décembre 2012 chasse - fédération des chasseurs des ... · bilan des accidents de chasses,...

N°49 - Décembre 2012

Page 3 :Edito du président

Page 4 : Bilan accidents de chasse 2011-2012

Page 8 : évolution attributions du plan de chasse ongulés

Bulletin d’information interne de la Fédération des Chasseurs des Alpes-Maritimes

Chasseen pays d’Azur

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FDC 06 - décembre 2012 - www.fdc06.com2

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ROULé D’ESCALOPE DE VEAU à LA TAPENADE

Information importanteLe prochain numéro de votre journal doit sortir dans la 4ème semaine du mois de mars. Nous recevrons les articles et photos

jusqu’à la date limite du 1er mars, les articles arrivés après cette date ne seront plus pris en compte.

3FDC 06 - décembre 2012 - www.fdc06.com

Ces dernières semaines, le sanglier fait l’objet de nombreux articles dans la presse nationale et de plusieurs émissions à une heure de grande écoute sur les principales chaînes de télévision.

N’a-t-on pas vu un sanglier s’ébrouant dans le bac à shampoing d’un salon de coiffure, un autre traversant les allées d’un supermarché devant les clients étonnés et effrayés, un autre encore empruntant en plein jour les rues d’un centre-ville.

Ces images insolites, s’ajoutant à celles plus habituelles de dégâts impressionnants occasionnés chez les agriculteurs et les particuliers, ou celles de dramatiques collisions provoquées par les suidés, montrent bien que ces problèmes sont souvent liés à l’augmentation des effectifs sur le plan national et que la maîtrise des populations est une nécessité que nous, chasseurs, devons assumer. Plus de 40 millions d’euros ont été versés aux agriculteurs en 2012, sachant que seuls les chasseurs financent les dégâts, ce qui n’est pas sans poser de gros problèmes financiers à certaines fédérations départementales.Les responsables cynégétiques ont bien conscience de la gravité de la situation et ont souvent adopté les mesures qui s’imposaient, mais deux paramètres ne sont pas maitrisables : la climatologie et les prix des denrées agricoles.Dans le département des Alpes Maritimes, nous avons toujours pu maintenir un équilibre entre effectifs et dégâts. Néanmoins, cette année la facture est de 190 000 euros pour 190 dossiers d’indemnisation, ce qui n’a rien de comparable avec certains de nos voisins. Qu’il me soit permis de féliciter les estimateurs pour leur travail, sachant que les sommes versées représentent globalement 50 à 60% de la demande des plaignants. Les services de la fédération ont déterminé les points noirs sur lesquels nous devons nous pencher avec la plus grande attention, afin de mettre en place une gestion la plus efficace, en partenariat avec le monde agricole et l’administration.

Ces quelques problèmes assez limités ne doivent pas nous faire oublier que le sanglier est un superbe animal de chasse qui, aujourd’hui, passionne un nombre toujours plus important de chasseurs. Sans lui, que deviendrait la chasse et, à contrario, sans les chasseurs qu’en serait-il de notre environnement ?Mes Chers Amis, il y a deux ans, avec la diminution des populations, nous vous avons amené à réfléchir sur une gestion beaucoup plus raisonnée, ce que beaucoup d’entre vous ont fait, et je les en félicite. Les demandes d’agrainage ont été étudiées avec beaucoup d’attention et peu ont été refusées. Aussi, je vous demande de les respecter car, si ce n’était pas le cas, vous ne seriez pas défendables et celles-ci seraient supprimées. Nous devons également être très vigilants sur le plan sanitaire. Un nouveau cas de trychine vient d’être identifié sur le secteur de Seranon, ce qui conduit la fédération à analyser plusieurs animaux prélevés dans le secteur.

Mes Chers Amis, ce numéro étant le dernier de l’année 2012, permettez-moi d’adresser à chacun d’entre vous et à vos familles, mes meilleurs vœux pour 2013, vous assurant de toute mon amitié. Amitiés en Saint Hubert.

EditoSommaire

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Actualités Nationales

4 Bilan des accidents de chasses, saison 2011/2012

5 C ommuniqué de press e

Actualités Cynégétiques Locales

6 à propos d’un nouveau cas de Trichine sur sanglier dans les A.M

7 L'observatoire national cynégétique et scientifique citoyen

8 évolution des attributions du plan de chasse ongulés dans les A.M

10 Analyse des carnets de prélèvement Bécasse A.M 2011/2012

11 Remarques sur le PMA "BECASSE” dans les A.M

Information

12 Une solution simple pour faire reculer la végétation en montagne !!!!!

13 La relève semble assurée…

Examen du permis de chasser

Du côté des associations

14 Battue mixte, carabiniers et archers sur les communes de Contes et de Berre-les-Alpes

15 Concours Saint-Hubert

16 Les concours de chiens courants 2013

17 Ball-trap à Ascros Félicitations : Stéphane Conil Bézaudun les Alpes

Information

18 Association départementale des gardes-chasse particuliers des A.M

Alto de la Fon de Pommier : Meilleur Champion

19 Décés

Le PrésidentLe Conseil d’administration

Le Personnel de la fédération des chasseurs des Alpes-Maritimes

Vous souhaitent leurs meilleurs Vœux pour 2013


Comme chaque année, le réseau « Sécurité à la chasse » de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS) publie le bilan des accidents de la saison écoulée et en analyse la nature comme les circonstances. Ces informations sont précieuses pour améliorer sans cesse la formation des chasseurs à la sécurité et les résultats ci-dessous prouvent le bien-fondé de la démarche.

Ainsi pour la saison 2011/2012, le nombre total d’accidents s’élève à 143 (contre 131 en 2010/2011 et 174 en 2009/2010). Dans 90 % des cas, ce sont les chasseurs eux-mêmes ou les personnes participant à l’action de chasse qui sont les victimes de ces accidents. Les non chasseurs ne représentent que 10 %.

A noter que les victimes relevant de l’auto-accident représentent 31 % des cas !

La chasse du grand gibier est à l’origine de 53 % des accidents, celle du petit gibier de 47 %. Sur ces trois dernières saisons, la chasse au sanglier représente 70% des accidents relatifs à la chasse du grand gibier (soit 1 accident pour 15 000 sangliers), contre 25 % pour le chevreuil et 5 % pour le cerf. Lorsqu’il s’agit de petit gibier, la chasse du petit gibier à plume demeure plus accidentogène que celle du gibier à poil (62 % contre 38 %).

Deux indicateurs passent nettement au vert :

• La baisse spectaculaire des accidents concernant les accompagnateurs non chasseurs qui représentent 4 % des victimes contre 15 % la saison précédente ;

• La baisse continue pour la troisième année consécutive des accidents mortels (16 contre 18 l’an passé, 19 en 2009/2010 et 22 en 2008/2009).

Deux points restent à surveiller et à méditer longuement :

• La hausse des auto-accidents en action de chasse constatée depuis trois ans se confirme ; dans 55 % des cas, ces auto-accidents sont liés à une mauvaise manipulation de l’arme ou à une chute avec l’arme chargée,

• Le non-respect de l’angle de 30° représente 38 % des accidents mortels sur les trois dernières années.

ONCFS-DAT- « Réseau Sécurité à la chasse »

Bilan des accidents de chasses, saison 2011/2012

Actualités nationales

Chasseur avec casquette fluo vu par un autre chasseur.

Chasseur avec casquette fluo vu par les ongulés.


Grâce à un soutien du Ministère chargé de l’Ecologie et de la Fondation de la Maison de la Chasse et de la Nature, une délégation composée de représentants de fédérations de chasseurs (06, 26, 48, 73, 74, 88, FNC, FACE) de la Louveterie et du Ministère a été accueillie le 20 juin 2012 à la fédération suédoise de la chasse et de la gestion de la faune. Des spécialistes issus de différents réseaux (centre national de recherche « Grimsö », l’agence suédoise de la protection de l’environnement, centre national de suivi des dégâts de la faune sauvage, WWF, association suédoise de la chasse et de faune sauvage, fédération des agriculteurs suédois, Comté de Varmland) ont fait part de leurs expériences en matière de connaissance, de gestion et de suivi du loup.

Après avoir disparu pendant près de vingt ans, le loup est arrivé de la Russie distante de 800 kms au début des années 80. La population s’est progressivement développée pour atteindre plus de 70 loups à la fin des années 90. La Suède compte aujourd’hui 31 zones de présence de loups reproducteurs et une population estimée à 280 loups à l’entrée de l’hiver 2011/2012. Cette population s’est développée à la faveur du retour de la grande faune qui avait presque totalement disparue au début du 19ème siècle : cerfs, chevreuils, daims, sangliers (58.000 au plan de chasse aujourd’hui) et surtout élans (100.000 au plan de chasse). Il est à noter que le loup n’est pas le seul grand prédateur présent en Suède puisque l’ours, le lynx et le glouton y sont bien représentés depuis de nombreuses années. Sur dérogation au régime de protection stricte imposé par l’annexe IV de la Directive Habitats Faune Flore, la Suède bénéficie aujourd’hui de plans de prélèvement respectivement de 230 ours (sur une population totale estimée à 3300 individus en 2008), de 30 à 50 lynx chaque année (sur une population estimée à 1500 individus en 2007) et de 19 loups en 2011. L’Agence Suédoise de l’Environnement (SEPA) anime des plans nationaux de gestion des grands prédateurs. Pour cela, trois zones de gestion des grands prédateurs ont été définies :• au Nord, une zone dévolue à l’élevage de rennes

par les populations Sami. Ours, lynx et glouton sont gérés mais le loup n’y est pas toléré ;

• Au Centre, les trois prédateurs : l’ours, le lynx et le loup font l’objet de mesures de gestion ;

• Au Sud, une zone agricole et urbanisée où les lynx sont installés de façon permanente et les populations de loups seraient amenées à croître.

Dans ce cadre, depuis 2010 la prise de décision pour les dérogations de prélèvement est déconcentrée à l’échelle des régions administratives, mais sous certaines conditions, notamment que la reproduction soit détectée dans la zone en question. En ce qui concerne les quotas de prélèvement, ils sont certes déclinés par région mais établis à l’échelle nationale. En ce qui concerne le loup, les objectifs principaux de SEPA sont de maintenir une population de loups génétiquement viable et en équilibre avec les activités traditionnelles et socio-économiques pratiquées sur les territoires. Les peuples autochtones Sami paient notamment un tribut important aux grands prédateurs puisque ce sont près de 30.000 rennes qui sont chaque année prélevés par l’ours et le lynx. Aussi, les loups venant de Russie ou tentant de s’établir dans la zone de gestion du renne font aujourd’hui l’objet d’une politique systématique de destruction ou parfois de translocation jusque dans la zone située au centre du pays. C’est à ces occasions que la formidable capacité de dispersion de l’espèce a été confirmée. Une louve capturée par les chercheurs du projet scandinave Skanduv dans la zone de présence du renne a été équipée d’un émetteur GPS et déplacée dans le Sud. Elle a alors parcouru 600 kms pour revenir sur son lieu de capture. L’opération a été répétée trois fois et la remontée de l’animal vers le nord du pays a systématiquement été constatée par l’équipe de scientifiques. D’un point de vue national, l’accueil réservé au loup par le monde de la chasse est aujourd’hui mitigé. Si le loup est relativement bien accepté dans les régions où les populations d’élans, principale espèce proie du loup, sont suffisamment importantes, dans d’autres, les chasseurs et éleveurs souhaiteraient que la population de loup soit maintenue au plus, à sa densité actuelle. Il est à noter que de 30 à 50

chiens de chasse sont tués par les loups chaque année, ce qui provoque un certain émoi dans la communauté cynégétique. Afin de résoudre le problème de consanguinité de cette population issue principalement de quelques individus venus de Russie, l’Etat suédois a mis en place en 2009 une politique active de réintroduction de 20 loups d’ici 2015, accompagnée de prélèvements sélectifs de plusieurs dizaines de loups par an, pour maintenir la population à environ 200 loups. Le débat actuel, en Suède, n’est plus de savoir si oui ou non le loup doit être présent… La présence du loup est aujourd’hui globalement acceptée par la population suédoise qu’elle soit urbaine ou rurale. Un accord social se dégage entre les diverses parties prenantes pour un plan national de gestion déconcentré à l’échelon des régions, pour une politique de prévention et d’indemnisation efficace mais aussi pour une chasse dite « de protection » sur dérogation au régime de protection stricte à la Directive Habitats Faune Flore (Directive HFF Article 16b et e). Le représentant de WWF Suède a confirmé qu’une chasse de régulation menée à titre dérogatoire était globalement acceptée par le réseau environnemental pour autant que la population de loups soit suffisamment importante (quel doit être l’effectif d’une population viable en Suède ?). C’est sur cette notion de niveau de population suffisamment importante et non sur le principe d’une chasse de régulation, que les avis divergent aujourd’hui entre les parties prenantes (notamment chasseurs et protecteurs de la nature) et que le consensus, maintenu jusqu’alors, commence à s’effriter. L’intervention de la commission européenne vient clairement de remettre en cause cette politique de régulation et de stabilisation de la population de loups, notamment en arguant de l’insuffisance de l’objectif d’un effectif stabilisé autour de 200 loups. Tout le débat se concentre aujourd’hui sur le nombre d’individus à atteindre pour une population viable en bon état de conservation en Suède : 100 à 200 individus pour les uns, 400 à 500 individus ou plus pour les autres !

André Mugnier Président de la Commission de Suivi du Projet MediaLoup

Pour plus d’informations sur le projet Medialoup et les comptes rendus des ateliers, consulter le site Internet du projet sur http://medialoup.chasseurdefrance.com/index.htm

coMMUniQUé de PResse :le groupe d’étude Médialoup s’est rendu en suède !


La trichinellose est une maladie parasitaire qui affecte différents mammifères dont notamment le sanglier. La contamination d’un animal à un autre, ou d’un animal à un homme, s’effectue par la consommation d’une viande infestée.

L’homme se contamine avec de la venaison de sanglier lorsque le mode de cuisson est insuffisant, c’est-à-dire en consommant des morceaux peu cuits comme les grillades, fricassées et autres, ou transformés en jambon cru. La larve de ce parasite microscopique s’enkyste alors dans les muscles après un passage par le système digestif. Pour écarter tout risque de contamination, il est donc indispensable de procéder à une cuisson longue et à cœur de type daube ou civet, le parasite étant sensible à la très forte chaleur, ou à défaut, de procéder à une recherche de trichine par le Laboratoire Vétérinaire Départemental avant tout autre mode de cuisson.

A la fin du mois d’octobre 2012, le Laboratoire Vétérinaire Départemental des Alpes-Maritimes (LVD 06) informait la Fédération des Chasseurs des Alpes-Maritimes d’un nouveau cas de trichine sur un sanglier prélevé sur la commune de Séranon dont l’analyse a révélé un taux d’infestation massif. Depuis, la Fédération a lancé une recherche plus approfondie auprès des sociétés de chasse de Séranon et des communes limitrophes afin de réaliser des analyses sur un certain nombre de sangliers tués à la chasse. L’objectif vise à savoir s’il s’agit en effet d’un cas isolé ou bien d’un foyer plus conséquent de trichine. Dans tous les cas, la plus grande prudence s’impose dans la consommation de la viande de sanglier.

a PRoPos d’Un noUveaU cas de tRichine sUR sanglieR dans les alPes-MaRitiMes


Les Alpes-Maritimes ne sont pas à leur premier cas de trichine sur sanglier et le département a déjà enregistré plusieurs cas de contamination humaine. La souche de trichine identifiée dans les Alpes-Maritimes est de plus très résistante à la congélation ce qui exclut ce procédé pour espérer en éliminer les larves de façon certaine.

Le parasite étant invisible à l’œil nu et les animaux infestés ne manifestant aucun symptôme particulier, seule une analyse

permet de savoir si un sanglier est porteur de trichine. A cet effet, il est également nécessaire de rappeler que cette recherche de trichine est obligatoire pour tout repas de chasse ou repas associatif.

Pour procéder à la recherche de trichine sur un sanglier, il est nécessaire de fournir au Laboratoire Vétérinaire Départemental au moins 100 grammes de viande, de préférence la langue entière ou le diaphragme.


L’Observatoire National Cynégétique et Scientifique Citoyen est une initiative de l’Association de Défense des Chasses Traditionnelles à la Grive (ADCTG) et de l’Institut Méditerranéen du Patrimoine Cynégétique et Faunistique (IMPCF), soutenus par les Fédérations départementales et régionales des chasseurs.

Le principe de cet Observatoire consiste à s’appuyer sur le réseau remarquable d’observateurs que constituent les chasseurs de France par leur nombre, leur présence sur l’ensemble du territoire national et leur connaissance des espèces gibiers. Cet observatoire a pour ambition de s’appuyer sur ce réseau pour recueillir un maximum d’éléments sur les oiseaux migrateurs terrestres que sont la grive, le merle noir, l’étourneau sansonnet, l’alouette des champs, le pigeon ramier, la tourterelle turque, la tourterelle des bois et la caille des blés sur tous les départements de France. Il a pour but d’analyser les observations de terrain des chasseurs afin de les restituer et de les valoriser. Il permettra dans bien des cas de répondre aux questions souvent posées sur les mouvements migratoires, l’hivernage ou l’estive de ces migrateurs terrestres. En outre, ces résultats permettront de suivre plus efficacement la migration et l’hivernage en complément des recherches conduites selon des protocoles d’étude plus conséquents. Le principe est simple. Il suffit de conserver ses habitudes, ses circuits et ses secteurs de chasse et de reporter vos observations sur une fiche de terrain qui peut être téléchargée sur le site internet de l’Observatoire (http://www.observatoirenationalmigrateurs.net) où retirée à la FDC 06. Pour les internautes, une saisie en ligne est prévue, ce qui facilitera le traitement et la collecte des données. Il est également possible de signaler les migrations importantes ou toute autre information sur la page blog du site, ce qui permettra de mettre en alerte les autres observateurs. Des informations importantes pourront être communiquées à tous les observateurs via des sms d’où l’intérêt de bien mentionner votre numéro de portable sur la fiche de terrain. Des données ont déjà été récoltées pour les saisons de chasse (2010/2011 et 2011/2012). Pour cette dernière saison dont le compte rendu complet est disponible sur le site de la FDC06, 2079 fiches ont été collectées dans 58 départements sur 20 des 22 régions administratives, totalisant 879 094 oiseaux des 11 espèces de migrateurs terrestres. Les bonnes volontés sont évidemment les bienvenues pour augmenter les observations et seconder les 187 observateurs bénévoles qui représentent 0,015 % des chasseurs de France. La FDC 06

QuelQues lIens :Institut Méditerranéen du Patrimoine Cynégétique et Faunistiquehttp://www.impcf.fr/Observatoire National Cynégétique et Scientifique Citoyen http://www.observatoirnationalmigrateurs.netAssociation de Défense des Chasses Traditionnelles à la Grivehttp://www.chasse-grives.fr/

1. Votre nom - votre adresse - le département - votre numéro de permis de chasse - la date la commune - le mode de chasse - si vous avez un gps (latitude-longitude) - le type de milieu - la météo simplifiée. N’oubliez pas de bien indiquer votre numéro de portable.

2. L’heure de début et de fin de chasse - observation pour calculer la durée d’observation.

3. Le nombre d’oiseaux observés par espèces au fur et à mesure ou en fin de chasse en évitant au mieux les doubles comptages.

4. Les fiches sont à renvoyer tous les mois, de septembre à février, date de fermeture de la chasse.

Facultatif :Après la fermeture de la chasse afin de compléter les données déjà en notre possession, les volontaires pourront réaliser

des comptages au mois de mars à raison d’une sortie par semaine.5. Vous transmettrez les fiches ou les

copies à votre Fédération de chasseurs, à l’Association de chasseurs spécialisés (ADCTG…) ou à l’IMPCF par courrier.

Pour les internautes :Vous pouvez nous transmettre la fiche par mail. Une boîte mails est ouverte à l’adresse suivante : [email protected] les fiches par internet :Vous pouvez aussi remplir les fiches directement par internet en allant sur la page « Observations ». L’IMPCF réalisera les analyses et vous les transmettra par l’intermédiaire de votre Fédération ou de l’Association de Défense des Chasses Traditionnelles à la Grive.

l’oBseRvatoiRe national cYnégétiQUe et scientiFiQUe citoYen :



éVOLUTION DES ATTRIBUTIONS DU PLAN DE CHASSE ONGULéS DANS LES ALPES-MARITIMESLe département des Alpes-Maritimes abrite 4 espèces d’ongulés sauvages soumises au plan de chasse légal ; le cerf, le chevreuil, le chamois et le mouflon.

Durant ces dernières décennies, leurs populations se sont développées entraînant dans le même temps une augmentation des plans de chasse. Pour la saison 2012 / 2013, le cumul des attributions des 4 espèces atteint ainsi le nombre de 5528 bracelets distribués contre un total de 1611 en 1990. Au cours de la période 1990 / 2012, les attributions cerf ont été multipliées par plus de 10, passant de 115 à 1226. Pour le chevreuil, les attributions sont passées de 364 à 2567 ce qui représente un facteur 7. Dans le cas du chamois et du mouflon, les plans de chasse ont progressé respectivement de 1,4 et de 2 passant pour le premier de 976 à 1411 et de 156 à 324 pour le second. La progression des plans de chasse ne s’est toutefois pas réalisée de façon

constante. Divers épisodes ont en effet conduit à une baisse des attributions sur plusieurs unités de gestion. Ce fut notamment le cas suite aux hivers 2008 et 2009 particulièrement rigoureux, mais aussi avec l’épisode de kérato-conjonctivite contagieuse du chamois qui a sévi de 2007 à 2009 sur plusieurs secteurs du département. Dans le cas du mouflon, l’impact du loup a été suffisamment fort pour entraîner localement une forte chute des plans de chasse. A titre de comparaison, les chiffres du plan de chasse au niveau national traduisent également une évolution à la hausse pour ces 4 espèces avec les attributions suivantes lors de la saison 2011 / 2012 :

Cerf > 75 801 attributionsChevreuil > 613 300 attributionsChamois > 14 233 attributionsMouflon > 4 679 attributions

Cette évolution globalement positive des ongulés sauvages dans les Alpes-Maritimes et des plans de chasse inhérents sont le résultat d’une bonne gestion. Cette situation ne serait cependant nous dispenser d’être vigilants, divers facteurs (météo, prédation, maladie, …) peuvent en effet intervenir au moins localement et réduire la dynamique des populations d’ongulés. Les exemples vécus ces dernières années ont néanmoins démontré la réactivité des associations de chasse concernées qui n’ont pas hésité à limiter leur prélèvement en deçà des baisses des plans de chasse ou à fermer temporairement la chasse pour certaines espèces.

La FDC 06

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ANALySE DES CARNETS DE PRéLèVEMENT BECASSE A.M 2011/2012Préambule - La mise en place du PMA national accompagné d’un carnet de prélèvement « bécasse » individuel unique par chasseur n’apporte plus, comme nous l’avions souligné l’an passé, une précision rigoureuse sur les prélèvements au niveau du département. Il nous est apparu, cependant, que l’exploitation des carnets à l’échelon de notre département permettait de continuer les suivis concernant, d’une part la quantité et la qualité des chasseurs préleveurs et, d’autre part, et surtout, un suivi spatiotemporel de la saison bécassière (sans méconnaître le fait que sur nos carnets sont notées des captures réalisées dans les départements voisins). L’analyse simplifiée que nous vous proposons n’a été possible que grâce à la participation et aux connaissances en informatique de notre Directeur.

Exploitation des carnets Précisions : au 20 septembre nous disposons de 2426 carnets retournés (66%).

• 1618 carnets «bredoui l le» (aucun prélèvement) soit 67%

• 150 carnets «illisibles» (soit 6%) appartiennent à des « chasseurs préleveurs », catégorie où ils seront comptabilisés, mais en raison de mauvaises perforations ou déchirures, on ne peut déterminer le nombre précis de prélèvements.

• 658 carnets seulement, soit 27% sont donc exploitables pour quantifier les prélèvements dans le temps (répartition spatiotemporelle de la saison).

Les 6% de carnets «illisibles» vont on le voit contrarier la fiabilité des prélèvements dans les Alpes-Maritimes et empêcher toute possibilité sérieuse d’extrapolation, quand bien même on ramènerait le % de retour de carnets aux alentours de 80%.

Suivi DES CHASSEurS PréLEvEurS

On constate qu’à qualité de saisons équivalentes (les 2 dernières étant «médiocres») le % de chasseurs préleveurs se stabilise pour les chasseurs concernés. Dans l’ensemble des chasseurs de notre département le % de chasseurs préleveurs est stable aux alentours de 10%.

CAtégOriES « CHASSEurS PréLEvEurS »

Ce suivi est établi à titre indicatif (en raison du manque de fiabilité évoqué ci-dessus pour la saison 2011/2012 elle apparaît en hachuré). Les mauvaises saisons sont caractérisées par un % élevé de chasseurs prélevant peu d’oiseaux (1 à 5).



Remarques sur le PMa « Becasse » dans les alpes-MaritimesBien que ces suivis soient maintenant entachés de prélèvements hors Alpes-Maritimes, on peut penser qu’il reste une bonne indication pour la connaissance au niveau du département du « qui tue quoi, quand ».

Pour notre département, comme pour d’autres, cette connaissance peut être un élément déterminant pour justifier les déclinaisons journalières, hebdomadaires et mensuelles du PMA qui peuvent de par la loi, être prises au niveau départemental et consignées sur le SDGC.

Faire baisser le nombre de carnets illisibles, semble être un impératif pour la fiabilité de l’exploitation

des carnets de prélèvement «bécasse» au niveau départemental et à fortiori au niveau national.

Cette saison, une extrapolation simple aboutissant à une évaluation proche de la réalité du nombre de bécasses capturées par les chasseurs des Alpes-maritimes, n’est pas envisageable. Nous espérons la saison prochaine pouvoir proposer pour notre département des suivis d’un mode différent qui pourront éventuellement servir d’argumentaire lors de la révision de notre SDGC.

Avec les meilleurs vœux du Pôle Technique « oiseaux migrateurs » de la FDCAM.

Bien que la fiabilité de la saison 2011/2012 soit contestable, cette courbe reflète sans doute assez bien la qualité des saisons.

rePrésentatIon sPatIotemPorelle de la saIson – réPartItIon des Prélèvements

On constate que dans les Alpes-Maritimes la saison n’a vraiment commencé que dans la 2ème décade de novembre (après les bénéfiques pluies du début du mois) ; par contre, elle s’est prolongée avec un bon % de prélèvements en janvier. Le mois de février avec son épisode de «gel prolongé» n’est pas significatif car le carnet unique ne permet pas de faire le distinguo entre les oiseaux capturés dans notre département et ceux qui l’ont été dans le 83 très fréquenté par les chasseurs des Alpes-Maritimes (dans le 83, la période de fermeture de la chasse n’a été que de 5 jours).


Comme une grande majorité d’entre nous, je me suis longtemps attaché à semer du blé, puis obstiné, à encore semer du blé au même endroit, puis je trouvais la semence de mauvaise qualité, puis le semis mal fait etc....

Un jour, un technicien bien connu, m’a recommandé de faire du girobroyage et de la remise en prairie. J’ai d’abord pensé que ça ne serait pas très utile, puis après avoir essayé, j’ai constaté que les animaux sauvages et domestiques privilégiaient ces parcelles. J’ai aussi réalisé que le coût était bien inférieur à l’ensemencement. Alors un programme est né : nous avons décidé, mon conseil d’administration et moi-même de faire effectuer du débroussaillement mécanique, partout, où l’accès était possible pour un tracteur. Malheureusement, peu nombreuses dans ma commune, les parcelles exploitables furent bientôt toutes retravaillées. Pour parfaire cet ouvrage, nous avons effectué un peu d’entretien, mais les endroits accessibles par les engins devenant rares, il a fallu trouver autre chose. Un jour, lors d’une discussion, le responsable de l’entreprise GIORDANENGO a suggéré une idée

très intéressante pour ma société de chasse. Pour faire du débroussaillage en montagne, là ou les engins ne peuvent pas aller, Il m’a proposé tout simplement d’intervenir avec une débroussailleuse et à pied… (Merci Franck). Difficile d’y croire dans un premier temps et au premier coup d’œil, mais qui ne risque rien n’a rien, aussi, nous avons décidé de faire un essai par un projet portant sur deux années sur une superficie d’environ 5 ha. Grâce au soutien apporté par notre Fédération, par le biais d’une convention de cultures préventives, le financement est devenu accessible pour une petite association comme la nôtre.Pour concrétiser mon exemple, une superficie de 4,8 ha a été remise en prairie, pour un coût total de 7 780 euros, ce qui fait un coût au m² de 0,16 euro.En conclusion, je ne peux qu’encourager vivement les sociétés encore indécises à essayer. Le résultat est très satisfaisant, voir pour témoignage les photos ci-jointes, de plus, l’impact sur les populations de petit et grand gibier est garanti. Robert Beltramo

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Enfin voilà le jour de l’ouverture arrivé ! De très bonne heure, les chasseurs et les chiens sont en état d’effervescence !

il ne faut pas perdre de temps, la chaleur est encore très élevée dès l’arrivée du soleil.J’ai eu le plaisir, cette année d’être accompagné par deux très jeunes rabatteurs :Fany 13 ans déjà titulaire du Brevet grand gibier, réussi très brillamment !Et Batiste 5 ans véritable petit chamois, capable d’accompagner la traque pendant plus de 4 heures sans jamais avoir besoin d’aide et sans emprunter le moindre sentier !Devant cette réalité, je ne peux qu’être encouragé et je reste persuadé que parmi nos jeunes, il y a encore du potentiel pour faire perdurer cette passion qui nous anime.A nous de les accompagner, à nous de leur donner envie, à nous de préserver ce droit de chasser qui est encore, pour le moment, accessible, à nous de les encourager pour que demain, ils soient fiers de prendre les rênes et puissent, à leur tour, conduire une meute et faire vibrer nos forêts. robert Beltramo


Le 30 septembre 2012, s’est déroulée, sur les communes de Contes et de Berre les Alpes une battue mixte, carabiniers et archers de la « Guilde des Chasseurs à l’Arc des Alpes Maritimes » les équipes de M. Pierre Binaud, président de l’ACC de Contes et de M. Charles Clapier, président de l’ACC de Berre les Alpes nous ont accueillis pour cette battue exceptionnelle, placée sous les signes de la rencontre et du partage.

Malgré un temps incertain, la battue à été organisée par les responsables de ces deux sociétés avec un grand sens des responsabilités, les archers étant postés en sécurité au milieu de dispositif. Magnifique matinée qui s’est terminée sur les coups de midi, chacun aura pu apprécier l’efficacité des chiens des deux équipes. Un sanglier a été mis au tableau par les carabiniers de Berre. Une fois la battue terminée, rendez vous était donné à tous, au club de la « Compagnie des Archers de Contes ». Michel Masseglia, le président du Club y avait concocté, avec l’aide des archers, une daube de sanglier tué… à l’arc évidemment. Un grand moment de partage et d’amitié qui a suscité un regard différent sur notre passion : la chasse à l’Arc ! Notre souhait est de tous se retrouver une prochaine fois ! Un grand merci à tous les présidents des associations, qui ont montré un grand esprit d’ouverture et sans qui, rien n’aurait été possible.

M. Charles Clapier Société de chasse de Berre les AlpesM. Pierre Binaud Société de chasse de Contes M. Marc Delserre Guilde des chasseurs à l’Arc des Alpes MaritimesM. Michel Masseglia Compagnie des Arches de Contes radiotéléphoniques. »

Guide des chasseurs à l’arc des Alpes-Maritimes


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concoURs saint-hUBeRtAprès s’être déroulé, pendant plusieurs années, dans le Var et, pour répondre au souhait de notre Président, Bernard Baudin, le concours Saint Hubert a enfin eu lieu dans notre département. C’est ainsi que le 22 septembre dernier, nous avons pu assister, sur les terrains de Sospel, au déroulement de cette compétition. Ce magnifique concours, qui mérite à être valorisé, réunit tous les passionnés, aussi bien ceux de chiens d’arrêt que ceux des spaniels.

Au cours de l’épreuve, qui s’est accomplie dans une ambiance amicale mais attentive, les juges ont pu prendre le temps d’expliquer aux participants le déroulement du concours ainsi que les critères de notation. Cette agréable journée s’est terminée, toujours dans la bonne humeur, par un repas convivial, au Bar de Rome (Sospel).il résulte de cette journée le classement suivant, à savoir :1) M. AMORETTI Laurent avec Ethan du

Pied du Mont (braque allemand)2) M. VECCHIE Pascal avec Frida (pointer)3) M. BICCHI Stéphane avec Enza

(épagneul breton) 4) M. MAGARON Christophe avec Djune

(épagneul breton) 5) M. MASSUCO Michel avec Feliz

(griffon korthals)

Le premier sélectionné représentera notre département au concours régional qui se tiendra prochainement dans l’Aude. Je tiens à citer et à remercier, tout particulièrement,

Messieurs AUROUSSEAU, Vice Président de la Fédération des Chasseurs et MANGUINE, pour avoir établi un jugement équitable sur la sélection du couple chasseur et chien, ainsi que Monsieur CALCAGNO, président de la Société de Chasse, pour la mise à disposition des terrains. Un grand merci aussi à tous les partenaires qui m’ont soutenu, je citerai à

cet effet, la Fédération Départementale des Chasseurs, Armurerie Saint-Hubert (Monaco), Azur Auto Service, F.A.M.I, Meccanocar, Wurth, S.O.M.I. Je fixe rendez-vous pour l’année prochaine à tous les passionnés de la chasse et de la nature. Le Délégué Rossi Patrick

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La loi du 26 juillet 2000 sur la chasse, ainsi que l’arrêté ministériel du 21 janvier 2005, nous autorisent sous certaines conditions à organiser des épreuves de chien courant sur gibier naturel et en milieu ouvert, ceci depuis l’ouverture générale jusqu’au 31 mars.

Comme chaque année, l’AFACCC des Alpes du Sud a prévu plusieurs épreuves au cours du premier trimestre 2013. Celles-ci se déroulent sans arme ni prise, en terrain ouvert, sur gibier naturel. Pour participer aux concours de meutes dans la voie du lièvre et du sanglier, il faut être adhérent à l’AFACCC, et avoir un lot de 6 à 10 chiens.

Plusieurs propriétaires peuvent s’associer afin de constituer un lot qui sera conduit par un à trois piqueurs. L’objectif est de réaliser une prestation la plus complète possible, en rapprochant d’abord l’animal de chasse, puis en le lançant et en le menant jusqu’à la fin du temps imparti (en général deux heures). Pour le concours de rapprocheur, un ou deux chiens sont découplés sur une voie de sanglier de la nuit. Le ou les chiens devront remonter cette voie jusqu’à la bauge et lancer l’animal ou le mettre au ferme. Le temps imparti est d’une heure.

Pour plus de renseignements et pour avoir les règlements de chaque épreuve, vous pouvez aller sur le site de la FACCC ou contacter par mail un dirigeant de l’association :

• Elie Bortolini, Président : 06 21 20 12 30 ([email protected])

• Patrice Brémond, vice-président : 06 07 57 51 99 ([email protected])

• guy Maunier, Secrétaire 06 32 27 43 66 ([email protected])

DAtES DES CONCOurS 2013 Et rESPONSABLES

• Concours de meutes dans la voie du lièvre : 25, 26 et 27 janvier à valensole (04)

responsable : Julien Forési (06 74 51 60 27 [email protected])

• Concours de meutes dans la voie du sanglier : 15, 16 et 17 février à Saint vallier de thiey (06)

responsable : Stéphane roggero (06 09 87 44 24 [email protected])

• Concours de rapprocheur : 8, 9 et 10 mars (06)

responsable : gérard Orengo (06 13 60 07 06 [email protected])

• Finale Nationale Sanglier : 29, 30 et 31 mars à Castellane (04)

responsable : Patrice Brémond (06 07 57 51 99 [email protected])


les concoURs de chiens CourANtS 2013


Cette année encore, beaucoup de participants se sont retrouvés au quartier de l’ABC pour le traditionnel ball-trap, qui s’est déroulé sous un soleil radieux. Petits et grands ont pu découvrir et apprécier une nouvelle activité, le Tir à l’Arc, qui s’est ajouté au tir au Pigeon d’Argile.

De nombreux tireurs se sont initiés à ce sport et ont été ravis de cette première expérience. La journée du samedi était réservée aux gens du terroir, qui, en plus de pratiquer le tir aux pigeons, ont pu se restaurer. En effet, une buvette était mise en place et chacun a pu déguster pan bagnats, pissaladières et pâtisseries préparés bénévolement par les épouses de chasseurs. Cette journée s’est déroulée dans la joie et la bonne humeur. Nous avons eu le plaisir d’accueillir beaucoup de monde, dont certains ont découvert Ascros et ont été conquis par ce beau village et la générosité des gens qui ont animé cette journée.La journée du dimanche a vu défiler de nombreux tireurs entraînés et nous avons assisté à une véritable démonstration de tir. Les pigeons d’argile n’ont pu résister à des

salves de tir ininterrompues de la part de ces participants passionnés. Pour conclure cette agréable journée, une excellente daube accompagnée de polenta a été servie aux convives présents, qui ont beaucoup apprécié ce plat régional préparé sur place.

Les gagnants au tir du samedi : 1er Mr VIANDE Grégory, 2ème Mr CARRASSE Romain, 3ème Mr VIANDE Yoan et en 4ème position Mr JEAN Alain.Les gagnants au tir du dimanche :1er Mr ALLEMAND, 2ème Mr CORTELINI et en 3ème position Mr REVEL

Un grand merci à la Société de Chasse d’Ascros, organisatrice de cette agréable manifestation.

Ball tRaP à ascRos

Félicitations !Stéphane CONIL, jeune chasseur de 16 ans, est heureux d’avoir tué, le samedi 13 octobre, son premier chevreuil de 23 kg et son premier sanglier de 88 kg ! Ces belles performances ont été réussies dans la même journée, avec l’aide de son chien Démon, fox terrier, sous la vigilance attentive de son père, Jean-Louis, président de la société de chasse d’Amirat. Toutes nos félicitations à ce jeune chasseur !

Bézaudun les alpes, Après avoir accompagné son père depuis l’âge de 4 ans et réussi son permis de chasser, Alexandre Provençal a prélevé, pour sa première sortie de chasse, un brocard ! De plus, il a réussi, le 22 septembre 2012, un triplet de sangliers à la battue de la vigne au pas de Lucien !! Merci à Romain, Grégory et à toute l’équipe. Michel BUSSIERE

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association dePaRteMentale des gaRdes-chasse PaRticUlieRs des alPes MaRitiMes : 2012 une année bien remplie

Notre association l’a entamée par une formation de gardes-chasse et de pêche, sur deux jours en mars, dispensée par les techniciens de l’ONCFS06 au siège de la FDC06. Serge CAUVIN, Noël MALFATTO, Joseph ROCCHIA et Jean FONTANA l’ont représentée au congrès de la fédération nationale, fin mars, à VILLARD LES DOMBES dans l’Ain. Représentation à l’AG de la FDC06 à AURON en avril. Tenue de son AG et d’un stand à LEVENS à l’occasion des salons Vert Azur, fin mai. Une formation du module 4, garde des bois et forêts, où 64 gardes étaient

présents, dispensée par les techniciens de l’ONCFS 06, en leur siège au Broc center, puis la traditionnelle soirée de pré-ouverture aux plans de Carros en septembre. Serge CAUVIN demande aux présidents de sociétés de chasse désireux de commissionner un futur garde-chasse début mars 2013 d’adresser toute candidature à la FDC 06. Enfin, Le Président et l’ensemble du conseil d’administration adressent leurs meilleurs vœux pour 2013 à tous les adhérents de notre association.

Information

alto de la Fon de PoMMieR : Meilleur champion

alto de la Fon de PommIer magnifique Pointer appartenant à Mr GALLAIS Dominique (06 51 73 96 57) s’est classé 1er excellent le 23 Juin 2012 à Levens lors de la nationale d’élevage dans la catégorie Meilleur champion. Alto a également gagné à San Rémo le 29 avril 2012 en se classant 1er excellent dans la classe champion meilleur de race. Il est également champion international de beauté 2012 homologué le 18/10/2012. Encore Bravo Alto

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André Glanis 25/06/1930 - 04/02/2012.Le village et les chasseurs de La Croix sur Roudoule sont tristes, André GLANIS s’est en allé, après avoir courageusement lutté contre la maladie, laissant derrière lui un vide immense et plongeant ses proches dans le chagrin.Enfant du pays, André et son épouse, Alberte, ont élevé cinq garçons. Longtemps agriculteur et éleveur, il avait rejoint, par la suite, les services de l’Equipement. Titulaire du permis de chasse depuis 1951, il était reconnu comme un chasseur de lièvre réputé, puis il avait rejoint, avec ses enfants, Roland, Daniel et Didier, ses petits enfants Sébastien, Benjamin, Anthony et Johan, l’équipe de chasse au sanglier. Fidèle et présent à chacune des battues, doté d’une énergie et d’une résistance hors du commun, André était

toujours volontaire pour participer aux travaux d’aménagement, débroussaillage, labours et ensemencements. Membre fondateur de la Société, il avait participé à la réalisation du local de chasse, mis à disposition par Hubert AGNESI, son ami d’enfance. Marcheur infatigable, c’était un plaisir de l’accompagner. Chaque parcelle, lieu-dit, draille, ruine, source lui évoquait un souvenir qu’il nous contait, une anecdote sur le pastoralisme, l’agriculture, la vie d’autrefois. André était la mémoire vivante du pays. André, tu es parti, mais tu restes toujours présent dans nos cœurs, car, à chaque sortie, au moment du « goustaron », nous évoquons ton souvenir.

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C’est avec une profonde émotion que nous avons appris la disparition accidentelle de notre secrétaire Jean-Louis NANO à l’âge de 64 ans, membre actif de notre association pendant 43 années. La Saint Hubert Levensoise présente ses plus vives et sincères condoléances à toute sa famille.

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Le 5 août dernier, Samy est par t i fa i re une dernière recherche dans les chasses éternelles… il avait réalisé onze saisons de recherches, au service de la chasse et des chasseurs !

Sur 378 recherches, 173 animaux ont été retrouvés grâce à son intervention : 117 sangliers, 23 cervidés, 18 chevreuils, 13 chamois, 2 mouflons. un grand vide, difficile à combler!

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