curriculum vit˛ de mayeul arminjon -...

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CURRICULUM VITÆ de Mayeul ARMINJON Table des mati` eres 1 esum´ e 2 1.1 Positions et activit´ es successives ...................... 2 1.2 esum´ e des recherches (janvier 2009) ................... 3 2 Formation 4 3 Enseignement, encadrement de th` eses et de stages 4 3.1 Enseignement ................................ 4 3.2 Encadrement de th` eses ........................... 5 3.3 Encadrement de stages de fin d’´ etudes et de D.E.A............ 6 4 Responsabilit´ es scientifiques 7 4.1 Administration de groupe de recherche et autres responsabilit´ es collectives 7 4.2 Travaux d’expertise scientifique ...................... 7 4.3 Responsabilit´ es dans des tˆaches de valorisation de la recherche ..... 7 5 Recherche scientifique 9 5.1 ecanique des mat´ eriaux h´ et´ erog` enes, simulation num´ erique de la mise en forme ................................... 9 5.2 Th´ eorie scalaire de la gravitation ..................... 10 5.2.1 La gravit´ e vue comme la pouss´ ee d’Archim` ede .......... 10 5.2.2 Relativit´ e, m` etres et horloges ................... 11 5.2.3 Dynamique ............................. 11 5.2.4 Test observationnel ......................... 12 5.2.5 Equation du champ avec l’hypoth` ese de contraction spatiale isotrope 13 5.2.6 Bref bilan de mes travaux sur la th´ eorie scalaire ......... 14 5.3 ecanique quantique dans un champ de gravitation ........... 15 5.3.1 Motivation .............................. 15 5.3.2 esultats obtenus .......................... 15 5.3.3 Poursuite des recherches ...................... 16 1

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CURRICULUM VITÆ de Mayeul ARMINJON

Table des matieres

1 Resume 21.1 Positions et activites successives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21.2 Resume des recherches (janvier 2009) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3

2 Formation 4

3 Enseignement, encadrement de theses et de stages 43.1 Enseignement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43.2 Encadrement de theses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53.3 Encadrement de stages de fin d’etudes et de D.E.A. . . . . . . . . . . . 6

4 Responsabilites scientifiques 74.1 Administration de groupe de recherche et autres responsabilites collectives 74.2 Travaux d’expertise scientifique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74.3 Responsabilites dans des taches de valorisation de la recherche . . . . . 7

5 Recherche scientifique 95.1 Mecanique des materiaux heterogenes, simulation numerique de la mise

en forme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95.2 Theorie scalaire de la gravitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10

5.2.1 La gravite vue comme la poussee d’Archimede . . . . . . . . . . 105.2.2 Relativite, metres et horloges . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115.2.3 Dynamique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115.2.4 Test observationnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125.2.5 Equation du champ avec l’hypothese de contraction spatiale isotrope 135.2.6 Bref bilan de mes travaux sur la theorie scalaire . . . . . . . . . 14

5.3 Mecanique quantique dans un champ de gravitation . . . . . . . . . . . 155.3.1 Motivation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155.3.2 Resultats obtenus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155.3.3 Poursuite des recherches . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16

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6 Liste complete des productions scientifiques(janvier 2009) 176.1 Revues specialisees avec comite de lecture . . . . . . . . . . . . . . . . 176.2 Chapitres d’ouvrages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 206.3 Conferences sur invitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 216.4 Actes de Colloques Internationaux avec comite de lecture . . . . . . . . 226.5 Communications a des Colloques sans actes, ou avec des actes a diffusion

restreinte et/ou sans comite de lecture . . . . . . . . . . . . . . . . . . 256.6 Theses, Rapports Scientifiques ou Techniques . . . . . . . . . . . . . . 276.7 Seminaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 286.8 Textes de Cours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30

1 Resume

Ne a Paris, le 6 Decembre 1954 ; marie, cinq enfants.

1.1 Positions et activites successives

Position actuelle (depuis le 01/12/1988) :

Charge de Recherche au CNRS (CR1), Laboratoire “Sols, Solides, Structures – Risques”(3S-R, UMR 5521), Grenoble (Directeur de fin 2002 a fin 2008 : Jacky MAZARS). Voirle resume des recherches : point 1.2, page suivante. De 1989 a 2003, j’ai assure desenseignements en Ecole d’Ingenieurs et en DEA (M2R). J’ai fait un sejour de recherched’un an en Italie en 2005-2006. En Juin 2008, je suis passe de ma section d’origine, lasection 09 (mecanique des solides), a la section 02 du CNRS (physique theorique).

Positions precedentes :

1986-1988 : Charge de Recherche a l’Ecole des Mines de Paris au Cemef, Sophia-Antipolis : simulation numerique des procedes de mise en forme ; plasticite des poly-cristaux. Quelques cours appliques.

1981-1986 : Ingenieur de Recherche a l’IRSID (Institut de Recherches de la Siderurgie,alors a Saint-Germain-en-Laye) : responsable du laboratoire de diffraction X, et recherchessur la texture et le comportement des aciers doux en grandes deformations plastiques.Un cours au Centre d’Etudes Superieures de la Siderurgie en 1984.

Sejour dans un laboratoire etranger :

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Departement de Physique, Universite de Bari et INFN Bari (Italie), du 1er Juillet2005 au 30 Juin 2006. (J’etais alors egalement chercheur associe a l’INFN.)

1.2 Resume des recherches (janvier 2009)

La liste de toutes mes productions scientifiques (en janvier 2009) est incluse dans cerapport. (La liste actualisee est accessible depuis ma page web.) Mes publications ex-pertisees sont listees la, d’ou la quasi-totalite de mes articles de physique et la majoritede mes articles de mecanique sont accessibles en ligne. Cette derniere liste se divise endeux parties bien distinctes. Mon domaine de recherche initial etait le passage micro-macro en mecanique des materiaux, domaine ou j’ai obtenu mon HDR en 1988.

Mais, depuis au moins le debut de 1991, j’ai progressivement reoriente mes recherchesvers la physique theorique. J’ai d’abord propose une theorie alternative de la gravita-tion. C’est une theorie relativiste, au sens qu’elle se confond avec la relativite restreintequand le champ de gravitation s’annule. La theorie est basee sur un champ scalaire seul,et admet un referentiel privilegie. J’ai formule cette theorie completement, en ecrivant ladynamique d’un milieu continu general et du champ gravitationnel (scalaire) qu’il pro-duit, en etablissant des equations de Maxwell gravitationnelles compatibles avec le mou-vement des rayons lumineux selon cette theorie, et en appliquant la theorie au cas cos-mologique. (Cette theorie predit une acceleration de l’expansion cosmique.) J’ai etudieen detail ses consequences observationnelles, en formulant des schemas d’approximationpost-newtonien et post-minkowskien rigoureux. En particulier, cette theorie prevoit lesmemes effets sur les rayons lumineux que la relativite generale (RG) et prevoit uneperte d’energie comparable a celle prevue par la RG pour le rayonnement gravitation-nel d’un pulsar binaire. En utilisant les equations de mouvement que j’ai obtenuesavec cette theorie, j’ai calcule des ephemerides des corps principaux du systeme so-laire, qui s’accordent bien avec les ephemerides de reference. En appliquant a la RGle schema post-newtonien asymptotique, j’ai suggere qu’il faille ajouter un terme derotation propre aux equations dites d’Einstein-Infeld-Hoffmann, utilisees en mecaniqueceleste relativiste.

J’ai commence des 1998 a etudier la formulation de la mecanique quantique rela-tiviste dans un espace-temps courbe, a l’epoque surtout pour coupler cette theorie dela gravitation avec le domaine quantique. Depuis Mai 2005, je poursuis cette etudeindependamment de la theorie de la gravitation consideree. Cette question me sembleplus accessible, parmi celles qui se posent dans la problematique generale de la coexis-tence entre gravitation relativiste et theorie quantique. En etendant la correspondanceclassique-quantique au cas d’un espace-temps courbe, j’obtiens des extensions gravi-tationnelles alternatives des equations de Klein-Gordon et de Dirac. En passant, jepense avoir prouve que la mecanique quantique associee a l’equation de Dirac classiquede la relativite restreinte ne necessite pas d’introduire la notion de spineur. J’etudiela conservation du courant et le Hamiltonien de Dirac dans un champ gravitationnel,pour mes versions alternatives et pour l’equation de Dirac gravitationnelle standard,

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due a Fock et a Weyl. Mon objectif est de preciser les predictions de ces differentesversions de l’equation de Dirac gravitationnelle, en particulier concernant le spectred’energie, pour rendre possible un verdict experimental quand les mesures seront as-sez precises. Nota bene : Ce resume date de janvier 2009. Pour les recherches plusrecentes, voir les comptes-rendus accessibles depuis ma page web http://people.3sr-grenoble.fr/users/marminjon.

2 Formation

1988 : Habilitation a Diriger des Recherches, Mecanique : “Lois de comportement ho-mogeneisees pour la plasticite des polycristaux”, Universite Paris-Nord.

1981 : Doctorat de 3eme cycle, Mecanique : “Contribution a l’etude des relations entreles parametres d’anisotropie plastique et les fonctions de repartition des orientationscristallographiques des polycristaux metalliques”, Universite Grenoble I (maintenantU. J. Fourier). Directeur de these : J.-P. Boehler.

1979 : Diplome d’Etudes Approfondies en Mecanique des Solides, Universite GrenobleI. Mention B (deuxieme de la promotion). Directeurs de stage : J. Lanier, P. Stutz.

(Oct. 1976 - Sept. 1977 : Service National.)

1976 : Maıtrise de Mathematiques (1ere annee U. J. Fourier, Grenoble : 2 B ; 2emeannee Universite P. & M. Curie, Paris : 1 B, 1 AB). (Accident grave en Janvier 76.)

1974 : Diplome Universitaire d’Etudes Scientifiques, Mathematiques-Physique, Univer-site Grenoble I (mention TB, premier sur environ 250).

1972 : Baccalaureat Serie C (Mathematiques et Physique), Reims, mention AB.

3 Enseignement, encadrement de theses et de stages

3.1 Enseignement

0) Comme Ingenieur de Recherche a l’IRSID, puis comme Charge de Recherche auCEMEF, j’avais eu peu d’occasions de donner des cours. On peut relever un cours auCentre d’Etudes Superieures de la Siderurgie en 1984, un cours au seminaire “Plas-ticite” organise par le CEMEF en Octobre 1986, et un cours au Mastere “Materiaux etMise en Forme” de l’Ecole des Mines de Paris, en 1988.

1) 1990-1994 (soit quatre annees universitaires) : Mathematiques : Travaux Diriges,Ecole Nationale Superieure d’Hydraulique et de Mecanique de Grenoble (ENSHMG)

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de l’Institut National Polytechnique de Grenoble. 1 Il s’agissait d’un enseignement deTronc Commun de premier semestre de la 1ere annee de cette Ecole, reserve a la filiere“Genie Hydraulique et Environnement” (environ quatre-vingt-dix eleves par promotion),comportant vingt heures de TD. Je m’occupais de l’un des deux groupes d’eleves de cetenseignement. Enseignant responsable : Denis Caillerie.

2) 1994-1997 (soit trois annees universitaires) : Responsable de ce cours de TroncCommun de Mathematiques de 1ere annee. Il s’agissait alors de dix huit heures decours magistral plus dix-huit heures de TD (je me chargeais d’un des deux groupesde TD), s’adressant la encore a la filiere “Genie Hydraulique et Environnement” (en-viron quatre-vingt-dix eleves par promotion). Programme : Notions sur la topologieet les espaces fonctionnels ; Integration et mesures (approche “fonctionnelle”) ; intro-duction aux distributions, convolution ; introduction aux equations aux derivees par-tielles et caracteristiques. J’ai redige un polycopie de cinquante pages correspondantaux deux premieres parties (voir people.3sr-grenoble.fr/users/marminjon/Presentation-Cours-Web.html).

3) 1989-1993 (soit quatre annees universitaires) : Mecanique des Milieux Continus,Travaux Diriges, ENSHMG. J’assurais les TD pour l’un des deux groupes d’eleves decet enseignement de Tronc Commun, dont le responsable etait le Professeur Jean-MichelPIAU : vingt-quatre heures de TD, s’adressant la encore a la premiere annee de la filiere“Genie Hydraulique et Environnement” (environ quatre-vingt-dix eleves par promotion).

4) 1994-2003 : Homogeneisation en Mecanique des Materiaux (cours d’option),D.E.A. “Mecanique : Conception, Geomecanique, Materiaux” de l’Universite JosephFourier et de l’I.N.P. Grenoble. Je me chargeais de la partie “milieux aleatoires” (douzeheures de Cours par an, le cours ayant lieu environ une fois tous les deux ans). Pro-gramme de ma partie : Notion de milieu homogene equivalent et condition de macro-homogeneite de Hill / Modeles extremes de Reuss et Voigt en elasticite et en plasticiteparfaite / Generalisation aux comportements derivant d’un potentiel / Lois de proba-bilite des parametres descriptifs, homogeneite statistique / Modele extremal heterogene.

3.2 Encadrement de theses

1. Thierry CHAMBARD, “Contribution a l’homogeneisation en plasticite pour unerepartition aleatoire des heterogeneites”, Doctorat, Universite Joseph Fourier ; Labo-ratoire “Sols, Solides, Structures” (3S) ; 26 Janvier 1993. J’ai co-encadre cette these(pour 40% environ) avec le directeur de these, Sylvain Turgeman.

2. Didier IMBAULT, “Un modele micro-macro analytique pour la plasticite despolycristaux anisotropes”, Doctorat, Institut National Polytechnique de Grenoble ; Lab-oratoire “Sols, Solides, Structures” (3S) ; 14 Octobre 1993. J’etais le directeur de these.

1 Maintenant E.N.S. pour l’Eau, l’Energie et l’Environnement (ENSE3) du groupe Grenoble-INP.

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(Didier Imbault a ensuite ete recrute au Laboratoire 3S comme Maıtre de Conferences.)

3. Mohamed NAJIB, these en preparation a Tunis (Laboratoire de Systemes etde Mecanique Appliquee/ Ecole Polytechnique de Tunisie): application du principed’entropie maximale a l’homogeneisation des milieux granulaires. Je suis co-directeurde cette these avec Hichem Smaoui, Prof. a l’Ecole en question. La these n’a pas puetre soutenue (M. Najib est un professeur de lycee et n’a pas pu se consacrer assezlongtemps a sa these pour la terminer). Nous avons publie un compte-rendu de congres[B22].

En plus des theses que j’ai encadrees, j’ai participe a d’assez nombreux Jurys dethese : J’ai ete examinateur pour les theses d’A. MAKINDE (E.NS.M.A., Poitiers,1986) ; J.-B. DALIN (Ecole des Mines de Paris, CEMEF, 1987) ; C. PEYRAC (Or-say, 1988); J. MULLER (Metz, 1990) ; J.J. FUNDENBERGER (Metz, 1993). J’aiete rapporteur pour les theses de M. EL ARARI (Metz, 1990) ; N.E. KHELIFI (Metz,1991) ; F.E. MELLAB (Metz, 1992) ; J. DIZ (Metz, 1992) ; C. SCHUMAN (Metz, 1994).

3.3 Encadrement de stages de fin d’etudes et de D.E.A.

1. Christian LAUNAY, “Etude experimentale de l’elargissement des pics de diffrac-tion X d’aciers deformes a froid”, projet de fin d’etudes ENSAM ; IRSID, 1984.

2. X, “Analyse des pics de diffraction X par dispersion d’energie”, projet de find’etudes ENSAM ; IRSID, 1985.

3. Christian DUMONT, “Modelisation de l’essai de traction dynamique”, D.E.A.de Sciences & Genie des Materiaux, Ecole des Mines de Paris ; CEMEF, 1987.

4. Beatrice JACQ, “Modelisation de l’influence de l’inertie et de la pesanteur surl’ecoulement d’une colonne de fluide”, projet de D.E.S.S. “Mathematiques Appliquees”de Paris VI ; CEMEF, 1987.

5. Jean LEGAIT, “Prise en compte de l’evolution de l’anisotropie en vue du calculpar elements finis de l’emboutissage”, projet de fin d’etudes de l’Ecole des Mines deParis ; CEMEF, 1988. Resume paru dans Mem. Et. Sci. Rev. Met., Mars 1989, pp.171-175.

6. Corinne SOCQUET, “Questions liees a l’obtention d’une repartition limite desetats dans un agregat aleatoire”, stage du Magistere Mathematiques et Applications del’Universite J. Fourier ; Institut de Mecanique de Grenoble (IMG), 1989.

7. Didier IMBAULT, “Modele micro-macro pour la simulation numerique du for-mage”, D.E.A. de Mecanique de l’I.N.P.-Grenoble ; IMG, 1990.

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8. Huyen N’GUYEN THI THU, “Etude de modeles d’endommagement par ho-mogeneisation dans le beton renforce, mise en oeuvre numerique et test experimentalsur des structures simples”, DEA de Mecanique des Materiaux et des Fluides, GenieMecanique et Genie Civil de l’INSA de Rennes ; Laboratoire 3S, 2004.

4 Responsabilites scientifiques

4.1 Administration de groupe de recherche et autres respons-abilites collectives

1993-2005 : Organisation des seminaires du groupe de recherche “Passage Micro-Macro” (huit chercheurs permanents) du Laboratoire 3S, puis, de 1998 a 2001 et deDecembre 2003 a Juin 2005, des seminaires du Pole “Materiaux” (quinze chercheurspermanents) de ce Laboratoire.

1995-1998 : Responsable du groupe de recherche “Passage Micro-Macro”. (Le Di-recteur du Laboratoire 3S etait alors J.-L. AURIAULT, .)

Membre du comite scientifique et du comite d’organisation pour la 8eme Conf. Int.Textures of Materials (ICOTOM8) (Palais des Papes, Avignon, 1990). (Cf. ClaudeESLING, vice-president du comite d’organisation.)

4.2 Travaux d’expertise scientifique

J’ai ete referee pour : Canad. J. Phys. ; Comptes-Rendus Acad. Sci. Paris ; Found.Phys. ; Int. J. Theor. Physics ; J. Phys. A: Math. Theoret. ; Phys. Lett. A ; Rep.Math. Phys. ; Sym. Integrab. Geom. Meth. Appl. ; Apeiron ; Archives of Mechanics ;Int. J. Plasticity ; Int. J. Solids & Structures ; J. de Physique ; Mech. Mater. ; Mem.Et. Sci. Rev. Metall. ; Textures & Microstructures ; ...

J’ai ete referee pour un livre, pour Kluwer.

J’ai ete referee pour les Conferences Internationales “Physical Interpretations of Rel-ativity Theory” No. VIII (Imperial College, London, Sept. 2002) et No. IX (ImperialCollege, London, Sept. 2004). J’ai ete referee pour le Colloque International “LargePlastic Deformations: Mecamat ’91” (Fontainebleau, 1991).

4.3 Responsabilites dans des taches de valorisation de la recherche

• Les cinq ans passes a l’IRSID (Institut de Recherches de la Siderurgie, Etab-lissement de Saint-Germain-en-Laye : 01/10/1981 – 31/07/1986) etaient voues a de

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telles taches. (J’appartenais au Departement “Metallurgie Physique”, dont le chefetait Paul Parniere.) J’encadrais le travail des deux techniciens superieurs du labo-ratoire de diffraction des rayons X, et je collaborais avec des ingenieurs de l’IRSIDet d’autres centres de recherche ou usines de la Siderurgie francaise. Pour ce qui estdes nouvelles experimentations, j’ai ainsi pu mener a bien avec les deux techniciensl’informatisation d’un goniometre de texture ; implanter et informatiser la methodede dispersion d’energie pour l’analyse quantitative de phases ; mettre au point unemethodologie pour les analyses de texture sur pieces embouties [D6]. A cote desprestations “ordinaires” du laboratoire de diffraction X (identification et dosage dephases cristallines, analyse de textures, ...), realisees pour l’IRSID ou pour d’autresetablissements siderurgiques, j’ai gere aussi des contrats plus consequents. Entre autres :

– Etude des textures et des microstructures d’aciers biphases austeno-ferritiques etrelation avec l’anisotropie plastique et l’emboutissabilite de ces aciers (Creusot-Loire etG.I.S. “Mise en Forme”) [D4].

– Etude des textures des boıtes de fer blanc : Evolution au cours de l’emboutissageet relation entre la texture initiale et le succes ou l’echec de l’operation (Carnaud-BasseIndre).

– Modification du logiciel IRSID d’analyse de texture en vue de sa commercialisationpar Siemens [D5], en collaboration directe avec des ingenieurs de SIEMENS, Etablisse-ment de Karlsruhe (MM. Hubert, Isenberg, Bauer).

– Analyse quantitative des evolutions de texture de cinq toles le long de six a huittrajets de deformation (participation IRSID au G.I.S. “Mise en Forme”) [D6].

– J’ai suivi pendant deux ans la moitie du travail d’un ingenieur etranger (C.Klinkenberg), i.e. ce qui concernait la texture et sa relation avec la microstructure [D7].

• Pendant mon passage au CEMEF (Ecole des Mines de Paris, Sophia-Antipolis :01/08/1986 – 30/11/1988 ; Directeur du CEMEF a l’epoque : Jean-Loup CHENOT),j’ai participe activement a l’elaboration et au suivi de plusieurs contrats de rechercheavec des industriels :

– Contrat CEMEF – IMPHY sur la modelisation du forgeage a chaud de piecesaxisymetriques en super-alliages (logiciel FORGE 2) : j’ai gere les contacts et redige leprogramme de ce contrat.

– Contrat CEMEF – CIME-BOCUZE sur la modelisation du martelage a chaud decylindres en molybdene : j’ai redige le programme et suivi le chercheur “post-doc” quil’executait (J.-B. DALIN).

– Contrat CEMEF – CETAM – ATS sur la modelisation du fluotournage (divers

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metaux, surtout cuivre) : j’ai redige le programme de ce contrat (pour la partie numerique)et procede au lancement de l’etude, avant de quitter le CEMEF.

– Contrat CEMEF – CETAM sur l’etude et le choix des materiaux performants encharge creuse : apres avoir realise une version “dynamique” de FORGE 2, j’ai suivi C.DUMONT pour la partie numerique de ce contrat (simulation de la striction dynamiquesur eprouvettes axisymetriques) [B5, B6].

– Contrat CEMEF – DRET sur l’endommagement dynamique en mode ductile : laaussi, j’ai suivi C. DUMONT pour le numerique (simulation de la striction dynamiqueet calculs de criteres d’endommagement sur eprouvettes fortement entaillees) [B7].

– Contrat CEMEF – Aerospatiale sur les textures d’alliages Al-Li : c’est a cetteoccasion que j’ai implante l’analyse 3-D des textures au CEMEF et que j’y ai initieA.-M. CHAZE, chercheuse permanente.

– Contrat CEMEF – IRSID pour le financement du stage E.N.S.M.P. de J. LEGAITsur la mesure et le calcul de l’evolution de l’anisotropie de toles d’acier lors d’essais horsaxes (contrat propose, obtenu et gere par mes soins).

• Apres mon retour a l’Institut de Mecanique de Grenoble (le 01/12/88), dont la partiequi me concerne est devenue depuis le Labo. 3S et maintenant le Labo. 3S-R (Sols,Solides, Structures – Risques), j’ai propose, obtenu et, avec D. Imbault, realise (en1991-1993) un contrat de recherche avec le CEMEF (ou mon correspondant etait C.LEVAILLANT) [D11]. Ce contrat a permis de financer la these de Didier IMBAULT,dont j’etais le directeur de these. (Didier Imbault continue a faire de la rechercheappliquee depuis son recrutement au Labo. 3S en 1995, comme Maıtre de Conferences.)Parallelement, je me suis reoriente vers des sujets de physique fondamentale. Dans cecontexte, je n’ai pas recherche d’autre contrat.

5 Recherche scientifique

5.1 Mecanique des materiaux heterogenes, simulation numeriquede la mise en forme

La premiere partie de ma carriere de chercheur, depuis ma these de troisieme cycleincluse, a ete consacree a ces sujets de recherche – dans lesquels la mecanique et laphysique des materiaux heterogenes dominaient – avec une decrue progressive depuis1990, pour pratiquement cesser en 2005. On pourra se faire une idee de ces recherchesen parcourant la liste des productions. Ma reorientation vers des sujets de physiquefondamentale n’etait pas premeditee : meme si j’etais attire par ces sujets, je ne pensaispas trouver l’occasion d’y apporter une contribution, et je ne cherchais pas une telleoccasion. Celle-ci s’est presentee par hasard, en Octobre 1989. Les questions que je me

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suis mis alors a etudier m’ont paru assez interessantes pour que j’y consacre la majeurepartie de mon temps, ceci des Fevrier 1991.

5.2 Theorie scalaire de la gravitation

L’idee et le developpement de cette theorie alternative ont ete mon activite principalependant une quinzaine d’annees. J’ai publie la-dessus 18 articles de revue, 3 chapitresd’ouvrage, et 14 articles de congres, totalisant plus de six cents pages assez denses.L’idee de la theorie est heuristique et donc facile a critiquer, mais cette idee heuristiqueme paraıt seduisante. La theorie elle-meme est basee sur des equations precises, quecette idee m’a conduit a postuler, mais qui peuvent aussi etre posees axiomatiquement.Dans mes articles, je procede bien entendu a des deductions rigoureuses pour passerdes equations postulees aux autres equations. 2

5.2.1 La gravite vue comme la poussee d’Archimede

J’ai propose un mecanisme pour la gravite, et il se trouve etre assez proche [O3] d’unmecanisme qu’Euler avait propose vers 1750 pour interpreter la gravitation newtoni-enne. Dans ces deux mecanismes, les constituants elementaires de la matiere doiventavoir une extension spatiale finie et doivent tous avoir la meme densite. La gravite peutalors etre interpretee comme la poussee d’Archimede dans un fluide parfait ou “ether”,suppose entourer chaque constituant elementaire. Dans mon mecanisme [A8, O3], lesconstituants elementaires eux-memes sont vus comme des ecoulements plus ou moinslocalises dans ce fluide : c’est l’ether “constitutif”. Ce concept heuristique permet de sefaire une image des processus de creation/ annihilation/ transmutation de particules, etdes “resonances” instables, tout cela etant observe en physique des particules. De plus,la gravitation est supposee ne dependre que la force de pression macroscopique, “lissee”.Ce concept de la gravite comme poussee d’Archimede due a la pression macroscopiquedans l’ether constitutif conduit [A8] a une expression bien precise pour l’accelerationde la gravite :

g = −grad peρe

, (1)

ou pe est la “pression d’ether” (macroscopique) et ρe = ρe(pe) est la “densite d’ether”(macroscopique), l’ether etant suppose etre un fluide barotrope. Cette expression estle point de depart d’une theorie de la gravitation basee sur le seul champ scalaire pe.Il est naturel de supposer que la gravite de Newton, qui se propage instantanement,doive correspondre au cas limite d’un ether incompressible (ρe = Constante). Un ethercompressible, tel que je le suppose, devrait alors conduire a des ondes de la pressionmacroscopique pe, i.e. a des ondes gravitationnelles.

2 Un resume plus detaille que celui qui suit est fourni par deux comptes-rendus d’activite que j’airediges anterieurement pour le CNRS – et qui peuvent etre consultes aux adresses internet suivantes :people.3sr-grenoble.fr/users/marminjon/arminjon-rap2004-PhTh.htmletpeople.3sr-grenoble.fr/users/marminjon/Resultats2001-2005.rtf.

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5.2.2 Relativite, metres et horloges

La relativite restreinte (RR), dans la version de Lorentz-Poincare, est compatible avecl’ether, comme l’avait vu Poincare, et comme Prokhovnik, Pierseaux et d’autres l’ontmontre en detail. Cependant, le modele de la gravitation que j’ai propose voit celle-cicomme un gradient de pression et de densite dans le fluide universel, ainsi la graviteest intrinsequement le resultat de l’heterogeneite de “l’espace” (i.e., dans le langage dela theorie, l’heterogeneite de la pression ou, de maniere equivalente, de la densite del’ether constitutif) – tandis que la RR suppose l’espace homogene. Il en resulte que laRR ne s’applique que localement en presence de gravitation : on retrouve un resultatbien connu de la relativite generale.

En bref, la version de Lorentz-Poincare de la RR fait resulter toute la RR de lacontraction des metres de Lorentz et du ralentissement des horloges de Larmor – leralentissement des horloges etant en fait une consequence de la contraction de Lorentzet du resultat “negatif” de l’experience de Michelson-Morley [A9]. Or, ces deux ef-fets metriques de la RR de Lorentz-Poincare peuvent etre interpretes [A9, A18] commeresultant d’une variation de la densite “apparente” d’ether ; c’est pour cela que, dans cemodele de la gravitation, on est conduit naturellement a postuler une contraction grav-itationnelle des metres et un ralentissement gravitationnel des horloges [A9]. La notionmeme d’un ralentissement des horloges et d’une contraction des objets implique qu’ildoit y avoir une reference par rapport a laquelle ces effets se produisent. La possibilitela plus simple est de supposer une metrique de reference plate. Ainsi, l’espace-tempsest muni de deux metriques : une metrique “de reference” plate γ0 et une metrique“physique” γ, qui est rendue courbe par l’effet de la gravitation.

Cependant, la contraction gravitationnelle des metres peut avoir lieu dans une direc-tion (comme c’est le cas pour la contraction de Lorentz), qui ne peut alors etre que cellede l’acceleration de la gravite, i.e. celle du gradient de pression – ou, alternativement,cette contraction peut etre supposee localement isotrope. (On peut aussi imaginer dessolutions intermediaires.) Dans mes articles initiaux, depuis [A9] jusqu’a [A34] inclus,j’ai suppose que la premiere possibilite etait la bonne, parce que c’est celle pour laquellela correspondence entre les effets metriques du mouvement et de la gravitation est laplus directe, et aussi parce que cette possibilite conduit a la metrique de Schwarzschilddans le cas statique spherique. La deuxieme possibilite (localement isotrope) pour lacontraction gravitationnelle des metres, est ce que Podlaha & Sjodin (1984) avaient entete dans leur analyse de cette correspondence.

5.2.3 Dynamique

La dynamique d’une particule d’epreuve est basee sur une modification peu evidente,mais contraignante [A15, A16], de la dynamique avec une masse variable scalaire quiest utilisee en RR. Cette modification contient l’acceleration de la gravite (1). Elleest ensuite elle-meme etendue au cas d’un milieu continu [A20], y compris le cas d’un

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champ classique tel que le champ de Maxwell [B13]. On obtient l’equation suivantepour le tenseur energie-impulsion T = (T µν):

T νµ;ν = bµ, (2)

avec

b0(T) ≡ 1

2gjk,0 T

jk, bi(T) ≡ −1

2gik,0 T

0k, (3)

ou g = (gij) est la metrique spatiale dans le referentiel privilegie de la theorie. Cetteequation est “a referentiel privilegie”, i.e., elle est valide dans les systemes de coor-donnees lies a ce referentiel. [Les indices sont abaisses et descendus avec la metrique“physique” d’espace-temps, γ = (γµν), et le point virgule indique la derivation covari-ante associee a cette metrique γ.] Cette equation est valide independamment de laforme possible de la metrique γ, en particulier independamment du fait que la contrac-tion gravitationnelle soit supposee localement isotrope ou non.

L’equation pour le champ gravitationnel scalaire (la “pression d’ether” pe) n’est quepartiellement contrainte [A35] par l’hypothese [A8] selon laquelle “la theorie de Newtondoit etre retrouvee pour ρe = Constant, et le cas compressible devrait conduire a uneequation d’ondes”. Une contrainte supplementaire sur l’equation du champ gravita-tionnel scalaire est que cette equation, prise avec l’equation de mouvement (2), devraitentraıner une loi de conservation exacte pour l’energie [A15], i.e., en l’occurrence, uneequation qui peut etre mise sous la forme

∂twm + div(wmu) + ∂twg + div(Φg) = 0, (4)

ou wm et wg sont les densites d’energie materielle et gravitationnelle, respectivement ; uest la vitesse de la matiere (i.e., du milieu continu considere), et Φg est le flux d’energiegravitationnel. Avec cette contrainte, l’equation du champ gravitationnel scalaire estplus pres d’etre fixee. Ainsi, dans le cas avec contraction gravitationnelle anisotrope,j’avais ete amene a postuler une equation precise pour pe [A9, A18], avec laquelle latheorie etait completement bouclee.

5.2.4 Test observationnel

J’ai beaucoup travaille pour tester la theorie avec contraction gravitationnelle anisotrope.Cette theorie semblait a priori prometteuse parce qu’elle conduit exactement a lametrique de Schwarzschild standard dans le cas statique spherique [A9]. Comme j’aiprouve qu’il n’y a pas d’influence du referentiel privilegie en ce qui concerne les ef-fets du champ gravitationnel sur les rayons lumineux, on obtient pour ces effets lesmemes predictions que celles deduites en relativite generale (RG) de la metrique deSchwarzschild standard [A19, A34].

J’ai aussi teste cette premiere version de la theorie en mecanique celeste. J’ai d’aborddeveloppe un schema rigoureux d’approximation post-newtonienne [A23,O1]. En util-isant ce schema, j’ai obtenu les equations de mouvement des centres de masse pour un

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systeme isole de corps quasi-spheriques et bien separes [A25-26, A32]. J’ai implanteces equations sur ordinateur et j’ai construit un logiciel pour ajuster leurs parametres(masses et conditions initiales) iterativement par une optimisation non-lineaire [A30,A31]. J’ai trouve ainsi que, selon ma theorie, il existe des effets de referentiel privilegieen mecanique celeste, mais que ces effets ne posent pas un probleme redhibitoire [O1].

J’ai fait une premiere etude de la cosmologie [A28, B14] ; en particulier, cette theoriepredit que l’expansion cosmique doit etre acceleree, et il n’y a pas de singularite avecune densite infinie.

En developpant un schema rigoureux d’approximation post-minkowskienne, j’aiobtenu une formule tres similaire a la “formule du quadrupole” utilisee en RG, pour laperte d’energie par rayonnement gravitationnel d’un pulsar binaire. Ceci rend plausibleque cette theorie passe ce test aussi [A34, B18].

Mais cette premiere version de ma theorie scalaire conduit a une violation redhibitoiredu principe d’equivalence faible pour un corps gravitationnellement actif, (meme) a lalimite d’une particule ponctuelle [A33, B17]. Cette violation est precisement due al’anisotropie de la metrique spatiale (avec la contraction gravitationnelle unidirection-nelle), anisotropie qui existe de la meme facon en RG dans la metrique de Schwarzschildstandard. On peut donc se demander si cette violation ne pourrait pas se produire aussien RG avec certaines jauges [A33]. Mais a priori elle ne devait pas se produire avecl’hypothese de la contraction gravitationnelle localement isotrope. J’ai donc construitune nouvelle version, fondee sur cette hypothese, de ma theorie.

5.2.5 Equation du champ avec l’hypothese de contraction spatiale isotrope

Dans des coordonnees (xµ) qui sont adaptees au referentiel privilegie et qui, de plus,sont cartesiennes pour la metrique “de reference” plate γ0, la metrique “physique”d’espace-temps prend, sous cette hypothese, la forme simple suivante :

(γµν) = diag(ϕ−1,−ϕ,−ϕ,−ϕ). (5)

(Ces coordonnees (xµ) permettent de definir le temps privilegie, T ≡ x0/c ou c est lavitesse de la lumiere.) Plus precisement, on est conduit naturellement [O3, A35] a poser

ϕ = e2ψ (6)

tout en postulant pour ψ une equation basee sur l’operateur de d’Alembert correspon-dant a la metrique plate :

�ψ ≡ ψ,0,0 − ∆ψ =4πG

c2σ, σ ≡ T 00. (7)

(T 00 est la composante (0 0) du tenseur energie-impulsion de la matiere et des champsnon-gravitationnels, dans n’importe quelles coordonnees (yµ) adaptees au referentiel

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privilegie et telles que y0 = cT = x0 ou T est le temps privilegie.) Avec l’equationdynamique (2) et la metrique (5), ceci boucle la nouvelle version de la theorie [A35,B20]. En particulier, cette version aussi conduit a une loi de conservation exacte pourl’energie, de la forme (4) [A35]. De plus, les effets du champ gravitationnel sur les rayonslumineux, sont les memes que ceux deduits en RG de la “metrique post-newtoniennestandard”, qui s’accordent tres bien avec les observations [A35]. Cette version modifieede la theorie scalaire evite effectivement [A35] la violation du principe d’equivalencefaible que j’avais trouvee avec la version precedente, basee sur la meme dynamique (2),mais qui supposait une contraction gravitationnelle unidirectionnelle, et une equationdifferente de (7) pour le champ scalaire. En raison de l’equation de champ (7), lanouvelle version devrait, encore plus directement que la premiere, conduire a une “for-mule du quadrupole” voisine de celle utilisee en RG, et donc etre compatible (pourvuque l’ajustement des parametres soit mene de facon interne a cette theorie) avec lesobservations des pulsars binaires.

5.2.6 Bref bilan de mes travaux sur la theorie scalaire

Mes travaux en physique theorique ont ete centres, jusqu’en 2005, sur cette theorierelativiste scalaire de la gravitation avec un referentiel privilegie. La presence d’unreferentiel privilegie est reconnue, par ex. par Butterfield et Isham, comme une possi-bilite pour resoudre les problemes a l’interface entre gravitation et theorie quantique,et singulierement pour resoudre le “probleme du temps” [en gros : la theorie quantiquea besoin d’un temps privilegie, en quelque sorte independant des processus physiques(ce n’est pas un operateur, par exemple), alors que la relativite generale fournit uneinfinite de coordonnees temporelles interchangeables]. Certes, cette possibilite n’est pascelle que ces auteurs privilegient, mais c’en est une qui fournirait une solution simplesi l’on savait resoudre la difficulte qui saute aux yeux : celle de construire une theoriede la gravitation avec un referentiel privilegie et qui s’accorde avec les observations.3 J’ai beaucoup travaille sur ma theorie scalaire et sur son test observationnel, etje pense qu’un certain nombre de points sont acquis [A35]. En prolongement de cetravail, j’ai applique a la mecanique celeste de la relativite generale le schema post-newtonien asymptotique mis au point pour la theorie scalaire. Cette application m’aconduit a proposer un terme supplementaire, du a la rotation propre du corps con-sidere, dans les equations de Lorentz-Droste (dites aussi d’Einstein-Infeld-Hoffmann)[A36, B22]. L’analyse des consequences de ce terme, aussi bien que la poursuite dutest de la theorie scalaire en mecanique celeste (avec la version modifiee), devraient depreference etre effectuees dans le cadre d’une collaboration avec des observateurs et desexperimentateurs. Je suis arrive a la conclusion qu’il y a beaucoup d’ajustements deparametres specialises en mecanique celeste [O2, Sect. 4.6]. Il me semble donc que laquestion du lien avec la theorie quantique represente maintenant un travail plus urgent.

3 D’autres auteurs travaillent sur cette question, en particulier T. Jacobson et coll. avec leur“Einstein-aether theory”, dotee d’un referentiel privilegie defini “dynamiquement”.

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5.3 Mecanique quantique dans un champ de gravitation

5.3.1 Motivation

En 2005, j’ai donc reoriente mes recherches vers la mecanique quantique relativiste dansun espace-temps courbe. Ceci, principalement dans le but d’examiner quelles sont lesdifferentes ecritures possibles de cette mecanique quantique – notamment pour voir sila presence d’un referentiel privilegie pourrait effectivement rendre plus facile ou plusnaturel d’ecrire cette mecanique quantique. Et aussi, pour determiner si ces differentesecritures possibles peuvent etre departagees experimentalement.

Cette recherche concerne la description theorique des effets du champ gravitationnelsur les particules quantiques – en pratique surtout les particules electriquement neu-tres (neutrons, neutrinos, atomes, ...) : ces effets sont tres difficiles a observer sur desparticules chargees, en raison de la faiblesse relative de la gravitation. La modification,due au champ gravitationnel et inertiel (rotation de la Terre), de la phase des ondes deDe Broglie, est observee depuis trente ans par interferometrie. Recemment, a Greno-ble, une equipe ILL-LPSC a verifie la quantification des niveaux d’energie des neutrons“ultra-froids” (c’est a dire tres lents), en mesurant leur transmission a travers une fentehorizontale. Ces effets ont jusqu’a present ete interpretes dans le cadre de l’equation deSchrodinger non-relativiste dans le potentiel newtonien de la pesanteur terrestre, ce quise justifie par les faibles vitesses et la petitesse du champ gravitationnel. Neanmoins,on s’attend a ce que des mesures plus precises permettent a moyen terme de detecterdes effets “relativistes”. Ceci ouvre une fenetre d’observabilite plausible pour la “grav-itation quantique”. L’enjeu theorique est de determiner quelle est l’ecriture correcte dela mecanique quantique relativiste dans un “espace-temps courbe”, ce qui constitue unprobleme relativement urgent parmi ceux qui concernent la coexistence entre relativitegenerale et theorie quantique.

Les particules utilisables dans ces experiences ont un spin 12, ce qui signifie qu’elles

sont decrites par l’equation de Dirac (on admet que celle-ci peut aussi decrire desparticules non-elementaires comme le neutron, malgre leur moment magnetique, et aumoins tant qu’on peut s’affranchir du champ electromagnetique exterieur).

5.3.2 Resultats obtenus

Les resultats obtenus depuis le debut de cette recherche (Mai 2005) sont les suivants : 4

i) Equation(s) de Dirac : obtention et transformation, cas gravitationnel. Obtentiondirecte de l’equation de Dirac a partir du Hamiltonien (relativiste) classique. Cetteapproche fonctionne aussi bien pour les cas d’une particule : a) libre, b) soumise aun champ electromagnetique, c) ayant un mouvement geodesique dans une metriquecourbe [A37]. Dans le cas gravitationnel (c), on obtient deux equations possibles [A39],toutes deux differentes de l’equation de Dirac gravitationnelle standard, due a Fock et

4 La aussi, un resume plus detaille de ces recherches est disponible a l’adresse internet suivante :people.3sr-grenoble.fr/users/marminjon/Arminjon2005-2007-recherche.pdf

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Weyl, laquelle est basee sur la “covariantisation”. L’une de ces deux equations admetun referentiel privilegie (“ether”), ce qui fait le lien avec mes recherches anterieuressur une theorie alternative de la gravitation. Pour ces deux nouvelles equations, ondoit utiliser la nouvelle transformation : “fonction d’ondes = 4-vecteur” et “matricesde Dirac = tenseur (21)”, qui s’applique aussi [A37, A40] au cas sans gravitation. Encollaboration avec F. Reifler, j’ai montre [A40] que la mecanique quantique dans unreferentiel inertiel dans un espace-temps plat (i.e. sans gravitation) est entierement lameme avec cette transformation tensorielle qu’avec la transformation spinorielle tou-jours utilisee jusqu’a present.

ii) Hamiltonien de l’equation de Dirac-Fock-Weyl : invariance, produit scalaire perti-nent. Application au calcul de la limite post-newtonienne de cette equation. Estimationdes effets “relativistes” sur les niveaux d’energie des neutrons ultra-froids (UCN). [A38]

iii) Effets de la rotation de la Terre sur les niveaux d’energie gravitationnels desUCN : le calcul de ces effets a constitue ma participation (Juillet-Octobre 2006) a lacollaboration Granit, LPSC–ILL. [A41]

iv) Mecanique quantique des trois versions de l’equation de Dirac dans un espace-temps courbe : En collaboration avec F. Reifler, j’ai identifie la condition de conser-vation du courant et la methode pour la satisfaire, la definition du produit hilbertien,et la condition d’hermiticite de l’operateur hamiltonien [A42, B30]. Nous avons reussia faire cela simultanement pour les deux versions alternatives proposees [A39] et pourla version standard (Dirac-Fock-Weyl). Neanmoins, des differences se revelent [A42]entre, d’un cote, les deux versions alternatives et, de l’autre cote, la version standard.Nous avons montre que celle-ci souffre d’un probleme d’unicite, du a une influence duchoix du champ de matrices de Dirac. Pour les deux versions alternatives, ce problemeexiste aussi mais il se pose d’une maniere qui est peut-etre moins grave.

5.3.3 Poursuite des recherches

La poursuite des recherches concerne les nouvelles equations de Dirac dans un champde gravitation. Nous preparons leur application a l’etude des problemes de niveauxd’energie dans le champ de gravitation, comme je l’avais fait precedemment [A38,A41]pour la version standard de l’equation de Dirac gravitationnelle. Ceci permettrait dedisposer de plusieurs versions concurrentes des equations pour les etats stationnaireset pour les spectres energetiques correspondants, qui pourraient ulterieurement etredepartagees experimentalement. En particulier, la version avec un referentiel privilegiepourrait conduire a des differences plus importantes avec l’equation standard (plusprecisement, avec l’application usuelle de celle-ci). Mais avant cela, il faut evidemmentevaluer les consequences pratiques du probleme de non-unicite du a l’influence du champde matrices de Dirac et voir s’il peut etre resolu au moins pour une version de l’equationde Dirac gravitationnelle.

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6 Liste complete des productions scientifiques

(janvier 2009)

6.1 Revues specialisees avec comite de lecture

(42 articles, ca. 820 pages dans les revues)

A1. M. ARMINJON, “Theorie d’une classe de modeles de Taylor “heterogenes”.Application aux textures de deformation des aciers”, Acta Metallurgica 35, N◦ 3, 615-630, 1987.

A2. M. ARMINJON, “Sur le champ de rotation des cristaux dans un polycristaldeforme plastiquement”, Journal de Mecanique Theorique & Appliquee 6, N◦ 4, 511-523, 1987.

A3. M. ARMINJON, C. DONADILLE, “Presentation d’un modele polycristallinextremal. Application aux aciers d’un modele approche”, Memoires et Etudes Scien-tifiques de la Revue de Metallurgie 87, N◦ 6, 359-382, 1990.

A4. M. ARMINJON, “Limit distributions of the states and homogenization in ran-dom media”, Acta Mechanica 88, 27-59, 1991.

A5. M. ARMINJON, B. BACROIX, “On plastic potentials for anisotropic metalsand their derivation from the texture function”, Acta Mechanica 88, 219-243, 1991.

A6. M. ARMINJON, “Macro-homogeneous strain fields with arbitrary local inho-mogeneity”, Archives of Mechanics 43, N◦ 2-3, 191-214, 1991.

A7. M. ARMINJON, “A regular form of the Schmid law. Application to the ambi-guity problem”, Textures and Microstructures 14-18, 1121-1128, 1991.

A8. M. ARMINJON, “A theory of gravity as a pressure force. I. Newtonian spaceand time”, Revue Roumaine des Sciences Techniques - Mecanique Appliquee 38, N◦ 1,3-24, 1993.

A9. M. ARMINJON, “A theory of gravity as a pressure force. II. Lorentz contrac-tion and ‘relativistic’ effects”, Revue Roumaine des Sciences Techniques - MecaniqueAppliquee 38, N◦ 2, 107-128, 1993.

A10. M. ARMINJON, T. CHAMBARD, S. TURGEMAN, “Homogeneisation d’unmortier avec une repartition aleatoire de fibres”, Comptes-Rendus de l’Academie desSciences 316, Serie II, 1505-1510, 1993.

A11. M. ARMINJON, B. BACROIX, D. IMBAULT, J.-L. RAPHANEL, “A fourth-

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order plastic potential for anisotropic metals and its analytical calculation from thetexture function”, Acta Mechanica 107, 33-51, 1994.

A12. M. ARMINJON, T. CHAMBARD, S. TURGEMAN, “Variational micro-macro transition, with application to reinforced mortars”, International Journal ofSolids & Structures 31, N◦ 5, 683-704, 1994.

A13. D. CECCALDI, F. YALA, T. BAUDIN, R. PENELLE, F. ROYER, M.ARMINJON, “Deformation textures and plastic anisotropy of steels, as predicted bythe Taylor model and a non-homogeneous model”, International Journal of Plasticity10, N◦ 6, 643-661, 1994.

A14. M. ARMINJON, D. IMBAULT, “An analytical micro-macro model for tex-tured polycrystals at large plastic strains”, International Journal of Plasticity 10, N◦ 7,825-847, 1994.

A15. M. ARMINJON, “Energy and equations of motion in a tentative theory ofgravity with a privileged reference frame”, Archives of Mechanics 48, N◦1, 25-52, 1996.

A16. M. ARMINJON, “On the extension of Newton’s second law to theories ofgravitation in curved space-time”, Archives of Mechanics 48, N◦3, 551-576, 1996.

A17. M. ARMINJON, D. IMBAULT, “Variational micro-macro model and defor-mation textures predicted for steels”, Textures and Microstructures 26-27 (the HsunHu memory volume), 191-220, 1996 (sur invitation du Prof. H.J. Bunge, editeur enchef).

A18. M. ARMINJON, “Scalar theory of gravity as a pressure force”, Revue Roumainedes Sciences Techniques - Mecanique Appliquee 42, N◦1-2, 27-57, 1997.

A19. M. ARMINJON, “Post-Newtonian approximation of a scalar theory of grav-itation and application to light rays”, Revue Roumaine des Sciences Techniques -Mecanique Appliquee 43, N◦2,135-153, 1998.

A20. M. ARMINJON, “On the possibility of matter creation/destruction in a vari-able gravitational field”, Analele Universitatii Bucuresti - Fizica 47, 3-21, 1998.

A21. M. ARMINJON, B. GUESSAB, “A model with two micro-scales for the effectsof geometrical distribution of material inhomogeneity”, Acta Mechanica 134, 61-79,1999.

A22. M. ARMINJON, “On the relation Hamiltonian - wave equation, and on non-spreading solutions of Schrodinger’s equation”, Nuovo Cimento 114B, N◦1, 71-86, 1999.

A23. M. ARMINJON, “Asymptotic expansions for relativistic celestial mechanics”,

18

Romanian Journal of Physics, 45, N◦ 5-6, 389-414 (2000).

A24. M. ARMINJON, D. IMBAULT, “Maximum entropy principle and texture for-mation”, Zeitschrift fur angewandte Mathematik und Mechanik, 80, Suppl. N◦1, 13-16(2000). [Texte de I8].

A25. M. ARMINJON, “Motion of the mass centers in a scalar theory of gravitation.I. Definition of mass centers and general form of the equations of motion”, RomanianJournal of Physics, 45, N◦ 9-10, 645-658 (2000).

A26. M. ARMINJON, “Motion of the mass centers in a scalar theory of gravitation.II. Explicit equations of motion in the relevant approximation”, Romanian Journal ofPhysics, 45, N◦ 9-10, 659-678 (2000).

A27. O. GAGLIARDINI, M. ARMINJON, D. IMBAULT, “An inhomogeneousmodel applied to predict the behaviour of isotropic polycrystalline ice”, Archives ofMechanics 53, N◦1, 3-21 (2001).

A28. M. ARMINJON, “Accelerated expansion as predicted by an ether theory ofgravitation”, Physics Essays 14, N◦1, 10-32 (2001).

A29. M ARMINJON, “Comparison between two methods of post-Newtonian ex-pansion for the motion in a weak Schwarzschild field”, Nuovo Cimento B 116, N◦11,1277-1290 (2001).

A30. M ARMINJON, “Proper initial conditions for long-term integrations of thesolar system”, Astronomy & Astrophysics 383, 729-737 (2002).

A31. M ARMINJON, “A numerical solution of the inverse problem in celestial me-chanics, with application to Mercury’s motion”, Meccanica 39, 17-29 (2004).

A32. M. ARMINJON, “Equations of motion of the mass centers in a scalar theoryof gravitation: Expansion in the separation parameter”, Romanian Journal of Physics,48, N◦ 7-10, 805-820 (2003).

A33. M ARMINJON, “Equations of motion of the mass centers in a scalar theory ofgravitation: the point particle limit”, Romanian Journal of Physics, 49, N◦ 7-8, 549-571(2004).

A34. M ARMINJON, “Gravitational effects on light rays and binary pulsar energyloss in a scalar theory of gravity”, Theoretical & Mathematical Physics 140 (1), 1011-1027 (2004) [Teoreticheskaya i Matematicheskaya Fizika 140 (1), 139-159 (2004)].

A35. M ARMINJON, “Space isotropy and weak equivalence principle in a scalartheory of gravity”, Brazilian Journal of Physics 36, 177-189 (2006).

19

A36. M ARMINJON, “Equations of motion according to the asymptotic post-Newtonian scheme for general relativity in the harmonic gauge”, Physical Review D72, 084002 (2005), 20 pages.

A37. M. ARMINJON, “Dirac equation from the Hamiltonian and the case with agravitational field”, Foundations of Physics Letters 19 (3), 225-247 (2006).

A38. M. ARMINJON, “Post-Newtonian equation for the energy levels of a Diracparticle in a static metric”, Physical Review D 74, 065017 (2006), 9 pages.

A39. M. ARMINJON, “Dirac-type equations in a gravitational field, with vectorwave function”, Foundations of Physics 38, 1020-1045 (2008).

A40. M. ARMINJON, F. REIFLER, “Dirac equation: Representation independenceand tensor transformation”, Brazilian Journal of Physics 38, 248-258 (2008).

A41. M. ARMINJON, “Main effects of the Earth’s rotation on the stationary statesof ultra-cold neutrons”, Physics Letters A 372, 2196-2200 (2008).

A42 M. ARMINJON, F. REIFLER, “Basic quantum mechanics for three Diracequations in a curved spacetime”, soumis pour publication.

6.2 Chapitres d’ouvrages

(3 articles, 106 pages)

O1. M. ARMINJON, “Testing a theory of gravity in celestial mechanics: a newmethod and its application to a new scalar theory”, contribution invitee a l’ouvrage“Recent Research Developments in Astronomy & Astrophysics” (S. G. Pandalai, ed. ,Research Sign Post, Trivandrum), Vol. 1 (2003), pp. 859-879.

O2. M. ARMINJON, “Ether theory of gravitation: why and how?”, contributioninvitee a l’ouvrage “Ether, space-time and cosmology , Vol. 1: Modern ether concepts,relativity and geometry” (M. C. Duffy & J. Levy, Eds.), PD Publications, Liverpool,(2008), pp. 139-201.

O3. M. ARMINJON, “Gravity as Archimedes’ thrust and a bifurcation in that the-ory”, contribution invitee au “Festschrift” de Franco Selleri (G. Tarozzi & A. van derMerwe, eds.), Foundations of Physics, 34, 1703-1724 (2004).

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6.3 Conferences sur invitation

[dont j’etais l’orateur et le destinataire de l’invitation]

I1. M. ARMINJON, “Relations Textures-Proprietes plastiques dans les aciers. Casdes toles minces”, Conference invitee au Colloque de la Societe Francaise de Metallurgie :“Textures Cristallines dans les Metaux. Analyse et Influence sur les Proprietes Plas-tiques” (Albertville, 1985).

I2. M. ARMINJON, “Modeles extremaux pour la deformation des polycristaux”,Conference invitee au Colloque du GRECO CNRS “Grandes Deformations et Endom-magement” (Aussois, 1986).

I3. M. ARMINJON, D. IMBAULT, “Analytical micro-macro model of anisotropicplasticity at large strains”, Invited Paper, 4th. Int. Symp. Plasticity and Its CurrentApplications (Baltimore, 1993). Texte de 4 pages a paraıtre (A.S. Khan, edr.).

I4. M. ARMINJON, A. BOTTERO, B. GUESSAB, S. TURGEMAN, “Commentson a variational micro-macro model for random composites and the integration of mi-crostructural data”, Invited Lecture, Symposium Int. Union Theoret. Appl. Mech.(IUTAM) “Microstructure-property interactions in composite materials” (Aalborg, Dane-mark, 23-25 Aout 1994). Texte in Actes du Symp. (R. Pyrz, edr.), pp. 1-14. Kluwer,Dordrecht (1995).

I5. M. ARMINJON, D. IMBAULT, “On variational micro-macro models and theirapplication to polycrystals”, Invited Paper, 5th. Int. Symp. Plasticity and Its CurrentApplications (Osaka, 17-21 Juillet 1995). Texte in Dynamical Plasticity and StructuralBehaviors, Proc. Plasticity 95 (Sh. Tanimura et A. S. Khan, edrs.), pp. 245-248. Gor-don and Breach, Luxembourg (1995).

I6. M. ARMINJON, D. IMBAULT, “Un modele micro-macro variationnel et sespredictions pour les heterogeneites et textures de deformation (aciers)”, Conferenceinvitee, 9eme Colloque Annuel Mecamat : “Mecanismes et Mecanique des grandesdeformations” (Aussois, 28/01-01/02 1996). Texte de 4 pages paru (textes rassemblespar G. Cailletaud, organisateur du Colloque).

I7. M ARMINJON, D IMBAULT, “Physical meaning and experimental check ofa variational principle for macro-to-micro transition”, Invited Lecture, SymposiumInt. Union Theoret. Appl. Mech. (IUTAM) “Micro- and Macrostructural Aspectsof Thermoplasticity” (Bochum, Allemagne, 25-29 Aout 1997). Texte in “Micro- andMacrostructural Aspects of Thermoplasticity” (O.T. Bruhns & E. Stein, eds.), pp. 197-206. Kluwer, Dordrecht (1999).

I8. M ARMINJON, D IMBAULT, “Maximum entropy principle and texture for-

21

mation”, Invited Lecture, Minisymposium “Homogenization” du Congres annuel de laGesellschaft fur angewandte Mathematik und Mechanik (GAMM), Metz, 12-16 Avril1999. Texte : voir A24.

I9. M. ARMINJON, “On asymptotic approximations for celestial mechanics in rela-tivistic theories of gravitation”, Semi-Plenary Lecture, 1999 Summer School “NonlinearOscillations in Mechanical Systems”, St Petersbourg (Repino), 1-8 Sept. 1999. Texteparu (D.A. Indeitsev & V.A. Palmov, edrs., Institute of Problems of Mechanical Engi-neering / Russian Academy of Sciences, St Petersbourg).

I10. M ARMINJON, “The scalar ether-theory of gravitation and some implica-tions”, Invited Lecture, 23rd. International Workshop on the Fundamental Problemsof High Energy Physics and Field Theory, Protvino (Russie), 21-23 Juin 2000. Texte :memes titres (V.A. Petrov, edr., Inst. for High Energy Physics, Protvino), pp. 200-210.

I11. M ARMINJON, “The inverse problem in classical and relativistic celestialmechanics”, Invited Lecture, Euromech. Coll. 425 “Nonlinear dynamics, control andcondition monitoring”, Aberdeen (Ecosse), 20-24 Aout 2001. Texte : voir A31.

6.4 Actes de Colloques Internationaux avec comite de lecture

[Voir aussi rubrique I : en tout 31 articles, ca. 380 pages, en plus des articles desrubriques A et O. Il s’agit de communications orales (sauf B9 et B12, non presentees)et j’etais l’orateur pour toutes sauf cinq, pour lesquelles l’orateur est indique.]

B1. M. ARMINJON, J.P. BOEHLER, “Comportement plastique et texture cristal-lographique des metaux anisotropes”, Coll. Int. C.N.R.S., n◦ 319 (Villard-de-Lans,1981). Texte in “Plastic Behavior of Anisotropic Solids”, (J.P. Boehler, edr.), Ed. duC.N.R.S., 1985, pp. 133-155.

B2. M ARMINJON, “Effects of the loading path on the anisotropic strain-hardeningof sheet metals”, Coll. Int. C.N.R.S. N◦ 351 (Villard-de-Lans, 1983). Texte in “Fail-ure Criteria of Structured Media” (J.P. Boehler, edr.), Balkema, Rotterdam, 1993, pp.339-351.

B3. M. ARMINJON, “Explicit relationships between texture coefficients and three-dimensional yield criteria of metals”, 7th Int. Conf. Text. Mat. (ICOTOM 7, Noordwi-jkerhout, 1984). C.M. Brakman et al., eds., Netherlands Soc. Mater. Sci., Zwijndrecht,1984, pp. 31-37.

B4. M. ARMINJON, C. DONADILLE, “Comparison between experimental defor-mation textures of extra-mild steels and textures calculated by an extremum-basedtheoretical model for polycristals”, 8th Int. Conf. Text. Mat. (ICOTOM 8, Santa Fe,1987). J.S. Kallend, G. Gottstein, eds., the Metallurgical Society, Warrendale, 1988,

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pp. 387-393. (Communication orale presentee par C. DONADILLE.)

B5. M. ARMINJON, J.-L. CHENOT, “An implicit formulation for finite elementanalysis of dynamic plastic deformation in 2D geometry”, NUMETA 87 : InternationalConference on Numerical Methods in Engineering : Theory and Applications (Swansea,1987). G. N. Pande & J. Middleton, eds., Martinus Nijhoff, 1987, Tome 2, pp. 1-10.

B6. C. DUMONT, C. LEVAILLANT, M. ARMINJON, J.-L. CHENOT, “Modellingof dynamic tension tests applied to ductility problems”, DYMAT 88 (Ajaccio, 1988).Texte in Journal de Physique, Supplem. au N◦ 9, 49, 1988, C3/505-512. (Communica-tion orale presentee par C. DUMONT.)

B7. C. DUMONT, C. LEVAILLANT, M. ARMINJON, J.-P. ANSART, R. DORME-VAL, “Ductile fracture of metals investigated by dynamic tensile tests on smooth andnotched bars”, 4th In. Conf. on the Mechanical Properties of Materials at High Ratesof Strain, (Oxford, 1989), Institute of Physics Conference Series, N◦ 102, 1989, pp.65-72. (Communication orale presentee par C. DUMONT.)

B8. M. ARMINJON, D. IMBAULT, “Does a polycrystal model disclose a singleplastic spin ?”, Coll. Int. Mecamat’ 91 (Fontainebleau, Aout 1991). Texte in “LargePlastic Deformations” (C. Teodosiu, J.-L. Raphanel, F. Sidoroff, eds.), Balkema, 1993,pp. 89-99.

B9. M. ARMINJON, “Gravitation as a pressure force: a scalar ether theory”, Proc.5th. Int. Conf. “Physical Interpretations of Relativity Theory”, Supplementary PapersVolume (M.C. Duffy, edr.), British Soc. Philos. Sci./ University of Sunderland, 1998,pp. 1-27.

B10. D. IMBAULT, M. ARMINJON, “Deformation textures of fcc materials pre-dicted with a regular form of the Schmid law”, Int. Conf. Texture and Anisotropyof Polycrystals (Clausthal, Allemagne, Aout 1997). Texte in Materials Science Forum,273-275, 1998, pp. 371-376. (Communication orale presentee par D. IMBAULT.)

B11. M ARMINJON, “Remarks on the mathematical origin of wave mechanicsand consequences for a quantum mechanics in a gravitational field”, 6th. Int. Conf.“Physical Interpretations of Relativity Theory” (London, Septembre 1998). Texte inProceedings (meme titre) (M.C. Duffy, edr.), British Soc. Philos. Sci. /Univ. of Sun-derland, 1998, pp. 1-17.

B12. M. ARMINJON, “Weak-field approximation of a scalar theory of gravitationand the propagation effects of gravity”, 6th. Int. Conf. “Physical Interpretations ofRelativity Theory”, Late Papers (M.C. Duffy, edr.), British Soc. Philos. Sci. /Univ.of Sunderland, 2000, pp. 1-13.

B13. M. ARMINJON, “On a scalar theory of gravitation”, 9th Marcel Grossmann

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Meeting on Recent Developments in Theoretical and Experimental General Relativity,Gravitation and Relativistic Field Theories (Rome, Juillet 2000). Texte in Proceedingsof the 9th Marcel Grossmann Meeting on General Relativity (V. G. Gurzadyan, R. T.Jantzen, R. Ruffini, eds.), World Scientific, 2002, pp. 1084-1085.

B14. M. ARMINJON, “Cosmology in a scalar ether theory of gravitation”, 7th.Int. Conf. “Physical Interpretations of Relativity Theory” (London, 2000). Texte inProceedings (meme titre) (M.C. Duffy, edr.), British Soc. Philos. Sci. /Univ. of Sun-derland, 2000, pp. 1-15.

B15. M. ARMINJON, “The scalar ether-theory of gravitation and its first test incelestial mechanics”, 5th Friedmann International Seminar on Gravitation and Cos-mology (Joao Pessoa, Bresil, 23-30 Avril 2002). Texte in Int. J. Mod. Phys. A17,4203-4208 (2002).

B16. M. ARMINJON, “Testing a theory of gravity in celestial mechanics: a newmethod and its first results for a scalar theory”, 8th. Int. Conf. “Physical Interpre-tations of Relativity Theory” (Londres, 6-9 Septembre 2002). Texte in Proceedings(meme titre, M.C. Duffy, edr.), PD Publications, Liverpool, 2004, pp. 1-16.

B17. M. ARMINJON, “Point-particle limit in a scalar theory of gravitation and theweak equivalence principle”, XXXVIIIth Rencontres de Moriond : Gravitational Wavesand Experimental Gravity, (Les Arcs, France, 22-29 Mars 2003), Texte in Proceedings(meme titre, J. Dumarchez & J. Tran Thanh Van, eds.) The Gioi, Hanoi, 2004, pp.377-382.

B18. M. ARMINJON, “Gravitational energy loss and binary pulsars in the scalarether-theory of gravitation”, 4th Int. Conf. on Particle Physics Beyond the StandardModel (Tegernsee, Allemagne, 9-14 Juin 2003), Texte in Proceedings (meme titre, H.V.Klapdor-Kleingrothaus, edr.), Springer Proceedings in Physics, vol. 92, 2004, pp. 471-483,.

B19. M. ARMINJON, “Scalar ether theory of gravity: a modification that seemsneeded”, Physical Interpretations of Relativity Theory IX (London, 3-6 September2004), Proceedings (M. C. Duffy, edr.), PD Publications, Liverpool, 2004, pp. 1-7.

B20. M. ARMINJON, “Scalar gravity with preferred frame: asymptotic post-Newtonian scheme and the weak equivalence principle”, 2nd Advanced Research Work-shop “Gravity, Astrophysics and Strings at the Black Sea” (Kiten, Bulgaria, June 10-16,2004), Proceedings (P. Fiziev & M. Todorov, eds.), St. Kliment Ohridski UniversityPress, 2005, pp. 1-16.

B21. M. ARMINJON, “Equations of motion according to the asymptotic post-Newtonian scheme for general relativity”, 3rd Advanced Research Workshop “Gravity,Astrophysics and Strings at the Black Sea” (Kiten, Bulgarie, 13-20 Juin 2005), Pro-

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ceedings (P. Fiziev & M. Todorov, eds.), St. Kliment Ohridski University Press, 2006,pp. 1-9.

B22. M. NAJIB, M. ARMINJON, H. SMAOUI, “Stochastic Homogenization of aTwo-Dimensional Granular Medium”, Proceedings of the Third International Confer-ence on Advances in Mechanical Engineering and Mechanics (Tunis, December 2006)(a paraıtre). (Communication presentee par M. NAJIB.)

B23. M. ARMINJON, “Quantum wave equations in curved space-time from wavemechanics”, in Symmetry and Perturbation Theory, Proc. of the International Con-ference SPT 2007 (Otranto, Italie, Juin 2007)(G. Gaeta, Raff. Vitolo and S. Walcher,eds.), World Scientific (2007), pp. 239-240.

B24. M. ARMINJON, F. REIFLER, “Quantum mechanics for three versions of theDirac equation in a curved spacetime”, 11th Int. Conf. “Physical Interpretations ofRelativity Theory”, Imperial College, Londres, 12-15 Sept. 2008 ; soumis aux Actes dela Conference.

6.5 Communications a des Colloques sans actes, ou avec desactes a diffusion restreinte et/ou sans comite de lecture

[Sauf pour C13, il s’agit de communications orales et, sauf pour C9,10,12-14,17-18,j’etais l’orateur.]

C1. M ARMINJON, “ Utilisation des detecteurs Si-Li pour l’analyse de l’elargisse-ment des raies de diffraction X”, communication au Groupement pour l’Avancementdes Methodes Spectroscopiques, Paris, 1982.

C2. M. ARMINJON, J.M. JALINIER, F. MOUSSY, D. RAULT, J.H. SCHMITT,“Etude de l’ecrouissage et de l’evolution de la texture lors de la mise en forme detoles minces d’aciers extra-doux”, Journees d’Automne 1984 de la Societe Franaise deMetallurgie. Resume etendu dans Mem. Sci. Rev. Metall., Septembre 1984.

C3. M. ARMINJON, J.P. BOEHLER, “Strain dependence of plastic behaviour andtexture of metals”, Colloque Euromech 183 (Villetaneuse, 1984) : “Plasticity of Crys-talline Media”.

C4-C6. M ARMINJON, exposes d’avancement du G.I.S. “Mise en Forme”, theme1A “Microstructure et comportement des produits plats”, aux colloques d’Aussois de1983, 1984, 1985, et aux reunions de la coordination “Microstructure et Comportement”du GRECO CNRS “Grandes Deformations et Endommagement”.

C7. M. ARMINJON, “An extremum-based model for polycrystals. Application tothe deformation textures of steels”, Colloque “Theoretical Methods in Texture Analy-

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sis” (Clausthal-Zellerfeld, 1986).

C8. M. ARMINJON, C. DONADILLE, “Prevision des textures de deformationen chemin complexe d’aciers extra-doux a l’aide d’un modele de Taylor heterogene”,Journees d’Automne 1987 de la Societe Franaise de Metallurgie. Resume etendu dansMem. Et. Sci. Rev. Metall., Septembre 1987. (Communication orale presentee par C.DONADILLE.)

C9. M. ARMINJON, B. BACROIX, “Derivation of anisotropic yield criteria fromthe texture function : applications of an energy-based method”, Colloque T.M.S.-A.I.M.E. “Modelling of Anisotropic Material Behavior” (Chicago, 1988). Resume dansJournal of Metals 40, N◦ 7, A13-A13 (1988). (Communication orale presentee par B.BACROIX.)

C10. M. ARMINJON, “Caracterisation extremale de la repartition des deformationsdans un agregat deforme plastiquement”, 23eme Colloque du Groupe Francais de Rheolo-gie (Bordeaux, 1988). Actes (A. Gerard, J.-L. Lataillade, J. Pouyet, eds.), pp. 15/1-10.

C11. T. CHAMBARD, S. TURGEMAN, M. ARMINJON, “Determination d’uncritere de resistance d’un mortier de fibres par une homogeneisation en milieu aleatoire”,Dixiemes Rencontres Universitaires de Genie Civil (Cachan, 1992). (Communicationorale presentee par T. CHAMBARD.)

C12. M. ARMINJON, T. CHAMBARD, S. TURGEMAN, “Homogeneisation d’unmortier a fibres d’acier reparties aleatoirement”, 11eme Congres Francais de Mecanique(Lille, 1993). (Affiche.)

C13. M. ARMINJON, A. BOTTERO, B. GUESSAB, S. TURGEMAN, “Resistancelimite d’un micro-beton renforce par un reseau de fibres oriente”, Colloque Franco-Canadien sur les betons de fibres (Bethune, 1994). (Communication orale presenteepar A. BOTTERO.)

C14. M. ARMINJON, “Un modele variationnel pour les materiaux statistique-ment homogenes a potentiel. Prise en compte de la microstructure par une etaped’homogeneisation periodique”. Expose aux groupes de travail Mecamat “Rheologiedes materiaux metalliques biphases” et “Approches probabilistes en Mecanique des mi-lieux heterogenes”, Ecole Polytechnique, 1994.

C15. M. ARMINJON, D. IMBAULT, “Le modele extremal heterogene et son im-plantation pour le polycristal”. Expose aux groupes de travail Mecamat “Rheologie desmateriaux metalliques biphases” et “Approches probabilistes en Mecanique des milieuxheterogenes”, Ecole de Physique de Grenoble, 1995.

C16. M. ARMINJON, A. BOTTERO, B. GUESSAB, S. TURGEMAN, “Determina-tion du critere de plasticite d’un mortier renforce de fibres metalliques”, Actes du 2eme

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Colloque Francophone sur les Betons Renforces de Fibres Metalliques, (J.-L. Granju,F. Buyle-Bodin, M. Pigeon, eds.), Editions de l’INSA Toulouse, pp. 255-266, 1996.(Communication presentee par B. GUESSAB.)

C17. O. GAGLIARDINI, M. ARMINJON, D. IMBAULT, “Predicting the macro-scopic behaviour of anisotropic ice with a variational polycrystal model”, Actes de la“4th European Mechanics of Materials Conference” (Metz, 2000) (E. Gautier, edr.),Ecole des Mines de Nancy, (9 pages), 2000. (Communication orale presentee par O.GAGLIARDINI.)

C18. M. ARMINJON, “Asymptotic PN approximation and the point-particle limitin a scalar theory of gravitation”, Deuxiemes Journees “British Gravitation” (School ofMathematical Sciences, Queen Mary University of London, Juin 2002).

C19. M. ARMINJON, “Two gravitational Dirac equations”, communication oraleau Workshop “Resonance Transitions Between Gravitationally Bound Quantum Statesof Neutrons”, LPSC, Grenoble, 6-7 Avril 2006.

6.6 Theses, Rapports Scientifiques ou Techniques

D1. M. ARMINJON, “La relation contrainte-dilatance de Rowe et le principe duminimum d’energie absorbee”, Memoire de D.E.A. de Mecanique, Universite deGrenoble et I.N.P.G. ; Institut de Mecanique de Grenoble (IMG), 1979.

D2. M. ARMINJON, “Contribution a l’etude des relations entre les parametresd’anisotropie plastique et les fonctions de repartition des orientations cristallographiquesdes polycristaux metalliques”, These de Doctorat de 3eme Cycle de Mecanique,Universite de Grenoble ; IMG, 1981 (129 p.)

D3. M. ARMINJON, “Calcul du coefficient de Lankford a partir de la texture :mise en œuvre en pratique courante”, Note Interne IRSID (Institut de Recherches dela Siderurgie), Met. Phy. 290, 1983 (5 p.).

D4. M. ARMINJON, A. CAREL, “Determination des textures d’aciers austeno-ferritiques et relation avec leur emboutissabilite”, Compte Rendu de fin de contratG.I.S. “Mise en Forme”, sous-theme 1-3, Rapport externe IRSID, 1985 (22 p.).

D5. M. ARMINJON, “The IRSTEX software for O.D.F. analysis : mathematicaland physical documentation”, Note Interne IRSID en vue d’une commercialisation parSIEMENS, 1985 (27 p.).

D6. M. ARMINJON, “Textures de deformation et ecrouissage anisotrope de tolesd’acier”, Rapport de Synthese du Groupement d’Interet Scientifique “Mise en Forme”,sous-theme 1-2, pour 1983 et 1984. Rapport Externe IRSID RE 1186, 1985 (100 p.).

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D7. C. KLINKENBERG, M. ARMINJON “Un exemple d’application de l’analysedes textures par F.D.O. : developpement des textures de laminage a froid et de recuitde quelques toles en acier extra-doux”, Note Interne IRSID Met. Phy. 3219, 1985 (25p.).

D8. M. ARMINJON, “Description du logiciel TEXDEF (calcul des textures dedeformation theorique des aciers ferritiques)”, Note Interne IRSID Met. Phy. 86-3294,1986 (22 p).

D9. M. ARMINJON, “Lois de comportement homogeneisees pour la plasticite despolycristaux”, Memoire d’Habilitation, Universite Paris-Nord, 1988 (167 p.).

D10. M. ARMINJON, “A theory of gravity as the pressure action of an inertialfluid”, Preprint n◦12/92 du Departement de Mathematiques et d’Informatique, Univer-site de Metz, 1992 (52 p.).

D11. D. IMBAULT, M. ARMINJON, “Theoretical and numerical study of the ini-tial and induced plastic anisotropy of steel sheets, using a texture-based methodology”,Rapport final du Contrat UJF n◦17191401 entre Laboratoire 3S et ARMINES (dans lecadre du contrat BRITE-EURAM “Investigation for an innovative design methodologyfor sheet metal forming”), 1993 (44 p.).

D12. M. ARMINJON, “Note on the main effects of the Earth’s rotation on thestationary states of ultra-cold neutrons”, redigee pour la collaboration “Granit” et an-nexee au C-R de la reunion “Granit” du 10 Novembre 2006 (10 p.).

6.7 Seminaires

[La duree de chacun de ces exposes etait d’environ une heure (sauf S11 : ca. 30 min.)]

S1. “Relations entre les anisotropies de structure et de comportement plastiquedans les metaux”, Seminaire du groupe “Mecanique des Milieux Continus” de l’Institutde Mecanique de Grenoble, 1980.

S2. “La puissance plastique dans le modele de Taylor et les modeles derives”,Seminaire de la coordination “Microstructure et Comportement” du GRECO CNRS“Grandes Deformations et Endommagement”, Villetaneuse, 1985 (sur invitation).

S3. “Lois de comportement anisotropes pour les metaux. Relation avec la texture”,Seminaire du Cemef, Ecole des Mines de Paris (Sophia-Antipolis), 1988.

S4. “Caracterisation extremale de la repartition des deformations plastiques dans

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un agregat”, Seminaire du groupe “Comportement mecanique des solides” de l’Institutde Mecanique de Grenoble, 1989.

S5. “Structure du champ de deformation dans un agregat deforme de facon macro-homogene”, Seminaire du Laboratoire de Metallurgie des Materiaux Polycristallins,Metz, 1989 (sur invitation).

S6. “La gravitation comme une force de pression. Lien avec les effets relativistes’”,Seminaire du departement “materiaux” de l’Ecole des Mines de St. Etienne, 1994 (surinvitation).

S7. “Modele extremal heterogene et principe d’entropie maximale pour le passagedu macro vers le micro. Application aux textures de deformation”, Seminaire du Pole“Materiaux” du Laboratoire 3S, Grenoble, 1998.

S8. “Une theorie scalaire de la gravitation, son statut observationnel actuel, etson interet comme theorie-test en mecanique celeste relativiste”, Seminaires “Tempset Espace”, Institut de Mecanique Celeste et de Calcul des Ephemerides / Bureau desLongitudes, et Departement d’Astronomie Fondamentale de l’Observatoire de Paris,Paris, 20 Juin 2001.

S9. “Une theorie scalaire de la gravitation et son test en mecanique celeste”,Seminaires de Physique Theorique du Laboratoire de Mathematiques et Physique Theori-que, Tours, 3 Avril 2002 (sur invitation).

S10. ”A scalar theory of gravitation: summary and post-Newtonian mechanics”,Seminaire du “Gravity Group”, Physics Department, Lancaster University, Lancaster,27 Fevrier 2003.

S11. “Une approche mecanicienne de la gravitation”, Exposes de permanents auxJournees des Theses du Laboratoire Sols-Solides-Structures, Autrans, 6 Mai 2004 (surinvitation).

S12. “Scalar gravity with preferred reference frame: summary and observationaltest”, Seminars of the Theoretical Physics Group, Universita di Bari, INFN Bari, etPolitecnico di Bari, 28 Septembre 2005.

S13. “Dirac equation in a gravitational field: wave mechanics vs. equivalence prin-ciple”, Seminars of the Theoretical Physics Group, Universita di Bari, INFN Bari, etPolitecnico di Bari, 23 Mai 2006.

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6.8 Textes de Cours

T1. B. J. THOMAS, M. ARMINJON, “Aspects metallurgiques du laminage afroid”, Texte d’un cours au Seminaire du CESSID (Centre d’Etudes Superieures dela Siderurgie) : “Toles minces : Methodes de fabrication et aspects metallurgiques”,1984 (29 p.)

T2. M. ARMINJON, “Introduction a la topologie generale et a la theorie del’integration”, Texte partiel d’un cours donne aux eleves ingenieurs de 1ere annee del’Ecole Nationale Superieure d’Hydraulique et de Mecanique de Grenoble, 1997 (50 p.).Voir people.3sr-grenoble.fr/users/marminjon/Presentation-Cours-Web.html

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