ulta
ném
ent d
ans
des
envi
ronn
emen
ts
urba
ins
de S
ète
et d
e la
rég
ion
Dis
pose
r de
pre
miè
res
info
rmat
ions
sur
l’ex
po
siti
on
in
div
idu
elle
des
dou
anie
rs a
ux p
artic
ules
en
susp
ensi
on
Mo
yen
s m
is e
n œ
uvr
e P
ollu
ants
mes
uré
s :
diox
yde
d’az
ote
(NO
2), b
enzè
ne,
part
icul
es e
n su
spen
sion
(P
M 1
0, P
M 2
,5),
mét
aux
toxi
ques
(a
rsen
ic, c
adm
ium
, nic
kel,
plom
b), p
ouss
ière
s sé
dim
enta
bles
, di
oxyd
e de
sou
fre (S
O2)
23
site
s de
mes
ures
Mes
ures
réa
lisée
s en
tre
juill
et 2
013
et a
vril
2014
, ave
c un
e re
mor
que
labo
rato
ire, d
es é
chan
tillo
nneu
rs p
assi
fs, d
es c
apte
urs
de p
ouss
ière
s sé
dim
enta
bles
et d
es m
esur
es c
ompl
émen
taire
s po
ur l’
expo
sitio
n in
divi
duel
le
Rés
ult
ats
: A
ucu
n im
pac
t d
e l’a
ctiv
ité*
du
po
ste
de
do
uan
e su
r le
s co
nce
ntr
atio
ns
mo
yen
nes
de
po
lluan
ts
Tem
ps d
e pr
ésen
ce d
es s
ourc
es d
’ém
issi
ons
(véh
icul
es e
t fe
rrie
s) fa
ible
s à
prox
imité
du
post
e de
dou
ane
(que
lque
s he
ures
par
sem
aine
) N
ivea
ux
mo
yen
s m
esu
rés
infé
rieu
rs à
ceu
x en
reg
istr
és
dan
s le
s ce
ntr
es u
rbai
ns
des
gra
nd
es a
gg
lom
érat
ion
s.
Con
cent
ratio
ns a
nnue
lles
de N
O2
et d
e be
nzèn
e ne
ttem
ent
infé
rieur
es à
cel
les
enre
gist
rées
au
cent
re-v
ille
de S
ète
Seu
ils r
égle
men
tair
es r
esp
ecté
s à
l’exc
eptio
n de
l’o
bjec
tif d
e qu
alité
ann
uel d
es P
M2,
5, c
omm
e su
r la
qua
si-
tota
lité
des
site
s de
mes
ure
en F
ranc
e *
déba
rque
men
t des
ferr
ies,
pas
sage
des
véh
icul
es a
u po
ste
de d
ouan
e
Po
lluti
on
de
po
inte
gén
érée
par
les
acti
vité
s d
u p
ost
e E
xpos
ition
des
age
nts
de d
ouan
e in
fluen
cée
par l
es é
mis
sion
s de
s vé
hicu
les
lors
des
em
bar
qu
emen
ts o
u d
ébar
qu
emen
ts
de
ferr
ies
qu
i s’a
jou
ten
t à
la p
ollu
tio
n d
e fo
nd
Con
cent
ratio
ns d
e N
O2
et d
e pa
rtic
ules
en
susp
ensi
on le
s pl
us é
levé
es r
elev
ées
les
jou
rs d
e p
rése
nce
d’u
n f
erry
A
ugm
enta
tion
des
conc
entr
atio
ns d
e co
urt
e d
uré
e
27
24
36
26
31
25
71
42
18
16
19
17
18
14
40
28
0 20
40
60
80
100
1: Aire
contrô
le des
douanes côté port
2: Aire
contrô
le des
douanes côté vi
lle
3: Statio
nnement douaniers
4: Amont A
val z
one
douanière - Départ 5: A
mont Ava
l zone
douanière -
debarquement 6: P
asserelle
piétons
7: Bd Verdun
8: Place
Leon Blum
2007
20
13
Au
tou
r d
u p
ost
e d
e d
ou
ane
Réf
éren
ces
séto
ises
Val
eur
limit
e an
nu
elle
: 4
0 g
/m3
µg/m3
0 10
20
30
40 12
:57
13:1
2 13
:26
13:4
0 13
:55
14:0
9 14
:24
14:3
8 14
:52
15:0
7 15
:21
Concentration (en µg/m3)
µg/m3
Tem
ps
Déb
ut d
udé
barq
uem
ent
Fin
du
déba
rque
men
t
0 40
80
120
160 27
-jui
3-ao
ût
10-a
oût
17-a
oût
24-a
oût
31-a
oût
Fer
ries
Dou
anes
de
Sèt
e
Co
nce
ntr
atio
ns
en P
M10
le 1
9 m
ars
du
ran
t u
n d
ébar
qu
emen
t d
e fe
rry
Max
ima
jou
rnal
iers
NO
2 D
ou
anes
de
Sèt
e -
Eté
201
3
Co
mp
arai
son
s d
es c
on
cen
trat
ion
s m
oye
nn
es a
nn
uel
les
de
NO
2
Po
ste
de
do
uan
e d
e S
ète
- 20
07/2
013
27
24
36
26
31
25
71
42
18
16
19
17
18
14
40
28
0 20
40
60
80
100
1: Aire
contrô
le des
douanes côté port
2: Aire
contrô
le des
douanes côté vi
lle
3: Statio
nnement douaniers
4: Amont A
val z
one
douanière - Départ 5: A
mont Ava
l zone
douanière -
debarquement 6: P
asserelle
piétons
7: Bd Verdun
8: Place
Leon Blum
2007
20
13
Au
tou
r d
u p
ost
e d
e d
ou
ane
Réf
éren
ces
séto
ises
Val
eur
limit
e an
nu
elle
: 4
0 g
/m3
µg/m3
0 10
20
30
40 12
:57
13:1
2 13
:26
13:4
0 13
:55
14:0
9 14
:24
14:3
8 14
:52
15:0
7 15
:21
Concentration (en µg/m3)
µg/m3
Tem
ps
Déb
ut d
udé
barq
uem
ent
Fin
du
déba
rque
men
t
0 40
80
120
160 27
-jui
3-ao
ût
10-a
oût
17-a
oût
24-a
oût
31-a
oût
Fer
ries
Dou
anes
de
Sèt
e
Co
nce
ntr
atio
ns
en P
M10
le 1
9 m
ars
du
ran
t u
n d
ébar
qu
emen
t d
e fe
rry
Max
ima
jou
rnal
iers
NO
2 D
ou
anes
de
Sèt
e -
Eté
201
3
Co
mp
arai
son
s d
es c
on
cen
trat
ion
s m
oye
nn
es a
nn
uel
les
de
NO
2
Po
ste
de
do
uan
e d
e S
ète
- 20
07/2
013
27
24
36
26
31
25
71
42
18
16
19
17
18
14
40
28
0 20
40
60
80
100
1: Aire
contrô
le des
douanes côté port
2: Aire
contrô
le des
douanes côté vi
lle
3: Statio
nnement douaniers
4: Amont A
val z
one
douanière - Départ 5: A
mont Ava
l zone
douanière -
debarquement 6: P
asserelle
piétons
7: Bd Verdun
8: Place
Leon Blum
2007
20
13
Au
tou
r d
u p
ost
e d
e d
ou
ane
Réf
éren
ces
séto
ises
Val
eur
limit
e an
nu
elle
: 4
0 g
/m3
µg/m3
0 10
20
30
40 12
:57
13:1
2 13
:26
13:4
0 13
:55
14:0
9 14
:24
14:3
8 14
:52
15:0
7 15
:21
Concentration (en µg/m3)
µg/m3
Tem
ps
Déb
ut d
udé
barq
uem
ent
Fin
du
déba
rque
men
t
0 40
80
120
160 27
-jui
3-ao
ût
10-a
oût
17-a
oût
24-a
oût
31-a
oût
Fer
ries
Dou
anes
de
Sèt
e
Co
nce
ntr
atio
ns
en P
M10
le 1
9 m
ars
du
ran
t u
n d
ébar
qu
emen
t d
e fe
rry
Max
ima
jou
rnal
iers
NO
2 D
ou
anes
de
Sèt
e -
Eté
201
3
Co
mp
arai
son
s d
es c
on
cen
trat
ion
s m
oye
nn
es a
nn
uel
les
de
NO
2
Po
ste
de
do
uan
e d
e S
ète
- 20
07/2
013
Co
nce
ntr
atio
ns
gén
éral
emen
t p
lus
élev
ées
l’hiv
er
Con
cent
ratio
ns d
e po
lluan
ts p
lus
élev
ées
en h
iver
(ch
auffa
ge,
cond
ition
s m
étéo
rolo
giqu
es m
oins
favo
rabl
es),
mal
gré
une
activ
ité
du p
oste
de
doua
ne p
lus
faib
leA
mél
iora
tio
n g
lob
ale
dep
uis
200
7 D
imin
utio
n d
es c
on
cen
trat
ion
s d
e p
ollu
ants
(NO
2, b
enzè
ne, S
O2,
PM
10)
sur
l’ens
embl
e de
s m
esur
es c
omm
unes
effe
ctué
es e
n 20
07 e
t 201
3 :
Dim
inut
ion
de la
po
llutio
n d
e fo
nd
pou
r la
plup
art d
es p
ollu
ants
étu
diés
Bai
sse
des
émis
sio
ns
des
véh
icu
les
(am
élio
ratio
n de
s m
oteu
rs,
carb
uran
ts m
oins
pol
luan
ts…
) B
aiss
e du
no
mb
re d
e vé
hic
ule
s en
tra
nsi
t su
r le
pos
te d
e do
uane
pe
ndan
t les
pér
iode
s de
mes
ure
HÉ
RA
ULT
ÉT
UD
E D
E L
A Q
UA
LIT
É D
E L
’AIR
A
UT
OU
R D
U P
OS
TE
DE
DO
UA
NE
DE
SÈ
TE
Éta
t d
es li
eux
2013
et
évo
luti
on
dep
uis
200
7
SÈ
TE
46 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Rem
orqu
e la
bora
toire
à pr
oxim
ité
du
post
e de
dou
ane
Sac
à d
os c
onte
nant
le
com
pteu
r de
par
ticul
es P
M10
po
ur m
esur
er
l’exp
ositi
on in
divi
duel
le
Ret
rou
vez
l’en
sem
ble
des
rés
ult
ats
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
étu
des
résu
mé
télé
char
geab
le
sur
ww
w.a
ir-l
r.o
rg
Etu
de
2013
Un
Par
ten
aria
t C
om
ité
Hyg
ièn
e S
écu
rité
et
Co
nd
itio
ns
de
Trav
ail (
CH
SC
T)
des
do
uan
es d
e l’H
érau
lt e
t A
IR L
R
Pri
nci
pau
x o
bje
ctif
s E
stim
er la
po
lluti
on
mo
yen
ne
ann
uel
le a
utou
r du
po
ste
de d
ouan
e et
com
pare
r le
s ré
sulta
ts a
ux v
aleu
rs
régl
emen
taire
s É
valu
er le
s va
riat
ion
s d
e p
ollu
tio
n a
u co
urs
de la
jo
urné
e po
ur le
dio
xyde
d’a
zote
(N
O2)
, les
par
ticul
es e
n su
spen
sion
(PM
10 e
t PM
2,5)
et l
e di
oxyd
e de
sou
fre (S
O2)
Étu
dier
l’év
olut
ion
des
nive
aux
de p
ollu
ants
dep
uis
la
préc
éden
te é
tude
réa
lisée
en
2007
Com
pare
r le
s ré
sulta
ts a
ux te
neur
s en
pol
luan
ts
renc
ontr
ées
sim
ulta
ném
ent d
ans
des
envi
ronn
emen
ts
urba
ins
de S
ète
et d
e la
rég
ion
Dis
pose
r de
pre
miè
res
info
rmat
ions
sur
l’ex
po
siti
on
in
div
idu
elle
des
dou
anie
rs a
ux p
artic
ules
en
susp
ensi
on
Mo
yen
s m
is e
n œ
uvr
e P
ollu
ants
mes
uré
s :
diox
yde
d’az
ote
(NO
2), b
enzè
ne,
part
icul
es e
n su
spen
sion
(P
M 1
0, P
M 2
,5),
mét
aux
toxi
ques
(a
rsen
ic, c
adm
ium
, nic
kel,
plom
b), p
ouss
ière
s sé
dim
enta
bles
, di
oxyd
e de
sou
fre (S
O2)
23
site
s de
mes
ures
Mes
ures
réa
lisée
s en
tre
juill
et 2
013
et a
vril
2014
, ave
c un
e re
mor
que
labo
rato
ire, d
es é
chan
tillo
nneu
rs p
assi
fs, d
es c
apte
urs
de p
ouss
ière
s sé
dim
enta
bles
et d
es m
esur
es c
ompl
émen
taire
s po
ur l’
expo
sitio
n in
divi
duel
le
Rés
ult
ats
: A
ucu
n im
pac
t d
e l’a
ctiv
ité*
du
po
ste
de
do
uan
e su
r le
s co
nce
ntr
atio
ns
mo
yen
nes
de
po
lluan
ts
Tem
ps d
e pr
ésen
ce d
es s
ourc
es d
’ém
issi
ons
(véh
icul
es e
t fe
rrie
s) fa
ible
s à
prox
imité
du
post
e de
dou
ane
(que
lque
s he
ures
par
sem
aine
) N
ivea
ux
mo
yen
s m
esu
rés
infé
rieu
rs à
ceu
x en
reg
istr
és
dan
s le
s ce
ntr
es u
rbai
ns
des
gra
nd
es a
gg
lom
érat
ion
s.
Con
cent
ratio
ns a
nnue
lles
de N
O2
et d
e be
nzèn
e ne
ttem
ent
infé
rieur
es à
cel
les
enre
gist
rées
au
cent
re-v
ille
de S
ète
Seu
ils r
égle
men
tair
es r
esp
ecté
s à
l’exc
eptio
n de
l’o
bjec
tif d
e qu
alité
ann
uel d
es P
M2,
5, c
omm
e su
r la
qua
si-
tota
lité
des
site
s de
mes
ure
en F
ranc
e *
déba
rque
men
t des
ferr
ies,
pas
sage
des
véh
icul
es a
u po
ste
de d
ouan
e
Po
lluti
on
de
po
inte
gén
érée
par
les
acti
vité
s d
u p
ost
e E
xpos
ition
des
age
nts
de d
ouan
e in
fluen
cée
par l
es é
mis
sion
s de
s vé
hicu
les
lors
des
em
bar
qu
emen
ts o
u d
ébar
qu
emen
ts
de
ferr
ies
qu
i s’a
jou
ten
t à
la p
ollu
tio
n d
e fo
nd
Con
cent
ratio
ns d
e N
O2
et d
e pa
rtic
ules
en
susp
ensi
on le
s pl
us é
levé
es r
elev
ées
les
jou
rs d
e p
rése
nce
d’u
n f
erry
A
ugm
enta
tion
des
conc
entr
atio
ns d
e co
urt
e d
uré
e
27
24
36
26
31
25
71
42
18
16
19
17
18
14
40
28
0 20
40
60
80
100
1: Aire
contrô
le des
douanes côté port
2: Aire
contrô
le des
douanes côté vi
lle
3: Statio
nnement douaniers
4: Amont A
val z
one
douanière - Départ 5: A
mont Ava
l zone
douanière -
debarquement 6: P
asserelle
piétons
7: Bd Verdun
8: Place
Leon Blum
2007
20
13
Au
tou
r d
u p
ost
e d
e d
ou
ane
Réf
éren
ces
séto
ises
Val
eur
limit
e an
nu
elle
: 4
0 g
/m3
µg/m3
0 10
20
30
40 12
:57
13:1
2 13
:26
13:4
0 13
:55
14:0
9 14
:24
14:3
8 14
:52
15:0
7 15
:21
Concentration (en µg/m3)
µg/m3
Tem
ps
Déb
ut d
udé
barq
uem
ent
Fin
du
déba
rque
men
t
0 40
80
120
160 27
-jui
3-ao
ût
10-a
oût
17-a
oût
24-a
oût
31-a
oût
Fer
ries
Dou
anes
de
Sèt
e
Co
nce
ntr
atio
ns
en P
M10
le 1
9 m
ars
du
ran
t u
n d
ébar
qu
emen
t d
e fe
rry
Max
ima
jou
rnal
iers
NO
2 D
ou
anes
de
Sèt
e -
Eté
201
3
Co
mp
arai
son
s d
es c
on
cen
trat
ion
s m
oye
nn
es a
nn
uel
les
de
NO
2
Po
ste
de
do
uan
e d
e S
ète
- 20
07/2
013
27
24
36
26
31
25
71
42
18
16
19
17
18
14
40
28
0 20
40
60
80
100
1: Aire
contrô
le des
douanes côté port
2: Aire
contrô
le des
douanes côté vi
lle
3: Statio
nnement douaniers
4: Amont A
val z
one
douanière - Départ 5: A
mont Ava
l zone
douanière -
debarquement 6: P
asserelle
piétons
7: Bd Verdun
8: Place
Leon Blum
2007
20
13
Au
tou
r d
u p
ost
e d
e d
ou
ane
Réf
éren
ces
séto
ises
Val
eur
limit
e an
nu
elle
: 4
0 g
/m3
µg/m3
0 10
20
30
40 12
:57
13:1
2 13
:26
13:4
0 13
:55
14:0
9 14
:24
14:3
8 14
:52
15:0
7 15
:21
Concentration (en µg/m3)
µg/m3
Tem
ps
Déb
ut d
udé
barq
uem
ent
Fin
du
déba
rque
men
t
0 40
80
120
160 27
-jui
3-ao
ût
10-a
oût
17-a
oût
24-a
oût
31-a
oût
Fer
ries
Dou
anes
de
Sèt
e
Co
nce
ntr
atio
ns
en P
M10
le 1
9 m
ars
du
ran
t u
n d
ébar
qu
emen
t d
e fe
rry
Max
ima
jou
rnal
iers
NO
2 D
ou
anes
de
Sèt
e -
Eté
201
3
Co
mp
arai
son
s d
es c
on
cen
trat
ion
s m
oye
nn
es a
nn
uel
les
de
NO
2
Po
ste
de
do
uan
e d
e S
ète
- 20
07/2
013
27
24
36
26
31
25
71
42
18
16
19
17
18
14
40
28
0 20
40
60
80
100
1: Aire
contrô
le des
douanes côté port
2: Aire
contrô
le des
douanes côté vi
lle
3: Statio
nnement douaniers
4: Amont A
val z
one
douanière - Départ 5: A
mont Ava
l zone
douanière -
debarquement 6: P
asserelle
piétons
7: Bd Verdun
8: Place
Leon Blum
2007
20
13
Au
tou
r d
u p
ost
e d
e d
ou
ane
Réf
éren
ces
séto
ises
Val
eur
limit
e an
nu
elle
: 4
0 g
/m3
µg/m3
0 10
20
30
40 12
:57
13:1
2 13
:26
13:4
0 13
:55
14:0
9 14
:24
14:3
8 14
:52
15:0
7 15
:21
Concentration (en µg/m3)
µg/m3
Tem
ps
Déb
ut d
udé
barq
uem
ent
Fin
du
déba
rque
men
t
0 40
80
120
160 27
-jui
3-ao
ût
10-a
oût
17-a
oût
24-a
oût
31-a
oût
Fer
ries
Dou
anes
de
Sèt
e
Co
nce
ntr
atio
ns
en P
M10
le 1
9 m
ars
du
ran
t u
n d
ébar
qu
emen
t d
e fe
rry
Max
ima
jou
rnal
iers
NO
2 D
ou
anes
de
Sèt
e -
Eté
201
3
Co
mp
arai
son
s d
es c
on
cen
trat
ion
s m
oye
nn
es a
nn
uel
les
de
NO
2
Po
ste
de
do
uan
e d
e S
ète
- 20
07/2
013
Co
nce
ntr
atio
ns
gén
éral
emen
t p
lus
élev
ées
l’hiv
er
Con
cent
ratio
ns d
e po
lluan
ts p
lus
élev
ées
en h
iver
(ch
auffa
ge,
cond
ition
s m
étéo
rolo
giqu
es m
oins
favo
rabl
es),
mal
gré
une
activ
ité
du p
oste
de
doua
ne p
lus
faib
leA
mél
iora
tio
n g
lob
ale
dep
uis
200
7 D
imin
utio
n d
es c
on
cen
trat
ion
s d
e p
ollu
ants
(NO
2, b
enzè
ne, S
O2,
PM
10)
sur
l’ens
embl
e de
s m
esur
es c
omm
unes
effe
ctué
es e
n 20
07 e
t 201
3 :
Dim
inut
ion
de la
po
llutio
n d
e fo
nd
pou
r la
plup
art d
es p
ollu
ants
étu
diés
Bai
sse
des
émis
sio
ns
des
véh
icu
les
(am
élio
ratio
n de
s m
oteu
rs,
carb
uran
ts m
oins
pol
luan
ts…
) B
aiss
e du
no
mb
re d
e vé
hic
ule
s en
tra
nsi
t su
r le
pos
te d
e do
uane
pe
ndan
t les
pér
iode
s de
mes
ure
HÉ
RA
ULT
ÉT
UD
E D
E L
A Q
UA
LIT
É D
E L
’AIR
A
UT
OU
R D
U P
OS
TE
DE
DO
UA
NE
DE
SÈ
TE
Éta
t d
es li
eux
2013
et
évo
luti
on
dep
uis
200
7
SÈ
TE
47AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
µg
/m3
0
50
100
150
200
250
Salle de classe del'école élémentaire E1
Salle de classe del'école maternelle E2
Salle de classe del'école maternelle E3
Intérieur du commerce
Appartement audessus du commerce
Air ambiantdevant l'école
Valeur guide long terme : 250 µg/m3
Concentrations en perchloroéthylène en µg/m3
Qualité de l'air intérieur - Quartier des Arceaux - Avril 2013
Du 10/04 au 17/04/13
Du 17/04 au 24/04/13
Groupe scolaire des Arceaux (Hérault): Étude de la qualité de l’air intérieur
Moyens mis en œuvre : Les mesures ont été réalisées :
• dans 3 salles de classes du groupe scolaire des Arceaux,
• dans l’ancien pressing (transformé en commerce),
• dans un appartement au-dessus de l’ancien pressing,
• en extérieur, devant l’école.
Le 2ème Plan National Santé Environnement 2009-2013 a prévu la réduction des expositions aux substances préoccupantes dans les bâtiments accueillant les enfants.
Le groupe scolaire situé Boulevard des Arceaux à Montpellier fait partie de la liste (publiée en 2010) d’établissements visés par une démarche de diagnostic de sols en raison de la présence à moins de 100 mètres d’un pressing aujourd’hui fermé.
Ce pressing a émis du perchloroéthylène dans les sols en quantité inconnue, mais vraisemblablement importante. Ce composé peut migrer dans le sol via les eaux souterraines et éventuellement se retrouver dans l’air intérieur des bâtiments du groupe scolaire des Arceaux.
• Réaliser des mesures ponctuelles de composés organiques volatils (COV), dont le perchloroéthylène et le benzène ainsi que de renouvellement d’air à l’intérieur du groupe scolaire des Arceaux et dans son environnement proche.
• Comparer les résultats obtenus aux valeurs réglementaires en vigueur et aux teneurs habituellement rencontrées.
Objectifs mesures
• Sur tous les sites étudiés, les concentrations de composés organiques volatils mesurées sont inférieures aux différentes valeurs de référence. En particulier, les teneurs en perchloroéthylène - composé présent dans le sol et à l’origine de cette étude - respectent les valeurs de référence existantes.
Résultats
• Groupe scolaire des Arceaux : les concentrations mesurées sont très faibles et inférieures ou équivalentes à celles rencontrées habituellement en air intérieur. La pollution au perchloroéthylène sous l’école n’a pas d’influence sur les concentrations de cet élément dans les salles de classe.
• Ancien pressing : Les concentrations sont plus élevées que celles rencontrées habituellement en air intérieur. La pollution au perchloroéthylène liée à l’ancien pressing et présente dans le sol semble influencer les concentrations de cet élément dans l’air du commerce occupant les locaux de l’ancien pressing.
Zoom sur le perchloroéthylène
Polluants mesurésDispositif de
mesureDurée du
prélèvement
5 COV Tubes passifs 14 jours
41 COV Canisters 3 heures
48 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
NO2dioxyde d’azote
Études régionales
l’air intérieur
Crèche de Parignargues (Gard) : Poursuite des mesures d’aldéhydesA l’automne 2007, la CIRE (Cellule Interrégionale d’Epidémiologie) du Languedoc-Roussillon et la DDASS du Gard avaient sollicité AIR LR pour intervenir d’urgence à l’intérieur de la crèche des Bambins à Parignargues où les personnes fréquentant l’établissement (personnels et enfants) se plaignaient de symptômes irritatifs (gênes oculaires et respiratoires).
Les résultats de l’étude menée par AIR LR en 2007 avaient mis en évidence des teneurs très élevées(1) en formaldéhyde dans toute la crèche. De fin 2007 à début 2009, des travaux ont été réalisés dans la crèche afin de résorber les concentrations de formaldéhyde.
Des campagnes de mesures ont été régulièrement effectuées par AIR LR depuis la fin des travaux (2009) et la réouverture de la crèche (2010). De nouvelles mesures ont été réalisées en 2013, en présence d’enfants et du personnel.
• Évaluer la qualité de l’air à l’intérieur de la crèche (mesures des concentrations de formaldéhyde) suite aux mesures déjà réalisées par AIR LR entre 2007 et 2012,
• Comparer les résultats aux résultats des études précédentes, aux concentrations généralement rencontrées en air intérieur et aux valeurs réglementaires.
Objectifs mesures 2013
• Les concentrations de formaldéhyde sont typiques des environnements intérieurs français.
• Comme depuis 2010, la valeur guide 2 heures de l’ANSES (50 µg/m3) est respectée dans toute la crèche.
• La valeur guide, applicable à partir de 2015 (30 µg/m3 pour une exposition de longue durée), est respectée dans l’ensemble de la crèche, à l’exception du vestiaire des enfants.
• Les concentrations de formaldéhyde relevées en juin 2013 sont globalement du même ordre de grandeur que celles relevées depuis la réouverture de la crèche en 2010.
Résultats 2013 formaldéhyde
Des mesures de formaldéhyde pourraient être de nouveau réalisées en 2014 afin de suivre l’évolution des concentrations de formaldéhyde dans la crèche. En parallèle, le CO2, traceur du confinement, pourrait être mesuré dans plusieurs pièces (il l’a été seulement dans une pièce lors des campagnes 2012 et 2013).
Perspectives
29-oct-10 28-oct-11 19-juin-12 12-juin-13
Vestiaireenfants
Vestiairepersonnel
Dortoir bébés Salle de viebébés
Salle de viedes grands
Cuisine Salle de reposdes grands
Sanitairesenfants
Salle de reposdes moyens
P2 P3 P4 P5 P7 P8 P9 P11 P12
24
38
16 17 20
24 20
16 17
28 33
19 21
18
23
14
6
21
38
25 26 27
33
28 25
27
21
13
6
26
14
20
5
26
14
26
0
10
20
30
40
50
60
Valeur guide ANSES sur 2 heures
Fo
rma
ldé
hyd
e e
n µ
g/m
3
FORMALDEHYDE à Parignargues (mesures sur 2 h) Evolution des mesures depuis la réouverture de la crèche en 2010
(1) Plus de 15 fois supérieures à la valeur guide de l’ANSES de 50 µg/m3 pour une exposition de 2 heures. Voir le résumé sur www.air-lr.org.
49AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Une odeur est toujours un signal et la loi reconnaît comme une pollution
à part entière « toute substance susceptible de provoquer des
nuisances olfactives excessives » .
Un panel de riverains, choisi dans une zone géographique donnée, fournit des observations sur la gêne olfactive ressentie à partir des fiches standard mises en place par AIR LR. Ces riverains volontaires disposent de grilles quotidiennes (et d’un site Extranet) pour mentionner – aux plages horaires de leur convenance – les odeurs senties – ou pas – avec un certain nombre de caractéristiques (intensité, ressemblance).Les fiches remplies sont ensuite exploitées par AIR LR, notamment au regard des conditions de vent, des informations sur le fonctionnement des sources potentielles d’odeurs, ainsi que des mesures physico-chimiques (s’il en existe).
En 2013, AIR LR gérait 2 Observatoires Odeurs :
• Salindres et environs (Gard), autour d’une zone industrielle comportant une plate-forme chimique et un certain nombre de PMI ; mis en place en 2007 ; 10 participants en 2013
• Montpellier Garosud (Hérault), autour de l’unité de méthanisation des déchets de Montpellier (Amétyst) ; mis en place en 2008 ; 6 participants en 2013.
Amélioration de la situation olfactive depuis 2007 :
• Après une augmentation en 2012, le nombre d’heures odorantes rapporté par Nez est resté stable pour les odeurs ressenties comme « gênantes » ou « très gênantes », et a légèrement augmenté pour les odeurs « peu » ou « pas gênantes ». Les trois dernières années restent globalement meilleures qu’entre 2007 et 2010.
• D’autre part, en 2013, la proportion des seules odeurs « très gênantes » est globalement stable par rapport à 2012 et 2011.
Si les odeurs de produits chimiques étaient fortement représentées dans les premières années de l’observatoire, elles ont diminué depuis 2010 au profit d’odeurs non reconnues.
En 2013, le registre des « déchets ménagers fermentés » est apparu, et la part des odeurs de compost et des autres ressemblances a augmenté par rapport à 2012, alors que les odeurs non identifiées régressaient.
Salindres
Résultats
Après une très forte augmentation entre 2008 et 2009, la plupart des indicateurs retenus sont en baisse régulière depuis 2010. En moyenne, en 2013, une heure sur 71 est perçue comme odorante par le réseau de « Nez » bénévoles.
Comme depuis 2009, les quartiers les plus affectés par les odeurs d’AMETYST se trouvent dans un périmètre de 300 mètres autour de l’usine : il s’agit des lotissements de part et d’autre de l’avenue Etienne Mehul, du Mas Tandon et du Clos de la Massane.
Unité de méthanisation AMETYST
0
200
400
600
800
1000
1200
2012Année
2013Année
Nb d'heures avec odeurs pas gênantes gênantes peu gênantes très gênantes
2007Mai-
décembre
2008Avril-
décembre
2009Mars-
décembre
2010Année
2011Année
Intensité des odeurs - évolution annuelle
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
100
%
Observatoire odeurs autour d'Amétyst Taux de perception des odeurs par semaine - 2008 à 2013
2008 2009 2010 2011 20132012
Vous êtes témoins d’une odeur gênante en Languedoc-Roussillon !
Signalez-la sur le site
www.air-lr.org
Observatoires olfactifs Les observatoires spécifiques à une zone géographique
Principe
50 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
les odeurs
AIR LR effectue, depuis 2003, la vérification des analyseurs neufs des Associations Agréées de Surveillance de la Qualité de l’Air (AASQA) du Languedoc-Roussillon (AIR LR), de la région PACA (AIR PACA) et, depuis 2007, de la Corse (QUALITAIR CORSE).La vérification des analyseurs déjà en fonctionnement sur le terrain a été intégrée en 2007 pour AIR LR et, exceptionnellement, pour les autres régions partenaires.
L’objectif est d’assurer la fiabilité des équipements, en procédant à une série de tests techniques et métrologiques (vérification des paramètres électroniques et de la transmission des informations, linéarité, répétabilité, dérive,…) avant leur installation en station, conformément aux normes européennes.
La réception se déroule en 3 étapes et concerne les analyseurs automatiques de NO/NO2, SO2, O3 et CO :
• Vérification visuelle
• Vérification administrative
• Vérification technique et métrologique : - vérification du bon fonctionnement de l’analyseur ; - évaluation des caractéristiques métrologiques et vérification du respect
des critères de conformité.
Méthode utilisée :
• La méthode utilisée pour la vérification des analyseurs est conforme aux normes européennes, mais seuls les essais décrits dans le guide INERIS sont réalisés par AIR LR.
• Les critères de performance associés sont ceux imposés par les normes européennes.
Documents de référence :
• GUIDE INERIS - Novembre 2005 - Version finale Contrôles métrologiques périodiques et à réception des analyseurs par les AASQA, conformément aux exigences normatives européennes - révision 2005.
• Normes NF EN 14211 pour le NO2 et le NO, NF EN 14212 pour le SO2, NF EN 14625 pour l’O3 et NF EN 14626 pour le CO.
En 2013, 13 analyseurs neufs (contre 30 en 2012 et 14 en 2011) et 17 analyseurs en fonctionnement (contre 8 en 2012 et 14 en 2011) ont été vérifiés. Un seul analyseur non approuvé par type s’est révélé non conforme aux critères des normes CEN et d’AIR LR : il a été mis au rebut.
Quelques dysfonctionnements mineurs ont été observés lors de la vérification technique. Ils ont pu être corrigés par les opérateurs avant de réaliser les essais métrologiques.
Laboratoire métrologique de vérification des analyseurs
AIRPACA
QUALITAIR CORSE
AIR LR
73%
0%
27%
Répartition des analyseurs vérifiés par AASQA en 2013
O3
SO2
NO/NOX
CO
37%
56%7%
0%
Répartition des analyseurs vérifiés par type de polluant en 2013
BILAN 2013
Commande analyseur
Envoi analyseur
Renvoi Information
Non conforme
Renvoi après accord
du propriétaire
Mode d'envoi des analyseurs neufs de NO/NO2,SO2, O3 et CO pour vérification par AIR LR
Conforme
Non conforme
Conforme
Réseaux de Mesure de la Qualité de l'Air(AIR PACA, QUALITAIR CORSE, AIR L.R.)
Constructeurs
AIR LRVérification Visuelle
et Administrative
AIR LRVérification Technique
et Métrologique
Laboratoire de réception d’AIR LR
51AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Mauvais à très mauvais(indices 8 à 10)
Moyens à médiocres(indices 5 à 7)
Bons à très bons(indices 1 à 4)
0 %
10 %
20 %
30 %
40 %
50 %
60 %
70 %
80 %
90 %
100 %
20092010
20112012
20132009
20102011
20122013
20092010
20112012
20132009
20102011
20122013
Montpellier Nîmes Gard RhodanienPerpignan
Indices ATMO IQA
Fréquence d’apparition des indices Atmo et IQA
Commentaires 2013 :
• Indices « TRES BONS A BONS » majoritaires et plus fréquents que les années précédentes : 62% à 71% des jours selon les zones contre 53 à 63% en 2012.
• Indices « MOYENS A MEDIOCRES » constatés 29 à 37% des jours. Ils ont pour origine l’O3 ou les PM 10.
• Indices « MAUVAIS A TRES MAUVAIS » - Montpellier, Nîmes et Vallée du Rhône : plus nombreux qu’en 2012(1) sur Montpellier et Nîmes, ils ont principalement pour origine les PM 10. - Perpignan : ces indices n’ont pas été détectés en 2013 (ils l’avaient été une fois en 2012).
En 2013, comme les années précédentes, la part de l’ozone (seul ou associé à d’autres polluants) dans la détermination des indices ATMO et IQA est majoritaire (72 à 84%).
Les indices les plus élevés ont principalement pour origine les PM 10 en raison du changement dans le calcul de l’indice qui accorde plus d’importance à ce polluant.
1 2
3 4
56
7 8
9 10 mauvais à
très mauvais(Indices 8 à 10)
moyens à médiocres(Indices 5 à 7)
très bons à bons(Indices 1 à 4)
êIndice de la qualité de l'air :www.air-lr.org
Pour en savoir plus…Les données détaillées par zone sont disponibles sur
www.air-lr.org
L’indice Atmo fournit une information journalière globale sur la qualité de l’air des agglomérations de plus de 100 000 habitants.Il est calculé sur la base des résultats de mesure des stations urbaines et périurbaines pour quatre polluants : particules en suspension PM 10, dioxyde de soufre (SO2), dioxyde d’azote (NO2) et ozone (O3). Les concentrations maximales observées pour chacun de ces polluants sont classées sur une échelle de 1 à 10. L’indice Atmo publié correspond à l’indice le plus élevé pour ces 4 polluants.
L’indice Qualité de l’Air (IQA) est calculé sur la même échelle que l’indice ATMO ; il concerne les agglomérations de moins de 100 000 habitants ou les zones non urbaines.
Modification dans le calcul de l’indice ATMO et IQA à partir du 1er janvier 2012 (Arrêté ministériel du 21/12/11) : • les seuils de l’échelle PM 10 ont été abaissés, ce qui accorde plus d’importance à ce polluant dans le calcul
de l’indice, • en revanche, les grilles de calcul pour les autres polluants participant à l’indice (SO2, NO2 et O3) n’ont pas
été modifiées.
(1) En 2013, les indices « MAUVAIS A TRES MAUVAIS » ont été détectés :- 10 jours à Montpellier et Nîmes contre 1 jour en 2012- 5 jours dans le Gard Rhodanien comme en 2012.
52 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Bilan 2013
indice Atmoet IQA
0 %
10 %
20 %
30 %
40 %
50 %
60 %
70 %
80 %
90 %
100 %
20092010
20112012
20132009
20102011
20122013
20092010
20112012
20132009
20102011
20122013
20112012
20132009
20102011
20122013
* début du calcul de l'indice en 2011
Mauvais à très mauvais(indices 8 à 10)
Moyens à médiocres(indices 5 à 7)
Bons à très bons(indices 1 à 4)
Agathois et Piscénois
Biterrois et Narbonnais Haut-Languedoc Alès
CévennesOuest Aude*
Ouest PO
Fréquence d’apparition de l’indice Ozone (1/04 au 30/09)
Commentaires période estivale 2013 :
• Indices « TRES BONS A BONS » : 33 à 72 % des jours. La fréquence d’apparition de ces indices est, à l’exception de la zone « Haut-Languedoc », en augmentation par rapport aux années précédentes.
* sur la zone « Ouest des Pyrénées-Orientales », les concentrations élevées d’ozone sont à mettre en relation avec l’arrivée de masses d’air provenant de l’Espagne (vent du Sud), et probablement de la métropole barcelonaise, lieu de fortes émissions de précurseurs d’ozone.
• Indices « MOYENS A MEDIOCRES » : 28 à 67% des jours,
• Indices « MAUVAIS A TRES MAUVAIS » : une seule journée en 2013 dans le Biterrois-Narbonnais (13 juillet) et dans l’Ouest des PO* (26 juillet).
Calculé sur le même principe que l’indice ATMO, l’indice OZONE fournit une information journalière sur les teneurs en ozone (O3) dans l’air ambiant.
L’ozone se forme par transformation, sous l’action du soleil et de la chaleur, de certains polluants émis essentiellement par le transport routier et les industries. Les concentrations d’ozone les plus élevées sont donc observées lors de la période estivale (1er avril au 30 septembre).
Hors période estivale (c’est-à-dire du 1er janvier au 31 mars puis du 1er octobre au 31 décembre), les conditions météorologiques sont peu favorables à la formation de l’ozone. L’indice OZONE est donc très majoritairement « TRÈS BON à BON ».
Rappel :
53AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Bilan de la période estivale 2013(1er avril au 30 septembre)
indice ozone
ZONEOZONE - Nombre de déclenchements de la procédure d’information
1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
GARD 11 10 12 8 39 6 6 5 7 3 2 7 0 0 1
HÉRAULT 3 1 7 4 21 2 1 2 0 1 0 1 0 0 1
PYRÉNÉES-ORIENTALESZone plaine
0 0 0 0 2 1 0 1 0 2 1 0 0 0 0
PYRÉNÉES-ORIENTALESZone Ouest montagne
Pas de mesure sur cette zone 0 4 4 2 1 0 * * * *
AUDE Pas de procédure 0 1 0 2 0 0 0
LOZÈRE Pas de procédure
* pas de mesures pérennes sur la zone Ouest Montagne des Pyrénées Orientales
PM 10 dans l’Hérault nombre de déclenchements de la procédure d’information
2008 2009 2010 2011 2012 2013
0 0 0 0 1 10
Seul le département de l’Hérault est concerné depuis 2008 par des procédures préfectorales d’information et d’alerte en cas de pics de pollution PM 10.En application de la réglementation nationale, l’arrêté préfectoral du 13 février 2012 a abaissé les seuils de concentration de PM10 pour les déclenchements des procédures d’information (50 µg/m3 contre 80 µg/m3 précédemment) et d’alerte (80 µg/m3 contre 125 µg/m3 précédemment).En 2013, 10 procédures d’information ont été déclenchées, contre une seule en 2012.En revanche, comme les années précédentes, aucune procédure d’alerte n’a été déclenchée.
En 2013, comme les années précédentes, le dioxyde d’azote et le dioxyde de soufre n’ont donné lieu à aucun déclenchement de procédure.
Particules en suspension PM 10
Dioxyde d’azote (NO2) et dioxyde de soufre (SO2)
Procédures d’informationLa procédure d’information est déclenchée lors du dépassement du seuil horaire de 180 µg/m3 sur un ou deux capteurs selon le département. Ce seuil est fixé réglementairement et correspond à un niveau de concentration au-delà duquel une exposition, même de courte durée, a des effets limités et transitoires sur la santé des personnes particulièrement sensibles (personnes âgées, enfants en bas âge, patients souffrant d’une pathologie cardiaque ou respiratoire, etc.). Le déclenchement de la procédure d’information implique la mise en œuvre d’actions d’information de l’ensemble de la population et de préconisations sanitaires pour les personnes particulièrement sensibles. Des recommandations sont également diffusées à l’attention des personnes ou organismes susceptibles de contribuer à la réduction des émissions de polluants (automobilistes, industriels, etc).
• Hérault et Gard : 1er déclenchement depuis 2010 En 2013, la procédure d’information « ozone » a été déclenchée une fois (13 juillet dans l’Hérault et 25 juillet dans le Gard). Dans ces 2 départements, le précédent déclenchement avait eu lieu en 2010.
• Aude et Pyrénées-Orientales (zone Plaine) : pas de déclenchement en 2013. Les derniers déclenchements ont eu lieu respectivement les 20 juillet 2010 et 8 septembre 2009.
Dépassement des niveaux d’alerteEn 2013, comme les années précédentes, les niveaux d’alerte n’ont jamais été dépassés en Languedoc-Roussillon.
Mises en place de mesures d’urgence • Aude, Hérault et Pyrénées-Orientales : en 2013, comme les années précédentes, les
conditions de mises en œuvre des mesures d’urgence n’ont pas été atteintes.
• Gard : en 2013 les mesures d’urgence de niveau 1 ont été mises en place 4 jours contre 1 jour en 2012, 3 jours en 2011 et 10 jours en 2010.
Remarque : en Lozère, pas de procédure pour la mise en œuvre de mesures d’urgence.
Ozone
1 Le livre II titre II du Code de l’Environnement impose la mise en place de procédures d’information et d’alerte des populations lors d’un épisode de pollution. Ces procédures sont établies par les préfets de département. Elles existent depuis 1999 dans le Gard, l’Hérault et les Pyrénées Orientales pour l’ozone, le dioxyde d’azote et le dioxyde de soufre, depuis 2007 dans l’Aude pour l’ozone et depuis 2008 pour les PM10 dans l’Hérault. Ces procédures seront revues en 2014.
Procédures d’information1 et d’alerte bilan de l’année 2013
54 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
Zones Thèmes du PSQA 2Code enjeux PSQA 2 Polluants Description
RÉGION - - -
HÉRAULT
Transports
TR8 ECRP2
NO2, COV, aldéhydes, CO2
Aéroport de Montpellier : suivi tous les 5 ans (extérieur et intérieur)
TR2TR5
NO2, benzène, PM10, PM 2,5
St Gély du Fesc, aménagement de la D986 (LIEN) : état des lieux et modélisation
TR6TR8IND3
NO2, benzène, PM10, PM 2,5, SO2, PSED
Douanes de Sète : état des lieux, évolution depuis 2007
Transversalité avec le changement climatique
TCC1 6 gaz à effet de serreAgglomération de Montpellier : participation au PCET de Montpellier Agglomération
Espace clos recevant du public
ECRP1 Formaldéhyde, COV…Groupe scolaire des Arceaux : état des lieux (proximité ancien pressing)
GARD
Milieu urbain et périurbain
MUP1 HAPNîmes : Evaluation préliminaire dans la Zone Urbaine Régionale
Espaces clos recevant du public
ECRP2 Aldéhydes Crèche de Parignargues : évolution des teneurs en aldéhydes
Milieu industriel et traitement des déchets
IND3OD3
NOx, PS, COV Salindres : modélisation
AUDE Pollution à l'ozone
OZ1, OZ2.1 O3 Mesure en Montagne Noire
OZ1, OZ2.1 O3 Mesure en Haute Vallée de l'Aude
PYRÉNÉES ORIENTALES Transports TR5 NO2, benzène
Tronçon de rocade au Sud-Ouest de Perpignan : état initial, simulations
LOZÈRE - - -
ANDORRE (hors PSQA) - - -
55AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
terminées - 2013 - 2014
Bilan des actions
ANDORRE
AUDE
PYRÉNÉES-ORIENTALES
HÉRAULT
LOZÈRE
GARD
État d’avancement :
en cours
en attente
Zones Thèmes du PSQA 2 Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2
RÉGION
Tous
Tous polluantsRéorganisation du dispositif de surveillance régional en application du PSQA 2010-2014
TR1 MUP1
Benzène, HAP, PCB, dioxines, mercure, COV
PRSE 2, action 1 : identification des zones de sur-émissions de substances toxiques
MUP5IND6
Tous polluants Inventaire régional des émissions : mise à jour pour l’année 2010MUP5, TR5, IND6,TCC1, OZ2
Milieu industriel et traitement des déchets
Poussières sédimentables
Mise en place de réseaux autour de nouvelles carrières IND3
Faisabilité évolution mesures PSED IND3
Milieu rural
Pesticides Etat des lieux dans différents milieux MUP3, MR1
Benzo(a)pyrèneMesures dans des communes avec une forte proportion de chauffage au bois et/ou chaufferie au bois
MR2
Espaces clos recevant du public
Formaldéhyde, COV…
Intégration du volet qualité de l'air intérieur dans le Programme de Recherche sur l'Energie dans le BATiment (PREBAT)
ECRP2
Odeurs Odeurs Réponse aux fiches déposées sur www.air-lr.org OD1, OD2
Pollution à l'ozone O3
Campagnes ponctuelles de mesures dans la région OZ5
Modélisation inter-régionale (amélioration de la plate forme AIRES) OZ2,1, OZ2,2
56 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
2013 en cours et des projets 2014 - 2015
Bilan des actions
Zones Thèmes du PSQA 2 Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2
HÉRAULT
Transports
Tous polluants PPA de Montpellier : contribution à sa révisionTR9, MUP5, IND 6
NO2, PM10, PM2,5, benzène
LIEN : complément d'étude TR2, TR5
NO2, PM10, PM2,5Mèze : étude dans une petite ville traversée par axe routier important
TR1, TR6
Milieu urbain et périurbain
NO2 Béziers : cartographie en ville et sur le littoral, évolution depuis 1999 MUP4
NO2Montpellier : campagne de mesure pour préparer mise en place Urban’air + évolutions annuelles
MUP2, MUP5,TR5
NO2, PM10 Montpellier : mise en ligne plate-forme modélisation Urbanair TR2, MUP2
HAP Béziers : Evaluation préliminaire dans la Zone Urbaine Régionale MUP1
Milieu industriel et traitement des déchets
COV, H2S SCORI Frontignan : état des lieux, impact sur quartier La Peyrade IND4, OD2, OD3
Pollution à l'ozone O3, PM10, PM2,5 Ozone : mesures dans le Nord de l'Hérault OZ1, OZ2
ZonesThèmes du PSQA 2
Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2
AUDE Milieu industrielParticules, ammoniac, Nox
AREVA Malvési : campagne de mesure complémentaire à la surveillance pérenne
IND3
ZonesThèmes du PSQA 2
Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2
PYRÉNÉES-ORIENTALES
TransportsNO2, benzène, particules
Projet de Bus-Tram Est-Ouest de Perpignan TR5
ZonesThèmes du PSQA 2
Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2
ANDORRE(hors PSQA)
- Tous polluantsAccompagnement du gouvernement andorran dans sa mise en œuvre de la surveillance de la qualité de l'air
-
ZonesThèmes du PSQA
Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2
LOZÈRE - - - -
Zones Thèmes du PSQA 2 Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2
GARD
Milieu urbain et périurbain
NO2, O3, PM2,5Alès : étude pilote capteurs et modélisation (avec Ecole des Mines & Cairpol)
TR2, TR3, MUP2, MUP4
Transports
NO2, benzène TCSP Nîmois : extension au Nord, état initial et modélisation TR5
Tous polluants PPA Nîmes : contribution à son élaborationTR9, MUP5, IND6
57AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013
AIR Languedoc-RoussillonLes Échelles de la Ville, Antigone3, place Paul Bec 34000 MontpellierTél. : 04 67 15 96 60 Fax : 04 67 15 96 69Email : [email protected]
www.air-lr.org
AIR
Lan
gued
oc R
ouss
illon
sep
tem
bre
2014
, gra
phis
me
Art
ur R
ainh
o, im
prim
é su
r pa
pier
rec
yclé
AIR LANGUEDOC-ROUSSILLON,
est administré par un Conseil équilibré en 4 collèges
ÉtatCollectivités
AssociationsIndustriels