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7/23/2019 Cuirs News 108
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f m*H :
botwncdNtlWIn
Sous l 'gide
DU MINISTERE DE L'INDUSTRIE
*
Le Centre National du Cuir
et dela Chaussure
&
en Partenariat avec
I M E Q C Q
O r g a n i s e n t
LE CONCOURS
EURO-MEDITERRANEEN
Crat i f 2 013
Les 13 et 14 Mai 2013
Ayant pour thme :
R i , 4c*tt e et $9*tiAHuel
CNCC,
ded
c44Hfite*tt i eue
envice dc mU i du cui
4>put1C
SEVII ,
Cuir News
N108
M a r - A v r - 2 0 1 3
Bul le t in d ' in form at ion mensu el pub l i par Le Centre [N at io na l du Cuir t i la Chaussure
-
7/23/2019 Cuirs News 108
2/12
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Cuir News
Directeur respon;
de la publicdtit
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Amor BOUZOUADA
02
Editorial
0
3
V i e d u C N C C
Plan d'A ction Strat giqu e du CNCC 2013
POUR LE SECTEUR DES ICC
U Z L Recherche/ Innovat ion U 5 Statistiques
-Dm arrage d 'u n nou vea u pro je t de STATISTIQUES 2012
recherche :
P N R IP U e tE V A
-Management de la va leur e t ana lyse
fonc t i onne l l e
U
S t a t i s t i q u e s
STATISTIQUES 2012
O R S t a t i s t i q u e s
STATISTIQUES 2012
| Q T e c h n i q u e
Cooprat ion avec l 'A f r ique
U 7 S t a t i s t i q u e s
STATISTIQUES 2012
U Q T ec h n i q u e
Les d i f f re nts typ es d e cu i r : com me nt s 'y
re t rouve r ?
| 1 C r a t i f 2 0 13
Smina ire tech n ique
Editorial
L'anne 2013 sera certainement d'influence extrme
pour l 'avenir du pays et par ricochet pour l 'conomie
nationale.
Des lections seraient organises au terme de cet
exercice et donneraient l ieu de nouveaux
gouvernants pour une pr iode ( dterm iner)
permettant de planifier, dans le temps, les orientations
aussi bien politiques qu'conomiques et sociales qui
imprgne ront le proche futur de notre Tunisie.
Et bien qu e tributaire des cond itions gnrales du pays,
ce qui nous intresse le plus ici, c'est les aspects et
l 'atmosphre conom iques qu i marqueront notre
secteur des industries du cuir.
o Est-ce que les importations sauvages seraient
matrises ?
o Est-ce qu e le march parallle s'estomperait ?
O Est-ce qu e le secteur inform el serait organis ?
o Est-ce qu e nos professionnels verraient renatre la
confiance en l 'avenir de leu r secteur?
o Et est-ce que les investissements reprendraien t?
Des que stions q u'on se pose au niveau du CNCC et d ont
les rponses, mme si-elles sont ngatives, ne
freineraient pas notre effort pour toujours venir en aide
nos professionnels et au secteur au que l nous croyons
for tement .
Des questions qu'on se pose au niveau d u CNCC et do nt
les rponses, mme si-elles sont ngatives, ne
freineraient pas notre effort pour toujours venir en aide
nos professionnels et au secteur au que l nous croyons
for tement .
D'ail leurs en jetant un coup d'il sur notre programme
d'actions, aussi bien au niveau des investissements
prvus qu' celui des activits ou des recrutements
projets, l 'on s'aperoit qu e le CNCC reste op timis te.
Certes, le secteur des ICC progresse , dsorm ais, do ub le
vitesse, une pou r la branc he off-shore et la seconde
pour le march local, mais leur avenir est qu elq ue part
commun.
Il suffit de rpondre positivement aux questions ci-haut
poses, de s'organiser en consquence et surtout de
croire en nos capacits intrinsques pou r redm arrer de
plus belle l'envole de notre secteur.
Le march existe en Tunisie et ail leurs, encore faut-i l
saisir les occasions qui s'offrent nous et lorgner, par
exem ple, du ct de nos voisins l 'Ouest et au Sud,pour
jauger les grandes opp ortun i ts q ue nous nous devons
d'exp loiter et q ui nous son t accessibles con dition s d'y
croire et d'y m ettre les moy ens ncessaires.
Editorial
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Plan d 'A ct io n St ra tg iq u e du CNCC 2013
Assurer une bonne surve i l lance du march
Dans une dynamique nouvel le l ie au dveloppement et
place un plan d'action pour l 'anne 2013 qui consolide et
l 'analyse du bilan de l'environne me nt interne (points forts &
(opportun i ts & m enaces).
Les actions retenues co mm e prioritaires sont o rientes
auto ur de ces quartes grandes objectives :
Object i f 1
Le cuir et chaussures est un secteur trs diversifi et
com pren d plusieurs act ivi ts.
Ainsi, a protger le secteur et assurer une concurrence
loyaleconsti tue un enjeu majeur dans notre plan d 'act ion
stratgique.
Le diagno stic de l 'environne men t d u secteur ICC en
Tunisie a mis en avant les menaces don t-i l souffre tel que
la dominanc e du m arch paral l le.
Les circuits informe ls de l ' importat ion et de la dis tr ibut ion
des produ its en cuir ne sont pas encore matriss.
Pour contrler ce phn om ne le CNCC envisage la mise en
p lace d 'une ce l lu le in terne charge de la
rg lementa t ion rg issant le secteur en par tant de
l'actualisation de l 'arrt du 16Janvier 1997.
En parallle cet objectif le CNCC doit achever les travaux
d'extension et de ramnagement du laboratoire du CNCC
qu i sera en mesure d'abriter les nouve aux qu ipem ents d e
haute technologie. Cette or ientat ion est motive par la
capacit de ces quipements rpondre aux besoins du
secteur en termes de conformit de ses produits aux
rglementations et directives nationales et
internationales.
la pr om ot ion d u secteur ICC en Tunisie, le CNCC a mis en
valorise ses atouts au profit du secteur, et ce partir de
points faibles) ainsi qu e l 'environ nem ent externe du CNCC
Object i f 2
Garan t i r une bon ne expe r t i se
Ce pla n d'action s' inscrit dans une vision long -term e au
profit du secteur ICC, i l prvoir l'am lioration des
prestations du CNCC et de son appui au secteur en se
plaant en tant que leader technique e t technolog ique.
Le CNCC a su. cet effet, mett re en place une s tratgie de
contrle qui permet de dvelopper des actions
structurantes en amont par la con st i tu t ion de f iches
techn iques po u r l e march pu b l i qu e , la fo rm a t ion
des con tr leu rs du Min is tre du com me rce e t en aval
par la fo rm at i on des vendeurs des grandes sur faces .
Object i f 3
Dv e lopp er les com ptences au se in
des entrepr ises
En 2012, CNCC a assur la formation et le
per fect ionnement des cadres e t techn ic iens du secteur
ICC dans des thm es ( tech nique & hor izontale) d 'environ
80 entreprises (inter- et intra-entreprises) pour plus de 33 0
bnf ic ia i res.
Les thmes de formations sont identifis travers les
diagnostics stratgiques, les interventions en entreprises
et les bes oins ex prim s par la profess ion Pour cela le CNCC
a prpar un nouveau gu ide de forma tion sans oubl ier de
mettre jours les supports pdagogiques de forma tion.
Ob jec t i f 4 Aml iorer les per formances du secteur
L'objectif est d'am liorer les performan ces d u secteur
t ravers l 'augmentat ion de la va leur a joute en
exp lo i tant les potent ia l i ts au n iveau de la mat ire
premire grce :
- La mise en place d'une banque de donnes matires
premires,
- La prparation d 'un guid e de bonn es prat iques de la
conservation,
- La consti tut ion d 'un comit de rf lexion sur la
valor isat ion du potentie l Tunisien en peaux.
Ceci sera certa inem ent, pour les annes venir, source
d'opportuni ts supplmentaires pour le secteur, dont
il conv ient de se saisir.
Dans ce mm e obje ctif le CNCC va contin uer s on rle
incitatif & at tractif , dans le dom aine de l 'assistance
techn ique et l 'accompagnem ent dans les programm es
nationaux (PCA M-M AN - ITP -& autres), pour aider les
entreprises adopter de nouvelles techniques et
technologies.
Le recours aux projets de recherche et d' innovation
nat iona ux et inte rna tion au x (PNRI, VRR, PCRD,
coop rations bilatrales / autres ) con stitue aussi
un facteur dterminant pour le maint ien de la
com pti t iv i t e t la performance d u secteur et ce dans
le but de surmonter les problmes environnem entaux,
d'aider les entreprises du secteur matriser les cots
et uti l iser les nouvelles technologies et les nouveaux
intrants.
Avec la mise en uvre de son plan d'actions
stratgique Action 2013 . le CNCC a l 'ambition de
renforcer son soutien au secteur avec une bonne
noto rit en se rapprocha nt p lus des industriels par :
- L'organisation de deux tables rondes,
- L'organisation d 'un e jou rn e sur le secteur ICC
Ralits & Perspectives ,
- La planification de visite de prospection et de
sensibil isation des entreprises.
- L'actualisation de la base de don nes des entreprises,
- Et la dyn am isatio n de son site we b (ajout de liens
utiles.., etc.)
- Et enfin la ralisation d'une tu de sur la noto rit d u
CNCC auprs des entreprises du secteur.
Henia JLASSI / D p ar te m en t f inancier
Vie du CNCC
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Dm ar rage d 'un n ou veau p ro je t de recherche :
P N R I P U e t E V A
Aprs l 'accord officiel de financement du Ministre de l ' Industrie et suite la signature de la convention entre les
diffrents pa rtenaires, la Dire ction de Recherche et Inno vatio n a dm arr en Janvier 2013 un nouve au p rojet de
recherche intitule
Rcupra t i on e t va lo r i sa t i on des
dche ts
so l ides : PU et EVA ut i l i ss dans les semel les d e
march e en Tunis ie financ par le Programme National de Promotion de l ' Innovation Technologique (PNRI).
Ce projet sera ralis en collaboration entre le Centre
National du Cuir et de la Chaussure, tant la structure
porteuse du projet, le partenaire de recherche l 'Ecole
Nationale d'Ingn ieurs d e Sfax (LaboratoireEau,Energie et
Environnement) et le partenaire industriel la socit El
Mdina.
L'Objectif du prsent projet est de dvelopper des
techniques de trai tement chimiques et mcaniques des
dchets de semelles base de polyurthane (PU) et de
poly thyln e ac tate de viny le (EVA) en vue de les recycler
et de me ttre au poin t de nouveaux produ its.
En effets, ces matires, de pa rt leur structure rticule, ne
peuve nt pa s tre fondues et rem odeles. Alors, i ls ne s ont
pas recyclables directem ent par tra i teme nt therm ique
contrairement aux matr iaux thermoplastiques (PVC,
TPU,caoutchouc therm oplas tique (TR).. .). Ce projet vise
proposer des solutions pour la gestion des dchets de
semelles base de PU et EVA gnrs par les indus tries
de chaussures en Tunisie des quan tits considrables.
Ces techniques de recyclage et de valorisation vont tre
par la suite exploites dans le secteur des indutries du
cuir o u dans d'autres secteurs.
Une quipe pluridisc iplinaire du CNCC veil lera fa
bonne ralisation de ce projet en collaboration avec le
partenaire de recherche et les fi l ires industriel les
concernes.
ChirazGORGIHILA/DRI
Man agem en t d e la va leu r e t anal yse fon c t i on ne l l e
La compti t iv i t dans le secteur concurrentie l et la rat ional i t conomique dans le secteur non concurrentie l sont
devenues les indicateurs majeurs de gestion des organismes et les conditions premires de leur prennit et de leur
dveloppement. Tout organisme est donc la recherche permanente de compromis lu i permettant de proposer la
rponse optimale attendue par son march et les parties prenantes.
Le concept de valeur qui exprime la relation entre la contribution d'une activit, produit ou service et les ressources
consomm es po ur la gnrer pe rmet d 'apprcier l 'effic ience de ce com prom is.
Les enjeux auxquels pe ut rp ond re le mana gem ent par la valeur prov ienne nt d e l 'volution de la Socit, des marchs
ou du contexte indu str ie l .
Le management par la valeur favorise la cration et le
dv elopp em ent de la valeur et de la com pti t iv i t durable
et acceptable par les diffrentes parties intresses. Pour
cela i l apporte des rponses mthodologiques et
managriales permettant l 'organisme de mieux matriser
les enjeux d e son secteur d 'activit.
La finalit du management parlavaleur est d'ap porte r un e
rponse ou des informations fiables pour la prise de
dcision.
Globalement le management par la valeur rpond
di f frentes proccupations :
fonct ionne l le :pour bien poser le problm e,
technique : pour la recherche de solutions et la
ralisation de l'offre,
conomique : pour optimiser l 'uti l isation de ressources,
financire : pour orienter ou valider une dcision
d'investissement.
Son appl icat ion vise l 'obtention d 'un dveloppement
dura ble. Les concepts mis en uvre vo nt bien au-del des
seules dimensions d'ut i l i t. Les concepts de fo nc tion e t de
valeur prennent galement en compte des aspects te ls
q u e les ressources humaines, les partenariats, la
connaissance.C'estune app roche transverse reliant les
diffrents secteurs d'un organisme pour qu'i l assure
dans les meil leures conditions de service la finalit qui
justifie son existence.
Pour chaque activit, processus ou projet de
l'organisme, le ma nag em ent par la valeur incite :
e n apprcier la valeur, c'est--dire valuer ou estime r
l 'apport cr ou attendu pour les diffrentes parties
prenantes au regard des ressources mo bil iser ou
mobil ises dans l 'activit, le processus ou le projet
concern ;
uti l iser des mthodes et outi ls pour maximiser cette
valeur cre sous diverses contraintes, locales ou
globales :
- de ressources (humaines , techn iques , financires),
- de n iveau de risque,
I l apporte ainsi une contr ibution effect ive la
prparation des dcisions (de gestion, d'allocation de
ressources, de pilotage des activits et projets , de cho ix
de conc eption, etc.) .
M a h m o u d M A N S O U R I / D RI
Recherche/Innovation
Cuir News N108 M ar-Avr 2013
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STATISTIQUES 2012
2012 , nous a qu i t t , la issant des squel les sur la v ie socia le , co nom ique e t po l i t iqu e du tu n is ien .
Cer tes, ces squel les sont en gnra l ngat ive s m ais,n'tait-ce pas prv is ib le aprs une rvo lu t io n qu i n 'a vcu
que son deu xim e exerc ice ?
Pour le secteur des industr ies du cu i r , ce t te anne a t marque par un lger f lch issement des changes
commerc iaux au n i veau in te rna t i ona l .
Ainsi,
les exp ortation s des ICC ont chu t de 4 ,2% passant de 1044 MDT en 2011 1001 MDT en 2012 ; et c'est
essen tiellement, les branches de la chaussure e t des tiges qu i en sont les causes.
Leschutes en registres au niveau de ces deux branches sont respectivem ent de 25,5 MDT et 17,8 MDT soit -4,3% et -8%.
Les imp ortat ions du secteur, ont par contre gard le m me
volum e enregistr lors de
l'exercice
2011 soit environ 670
MDT. Cependant, i l y a l ieu de noter que les importations
de prod uits finis tels qu e les chaussures et les articles de
maroquinerie ont fortement progress (47,2% pour les
chaussures et 46,6% pour la maroquinerie).
Ce phnomne trouve son expl icat ion travers la
profusion des importateu rs de fortune qu i envahissent le
march local , sans com pter la mu tatio n, en com merants
nets de nom bre de producteurs et de m arques.
Les exportations du secteur tunisien des ICC, ont t
concurrence de 97%,
l'uvre
des entreprises off-shore.
Les chaussures reprsentent elles seules 56% des
ralisations du secteur ; suivent ensuite les tiges de
chaussures avec 20%, les articles de ma roqu inerie avec
13% et les cuirs et peaux avec 7,6%.
La typologie des produits exports par le secteur des
ICC, s'oriente d e plus en plus vers les article s finis, et rien
que cette or ientat ion, nous la isse optimiste quant
l'avenir
de notre secteur.
B a l a n c e C o m m e r c i a l e
Dsignat ions
Cuirs, peaux et
pelleterie
Chaussures
Tigas de
chaussures
Maroquinerie
Habillement en cuir
Accessoires et
composants
Total
Exportat ions
75.8
561.9
203,9
133.6
11.1
14.5
1000.9
Rpartit ion
7.6%
56.1%
20.4%
13.3%
1.1%
1.5%
100%
Impor tat ions
362.3
53
69.9
57 9
7.5
119.7
670,3
Rpartit ion
54.1%
7 9%
10.4%
8.6%
1.1%
17.9%
100%
Soldes
286.5
508 9
133.7
75.7
3.6
-105.2
330,6
Tauxde
couverture
20.9%
1060 2%
291.7%
230.7%
148%
12.1%
149.3%
Au terme de l'anne 2012, la balance commerciale du
secteur des ICC a affich un taux de couverture des
importa t ions par les expo rtat ions de 149,3%.
Les exp ortation s d u secteur on t totalis 1000,9 MDT, qu an t
aux importat ions, el les ont cumul 670,3 MDT, pour
dgager un solde comm ercial hauteu r de 330,6 MDT.
Comme toujours, le secteur des ICC est exportateur de
produits finis qui ont atteint 706,6 MDT en 2012, ce qui
reprsente 70,6% des exp ortation s globa les.
Le reste des exportations qui sont de 294,3 MDT concerne
les cuirs et peaux, les tiges de chaussures ainsi que les
accessoires et com posan ts.
1*00.0
1O0O.0
800.0
600.0
ioo.o
reo.o
0.0
Balance Commerc ia le
M
M
* -
4
1000,9
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1 I T
1 1 1
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Statistiques Cuir News N108 Mar-Avr 2013 Page 5
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STATISTIQUES 2012
La fi lire chaussures dom ine tou tes les branches de pro du ctio n avec un solde com merc ial remarqua ble (508.9 MDT) et
une valeur des exp ortation s de 561,9 MDT, soit 56,1%des exp orta tions de l 'anne.
Du ct des importa t ions,
82,3%
des ralisations totales, soit 551,9 MDT concern ent l ' imp orta tion de s prod uits intrants
tels que les cuirs et peaux, les tiges de chaussures et les accessoires et composants.
Ces importations sont en majeure partie destines aux entreprises totalement exportatrices dans le cadre de
l'admission temporaire.
E v o l u t i o n d e s e x p o r t a t i o n s
Unil.MDT
Dsignation
Cuirs, peaux et
pelleterie
Chaussures
Tiges de
chaussures
Maroquinerie
Habillementencuir
Accessoires et
composants
Total
Anne 2010
48.8
586.8
211.9
98
8.9
13.1
967.4
Anne 2011
65.2
587.4
221.7
139.1
14.8
16.1
1044.4
Anne 2012
75.8
561.9
203.9
133.6
11.1
14,5
1000,9
Evolution % j
Annes Annes
2010/2011 2011/2012
33.6%
0.1%
4.6%
41.9%
66.3%
22,9%
8%
16.3%
-4.3%
-8%
4 %
-25%
-9.9%
-4,2%
Les expo rtations du secteur o nt rec ul de -4,2% entre les
annes 201 1 et 2012 p our passer de 1044,4 MDT 1000,9
MDT.
Entre 2010 et2011,e lles ont au gm ent de 8%.
Cette rgression est,d'unepa rt, le rsultat des effets de la
rvolut ion sur l 'conomie d'une faon gnrale et sur
les activits industriel les
d'une
faon particulire qui ont
connu des chutes remarquables sur tous les niveaux
(produ ction, exportat ions, imp ortat io ns...) , et d 'autre part
une des consquences de la crise internationale qui
touch e presq ue tous les pays et tous les secteur don t celui
des ICC
En 2012, les cuirs, peaux et pelleterie sont la seule filire
qui a connu une augmentation dans leurs exportat ions
par rapport 2011(16,3%).
Toutes les autres filires ont enregistr une baisse de leur
performance avec -4,1% pour tes chaussures, o-'. pour les
tiges de chaussures, jusqu' -25% pour l 'habil lement en
cuir.
Malgr une diminution entre 2011 et 2012, les f i l ires
chaussures reste tou jours la base des exp ortation s des ICC
avec 561,9 MDT, soit 56,1%des ralisations globales du
secteur.
Les tiges de chaussures viennent ensuite avec 203,9
MDT, puis les articles de ma roqu inerie avec 133,6 MDT.
Ct oprateurs, les exportations de
l'anne
2012 ont
t ralises par 766 entrep rises diffre ntes . Presque la
moit i du volume des exportat ions soi t 463 MDT est
ralise par seulement une dizaine d'oprateurs.
Exportat ions par Pays
119.
134.S
3
-
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STATISTIQUES 2012
E v o l u t i o n d e s e x p o r t a t i o n s p a r p a y s
Uns:MDT
Classement Pays
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
ITALIE
FRANCE
ALLEMAGNE
ESPAGNE
HONG-KONG
SUISSE
ROUMANIE
ROYAUME UNI
YEMEN
DEMOCRATIQUE
BELGIQUE
Aut res pays
Total
Evolution Evolution Rpa rtition
Anne Anne Anne Anne
2010 201 1 2012 Aimes Annes
2010/2011 2011/2012 2012
456.9
259 5
124,7
173
10
1.7
4.8
3 2
1
2.8
80
967,4
484.8
310
119
16,8
9.8
2
7.3
4 4
1.9
2,6
36
434.5
302 4
134.5
179
6.7
6 5
6,5
5 5
4,8
4.1
77 5
1 044.4 1 000,9
6 1%
19.5%
-4.6%
5
6
e
;,
-2%
17.6%
52.1%
-10
4 - :
2.5%
13%
6,5%
-31 .6%
225%
- 1 1 %
-46.3%
2 5 %
90%
- 7 . 1 %
7.5%
8%
152,6%
57 7%
-9.9%
-4 ,2%
43 .5%
30 2%
1 3 4 %
1,8%
0.7%
0,6%
0.6%
0.5%
0,5%
0.4%
7.7%
100%
En 2012. les exporta tions d u secteur sont achem ines vers
95 pays du m ond e entier.
L'Italie, la France et l'Allemagne demeurent les
destinations privi lgies des produits tunisiens du secteur
l'export.
Ceci est d au nombre et la tail le des entreprises
installes en Tunisie appartenant ces pays. Les
exportations sont en grande partie ralises par ces
entreprises dans le cadre du rgime off-shore.
Ces trois pays ont cumul, eux seuls, 871,4 MOT, soit
87,1%des ralisations del'anneen matire d 'export.
Au niveau de
l'Italie
et la France, on remarque, entre les
annes 2011 et 2012 des rgressions des exportations,
respectivement de
-10.4%
et
-2,5%.
Cela peut tre expliqu par le fait que les entreprises
trangres installes en Tunisie rencontrent beaucoup de
difficults l ies aux conditions conomiques et sociales
apparues aprs la rvolution, et rsultant des
perturbations q ue connat le march europen.
Ainsi, le rythme de production devient irrgulier, et par la
suite le volum e des expo rtat ions baisse.
Aprs ces trois pays,l'Espagne suit de loin avec 17.9
MOT, soit seulement 1,8% des exportations totales du
secteur.
Parmi les dix premires destinations, on retrouve par
ordre d ' importanc e des exportat ions, le Hong Kong,
la Roumanie, la Suisse et le Royaume Uni avec des
valeu rs allant de 5,5 MOT 6,7MOT.
Il y a l ieu de constater que la Belgique rintgre la l iste
du top ten aprs une absence de qu elques annes.
Les exportations vers ce pays ont totalis 4,1 MOT en
2012 contre 2,6 MDT en 2011, soit une croissance de
57,7%.
Il est remarquer aussi que le Ymen Dmocratique a
rejoint le groupe des destinations privi lgies avec 4,8
MDT en 2012 contre 1,9 MDT en
2011,
soit une v olut ion
de
152/
Le Belgique et le Ymen Dmocratique sont des pays
suivre, les rsultats sont prom etteu rs, des actions so nt
entreprendre et des efforts sont encourager sur ces
deux m archs.
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STATISTIQUES2 12
E v o l u t i o n de s i m p o r t a t i o n s
UnitMOT
Dsignations Anne2010 Anne2011 Anne 2012
Cuirs,
peaux et
pelleterie
Chaussures
Tiges
de
chaussures
Maroquinerie
Habillement en cuir
Accessoires
et
composants
Total
357
26
85,2
34,6
67
123
632,6
373.6
36
91,1
39,5
7,4
121,7
669,3
362.3
53
69,9
57,9
75
119,7
Evolution
A n n e s
Annes
2010/2011
2mi/20n
4.6%
38,5%
6 9o
-3%
47,2%
-23,3
14,2% 46,6
10.4%
-1 ,1%
670,3 5,8
1.4
-1,6%
0.1%
Au terme de l 'anne 2012, les imp ortat ion s du secteur ont
atte int 670,3 MDT contre 669,3 MDT en 2011et632,6 MDT
en 2010, soit
une
vo lu t ion
de
5,8% entre 2010
et
2011,
puis0 ,1%entre2011et2012.
Les intrants cuirs et peaux, tiges de chaussures et
accessoires et composants sont les p rodu i ts les plus
imports avec une valeur totale de 551,9 MDT, ce qui
correspond
82,3%
des importations globales de l 'anne.
Les importat ions sont gnralement l 'uvre des
entreprises off-shore.
Ces intrants,etmalgr l ' importancede leur part dansles
impor ta t ionsdusecteur, ont baiss entre2011
et 2012 de -3 % pou r les cuirsetpeaux,-23,3% pourles
tiges de chaussures et -1,6 pour lesaccessoires et
composants.
Ces rgressions peuvent tre la consquence du
ralentissement qu'ont connu les entreprises off-shore
dans leur production sui te larvolut ionqui atouch,
entre autres, toutes les activits industriel les.
Ilest prciserquel 'impo rtat ion desprod uits finis tels
que les chaussures et lesarticles de maroqu iner ie ,a
affich des taux d'vo lution remarqua bles
respectivement de 47,2 et 46,6 entre les annes
2011et2012.
R p a r t i t i o n p a r r g i m e d ' a c t i v i t
Umt
MDT
Dsignations
Entreprises offshore
Entreprises
on
Shore
Total
Exportations
Valeur
971.8
29.1
1 000,9
Part
97.1%
2.9%
100%
Importations ||
Valeur
584.3
86
670,3
Part
87,2%
12.8%
100%
I c h r a f G U E D D I C H E / D I C
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Les d i f f ren ts typ es de cu i r
c o m m e n t s'y r et r o u v e r
?
Appelons u n chat, un chat:le cuirn'estr ien d'autre que de la peau qu i faitl'objetd'un traitement (tannage) pour rsister
dans le tem ps e t s'adapter aux diffrentes formes qu'on lui fait prendre (vteme nts, chaussures, sacs main...). Or si la
d finit ion d u cuir est so mm e tout e assez simp le, ses dclinaisons sont nom breuses. Voil de quoi vous aider y voir plus
clair.
Gnralement en parle de trois types de cuir : vachette,
veau ou cuir de bu ffle :
La vachette, issue de diffrents bovins adultes (buf,
taureau,
vache etc.), est le plus couramment uti l is, elle
possde un grain relat ivem ent marqu et une trs bo nne
tenu e l 'usage. Pour toute uti l isat ion ex cept les semelles
de chaussure.
Leveau,d 'un grain plus f in qu e celui de la vachette ou du
taureau, doit sa souplesse et sa dou ceu r ex ceptionnelles
lajeunesse de sa pea u.
Le cuir de buffle est un cuir, dont le relief est plus
important, son grain est la fois naturel et irrgulier. Ces
caractr ist iques en font un matr iau part icul irement
rsistant et qualitatif, qui lui vaut le surnom de " diamant
du cuir ".
Il existe divers types de cuir qui se diffrent par leur
caractristiques spcifiques en matire d'paisseur,
texture, m od e de fabric ation (tannag e et finition).
Lec u i r p l e i n e
f leur
C'est la fo rme la p lus
nob le du cu i r
Cuir ayant conserv sa
sur face d 'o r ig in e la
f leur , dans so n
in tg ra l i t , d 'o son nom,
la issant appara i t re les caractr is t iques de la peau :
gra in nature l e t r ides.
Trs rs is tant e t impermable , i l est garant d 'un
p rodu i t d 'exce l l en te qua l i t .
Dans la catgorie du cu ir pleine fleur, on tro uve :
Le cuir plo ng : la peau d'agneau est colore par
immersion maisn'est pas protge. Seules les trs belles
peaux subissent ce traitement. Elles sont souples, trs
douces m ais aussi plus fragiles tan t qu e les peaux ne sont
pas patines. Ce sont les plus beaux cuirs, mais aussi les
plus chers.
Moins pais et moins rsistant qu e le cuir pleine fleur,
i l est aussi plus abord able.
On distingu e la cro te velours d'aspect exte rne fibreux
{crote ponce) de la crote enduite d'apparence l isse.
Cette finition de cuir do nn e souv ent des articles prem ier
pr ix et bas de gam me :de semelles, de ceintures ou pour
le revtement des de m euble,
Lecuir nappa / voil:pleine fleur, soup le et m oelleuse,
obtenue partir de diverses peaux de faible paisseur
ayant subit un traitement de surface protecteur. Le cuir
nappa se distingue par son exceptionnelle souplesse et
rsistance. Il uti l is dans la ganterie et le vtement, et
aussi pour la fabrication de tiges d'articles chaussants
souples.
L e cuir lave : la peau sub il Ull traitemen t qui donne un
aspect htrogne la teinte. Ce cuir se patine avec le
temps.
L e cuir graine : peau ayant subit un traiteme nt q ui fait
ressortir le grain d e la peau .
Le cuir vieil l i
:
peau pleine f leur pigme nte et ombrage
en surface afin de donn er un "aspect patin " au cuir.
L e c u i r n u b u c k
Le n u b u c k e st u n p o n a g e
de la f leur de d iverses pe aux
l e u r d o n n a n t u n e
apparence ve lou rs e t un
to u c h e r d ' u n e
excep t ionne l l e douceur .
La f leur du cuir est gr at t e au papie r de verre ou
la meu le pou r ob ten i r une peau hype r soup le ,
souvent moins f rag i le , fac i le t rava i l le r , e t
l 'aspect ma t e t pat in avec un gra in p lus f in e t p lus
uni .
On trouve diffrentes finitions de nubuck :
Le cuir skipp er : cuir t eint e avec de la cire. La finition
don ne un effet marbr et mat.
Le cuir destroy : cuir princip alem ent de chvre teint
avec de la cire et feutr. Le grain de la chvre tant
irrgulier, le dessus du grain apparat bri l lan t.
Le cuir h uil : cuir nubu ck te int avec une hu ile pour
obten ir u n aspect br i l lant.
L e c u ir " d a i m "
Peau travaille sur l'envers et
ponces cot chair afin de
leur donner un "aspect
velours". La matire
premire est de mei l leure
qual i t que cel le des
trai tements en crote de
cuir.
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Lac r o t e d e c u i r
C'est
la partie la moins
noble de la famil le des cuirs
provenant de la refente des
cuirs pais. Il s'agit de la
feuil le infrieure qui contient
la chair du cuir.
contrairement la feuil le
suprieure qui contient la
fleur uti l ise pour le cuir
pleine fleur.
Cu i r se l l i e r
C'est un cuir rare, pleine fleur
et pleine paisseur (2 mm
min imum) .
Un tannage mixte, minral et
vgtal, le dote d'une
rsistance et d'un toucher
exceptionnel.
Travail l dans la masse comme le cuir des selles de
cavalier, chaque pice est aussi pique faon "Sellier",
l'aidede fils tisss trs rsistants,
L e " c u i r r e t o u r n "
Peau de mou ton ponce cot
chair pour lui donner un
aspect velours tandis que la
laine est conserve
l ' intrieur du vtement. Les
produits en mouton retourn
procurent chaleur et
respirabilit, et sont la fois
souples et robustes. Souvent
uti l is pour les collections
hivernales, on le retrouve
dans les chaussures et les
manteaux,
C u i r f l e u r c o r r i g e
Cuir ayant subi un lgei
pona ge de la fleur dan?
le but d'er
homog niser la surfact
et de supprimei
certaines marques et
dfauts trop prononcs . La partie ct fleur est quant
elle plus prcieuse
A b i r N A K I B / D C A
Source : w w w . s p a r t o o . c o m
Coopra t i on avec l 'A f r i que
Dans le cadre de la coo pra tion bilatrale entre la Tunisie et l 'Organisation des Nations Unies pour le dv elopp em ent
industriel,
une dlgation reprsentant le secrtar iat du grou pe d u comit Afr ique de
l'Est,
prside par Madam e Ngyen
TASS, chef de
l'Unit
de la com pti t iv i t pour la prom otion industr ie lle et la partenar iat, a effectu un e visi te de travail
en Tunisie du 10au 14 Dcem bre 2012,
Et dans l 'objectif de s'enqurir de l 'exprience tunisienne
dans le domaine de la rhabi l i tat ion et la promotion
industriel le, la dlgation a visit certaines institutions
d'ap pui d on t le Centre Nationa l du Cuir et de la Chaussure
pour discuter des moyens de coop ration dans ce
domaine.
Une sance de travail a rassembl la dlgation avec le
Directeur Gnral et quelques cadres du Centre pour
pren dre connaissance de l 'activit du Centre et ses
missions.
La dlga tion a galem ent fait une visite, sur terrain, des
laboratoires d'analyses et essais, des laboratoires de
m trolog ie et de l 'espace m ode d u CNCC.
De bonnes perspectives de coopration avec des pays
de l'Afrique de l'Ouest se profilent pour le CNCC, ainsi
que pour les professionnels du secteur des ICC qui
doivent prospecter au niveau de ces potentiels marchs.
C N C C , p a r t e n a i r e d e s e n tr ep ris es in d us trie lle s e tC N (
artisanales du secteur du cuir
*rH*H\
cnccleather. naL tn
Technique
Cuir
News N108 Mar-Avr2013 Page 10
http://www.spartoo.com/http://www.spartoo.com/ -
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S m i n a i r e t e c h n i q u e
Comm e de c outu me , les jeunes tudian ts tunisiens et internationaux en design et mo dl isme et les professionnels du
dom aine d u cuir et de la chaussure seront au rendez vous pour un e no uvelle di tion du concours Cratif le Talon
de Cristal . qu'organise an nue llem ent le Centre Nationa l du C uir et de la Chaussure (CNCC) en collaborat ion avec la
fdra tion N ationale d u Cuir et de la Chaussure (FNCC) et en partenariat avec ses homolo gues de la France.
l'Italie
et
l'Espagne.
En concom itance avec le co nco urs " Crati f 2013et en parallle avec l 'exposition organise cette occasion, le Centre
Nationa l du Cuir et de la Chaussure organise au profit des industriels d u secteur des
ICC
un sm inaire tech nique sous le
th me Les laboratoires du CNCC, vecteur de croissance et d' inn ova tion *> et ce le Mardi 14 Mai 2013 au Sige de
l'UTICA.
Ci-dessous lep r o g r a m m e d e ce t t e m a n i f es ta t i o n :
1 4 H 3 0
1 4 H4 5
15 H 00
1 5 H 1 5
15 H 30
15 H 45
16 H 45
17 H 00
17 H 30
CREATIF 2013
Les 13e t 14 Mai 2013
S m i n a i r e: Les labo ra to i res d 'ana lyses e t
d 'essa ies , vec teu r de c ro issance e t
d ' i n n o v a t i o n
M ar d i 14 Mai 20 13 - S ige UTICA -
PROGRAMME
Allo cu tion de bienvenu e : Prsident de la FNCC
Ouverture officielle du sminaire : DirecteurGnralduCNC C
Les labo rato ires d'analyses et d'essaies du CNCC
Les laboratoires m tro log ie du CNCC
Com m unication CTC-Lyon
PCAM
:
Pour l'amlioration de la com ptitivit
des
entreprises
Discussion
C lture par M r. Le m inistre de
l'industrie
Crmonie de dlibration d u concoursCratif 2013
Cocktail de clture
Cratif 2013
Cuir News N108 Mar-Avr2013 Page 11
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