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À b ? Édition mai 2016
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JOURNAL SYNDICAL Page 2
Tel. de Pinel : 756
Tel. Ex.: (514) 881-3756
Fax: (514) 648-6905
Courriel :
Site web et Facebook
www.scfp2960.com
facebook.com/scfp2960/
DÉLÉGUÉ SOCIAL:William Gagnon Gilbert
Cell: 514-679-2960
COMITÉ PARITAIRE SANTÉ SÉCURITÉ AU TRAVAIL (CPSST):
SYLVAIN VALLÉE
F
RANÇOIS
C
ARTIER
G
YSLAIN
G
AUDET
TÉLÉPHONE 24H
URGENCE GRIEF:
514-865-2960 URGENCE SST:
514-927-2960
COMITÉ JEUNESSE: ALEXANDREKÉROACK, VINCENT ROY, GYSLAINGAUDET
GRIEF :
Yanick [email protected]
URGENCE GRIEF 514-865-2960
ACTION-INFO:
François [email protected]
VICE-PRÉSIDENT
:
(SECTEUR NON-CLINIQUE)Frank Jr [email protected]
FONDS DE SOLIDARITÉ :Représentants locaux (RL)
PIERRE-LUC LEGAULT
BENOîT PETITPAS
ALEXANDRE KEROACK
FRANÇOIS HURAND
(représentant retraite)
SANTÉ-SÉCURITÉ:
Sylvain Vallé[email protected] URGENCE SST
PRÉSIDENT
Sylvain [email protected]
VICE-PRÉSIDENT :
(SECTEUR CLINIQUE)
Gyslain [email protected]
SECRÉTAIRE GÉNÉRALE Marie-Ève Desormaux
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MOT DU PRÉSIDENT TABLE DES MATIÈRES
Votre Syndicat…………..…….2
Mot du Président……...….3et 4
Conseil syndical/Remerciement…..5
Mot du Vice Prési-dent………………………….6 à9
Mot du représentant au grief ………………………………10-11
Mot du représentant en santésécurité au travail ………12à17
Mot de nos délégués…....18-19
Mot de notre délégué……….20
Mot de votre syndicat............21
Mot de la secrétaire géné-rale……..……………………….22
Action-Info et Break Syndical…………………………………..23
Prochain
Journal
AUTOMNE
2 16
Tout d’abord, j’aimerais commencer par vous remercier
d’être venu voter en grand nombre lors des élections. Ce
fut d’ailleurs encourageant de voir que plusieurs
travailleurs se sont présentés à des postes à l’exécutif. Cela
démontre que nous avons une bonne relève syndicale.
Bien entendu, je vous remercie aussi de me faire
confiance comme président de votre section locale. Je sais
que ce c’est un rôle exigeant, avec beaucoup de
responsabilité. Vous pouvez être assuré que je ferai tout en
mon possible pour répondre positivement à toutes vos
attentes. L’exécutif renouvelé travaille déjà à vous donner
le meilleur service possible, de l’information claire et du
support pour tous les secteurs de l’Institut. Que ce soit du
côté administratif ou du côté clinique, chaque membre a
droit à de bonnes conditions de travail.
En ce sens, nous avons fait les rencontres de secteur
depuis le début de l’année. Vous avez été nombreux à vous
présenter lors de ces rencontres et nous avons reçu
beaucoup de témoignages. Nous avons discuté de plusieurs
problèmes, transmis beaucoup d’informations et nous
croyons que par cet échange, nous sommes en meilleurs
position pour adresser et régler les problèmes mentionnés.
Nous ferons d’ailleurs le suivi des dossiers dans les HEBDO,
mais aussi à travers les rencontres du conseil syndical le 1er
juin. Vous serez sollicité à cet effet bientôt. (suite page 4)
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mot du président
À travers les rencontres de secteur, nous avons conrmé qu’il est encore trop
souvent dicile de travailler à l’Instut. Il existe plusieurs problémaques à l’Instut
que nous devons changer : remplacement par d’autres tres d’emplois, non-
remplacement, TSO, coupure, manque de stabilité des équipes, agressions et j ’en
passe. À cela, il faut malheureusement quelques fois ajouter les relaons de travail
diciles entre travailleurs et gesonnaires. Plusieurs choses devront changer, car
nous nous dirigeons vers un chemin hasardeux.
Toutefois, pour arriver à bon port, nous aurons besoin de la parcipaon de tous.
D’ailleurs, nous trouvons encourageant de voir que nous recevons de plus en plus
d’appels nous informant des problémaques vécues à l’Instut. Nous vous incitons à
connuer.
En conclusion, je vous rappelle qu’il est important de toujours travailler en sécurité.
Prendre des risques n’aide en rien votre travail. Prenez le temps de discuter avec vos
pairs. Cela est mieux pour vous, vos collègues, les paents et aussi vos patrons.
Tous ensemble, nous arrivons à faire en sorte que notre milieu soit toujours le plus
Sécuritaire possible.
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Dans le dernier journal des fêtes, je vous entretenais de mon désir de remeresur pied le conseil syndical. En eet je crois que c’est par cet organe qu’on peut mieux
vous représenter. Les enjeux sont nombreux : signature prochaine de la convenon,
créaon du tre d’emploi d’agent d’intervenon en psychiatrie légale, plainte en
équité, le comblement par un autre tre d’emploi, l’embauche déciente de socio-
thérapeute, la perte de praques sécuritaires, suivi acng out D-2, enjeux de cohabi-
taon entre inrmier clinicien et technicien….etc. Comme vous savez, l’automne a étéchargé et le printemps a été synonyme de changement dans l’exécuf avec le départ
de l’ancienne présidente Mélanie Gougeon. C’est pour toutes ces raisons que nous
tenons que le conseil syndical se enne avant l’été.
Nous allons libérer les délégués (poteaux d’unité) et 1
JUIN 2016 AR-90.
conseil syndical
Merci !
D
Nous soulignons le départ d’Annie St-Laurent comme déléguée sociale. Nous voulons la
remercier pour son implicaon ainsi que toute l’aide qu’elle a pu orir aux membres au cou-
rant de ces années. Merci Annie !
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mot du vice président secteur clinique
LE RETOUR DU BALANCIER?
À l ’ origine du déséquilibre
Depuis certain temps, il existe un déséquilibre entre ce qu’on nous demande
de faire comme travail et la noon de droit des paents. Ce déséquilibre survient
dans un contexte où les équipes subissent les contre coups des compressions. De
plus, il y a beaucoup de travailleurs en arrêt et ceux qui restent écopent du manque
de stabilité du personnel.
Jamais le même monde sur qui s’appuyer !? Ben ça entraîne de la démobilisaon.
On a de moins en moins de moyens pour mener à bien notre travail. Ajoutons à cela
le comblement par d’autres tres d’emploi et ça donne une recee qui ne goûte pas
très bon pour le climat de travail.
Il y a un changement de paradigme. Le paent devient le maître de ses
soins. Ce changement est ociellement enclenché comme on peut le lire dans le do-
cument de Planicaon Stratégique 2016-2020/ Vers un Instut Naonal en psychia-
trie légale. Citons ce document produit par la direcon en réponse au Plan d’Acon
en Santé Mentale (PASM) du Ministère de la Santé et des Services Sociaux :
« Un enjeu stratégique majeur(…) la primauté de l’individu.
Nous entendons par cet enjeu que toutes les acons stratégiques, tac-
ques et opéraonnelles devront tenir compte des besoins de nos pa-
ents et de nos employés. (..) Pour nos paents cela signie d’être au
cœur des décisions sur leur processus de soins, de parciper à l’amé-
lioraon de leur milieu de vie et de recevoir des soins de qualités »
6 →
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OURNAL SYNDICAL
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L’équilibre est fragile entre les enjeux cliniques et sécuritaires. Dans l ’équaon,
c’est parfois la sécurité des travailleurs qui est mise en jeu et c’est inacceptable. Ce sont
souvent les mêmes qui sonnent le signal d’alarme quand vient le temps de communiquer
qu’un paent est dangereux. Certains se frappent à une porte fermée, symptôme d ’une
communicaon sclérosée autant par la fausse percepon que les travailleurs sont de mau-
vaise foi (malveillants), mais aussi qu’il y a la crainte que des mesures « abusives » soient
mises en place. Malheureusement à force d’être répétées, ces idées peuvent avoir un eet
pygmalion.
Qui dit mesure, dit imputabilité. Nous sommes tous d’accord de prendre la déci-
sion la moins restricve pour la clientèle d’autant plus que les risques de représailles sont
moins grands. Cela vient hiérarchiser les praques. Par contre, n ’appliquer aucune mesure
peut miner le senment de sécurité. Il semble s’installer un senment d’impuissance au
sein des équipes car les praques changent, mais la clientèle demeure imprévisible et po-
tenellement dangereuse. Quand les canaux de communicaon ne fonconnent plus, les
conséquences peuvent être graves.
Acng out D2
C’est dans ce contexte que la CNESST (anciennement CSST) a été appelé par notre
conseiller syndical Daniel Bernier suite à l’agression subie au D-2 le 4 avril 2016. Les points
qui ont jusé l’intervenon de deux inspecteurs sont les suivants :
-L’ employeur ne prend pas en considéraon les risques en aénuant les observaons
comportementales faites par les travailleurs.
-Le comportement du psychiatre expose les travailleurs à des risques.
-Refus de l ’ employeur qu’ un membre du syndicat soit présent sur les lieux (au D -2)
-Les paents sont traités de la même façon sans tenir compte de leur statut.
mot du vice président secteur clinique
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mot du vice président secteur clinique
C’est avec l’aide notre conseillère Karine Cabana que s’est déroulée la ren-contre avec le syndicat et l’employeur. D’entrée de jeu les inspecteurs ont nommé
que depuis 2009 la jurisprudence rend imputable les psychiatres au sens de la loi en
santé sécurité au travail. L’inspecteur souligne à l’employeur qu’il doit en informer
ses médecins.
Des pistes de soluons
On reent du rapport d’intervenon que :
« (…) ’
. »
Sur le plan curaf, l’employeur et la pare syndicale se sont entendus pour
travailler de façon paritaire à la mise en place « ’ ’
’b ’ ’ h »,
mais aussi de poursuivre la « » en terminant
« ’ê ’ ». Finalement il est intéressant de lire dans le rapport d’inter-
venon que les inspecteurs suggèrent que l’on « j x -
».
Les rencontres paritaires extraordinaires se poursuivent. À l’issue desquelles, le
CPSST (Comité Paritaire en Santé Sécurité au Travail) ira présenter les recommanda-
ons au comité de direcon. De plus, nous allons être en mesure de communiquer le
rapport détaillé des mesures correcves que l’employeur devra apporter an de
travailler en sécurité.S 9→
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mot du vice président secteur clinique
JOURNAL SYNDICAL
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Pour nous l’enjeu de la sécurité demeure primordial. Prenons la direcon à té-moin sur ce sujet comme c’est écrit dans la Planicaon stratégique 2016-2020 Enjeu :
Primauté de l ’ individu.
« Pour nos employés, cela signie que l’organisaon se
préoccupera de leur sécurité, de leur qualité de vie au travail, de
reconnaître leurs compétences et de les faire parciper à la mis-
sion de l’organisaon (…) »
Syndicalement, nous pensons que le contexte actuel de compression ne
peut être invoqué pour nous empêcher de remplir la mission de l’Instut. Par contre,
nous pensons qu’en rétablissant un l’équilibre du balancier, nous serons en mesure de
s’orir un milieu plus sécuritaire. Maintenir notre mission ça passe d’abord par une
communicaon plus juste et plus saine. Armons notre rôle et démontrons à l’organi-
saon que la sécurité est un droit qui s’arrime au droit du paent et lui permet de se
faire soigner dans les meilleures condions possible.
Gyslain Gaudet
Vice-Président secteur clinique
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Temps supplémentaire hors liste
Récemment j’ai eu plusieurs griefs concernant le temps supplémentaire
hors liste. L’employeur et la partie syndicale n’ont pas la même interprétation de ce
qu’est du temps supplémentaire hors liste et qui devrait être contacté dans ces cas-
là. Nous vous tiendrons au courant s’il y a des avancements.
Je veux aussi vous entretenir sur la disponibilité au temps supplémentaire.
Lorsque l’employeur vous contacte par exemple pour un besoin de soir le mercredi à
une unité X, et que vous le refusez, vous refusez le quart de travail et non pas l’unité.
Ce qui fait en sorte que si un nouveau besoin se crée, l’employeur n’est pas tenu de
vous l’offrir car vous êtes réputé avoir refusé le quart de soir le mercredi.
Si vous mentionnez à la liste de rappel que vous refusez le quart mais que
vous êtes toujours disponible si autre chose devient disponible, sachez que la liste de
rappel n’est pas tenue de vous tenir en compte. De plus, si la liste de rappel décide
de vous contacter à nouveau ça devrait être la toute fin de la liste de temps
supplémentaire.
Si vous avez des questions ne vous gênez pas pour nous contacter.
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Fête Nationale
Selon le code du travail nous considérons qu’il y a quatre (4) scénarios possibles dans l’application du
congé compensatoire de la fête de la Saint-Baptiste prévu le vendredi 24 juin 2016 :
- Pour la personne salariée qui est prévue au travail lors de cette journée la loi prévoit :
Dans un établissement ou dans un service où, en raison de la nature des activités, le travail
n'est pas interrompu le 24 juin, l'employeur, en plus de verser au salarié occupé le 24 juin le
salaire correspondant au travail effectué, doit lui verser l'indemnité prévue à l'article 4 ou lui
accorder un congé compensatoire d'une journée. Dans ce dernier cas, le congé doit être pris
le jour ouvrable précédant ou suivant le 24 juin.
L’employeur doit donc appliquer le congé soit le jeudi, vendredi, samedi.
- Pour la personne salariée qui n’est pas prévue au travail lors de cette journée :
L'employeur doit accorder un congé compensatoire d'une durée égale à une journée normale
de travail lorsque le 24 juin tombe un jour qui n'est pas normalement ouvrable pour le salarié.
Si le salarié est rémunéré au temps ou au rendement ou sur une autre base, l'employeur doit
lui accorder un congé compensatoire ou lui verser l'indemnité prévue à l'article 4.
Le congé compensatoire doit, dans tous les cas, être pris le jour ouvrable précédant ousuivant le 24 juin.
- Pour la personne salariée prévue en vacance annuelle lors de cette journée :
Toutefois, si le salarié est en congé annuel à ce moment, le congé est pris à une date
convenue entre l'employeur et le salarié.
Pour ceux qui seront en vacance à ce moment-là nous vous conseillons de faire la demande par écrit
que votre congé soit reporté à une date ultérieur.
- Si la semaine de travail est prévue du lundi au vendredi :
Le congé compensatoire est obligatoirement le vendredi.
Les informations inscrites soulignées aux points précédant sont retransmis de façon intégrale du texte
de Loi de la Fête National du Code du Travail mise à jour le 29 juin 2015.
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mot du représentant santé-sécurité
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Depuis le début de l'année 2016, il y a eu 121 déclaraons d'événements acci-
dentels, dont 55 reliées aux intervenons physiques, agressions et menaces. La situaon
m'inquiète.
Est-ce que l'employeur l'est lui aussi? Est-ce que l'experse du personnel clinique
(inrmiers(ères), sociothérapeutes, agents d’intervenons et commis d'unité) est prise en
considéraon, lors de décisions en rapport avec les paents?
J'aimerais vous dire oui, mais depuis janvier plusieurs événements sont survenus à
l'Instut dont certains majeurs avec des conséquences dramaques. Il est important,
quand vous sentez que la situaon l'exige, de prendre un moment d’arrêt avec vos col-
lègues, médecins et coordonnateurs an d'élaborer la bonne façon d'interagir avec le pa-
ent. Votre expérience avec la clientèle de l'Instut doit être mise à prot. S’il y a im-passe, n'hésitez pas à communiquer avec votre syndicat.
PLAINTE CNESST
En lien avec la plainte concernant l'acng-out du 4 avril 2016 au D-2, il y a eu une ren-
contre le 21 avril 2016 avec la CNESST, le SCFP 2960, la conseillère SCFP Karine Cabana et
l'employeur. Plusieurs points ont été apportés, dont l'urgence de procéder paritairement
en CPSST à l’enquête au D2 à l'amélioraon des poliques et procédures sécuritaires an
qu’elles soient clair pour tous. À ce jour 4 rencontres ont eu lieu. (suite page 13)
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mot du représentant santé-sécurité
CPLM
Cet automne, le CPLM revient à l'Instut, dans le secteur de la post-cure.
Plusieurs changements sont à prévoir; certaines modicaons des lieux phy-
siques, une nouvelle façon de faire lors des admissions et radiaons des paents,
plus de paents en consultaon clinique, etc. Plusieurs rencontres ont eu lieu an
de clarier la nouvelle situaon et modier certains points. Plus de détails à venirdans les prochaines semaines.
J'ai relancé l'employeur sur l'événement du 26 janvier 2016 au C-1 et C-2 (odeur
de brûlé) an de conclure sur les procédures à suivre, lors de situaons semblables
et informer les travailleurs des direcves à suivre.
En congé de maternité pour un certain temps, Geneviève Lahaie (responsable SST
de l'Instut) va se voir remplacée par Daniel Frigon et Marne Haines le temps de
trouver une personne qui comblera la tâche.
Sylvain Vallée
Représentant SST SCFP 2960
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mot du représentant santé-sécurité
*
B I L A NE N
L I E N A V E C L E S DÉ C L A R A T I O N
D’ É V É NE ME N T S A C C I DE N T E L S
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mot du représentant santé-sécurité
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Q ’ ?
1. A
Si vous êtes vicme d’un accident de travail, et ce, ’ -, vous devez aviser votre employeur dès que possible.
2. Cz ’
Vous trouverez ce formulaire soit dans votre service, au bureau de santé, aubureau syndical ou bien auprès de votre coordonateur d’acvité. Vz ’ d’un représentant, 3 éléments sont importantsdans votre déclaraon. (Rien ne vous oblige à compléter ce documentsur le champ si vous n’ êtes pas en état de le faire par contre vous devez le
compléter dans les plus court délais).
A) Faire le lien entre l’existence de la maladie ou la blessure dont voussourez et le travail.
Ex : Dans l ’ exercice de mon travail à l ’ unité X …Dans l ’ exercice de mon travail à la cafétéria…En me rendant à mon travail dans le staonnement de l ’ instut …..
B) Déclarer un fait accidentel (événement imprévu et soudain aribuable àtout cause)
Ex : Je me suis accroché les pieds dans une chaise et je suis tombé.
C) Décrivez la lésion professionnelle.
Ex : Je ressens une douleur au bas du dos.
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mot du représentant santé-sécurité
3. Cz
Ne tardez pas à consulter un médecin de hx, même si
la blessure semble mineure. Nous sommes aussi en mesure de vous réfé-
rer à une clinique ou un médecin spécialiste. V z à un raccom-
pagnement si la situaon l’exige.
Lors de la consultaon avec votre médecin, il est important
que celui-ci vous remere une aestaon médicale de la CSST, avec un
diagnosc clair et précis en lien avec l'accident.
4. D à
A) Il faut remere le plus tôt possible à l’employeur votre aestaon
médicale, et par le fait même proter de l ’occasion pour remplir le formu-
laire de réclamaon à la CSST*. (Le formulaire est disponible auprès de
l’employeur au syndicat et ainsi que sur le site internet du CNESST)
B) Il est suggéré de faire parvenir au syndicat toutes copies de votre dos-
sier que vous remeez à l’employeur, an que votre représentant en san-
té sécurité au travail puisse faire le suivi avec vous.
I
Ne tardez pas et ne connuez pas à travailler avec une douleur.
Dans tous les cas, n’hésitez pas à consulter votre bureau syndical pour
assistance ou de plus amples informaons. Postes 756.
*depuis 1 er janvier 2016 la CNESST est la nouvelle appellaon qui désigne la commission des normes de l’équité, de la
santé et de la sécurité du travail. Anciennement CSST.
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e passe au suivant
Très chers(ères) collègues,
Après mûre réflexion, j'ai décidé de passer le flambeau du poste de délégué so-cial. Je suis à l'aube de nouveaux projets auxquels je souhaite tout autant de suc-cès et je dois choisir où investir mes priorités. Ce fût 5 riches années où j'ai écou-té, conseillé, guidé, aidé et je l'espère redonné un peu d'espoir, d'amour enversvous-même et de sérénité aux gens qui ont fait appel à moi. Personnellement, jequitte rempli de gratitude par vos confidences, votre confiance et par le travail que
vous m'avez poussez à faire sur moi-même en tant que femme et''sociothérapeute'' depuis 13 ans.
Je retiens de mes rencontres avec vous, un immense besoin de reconnaissance,un sentiment d'impuissance face aux changements à venir, un non-respect del'intégrité des travailleurs et une démotivation à vouloir s'impliquer cliniquementau niveau de son équipe de travail qui se targue d'être multidisciplinaire.
Le poste de délégué social est encore méconnu chez nous. Pourtant dansd'autres milieux ils sont plusieurs à se relayer pour fournir un service plus adapté
aux travailleurs. Notre réalité professionnelle est parfois difficile à comprendrepour les gens de l'extérieur et c'est avant tout pour combler cette lacune que votre syndicat met à votre disposition un délégué social. Je vous encourage fortement àcontinuer d'utiliser ce service uniquement conçu pour améliorer votre bien-êtrepersonnel et professionnel. Nous sommes trop souvent un juge intransigeant ànotre égard et le recul nécessaire pour y voir plus clair provient souvent d'unetierce personne. Cette personne ressource, extérieure à ce que vous vivez, ne selaissera pas submerger par le flot des émotions qui brouillent notre jugement. Elle saura trouver un angle d'approche différent et avec un peu d'ouverture d'esprit devotre part vous disposerez de pistes de solutions intéressantes à exploiter.
Je vous laisse à un ami très cher ainsi qu'à un éducateur talentueux, intuitif et sans jugement; William Gagnon-Gilbert. Bonne continuité à toi cher collègue.
Merci de tout cœur pour ces belles années,
Annie St-Laurent
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DÉLÉGUÉE SOCIALE
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Présentaon
C’est avec une grande erté que j’ai accepté la foncon de délégué social de
l’Instut Philippe-Pinel. En eet, après 5 ans à tre de sociothérapeute, il m’est
apparu essenel de m’impliquer en tant que délégué social auprès de vous, collègues
et travailleurs.
Je vous rappelle que le délégué social est un guide disponible en tout temps. Sur
base volontaire, vous pouvez me consulter tant pour des problèmes professionnels
que personnels. Je peux aussi vous accompagner dans toutes vos démarches avec les
ressources oertes par le réseau de la FTQ. Agent de prévenon dans son milieu, le
délégué social est là pour vous soutenir. Vous pouvez donc me contacter quand le
besoin se fait senr.
P j :
C : 514-679-2960
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William Gagnon-
GilbertDélégué social
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Occuper notre place
(Texte par William Gagnon Gilbert)
À une époque où le cynisme semble bel et bien installé, on se demande
souvent où est passée l’humanité des gens qui nous dirigent. Nos gouvernements
nous ont habitués à se senr comme des contribuables et non des citoyens. Au
travail, on se sent parfois plus comme une ressource « inhumaine ». De l’avis des
plus âgés, il y a aujourd’hui une coupure nee entre le plancher et ceux qui pren-
nent les décisions. De ce fait, on peut facilement faire le parallèle entre nos sys-
tèmes poliques et les sciences de la geson. Ces derniers poursuivent le même
objecf : nous amener doucement à l’immobilisme. Devant la force de cee ma-
chine bien huilée, il ne semble pas y avoir d’autre soluon que de s’impliquer.
S’informer, quesonner, dénoncer, déranger et s’imposer pour contrer ces mouve-
ments qui voudraient bien nous réduire au silence. Notre milieu de travail nous ap-
parent ; il faut l’occuper et le garder humain. Il apparent donc à chacun d’entre
nous de quesonner les décisions, de proposer des soluons et d ’occuper le plus
de place possible dans le processus décisionnel. Il faut amener les décideurs à ex-
pliquer leurs décisions, quelques fois inexplicables. En tant que travailleur, c’est
notre santé mentale et physique qui est en jeu. Soyons solidaires et en mouve-
ment !
W G-Gb
D
JOURNAL SYNDICAL
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DÉLÉGUÉ SOCIAL
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Nous voulons aussi proter du journal pour souligner que dans la tourmente nous
avons omis de souligner la semaine du personnel administraf qui se tenait le 21 avril
2016.
À tous ceux qui assurent du bon déroulement dans l’organisaon, qui s’occupent de
la planicaon et la geson. Merci ! Vous êtes des personnes essenelles et trop sou-
vent, c’est votre absence qui vient mere en lumière toute l’importance que vous avez.
Encore une fois merci !
Également la semaine dernière du 9 au 16 mai, se tenait la semaine des inrmières.
Des fesvités ont eu lieu au parloir. Syndicalement on a conscience de la pression que
vous avez au quodien de menez à bien les tâches qui vous incombent. Pour faire le mé-
er que vous avez, ça prend des gens de cœur, des gens passionnés. La nature du travail
que vous réalisez ici n’est pas toujours graante mais vous savez qu’en prodiguant des
soins de qualité, la société sera mieux soignée. Merci beaucoup !
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UN MOT DE VOTRE EXÉCUTIF
MERCI !
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secrétaire générale
Bonjour tout le monde.
Un pet mot pour vous remercier, premièrement d’avoir pris le temps de venir vo-
ter et ensuite merci de m’avoir fait conance.
Cee journée à été pour moi enrichissante. Nous sommes choyés de travailler dans
un milieu où les diérents services se côtoient dans le respect.
Ceux qui me connaissent pourront vous conrmer que je suis une personne quiaime les gens. Je crois en la force du commun et du « peuple ». Je suis consciente des
limites et des contraintes qui s’imposent à nous, mais j’ai foi en notre force en tant que
groupe. Dans le contexte actuel, où chacun tente d’avoir son bout de couverture, il est
d’autant plus important de se faire valoir en tant qu’équipe.
J’espère pouvoir être longtemps au service des membres. J’ai toujours aimé
l’énergie qui irradie notre secon locale. Vous pouvez être certain, il y a une équipe qui
travaille fort pour faire valoir vos droits de travailleurs et votre intégrité. Nous sommes
passionnés par ce que nous faisons. Je suis heureuse de faire pare de cee belle
équipe.
Si vous avez des quesons n’hésitez pas à venir me jaser.
Marie-Ève Desormeaux
Secrétaire Générale
SCFP 2960
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R b ’
La présente est pour vous informer quels sont les documents appropriés à appor-
ter au bureau syndical lors d'un remboursement du formulaire d'assurance salaire. Il
est important d'avoir en sa possession les 2 papiers suivants :
-1 → ' (P A)
-2 ç 'hô ( è )
P.S. Nous procédons au remboursement seulement du formulaire d'assurance sa-
laire. À noter que le syndicat ne rembourse pas les billets médicaux ( ex: prescrip-ons) qui sont parfois chargés par votre clinique d’un montant d’environ 10$.
Marie-ÈveSecrétaire Général SCFP 2960
secrétaire générale
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Bonjours à vous tous, tout d’abord j’aimerais remercier tout les syndiqués qui ce
sont prévalu de leur droit de vote, et ceux qui mon appuyé tout au long de ma cam-
pagne pour le poste d’acon info.
Erratum sur les congés de cosaon syndicale, celles-ci auront lieux au mois de mai
soit, la paie du 4 mai ainsi que la paie du 18 mai 2016.
Il reste un journal avant les vacances esvales, je m’adresse à vous les syndiqués,
cet automne j’aimerais une parcipaon de votre part du genre; la chronique du tra-
vailleur etc. de sorte que vous pourriez émere une queson, ou bien une suggeson
ou encore certaines idées sur un sujet x.
mot du représentant action-info
JOURNAL SYNDICAL
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Il est grand temps que la chaleur arrive ! J ’ai entendu à la radio que le moisd’avril a été le plus chaud de l’histoire ! Il faut croire qu’on est vraiment une sociétédisncte au Québec parce que le mémo n’a pas été reçu ici ! Aendez, on m’an-nonce que l’été a été coupé par Gaétan Baree. Désolé tout le monde !
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Y paraît qu’il y a des lits de libre sur certaines unité….an de renouer lescores pourquoi ne pas orir ces chambres sur le site de voyage AIRBNB ?Chambres lumineuses d’inspiraon art-déco, 3 repas par jours avec collaon(nombre de sucre que vous voulez ! Au diable votre condion physique!), piscine,gymnase et salle de condionnement complète, salle de cinéma/spectacle. Sécuritémaximale. Restaurant de haute gastronomie canadienne Tim Hortons et staon àessence à proximité. Pourquoi s’en priver ?!
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