BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONALBP. 6009 - 45018 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.00.12
DIRECTION DEPARTEMENTALE DE L'AGRICULTURE DU NORD
PONT-A-MARCQ (NORD)
STATION D'EPURATION
ETUDE GEOTECHNIQUE DES SOLS DE FONDATION
parJ.P.BERGIN-A.DIEUDONNE
Service géologique régional N O R D - PAS-DE-CALAIS
Fort de Lezennes, B.P. 26, Lezennes - 59260 Hellem m es-Lille - Tél.: (20) 53.10.13
76 SGN 180 NPA 4 mai 1976
le 4 mai 1976
BRGM-région Nord
LEZENNES (NORD)
(76 SGN 180 NPA) Direction Départementale de l'Agriculture du Nord
(A.DIEUDONNE) "Pont-à-Marcq (Nord)
Station d'épuration
'RESUME de l'étude géotechnique des sols de fondation
A la demande de l'Entreprise Meurisse de Carvin (Pas-de-Calais) et pour le
compte de la Direction Départementale de l'Agriculture du Nord, nous avons procédé
à. l'étude géologique et géotechnique du sous-sol au droit du terrain réservé pour
l'implantation de la future station d'épuration de Pont-à-Marcq (Nord).
Les travaux de reconnaissance, effectués dans le courant du mois d'avril 1976
par l'entreprise Meurisse, ont consisté en l'exécution de :
- 2 essais de pénétration statique-dynamique
*» 1 sondage de reconnaissance géologique implanté auprès de l'un des essais
de pénétration pour étalonnage.
En cours de sondage, trois échantillons intacts de sol ont été prélevés et
conditionnés, puis transportés au laboratoire du B.R.G.M. à Lezennes (Nord) pour y
être examinés et soumis aux essais de mécanique des sols appropriés.
A l'issue de l'étude nous aboutissons aux conclusions suivantes :
Les caractéristiques mécaniques des sols superficiels sont dans l'ensemble
assez faibles, mais néanmoins suffisamment élevées, pour ne pas écarter un mode de
fondation superficielle au regard des ouvrages projetés.
Pour les fondations à base élargie (radier des cuves et bassins), la. 2contrainte appliquée au sol ne sera pas supérieure à 6 t/m . Pour cette charge
la sécurité vis-à-vis du poinçonnement est assurée sur la tranche de sol soumise
à répartition de contrainte.
Les tassements seront importants mais à la limite acceptables si les disposi-
tions constructives sont bien adaptées.
Pour les fondations directes des bâtiments et ouvrages annexes, le taux de
travail admissible pour des semelles de faible dimension (carrée lmxlm et filante
de 0,60m de largeur) est de l'ordre de lbar à 0,80m de profondeur sur le silt
argileux brun.
9 pages - 4annexes -
S O M M A I R E
Pages
1 - GENERALITES 3
2 - LES TRAVAUX DE RECONNAISSANCE SUR LE TERRAIN 4
3 - LES ESSAIS EN LABORATOIRE 5
4 - LA SYNTHESE GEOTECHNIQUE - ORIENTATION DES MODES DE
FONDATION 6
5 - CONCLUSION 8
LISTE DES ANNEXES
ANNEXE I Plan de situation
ANNEXE II Diagrammes de pénétration ( 2)
ANNEXE III Coupe géologique du sondage
ANNEXE IV Courbes de compressibilité (3)
DIRECTION DEPARTEMENTALE DE L'AGRICULTURE DU NORD
PONT-A-MARCQ (NORD)
STATION D'EPURATION
ETUDE GEOTECHNIQUE DES SOLS DE FONDATION
1 - GENERALITES
A la demande de l'Entreprise Meurisse de Carvin (Pas-de-Calais) et pour le
compte de la Direction Départementale de l'Agriculture du Nord, nous avons procédé
à l'étude géologique et géotechnique du sous-sol au droit du terrain réservé pour
l'implantation de la future station d'épuration de Pont-à-Marcq (Nord).
Le terrain prospecté se développe suivant un pâturage rectangulaire de
65mx8O m, sensiblement plat (cote 30,82 à 31,07). La parcelle se situe sur la com-
mune d'Ennevelin, elle est bordée par la limite de commune avec Pont-à-Marcq au
sud-ouest, le chemin rural dit d'Ennevelin au nord-ouest et les douves d'un ancien
château au sud-est. L'eau observée dans les fossés environnants se trouve suivant
les endroits entre lm et 1,50 m de profondeur.
Les travaux de reconnaissance, effectués dans le courant du mois d'avril 1976
par l'entreprise Meurisse, ont consisté en l'exécution de :
- 2 essais de pénétration statique-dynamique
- 1 sondage de reconnaissance géologique implanté auprès de l'un des essais de
pénétration pour étalonnage.
En cours de sondage, trois échantillons intacts de sol ont été prélevés et
conditionnés, puis transportés au laboratoire du B.R.G.M. à Lezennes (Nord) pour y
être examinés et soumis aux essais de mécanique des sols appropriés.
Le commentaire des travaux et essais effectués sur le site et en laboratoire et
l'orientation sur les possibilités de fondation des futurs ouvrages font l'objet
du présent rapport et de ses annexes.
2 - LES TRAVAUX DE RECONNAISSANCE SUR LE TERRAIN
Le choix de l'implantation des reconnaissances a été arrêté par le représentant
de la Direction Départementale de l'Agriculture.
On trouvera en annexe I le plan de situation des différentes reconnaissances.
Les deux essais au pénétromètre statique-dynamique P I et P 2 ont été poussés
jusqu'aux profondeurs respectives suivantes 11,50 m et 13,75m. Le sondage initiale-
ment implanté entre les deux essais de pénétration a été déplacé auprès de l'essai
au pénétromètre P I pour étalonnage de celui-ci, le sondage a été poussé jusqu'à
11,50 m de profondeur.
Trois échantillons intacts ont été prélevés aux cotes suivantes, après examen
et critique des diagrammes des essais de pénétration.
Echantillon n°l : de 1,00 m à 1,95m
n°2 : de 3,00 m à 3,95m
n°3 : de 6,50 m à 7,25 m
M
II
Les diagrammes des essais de pénétration et la coupe géologique du sondage
peuvent être consultés respectivement en annexes II et III.
Les renseignements obtenus au cours des différentes reconnaissances permettent
de concrétiser ci-dessous la coupe structurale du terrain, de haut en bas sous 0,20m
de terre végétale :
- de 0,20 m à 3,50 m de profondeur environ, un silt brun ou gris-brun plus ou
moins argileux. Ce sol,en général cohérent, présente une compacité faible
à moyenne. L'effort de pointe enregistré au pénétromètre statique-dyna-
mique est assez peu élevé, de l'ordre de 7 à 10 bar en général. Le frot-
tement latéral est également faible au cours de la traversée de cette
couche.
- de 3,50 m à 7m/7,5Om de profondeur, un silt gris-foncé essentiellement pulvé-
rulent et saturé en eau, montrant à l'échantillonnage une consistance
apparente faible (phénomène de liquéfaction au cours du prélèvement par
battage). Les caractéristiques mécaniques mesurées in situ sans aucun
remaniement par essai de pénétration statique sont en fait nettement
meilleures que précédemment, l'effort de pointe est en général de l'ordre
d'une trentaine de bar. Par contre,le frottement latéral ne s'accroît
pratiquement pas ce qui confirme la saturation en eau des sols.
au-delà de 7/7,50 m, on rencontre des argiles plastiques gris-bleuâtres
compactes, puis très raides en profondeur (Argile de Louvil). Jusqu'aux
environs de 9m l'effort de pointe s'accroît progressivement de 30 à
50/60 bar, ensuite et jusqu'à la fin des essais, il oscille autour de
ces dernières valeurs. Le frottement latéral s'accroît très nettement à
partir de 7/7,50m et devient très élevé à partir de Il/l2m de profondeur.
Les cassements successifs du frottement latéral au droit de l'essai P2
ont entraîné l'arrêt de la pénétration.
Le niveau d'eau a été relevé entre 0,95m et 1,10m au droit des trous résultant
des essais au pénétromètre. Un piézomètre a été posé dans le sondage, le niveau sta-
tique a été exactement relevé à 1,15m de profondeur (relevé de fin avril 1976).
3 - LES ESSAIS EN LABORATOIRE
Les échantillons ont été soumis aux essais suivants :
- Essais d'identification
. Mesure de la teneur en eau naturelle W nat %
. Mesure des poids spécifiques apparents humide (Q ,) et3
sec (K) en t/m .
- Essai de stabilité
. Mesure des caractéristiques intrinsèques à court terme
(cohésion Cu en t/m et angle de frottement interne ^
par essai de cisaillement linéaire à la boîte de Casagrande.
•
1
s.n°
1.
B.R.G.M.région Nord-LEZENNES (Nord)
76 SGN 180 NPA
¿ch.
n°
1
2
3
'rof.
en
m.
1,00
1,95
3,00
3,95
6,50
7,25
TABLEAU RECAPITULATIF DES ESSAIS DE SOL EN LABORATOIRE
DESCRIPTION
1,00
Argile silteuse gris-brun
1,60Silt très argileux àconcrétions limonitiques
1,95Silt gris-foncé très légè-rement argileux saturé eneau (faible consistance'apparente)
6,50Silt gris foncé devenantsableux en pied, saturéen pau6,80Silt gris verdâtre argi-leux à Nummulites sili-cifères
7,20 •Argile compacte grisbleuâtre en débit àspherules
7,25
Teneureneau
W %
27,5
27,0
24,5
.22,5
29,0
Poids spécifi-ques apparents
en t/m
humide
1,94
1,97
2,03
2,01*
1,94
1,93
sec
ôd
1,52
1,55
1,63
1,64
1,51
1,50
Carácter
TRIAXIAL
istiques intrin.
court terme
b.
•
7c uon °
seques
long terme
Cen ^
•
ren *
•
Cisaillement
non consolidé
non drainé
C u Uen t/m2
3
auscisso-metre0,05
***
J 14 U
en °
6
D.D.A. du NORD-PONT-A-MARCQ (NORD)
Station d'épuration-
Caractéristiques
de compressibilité
e0InJic« itt
0,74
0,63
0,76
c«í2.Indict ^ c
0,16
0,15
0,-14
- Essai de compressibilité
. Mesure des caractéristiques de compressibilité indice de
compression Ce et indice des vides e par essais oedométriques.
Les résultats de ces essais sont rassemblés dans le tableau ci-contre.
Les trois courbes de compressibilité peuvent être consultées en annexe IV.
Les résultats des essais appellent les quelques commentaires suivants :
— Les sols silteux argileux superficiels sont caractérisés par une teneur en eau
naturelle de l'ordre de 27 % à 28 % et un poids spécifique apparent sec oscillant2
entre 1,50 et 1,55 t/m . Le caractère cohérent se traduit nettement par les para-2
mètres intrinsèques (cohésion Cu de 3 t/m pour un angle de frottement interne
711 compris entre 5 et 10°). Le caractère de compressibilité est déjà accentué
(eQ - 0,74 - Ce = 0,16).
Les caractéristiques des sols de transition en profondeur, un peu au-dessus
de l'argile de Louvil, sont également du même ordre (voir également le creux
de courbe de l'effort de pointe sur le diagramme de l'essai au penetrómetre P 1
vers 6m de profondeur).
— Les sols silteux à caractère essentiellement pulvérulent (matériaux faiblement
argileux) situés sous les précédents, montrent une teneur en eau proche de la
teneur en eau de saturation pour ce type de silt. Les matériaux sont assez denses
( y' de 1,63 à 1,64 t/m et indice des vides e de 0,63). L'indice de compression
est du même ordre que précédemment (Ce = 0,15).
4 - LA SYNTHESE GEOTECHNIQUE - ORIENTATION DES MODES DE FONDATION
Les caractéristiques de stabilité et de compressibilité des sols superficiels
sont assez faibles mais néanmoins suffisamment élevées pour ne pas écarter un mode
de fondation superficielle.
Les fondations pourront être traditionnellement constituées par des "semelles
isolées ou filantes pour les bâtiments et ouvrages annexes et par des bases élargies
(radier) pour les bassins ou cuves.
Le niveau d'eau relevé en cours de reconnaissance (-1,15m) se situe à faible
profondeur et intéressera donc les ouvrages enterrés, certains radiers de cuve
étant généralement prévus vers 2,50m à 2,70 m de profondeur par rapport au terrain
naturel. Pour ces ouvrages, il faut donc dès à présent envisager un rabattement
de nappe, la technique des pointes filtrantes paraît bien adaptée au site.
Four les bassins et cuves de grande dimension, les contraintes appliquées au2
sol par l'intermédiaire du radier sont assez faibles, de l'ordre de 5 à 6 t/m2
pour une fondation hors-gel à 0,80m de profondeur et de l'ordre de 3 t/m effectif
vers 2,50 m de profondeur, compte tenu du déchargement du poids des terres en par-
tie dëjaugées. Pour ce deuxième point, il est évident que les sous pressions appli-
quées par la nappe sur le radier du bassin vide devront être équilibrées par le
poids du bassin (dispositions constructives à prendre au niveau de l'étude béton).
Pour ces faibles charges, la sécurité vis-à-vis du poinçonnement est assu-
rée sur toute la tranche de sol soumise à répartition de contrainte (taux de charge2
minimal déduit des essais de poinçonnement au pénétromètre de l'ordre de 7 t/m ).
Les tassements seront par ailleurs acceptables pour ce type d'ouvrage tout en étant
néanmoins assez élevés. A titre d'exemple, nous avons estimé le tassement sous une2
charge unidormément répartie de 6 t/m à 0,80m de profondeur pour une cuve circu-
laire de 12 mètres de diamètre,il est de l'ordre de 6 à 8 cm (7 cm moyen) au centre
de la cuve. Pour le même ouvrage fondé à 2,50 m de profondeur, le tassement est
encore de l'ordre de 4 à 6 cm ( 5 cm moyen).
Pour les ouvrages principaux de grande dimension, nous recommandons par ailleurs,
afin d'atténuer les déformations différenciées des sols d'assise, de couler le radier
sur une couche de matériaux de bonne qualité, de quelques décimètres (0,50m*- par
exemple), soigneusement compactée, ou de couler au préalable une couche de gros béton
maigre. Cette légère substitution accompagnée éventuellement du curage de mauvais
matériaux (variations naturelles des caractéristiques ou provoquées par remaniement
du fond de fouille à l'ouverture) nous paraît tout à fait nécessaire, compte tenu
des tassements non négligeables attendus. Dans le même esprit»des joints transver-
saux souples et étanches devront être envisagés au regard des grandes dimensions des
bassins. Il est par ailleurs bien évident que les critères de stabilité et de défor-
mation devront faire l'objet d'un examen complémentaire détaillé, dans le cadre
d'une mission spécifique avec le bureau d'étude de structure, lorsque les carácteris-
tiques des ouvrages principaux seront exactement définies.
8
Pour les fondations hors-gel (profondeur 0,80m) des bâtiments et ouvrages
annexes, le taux de charge sur le silt argileux calculé à partir des formules du
DTU 13-1 est de l'ordre de 0,9 à 1 bar pour des semelles isolées carrées de 1m de
côté et pour des semelles filantes de 0,60m de largeur.
Pour ce!, taux de charge de 1 bar et compte tenu des caractéristiques de compres-
sibilité mesurées, les tassements absolus seront de l'ordre de 2 à 2,5 cm pour les
geometries de semelles précédemment définies. Ces tassements sont compatibles avec
les valeurs couramment admises sous les semelles pour les bâtiments traditionnels.
Comme nous l'avons indiqué précédemment, il nous paraît également nécessaire
dans ce cas de faire très attention à l'ouverture des fouilles. Les silts argileux,
particulièrement en présence d'eau (période pluvieuse) sont très sensibles au rema-
niement. Celui-ci introduit ensuite des déformations complémentaires inadmissibles
à l'application des charges. Donc, afin de ne pas soumettre les fonds de. fouilles
aux intempéries et au remaniement, un béton maigre d'assolement sera coulé immédiate-
ment à l'avancement après les terrassements.
5 - CONCLUSION
A la demande de l'entreprise Meurisse de Carvin et pour le compte de la
Direction Départementale de l'Agriculture du Nord, nous avons examiné les perfor-
mances mécaniques des sols de fondation au droit du terrain destiné à la construction
de la future station d'épuration de Pont-à-Marcq (Nord).
Cet examen a été effectué à partir des résultats de deux reconnaissances
ponctuelles (essais au pénétromètre statique-dynamique P 1 et P 2 et étalonnage de
l'essai P 2 par le sondage de reconnaissance géologique S 1 - essai en laboratoire
sur trois échantillons prélevés au droit du sondage),
Nous aboutissons aux conclusions suivantes :
Les caractéristiques mécaniques des sols superficiels sont dans l'ensemble
assez faibles,mais néanmoins suffisamment élevées,pour ne pas écarter un mode de
fondation superficielle, au regard des ouvrages projetés.
Pour les fondations à base élargie (radier des cuves et bassins), la contrainte2
appliquée au sol ne sera pas supérieure à 6 t/m . Pour cette charge la sécurité
vis-à-vis du poinçonnement est assurée sur la tranche de sol soumise à répartition
de contrainte.
Les tassements seront importants mais à la limite acceptables si les disposi-
tions constructives analysées au cours de ce rapport sont bien adaptées (substitu-
tion avant le coulage des radiers - joints d'êtanchéité etc...). Les critères de
stabilité et de déformation devront;bien entendu, être examinés dans le détail,
dans le cadre d'une mission complémentaire spécifique, lorsque les caractéristiques
des ouvrages seront exactement définies.
Pour les bassins et cuves enterrés, compte tenu du relevé du niveau d'eau vers
1m de profondeur, des travaux de rabattement de la nappe seront rendus obligatoires.
La technique des pointes filtrantes paraît bien adaptée au site.
Pour les fondations directes des bâtiments et ouvrages annexes, le taux de
travail admissible pour des semelles de faible dimension (carrée lmxlm et filante
de 0,60m de largeur) est de l'ordre de 1 bar à 0,80m de profondeur sur le silt ar-
gileux brun. Celui-ci est très sensible au remaniement et un béton d'assolement devra
être coulé immédiatement à l'avancement des terrassements. Si des fondations plus
largement dimensionnées devaient être envisagées . compte tenu du faible taux de
charge, nous conseillons fortement les semelles filantes très correctement armées,
voire liaisonnées, car les tassements absolus, donc différentiels, augmenteront très
rapidement avec les dimensions des fondations.
Les résultats de cette reconnaissance ponctuelle seront confrontés avec l'examen
des sols à l'ouverture des fouilles, ceci afin de détecter les zones erratiques
toujours possibles et de s'assurer de l'homogénéité globale des sols d'assise.
J.P.BERGIN, Ingénieur géotechnicien
A.DIEUDONNE,Ingénieur géotechnicien
Service géologique régional Nord-Pas-de-Calais
du B.R.G.M.
Forages — Sondages
Louis M E U R I S S E & fils27, Ru» Florent Evrard
62220 - C A R VI NT*t. (21) 37.02.11
S . I . P . M .
Station d ' Epuration
P O N T - à - M A R C Q
Schéma d ' implantation
BRGM-région Nord
LEZENNES (NORD)
76 SGN 180 NPA ANNEXE II
DIAGRAMMES DE PENETRATION (2)
2ft
hi, Ri**- Ftoffnt Evrarf-
;• • F # I .
± Sondag«îrfilS
~" Di . D . A .Station d ' Epuratjbn
PONT! - à - M A R Ç Q
ESSAI
P 131_ 59
76.C59AFFAIRE
C 59 sd 73• m :
Suriacjt. «iii. Pinitromritr» 15 c m - Perîraeirt.| du h^i Í L 0 (95nv îrou obi
3 O
Résistance
Resistance au
¡ O m .1 .i i I
1 m
2 m . .
50 100i I t i i i I i i i
be 13 cm 8 .irrf à : 3,6Otn
T ; Peinte t »ate 3 Avril; 1 9 7 6
t5Oi .200; ¡25ÛJ 3C0I I 1 M 1 I
0 500 1000 1500
i . . ;
•À:4 ;i! t I i ii t ii 350 :
[ ¡ M i l !
en bars
r, At .
2000 2500 3000 3500 4CD0 U 5 DO 5000 5500
en kgf.
10 5 {ton
Batita g e i au mouton ¿
M s Poids; du:- mouton .H s Haut* jr d». chuteN s Nombre d*r coups par vol*e
P a Poids)
E a Enfoi ermeriï
1 m | m !
du :di*posjitif
fn.m. par vol*»
Ùa\ fim hlo o Í
U 1hokq k OmSo Nc 1O R
t ^ o
y * o » . if S o
dé couemehf du
oAio
^ Sohdadcs• • - - • * ^ \ —-or :
Sîatiofji d ' EpurationPONT1- à -MAR¿Q
ESSAI
P 2PLAN
76. C &QAFFA!;RE
C 59- sd 73
i & ! . . . H u * . : Florfent.": : : • ; - r . : : - • i
15; t m ? : P4rjm*tr* du; V.lOni Tiou
E5iif:fac«:. .du.. Ptnètiom+ttr
T T . . 1 , . -T rw . •
ï. casjumanf du ¡aU'fxii
à fXni 1a ¿or Zm&o ßortt Ohhaa Uni la u 1m&ô
or/j d orrocno«e
0
0
i
a0
0
Go
.36în
.7o7o**5
lío1106Go
-
ANNEXE IIIBRGM-région Nord
LEZENNES (NORD)
76 SGN 180 NPA
COUPE GEOLOGIQUE DU SONDAGE
DStationPONT
D . A .d'Epuration
à M A R C Q
-Forages _ Sondages
Louis M E U R I S S E & tus2 7 , Rue Florent Evrard
.62220 - C A R V I N -tél. { 21 ) 37.02.11
(76 SGN 180 NPA) R 8.59.76.C 98
r// ar oil* >
:«m«n/j o*' ichan/ilUn* intacli d*
ti*- 1 d* 1o» o 19S
/y* 2 d, J.oo •" á * 5
/ ^ ? J rf« fío o 7.ÍS
Arg i It <>/'//<</j« grt'4- írt
Oil} /r<j
ilUvJ* ¿runocrt e
J<jA/t <f*rd.air*
Soil. /Vo- Qryiltvm.
du Pion o1 «o«
f*. • . 7ff
*
r5. • . re
*
ft
re. k. 7f
18kio
11 A«,
UA«.
o>Aoo
f1/too
13hoo
tro/. Sondeot
J.rs
3. OO
3.OO
y.«
7.ZÍ
ÍJ. 7 o
77.7o
íá.oo
hprii rxirott
3aj* Tuíoq*
litan/
2. So
¿So
6. So
6.So
7. So
7. So
7. So
du Juíogi . 0*4
PflYIWU d <«tl
ipporitimn tov
1. 1&
1.1o
S.6S
i.lo
-1.75
7. Jo
f .So
piiu. 1.1S
Silf"yrii rente trtt l»j? arqi/tun t/evlna/rf im
•rt p<4¿. Sature' e/r »mu • (fiib/t t—itifau
0.8o I
7.(o
: — — — ,J
SoíU grij • rtrdifrt. vrgiUum por tndrait
o n w m m u / i 7 t j j/7/c//e rej.
. J- ! !
'.'•.*. r_"
; • • • • . ' • > -
L : ; . : Í : F -
i ^ ^
1 .1 ^ —
Mr oil* compvcft*n Sf
4*¿/»nn*v* </
fin*
3r.* • ÍU
»ÁiruJtj.
ptti/4
filttt JO
« o V -
oV.«
o/« ¿j-/j
« o ' « ¿ , 7 r-- %' T_ . :_ - -, , :
, y ï- ~' - - r =
/»/»* fil*il
?_• " : • . • ; : " : . : - r ' à
7 Jo
(fí.
ANNEXE IV
B.R.G.M.-région Nord
LEZENNES (NORD)
76 SGN 180 NPA
COURBES DE COMPRESSIBILITE (3)
0.
(
0 ,700 .
S
>
S• o
o
0,600_
<
0,500-
Echantillon:
Natura du so
W V . initiale
05
^ ^*****
1
L: Arqile silteuse
27,5
0,1 0
— —
'̂ • » " « ^
2
Sonda
1.52
0
ge
3 0i
- •
• ™ —
a
0
1
• 0.74 r j
,5 10
• —
^ ^
— i ——- »
'2
\>
— •
.. Profondeur:
0 . 1 6
2.0
\\
\
n-3
l,30m
0 4,0 50 10.0 • 2I
N
•
\
\>•
Pression normale en bars0,05 0,1 0.2 0,3 0,4 0,5 1,0 2,0 3,0 A,0 5.0 10,0 20,0
IESSAI D
E COM
PRESSIBILITf
Ml'
7
^ s-
Ii
mzzmin
?M
¡5'
o
8.R.G
.M.
• DO
-H
¿îTOO- O
oO
cr» oo
o
00
o
îtion
d
'ép
ura
tion
13I
}
rcJrJ[
z
3
3
nn->>>ñ
na3-5
1 SE
RV
ICE
G
ÉOLO
GIQ
UE RÉ
GIO
NA
L
_,
o
!o,c
o??
Echantillon:
Nature du so
W % initiale
0.05
0,600.
S1,550 •§.
etu
i
0,500 _
s
2
L: Silt gris foncé, '
0,1 0
1—.
V2
Sondage
légèrem
03 0«
1—»
* *
s
ent argile
e
0
1
ux
»5 10
\
~-—
S, s-S
"SsN
=2
\s
Profondeur:
n IR
2.0
S y
\
3
\ s
—-«.
3,70m —
0 ¿.0 50 10.0 • 21
S
L\\
k\\• " • - , w~
Pression normale en bars0,05 0,1 0.2 0,3 0,1, 0,5 1,0 2,0 3,0 ¿,0 5,0 10,0 20,0
iESSAI D
E CO
MPRESSIBILITÏ
IM'
IFort da Lazannas-59-LE
ZEN
NE
S
toi 52-18-19,53-10-13
Dossier N°
é
•
i00O
B.R.G.M
.P
ON
T-A-M
AI
o
a
-Sta
tion
d
'éD
ura
tion
I
4
*
I
rc]r)l
I
ni0
->>
>
n
Chantier : '[S
ER
VIC
E
GÉO
LOG
IQU
E R
ÉGIO
NA
L
y •
ac
cvaa
0
0,600_
g
0,550>• o
Oo
• o
0,500-
Echantillon:
Natura du so
W V . initiale
05
• — ,•—,
3
L: Silt gris foncé,s
29.0
0,1 0
>̂
a
2
So
ab
1 RI
ndage
leux
0,3 04
.
s
-~.
a
0
s.
1
• n,7fi r
,5 10
s
NsN
2
S
Profondeur:
0 , 1 4
2.0
S\
\
3
\
6,70m - -
0 4.0 50 10.0 • 21
y
•
\
y.
\
\
\>
i -\
•
•
Pression normale en bars0,05 0,1 0.2 0,3 0,4 0,5 1,0 2,0 3,0 4,0 5,0 10,0 20,0
1ESSAI D
E CO
MPRESSIBILITf
i
g; S"
? S
l am
m
ïZ
76 S
GN
180
N
PA
B.R
.G.M
.P
ON
T-A-M
AR
C
PÍNO
RC
NO
RD
-PA
S-D
E-C
AL
AIS
OO
3-
ío¡p
o
\r |c+
O
Q.
S'ura
ti
1
[SE
RV
ICE
G
ÉOLO
GIQ
UE RÉ
GIO
NA
L